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 No, I won't be afraid (Iris)

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MessageSujet: No, I won't be afraid (Iris)    No, I won't be afraid (Iris)  EmptyJeu 9 Nov - 15:10

« No, I won't be afraid »

Retour à la bonne ville que tu connais, Central City. Son béton ressemble à tout les autres, ses immeubles aussi, mais ici pour toi il y avait un lit et une pause syndicale. Tu avais pris une bonne pause de deux jours après tout ce tintamarre. Ton épuisement mental et physique rend la corde de ta capacité arrivé par erreur assez sensible. Tu penses que c’est parce que tu as la tête vide comme une noix. Tu joues presque avec, mais tu fais bien attention à ne pas balancer des champs de force en publique. Tu ne voudrais pas blesser quelqu’un. Tu te lèves avec cette pensée le matin. Mais ce matin là, tu ne savais pas qu’elle allait si vite s’évaporer. Ce matin là, tu te prépares comme à ton habitude, un chignon serré sur la tête, la blouse banche dans un sac à dos et quelques gants et masque dans la poche avant.

Tu descends les escaliers de l’immeuble et tu trace ton chemin vers l’hôpital. Incapable d’être ce genre de personne qui fonce droit devant sans regarder partout autour, symptôme d’une légère paranoïa. C’est totalement dû à tes années sur le terrain trop rude de la guerre. C’est au détour d’une ruelle moins visitée que la rue principale, que ton regard est attiré. Tu ralenties, observant ce qu’il se passe. Un pli se forme entre tes sourcils, ce n’est rien de bon. Une jeune femme est là, face à des hommes ressemblants fortement à ceux que tu as déjà vu dans les journaux. T’en a déjà entendu parlé, mais t’en avais jamais vu, les hommes du capitaine cold. Il y en a un qui lui tiens le bras, fort si tu en crois les plis du t-shirt. La suite te semble presque logique, elle risque sa peau avec des gens aussi dangereux. C’est violent ce qu’il pourrait se passer sous tes yeux et personne d’autre ne le verrais. Si tu appelles la police tu crains qu’ils n’arrivent pas à temps, si tu cris à l’aide, ils vont réagir plus vite que les autres. C’est sans doute pourquoi elle ne court pas. T’as les neurones qui vont à cent à l’heure. Tu peux pas y aller, tu vas être remarquée, mais qu’est-ce qui est plus important au fond ? Un « et puis merde » sort de ta bouche, tu fais un pas, puis finalement tu recules. Tu prends un masque d’opération dans ton sac et tu l’enfiles rapidement à l’abri des regards. T’as l’air stupide, mais c’est vraiment quelque chose qui te ronge l’idée d’être vue. Ton sac sur le dos, tu cours vers les ennuis. Tu arrives comme une fleur à coté de la brune, face aux trois gorilles. Tu poses ta main sur celle qui tiens le bras de la femme. « Excusez moi, voulez vous bien la lâcher cette dame, s’il vous plaît ? » tu viens de penser que t’as oublié d’appeler la police avant d’aller te mêler de ce qui n’était clairement pas tes affaires.
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MessageSujet: Re: No, I won't be afraid (Iris)    No, I won't be afraid (Iris)  EmptyDim 12 Nov - 23:38

calypso & iris

i got the squad tatted on me from my neck to my ankles. pressure from the man got us all in rebellion. we are going to go to war without failure. do it for the fam dog, ten toes down dog. love and the loyalty that's what we stand for.

