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 Comme à la fête forraine (Sergei Baranov)

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MessageSujet: Comme à la fête forraine (Sergei Baranov)   Comme à la fête forraine (Sergei Baranov) EmptyMer 15 Mai - 7:35




Comme à la fête forraine
Sergei Baranov • Harvey Bullock


22h

L'agent Douglas ronflait. Ce flic était en froid avec sa femme. En ce moment il préférait dormir au commissariat central. Les ronflements traversaient les locaux de la Criminelle. A part ça le calme régnait dans la salle de garde. Aucun écran d'ordi allumé, pas de sonneries de téléphone. Juste le sergent Bullock assis dans son box et plus loin Douglas en train de dormir. Deux flics en uniforme venaient de partir pour Otisburg, le quartier nord. Un type nommé Jefferson avait poignardé un autre type nommé Washington. C'est une femme du nom de Lincoln qui était à l'origine de l'incident. Bullock avait décliné la corvée : « Allez-y les gars. Le Bullock vous accompagnera par la pensée dans un esprit de justice impartiale. »

Douglas ronflait. Harvey avait un petit box pour lui tout seul. Le bruit se répercuta. Harvey tendit sa main vers la boite à donuts et s'en prit un glacé au sucre. Il s'affala sur sa chaise en contemplant les portraits anthropométriques affichés sur son tableau de liège. Voilà la trombine de Davis Cohn, alpagué hier. Il avait tué un flic. Bullock avait appelé le fleuriste  pour faire envoyer un bouquet à la femme du défunt, en y joignant ses pensées respectueuses. Bullock contempla son agenda : bientôt une date habituelle à honorer. Souvenirs souvenirs : printemps 2013. Un prédateur sexuel prend en otage une femme professeur de gymnastique. Le type la force à se déshabiller dans les douches. Harvey les rejoints sans être vu et fait sauter la cervelle de l'obsédé. Chaque année à la même date, il envoyait des fleurs à l'ex-otage.

Harvey prit un numéro du magazine Screenworld. Les pages étaient fatigués. Il avait lu l'article sur le Red Hood un milliard de fois. Le papier était froissé. La tête du vigilante commençait à se décolorer. Le téléphone du sergent sonna. Le bouton rouge qui s'allume. Le commissaire Gordon. Il décrocha.

« Oui patron ? »

« J'ai besoin de vous pour aller récupérer des criminels en fuite. Je sais que vous n'êtes pas affecté aux mandats et recherches sergent, mais je réquisitionne tous ceux que j'ai sous la main à cette heure-ci. »

« Laissez moi deviner, une évasion ? Blackgate ? »

« Non, pas le pénitencier, l'asile. »

Arkham, petite frousse, goutte de sueur.

« Un convoi carcéral qui se rendait sur l'île d'Arkham par le pont autoroutier a été attaqué. La brigade anti-émeute travaille sur cet incident. Ils ont récupéré une cinquantaine de fous en tenue orange de détenus. Mais une trentaine se sont enfuit dans la nature. Vu l'heure tardive, on manque d'effectif pour les appréhender. Commencez par Hignland Avenue et continuer les recherches jusqu'à Chinatown. »

Bullock nota l'indication, Gordon raccrocha. Douglas s'ébroua. Bullock se leva, se dirigea vers lui et donna un coup de pied dans le canapé qui lui faisait office de lit.

« Debout là-dedans ! On a du boulot. »

Douglas se frotta les yeux. Il avait dormit sans ôter sa veste. Il avait besoin de se raser. C'était un mécontent chronique. Il avait réussit à faire échouer un braquage de banque en 2016. Et sauvé des otages lors d'une attaque du Joker la même année. Mais depuis il n'avait plus rien accomplit de notable. Bientôt la retraite.

Bullock saisit l'étui qui contenait son arme de service. Il entraîna Douglas à travers le bloc cellulaire. Des poivrots beuglèrent sur leur passage. Dans la cellule commune réservé aux membres du gang de Black Mask, les durs à cuirs jetèrent des regards mauvais à Bullock.

« Doug, va me chercher Sergei. Après tu pourras retourner dormir. Dis lui que y'a urgence. Qu'il se ramène au garage par l'ascenseur. Dis lui qu'on prend ma voiture, la Buick maousse là, la Bullockmobile. »

Rien qu'à l'évocation du prénom de Baranov, les terreurs dans la cellule du gang de Black Mask s'étiolèrent. Cette lueur paniquée dans le regard.

« Et dis lui aussi de ramener deux gilets par balle. Et des chaînes, les entraves en acier pour tarés, le modèle XXL. Et son fusil à pompe anti-émeute là, celui qu'il charge au gros-sel, pas à la chevrotine évidemment. Et sa matraque aussi ! Celle avec une poignet pleine de sang séchée. Celle qu'il n'a plus le droit d'utiliser suite à cet interrogatoire qui a mal tourné. Je sais qu'il la planque quelque part, on me l'a fait pas à moi.»

Douglas décampa, les yeux toujours endormis. Bullock jeta un coup d'oeil aux cellules. Les durs à cuirs se recroquevillaient terrorisés contre le mur, paniquant juste à cette simple image mentale de Baranov avec tout son attirail.

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MessageSujet: Re: Comme à la fête forraine (Sergei Baranov)   Comme à la fête forraine (Sergei Baranov) EmptySam 18 Mai - 22:56

Pour une fois, j’étais encore éveiller et non à dormir sur ma chaise. Mon regard se perdait à la faible lueur des bougies encore allumer, mes yeux souffrait du peux de lumière… Maladie de merde. 
Il fallait que sa tombe sur moi.. Putain de terroriste, ils auraient dû m’achever le jour ou ils mon fait prisonnier. 

Les souvenirs me remontent de trop, je sens mon cœur s’accélérer a en taper contre ma cage thoracique, tous s’assombrirent.. Non. Je me mets une gifle mental pour revenir dans le monde des conscient avant de soupirer. 22 heure ? Hm…

Je me lève avant de mettre à genoux, devant la croix du Christ. Avant de joindre mes mains puis de prier en prenant mon collier entres mes doigts, récitant mes paroles en latins pendent plusieurs minutes.

‘’ Pardonnez moi Pére.. J’ai pêché, j’ai fait couler le sang.. Provoquer la guerre et baiser avec une catin. ‘’

Je n’étais pas loin de me flageller avant qu’un.. Douglas endormit arrive dans la pièce.

‘’ Y’a Bullock qui te demande avec…’’

Il baille, mettant du temps avant de se rendormir debout. Je soupire avant de me lever, m’approcher de lui et le choper part les épaules pour le secouer.. Puis accessoirement le réveiller.

‘’ AVEC ?! ‘’

Dis-je en lui hurlant dessus, une réponse a la va-vite.. Obliger de faire les courses ?! Putain, il fait chier Bullock ! On ne peut pas juste aller casser du fou furieux ?! Je part vers l’armuerie laissant Douglas la entrain de dormir contre un mur.




Je passe part les cellules… Avant de prendre un air sadique sur le visage. Qui déjà d’ordinaire pas accueillant quand on me connaît pas. Je sors la matraque qui n’est plus noir, mais rouge ( Au cas où.. Je la garde toujours sur moi. Sa m’amuse de la repeindre de rouge… ) , la faisant claquer contres les barreaux des poivrots, avant de me retrouver devant la cellule du gang de Black Mask, des cris… Des crises de terreurs. Des pleur, des corps qui se colle.. Je viens frapper les barreaux pour accentuer cet effet.

‘’ Les agneaux sortit du droit chemin doivent être remis dans le droit chemin.’

