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 The heat of a thousand fires

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Bartholomew Allen


Bartholomew Allen

hero of earth

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Date d'inscription : 02/06/2017
Face Identity : Sam Heughan.
Crédits : Clarky ; starfire
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Age du personnage : 35 ans.
Ville : Central City.
Profession : Agent de la police scientifique de Central City; superhéros.
Affiliation : Justice League.
Compétences/Capacités : The heat of a thousand fires Tumblr_pgvzt4jX8R1sja44to8_r1_500

Barry Allen:

x esprit scientifique en chimie et physique
x Combat au corps à corps avancé
x expert en criminologie
x représentant terrien de l'espoir pour les Blue Lanterns

The Flash:

x régénération accélérée
x vitesse surhumaine de course
x réflexes surhumain
x endurance surhumaine
x agilité physique et mentale surhumaines
x sens surhumains
x vieillissement ralenti
x électrokinésie
x création de vortex
x vol ( par utilisation de la force véloce)
x intangibilité
x accélération des molécules
x voyage dans le temps et altération du cours du temps
x voyage entre dimensions

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Situation Maritale : Célibataire mais amoureux de la même femme depuis des années. Grand père de Bart.









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MessageSujet: The heat of a thousand fires   The heat of a thousand fires EmptyMer 1 Nov - 16:28

the heat of a thousand fires
elliot & james
••••

Owlman était susceptible. Un fait, en soit, qui ne me surprenait même pas. Il avait beau se prétendre différent et se donner un genre avec sa cape et son masque... il était comme tous les autres. Comme tous les autres hommes. Il était comme le reste de la gent masculine. Il détestait qu'on s'oppose à lui. Il détestait qu'on lui dise non. Surtout lorsqu'une femme en était à l'origine. Comme tous les autres hommes de pouvoir, il ne pouvait pas laisser passer cet affront. Au final, de toute façon et bien souvent, ce genre de personnes demandaient seulement par politesse. Ils obtenaient toujours ce qu'il voulait au final. Ou du moins le pensait il. Je ne comptais pas lui donner satisfaction. Je ne comptais pas travailler pou lui. Pour lui ou pour ses nouveaux alliés. C'était le genre de collaboration qui puait le souffre. En d'autres mots, je ne comptais pas me retrouver au milieu immanquablement ça allait foirer. Et puis, j'estimais que ses demandes, outre grossières, ne correspondaient aucunement à mes domaines d'expertise. J'étais une fraudeuse, une manipulatrice,je dealais dans le marché de l'art. En somme j'étais tout sauf la trafiquante et la criminelle qu'il voulait que je sois à sa botte. Je n'étais pas une combattante ni une guerrière. Je ne me considérais pas non plus comme un génie criminel de la trempe de Black Mask. Je n'avais rien en commun avec ces personnes. Eux faisaient ça pour le sport, pour le pouvoir. Ils étaient violents et cruels. Je n'étais rien de tout cela. Même si j'avais mes moments. Je brisais des cœurs, des collections d'arts et parfois une ou deux fortune, mais je ne brisais pas de dos, de jambes et encore moins de vies. Je n'étais pas comme eux, comme lui, et je ne comptais aucunement le devenir. Je n'avais pas cette prétention là. J'étais très bien comme j'étais. Sous le radar, loin du feux des projecteurs. Mon but n'était pas de conquérir le monde et de m'attirer la gloire. Je voulais juste mener ma vie. Autant dire que mes plans n'avaient rien en commun avec les siens.

