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 ( mw ) comptons nos moutons funèbres.

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MessageSujet: ( mw ) comptons nos moutons funèbres.   ( mw ) comptons nos moutons funèbres. EmptyLun 21 Juin - 23:59

mäabh
&
malory
Mes nuits blanches sont à peine claires.
- s o u n d t r a c k -
21 juin 2021 - 22:06

L'écran du téléphone accueille tes digitales agitées. Elles pianotent, elles tapotent, elles rythment les dizaines et centaines de lampadaires qui glissent le long de la vitre du taxi. T'as pas eu la foi pour le métro. Pas l'envie, aussi. Surtout...Ouai, pas envie. Toute ton attention est focalisée sur les minutes défilant sur l'encadrement de l'appareil entre tes mains.

L'habitacle est silencieux, comme si le conducteur lui-même avait pu lire sur tes traits tirés et tendus que rien de ce qui allait se jouer dans les heures à venir ne te plaisait. Même si tu te diriges vers l'une de celles que tu estimes le plus. Même si sa voix réussira toujours à te faire accepter avec plus de facilité les déroutes et les chûtes quotidiennes. Celles de vos vies, à tous les deux. D'une pression du pouce tu déverrouilles le téléphone et vérifie une fois encore tes messages. Mais ce n'est pas sur les échanges avec Malo' que tu t'évinces les côtes et les bronches....Le prénom en lettre de rupture grince et gueule. Trois messages, pas de réponses. Ca fait un mois. Trente jours et t'as encore envie de crever quand c'est seul que tu t'endors. Quand c'est seul que tu dines. Quand c'est seul que tu sors l'chien. Elle est partie, Alexy, et tu peux juste prier pour qu'elle ne pose jamais vraiment les yeux sur ces mots qui se suivent à la file indienne honteusement. Des tu me manques dont t'as honte, mais que tu peux pas effacer. Toute cette détresse en quelques lettres. Tu l'as étalé sans y penser, parce que ça te pesait, parce qu'il fallait bien que tu lui dises. Il fallait qu'elle sache, pas vrai ? Que trois ans de votre histoire tu n'arrives pas à l'oublier d'un claquement de doigts. Que dès que ton téléphone vibre, t'as l'espoir que ce soit elle. Que tu dépéris quand ça ne l'est pas. Que tu ne fais que ça...

Tu secoues tes méninges d'un geste renfrogné du menton, sourcils se fronçant quand l'immeuble connu se dessine au travers de la vitre, des gouttelettes de pluie, des halos guindés de Diamond. T'as quitté le district lugubre depuis plusieurs tournants déjà, mais t'as encore la désagréable sensation de sentir les égouts à plein nez. A croire qu'au moment où t'as posé les pieds ailleurs que sur le pavé bien lustré qu'on avait posé pour toi, t'as pas été capable de t'épargner la saleté et la misère des vies qu'on t'a appris à même pas regarder. Puis t'as vu. Maintenant, tu sais. Tu sens. Ca pue même quand c'est beau. Le véhicule ralenti jusqu'à s'immobiliser, tu te penches pour glisser le billet tant mérité entre les doigts du chauffeur muet. " Thanks. Have a good night. ", phrases automatiques. Pure politesse enseignée en même temps que les rudiments d'anglais. Bonjour. Merci. Au revoir. Pas de s'il te plait, car tout t'était de toute façon destiné, Warworsth. Toi qu'à pas l'hémoglobine qui convient au patronyme. Quand tu sors du taxi et que tu t'abrites les pupilles du plat de la main, tu te dis que tout ce faste t'en as essentiellement usé par chance. Une risible bonne fortune, mais une faveur du destin tout du moins. Tu serais où, Mäabh, si t'avais jamais été adopté ? Si c'est dans les rues sordides de Bangkok que toi, petit orphelin que rien ne distinguait des autres, t'avais grandis ? Tu serais devenu quoi ? Qui ? Est-ce que t'aurais soufflé tes vingt-cinq bougies sans avoir à les imaginer ?