Ma voix étant lourde et profonde.. Un cri.. Des cris. Des corps se projetant contre le mur le plus éloigné possible du Russe. J’observe en croisant les bras derrière mon dos. La Justice.. C’était mon affaire, et la peur est un moyen de recadrer les gens. L’épouvantail serrai fier de moi.. Un jour, faudrait que j’arrive a le voir.. On pourrait bien se frapper l’un l’autre. Bane… Lui aussi. Je voudrais mesurer ma force contre celle d’un junkie. 

‘’ Bonne nuit les filles… N'oubliez pas. Le monstre sous vos couchettes.. C’est moi. ‘’

J’ajoute, avant de partir pour l’armurie.


J’attrape-tout le merdier avant d’arriver au garage, voyant mon coéquipier du soir.

‘’ Qu’est qui dit Bullock ? ‘’ 

Dis-je avec mon infâme accent russe, je viens lui tendre la main avant de tout charger dans la voiture. M’allumant une cigarette au passage. 

‘’ Sympas le rendez-vous en amoureux hein ? ‘’

Mon regard se pose sur l’homme dont je n’arrive pas à déterminer la couleur… Il ne doit pas porter du rouge. Je viens part respect lui tendre mon paquet de cigarettes, dire de faire copain copain.

‘’ Prêt du coup ? Douglas ma rien dis de plus, j’sais juste qu’on va se mettre sur la gueule.. C’est déjà un beau programme. ‘’
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MessageSujet: Re: Comme à la fête forraine (Sergei Baranov)   Comme à la fête forraine (Sergei Baranov) EmptyLun 22 Juil - 12:44




Comme à la fête forraine
Sergei Baranov • Harvey Bullock


Le garage du GCPD : des patrouilleuses, des banalisés, quelques modèles spécials course poursuite et la Bullockmobile. Une Buick maousse capable de supporter les poids réunis de Bullock et Baranov. Appelons les : les 2 « B ». Sergei se ramena avec son attirail, Bullock leva les yeux au ciel. Le russkov. Rendu à son poids, l’élément d'intimidation majeur du GCPD, l'atout n°1 pour les jeux de poings en salle d'interrogatoire. Leçon n°32215 du GCPD : si vous allez intimider un criminel en période de probation qui sort juste du pénitencier, afin qu'il ne recommence pas, envoyez Sergei, effet garanti.

Poignée de main (à vous briser les phalanges).

« Ce que je dis ? Que cette nuit va être pourrie. »

Il déclina le paquet de cigarette tendue, il ne fumait pas. Bullock monta à bord de sa voiture tout en indiquant à son comparse que l'agent Douglas n'avait pas mit au parfum :

« Voilà le merdier : convoi carcéral attaqué sur le pont routier d'Arkham. 30 tarés en tenue orange de détenus en roue libre en fuite, tous évanouis dans la nature. Le commissaire nous as refilé l'enfant. Pendant que la Brigade anti-émeute joue à cache-cache avec les connards sur Gotham Boulevard, il envoie les limiers par groupe de deux. On doit fouiner de Highland Avenue à Chinatown. »

Bullock démarra, vrombissement du moteur. Du beau, du Bullock. A vous donner envie de faire une petite accélération à la première ligne droite. Juste pour voir si elle reste en ligne sous la poussée.

…………………………

La musique de l'autoradio de la voiture retentissait :

Visez la Bullockmobile : une poupée vaudou du Joker sur le tableau de bord. Bullock l'avait épinglé de partout (même à l'entre-deux). Une boite de donuts tremblotait face à Sergei. Harvey lui avait dit qu'il pouvait en prendre un (mais pas un de ceux au citron, c'était ses préférés). Harvey avait aussi épinglé plein de photos sur le tableau de bord et la boîte à gant. Que des scènes de crimes immortalisés par le bureau du coroner pour analyse. Le meurtre du couple Johnson, le meurtre du couple Wayne, le meurtre du couple Hoover, le meurtre du couple Todd. Tous les orphelins à côtés des cadavres de leurs parents sur les clichés. Appelons ça la galerie des chers disparus de Bullock. Pour ne pas oublier. Des affaires qui avaient hantés le GCPD en leur temps.

Bullock roulait à tombeau ouvert. Il avait foutu son gyrophare amovible sur le toit avant d'enclencher la sirène. Il fonçait à travers Foreman Avenue tout en disant à Sergei :

« ...et donc t'as ce fumier d'avocat qui a déposé plainte contre moi parce que j'avai envoyé des cartes postales avec des menaces griffonnés au dos, aux criminels que j'avai alpagué pour avoir battus un couple de vieux à qui ils avaient dérobés leur télé. Le fumier a dit que j'outrepassai mes droits avec de l'intimidation psychologique, ou un truc du genre. »

La plupart des magasins avaient leur devanture fermée. Un magasin d'armes à feu, avait son drapeau américain en berne. Des coups de feu éclatèrent dehors, se superposant les uns aux autres. La fréquence de police de la radio de Bullock crachouilla avec quelques parasites :

« Fusillade sur la 8ème à l'angle de Stanton, un taré à ouvert le feu car il en avait marre de la file d'attente dans un magasin de spiritueux. »

Bullock commenta à Sergei :

« Bof, la routine, laissons ça aux cognes du poste de Park Row, continuons à chasser notre gibier. »

Ils passèrent devant une affiche de recrutement : « Engagez vous dans le GCPD ! » avec un flic en uniforme pour modèle. Des vandales lui avait gribouillés au feutre des cornes de diable et lui avait ajouté une moustache à la Hitler. La radio crachota :

« Un taré d'Arkham signalé dans un bloc d'immeuble, juste à côté de la cité universitaire. »

« C'est pour nous ça. »

Bullock enclencha son gyrophare amovible et sa sirène de police. Il grilla un feu rouge. Ils passèrent devant une nouvelle affiche de recrutement pour le GCPD, un vandale avait tagué sur le flic de l'affiche un sourire de Joker. Bullock grilla un feu rouge. Ils passèrent devant un abri-bus. Quelqu'un y avait tagué : « Batman assure ! » Quelqu'un était repassé derrière, avait barré Batman et l'avait rectifié en « Superman ». Bullock fit un large virage façon Ben-Hur pour éviter un camion-citerne. La voiture cahota, Sergei embrassa le tableau de bord. Bullock s'engagea dans un sens interdit.

« Au fait, t'as vu le match d'hier soir ? Qui a gagné ? Les Donkeys de Gotham ou les Gorillas de Metropolis ? »

Bullock grilla un feu rouge.

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MessageSujet: Re: Comme à la fête forraine (Sergei Baranov)   Comme à la fête forraine (Sergei Baranov) EmptyMar 23 Juil - 16:21

'' Nuit pourris ? Déconne pas, on va les tirés comme canard à la fête foraine ! ''

Je viens lui mettre deux tapes sur l'épaule avant de m'allumer ma cigarette, et de grimper dans la buickmobille, sympas comme bagnole. J'accroche ma ceinture avant de me faire secouer part l'autre fou de Bullock, putain ! J'veux bien qu'il y est une urgence, mais bon.. Je me crampe tant bien que mal a la poignet en manquant de l'arracher.

'' Douglas ma pas tout dit ! C'est beaucoup plus complexe que ça en a l'air ! On va aller les ceuillires a la pelle Harvey , on va les tirés comme des lapins. De toute façon, c'est pas comme si ils étaient utiles à la société, et surtout.. Il devrait pas être bien difficile à traquer. Ils ne savent pas ce contrôlé. ''

Si seulement si savait.. Je vais les déchiqueter comme des lapins. Ma bête ne sait pas ce contrôlé, elle. C'est peut-être ça le hic. Et surtout.. Est-ce que le Bullock est prêt à voir une immondise comme elle ? Je ne pense pas non plus, c'est un choque... De voir, un tel amas de colère et de haine mélangé.