« Je pense que vous savez exactement ce que nous voulons. » lança l'homme, empoignant violemment le bras de la journaliste. Le second pointait son arme sur la jeune femme, au cas où cette dernière ne tentait un pas de côté, mais tout ceci faisait partie du plan d'Iris, qui n'avait guère eu d'autres choix que de se jeter dans la gueule du loup pour obtenir ce qu'elle souhaitait. « L'avez vous emmené ? » demanda-t-il, sa voix se faisant plus menaçante, sans doutes dans l'espoir de l'intimider. Il serait faux de croire qu'Iris n'a pas peur, mais son arrogance, c'est sans doutes ce qui la sauvera de cette situation, si ce n'est pas le bolide écarlate. Avec un peu de chance, ils accepteront de marchander sans qu'aucun mal ne soit fait, mais elle éprouvait encore quelques difficultés à trouver une once de bon sens dans l'esprit de ces criminels. Mais après tout, le bon sens n'est pas non plus le fort d'Iris. « Il était convenu que je lui remette en main propre, et non par l'un de ses sbires. » souffla-t-elle, confiante. L'homme ne sembla pas être de cet avis, puisqu'il enserra davantage sa prise, tandis que l'autre, regardait de droite à gauche, comme effrayé par ce qui pourrait potentiellement venir avorter leurs affaires. « Je crois pas que tu comprend la situation, petite — remarque que la demoiselle n'apprécia pas sur le moment —, t'es pas en position de demander quoi que ce soit, ni de nous rouler, tu piges ? Alors soit tu coopères gentiment, soit il faudra qu'on use d'autres moyens. Et ça peut très mal se finir... » lâcha-t-il finalement dans un rire malsain, presque similaire à ceux des fous du joker, une référence, sans aucun doute, pour tout criminel qui se respecte. « Le chef veut pas qu'elle crève. » beugla l'autre, arrêtant un instant de regarder frénétiquement de droite à gauche pour porter son regard sur la journaliste. Son assaillant soupira longuement avant de regarder son équipier avec mépris. « Il nous a pas interdit de nous amuser, non ? Personne ne saura ce qui s'est passé dans cette ru... - » L'homme fut interrompu par une voix et une main posée sur son bras ; trop occupé à décider du repas, il n'avait pas fait attention à la silhouette qui se dessinait au bout de la ruelle et qui s'approchait dangereusement. C'était une femme, le visage couvert par un masque d'hôpital. « C'est qui elle ? On a pas demandé un chirurgien. Il tourne le visage vers son acolyte. Je peux la butter celle... - » Il n'eut encore qu'à peine le temps de finir que ses traits de déchirèrent par la douleur, lorsque la journaliste assena un coup de genou dans les parties génitales de l'homme. Bien que le second réagi aussitôt, la journaliste utilisa le corps du premier assaillant comme bouclier au premier coup de feu tiré, qui tituba avant de s'effondrer sur le plus petit. « Il est temps qu'on s'en aille ! » s'exclama-t-elle, attrapant la main de l'inconnue avant de s'enfuir de la ruelle avec elle. Deux rues plus bas, elles eu l'opportunité de se fondre entre quelques passants. « Ils ne vont certainement pas abandonner aussi rapidement. Il faut trouver un endroit où ils ne pourront pas nous repérer. » Et quoi de mieux qu'un café ? Elle emmena la femme avec elle sans réellement lui demander son avis. En dépit de son masque, sa tenue était facilement reconnaissable pour qu'un des hommes du Captain Cold ne la reconnaisse d'après sa description ; en somme, il était sans doutes plus prudent pour elle de suivre la West. « Deux cafés, noir, sucré. Merci. » demanda-t-elle au sauveur, laissant ses pupilles vagabonder dans les recoins du café, à la recherche d'une table reculée. Elle reposa ensuite ses yeux sur la femme, les sourcils relevés. « Vous devriez... Vous devriez retirer le masque. Vous attirez l'attention sur nous. » Elle attrapa en même temps les deux tasse et se dirigea vers une table à l'arrière du café. Iris attendit que la demoiselle la rejoigne pour détacher ses cheveux, retirer son manteau, ainsi que de furtivement retirer son rouge à lèvres à l'aide d'un coton et d'un miroir de poche. Une fois cela fait, elle tendit la main vers la jeune femme. « Iris West, photojournaliste pour le Central City Picture News. Un sourire étira ses lippes. Un sourire qui se faisait rassurant. Je suis désolée que vous vous retrouviez dans cette situation, je suppose que c'est pas exactement de cette manière que vous prévoyiez les choses... Vous êtes suicidaire ? Oh, vous êtes une super-héroine peut-être ? Comme... Un chirurgien masqué, ou je ne sais quoi. Une super-héroïne débutante, si j'en crois vos méthodes. » Déformation professionnelle, la journaliste ne put s'empêcher de l'harceler de question.



