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 It was a god day [Sliver banshee]

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Anonymous


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MessageSujet: It was a god day [Sliver banshee]   It was a god day [Sliver banshee] EmptySam 23 Nov - 7:01

Les banques étaient comme des femmes, une foie que t'avais pris ce qu'il te plaisais y avait qu'une seule chose à faire, prendre le large. J'avais foutu un sacré bordel à Central City et j'avais décidé de mettre au vert à New-York le temps que les choses se calment un peu. Il était clairement hors de question que je finisse en taule une nouvelle fois. Chaque journée passées loin des autres tarés de la task force était une putain de bénédiction. Faut dire que l'expérience avec les sept pêchés capitaux m'avaient pas mal secoué. Tu peux me croire mon pote, magie et boomerang ça ne fait pas bon ménage. J'avais besoin d'un retour à l'ancienne. Une banque, une cavale et une planque. Malgré tout, après trois semaines à errer de rade en rade j'avais de nouveau besoin d'action et les bagarres avec les petites frappes pouvaient vite devenir lassante. Surtout quand on était aussi balèze que moi. Bon il était vrais que j'avais aussi perdu une bonne partie de mon butin dans une partie de poker malchanceuse. J'étais donc à la recherche d'un petit coup peinard à faire dans la grosse pomme. Pas désireux pour un sous d'attirer de nouveau l'attention sur moi, j'avais fait une croix sur tous ce qui étaient banques, bijouteries ou grand magasin. Heureusement l'inspiration me vint en me baladant dans le quartier chicos de l'Upper Est Side.

C'est vrais que les braquages c'étaient ma spécialité, mais comme pour les boomerangs les gens oublient vite que je suis un être complexe et plein de subtilité. Ma carrière criminel ne se limitait pas uniquement aux attaques de banque ou de bijouterie, j'ai aussi une bonne trentaines de cambriolage à mon actif. Du coup quoi de mieux pour se refaire que de soulager les gros bourges de New-York du surplus de dollars qu'ils pouvaient laisser et il ne fallut pas longtemps pour que je trouve la cible idéal, le Plaza hôtel. Mon pote cet hôtel donnait l'air d'une poule de luxe qui demandait qu'à se faire courtiser et j'allais pas me prier pour lui faire un peu de rentre dedans. Le bon vieux Boomerang allait s'offrir une petite tournée des chambres et s'en mettre plein les poches.

Qu'il soit l'établissement le plus huppé ou le dernier des motels crasseux y avait toujours une façon super simple de se faire un hôtel. Vous graissez la patte d'un petit gars du personnel et ce dernier vous préviens quand vous avez le champ libre pour visiter les piaules tranquillement. En général y pas un seul mort ou blessé dans ce genre d'escapade, du moins si le gars reviens pas plutôt que prévu dans sa chambre. Je dis ça par ce qu'il met déjà arrivé des surprises... Bref, là, mon complice s'appelait Bod. Un chic type ce Bob, la trentaine, célibataire, courant après l'argent facile et aussi honnête que moi. Il m'a fallut que quatre tournées pour le convaincre d'embarquer avec moi dans ce coup. Je pouvais pas mieux tomber, mon pote Bod était portier et avait une assez bonne mémoire en ce qui concerne les allés et venues dans l'hôtel. Pour couronner le tout ce petit salaud se tapait deux des femmes de ménage. Et voilà qu'en échange d'une petite part du gâteau j'avais accès à toutes les informations que je désirai. Après quels jours de préparations j'entrai donc en scène déguisé en simple groom. Ça avait beau être un coup simple, j'avais quand même pris soins d'embarquer ma panoplie de boomerang. L'expérience m'avait apprit qu'on était jamais trop prudent. Bob m'ouvrit une des portes de services et m'indiqua le numéro des chambres vide. C'était le début de soirée et un gala de charité était organisé dans l'hôtel. La plupart des clients c'étaient rendu dans le hall pour assister à la cérémonie d'ouverture.

La ballade commença et s'en était risible tellement c'était simple. En trois chambre j'avais déjà de quoi vivre plusieurs mois sans soucis. Un bijou par ici, un portefeuille oublié par là sans parler de ce que renfermaient les coffres des chambres. Faut dire que les serrures high-tech de ses derniers ne faisaient pas long feu contre une décharge de plusieurs centaines de volts que procureraient mes boomerang-taser. Une heure plus tard et deux sac remplis à ras-bord de trucs de valeurs je m'arrêtai devant la porte d'une nouvelle chambre. J'avais complétement oublié les numéros de chambre vide que m'avait donné mon pote Bod, mais poussé par l'appât du gain je décidai quand même d'entrer. Je sorti un boomerang aux bords aussi tranchant qu'un rasoir et forçai silencieusement la serrure. Ouais je savais faire un paquet de truc avec mes petites beautés.

