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 I gave it all and all they gave was misery

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Bartholomew Allen


Bartholomew Allen

hero of earth

Messages : 807
Date d'inscription : 02/06/2017
Face Identity : Sam Heughan.
Crédits : Clarky ; starfire
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Age du personnage : 35 ans.
Ville : Central City.
Profession : Agent de la police scientifique de Central City; superhéros.
Affiliation : Justice League.
Compétences/Capacités : I gave it all and all they gave was misery Tumblr_pgvzt4jX8R1sja44to8_r1_500

Barry Allen:

x esprit scientifique en chimie et physique
x Combat au corps à corps avancé
x expert en criminologie
x représentant terrien de l'espoir pour les Blue Lanterns

The Flash:

x régénération accélérée
x vitesse surhumaine de course
x réflexes surhumain
x endurance surhumaine
x agilité physique et mentale surhumaines
x sens surhumains
x vieillissement ralenti
x électrokinésie
x création de vortex
x vol ( par utilisation de la force véloce)
x intangibilité
x accélération des molécules
x voyage dans le temps et altération du cours du temps
x voyage entre dimensions

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- FAMILY -
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Situation Maritale : Célibataire mais amoureux de la même femme depuis des années. Grand père de Bart.









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MessageSujet: I gave it all and all they gave was misery   I gave it all and all they gave was misery EmptySam 3 Fév - 19:28

I gave it all and all they gave was misery
steve & james
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INFORMATION ADDITIONNELLE
Ce sujet est la suite directe de celui-ci.

Je n'avais pas dormi de la nuit. Enfin de ce que j'imaginais être la nuit. Avec l'absence de soleil, il était parfois difficile de se repérer. De savoir l'heure exacte où le moment de la journée. Comme toujours, nous nous étions rendu compte à quel point nous avions du soleil pour les choses les plus basiques lorsque nous l'avions perdu. C'était toute l'ironie du genre humain. Nous avions tout. Ou presque tout. Mais nous n'apprécions rien. Tout était acquis pour nous. Jusqu'au jour où l'on se rendait compte que ce n'était pas le cas. A partir de là, il ne nous restait que nos yeux pour pleurer. Et notre subconscient pour imaginer tous les et si. mais il était déjà trop tard. C'était toujours trop tard de toute façon.  Un soupir passa mes lèvres. Assise au plus près de la fenêtre, je me perdais sur la vision nocturne que m'offrait l'extérieur.  Je collais un instant ma tête contre la vitre. Je l'enlevais cependant bien vite. La différence de température avec l'extérieur était telle que la vitre était plus que froide. Je m'interrogeais un instant sur sa solidité. Je n'avais aucune envie de la voir m'exploser au visage. Par mesure de précaution, je m'en éloignais. Naturellement, je retrouvais le lit qui était pour le moment le mien. Je m'engouffrais sur la couette jusqu'à ne laisser dépasser que mon visage. Mes yeux bleus accrochèrent le réveil matin sur la petite table de chevet. Il était encore bien tôt, à peine six heures du matin. A supposer qu'il était à l'heure.  J'évacuais un nouveau soupir en me positionnant sur le dos.  J'aurais adoré trouvé le sommeil mais celui ci m'échappait. Pourtant je savais que j'étais fatiguée. Crevée. Epuisée même. Je sentais al sécheresse de mes yeux. Mes jambes lourdes étaient un signe qui ne trompait jamais. Mon cerveau, cependant, était bien trop en ébullition pour que je ne rejoigne les bras de Morphée. Il ne s'était pas calmé depuis que j'avais retrouvé ma chambre en quatrième vitesse en plein milieu de la nuit.  Dès que je laissais mes yeux se fermer, il conjurait des images derrière mes paupières closes. J'avais donc renoncé à les clore.