Dernière édition par Iris West le Ven 29 Déc - 21:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: No, I won't be afraid (Iris)    No, I won't be afraid (Iris)  EmptySam 25 Nov - 13:00

« No, I won't be afraid »

Le courage dans le cœur et la peur dans les yeux, tu caches ton visage pour la simple raison que tu ne veux pas d’ennuis. Tu as assez à faire avec ce monde qui s’effrite à l’hôpital, si en plus les Rogue te suivent ça va être miséreux. Poussé par cette force invisible, tu interviens. Tu n’auras pas servi à grand-chose, la politesse n’étant pas de mise. Tu l’as bien compris dans le regard noir de l’homme. Il ne semblait plus humain pour toi. Tu n’avais même pas vu venir la menace de mort, naïve comme tu es. Mais il n’a pas eu le temps de la finir, et ce sont les yeux ronds comme des billes que tu regardes la femme qui te paraissait tellement impuissante quelques secondes plus tôt. Un coup bien placé tu grimace presque pour lui, il a les traits froissés, tu te demandes quelle force elle y a mit. Tout dépend mais il pourrait avoir besoin d’aller à l’hôpital si c’était une force exagérée. L’action devant toi te semblait trop fantaisiste pour être réelle, et si on ne voyait pas ta bouche caché par le masque de médecin, elle est bien entrouverte attendant une possible mouche pour la gober. « qu’est-ce que... » un coup de feu retenti et te donne un flash, tes muscles se bandent, tu es de retour sur le champ de bataille. Mais la main tiré par la jeune femme, tu suis au pas de course ne souhaitant pas t’éterniser non plus dans ce coin là. Un peu plus loin, le souffle raccourci par le sprint vous vous retrouvez camouflées par quelques autres citoyens de Central City. « Ils ne vont certainement pas abandonner aussi rapidement. Il faut trouver un endroit où ils ne pourront pas nous repérer. » tu acquiesces et sans hésitation tu lui emboîtes le pas. Elle avait l’air de savoir ce qu’elle fait et ça avait un coté rassurant. Bien qu’elle se soit retrouvée dans des emmerdes plus grosse qu’elle à ton avis. Le Capitaine Cold n’était pas connu pour sa tendresse et ses hommes non plus.

L’entrée au café te surpris. Quelques regards étaient posés sur toi, tu avais l’air d’une bête. C’est la jeune femme qui te fait remarquer que tu as toujours ton masque sur le nez. Tu l’enlèves en vitesse, et le froisse pour le remettre dans ta poche. Tu le jetteras plus tard, voir tu le brûleras, tout pour ne pas laisser de traces. Tu vas t’asseoir à la table, ravie d’avoir un café. Accro à cette liqueur de force, tu l’aimes juste comme elle l’a énoncé. Tu enlèves aussi ton chignon serré de médecin, tu le referas à l’hôpital, mais le mieux pour l’instant c’est de te cacher derrière tes cheveux. « Iris West, photojournaliste pour le Central City Picture News. » tu souris, tu lis bien ce journal et tu crois avoir lu une ou deux fois le nom de la journaliste sur un bas de page comme signature. Elle ne te laisse pas le temps de te présenter, elle avait un air pour rassurer. Elle te bombarde directement, mais ça ne provoque chez toi qu’un sourire amusée. Il avait vrai que tu te trouvais ridicule aussi. « Calypso Goodwin, Médecin urgentiste au Central City Hospital. Commences-tu, avec le même sourire qu’Iris avait en parure. Je ne suis ni une suicidaire, ni une super-héroïne, mais une utopiste. Du moins si on veut. Le masque c’était parce que je n’avais rien d’autre pour ne pas être reconnue. » pourquoi ne voulais-tu pas être reconnue ? Tu allais bêtement lui dire, de toute façon si ils vous retrouvent autant que tu serves à quelque chose. « Voyez-vous, je fais des champs de force qui ont une force répulsive et l’idée qu’on me traite comme un monstre à cause de ça me déplaît. Mais ça aurait pu être très utile pour ne pas faire de blessés plutôt. » un bribe de rire s’échappe d’entre tes lèvres, timide de vouloir le bien de tous. Même des gens qui n’ont pas pris le bon chemin. Tu as l’idée ferme qu’un demi-tour est toujours possible et qu’il y a du bon dans chaque homme. « Simple curiosité, comment vous-êtes vous retrouvé dans cette situation ? » tu pensais avoir le droit de savoir dans quoi tu t’étais bêtement embarquée.
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MessageSujet: Re: No, I won't be afraid (Iris)    No, I won't be afraid (Iris)  EmptyMer 6 Déc - 14:25

calypso & iris

i got the squad tatted on me from my neck to my ankles. pressure from the man got us all in rebellion. we are going to go to war without failure. do it for the fam dog, ten toes down dog. love and the loyalty that's what we stand for.

