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 La voix sincère, le regard séduit [Barbara Ann Minerva] [+18]

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MessageSujet: La voix sincère, le regard séduit [Barbara Ann Minerva] [+18]   La voix sincère, le regard séduit [Barbara Ann Minerva] [+18] EmptyJeu 30 Nov - 23:46

Le voix sincère, le regard séduit
Nos corps se sont perdus et des râles se sont échangés dans mon minuscule appartement de l'East End. Les lèvres se sont confondues entre elles et des sourires sont nés. Les regards se sont croisés et les mains sont allées et sont venus sur et au-delà de nos Êtres ravis. Nous avons fait danser nos corps sur une musique si belle, que nous nous sommes échangés en murmures passionnés des soupirs extatiques. Et le chant de tes courbes ère encore dans mon esprit ému et la mémoire de tes pas se plaît toujours à hanter mes pensées confuses.
J'affiche un sourire ravi.

Les minutes sont passées et nos corps se sont alors quittés : je suis maintenant sous la douche et l'eau fait disparaître les effluves de notre amour passionné et soudain. J'ai dans la tête ton regard et ton sourire. Je ne suis pas amoureuse, loin de là, je ne te considère d'ailleurs guère plus que comme un simple rendez-vous volage et sauvage. Tu n'es là que pour occuper mes pensées à l'instar de moi, occupant tes songes à quelques mètres de là, dans ma chambre, couchée sur mon lit.

Mais malgré tout, tu es ce qui me manquait dans cette terrible semaine désenchantée. Alors je sors de la douche, je veille à me sécher et à enfiler des sous-vêtements noirs et te dit, sous l'effet de notre moment de tendresse.


- J'en avais vraiment besoin. Merci.

Je sais très bien que je n'avais pas à te remercier mais ça faisait cinq jours, je crois, que mon crane désirait rompre avec cette mélodie cacophonique que jouait mes maux sans discontinuer. Je dis bien je crois car j'ai l'amer sentiment que l'aigre musique était jouée depuis bien plus de temps encore, tant elle en était devenue insupportable.
Je m'assoies sur le lit, dos à toi.

J'ai arrêté de me droguer depuis quelques jours et j'ai recommencé à me haïr il y a à peu près autant de temps et il n'y a qu'entre des bras comme les tiens que j'arrive à oublier mes problèmes – ne serait-ce qu'un temps. Je suis ce musicien qui n'est bien que lorsqu'il joue. Qui ne tient que lorsqu'il crée. Sauf que le musicien crée le beau et moi je ne fais que jouer avec – en le sublimant, parfois.


- T'as aimé ?

Mon corps reste dos à toi mais je fais l'effort de pivoter mon visage vers la droite. Mes yeux ne peuvent, alors, rencontrer les tiens mais tu sais que je ne m'adresse qu'à toi. J'affiche ce sourire ravie qui prime sur mon visage depuis de longues minutes avec, désormais, une pointe d'arrogance. Bien sûr que tu as aimé, ce n'était pas notre première fois et tu es venue jusqu'à chez-moi dans cet unique but alors que je t'avais fait l'affront de t'inviter à une heure où, d'ordinaire, les étoiles et la lune dansent ensemble au-dessus de Gotham.

- Tu es belle, Cheetah.

Je me suis levée pour attraper une pomme que j'avais posé sur l'armoire de ma chambre peu avant d'aller prendre ma douche afin de ne pas mourir de faim après notre morceau. J'en ai d'ailleurs croquée un. Puis je t'ai dit ça, la voix sincère et le regard séduit, une fois que je l'eus avalée. J'ai évidemment le regard posé sur toi, à quelques mètres du tien, et je profite des quelques dernières secondes où je peux me balader à demi-nue face à toi sans craindre de mourir de froid.
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Dernière édition par Holly Robinson le Lun 4 Déc - 19:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: La voix sincère, le regard séduit [Barbara Ann Minerva] [+18]   La voix sincère, le regard séduit [Barbara Ann Minerva] [+18] EmptyLun 4 Déc - 15:09