Tu traverses le manège vitré, t'extirpant de la centrifuge à temps pour ne pas repartir pour un tour. Le bruit de tes semelles claque sur le marbre du hall fortuné de l'immeuble où t'aurais jamais aimé habiter. Pas assez discret. Même les arches épient le moindre grain de beauté déplacé. Tu passes devant l'accueil où trône un gardien trop bien sapé. Il te salue d'un monsieur warworsth qui te file un frisson d'horreur. Toi, quand tu te marieras, t'auras pas le choix. Ton nom restera là. Et t'embarqueras dans le sillon de ton nom une âme splendide qui n'aura jamais cure de toutes les horreurs cachées dans les recoins des lettres de noblesse. Riches à la con. Scientifiques dangereux. Magistrate sans vergogne. Tout n'est que marbrure et zébrure de beau, de bon, de grand. L'immeuble. Le gardien. Les parfums qui se dégagent du moindre fauteuil d'attente. Mais toi, t'attends pas. Alors d'un pas affirmé tu appuies sur le bouton de l'ascenseur. T'attends. Pas longtemps. Assez pour que ce soit gênant. Et quand les portes s'ouvrent, t'y entres trop vite pour ne pas révéler ton malaise. Les mécanismes referment l'élévateur, grondent, puis te propulsent vers les sommets du lieu.

Quand les portes s'ouvrent à nouveau, ton regard s'égare sur le hall d'entrée de l'appartement que tu connais déjà, que t'as appris à préférer. Tu fais un pas, deux, et les odeurs de l'habitante viennent au galop t'accueillir. C'est à ce moment-là seulement que tu lâches prise, que tes poumons s'étreignent, que tu expires. Enfin. Apnée durant tout le trajet, t'étais à deux doigts de tourner violet. " Malo' ? "    
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MessageSujet: Re: ( mw ) comptons nos moutons funèbres.   ( mw ) comptons nos moutons funèbres. EmptyJeu 24 Juin - 18:28


comptons nos moutons funèbres
ft  Maäbh Warworsth

Thème | 21 Juin 2021

Tu avais fini par reposer le téléphone. Pour ne pas voir les heures passer, pour ne pas attendre, encore et encore, une réponse à l'un de tes messages. Maäbh arrivait et c'était tout ce qui comptait. Car Matteo ne te répondrait jamais, qu'importe le nombre de fois où tu le préviendrais du moindre de tes mouvements. Parce que tu esperais le voir. Parce que tu priais pour qu'un jour, il débarque, sortie de nul part, avec son éternel sourire en coin pour te prendre dans ses bras et t'assurer que tout était fini. Que ces mots n'étaient pas ce qu'ils voulaient dire. Qu'il allait bien et que, derrière lui, Maribel attendait.

Mais rien. Rien que du vent et des tourments.
Parce que la seconde était morte et que, pour ta famille, le premier l'était tout autant.

Ongles rongés jusqu'au sang sur ta main gauche. Tu auras surement, encore, droit à des réprimandes ce soir, pendant le repas de famille où ils te donneront les dernières indications pour demain. Mais tu t'en fiches. Wayne ne s'arrêtera certainement pas à l'état de tes mains. Tes compétences seules, pas la belle gueule que tu offres comme une promesse muette à tout le monde. Les supers agissent dans l'ombre et tu es bien placée pour le savoir.

Tu déglutis, serres un peu trop ta main et te jette sur ton téléphone quand il vibre. Pas un message, encore une notification Instagram. Depuis longtemps tu as bloqué les likes mais pas le reste. Pas l'espoir. Reels envoyés par une amie, que tu ne regarderas que dans quelque jours. Trop nerveuse pour te poser réellement.

C'est sa voix qui te fait revenir en vie. Nul besoin de bondir sur tes pieds quand tu ne t'étais pas assise. Tu traverses le salon, vite, trop vite. Et tu sautes dans les bras de ton frère, échappatoire à ce monde dont tu ne veux pas. L'odeur de Maäbh te rassure, tout de suite. Il sent le passé et le futur mais surtout ce moment rassurant où vous étiez tous ensemble. Où rien ne semblait pouvoir vous séparer.

A quel moment tout est parti à vau-l'eau ?
Est-ce l'hopital ou bien votre famille était-elle déjà détruite avant ?

Tu le serres un peu trop fort mais Maäbh a subit le même entrainement que toi. Résistance au monde qui vous entoure et que vos parents ont placé contre vous. Tu inspires, une ultime fois, avant d'enfin rompre l'étreinte. Comme toujours, elle t'a semblé trop courte.

Merci d'être venu aussi vite.

Il y a tellement de soulagement dans ta voix. Tellement de peine que tu ne laisses plus couler sur tes joues. Parce que les Warwortsh ne pleurent pas et ne pleureront jamais. Pas même pour les tiens. Pas même à l'adieu factice pour Maribel. Jamais.

Tu veux boire quelque chose ?