De toute façon, je n'avais pas besoin de fermer les yeux pour me remémorer ce qui venait de se passer. C'était encore tout frais dans mon esprit. Quelque chose me disait par ailleurs que cela n'allait pas me lâcher aussi facilement. Sans avoir besoin de me forcer je sentais encore la sensation froide qu'avait laissé la glace sur la peau de mon visage. J'entendais encore raisonner mes rires et les siens. C'était bien la première fois que je me laissais aller à ce genre de comportement enfantin. Je n'étais pas connue pour l'être. Ni même pour l'avoir été. Je supposais que c'était réservé à ceux qui avaient eu la véritable chance d'avoir une enfance. La mienne m'avait été volé avant même d'avoir commencé. Et pourtant. Je m'étais laissée prendre au jeu. Il n'avait pas été long à me suivre. Je devais bien avouer pour quelques minutes, j'avais été atteint de légèreté. Par dessus tout, je devais avouer que cela m'avait soulagé. Que cela m'avait fait du bien. D'être si insouciante pour l'espace d'un instant. Je supposais qu'après tout ce que j'avais vécu plus ou moins récemment, ça avait été ma façon de relâcher la pression. De laisser partir toutes ces mauvaises choses. Sauf qu'évidemment cela n'avait marché qu'un temps. Mon rire avait fini par mourir dans ma gorge et ses lèvres s'étaient posées sur les miennes. Machinalement j'apportais mes doigts à leurs rencontres. La sensation était toujours là. Présente. A portée de la pulpe de mes doigts.  Sans avoir besoin de bien me concentrer, je pouvais encore sentir la douceur de ses lèvres, le frisson qui m'avait parcouru. Je n'avais jamais ressenti ça. Pour un moment, je m'étais perdue dans cette émotion. Je m'étais laissée prendre au jeu. Jusqu'à prendre peur. Peur de ce que cela pouvait signifier. Peur de ce qui pouvait arriver. Mon manque de confiance en la gent masculine avait tôt fait de pointer le bout de son année. Alors je l'avais repoussé. Depuis, j'étais cachée dans ma chambre, yeux grands ouverts sans possibilité de trouver le sommeil.  Je n'osais pas sortir. Ce qui était bien dommage car cela faisait à peu près une heure que mon ventre grognait.  Pour autant je ne bougeais pas. La porte resta fermée. Je n'avais pas envie de confronter ce qui se trouvait derrière cette dernière. Je n'avais pas envie de répondre à des questions. Je n'avais pas envie de me justifier. Car comment pourrais je le faire sans avoir à révéler une partie de l'horrible vérité qu'était ma vie ? Il y avait des secrets qui étaient bien mieux là où ils étaient. Enfouis pour ne jamais être déterrés.


Ce fut finalement sur les coups de neufs heures, que je me décidais à sortir. Mon ventre criait famine jusqu'à m'en donner la nausée. De plus, il y avait d'autres besoins primaires dont je devais m'acquitter. Je soufflais un bon coup avant d'ouvrir la porte. Vu la configuration et l'emplacement de la pièce, je savais que j'allais directement tomber sur Steve. Vu l'heure il ne pouvait en être autrement. A moins qu'il ne soit parti travailler. Je ne connaissais pas ses horaires après tout. Il fallait dire que je n'avais jamais eu besoin de m'y intéresser. Jusqu'à présent. La chance n'était cependant pas de mon côté et je tombais presque nez à nez avec lui. «  Bonjour ». Ma voix comme mon visage ne laissait rien paraître du trouble qui m'habitait. D'apparence, j'étais la peinture parfaite de la femme sûre d'elle. « C'est pour moi ? ». Il y avait une assiette sur le rebord. Je ne voulais pas assumer quoique ce soit mais il semblait déjà avoir fini de manger depuis longtemps. Je me demandais furtivement si je pouvais juste la piquer et retourner dans la chambre. C'était impolie. Ceci dit ce n'était clairement pas le pire dont je m'étais rendue coupable. Après tout, j'étais une criminelle. Etre impolie faisait partie de mon job.


••••

by Wiise
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Anonymous


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MessageSujet: Re: I gave it all and all they gave was misery   I gave it all and all they gave was misery EmptyJeu 29 Mar - 0:39

i gave it all and all they gave was misery
JAMES & STEVE


Etrangement, la douche que Steve s’est forcé à prendre à la suite des événements lui a fait du bien. Elle n’a pas effacé ses questions mais les a simplement atténuées, le temps de supprimer toute trace restante de ce qui s’était passé. Du moins, toute trace restante en surface. Car si le corps de Steve n’était plus badigeonné de glace, le souvenir de ce qui s’était déroulé dans la pièce d’à-côté resterait. A la sortie de sa douche, l’ancien pilote s’est forcé à se recoucher. Et pour la première fois depuis bien longtemps – peut-être même toujours, il ne sait plus vraiment – Steve n’a trouvé le sommeil que bien plus tard dans la nuit. Lui qui peut s’endormir en un temps record, peu importe les conditions météorologiques ou l’endroit où il se trouve, a été hanté par une seule et même question : qu’a-t-il donc fait de travers ?