Évidemment mon refus net m'avait mené tout droit à ma situation actuelle. Pour ce qui me semblait être la millième fois, je fis le tour de ma petite cellule. Ce n'était pas la première fois que je me retrouvais enfermée de la sorte. Après tout, j'avais été une délinquante juvénile. J'avais écumé les postes de police de Los Angeles avant de finir au ventre de redressement pour jeunes de la région. Le séjour n'avait pas été de tout repos. Et n'avait pas forcément eu l'effet escompté pour ceux qui m'y avaient placé. Je m'étais fait plus de contact là bas que partout ailleurs. Cela avait été un excellent moyen de lancer ma carrière quelques années plus tard lorsqu'à nouveau je m'étais retrouvé sur le carreau sans rien à manger ou rien à me mettre sur le corps. La seule chose positive de mon enfermement avait été l'arrêt total de  substance nocives. Il avait bien fallu ça pour que je tire un trait sur la drogue. « Allez mon chou, laisse moi sortir, tu ne le regrettas pas ». Encore une tentative ratée de forcer l'homme de main qui me surveillait à me libérer. Elle fut un échec comme toutes les précédentes. J'avais tout essayé depuis que l'on m'avait enfermé. J'avais essayé de le séduire. De le manipuler. J'avais même tenté de lui offrir trois fois le montant qu'il recevait. L'appel du gain était une arme de choix. Mais rien n'y avait fait. A nouveau, je soupirais et laissais mon visage se poser contre les barreaux. Sous le masque de fierté qu'il me renvoyait, je savais qu'il était terrifié. Malheureusement, le protéger de Owlman était bien la seule chose que je ne pouvais pas lui offrir. Je ne lui ferais pas l'affront de proposer. Il ne me croirait pas de toute façon. Il aurait bien raison. Une plainte remonta le long de ma gorge. Mon envie de faire pipi revint en force. Je m'étais retenue depuis que j'étais là. Mais plus le temps passait, plus cela devenait difficile.

En toute honnêteté, je ne savais même pas depuis combien de temps j'étais là. Ni même ou j'étais. La dernière chose qui me revenait à l'esprit était la douleur qui avait envahi mon crâne lorsque l'on m'avait assommé. Ensuite, je m'étais réveillée ici, dans ce que j'identifiais comme une cave. Une cave humide et malodorante. Je devais avouer que je ne savais plus quelle étoile prier. Je ne savais pas comment sortir d'ici. La situation me semblait sans issue. Pour la première fois, j'étais bien bloquée. Une bouffée de panique me serra la gorge. Je fermais les yeux et pressais un peu plus mon visage contre les barres de métal rouillées. Méthodiquement, je comptais à voix basse jusqu'à retrouver mes esprit et mon calme. Si je paniquais, cela en était bel et bien fini de moi. Je devais rester positive. C'était la seule arme que javais à présent. Les heures suivantes s'écoulèrent toute de la même manière, dans le silence et la désolation. Ce fit pour cette raison que je sursautais violemment lorsque des coups de feu retentirent au dessus de nos têtes. Je me remis debout d'un bond et accrochais mes mains à la porte de ma cellule. J'eus soudain l'envie de hurler mais le pistolet qui se retrouva devant mon visage me fis changer d'avis. Mon gardien s'était réveillé et je savais qu'il n'allait pas hésiter à m'en mettre une si jamais je lui donnais une raison de le faire. Bonne ou pas. « Pas un bruit ». Je hochais la tête pour lui signaler que j'avais entendu et compris.  Je n'avais pas vraiment d'autres choix que d'accéder à sa requête. Les tirs s'intensifièrent et bientôt il quitta la pièce par la trappe qui se trouvait un peu plus loin pour rejoindre les étages supérieurs. Je me retrouvais ainsi seule. L'affrontement au-dessus continua.  Je tirais vainement sur la porte et finis par la secouer en lâchant un cri de colère. Rien ne bougea. Je passais mes bras à travers les barreaux pour essayer d'attraper quelque chose susceptible de m'aider à forcer la serrure. De chaque côté, mes mains se refermèrent sur du vide. J'avais les bras trop courts. Un autre cri passa mes lèvres lorsque je m'entaillais sévèrement le haut de l'épaule en ramenant mon bras vers moi. Immédiatement, je refermais mes doigts sur la blessure. « A L'AIDE ! ». Ma voix se perdit dans le brouhaha. Je continuais pourtant à hurler pendant quelques minutes. « Merde, merde ! ». J' attaquais la porte en essayant  de l'enfoncer à nouveau lorsque de l'eau commença à monter dans l'endroit. Je ne savais pas ce qui venait de casser mais ça sentait mauvais. Surtout pour moi. En peu de temps, j'en avais déjà jusqu'aux genoux.  «  AU SECOURS ! ». Je ne voulais pas mourir noyée. Tout mais pas ça. L'eau et moi n'avions jamais été les meilleures copines du monde.

••••

by Wiise
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MessageSujet: Re: The heat of a thousand fires   The heat of a thousand fires EmptyMer 1 Nov - 23:37

The Heat of a thousand fires.