@"Maäbh Warworsth"
LORD OF THE LOST - The Broken Ones
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MessageSujet: Re: ( mw ) comptons nos moutons funèbres.   ( mw ) comptons nos moutons funèbres. EmptyVen 23 Juil - 19:36

mäabh
&
malory
Mes nuits blanches sont à peine claires.
- s o u n d t r a c k -
21 juin 2021 - 22:15

T'as passé ta vie en apnée, Mäabh. A grappiller les poches d'oxygènes dans le grand océan comme une petite luciole perdue dans les profondeur maritimes. Poumons gorgés d'une eau salée qu'à un goût de merde mal évacuée. Puis t'as les bronches qui se sont engorgées de tellement de sel qu'actuellement chaque inspiration te fait l'effet d'une érosion incontrôlée. Toi qui gardes tout dedans, toi qui refuse de laisser l'amertume liquide dégringoler le long des joues et des lèvres tant que tout le monde n'est pas en sécurité. Tant qu'il reste un danger tu flanches pas, hein. Mais du coup, tu te tiens trop droit. Roseau mal avisé qui claque à chaque tempête. Qui tremble à chaque coup de feu. Qui se tord au moindre tic tac. T'as passé ta vie à te dire que si t'inspires trop fort, on se rendra compte que t'as rien à faire là. Et que les seules personnes qui t'ont fait ressentir le contraire, on te les reprendra du jour au lendemain. Toutes. Sous les gravats puis dans des appartements trop grands comme celui dans lequel tu fais tâches. Comme une luciole perdue dans les profondeurs.

Tu l'appelles, la plus jeune, et déjà le bruit de ses talons claque sur le carrelage, le long des traversées de marbre et au creux des tentures d'importance. Dorures creuses qui encadrent les portes, les miroirs, les secrets. Pied droit, pied gauche, c'est quand elle traversait les pièces de la demeure familiale que tu parvenais déjà à la reconnaître. Puisque Malo' n'a jamais marché comme Mordred. Ou toi. Ou Mari'. Ou Matteo. Éclat de lumière sur les sons qu'elle faisait ricocher sur son passage. Traçant le chemin jusqu'à la destination qu'est toi ce soir. Sa silhouette apparaît et déjà tes côtes s'allègent, ton pouls se calme et ton visage se détend. Bras s'ouvrant tout grand comme les portes de votre chez vous, qui n'est que vous. Toi qu'es plus grand, tu l'accueilles, la recueilles, l'encercles de tes ailes goudronnées et tremblantes. Putain, elle t'avait déjà tant manqué. Alors tu reposes ton menton sur le haut de son crâne et fermes les yeux pour profiter de son corps qui bât et du tiens qui sait encore la ressentir. Tu sens la pression de ses bras autour de toi et ni elle, ni toi, n'avaient jamais su vous retenir de vous serrer trop fort, trop longtemps, trop brutalement. Y a des gosses qui grandissent en apprenant pas à être doux. Vous avez composés, maintenant tout se joue comme une mascarade mal accordée. Mais au moins il y a toi, il y a elle, et vous pouvez encore vous enlacer pour vous rappeler ce que c'est que d'avoir un foyer. Merci d'être venu aussi vite.

J'aurais aimé savoir me téléporter que tu réponds dans un murmure qui se confond en chuchotement. Parce que c'est faux, ta banale humanité c'est tout ce que t'as toujours eu, c'est tout ce que tu auras et c'est comme ça que tu crèveras. Un flingue à la main, coincé entre ceux que tu aimes, ceux que tu protèges et ceux qui comprennent pas que tout n'a jamais été blanc ou noir. Mais la vérité c'est que, oui, tu aurais aimé pouvoir arriver plus vite. Qu'en un claquement de doigt tu délaisses le studio en capharnaüm pour l'appartement prétentieux dans lequel Malory est si belle et rapiécé tout à la fois. Elle rompt l'étreinte mais tes paumes ne la quittent pas, se permettent un séjour le long de ses avant-bras pour ne pas ressentir trop vite le froid de ta solitude. Tu veux boire quelque chose ? T'inspires, et là, tu relâches la prise de tes doigts sur sa peau. Mouvement rapide de la tête, haut, bas. Oui. Sers nous un truc costaud. Je crois qu'on l'a bien mérité. petit sourire en coin qui se trace presque pour se moquer de vos deux vies déglinguées. Tu t'éloignes un peu pour prendre la direction du salon, laissant tomber ton blouson le long d'un accoudoir. L'assise est vite prise, accélérée par l'inquiétude qui retrouve le chemin de ta conscience après le bonheur des retrouvailles. Bon...c'est quoi ces conneries ?      
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MessageSujet: Re: ( mw ) comptons nos moutons funèbres.   ( mw ) comptons nos moutons funèbres. EmptyMer 28 Juil - 18:54