On traçait la route...

J'observe sa voiture.. Bordélique, je trouve a sont image. Mais dans son bordel, il s'y retrouve bien.. Je vois la boîte de donuts devant moi, je n'ai pas encore mangé. Je n'ai pas eux le temps, j'en attrape un.. Sans discerner les couleurs, je tombe sur un pur chocolat noir. Acre, mais ça ferra l'affaire, dans le pire des cas.. Après la mission, je me payerai de quoi manger. Pinky doit avoir de quoi bouffer en y pensant.. J'irai taper dans son frigo, au moins ses gratuit.. Et y a rien qui est mieux que gratuit.

La déco était spéciale aussi, des trophées de missions, je suppose. Ce qui m'intrigue le plus c'est les diverses photos, surement des affaires a Harvey. Mais.. C'est glauque quand même, le travail fait partie intégrante de ça vie. Au point, qu'il suis ses affaires dans sa bagnole.


Je regardé droit devant moi, regardant les paysages de Gotham qui ne change pas d'un pouce, dans cette satanée obscurité que le gyrophare transperce. J'écoute les histoires de Bullock, elles me font rire. Sur cette chose, il est aussi taré que moi sur certain point, c'est bon ça... Je rigole, j'en peux plus de ses histoires à mourir de rire, même sur celle de l'avocat.. J'l'aurrai trouver et j'lui aurai casser la gueule.


'' Non ! Tu déconnes ?! T'aurrai du lui envoyer une main d'un de ses proches ! Ça , ça fait effet.. Oui lui envoyer la tête décapitée de son animal de compagnie pour lui faire peur ! Ça marche ça ! Y'en a un qui la fait avec une tête de cheval.. Un gros bonnet de la mafia. Et même qu'ils soient contents ! On fait notre boulot, on n'outrepasse pas nos droits. C'est des putains d'ingrats ouais ! ''

Ouais, les méthodes de la mafia, je les connaissais que trop bien. À force de côtoyer les criminels, tu deviens pire qu'eux. Des coups de feu ? Trop classique les gars.

'' J'suis sûr qu'ils sont trop cons pour pas avoir un mort. Le niveau a baissé là-bas. Quand tu vois qu'il y en a un qui c'est mi une balle dans le pied.. Et volontairement, pour voir ce que ça fessait. Donc bon.. J'suis pas sûr qu'ils arrivent à faire quelque chose. ''

Je rigole, un rire jaune. Le niveau baisse de plus en plus, et les criminels deviennent de plus en plus bon dans leur domaine de prédilection.C'est ça qui me fait peur, personne n'est plus en sécurité maintenant s'ils deviennent bons.

Enfin une alarme pour nous ! À côté de la cité universitaire... Je soupire la fumée de ma cigarette avant de sortir mon premier magnum et le charger à balles réel.

'' J'ai bien fait de pas acheté un appartement pour  Tess, au niveau de la cité universitaire. Je deviendrais fou si c'était le cas. ''


Ce n'était pas rare de voir Tess dis Pinky au comico de Sergei, entre les midis pour manger avec lui quand il était là. Ou juste pour se posé en l'attendant pour rentrer à la maison le soir. Le duo est pratiquement inséparable, une cible de choix pour les criminels. Mais.. Ils avaient sûrement trop peur de la dérouiller qu'ils allaient se prendre.. Après ça, leur enfer aurai un goût de paradis.

Même les affiches ne sont pas respecté.. Le monde est tombé si bas. Un pincement au cœur, je suis trop attaché aux valeurs de l'armée et de la police. En même temps, je n'est connu que ça depuis que je suis gamin. Il prend un méchant dérapage avant de continuer vers l’immeuble. Je me concentre pour charger les balles de mon autre magnum, avant de sourire.

'' les Gorillas de Metropolis 6-2.. On ces pris une branlé mon pote. ''

Je range ma deuxième arme, je vais sûrement en avoir besoin. La voiture s'arrête, je fais un signe de tête à Bullock. Je ferme les yeux un instant, avant de faire le signe de la croix en prenant un ton solennel.

'' Alea jacta est ''

Avant de sortir de la voiture, et aller vers le bâtiment en question, attendant le gros cul de Bullock en craquant ma nuque. Je tourne ma tête vers le ciel... La pleine lune est cachée.C'est très bon ça, j'enfonce la porte de l'immeuble en sortant une de mes armes et d'activer le chien.

'' Tu prend a gauche ou a droite ? ''
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MessageSujet: Re: Comme à la fête forraine (Sergei Baranov)   Comme à la fête forraine (Sergei Baranov) EmptyMar 20 Aoû - 8:54




Comme à la fête forraine
Sergei Baranov • Harvey Bullock


En piste : l'immeuble universitaire à côté de Chinatown. Sergei avec son flingue. Qui entre dans le pallier. Un témoin tout tremblant.

« Le dingue ! En uniforme d'Arkham, il s'est tiré ! »

« Où ça ? »

Le témoin indiqua d'un doigt tremblant le resto chinois Ling's Chow Mein juste à côté de l'immeuble. Bullock revint dans la rue et jeta un coup d'oeil : Places de parking sur l'arrière, une entrée par derrière, sur la cuisine. Un accès extérieur en sous-sol. Crachotements de vapeur en provenance d'une ouï d'aération, sous le niveau du sol. Resto au rez de chaussé et cuisine en sous-sols. Bullock observa mieux : des voix qui sortait de la gaine, la trappe d'accès à la cuisine pour les fournisseurs. Sergei en entrant dans l'immeuble lui avait dit : à gauche ou à droite ? Bullock lui dit carrément :

« Gauche ou droite ? Et si on passait par en dessous ? »

Il se dirigea vers sa voiture, il ouvrit le coffre de la Bullockmobile. Il en sortit deux fusils à pompe Remington calibre 12. Il en jeta un en l'air pour que Sergei le récupère au vol. Bullock chargea bruyamment son arme.

« Ouais je sais, j'ai plus le droit d'avoir ça dans mon coffre depuis le dernier rodéo pendant le braquage de la banque Gotham Citizens. Mais on n'a rien vu. »

C'est partit : en cuisine. Deux chinois en train de faire frire de la viande. Un vieux débris en train de dépioter un canard. Repérage de la trappe : facile, soulever la paillasse près du four. Un autre sous-sol sous le sous-sol. Ça sentait l'activité clandestine. Les cuisiniers repérèrent les deux flics. Bullock tendit son insigne devant Papa-San. Le vieux se frotta les doigts.

« Territoire du Pingouin ! Je paye ! Je paye ! Je paye ! Partez ! »

« On s'en fout de ce que tu manigances pour Cobblepott. On cherche un autre client. Un taré évadé d'Arkham. »

« Laissez nous tranquille ! Je paye ! Je paye ! »

Les autres chinois tournèrent autours d'eux. Papa-San menaça Baranov et Bullock avec son tranchet.