Elliot Caldwell & James de Clare


C'est le son d'une explosion qui me sortit de mes pensées, la nuit passée n'avait pas été de tout repos et celle de ce soir ne s'annonçait pas mieux. J'étais dans ma tête en raison de ma défaite. La défaite était inacceptable dans ma situation actuelle, je devais remporter chaque petite bataille contre Owlman et ses hommes si je voulais une chance de remporter la guerre finale, mais la nuit passée, j'avais échoué à la tâche. J'étais mal préparé ou alors je n'attendais pas autant d'hommes d'un seul coup, quoi qu'en temps normal je tiens tout de même, mais hier, rien à faire. Chacun de mes coups m'envoyait un peu plus vers la défaite, signe qu'Owlman avait décider d'adapter sa stratégie en conséquence de mes actes, pour ma part ce n'était pas bon, mais tôt ou tard ça pourrait devenir un avantage pour les différents groupes qui s'opposent à lui. S'adapter fait partie de la nature humaine, or, j'allais devoir faire pareille que le tyran venue d'ailleurs. C'est le son d'une explosion qui me fit guider mes nouvelles idées de grandeur, des améliorations qui pourrait être bientôt possible sur mon armure, ceux-ci facilitant ma guerre, facilitant ma victoire. Je quitta mon petit laboratoire secret pour finalement arrivé dans mon grand bureau au sommet de Caldwell Technologie, puis je laissa mon regard s'échapper dans la noirceur des rues de Gotham. Cette noirceur, j'aurais dû en être la cause, mais au lieu d'être la cause de la noirceur, j'allais devoir devenir la cause de l'espoir et pour être franc, je n'étais pas un fan de ce rôle.

Après quelques instants passé devant les grandes fenêtres de mon bureau, je retourna dans mon laboratoire afin d'enfiler mon armure de combat, puis je pris quelques armes au passage, dont deux pistolets et une mitraillette, quittant ensuite par mon entrée protéger. J'étais prêt pour une nouvelle soirée de combat, pour une nouvelle tuerie. L'explosion avait eu lieu dans le secteur Est de la ville, secteur tombé à la main d'Owlman depuis peu de temps, ça expliquait sûrement d'ailleurs l'évènement. Au volant de ma moto, je voguais entre les voitures dans les rues de la ville, tentant de me rendrele plus rapidement possible sur les lieux. Je ne voulais pas empêcher les prochaines explosions, non, je voulais plutôt profiter à mon tour d'une bataille des hommes d'Owlman pour frapper un grand coup.

Une fois sur place, je gara ma moto de façon à ce que personne puisse la voir, complétant le reste du trajet à pieds, prenant de l'altitude afin d'examiner la scène. Plusieurs tirs, puis une nouvelle explosion et voilà que la guerre de gang venait de ce terminé sous mes yeux, encore une fois gagnée par l'armée de l'homme hibou. Depuis son arrivée dans la ville, plusieurs gangs avaient décidé de se joindre à lui, créant ainsi une grosse armée. Après quelques minutes de silence, je décida qu'il était temps que j'agisse. Un saut vers le sol, puis un redressement et j'étais fin prêt à attaquer le baraquement qui abritait une petite partie des hommes qui avaient soutiré la victoire quelques instants plus tôt.

Je colla le côté de mon masque contre la porte d'entrée, mais rien, aucun son, comme si les hommes s'étaient magiquement volatilisés, je repris donc une position normale, sortant ma mitraillette qui était attaché dans mon dos. Je profita d'une seconde de répit, procédant à une petite vérification afin de m'assurer que le chargeur était plein, pour finalement enfoncer mon pied dans la porte, braquant mon arme en direction des hommes qui semblaient tous plus surpris les uns que les autres. Le seul bruit perceptible en ce moment, c'était celui des balles qui sortait de mon canon, une petite pause pour changer le chargeur, puis une nouvelle série de tir qui continua d'envoyer les hommes présents dans la baraque au sol, laissant plusieurs traces de sang apparaître sur le plancher ainsi que sur les murs. Mon chargeur vide tomba au sol, alors que j'enfonça le nouveau dans l'arme qui fumait encore. Ma tâche semblait terminée, quand un cri sourd se fit entendre. Le cri attira mon attention vers une petite trappe sur le sol. Je replaça ma mitraillette dans mon dos, tout en avançant vers le trou au sol, puis je sortis un pistolet, m'assurant une certaine défense en cas d'ennui. Dans un geste rapide, j'ouvris la trappe pour finalement apercevoir une courte série de marche, celle-ci menant vers un sous-sol qui était en train de se remplir d'eau, puis un nouveau s.o.s me força à prendre le chemin du sous-sol, tombant devant une petite cellule avec une personne à l'intérieur. James de Clare, prisonnière, alors si on m'avait dit de gager cent dollars sur notre rencontre sur soir, je n'aurais même pas osé. Je m'approcha des barreaux rouillés, puis je brisa la serrure permettant ainsi d'ouvrir la porte à une vielle amie que je croyais avoir perdu. « James de Clare, toujours vivante alors... Il ne faut pas toujours croire les rumeurs. » Dis-je en retirant le masque de mon armure afin de lui dévoiler mon identité.