Le café brula ses lèvres. Une amertume habituelle qui parcourra sa gorge et descendit dans son estomac. Cela fait bien des années que la caféine n'a plus d'effet sur elle, pourtant il n'y avait pas un jour sans que la journaliste s'abreuve d'une ou plusieurs tasses de café. Toutes les excuses étaient bonne à prendre pour passer dans le café du coin et prendre une tasse à emporter, et davantage maintenant qu'un Starbuck avait ouvert à quelques pas du Central City Picture News, faisant le bonheur de la demoiselle. Il était d'ailleurs toujours plus agréable d'être accompagnée ; la seule personne qui partageait cette passion était Lois Lane, son amie de toujours, et compagne de missions dangereuses. Parfois, elle se laisse à croire que le Daily Planet lui manque, mais Superman aurait sans doutes deux fois plus de raisons de se ronger les ongles. Qu'y avait-il de pire que Lois Lane ? Lois Lane et Iris West.

Ou Iris West et Calypso Goodwin. Une photojournaliste et une médecin urgentiste. Un duo qui n'aurait pas fait l'unanimité, si l'on avait pas affaire à l'une des plus intrépide journaliste du pays et à une méta-humaine utopiste. « Et... Vous contrôlez vos champs de force ? » demanda-t-elle, curieuse. Avoir des dons pouvait toujours s'avérer utile, mais encore fallait-il savoir les contrôler. Iris prit une gorgée de son café, écoutant attentivement la jeune femme débattre sur ses pouvoirs. « Comment vous êtes-vous retrouvée avec ces pouvoirs ? L'explosion de STAR Labs ? » La journaliste avait déjà interviewé quelques méta-humains volontaires lors des violentes répression contre ces derniers, néanmoins certains restaient encore un mystère à ce jour ; pour quelques uns, l'explosion ne fut qu'un déclic, plus que la source de leurs pouvoirs. « Vous n'êtes pas un monstre, lança-t-elle d'une voix rassurante, presque indignée. Vous êtes magnifique. » Cela échappait parfois à la journaliste que l'on puisse autant haïr les méta-humains. Certains usaient, certes, de leurs pouvoirs pour faire le mal. Néanmoins ils ne l'ont pas inventé. Le mal est là, depuis des dizaines d'années, si ce n'est des milliers, parmi les hommes les plus anodins. « Les vrais monstres n'ont pas besoin de pouvoirs pour faire régner la terreur. Lex Luthor ? Le Joker ? Elliot Caldwell ? Je pourrais en citer d'autres. » lâcha-t-elle dans un long soupire ; à noter que la majorité d'entre eux se terre à Gotham City, sans grande surprise. Si elle regrettait parfois le Daily Planet, ce n'était pas le cas de la Gotham Gazette, bien que certaines affaires restées irrésolues tracassaient la journaliste. Mais ses pensées fut rapidement balayées par la voix de la jeune femme, qui l'interrogea. « C'est une longue histoire... commença la journaliste, l'air légèrement plus grave. J'ai quelque chose qui serait utile à Captain Cold, mais il s'acharne encore à m'envoyer ces sbires. Elle s'enferma un instant dans ses propres pensées, mais exclama sa réflexion de vive voix. Après tout ça, il pourrait au moins prendre la peine de me voir en personne. Ne pourrait-il pas faire le premier pas, pour une fois ? Pourquoi les hommes sont aussi compliqués et lents à la détente ? » demanda-t-elle, oubliant presque que deux hommes l'avaient menacé quelques minutes auparavant. Elle repose son regard sur la médecin et hausse les sourcils. « Désolée. On disait ? » demanda-t-elle dans un sourire, moins enthousiaste que les précédents. La West se compliquait certainement la vie à tenter de raisonner Snart, néanmoins elle se surprenait à sombrer un peu plus chaque jour dans le jeu ; s'il est encore question d'un jeu. A ce jour, elle n'est sûre de rien.