Un magnifique petit chaton
Holly Robinson

Voici l'une des raisons pour que Cheetah vienne à Gotham, Holly Robinson et ce moment intime avec elle. Ce n'était pas habituel pour la féline de se lancer dans ce genre de débat surtout à cause de son physique et ses instincts bestiaux. De plus, elle n'avait plus eu ce genre de contact intime avec qui ce soit depuis sa transformation en Cheetah et là, on pouvait dire qu'Holly était spéciale pour lui avoir redonné goût à cela. Barbara n'était pas quelqu'un qui avait confiance en son corps depuis longtemps en matière de séduction, mais uniquement en tant que prédatrice, féline. Cette gamine était spéciale et aucunement, Barb n'avait envie de la tuer même si parfois ses bêtises la démangeaient de le faire. Or, il était peu commun pour la criminelle de savoir garder son sang-froid et la tête sur les épaules avec des humains ou surtout de simples subalternes. Ceci dit, Holly avait su se différencier de cela de par son caractère, sa séduction et sa côté téméraire. Actuellement, les deux femmes avaient terminé leur moment de désir charnel dont elles prenaient un réel plaisir à le faire lorsqu'elles pouvaient se voir. À vrai dire, Holly est l'unique privilégiée de ce moment où Cheetah offre son corps pour une autre. Les caresses, les baisers, cette chaleur, cette sensation et encore tant de chose dont Barbara n'avait plus ressenti, elle se sentait humaine grâce à cela. L'unique moment, faire l'amour, pouvait lui permettre de se sentir faible et désirer.  

Il fallait également savoir que Barbara reprenait rarement son apparence humaine, seulement en cas de besoin et parfois avec Holly lors de leur ébat sexuelle. Barbara connaissait la petite chatte de Gotham depuis un mois et ce n'était pas la première fois que leurs corps dansaient sur ce lit, une danse nuptiale si intense et beau à la fois. Que dire de plus qu'Holly lui offrait des moments où elle pouvait se sentir humaine et désirée à la fois. Allongé sur le lit, nue, le corps sous le drap et son dos adossé contre le coussin où elle utilisait pour dormir. Pendant ce temps, Holly semblait prendre une douche, la féline avait envie de le rejoindre et reprendre là où elles s'étaient arrêté. Cependant, il ne fallait pas abuser et ne pas lui montrer des signes de faiblesse en dehors de ces moments intimes. Pendant que la gothamites prenait sa douche, Cheetah semblait méditer et pensait au fait se prendre du plaisir pendant que le monde sombrait à cause du Syndicat du Crime. Ceci dit, si ce monde devait tomber alors autant en profiter un peu. Ses pensées étaient étrangement tourné vers Holly au lieu de Diana pour savoir comment la faire souffrir. Étrange sensation ou émotion, non, elle n'était pas amoureuse d'Holly juste un peu attaché à cette dernière sans trop lui avouer. Elle n'était qu'une occupation, un moment de détente ou juste un coup d'un soir. Enfin, c'était ce que se forçait à ce dire Cheetah pour ne pas montrer une part d'humanité si aisément ou que son ennemi le sache afin de l'utiliser contre elle.

La douche s'était stoppé enfin le jet d'eau, à croire qu'Holly avait terminé de se laver. Or, Cheetah ne bougeait pas du lit, son corps nu caché par un drap fin et léger, toujours dans la même position que tout à l'heure. La voilà avec des sous-vêtements noirs, à croire que les habitants de Gotham aimaient le noir, mais celle-là lui allait vraiment bien. Et le petit chaton est si sexy avec cette culotte et ce soutien-gorge, difficile de ne pas l'admirer. En tout cas, la blonde la remercie pour ce moment intime et qu'elle en avait bien besoin. Ceci dit, elle n'avait pas de le lui dire, ce n'était pas comme si ça l'intéressait enfin presque. Cheetah ne disait rien, un simple hochement de tête pour lui faire comprendre qu'elle avait compris et c'était tout. Holly s'assoit sur le lit, dos à la rousse, ce qui n'était pas très malin de le faire face à une féline qui aimait la viande fraîche. Or, par chance, Cheetah n'avait guère envie de la manger. Barbara la regarde d'un air perplexe, son plan cul semblait étrange, bien plus que d'habitude. À Gotham, les gens sont chelou, mais pas Holly, du coup, c'était un peu inquiétant. En tout cas, elle semblait ravie, elle avait ce sourire et Babs trouvait ça parfois agaçant. Or, elle n'avait pas eu le temps que la blonde lui adresse une drôle de question. À savoir si elle avait aimé et c'était bien la première fois qu'elle lui sortait cette question. La rouquine fait style de tousser avant de lui répondre.