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Bartholomew Allen


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MessageSujet: Re: The heat of a thousand fires   The heat of a thousand fires EmptyJeu 2 Nov - 20:54

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elliot & james
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De mon épaule saine, j'essayais d'enfoncer la porte. Je n'obtenais bien entendu aucun résultat. Elle restera fermement en place. Elle ne grinça même pas. Prise d'un sursaut de rage, je recommençais à secouer les barreaux en les attrapant e mes deux mains. Mon hurlement se transforma en cri de douleur lorsque ma blessure se rappela à moi. Je m'étais bien entaillée. Mais je tentais de ne pas y prêter attention. Il avait plus urgent. Dans l’immédiat, l'eau boueuse qui montait était celle qui allait me tuer. Mourir noyée était une mort affreuse. Quelque chose que j'avais toujours plus ou moins redoutée. Même en ayant appris à nager, je gardais une certaine méfiance par rapport à cet élément. Je ne m'y sentais pas à l'aise. Moi qui pensait en avoir eu pour mon compte à Metropolis. Bientôt, j'en eus jusqu'à la taille. Je me remis à crier de plus belle. Ma main ensanglantée glissa sur le fer et je perdis l'équilibre.  Je me retrouvais un instant sous l'eau. Je remontais à la surface prestement. Je pris une grande bouffée d'air. Je crachotais le peu d'eau que j'avais avalé dans ma surprise.  Dire que je n'étais pas à jour dans mes vaccins. Finalement, si l'eau ne me tuait pas par miracle, c'est mon manque  de sérieux pour ma santé qui allait s'en charger. Je ne voulais pas dire.. mais cette eau devait être tout sauf potable. Sa couleur marronée ne laissait présager rien de bon. Si je sortais d'ici, je promettais d'y faire un peu plus attention. Au moins, j'avais finalement fait mon vaccin contre le Tétanos. C'était déjà pas mal. C'était la leçon que j'avais retenu de Metropolis. « Sortez moi de là ! ». J'y allais finalement avec le pied. Rien ne se produisit. Je criais de frustration avant de continuer. Plus pour passer mes nerfs à présent qu'autre chose. Mes mouvements entravés par l'eau perdaient de leur efficacité. Je sentis la panique monter. Je ne devais pourtant pas perdre mon sang froid. Pas encore. J'avais encore une chance. Si je la laissais m'envahir, j'étais foutue.