Dernière édition par Iris West le Ven 29 Déc - 21:10, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: No, I won't be afraid (Iris)    No, I won't be afraid (Iris)  EmptyJeu 14 Déc - 16:30

« No, I won't be afraid »

Les doigts se baladant dans tes cheveux emmêlé par le chignon qui ornait plus tôt ta tête, tu écoute attentivement la journaliste. Tu connaissais ce café, tu avais l’habitude d’y venir quand tu avais le temps. Il y a eu des travaux de fait. Tu avais l’habitude de faire tout un tas de choses avant d’être submergé par ton travail, tu te demandes si c’est vraiment légal d’atteindre un tel seuil d’épuisement. Tu pense poser des vacances, oui c’est ça, et tu iras voir le directeur de l’hôpital pour lui dire de te laisser tranquille. Tu penses à tout ça, mais au final tu es bloqué dans ce café avec cette inconnue qui t’a pourtant l’air bien sympathique. Ta main laisse tranquille les pointes légèrement ondulé de tes cheveux, pour aller prendre le café et le porter à tes lèvres. Rien n’était mieux que la caféine. L’odeur même avait l’effet escompté par la plupart des gens. Ce breuvage te tenait éveiller du matin au soir, au rythme de un par heure.

Question fatidique, est-ce que tu les contrôles ? Tu aimerais le croire. « Pas vraiment, mais je sais un peu comment ils marchent » des fois ils se créent quand tu le veux, des fois pas. « Ils sont capricieux, ils marchent surtout par reflex » ils sont un mystère pour toi, surtout que tu n’as assumé que depuis peu cette capacité qui t’es tombée dessus. Quand elle mentionne STAR Labs, tu hoches la tête simplement. Peu bavarde sur leur obtention, puisque tu penses qu’il devrait y avoir un rapport a ton ex. Mais elle te fait rougir avec ses compliments Iris, elle est gentille à première vue. Il n’y a pas une once de soupçon qui empoisonne la vision que tu te fais d’elle. Elle a le sourire chaleureux et la voix de miel. « Vous êtes quelqu’un de bien » réponse quasi direct, tu connais peu de gens qui diraient ça sur des méta-humains. C’est la suite qui te fais tiquer. Tu sais qu’il vend des armes et que ce n’est pas ton idéal, mais que vient faire Elliot Caldwell dans le même panier que le joker ou Lex Luthor ? Tu n’as pourtant pas l’intention de demander, pour te protéger sans doute. Choisir de croire que ce n’est que pour son rôle crucial en tant que vendeur et fabricant d’armes. Tu ne vois pas ce qu’il pourrait y avoir d’autre, mais tu gardes ces mots dans un coin de ta tête. Une intuition te pousse à le garder quelque part, espérant sans doute l’enfouir à tout jamais. Tu lui poses plutôt une question par rapport à elle. Qu’est-ce que la journaliste Iris West faisait avec des gens aussi dangereux dans une rue peu fréquenté de Central City ? Les oreilles grandes ouvertes, tu attends un récits dans le détails, mais rapide à la façon qu’elle a de décliner les mots. Tu portes encore une fois le café moins brûlant à tes lippes, le chaud descend dans ta gorge pour embaumer ton cœur qui a froid de peur, ça calmera sans doute la chute d’adrénaline qui se passe dans ton corps. Tu te demandais comment elle pouvait connaître le célèbre captain cold en personne. Mais elle est journaliste et il y a bien des secrets qu’ils gardent et d’aventures qu’ils vivent dans ce métier. Elle t’arrache un rire avec une tonalité sarcastique. Mais elle te tire avant même que tu plonges dans des pensées trop lointaines sur les hommes et leur éternelle lenteur. « On parlait du Captain Cold je crois, peut-être qu’il est si lent parce qu’il est si froid. » dis tu sans empathie pour lui. Tu ne le connais pas et tu ne veux pas le connaître, bien qu’il ne soit pas le principal danger dans vos vies actuelles. C’est du coin de l’œil que tu l’aperçois le danger. Il furète dans la rue et tu ne le vois qu’à travers une vitre. Tu reconnais là l’homme qui menaçait plus tôt Iris. Tu caches ton visage derrière tes cheveux et l’air mi-amusé, mi-terrifié tu t’adresses à la journaliste « ils ont l’air tenace vos admirateurs. Tu as l’esprit cependant ailleurs une seconde, peut-être qu’on pourrait se tutoyer ? » le rapport était très loin, mais tu préfères les familiarité aux révérences et politesse.
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MessageSujet: Re: No, I won't be afraid (Iris)    No, I won't be afraid (Iris)  EmptyVen 29 Déc - 21:08

calypso & iris

i got the squad tatted on me from my neck to my ankles. pressure from the man got us all in rebellion. we are going to go to war without failure. do it for the fam dog, ten toes down dog. love and the loyalty that's what we stand for.