« Hum...On va dire que oui même si tu connais la réponse au vu de notre façon de l'avoir fait. »

Évidemment, c'était une question dont Holly connaissait déjà la question avant de la poser. Pourquoi avoir posé une question si évidente ? Est-ce que quelque chose n'allait pas chez la blonde ? Un problème avec quelqu'un auquel Cheetah devra aller lui régler son compte une bonne fois pour toutes ? Redeviens lucide, elle n'avait pas à montrer un grand attachement à ce point à Holly. Ce n'était qu'un passe-temps, pas sa petite amie. Elle n'était pas aussi faible que Diana à s'accorder une vie de couple et ni même à croire qu'elle était belle et humaine. Regardant son visage, à croire qu'Holly avait ajouté une pointe d'arrogance dans ce sourire. La rousse affiche pendant quelques instants, un léger sourire. En tout cas, elle aussi avait aimé donc il était inutile de lui retourner la question. Cela faisait limite cinq minutes qu'elle avait ce sourire stupide dessiné sur son visage. Et là, d'un coup d'un seul, Holly lui donne un compliment comme quoi Cheetah est belle. Sur le coup, ça étonnait la rousse et il y avait un blanc durant lequel Holly part chercher une pomme pour manger. Demi-nue, elle offrait un joli spectacle à la rouquine. Un soupire et un regard un peu gêné en cherchant à être sérieuse à la fois.

« Je ne sais pas ce que tu as pris, mais le mot "belle" ne colle pas trop avec moi. Je suis moche et inintéressante. Évite de me complimenter, c'est bizarre. Ceci dit, tu es pas mal non plus, pour une humaine. »

Barbara se lève en ayant le drap sur elle, cachant son corps et elle décide de rejoindre Holly. La rousse passe une partie du drap autour de la blonde et la serre légèrement contre elle afin de ne pas faire tomber le drap au sol. Son regard croise celui de sa partenaire avant d'aller poser sa main sur celle d'Holly qui tenait la pomme. La rouquine croque dans la pomme et se lèche les babines. Le parfum d'Holly était si bon et agréable pour l'odorat, il était difficile pour Cheetah de ne pas le remarquer et d'aimer cette odeur. Barbara regarde la fenêtre et y voit depuis l'intérieur que la ville semblait bien animée comme d'habitude. En tout cas, elle espérait croiser aucun héros ou connaissance comme Batman, Catwoman ou même Diana. Pour cette soirée, la féline n'avait aucune envie d'affronter qui ce soit, mais d'être tranquille. Son regard se pose à nouveau sur Holly et dépose un baiser sur la nuque de cette dernière avant de lui adresser la parole.