« Allez réfléchis ! ». Mes yeux bleus voyagèrent sur ce qui n'avait pas encore disparu sous les flots. Je ne voyais rien qui pouvait m'aider. Rien n'était assez pointu, ni assez tranchant, ni assez lourd. Il n'y avait rien. Juste une idiote dans sa cellule. Moi. Dans le fond, et ce malgré la peur, je ne regrettais pas ma présence dans ce qui allait devenir mon tombeau. Pour rien au monde, je n'aurais changé la réponse que j'avais faite à Owlman. Je n'allais pas laisser un homme me commander. Surtout un homme de sa trempe. J'avais été trop de fois victime dans ma jeunesse. Certains pourraient arguer que c'était ce que je faisais lorsque je prenais des contrats. Mais pour moi, c'était bien différent. Je choisissais le travail. Je choisissais le client. On ne m'imposait rien. J'avais la main mise sur la situation. Avec des hommes comme Owlman, il n'y avait pas de contrôle. Juste des ordres à respecter. Des faveurs à rendre. Pour ne jamais rien à voir en retour. Oh la carotte il allait la faire miroiter. Mais c'était bien tout. Le bruit au dessus de ma tête cessa. Moi même j’arrêtais de bouger et retins ma respiration. J'étudiais la situation. Ce nouveau silence me glaçait les os. Je ne restais pas silencieuse bien longtemps. Je n'avais plus grand chose à perdre de toute façon. Je préférais la balle dans le crâne à la noyade. A choisir. La trappe bouge finalement sur ses gonds. Puis, elle fut soulevée. De la lumière filtra par l'ouverture. Un homme masqué que je n'avais encore jamais vu emplit l'espace inondé.  Je le regardais s'avancer vers moi.  Instinctivement, je reculais lorsqu'il se retrouva près de mes barreaux. « James de Clare, toujours vivante alors... Il ne faut pas toujours croire les rumeurs ». Serrure brisée , porte ouverte. Tout ça grâce à lui. «  Elliot ? ». J'étais surprise de le voir ici. Surprise de le voir tout court. «  Attend quoi ? T'as entendu que j'étais morte ? ». Je m'offusquais. Ma foi, au moins, on me fichait la paix. C'était peut être pour ça que je n'avais encore jamais eu les autorités sur le dos. « Qu'importe, allons nous en, j'en ai assez de cet endroit ! ». Et puis, à force de discuter, les rumeurs sur ma mort n'allait pas être exagérées. Un poids quitta mon estomac lorsque je sortis de la cellule. «Franchement, là tout de suite je pourrais t'embrasser de soulagement. J'ai bien cru que c'était la fin ». Presque. A quelques secondes près.  En geste de remerciement, je me contentais cependant de poser ma main sur son bras et d'y exercer une pression.  Rapidement, je comblais la distance qui me séparait de l'ouverture dans le plafond. J'empruntais les escaliers. Un sourire se posa sur mes lèvres lorsque je retrouvais le cœur du hangar. Il tomba néanmoins de mes lèvres lorsqu'une balle siffla juste à côté de mon oreille droite. Je sursautais et finis par me jeter à terre derrière un baril. J'espérais que ce n'était pas un explosif. Sinon j'étais mal barrée. Et Elliot avec moi. Il y avait de quoi nous souffler tous les deux.

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MessageSujet: Re: The heat of a thousand fires   The heat of a thousand fires EmptyVen 1 Déc - 14:37

The Heat of a thousand fires.

Elliot Caldwell & James de Clare


L'eau n'est pas mon élément favori, je préfère le feu, pour la simple raison que le feu semble bien plus dangereux au premier regard, mais je sais très bien que les deux sont très dévastateurs. L'eau est d'ailleurs reconnu comme un excellent traumatisant, c'est sûrement la raison pourquoi il était utilisé pour torturer les gens à une certaines époques. La couleur de cette eau ne me laissait rien présager de très bien pour les fondations de cette petite place. La teinte brunâtre, laissait supposer qu'un certain mélange de terre avait pu se créer, ça n'allait qu'en s'améliorant au final. Après quelques pas difficile en raison du niveau de l'eau qui ne cessait d'augmenter, je trouva finalement position devant une cellule, celle-ci renfermant une vielle alliée. Au moment où nos regards, c'était croiser, elle aurait pu apercevoir l'étonnement sur mon visage. Elle était bel et bien l'une des dernières personnes que je pensais croiser dans cette petite place. James de Clare, fut une époque, où je n'avais que de bon commentaire pour ses compétences, c'est possiblement ce qui m'avait attristé lorsque j'avais appris la nouvelle, fausse sous toute vraisemblance, de sa mort.

James ne semblait pas être au courant de cette fameuse rumeur, c'était possiblement encourageant. Le ton de sa voix était rempli d'étonnement lorsqu'elle prononça mon nom, elle ne devait pas s'attendre à me voir, un peu comme moi un peu plus tôt. Je recula d'un pas, lui laissant l'espace suffisant pour quitter la petite pièce d'isolement, puis elle pris finalement support sur mon bras. « Je crois que le temps serait mal choisi pour s'embrasser, disons que j'aime bien mieux l'idée de quitter cet endroit. » Dis-je en repositionnant mon masque, m'assurant ainsi l'anonymat et une protection supplémentaire.