Allongé sur le dos, les yeux rivés sur son plafond blanc immaculé, les scènes que Steve a essayées de chasser depuis qu’il s’est, à son tour, enfermé dans sa chambre, reviennent en force, encore et toujours. A peine réalise-t-il qu’il a tourné la page « Diana Prince » qu’il se retrouve bien malgré lui dans des complications non-voulues. Il n’a pas rêvé les signes pourtant… N’est-ce pas ? A croire que si.
Le soleil commence doucement à se lever et Steve remarque une tâche sur son plafond. Il fronce les sourcils alors qu’une nouvelle question se forme dans son esprit : pourquoi réagit-il de la sorte ? A-t-il réussi à tourner une page pour mieux en ouvrir une autre ? Une blonde pour remplacer une brune. Une criminelle pour remplacer la super-héroïne. Sur le papier, c’en est risible. Bien malgré lui, Steve imagine déjà les titres des journaux à scandales qui l’aiment tant. Il suppose qu’ils s’amuseraient à caser une référence à Star Wars ou tout autre punchline parlant d’un quelconque passage du côté obscur. Steve place son coussin sur son visage avec un geste rageur. Il a cette désagréable impression d’être ce jeune adulte qui n’avait pas vraiment eu l’opportunité d’avoir une relation stable. Ou alors d’un adolescent perdu, au choix. Visiblement, rien ne peut être simple dans la vie de Steve Trevor, et encore moins lorsque cela implique ses sentiments. L’espace d’un instant, en se retournant une énième fois dans un lit qui ne veut pas l’emmener au pays de Morphée, il a l’impression de se revoir une bonne décennie en arrière, dans une configuration assez similaire. En est-il déjà à ce stade-là, finalement ? Après tout sur le papier, c’en est (toujours) risible. Et pourtant, bien malgré lui, Steve a découvert que James est bien plus qu’une criminelle comme les autres. Que dans une autre vie, dans d’autres conditions, elle n’aurait jamais mené cette vie-là – sans pour autant savoir laquelle exactement. Qu’elle n’est pas ce cas désespéré, rôle qu’on lui attribue sans réfléchir, comme aux autres. Il avait réussi à voir plus loin que la façade qu’elle montrait à tous. Et pourtant, ceci n’a pas empêché le flop de ce soir. Flop qui lui fait une nouvelle fois se demander ce qu’il a donc fait de mal. Et rien ne semble cohérent. Ni même le pourquoi du comment Steve est perturbé à ce point.

Le numéro deux d’A.R.G.U.S. rouvre les yeux aux alentours de huit heures. Désorienté quelques instants, il se demande surtout combien de temps il a réussi à dormir. Deux heures, deux minutes, deux secondes ? Il n’a pas l’impression que ça ait fait une grande différence. La fatigue est présente et Steve sait pertinemment qu’il a perdu la bataille avec Morphée pour aujourd’hui. Les questions et situations se sont trop bousculées dans sa tête pour qu’il soit capable de discerner les rêves plus ou moins conscients de son insomnie inhabituelle. Il passe alors une main sur son visage dans l’espoir de se donner un peu d’énergie avant de se lever dans un bâillement. Sa première journée de repos ne commence pas sous de bons auspices. Il ouvre ensuite ses volets et se perd dans la contemplation d’une partie de la ville de Washington qui se dévoile devant lui. L’espace d’un instant son esprit s’évade, imaginant la vie de certains washingtoniens qui s’éveillent, pour ne pas penser. Car Steve redoute de sortir de cette chambre et de tomber nez à nez avec James. Il redoute la discussion qu’il doit avoir avec elle, sachant qu’il ne peut que lui demander des explications. Et que, peut-être – sûrement ? – elle dégénèrera. Alors il redoute le pire tout en se sachant face au mur, mais y va en fin de compte quand même. Il quitte sa rêverie et ouvre la porte de sa chambre. A son grand soulagement, la pièce à vivre est plongée dans le silence – à croire qu’il est encore trop tôt pour la jeune femme. Pour s’empêcher de trop penser, Steve décide de s’atteler à la confection de quelques pancakes. Il jongle entre sa recette rapide pour pancakes et la préparation de son café fort – il lui faut au moins ça pour tenir quelques heures – d’un geste expert. C’est dans des moments comme ceux-là que Tracy se ferait un malin plaisir de le taquiner. Tu t’es trompé de carrière, tu aurais dû être Chef, aurait-elle dit en attendant plus ou moins patiemment d’engloutir son repas maison. Steve se contenterait alors de rire avant de la rembarrer en retour avec le sourire. Steve prépare machinalement deux assiettes avant d’engloutir son petit-déjeuner, café compris, assez rapidement. Mais certainement pas assez pour éviter encore un peu James. La blonde apparaît presque devant son nez, ne semblant pas troublée le moins du monde. Steve aurait même pu croire qu’elle avait passé une bonne deuxième partie de nuit si elle n’affichait pas un visage aussi fatigué. Sûrement dans le même état que le sien, d’ailleurs. « B’jour. », répond-il sans grande conviction. Va-t-elle disparaître à nouveau ? S’enfuir et ne l’affronter que pour le strict minimum ? Steve, au lieu de rentrer directement dans le vif du sujet, hausse les épaules en guise de réponse. Compte-t-elle jouer l’insolente et prendre l’assiette pour mieux le laisser ? Les questions reviennent et Steve ne veut pas croire que James restera tranquillement à déguster ses pancakes à côté de lui. Alors qu’elle récupère l’assiette, Steve n’a pas la patience de se murer dans le silence plus longtemps. « C’est tout ? Un bonjour, une assiette de pancakes et on fait comme si de rien n’était ? Tu n’as pas très bonne mine, d’ailleurs. » Si sa voix se veut calme et nonchalante, l’entrée en matière est brute de décoffrage et loin d’être la meilleure qui soit. Mais elle est la seule qu’il ait trouvée pour que James réagisse sans vouloir prendre ses jambes à son cou.



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