« J'espère que tu n'as rien prévu pour cette nuit, car je reste ici avec toi. Hors de question qu'une de tes conquête se ramène ou que tu ailles en voir une, au risque de me fâcher. » Dit-elle avec un regard sérieux et puis elle reprend la parole. « Je te trouve bizarre ce soir, habituellement, je passerai outre, mais ça me rend curieuse. Quelque chose ne va pas ? Ce n'est pas habituelle que tu me complimentes et que tu me demandes si j'ai aimé. Depuis le temps, tu devrais savoir que j'aime ce qu'on fait ensemble. Alors ne me mens pas, car je le saurais. »

La rousse griffe légèrement Holly, au bas du dos, lui montrant qu'elle était sérieuse et qu'elle voulait des réponses. Cette curiosité, c'était bien la première fois qu'elle l'était avec ce genre de chose, voire même avec une autre personne qu'elle-même.  Soudain, elle prend sa forme de Cheetah et sa queue de félin se glisse vers la nuque d'Holly en passant par le dos. Un sourire s'affiche sur le visage de la prédatrice. Mais quelque chose lui disait de ne pas lui faire du mal, juste la taquiner.


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MessageSujet: Re: La voix sincère, le regard séduit [Barbara Ann Minerva] [+18]   La voix sincère, le regard séduit [Barbara Ann Minerva] [+18] EmptyLun 4 Déc - 19:23

Le voix sincère, le regard séduit
Ta peau contre la mienne, mon corps flirtant avec le tien, ton souffle brisant ma nuque et mes yeux posés sur l'azur de ton regard. Tu t'étais approchée de moi pour enrouler un drap entre nous, pour continuer de faire s'entrelacer nos corps langoureusement. A cette invitation au désir, je me permis de poser une main sur ta poitrine, à peine au-dessus de tes seins, dessinant subtilement une distance entre nous.

Mon corps n'est pas le tien et j'ai donc besoin d'un temps avant de refaire danser tes mains autour de mes reins, mon sourire au creux de tes seins. J'écoute ce que tu as à me dire, ce que tu as à me reprocher, l'état de ton âme au contact de mes mots. Tu me dis que tu n'apprécies pas mes compliments et je me dis que tu me connais à peine. Mais je te laisse parler.
Je regarde avec fascination ton comportement de prédateur que tu te plais à jouer devant moi. Ce féroce jeu de femmes sauvages récalcitrante à entendre des compliments. Tu ne t'aime pas, c'est indéniable, mais si tu souhaites que ce soit mon cas, chaton, saches que j'ai déjà assez d'une personne à haïr dans cette pièce.

Tu m'embrasses au creux de la nuque et je pose une main sur ta taille et dépose ensuite un baiser sur tes lèvres quand tu relèves ton fin visage de porcelaine.

Tu ne t'aimes pas. Je l'ai rapidement comprit lors de nos premiers moments ensemble à une époque où tu ne me désirais pas encore. Tu cachais derrière des griffes et des crocs acérés, en guise de protection, une haine irascible que tu avais à l'encontre de ton corps. Ces choses là se remarquent, beauté, elles ne se cachent que difficilement – surtout quand quelqu'un comme moi s'invite chez quelqu'un comme toi.
C'est en flirtant avec toi, en t'invitant à danser à deux dans mes draps de satins blancs fait sur mesure pour ton sublime corps maudit que je l'ai découvert. Tu étais séduite mais tu étais contre, tu voulais danser mais tu te refusais à ne serait-ce que fredonner l'air de nos ébats. Et tu refusais les compliments. Tu les as toujours refusée. Sans compter que je repère facilement les gens qui se haïssent.

Tu poursuis. Tu me parles avec férocité, en ne dissimulant que peu tes menaces, tu prends ton corps de féline et fais caresser mon corps de ta queue. Elle se pose sur ma nuque, l'une de tes griffes caresse le bas de mon dos avec une légère violence. Pas assez pour me faire mal mais assez pour me faire comprendre que je suis la proie, ici-bas.


- C'est une menace ou une invitation ? J'ose le lui demander en faisant glisser ma main jusqu'au creux de ses reins. Je frôle subtilement sa queue et mes lèvres effleurent les siennes. Je lui glisse ensuite à l'oreille, en rapprochant ma bouche de l'une d'elle. Sors toutes les griffes que tu désires, Cheetah, plantes moi les où tu veux, ça ne me fera pas déchanter. Si je te trouve belle, c'est que tu l'es. Si je veux te le dire, tu n'es pas obligée d'aimer, mais je te le dirais. T'as comprit ? Je ne sors qu'avec des femmes d'exceptions et puisqu'on couche plus qu'on ne parle, c'est que tu n'es pas repoussante. Maintenant, embrasse-moi.