Ses pupilles parcourent frénétiquement les entrées et sorties, tandis que son attention se divise pour ne manquer aucun fragment de conversation. A l'extérieur, les silhouettes se confondent, se bousculent, contrastent avec le calme presque surnaturel du café. Son regard s'échoue de nouveau sur la demoiselle, sur ses boucles chocolats et ses iris ambrées. Les langues se délient sans difficulté, aux prémices d'une amitié improbable entre une chirurgienne et une journaliste. Il y a même des secrets qui se cachent entre les lignes, des remarques qui attisent la curiosité, des aveux maladroits et insolites. Elle se confie librement sur ses dons ; aucun risque que son interlocutrice ne pose de jugement sur cette distinction. Les méta-humains sont des êtres humains comme les autres, selon elle, et devraient être traités comme tels, et non comme des monstres. Mais l'homme cherche naturellement à maîtriser ce qui l'effraie, plutôt que d'apprendre à vivre avec, mais dire que cela améliorerait la condition humaine serait sans doutes trop utopiste. Ses articles ne sont ni positifs, ni négatifs ; ils sont objectifs. Iris cherche à raconter la vérité avant tout autre chose, et ce depuis qu'elle gamine, obsédée par ses doutes quant à son origine et sa curiosité maladive – deux choses qu'elle ne parvient pas à réparer, parmi une longue listes de choses qu'elle n'a jamais su gérer. De ce fait, elle tiqua à la remarque de son interlocutrice ; son visage s'assombrit un instant et un sourire forcé étira ses lèvres, tandis que son regard dévia de sa trajectoire. « C'est pas exactement le terme que j'emploierai, souffla-t-elle avant de reposer ses yeux sur la jeune femme, mais j'ai l'espoir que les relations avec les méta-humains s'arrangeront et que l'on pourra vivre ensemble sans qu'aucune distinction de soit faite. Elle hausse les épaules et pencha la tête sur le côté. Ce qui n'arrivera probablement jamais, si vous voulez mon avis, mais je ne perd rien à espérer. » murmura-t-elle avant de porter la tasse à ses lèvres et d'avaler une gorgée de sa sacro-sainte caféine. Il y a des choses pour lesquelles elle s'est battu et pour lesquelles elle continuera de lutter, et quelques regrets, plus durs encore à dominer. Son frère n'est qu'un nom parmi des dizaines d'autres ; des liens déchiré, des décisions maladroites. Plus récemment, les traits du Captain Cold s'esquissent dans les reflets de ses liens battis sur des fondations bancales. Il n'y a qu'avec Barry, que la demoiselle a le sentiment d'avancer, d'espérer que les choses ne changent jamais – malheureusement, ses espoirs sont vains, cependant, elle ne le sait pas encore. « Oh... Il n'est pas aussi froid que ce que tout le monde pense, commença-t-elle, un sourire étirant un coin de ses lèvres. C'est ce qu'il montre, et n'importe qui y croirait, aux premiers abords, mais en réalité, il n'a rien des monstres que j'ai cité précédemment. » Ou peut-être ne voyait-elle que ce qu'elle souhaitait voir. Pourtant il avait prouvé maintes fois qu'il ne partageait en rien les idéaux d'hommes tels que Lex Luthor, Ra's al Ghul ou le Joker. « Mais peut-être que je me fais des idées, murmura-t-elle, son visage s'adoucissant lentement en un soupire. Peut-être que je peux pas sauver Leonard, ni Daniel, ni personne. » Iris fit rouler la tasse entre ses paumes, avant d'inspirer lourdement et sourire à la jeune femme. La photojournaliste ne savait pas réellement pourquoi elle racontait toutes ces choses à quelqu'un qui lui était encore inconnu quelques minutes auparavant ; cela s'expliquait certainement par le fait qu'elle ne connaissait personne à qui elle pouvait exposer ses doutes et ses peurs, et que cela lui sembla si facile de se reposer sur l'épaule d'une étrangère. Cette dernière rassura d'ailleurs davantage la West lorsqu'elle lui proposa de la tutoyer. Un sourire sincère étira les lèvres de la demoiselle, qui troqua volontiers le vous pour un tu. Quelque chose dans son regard, néanmoins, alerta Iris, qui jeta un rapide coup d'œil à l'extérieur du café. Elle distingua rapidement deux silhouettes familières dissimulées dans la foule. Leurs assaillants semblaient encore être à leur poursuite, et il ne faudra que peu de temps avant qu'ils ne découvrent que les deux jeunes femmes se trouvaient sous leur nez. « Tu sais quoi, qu'elle demande, avant de se lever brusquement de sa chaise, je pense qu'on devrait leur faire passer l'envie de nous pourchasser. » Une étincelle de malice brilla dans ses pupilles, et un sourire outrageusement amusé égaya ses traits. Iris ne lui laissa qu'à peine le temps de dire quoi que ce soit, et enfila aussitôt sa veste sur ses épaules. Sans doutes accordait-elle bien trop de confiance envers les dons de sa nouvelle amie, mais l'inconscience a toujours été un trait particulier à la photojournaliste – qui ne comptait d'autant plus pas rester des heures dans ce café à se cacher. « Remets ton masque, surgeon girl, on va leur botter les fesses. » Ou du moins, elles peuvent essayer.