« Vous partez maintenant ! Je paye ! Vous partez ! »

Un chinois tenta une prise de kung fu sur les deux flics pour les neutraliser. Mauvaise idée. Effet manqué. Bullock balança un coup de crosse avec son fusil. Papy se le ramassa à la ceinture. Il alla s'écraser sur le fourneau. Le visage toucha le brûleur. Les cheveux prirent feu. Les chinois chargèrent. Bullock fracassa des côtes avec la crosse de son fusils. Des bras et des jambes qui s’emmêlent. Pas moyen de tirer au plafond avec le flingue pour ramener le calme. Papy plongea la tête dans l'évier puis chargea, le visage tout noir, calciné. Balayage aux genoux. Papa tomba au sol. Le tranchet toujours collé à la main. Harvey mit le pied dessus, fit craquer les doigts. Papa se mit à hurler. Harvey le traîna jusqu'au four, et vira la paillasse à coup de pied. Trappe ouverte d'une fraction, traîner le vieux en bas.

Fumées : opium et vapeur. Harvey réduisit Papa-San au silence. A travers les fumées : des téteurs de came sur des matelas. Pipes à opium partout. Les flics se frayèrent un chemin à coup de godasse. Les camés grommelèrent et frappèrent dans le vide avant de retéter, direction le pays des rêves. Bullock tapota l'épaule de Sergei en lui indiquant une piaule sauna dans le fond. Il défonça la porte. Une brume de vapeur. Le taré d'Arkham à poil qui avait viré ses fringues oranges de détenus par terre. Pour se faire passer pour un occupant du sauna. Au moins 6 personnes dans le sauna. La brume n'arrêtait pas de sortir des murs. Le taré bougea le premier. Deux mecs serrés en étranglement contre lui  comme protection, Bullock ne pouvait l'aligner. Il avança sur lui et décoinça les « otages ».  Les gens dans le sauna glissèrent et trébuchèrent pour gagner la porte. Le taré glissa des bras de Bullock et décampa. Harvey cria à Sergei :

« Choppe le ! »

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MessageSujet: Re: Comme à la fête forraine (Sergei Baranov)   Comme à la fête forraine (Sergei Baranov) EmptyLun 26 Aoû - 20:38

Un témoin paniqué, la peur.. Ça a un goût et une odeur inimitable. J'accompagne Bullock, écoutant se dernier avant de secouer la tête, comme si l'ordre avait, était reçu. Il va se planquer parmi les niakoué et les jaunes... L'enfoiré ! Au moins, on va pouvoir se tirer avec de la bouffe.. C'est le bon plan. Resto'.. On passe part devant et on canarde tout ce qui bouge. Jusqu'à ce que le collégue propose de passer part en dessous..


'' Tu sais que ça m'botte bien ça Bullock ? ''


Je viens rattraper le fusil part la pompe avant de donner un coup sec pour pour le charger et le prendre à deux mains. Remington cal 12 ? Très bon choix mon petit cochon Américain. Meurtrier.. À souhait. Un de mes gars un utilisait un , il était pas mal fiable et il l'avait trafiqué pour le transformer en lance-grenade au besoin. Je caresse le canon avant de regarder le gros.

'' Petit cachottier, on a tous fait des conneries.. Mais on fait notre devoir, du coup... La légalité ou pas j'ai envie de dire. Tant que tu planques ça bien, j'fermerais les yeux. Effectivement.. Ma maladie m'empêche de voir, j'ne vois pas que ta quoi dans les mains ? ''


Je m'arrête de sourire avant de suivre Bullock dans les petits espaces que nos gros gabarits on du mal a passer avant qu'on sorte. Il s'occupe du daron-sama, du coup, je m'occupe des enfants-san, c'est rapidement fini.. Un coup de tête nez casser, attraper un poing, tordre le poignet et mettre un coup-de-poing pour briser une mâchoire. Mes yeux deviennent jaunes, je dois maîtriser la colère sinon ça va partir en carnage. J'entends un bruit, une fille en pleur. Je m'abaisse, elle recule, elle sent quelque chose, je lui souris gardant ma voix roque.


'' N'est pas peur d'accord ? Tu va nous faire un assortiment de bouffe et on va partir une fois qu'on a fini notre boulot, ok ? ''


Elle est plus raisonnable que ses frères et sont père. Je viens lui glisser un billet de vingt dollars, ce qui la fait souris. J'arrive même à lui sécher une larme, lui faisant un clin d'œil. Pars moment, faut savoir usé du social. Je me relève avant de courir après Harvey. Il est parti le descendre, très bien.. Fumée a le con et opium a la con, je passe avant de mettre un coup de ranger dans la mâchoire d'un, putain de droguer. Faut exterminer ses sales races, j'en profite pour briser plusieurs machôire, des nez et leur mettre une dérouiller à certain qui me crache dessus.


Mon compagnon défonce la porte, je braque mon fusil sur l'autre qui s'est foutue a poil. Je viens mettre un coup de crosse à un jaune qui chercher les emmerde, le laissant ce vidé de son sang pendent que la panique gagne les gens. Je sens un chatouillement sur mon épaule, un m'avait planté un couteau papillon.. Je viens me retourner, ma résistance a la douleur me permettant d'encaisser largement ça. Coup de crosse, coup de ranger dans les côtes. Avant de lui cracher dessus.


Le temps que je face ça, l'autre se barre et avec une grâce tel un éléphant. Je passe à courir a travers le sauna. Il passe part la case restaurant, la partie publique cette fois. Il se mange une table ce qui le ralentie sous le regard horrifier des clients et client. Je viens glisser sur une table avant de le choper au cou et l'amené au sol. Lui mettre deux coups-de-poing et un coup de crosse et le menotté, du sang sur le visage, je me relève avant deux voir deux autres avec un couteau et une batte baseball, comment ils ont fait pour en avoir ? Je grogne à leur encontre, la foule essayant de trouver une issue pour fuir.
'' Posez vos armes où je vais devoir utilisé la manière forte. ''

Des rires, satanés rire de hyène à la con ! Mon cou se tend et craque, non pas maintenant... Pas maintenant. Ma condition physique se rapproche a quelque chose de plus animal, mes yeux reprenant cette teinte jaune qui c'était calmer. Un fonce et vient me mettre sont couteau dans le bide, sainte douleur.. Part Saint-Michel , je vais vous démolir le crâne.

Une claque patriarcale pour un qui le met K.O, l'autre qui me met un coup en plein dans les côtes je lui met aussi le revers patriarcale, deux K.O. Je l'est menotte avant d'en prendre deux sur les épaule, un part le col-back que je traine, me dirigeant vers le comptoire ou la chinoise de tout a l'heure a posé les sacs.


'' combien ? ''

'' 50 dollar s'il.. Vous plais.''

Elle avait la peur au ventre, un homme plus animal qu'autre chose avec du sang et deux couteaux , sûrement une côte endommagée qui se tiens encore debout, sa impressionne. Je lui donne l'argent en prenant les deux sacs de bouffe avant de rejoindre le copain Bullock.

'' Tien, j'ai des cadeaux. On les dépose où ? ''

Je lui montre les sacs de bouffe.