Ma voix n'était guère subtile. Elle était tendre, séductrice, lancinante. Elle avait des accents de témérités aux nuances de provocations autoritaires. Elle était aimante, elle était amante.

- Et calme ce comportement, t'entends ? Je parle de cette légère nuance de jalousie que j'entends au fond de ta voix. T'as beau être magnifique, t'as beau te comporter comme la plus séduisante des prédatrices, t'as beau renverser mon petit cœur de "simple humaine" à chacun de tes râles quand on est entre nous... tu demeures un passe-temps sacrément sucrée mais un passe-temps quand même et il y en aura d'autres après toi, peut-être même plusieurs cette semaine, et que ça t'énerve, ça ne m'embête pas plus que ça. Alors calme ça.

Mon regard défi le sien, la proie affronte le chasseur, tout en sachant que le chassé pourrait très bien se faire dévorer. Mais j'ai grandi à Gotham et à Gotham, il est important de montrer que même le plus petit des animaux a des crocs.

- Et j'ai rien prit. Plus aucune drogue depuis cinq jours. Ça se voit tant que ça ?
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MessageSujet: Re: La voix sincère, le regard séduit [Barbara Ann Minerva] [+18]   La voix sincère, le regard séduit [Barbara Ann Minerva] [+18] EmptyVen 15 Déc - 16:09


Si douce et dure à la fois !
Holly Robinson

Sous un drap, ensemble, l'une était nue et la seconde en sous-vêtement. Cheetah en redemandait, mais en essayant de le faire subtilement, au lieu de montrer de l'agressivité même si c'était difficile après quelques secondes. Cependant, sa compagne n'avait pas un corps plus endurant qu'une méta-humaine qui est l'égal de Wonder Woman. Après tout, Holly était une humaine sans réelle capacité physique poussée à l'extrême comparer à d'autres humains comme Huntress, Batgirl ou Batwoman dans la ville de Gotham. D'ailleurs, Cheetah ne connaissait pas beaucoup d'humaine en tant que justicière, à croire que Gotham était la ville où la principale caractéristique des héros, c'était de ne pas avoir de pouvoir, c'est-à-dire, ni des extraterrestres ni des métahumains ou des erreurs scientifiques comme la plupart de leurs adversaires tel que Killer Croc, Poison Ivy ou Clayface. Ceci dit, elle aimait l'humain qu'était Holly avec ses qualités et ses défauts. Elle voulait un peu de temps pour reprendre des forces alors soit Babs allait lui en donner. Cependant, hors de question de ne pas jouer un peu pour la séduire et lui redonner envie. Un petit jeu de séduction, ça ne faisait pas de mal même si elle ne se considérait pas comme une femme attirante ou particulièrement jolie. Une sorte de complexe à cause de son côté Cheetah, mi-femme mi-guépard. Peu importe les compliments d'Holly envers elle, ça ne changera pas facilement son point de vue sur elle-même, sur ce corps auquel du sang d'innocent ou de bête avait déjà taché auparavant. La peau d'Holly, si douce, si agréable au toucher en plus de son magnifique parfum, elle était vraiment spéciale. Un baiser sur la nuque, une envie de déposer ses lèvres sur sa belle nuque. Cette blondinette n'hésitait pas non plus à coller ses lèvres contre celle de la rouquine.