Persuadé que j'avais bien fait mon travail à l'étage du haut, je laissa l'avance à James, m'assurant qu'elle pourrait bien monter, lui offrant une certaine aide si jamais elle perdait pied dans les marches qui était de plus en plus recouvert d'eau. C'est le bruit d'une balle qui me fit comprendre que j'avais tort, rapidement, je regagna la surface, parvenant pas à identifié l'emplacement du tireur ou même l'endroit où James s'était cacher afin d'éviter de mourir d'un tir direct. Il fallut qu'une balle ce loge dans le mur derrière moi, pour que j'identifie finalement le tireur, ce dernier étant l'un des hommes étendu au sol. La blessure de ce dernier devait l'incommoder dans ses capacités, je m'empressa de le descendre à l'aide d'une balle dans la tête, cherchant par la suite James du regard. Après quelques secondes, je me rapprocha finalement de James, celle-ci était derrière un baril. « Nous devons te sortir d'ici, mais je ne pense pas qu'ils me laisseront faire. Tu es blessée, mais tu crois que si je te passe un fusil, tu pourras tirer sur eux et non sur moi ? » Il y avait un peu d'humour dans mes propos, James n'allait pas avoir de mal à m'aider, je n'en doutais pas du moins. Je lui tendis un fusil, ainsi que deux chargeurs. « Je me lève et je m'assure que l'endroit est neutralisé, ensuite nous partons d'ici. » Je n'entendis pas son accord pour me relever, après tout, elle n'avait pas tellement le choix. Je n'eus à peine le temps de relever totalement la tête que je pus facilement constater que l'endroit n'était plus vide. Je m'empressa de me repencher, trouvant repère une fois de plus derrière le baril. « Nous allons devoir les tués d'abord. Alors suis moi quand tu es prête. » Dans un élan d'héroïsme, je me leva, puis je commença à tirer en direction de nos rivaux, tentant d'offrir un temps de repos supplémentaire à ma compagne du moment.

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MessageSujet: Re: The heat of a thousand fires   The heat of a thousand fires EmptyMar 5 Déc - 12:41

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Un nouveau tir passa près de ma position et je me recroquevillais un peu plus. Par réflexe, je tentais de me faire la plus petite possible et également la moins visible. Je tentais de paraître innocente. En soit, cette réaction était stupide. Mais je n'y pouvais rien. L’instinct humain était parfois bien étrange. Je me félicitais déjà de ne pas avoir fermé les yeux. Ça aussi c'était une réaction normale. Mais comme ce n'était pas mon premier rodéo, j'arrivais encore à la maîtriser. Après tout, l'on m'avait tiré dessus il n'y avait si longtemps que ça. Ma blessure à l'épaule avait à peine cicatrisée que je me retrouvais à nouveau sous une pluie de balles. C'était à se demander si je ne le faisais pas exprès. Au moins, je savais à quoi m'attendre si jamais cela arrivait à nouveau. La première fois avait été brutale mais à présent je connaissais la douleur qui allait avec. Je supposais, bien entendu, que certains endroits faisaient plus mal que d'autres. En toute honnêteté, je n'avais pas envie de remettre ça. De renouveler l'expérience. Une fois m'avait grandement suffit. Mais c'était cependant une possibilité que je devais prendre en compte. C'était un risque réel.  Ce dernier disparut un instant lorsque Elliot se débarrassa du tireur présent dans la salle.