comptons nos moutons funèbres
ft  Maäbh Warworsth

Thème | 21 Juin 2021

L'odeur du frère. Enfin. Déjà. Pas assez tôt et pourtant si rapide. Tu t'es rongée les ongles à l'attendre. T'en a le coeur qu'explosait dans ta poitrine à espérer le voir franchir cette porte qui te sépare encore du monde. Parce que tu as peur, tant peur, trop peur. Parce que le Batman n'est pas juste un exercice. Juste un soupire et un sourire de plus adressé au monde. C'est un message et, quand on te demande de le rejoindre, tu as peur de tronquer ce message et de tuer le rêve que cet homme fait naitre en toi. Il vous soutient, tous les supers. Alors s'il n'était pas ce que tu veux trouver ? Alors s'il était autre chose ?

Ton souffle se bloque à nouveau pour que ta cage thoracique explose enfin quand tu entends son pas. Celui, unique, qui te faisait sourire petite. Parce que quand Mäabh rentrait, tu vivais enfin. Parce qu'il faisait taire Matteo et qu'il te plaçait au devant des autres. Parce que tu étais quelqu'un à ses yeux. Pas juste la fille de. Pas juste une énième identique.

Puis il y a son étreinte. Puis il y a ses bras autour de toi. Comme si c'était ta place, la seule que tu n'ai jamais trouvé. Dans ses bras, tu survies. Dans ses bras, tu revis. Tu fermes les yeux là, tout contre ton frère. Parce que Mäabh a toujours été ton frère. Parce que Mäabh n'a pas le même sang que toi mais à tout comme toi. Tout avec toi. Et tu inspires son odeur dont tu te gaves.

Et enfin, ton coeur reprend un rythme normal.
Et, enfin, tu peux réfléchir et catalyser ton esprit.


Tu t'arraches difficilement à l'odeur de ton frère. Elle flotte pourtant sur tes vêtements. Se glisse à ce débardeur qui aurait pu être porté par n'importe qui. Avec tes cheveux attachés en queue de cheval basse et tes vêtements, tu pourrais être tout le monde. N'est-ce pas ce que tu as toujours cherché ? Te fondre dans la masse pour ne pas être différente ? Pour ne pas être Malory Warworth mais juste Malo, une gamine comme une autre avec des rêves comme les autres. Ton sourire est pitoyable quand tu le rends à Mäabh. Parce que lui aussi à une gueule de déteré et que, comme d'habitude, vous parlerez plus de toi que de lui. Parce que malgré tout ce que tu veux croire, t'as toujours été faites pour être au centre du monde. Moins que Matteo. Plus que n'importe lequel de tes frères.

Tu acquiesces et attrape dans le mini bar une bouteille de cognac. Fort, près à vous arracher les entrailles. Mais qu'est-ce que ferait de plus tes parents s'ils apprenaient que vous vous arrachiez la tête ensemble ? Rien, rien de différent avec votre vérité déjà détruite.

Tu le rejoins avec vos verres et ta gueule de déchet. Sourire pourtant. Malory sourit pour les autres. Malory existe pour les autres. Tu t'écrases, vers lui, contre lui. Pieds repliés sous tes fesses avant de verser la liqueur. T'as jamais su te tenir quand t'étais dans l'intimité. Corps guindé pour ce que tu n'es plus.

Ils veulent profiter des annonces. Bryce Wayne qu'est Batman, ça peut permettre d'aller le voir pour placer leur fille. Matteo et moi avons jamais dévoilé qui ont est; Simplement pour qu'on puisse le faire au bon moment. Ils veulent que j'lui suce la gueule pour avoir une place dans une league. Juste sauver des gens, ça sert à rien après tout.

Ironie acide dans ta voix rauque. Tu bois une gorgée, trop longue et trop grande. Verre déjà à moitié vide quand tu te goinfres de ce que tu ne veux pas voir. Et si tu étais trop saoule pour y aller demain ?

Idée idiote. Tu sais qu'ils ne te laisseront pas le choix. T'as jamais été maitresse de ta vie. C'est pas maintenant, à deux doigts de la réussite qu'ils vont te laisser le devenir.

Sauf que je sais rien de ce mec; La dernière fois que je l'ai vu je devais avoir onze ans. J'sais pas ce qu'il veut, ce qu'il cherche. Puis qui dit que c'est vraiment un bon gars ? Qui dit qu'il profite pas du moindre pouvoir pour s'offrir des trucs dans le privé ? Sauf que... encore une fois, j'ai pas le choix. J'dois y aller. J'dois le convaincre. Et j'dois montrer à quel point on est quelqu'un quand on porte notre nom de famille.

@Mäabh Warworsth
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