Un peu de jalousie dans les propos de Minerva avec une invitation à passer une nuit blanche à faire danser leur corps au rythme de leur fantasme charnel. Une forme de féline pour donner plus de Fantasy à leur nuit dansante vouée à un érotisme sans fin, un fantasme peut-être désiré par l'une d'elles. Sa queue d'animal allant jusqu'à la nuque de sa belle tandis que ses griffes se frottent contre le bas du dos de la blondie. La rousse voulait marquer son territoire, ceci dit, elle savait que cela n'allait pas fonctionner comme elle le voudrait. Holly est un peu libertine ni même d'attache, après tout, elles n'étaient qu'un passe-temps pour l'une et l'autre. Mais cette envie de possession était si forte et puissante, elle ne voulait la voir avec personne d'autre surtout en cette soirée. Depuis son existence en Cheetah, jamais elle n'a cherché à obtenir quoi ce soit via ce genre de relation ni même l'envie d'être vu comme belle par les autres. Or, Holly était spéciale et Barb voulait bien plus avec elle, mais ça, la rousse ne se l'avouera pas de sitôt. De plus, elles vivaient dans un monde différents, l'une est une grande criminelle faisant partie de l'Injustice League tandis que l'autre est une fille aimant le sexe, la drogue et les petits vols. Cependant, ça ne gênait aucunement Cheetah de prendre du plaisir avec la petite voleuse et sentir sa douce peau dont ses griffes caressaient tendrement sans vraiment chercher à lui faire du mal.

Un moment de tentation, de séduction, de flirt en tout cas, Holly se donnait à fond pour tenter la féline à une autre danse torride. La main de sa camarade de jeu venait jusqu'en glissant jusqu'au creux de sa hanche tandis que leurs lèvres se frôlaient de manière sensuelle. Cheetah se contrôlait tant qu'elle le pouvait et prenait plaisir en jouant le jeu de du petit chaton de Gotham. Menace ou invitation, tout dépend de comment elle le prenait, mais une invitation est des plus possibles. Sa douce voix dans son oreille, de la provocation de la part de Robinson. Cette fille était vraiment amusante et intéressante, elle n'avait pas peur de se montrer autoritaire et caractérielle face à la tueuse de l'Injustice League. Ses mots étaient si rassurant, beau, adorable, elle la rassurait sur sa beauté et qu'elle n'était pas repoussante au vu de leur activité sexuelle. Un ordre pour l'embrasser . Pour cette fois-ci, la féline exécutèrent l'ordre et l'embrasse farouchement en allant passer ses mains sur les hanches de la blonde de manière douce. Et voilà, ce côté caractériel n'aimant pas que Cheetah s'immisce dans sa vie ni même montrer une sorte de jalousie par rapport à ses autres conquêtes. Ainsi, elle défie la rousse à sa manière. La blonde ne semblait pas être celle qu'on persécutée, celle qui se laissait faire ou soumettre ainsi. Des compliments dans des reproches ? Amusant et à la fois, son discours mettait bizarrement Cheetah en colère et frustré voir cela la faisait souffrir. La raison ? Elle n'en savait rien, mais elles se défiaient du regard. La voilà qui parle de drogue, elle n'avait rien pris pendant 5 jours et ça se voyait. La féline ne savait pas quoi dire par rapport ce qu'elle avait dit un peu avant cela.

« Je me calmerai quand j'en aurais l'envie...Tu me gaves ! »

Un petit manque de répartie pour la rousse, ce n'était pas habituel et elle ne savait pas quoi dire d'autres. Au point d'en oublier le fait qu'Holly ne se droguerait plus depuis 5 jours sur l'instant. La féline la chope par les bras et l'envole contre le matelas du lit, elle avait fait un petit vol planer, au lieu de se faire déchiqueter de toute part. D'un bond, Barbara atterrit au-dessus de la blonde ayant laissé le drap au sol. En califourchon sur Holly, le regard de la prédatrice qui regardait le corps de sa belle avant de plonger son regard dans le sien. Un moment de silence et les griffes de Cheetah qui caressaient la peau du chaton, si douce et légèrement humide, du fait, sans doute qu'elle avait pris une douche, il y a peu. Ses mains remontent vers la poitrine masquée par le soutien-gorge noir de sa belle, le tissu, qu'est-ce que ça pouvait gaffer le plaisir des yeux. Évidemment, Barbara ne quittait pas Holly des yeux, elle la fixait. Mitigée et divisée à la fois entre la colère et le plaisir. La violenté ? Oublié en dansant à nouveau et en jouant avec le corps de sa partenaire ? Va-t-elle avoir à nouveau la force de repartir dans ce jeu de corps ? Babs n'en savait rien, elle était confuse et cela l'énervait encore plus. Sa main droite vient choper la gorge de la blondie tandis que l'autre s'amusait avec l'une des formes généreuses de sa camarade de nuit. Forçant à se pencher vers l'avant avec sa main droite, toujours autour de la nuque de sa belle.