'' Faudra pas laisser les croissants refroidir. ''
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MessageSujet: Re: Comme à la fête forraine (Sergei Baranov)   Comme à la fête forraine (Sergei Baranov) EmptyMar 17 Sep - 10:21




Comme à la fête forraine
Sergei Baranov • Harvey Bullock


Bullock décampa du sauna pour tenter de suivre Sergeï qui coursait après le fugitif. Comme la cavalerie polonaise, Bullock surgit en retard et tomba sur son comparse en pleine action. Les chinois avaient remit ça avec lui. Mauvaise idée…

Double combo pour ce soir : le taré rattrapé et en plus Sergeï qui avait su dégotter canard laqué et nouilles sautées. Bullock bouffa sa ration assis sur le dos du taré d'Arkham, entravé au sol, à plat ventre, les mains menottés. Coup de téléphone. Les flics étaient venus avec un panier à salade pour le taré et pour les membres des triades qui leurs étaient rentrés dans le lard. Plus un fourgon médical rien que pour Baranov. A lui suturer ses plaies et à lui passer un coup de désinfectant sur ses multiples écorchures. Bullock se bichonna son fusil à pompe après avoir finit ses nouilles et demanda au lieutenant qui dirigeait la brigade en train de fermer le clandé et d'évacuer les drogués de la fumerie d'opium clandestine :

« On en est où pour les autres fugitifs d'Arkham ? Vous en avez retrouvés combien ? On doit se charger d'un autre client ? »

« Y'a moyen, On a Chuckie Farhood, l'auteur des meurtres Ludlow-Dragnet. Il se planque dans le quartier chaud probablement, si on prend en compte ses relations connues. Il fréquentait souvent une librairie porno. « Le monde des adultes de Big Bob » si je me souvient du rapport. J'y ai envoyé deux hommes déjà. »

Bullock en train d'agiter ses deux baguettes chinoises vers Sergeï, avant de les balancer pour brandir son fusil à pompe.

« C'est pour nous, le quartier chaud est à côté de Chinatown, avec un peu de chance on arrivera pour les festivités. »

Direction la Bullockmobile.

………………………….

Ils se garèrent juste devant la fameuse librairie. Bullock planqua les fusils à pompe dans son coffre. Un des flics en uniforme était en faction devant. Il reconnu aussitôt Baranov et Bullock. Il leur dit :

« Vous venez pour Chuckie comme nous ? Mon collègue a demandé au type de la librairie  de caler le film de surveillance de la caméra du magasin, pour qu'il démarre après l'évasion de ce soir et nous montre les deux dernières heures. On va savoir si Chuckie est repassé ici. Si vous voulez allez voir l'écran, c'est dans la cabine du fond. »

Il leur indiqua du pouce la direction tout en jetant un regard inquiet à Baranov.

« ça va Sergeï ? On dirait qu'un camion t'es passé dessus. »

Bullock entra le premier et ignora le vendeur. Le type se recroquevilla juste en apercevant Sergeï. Il leur désigna le « Couloir du Cul » s'ils souhaitaient accéder aux enregistrement de la caméra de surveillance. Bullock s'engouffra dans le passage entre deux panneaux mobiles d'où pendait des sextoys. Il passa devant du porno sous plastique posé en pile. Les deux flics durent se baisser pour passer sous les braquemarts en caoutchouc. Ils atteignirent la cabine où le second flic était déjà en train de repasser les images de surveillance. Le film tourne. Images en noir et blanc. Ils virent des tocards en train d'acheter des sextoys et des ado boutonneux en train d'acheter « Foune-O-Rama », « Fri-fri Magazine » et des mecs en train de feuilleter : « Fred chez les Grecques », « Plus c'est bon, plus c'est long », « Longues et vigoureuses », « Montés comme des ânes ». Bullock se marra et donna un coup sur l'épaule du flic en uniforme à la rigolade. Les images défilèrent : « Les aventures de Dard-Dard », « Les vacances grecques de Dard-Dard », « Dard-Dard rencontre Vic-Vaseline ». Bullock se bidonna, le flic avec eux hurla de rire et donna une ta pe sur l'épaule de Sergeï. Bullock pointa son doigt :

« Là ! »

Un mec en tenue orange de détenu d'Arkham.

« On le tient. »

Ils appelèrent le vendeur. Bullock lui enfonça son index dans les côtes.

« Tu le connais ? »

« Ouais, c'est Chuckie Farhood, il aime les filles, les très grosses. Avant de finir à l'asile pour meurtre, je sais qu'il dirigeait une équipe de call-girls obèses. Je ne plaisante pas, des vrais quart de tonnes. »

« Abrège. »

« D'accord, les filles de Chuckie racolent dans l'immeuble « Sunset » au coin de la 6ème. Et vous ne l'avez pas apprit de ma bouche. Moi je suis un type propre qui fait un sale boulot. »

…………………………

La Bullockmobile se gara devant le Sunset. Bullock observa les noms sur les boites aux lettres dans le hall de l'immeuble. Une vieille expliqua à Sergeï et Harvey :

« Une très grosse dame, elle peut pas monter l'escalier toute seule. »

« C'est forcément ça, on le tient. »

Ils se dirigèrent devant la porte de l'appart n°106 et frappèrent à la porte. Ils entendirent brailler une télé. Une femme hurla :

« Je suis couchée ! Je ne peux pas me lever ! Je suis trop lourde ! »

Ils entrèrent. Visez les murs : tapissés de photos-testaments au format 20 fois 25. Des monuments à une obésité morbide. 400 kilos et plus. La progression dans l'horreur. De plus en plus fort. Bullock pria pour qu'on puisse faire de la gym au paradis. Une porte entrouverte, une voix :

« Je suis là. »

Bullock poussa la porte. Le lit : un essai d'endomorphisme. Immense, large, boulonné au sol. Sur le lit, une femme, horriblement obèse.

« Police, nous sommes ici pour... »

Il s'arrêta net en voyant l'arme. L'instinct : Harvey plongea sur le plancher en entraînant Sergeï avec lui. Il sortit son flingue mais il lui échappa par maladresse. Il aperçut l'arme et le tireur. Chuckie, le mini-mec était SOUS le gros tas. Il fit feu, deux balles se perdirent et manquèrent Baranov et Bullock. Emmêlé contre Sergeï, merde, impossible de récupérer son flingue au sol. Gros tas plonge la main sous un oreiller. Merde, voilà un 44 magnum. Chuckie tira au dessus de leur tête, contraint à la maladresse sous le poids. Bullock roula sur lui même et dégaina l'arme que Sergeï portait planqué dans un étui à sa cheville. Gros tas vise et tire. Un morceau de mur vola en éclat au dessus des deux flics. Bullock visa et déchargea le chargeur entier sur gros tas. L'obèse se plia en deux et mourut. Restait Chuckie. Vite un flingue ! Bullock et Sergeï, toujours au sol emmêlé. Bullock dégaina l'arme que Sergeï portait planqué dans l'étui de son autre cheville. C'était pas un flingue mais un nunchaku. Bullock fixa Sergeï :

« Sérieux ?! »

Chuckie fouilla sous le second oreiller et en sortit un MAC 10. Bullock lâcha :

« Et merde. »

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MessageSujet: Re: Comme à la fête forraine (Sergei Baranov)   Comme à la fête forraine (Sergei Baranov) EmptyMer 25 Sep - 17:39

L’ambulance était venue me recoudre et faire leur bordel médical pendent que je dégommé mon kilos de bouffe asiat’ : nouille sauté au bœuf, yakitori et porc au champignon noir.
Ouais, je bouffe beaucoup et je vous emmerde royalement.
Nouille sautée au bœuf, yakitori et porc au champignon noir. Je m’allume une cigarette, la bonne gitane au tabac brun. Des souvenirs de la légion ça, ça restera ma marque de cigarette préféré. Je l’entends qui est au téléphone, je ne dis rien.

Ça me laisse le temps de me calmer, mais pour le coup mes yeux restent jaune. Mais jaune en couleur d’yeux, c’est pas normal enfaîte. Et mes crocs reste également la, ce qui est problématique. Je m’efforce de rester neutre. La colère en moi n’est pas encore décidée à se taire. J’entends la moitier de la conversation.. Super un magasin de sextoy. Je vais en profiter, on dirait bien..