J'ouvris la porte avec précaution. La lumière était coupée et l'endroit semblait désert à première vu. Je finis par rentrer complétement dans la pièce. Au fil de mes visites j'avais développer un petit rituel, à savoir toujours me diriger vers le mini bar pour boire un verre avant de dévaliser l'endroit. C'est justement en allant m'en jeter un petit que j'ai commencé à me rendre compte qu'un truc clochait. Y avait une forte odeur de bougie qui flottait dans toute la piaule et j'étais sûr de pouvoir entendre "Paint it Black" des Stones. Intrigué je me suis approché à pas de loup de la source de bruit. Je te raconte pas ma surprise quand j'ai fini par me rendre compte que le gus était toujours dans sa chambre sans doute entrain de ce faire un brin de toilette dans la salle de bain. Du coup le plan était simple. Faire sortir le gars, lui faire cracher tout ce qu'il possédait, l’assommer un bon coup et se tirer vite fait bien fait de l'hôtel. C'était d'autant plus rapide si c'était lui qui me file ses objets de valeurs, et ça réduisait le risque qu'il me grille entrain de retourner sa piaule.

Un boomerang tranchant à moitié dissimulé dans ma manche, je suis allé frapper à la porte de la salle de bain " Room service, la musique est trop forte et y'a des clients qui se sont pleins, donc si vous voulez bien sortir monsieu..... . J'ai ouvert la porte en même temps histoire de surprendre le gars et là mon pote je te jure que c'est la vérité ce que je vais te dire. C'était pas du tout un gus dans cette salle de bain. C'était une putain de bombe atomique entrain de barboter dans un océans de mousse ! Tu vois j'ai beau avoir vu de nombreuses, très nombreuses femmes à poil j'ai pas pu m'empêcher de réagir comme un petit puceau du lycée. A savoir je suis resté au moins trois bonne seconde l'air agar à cligner des yeux tellement j'en revenais pas. Faut dire qu'on est jamais vraiment prêt pour ce genre de surprise. Bref j'ai fini par retrouver toute ma tête et c'est avec un grand sourire que je lui ai sorti " Désolé de te déranger ma jolie mais c'est un braquage..." C'est à ce moment que j'ai fais glisser mon boomerang hors de ma manche, histoire de lui montrer que c'était pas une blague ".... on sort ses jolies petites fesses, on me donne ses bijoux et on vient m'ouvrir le coffre sans faire de scène. " J'aurais aimé avoir à buter personne, mais si il faut en arriver là pour pas me faire griller, c'est pas un joli minois qui allait retenir mon boomerang. Je jetai un rapide coup d'oeil à la bouteille de vin entamé pausé à côté de la baignoire. " Si tout se passe bien tu pourras retourner faire trempette très vite" dis-je en piquant la bouteille et en buvant une gorgée non sans grimacer. Faut dire que j'étais plus habitué à la bière première prix et aux whisky bon marché qu'au jus de raisin des bourges. En plus, y avais beau avoir une fille à poil dans la pièce, j'avais l'attention braqué sur les éventuels richesses qu'il pouvait y avoir, faut dire que ce genre de greluche était souvent blindée de bijoux. Et puis pas besoin de la surveiller, c'était qu'une pétasse friqué d'une cinquantaine de kilo, qu'es qui pouvait bien m'arriver ?
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MessageSujet: Re: It was a god day [Sliver banshee]   It was a god day [Sliver banshee] EmptyDim 24 Nov - 16:14



It Was A Good Day
"Le lancer du boomerang est un geste très sensuel et une superbe parabole de la solitude." Saga - Tonino Benacquista. "Un péché, c'est un boomerang que tu lances et qui te revient infailliblement sur la figure et te la défonce." Léo-Paul Desrosiers.


New York, la Grosse Pomme, la ville qui ne dormait jamais! Oui, peut être en tant que Silver Banshee... Mais en tant que Siobhan McDougal, cette ville était d'un putain d'ennui mortel. Dans son tailleur Dolce Gabbana et ses escarpins Louboutin, l'héritière devait en effet remplir son rôle de femme d'affaire. Un rôle barbant et pompeux qui lui permettait cependant d'être à la tête d'un véritable empire financier et donc de pouvoir se concentrer librement sur tout ce qui l'intéressait vraiment. Disons le clairement, cela ne concernait en rien ces fameuses affaires. Non... ce qui intéressait véritablement l'irlandaise, c'était le pouvoir, le sang, la mort et le sexe. Et plus que tout encore, prendre la place du Crone et devenir un démon intouchable, redoutable et puissant. Une reine des Enfers. Bon, elle avait encore de la marge avant d'y arriver hein. Déjà, il lui fallait trouver un moyen de se débarrasser du Crone actuel sans sombrer avec lui dans sa chute. Parce qu'une éternité de souffrances en Enfer, non merci. Et ensuite, il lui fallait jouer une course contre la montre car il ne lui restait plus que cinq petites années pour y parvenir avant que son contrat ne se termine et que son âme ne soit perdue à tout jamais. Vous voyez le tableau... Et même si elle parvenait à se libérer du Crone, même si elle parvenait à buter cet enculé, elle ne savait pas encore comment prendre sa foutue place.