« Je ne sais pas quoi faire de toi, mais...bizarrement, je n'ai pas envie de te faire mal...mais de recommencer...à aimer ce qu'on faisait. Peut-être que ça va m'aider à oublier ce que tu as dis. » Dit-elle d'une voix grave et froide. « Je me demande ce que tu m'as fait pour que je m'adoucisse quand je suis avec toi, ça me rend folle de colère. »

Cheetah l'embrasse farouchement avant de lâcher sa nuque et de la griffe légèrement à l'épaule droite. Un moyen de se détendre ou de la punir à sa manière sans vraiment lui faire trop de mal. La rousse était confuse dans ses pensées et cela l'empêchait d'être sérieuse et violente, car en temps normal, elle l'aurait éviscéré avec ses griffes. Or, elle se serait ennuyé sans cette compagnie des plus agréables lors de nuits difficiles. N'empêche, elle aimait tout de même cette partie de la personnalité d'Holly, celle qui ne se laissait pas faire, son sale caractère était touchant. Les mains de la Féline vont se placer dans le dos de sa compagne et physiquement, Barbara reprend sa forme humaine afin de lui caresser le dos sans lui faire de blessure bien sérieux. Caressant son dos et s'amusant à lui faire de légères griffures avec ses ongles humains, la rousse sourit à Holly et lui mordille un petit peu le bout de son nez avant de lui parler.

« Je te préfère à jeun sans ta foutu drogue, tu es plus agréable et...je te préfère ainsi, voilà. Je veux me faire pardonner, pour mes reproches...» Elle pose délicatement son front sur celui d'Holly et la regarde dans les yeux. « Tu préfères que je restes humaine pour éviter de te faire peur ? »


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MessageSujet: Re: La voix sincère, le regard séduit [Barbara Ann Minerva] [+18]   La voix sincère, le regard séduit [Barbara Ann Minerva] [+18] EmptyVen 15 Déc - 22:26

Tes lèvres, sur les miennes, me disent tant.

Mon regard chancelle entre peur et excitation pendant qu'il se pose sur tes yeux, sur tes lèvres, sur ton cœur, sur tes airs de prédateurs. Je dessine du bout des doigts sur ton corps des desseins d'extases, je peins des formes qui esquissent les tiennes quand je trace, du creux de tes seins au prémices de ton bassin une ligne séductrice et qui s'enivre de ta peau.

La première de tes mains, sur mon cou, serre délicatement ma peau d'ivoire et mon corps, sensuellement, s'éprend de l'une des caresses de la seconde. Je suis prit d'un râle, je mords l'une de mes lèvres, mon regard se plaît à esquisser durant une seconde, une délicate once de plaisir et j'en viens à lever la tête vers la tienne pour espérer croiser le chemin de tes lèvres. Mais elles sont occupées à autre chose et tu me tiens, alors je me laisser bercer au chant de tes caprices.

Tu me hais, tu m'aimes, tu m'engueule, tu m'embrasses, tu me parles, tu me hurles, de tendres mots, des mots âcres. J'ai l'impression que tu m'appartiens. Dans cette ville sale, dans ce ridicule appartement, dans ce lit étroit pour nos ébats, dans ce moment tendre et délicat. Dans cette position, toi au-dessus de moi, ton corps qui flirte avec le mien, tes hanches jouant avec les miennes, ta main qui s'éprend de mon cou et qui le serre avec un effroyable désir. Dans tout ça, et dans d'autres moments, tu ne semble n'appartenir qu'à moi. Je vois les sourires que tu décries dans tes mots, je vois l'envie que tu murmures dans tes râles nocturnes, je vois tout cela tant je l'ai connu.