‘’ Ouais, on a encore une paire de ses branleurs a arrêté. En plus, j’avais prévu de laver l’église. Ils ne peuvent pas se tenir tranquille bordel ! ‘’

On monte dans la Bullockmobille que je commence a bien aimé. Le trajet fut assez long pour moi, la bête voulait sortir, mais je n’étais pas de cet avis. Il faut garder le contrôle, je dois garder le contrôle. Mes traits se changent et se rechangent passant de l’homme au loup, ce qui doit être assez dérangeant pour Harvey. Peu sont au courant de la véritable nature, je dois continuer de garder le contrôle.

On arrive au paradis du cul, le fameux magasin de sex-toy, on entre avec Bullock. Je lui dis tout bas ‘’ Oui. ‘’, assez pour dévoiler mes crocs en continuant d’avancer, on passe dans les rayons. Je m’arrête sur les magazines et livres… Je regarde a droite, à gauche. Ma large main, attrapant plusieurs magasine tel que le Dorcel Mag’ , Playboy ou encore Gotham City Girls. Puis prenant deux livres aux titres explicites : Night Move et Leather&Lace.

Je payerais après l’opération, en attends, on s’enfonce. Je pique aussi des dvds, je ne citerais pas de nom. Je donne un coup de coude a Harvey.
‘’ Et tu l'as vu celui-là ? Les douze coups de Medhi, James Bande : L’homme au dildo d’or , les fables de la femme fontaine, Sire anus de begerac, et regarde celui là ! Sexe Veineux pour femme vénale ! Excellent ! Terrible celui-là : Bat-Braquemard et Robite ! ‘’

On rigole comme des gros beaufs après plusieurs ricard, je l’avoue, on est pas malin, on choppe le détraqué. Je regarde l’image même si j’ai du mal a la comprendre, la vidéo en noir et blanc en plus de ma vision de merde ça n'arrange pas le bousin. Le vendeur est la, je m’énerve, venant claquer mon poing dans le mur qui se fissure sur le côté. Hurlant de dire ou il se trouve et si il le connaissait. Des call-girl obèse… ? Sérieusement. Les gens sont complètement fou ici.

On se fait alpaguer part une grand-mère, elle nous explique.. On arrive à l’appartement, on sort les armes, j’ai cru vomir en rentrant sous tant de photo d’horreur. Des killos de gras amasser… LES GENS SONT DÉGUEULASSE BORDEL. On défonce la porte de la chambre avant de me faire entrer dans le plongeon du Ricain, sa tire de part tout avec l’autre chuckie qui est planquer sous le gros tas qui meurt sous ls balles de mon collègue. Bon, le mac-10 on ne va pas le cacher, généralement

‘’ Bah quoi ! Je m’entraîne, un peut de folie voyons ! ‘’


Mon maniement du nunchaku est vraiment pas parfait, sa me demande encore pas mal d’entraînement, il va commencer a tirer sa je le sens. J’arrive à me défaire de la chaleureuse étrainte de Bullock.

‘’ Désolé poupée ! Mais t’est pas mon type d’homme, trop barbu !’’

Dis-je avec un ton ironique, avant de se retrouver nez à nez devant l’homme qui vient tirer plusieurs balles, l’arme étant trop puissante pour ses deux petit bras.. Il tire sur la droite, je me prends deux balles dans le corps. Ça brûle légèrement, ma tolérance a la douleur aidant. Part contre, je suis désolé Harvey, tu vas voir quelque chose que tu vas vraiment pas pouvoir aimer. Je commence a devenir tout rouge, je me tords sur moi-même, des bruits d’os qui craque. Mes yeux deviennent jaunes pendent que mes crocs poussent encore, un peux de poil se fait voir sur mes mains, et des griffes me pousse aux doigts. Chuckie est apeurer, se rendant, mais.. On ne s’en sort pas comme ça. J’attrape le gros tas de chaire et de graisse de quatre cent killo, une veine sur mon front se fit voir. Je commence a la soulever, lentement en hurlant. Sous le regard apeurer de Chuckie,je la lève au-dessus de ma tête. Avant de balancer le corps contre un mur, le poids plut la puissance de lancé la fessant traversé le mur. Chuchkie est au sol , rampant au sol se relevant en reculant doucement.

‘’ Eh mec, calme… CALME ! Je peux te payer des escort au pire ! ‘’


Et là ni une ni deux, je cours lâchant un double dropkick en plein dans la mâchoire de Chuckie, lui déboîtant, lui cassant des des dents et lui brisant le nez au passage. Je craque encore, les os suivant. Je reprend une forme un peux plus humaine avant de lui passer les menottes. Et de regarder Harvey qui devait se demandait ce qui se passe.

‘’ Je peux t’expliquer. ‘’


Dis-je, en attrapant le détraqué part le col-back. Le traînant et aidant Bullock se relever, j’attrape mon zippo avant de contracter mes muscles pour faire sortir les balles et me cautériser à l’ancienne avant de descendre, traînant part le pieds l’autre con. Les flics étaient déjà là. J’attrape ma radio pour intercepter une communication.

‘’ Je répète , rassemblement de personne a six kilomètre du Sunset, nous identifions entre vingt et vingt-deux échappées d’Arkham. ‘’

‘’ Je prends, n’envoyer pas de renfort. ‘’

Je fais signe de tête à Bullock de monter, il conduit comme d’hab. Je n'aime pas conduire. Je balance tout se que j’ai chipé a l’arrière. Les récupérant a la fin de l’opération. Je regarde Bullock.

‘’ Au sujet de ce que tu viens de voir.. Je ne sais plus si je suis humain. Je pense que l’affrontement est inévitable, et que ma colère va exploser. N’en parle a personne, tout va être un bain de sang. Si je ne redeviens pas humain, fuis. Dis que je suis sur le terrain a la traque d’autre personne, que c’est une longue nuit pour Baranov. Je te fais confiance sur sa Bullock. ‘’


Je me tais, le silence du soldat, qui inspecte son arme, fumant sa gitane qui pourrait être encore sa dernière. J’en rêve tant, que se sois ma dernière cigarette.
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MessageSujet: Re: Comme à la fête forraine (Sergei Baranov)   Comme à la fête forraine (Sergei Baranov) EmptyDim 29 Sep - 14:59




Comme à la fête forraine
Sergei Baranov • Harvey Bullock


Bullock se crut le jouet d'une hallucination. Baranov tourna loup-garou sous ses yeux. Il n'avait pas vu aussi déroutant comme transformation, depuis la fois où le savant Kirk Langstrom s'était transformé en Man-Bat devant une dizaine de flics avant d'aller se coltiner un pas de tango aux poings avec Batman. Bullock jeta un regard torve à son acolyte en train de menotter le tocard. Sergeï lui annonça qu'il lui apporterait une explication. Bullock lança méfiant :

« Hum hum, y'a une histoire là dessous. Bon dieu : Baranov le méta-humain, voilà autre chose. »

C'est donc d'humeur maussade que Bullock quitta l'immeuble en compagnie de son comparse et du taré menotté. Le fourgon carcéral se ramena pour emmener leur colis qui pleurait après la perte de sa chérie. Bullock l'ignora, réalisant que c'était grâce à sa « nature » que Baranov avait pu encaisser toutes ces blessures et ces projectiles. Une fois séparé de Chuckie et en route vers le nouvel attroupement qu'on leur avait signalé, Bullock écouta la confession de Sergeï et commenta :

« Bordel de donuts, pourtant j'en ai vu des trucs bizarres dans cette ville. Je veux dire, des méta-humains y'en a plein à Gotham : Geule d'Argile, Killer Croc, Man-Bat, Mr Freeze. Mais un foutu garou ? Tu t'es fait mordre par une de ces bestioles ou quoi ? »

La Bullockmobile stoppa en pleine voie. Visez le tableaux. Bullock lâcha dans un souffle :

« Par tous les donuts de Gotham ! Regarde moi ça, c'est comme à la fête foraine ! »

20 agents du GCPD en tenue en train de remonter l'avenue au pas de charge. Ils étaient équipés de fusils et de matraques. Ils raflaient les tarés évadés. Ils tiraient des décharges de gros sel sur des fuyards en uniforme orange de détenus. Ils extirpèrent d'un bar un des criminels qui essayait de se planquer. Un fourgon cellulaire se ramena pour ramasser la cueillette. Quelques flics bourrèrent de coups les criminels allongés sur le bitume. « Démonstration de force ». Bullock qui soupire vers Sergeï :

« ça commence à me peser, je te laisse la corvée. »

…………………………

Un peu plus tard.