Le silence se fit pendant un instant.  Je tendais cependant les oreilles. Je me concentrais sur les bruits. Cela me permit de ne pas sursauter lorsque mon chevalier en armure se matérialisa à mes cotés en sortant presque de nulle part. Il fallait dire que ma position ne me permettait pas franchement de regarder partout autour de moi. « Nous devons te sortir d'ici, mais je ne pense pas qu'ils me laisseront faire. Tu es blessée, mais tu crois que si je te passe un fusil, tu pourras tirer sur eux et non sur moi ? ». Mes yeux bleus tombèrent à nouveau sur la vilaine entaille sur mon bras. La blessure continuait de laisser échapper un filet rouge. Par chance, le débit n'était pas assez important pour que je me vide de mon sang et meure dans les prochaines secondes. Ni même dans les prochaines minutes. Il était cependant évident que plus j'attendais pour recevoir les soins adéquates, plus faible j'allais devenir. A la longue, tout devenait mortel. C'était ainsi qu'était faite la vie. «  J'ai connu pire ». Certainement satisfait de cette réponse, il me tendit fusil et chargeurs. Intérieurement je grognais. Je détestais les armes. Surtout les armes à feu. Ironique lorsqu'on savait que je ne sortais jamais sans un flingue. Mais lui était pour ma propre protection et seulement en cas de nécessité.  Après tout, j'étais une femme. Une femme dans un milieu d'hommes. J'étais pour certains une cible facile. J'en étais consciente. J'avais donc pris mes précautions. Jusqu'à présent, néanmoins, je n'avais jamais vraiment eu à m'en servir.

Je gardais mes réserves pour moi et attrapais ce qu'il me tendait. Je le chargeais sans trop de difficulté. J'avais beau rechigné à les utiliser, je savais m'en servir. Je savais tirer.  « Je me lève et je m'assure que l'endroit est neutralisé, ensuite nous partons d'ici ». Il était déjà à moitié levé lorsque je hochais la tête. Ça semblait être le plan parfait. Sortir d'ici. Je ne rêvais que de ça. En plus d'une bonne douche chaude et d'un litre et demi de savon.  Il se rebaissa bien vite. Je l'interrogeais du regard. Les coups de feu qui commencèrent à nouveau à retentir répondirent à ma question silencieuse. Nous n'étions définitivement plus tous seuls.  J'aurais presque pu me sentir flattée. Tout ce beau monde pour moi. Je savais cependant que cela avait depuis longtemps dépassé ma petite personne. Ils n'étaient pas forcément là pour moi. Ils étaient aussi là pour lui. Ou pour les hommes de Owlman. Franchement, je ne savais plus à force. « Nous allons devoir les tués d'abord. Alors suis moi quand tu es prête ». Je hochais la tête. Je m'avouais nerveuse. Je n'avais jamais tué quiconque. Je ne me sentais pas prête à le faire. Et pourtant. Je m'y dirigeais tout droit. Je n'en avais aucune envie. Pour protéger ma vie cependant je serais prête à le faire. Je l'avais toujours su. Je ne me l'étais jamais caché. Mais jusqu'à présent, cela n'avait pas été une réalité.

Je pris une profonde inspiration et finissais par me relever. Elliot, du peu que je voyais, avait bien entamé le ménage. Je replongeais bien rapidement derrière mon baril lorsqu'un homme faisant au moins deux fois ma taille et six fois mon poids se mit devant moi. Les balles de son arme automatique rebondirent sur le mur derrière moi ou vinrent s'y planter.  Ce ne fut que lorsque j'attendais le cliquetis caractéristique d'un chargeur vide que je ressortis. Il ouvrit de grand yeux. Je ne le tuais pas mais le coup de crosse qu'il pris dans le crâne le mit hors d'état de nuire. Peut être pouvais je m'en sortir sans faire couler de sang finalement. Et puis, même en tirant je pouvais toujours handicaper au lieu de tuer. Forte de cette idée, je sortis définitivement de a cachette et allais prêter main forte. Un souffle plus tard, j'avais tiré une balle dans la jambe d'un de nos assaillants. Ce dernier avait essayé d'attaquer Elliot par derrière. Il avait juste lui même oublié de faire attention à ce qu'il y avait derrière lui. Autrement dit moi. Un bruit de pneu m'arriva aux oreilles. De loin, par la porte ouverte de l'entrepôt dans lequel nous nous trouvions, je regardais le véhicule arriver droit vers nous. Ce qui e fit tiquer en revanche fut l'arme lourde que le passager sortit par la fenêtre descendue. « ELLIOT A COUVERT ! ». J'avais à peine eu le temps de le crier, qu'une déflagration me projeta contre le mur. Sonnée, je regardais autour de moi sans comprendre réellement où je me trouvais. Je retrouvais mes sens plus rapidement que je ne l'aurais cru. Je toussais mais me remettais debout. Je chancelais doucement. L'endroit était à présent emplit de fumée. J'avais perdu Elliot de vue. Je priais pour qu'il soit encore en vie et un en seul morceau.

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by Wiise
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