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MessageSujet: Re: No, I won't be afraid (Iris)    No, I won't be afraid (Iris)  EmptyVen 5 Jan - 15:27

« No, I won't be afraid »

Clairement, ce n’était pas souvent qu’on te tenait ce genre de discours sur les méta-humains. Ça te faisait du bien, au final le dire à une inconnue sur un coup de tête. Journaliste et médecin, deux addicts à la caféine, qui se retrouvent sur des points trop peu commun. Tu l’aimais déjà cette Iris, et tu ne savais pas ce qui lui donnait cet aura apaisant. Elle avait l’air d’être comme toi, l’espoir qui vous travaille le cœur. D’ailleurs tu la suis et tu portes à tes lèvres la tasse du breuvage quasiment noir. De quoi réveiller un cheval. Tu l’écoutes parler de monstres, mais tu n’es pas d’accord, parce qu’Elliot est dans le tas et tu ne comprends pas. « Je ne suis pas sûre qu’Elliot Caldwell soit si monstrueux » tu gardes le fait que tu le connais pour toi. Elle est journaliste, elle connaît peut-être des secrets ou croit les connaître. Tu as du mal à le voir mauvais. Certes, la guerre est un buisness, mais tu ne le penses pas plus monstrueux que ce fameux Captain Cold. Mais la réplique qui suit te rend bien triste pour cette personne plus si inconnu. Tu t’approches comme tu peux, puisque vous êtes face à face, mais tu veux en quelque sorte lui montrer qu’elle n’est pas toute seule. « En tant que médecin je peux te dire qu’on ne peut pas sauver tout le monde, mais on peut aider tout le monde. Tu as un sourire tout doux, fabriqué rien que pour ceux qui le méritent. c’est déjà beaucoup, d’aider, et souvent ça suffit. » souvent, mais pas tout le temps.

L’ambiance qui se forme autour de vous, t’avais presque fait oublier qu’au début vous vouliez vous cacher. C’est quand tu les as vu que ça t’es revenu à l’esprit. Cherchant partout, de l’autre coté de la vitre qui au reflet du soleil devait vous cacher. Tu n’as pas vraiment peur, pas dans un café trop exposé pour qu’ils puissent agir sans limites. Iris non plus n’a visiblement pas peur, elle a peut-être même un peu trop confiance. T’as la bouche entrouverte façon piège à mouche. Tu la regarde mettre sa veste, et tu n’oses pas trop bouger. Tu sens qu’elle va t’entraîner dans les ennuis. Pourtant tu ne luttes pas vraiment. Est-ce que tu ne veux pas te prouver quelque chose ? Alors tu sors un nouveau masque de chirurgien qui traîne dans ton sac. Tu n’en as jamais assez, mais pour faire plus joli tu sors un marqueur et tu dessines en trois traits un sourire. Tu le faisais des fois pour les enfants à l’hôpital. Tu l’enfiles et tu regardes Iris l’air amusé, « on y va ? ». Et tu traces vers la rue avec elle, pour rattraper vos poursuivants. La belle équipe. Tu espérais ne pas te dégonfler au dernier moment, de toute façon il ne pouvait pas te faire grand-chose. Tu vois leurs têtes un peu plus loin dans la rue, tu regarde Iris avant qu’ils ne vous reconnaissent. « Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? »
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