Bledsoe, la capitaine de la Brigade Anti-émeute du GCPD se ramena devant l'officine du coffee shop où les flics avaient établis leur camp provisoire. 4 fourgons cellulaire étaient garés sur le parking de l'endroit. Leur moteur tournait au ralenti. L'officier aperçut Bullock accoudé contre sa propre voiture, en train de baffrer dans une boite à donuts qu'il tenait d'une main distraite. Le capitaine demanda :

« ça en est où ? On m'a apprit que vous étiez en train d'interroger tout le monde pour savoir qui avait orchestré leur évasion d'Arkham. Ils ont crachés le morceaux ? Le gang du Pingouin ou celui de Black Mask ? La mafia peut-être ? Les Falcone ou les Maroni ? »

« J'en sais rien patron, je crois que l'interrogatoire est encore en cours. »

Bullock désigna du pouce derrière lui, les fourgons en train de tanguer sur leurs amortisseurs. Les cris empirèrent surtout dans le tout dernier fourgon. L’officier entra dans le premier fourgon. Sur le banc, 6 tarés menottés ensemble. Un flic armé d'un tuyau en caoutchouc, l'extrémité entourée de toile adhésive servait de poignet. L'autre bout pissait le sang. L'officier ressortit et monta dans le second fourgon. Sur le banc, évadés menottés ensemble. Le flic qui menait l'interrogatoire était armé d'une matraque souple en cuir, lestée de grenaille de plomb. L'officier ressortit et monta dans le 3ème fourgon. Sur le banc, 5 criminels menottés ensemble. Le flic qui posait les questions tenait son flingue crosse en avant pour cogner. L'officier ressortit et monta dans le dernier fourgon. Sur le banc, 16 détenus menottés ensemble, tous prit de panique et d'hystérie… Sergeï Baranov n'était armé que de ses poings… Une de ses victimes hurla vers le capitaine :

« PITIE !!! LAISSEZ MOI SORTIR !!! NE ME LAISSEZ PAS AVEC LUI !!! »

Le type en train d'haleter et de reprendre son souffle, à cracher le morceaux, une vraie mitraillette de parole.

« C'est-Umberto-Maroni-qui-nous-as-fait-évader-je-le-sait-car-je-suis-dans-son-gang-contrairement-aux-autres-il-voulait-faire-évader-un-maximum-de-mecs-pour-que-vous-les-coursiez-pour-que-ça-occupe-Batman-et-tous-les-flics-que-vous-soyez-trop-débordé-pendant-un-mois-pour-enqueter-sur-nos-braquages. »

L'officier, à fouiller dans sa poche de veste pour en sortir un flacon. Eau de Cologne, qu'il tend à Sergeï.

« Mettez moi ça, y'a comme une odeur de sang sur vous. »

…………………………

La Bullockmobile à tombeau ouvert avec sirène hurlante grâce au gyrophare amovible.

« J'en ai marre, j'en ai marre, j'en ai marre. »

Bullock, la chair de poule, à étouffer son volant de voiture de ses deux mains en accélérant.

« Umberto Maroni, mais quel con ! Son vieux à déjà défiguré Double-Face, maintenant il joue avec Arkham. Quel emmerdeur de première. La prochaine fois on allume le bat-signal et on lui envoie Batman dans la tronche, on a autre chose à faire bordel ! »

Bullock grilla un feu rouge.

« On se le fait et ensuite je me prend tout mes arriérés de congés et je vais aller me mettre au vert dans le Colorado. Z'ont des forêts là bas, c'est pas comme ici. »

Là : Lydon Street, quartier résidentiel avec maisons proprettes et cour d'asphalte. Voilà la villa du crooner rital par excellence de la cote Est : Buddy Grecquo. Le salopard était en cheville avec la Mafia. Relation connue de : Umberto Maroni, fils d'un des deux principaux parrains de la Mafia de cette foutue ville. Bullock se gara en pleine voie et sortit furax, sans refermer sa portière, comme s'il en avait marre (mais d'une force). Il passa en coup de vent devant une table de ritals en train de s'engnôler. Le parc de stationnement au sol gravillonné était remplit de limousines mafieuses. Regardez un peu le jardin : chaises longues, des prostituées chaperonnés par des mafieux sur fond de musique sirupeuse. Voilà Buddy, en vrai camelot à distribuer par pleine poignet des places pour son prochain spectacle musical. Quelques ritals ivres zigzaguèrent et tentèrent de faire high5 à Baranov. LA ! Voilà Umberto. Il piqua un fard juste en apercevant les deux flics et prit la tengeante. Il s'engouffra dans une Chevy et fit gicler le gravier comme s'il avait un rencard bien brûlant quelque part. Pied au plancher. A semer les flics en dernière seconde dans l'arrière cour où ils avaient fait irruption. Ils aperçurent la voiture en dérapage, en train de s'éloigner.

Bullock tourna la tête. Là garé bien sagement sur le côté de la propriété, les clés sur le contact : la moto de Buddy, une vraie, modèle easy rider. Bullock dans un souffle :

« J'y crois pas, Buddy le rital est en fait un biker, un vrai ? »

Regard vers Baranov, leurs ondes cérébrales se nouèrent en pensant à Umberto Maroni en fuite.

« Tu sais conduire ces machins, pas moi, je monte derrière toi, tu le rattrape et on se le fait. »

Bullock qui plante un doigt inquisiteur en plein milieu du torse de Sergeï.

« Je les veux mes putains de vacances ! Et c'est pas négociable ! »

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MessageSujet: Re: Comme à la fête forraine (Sergei Baranov)   Comme à la fête forraine (Sergei Baranov) EmptySam 12 Oct - 16:03

Bullock n’en revenait pas de ses yeux, ce que je comprends. Pas simple d’avoir son collègue qui peut te déchirer le cul s'il le veut. L’ambiance était trop silencieuse, pour une fois, le silence me dérangeait. Mais que dire, je ne sais pas si je suis méta-humain. Et ma rencontre avec Constantine.. Il m'a dit que je n’étais pas d’origine magique, alors qui-suis-je ?