Tu t'éprends de moi et cela semble aller plus que jusqu'à nos ébats. C'est l'esquisse de l'amour que tu dessines ici-bas ; ce n'est pas grand chose, c'est ridicule, c'est modeste, c'est encore rien, mais à en devenir, ça deviendra bien quelque chose de grand pour toi, peut-être. Mais ce n'est pas mon cas. Moi, je ne t'aimerais pas. Moi, je n'aime pas ces choses là.

Tu m'as embrassée il y a quelques secondes quand je te l'avais ordonné, tu m'embrasses encore maintenant. J'entends tes râles, tu entends les miens. Je suis de mes lèvres les tiennes quand elles me susurrent tout bas des murmures de désirs.


- Je ne dirais pas que tu parles un peu trop, Barbara. J'aime tes lèvres, même lorsqu'elles ne sont pas contre les miennes. Mais arrête de te poser trop de questions à propos de nous. Tu sais très bien ce que tu ressens pour moi.

Je te regarde tendrement et je joue, légèrement, avec mes mots et tes sentiments naissant. Je ne devrais pas, je devrais les respecter un peu plus, t'aimer davantage comme quelqu'un dont il fallait prendre soin malgré la personne forte que tu étais d'ordinaire, mais je ne peux résister à badiner avec l'amour. C'est si futile.

- T'es là pour baiser, c'est ça que tu ressens. C'est mes lèvres, c'est ma langue, c'est mon corps, c'est tout ça qui te fait détester ce pourquoi tu serres pas davantage ma pauvre et ridicule petite gorge.

Finis-je en posant délicatement une main sur le poignet l'enserrant et en affichant un sourire joueur, taquin et, malgré tout, légèrement charmé. Je regarde ensuite ton corps, ton apparence, ta peau de porcelaine au-dessus de la mienne. Au même moment, un courant d'air glacial vient balayer nos corps amants.

- Tu crois..., ai-je essayé de commencer à répondre à tes propos sur l'apparence que tu devais épouser. Mais je cherche, avec difficulté, et avec agacement, et avec un léger chagrin, mes mots. J'aime ton corps, beauté. J'aime ton corps quand il est sauvage, quand il est mortel, quand il est dangereux... Alors arrête de me demander lequel m'effraie le moins... T'as vu à quoi je ressemble et la taille de mes bras ? Si tu voulais me faire du mal, t'y arriverais sans problème, quelque soit ta forme... Alors, t'as deux choix, et aucun ne dépend de mes préférences : soit tu te transformes à nouveau et tu me serres contre toi, soit tu te lèves de ce lit et tu vas chercher cette  couverture que tu as laissé par terre parce qu'il fait vraiment très froid, en ce moment.

Puis mes yeux se perdent dans le vide et je me tourne pour me coucher sur le côté, t'invitant de ce fait à venir m'étreindre ou à te blottir entre mes frêles bras.

- J'ai pas envie d'arrêter, Barbara. Je parle de la drogue. Ça me fait peur – de tout stopper, je veux dire. Je suis peut-être plus agréable à tes yeux mais je le suis pas tant à mon égard quand je suis clean. Avant que tu ne viennes, je... Je retiens, de mes lèvres, une confession de glisser trop près de ton oreille. Je vais sûrement reprendre... Tu seras toujours là, entre mes bras, même si tu n'aimes pas ? J'en ai quelque part dans cet appart', encore, donc je finirais forcément par recommencer. Aujourd'hui, demain ou dans une semaine : ces arrêts là ça ne dure pas, je le sais depuis un moment, déjà. C'est pitoyable un peu, non ? Ce que je dis là, j'entends. Je sais pas pourquoi je t'en parle... Sûrement parce qu'il fait trop froid depuis quatre mois, ça accentue mon côté babtou fragile, j'imagine.

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