‘’ Je ne sais pas si je suis méta-humain, du moins je ne pense pas.. C’est quel que chose ancrée en moi. Les garous ne doivent sûrement pas exister , du moins… J’en sais foutrement rien ! Je suis sur qu’il y’a une explication derrière, quand j’active ça là.. Ça me brûle au plus profond de mon être. Une flamme s’allume, c’est dur de garder le contrôle. N’en parles pas s’il te plaît, Harvey, tant que je n'ai pas élucidé ça. Et je ne sais pas comment l’élucider, bien plus complexe qu’une affaire bordel. ‘’

La sueur est présente, la vieillesse me rattrape de plus en plus. Je viens sortir de ma poche un tube orange avec plusieurs médicaments a l’intérieur, je l’ouvre avant de prendre plusieurs pilules. Les mâcher bruyamment et ranger ce fameux tube. Je soupire un peu, encore quelques années à tenir avant de mourir, je peux le faire. Je ne peux pas encore mourir maintenant, si la guerre ne ma pas eu quand j’étais jeune, c’est la mort qui ne m’aura pas maintenant. J’attrape ma flasque de vin, buvant plusieurs gorgée pour faire passer le goût de chiotte des médoc’.

Et on arrive devant un tableau magnifique : démocratie en train de frapper du les criminels.
Putain, je lâcherais une larme tellement c’est beau.. Ils se font tous tirés comme des gosses qui pêcheraient des canards a la fête foraine.

‘’ Matte moi ça, ces beau putain ! On dirait des gosses devant un stand de barba-papa. ‘’

-----------

J’étais dans le fourgon, seize devant moi.. Le fourgon bougé dans tous les sens pendent que les cris se fessait entendre à l’extérieur. Le sang recouvrait la peinture grisâtre des murs du fourgon, mes poings était lourd a force de coups. Celui qui a parler.. Je l’ai torturé.. Vraiment.


J’ai pincé sa peau pour faire rentrer mes doigts sous, avant d’attraper un os qui portége le coeur et j’ai tiré. Je vous laisse pas imaginé la douleur que ça procure, mon visage de sang était repeint, je vois plus grand-chose a force, avant tous son sang. Son os commence à craquer pendent que les pleures de la victime se font entendre. Aller, je sais que tu va parler. Il parle effectivement. Je ne bouge pas. Je viens casser l’os part pur plaisir sadique, et parçeque je suis flic.. J’ai le droit de faire de l’abus. J’ai un quota de 10 % d’abus de mes pouvoirs sans me faire niquer, autant que j’en profite non ?


Le chef arrive, je me déverse l’eau de Cologne avant de sortir et de tout raconter a Bullock. On m’avait filé une serviette qui était passée de blanche a rouge sang, et j’en avais encore plein sur la figure, vivement que la journée se finisse et que je prenne une bonne douche. On grimpe en voiture avec Harvey, il roule comme un dingue je fume une cigarette.

‘’ Bat-man ? Pas con, il réglerait le travail six fois plus vite que nous en voiture. C’est un truck de fou quand même. La chauve-souris inspire bien plus la peur que toi oui moi, pourtant on est déjà deux grosses couilles dans Gotham. ‘’

Sa m’arrache une toux grasse digne d’un fumeur, j’essaye de calmer le feu de mes poumons. Ce qui est difficile avant de sourire aux paroles de mon compagnon.


‘’ L’air industriel et sombre de gotham ne va pas te manquer ? Après, j’dis ça, mais.. Tu vas prendre des couleurs. Ici, y a pas de soleil limite. Ça va te changer le Colorado, tu va revenir rouge comme une crevette ! ‘’

Je rigole avant de venir cracher un mollard part la fenêtre. Bordel, je pète un câble si je peux plus fumer non plus. Pourquoi on n'a pas une santé de fer bordel ? On arrive enfin à l’endroit du ‘’ rendez-vous’’, paradis mafioso, des putes mineurs et compagnies. Ils méritent que je les brûle vif. Ça me rappelle cette fois où j’ai brûlé le chien d’un criminel en probation..

On s’avance, on le voit qui se barre. Et la moto est désignée. Un sourire au lèvres, je me tourne vers lui.

‘’ On dirait. ''

J’enfourche la bécane avant de regarder Harvey. Qui gueuler pour avoir ses vacances, je tourne le contact pour faire rugir la bête il monte derrière moi. Je démarre, commencent a la rouler derrière la chevy qui fait des zigzag.

‘’ T’inquiètes ! Tu vas les avoir tes vacances fils ! ‘’


Course poursuite, il tire. Aller Harvey le rate pas ! Bon parés, avec un flingue neuf millimètres ce n'est pas gagner. Je me colle comme je peux, mais il conduit dangereusement du coup.. C’est la merde. La grosse mierda ! Ce qui est bien avec les mafieux, c’est qu’ils ont toujours quelque chose à feu dans leur bécane ou caisse. Y a un étui bien décoré avec un fusil.. Mythique, le fameux winchester modèle 1887. Oh merde, je me sens comme terminator.

Je regarde Harvey qui dois se demander quoi, mais il peut discerner dans mes yeux un plaisir malsain, je prends l’arme de ma main gauche. Avant de me mettre au niveau de la fenêtre de la chevy avant de croisé le regard du bandit en fuite. Il voit bien le flingue, et accélérer. J’hausse les épaules, avant pointé l’arme vers la voiture et tiré plusieurs fois. Rechargeant comme le terminator, elle est agréable cette arme pour finir.. Je sens que je vais la modifier. Et la moto au passage aussi je vais la modifier, j’étais contre les motos en service, mais c’est putain de pratique.

Fini de rigoler, je vide le chargeur.. Je tire la dernière balle dans le pneu qui éclate. Cette derrière fessant un tonneau et commençant à prendre feu. Je m’arrête brusquement avant de descendre et aller au niveau de la portière. Je force en utilisant ma demie forme, arrachant la portière que je vire au loin. Avant de le trainné, il a peur. Sommant de m’arrêter sous peine de représailles. J’en est vraiment rien à foutre enfaite… Je lui pique ses lunettes de soleil avant de les mettre. Noir sur noir ça ne se vois pas pour ma vue de toute façon, je ne vois déjà pas les couleurs. Il me soûle le bandit de bas étage.. À geindre et a se plaindre. Je prends la célèbre voix grave, qui fait fondre les filles et peur aux hommes.

‘’ Hasta la vista, baby. ‘’


Je lui mets un coup de crosse dans le pif. Cinq minute après, le fourgon arrive l’embarquant. Je profite pour re-faire le plein de munition. Je m’approche de Bullock lui serrant la main avec un grand sourire, montrant mes dents casser et le peux de celle qui me reste de bonne.

‘’ Merci pour ce soir fils. Profite de tes vacances, tu les as méritées. Ramène-moi un grigri aussi, j’suis sûr qu’il y a une belle connerie sûrement au Colorado qui te coûtera moins d’un dollar‘’

Je me dirige vers la moto, l’enfourchant, je range l’arme dans son fourreau.. Je donne plusieurs coups d’accélérateur avec ma main droite, je fais un dernier signe de main à Bullock. Avant de démarrer m’engouffrant dans les profondeurs sombres de Gotham, lui laissant la paperasse.

Que se soit de jour ou de nuit, les flics font un boulot ingrats. Beaucoup ne comprennent pas ce qu’on fait pour eux et tout ce qui passe dans l’ombre. Peux aime s’aventurer dans le vrai Gotham sombre ou les gangs règnent en maître tyrannique. Ça ma jamais problème de tuer, ou encore de torturer pour avoir des informations. La guerre m'a enlevé le peu d’humanité qu’il me reste, on m'a aussi torturé après tous, j’ai morflé.. J’ai ce pouvoir qui me brûle a chaque fois que je l’utilise…


Grandissant dans la lumière dorée, les hommes deviennent bon.
Quant à moi ?..
C’est dans l’obscurité où j’ai découvert la vraie vie, dans la Mort de la Lumière.

Puisse Dieu n’interdire mon accès au paradis, que le Diable garde mon âme.




The End ~
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