Bref, vous l'aurez compris, elle en avait encore du taffe la Banshee avant de parvenir à ses fins. Mais il en fallait beaucoup, beaucoup plus pour la faire renoncer. Déjà, de par ses origines irlandaises, elle n'était pas du genre à abandonner face au premier petit obstacle qui se dressait devant elle, mais plutôt à foncer dans le tas pour obtenir ce qu'elle voulait. Quitte à massacrer tout le monde sur son passage, ça, c'était la cerise sur le gâteau. Ensuite, elle n'avait plus rien à perdre. Pas d'attache, pas d'alternative, le compteur qui tournait... ouais, Siobhan McDougal était littéralement une femme qui n'avait plus rien à perdre. Alors comment vous dire qu'il ne valait mieux pas se trouver dans ses pattes. Du coup, vous imaginez bien que ce dîner soporifique au Eleven Madison Park avec une brochette d'avocats et de notaires coincés du cul, ça la gonflait royalement. En plus de ça, y'en avait pas un dans le lot pour relever le niveau et lui donnait l'espoir de terminer la soirée bien mieux qu'elle n'avait commencé. Ils étaient tous barbants, lisses et insipides. Ils ne lui inspiraient rien d'autre que mépris et dégout. Quelle déception, tous ces hommes et pas un seul à mettre dans son lit. Heureusement, la cuisine délicieuse de ce restaurant gastronomique lui permettait tout de même de trouver un certain... charme à la soirée. L'héritière n'avait cependant qu'une seule envie, se barrer vite fait d'ici, prendre un bon bain et retourner à Dublin, la seule ville qui en valait la peine.

Mais les affaires étaient les affaires et Siobhan savait s'y plier quand il le fallait. Là, c'était le cas. A la clé, un gros contrat bien juteux avec une entreprise américaine. Traduction... Un petit investissement pour un gros paquet de pognons en retour. Voilà qui pouvait faire briller les yeux de Siobhan McDougal. Mais ce n'était qu'éphémère, une fois les papiers signés et les mains serrés, l'euphorie disparaissait. L'ennui la regagnait et elle se remettait à compter les minutes, les secondes, qui la séparaient de la fin de cet interminable dîner. Oh et puis merde! Elle était Siobhan McDougal après tout! Elle avait fait sa part du job, dandinait son beau petit cul devant qui il fallait et exhibait sa fortune assez longtemps pour faire parler les tabloïds pendant plusieurs semaines. Pourquoi s'infligeait donc t-elle d'avantage cette corvée? Elle était la reine à cette table et s'il lui prenait l'envie soudaine de se lever et de se barrer sans même dire un mot, bordel, elle le pouvait.

« Messieurs, je m’ennuie. »

Avait-elle dit brusquement sans aucun signe avant-coureur. Elle avait grossièrement coupé la parole à l'un des avocats qui exposait avec fierté et assurance son avis sur un investissement en Europe de l'Ouest. Tous étaient restés abasourdis et choqués par l'intervention insolente et discourtoise de Miss McDougal. Je vous l'avais dit, tous des balais dans le cul!

« Alors si vous n'avez plus besoin de moi ni de mes autographes, je m'éclipse. »

En réalité, Siobhan ne leur laissait pas vraiment le choix. Elle s'était d'ailleurs déjà levée de sa chaise, faisant signe au maitre de salle de lui apporter ses effets personnels.

« Mais Madame, nous devons encore discuter des investissements futurs pour organiser des rencontres de la plus haute importance... »


« Merde, occupez vous-en Barry, je vous paie pour ça non? »

Vous auriez dû voir la tronche de ces puritains de première! Siobhan avait une féroce envie d'éclater de rire. C'était l'un de ses privilèges préférés. Pouvoir envoyer péter tout le monde sans que quiconque n'ose la ramener. Même Barry restait muet. Après tout, elle avait raison, c'était grâce à elle qu'il avait un bon et beau gros chèque signé à la fin de chaque mois. Il avait donc, plus que les autres, pas du tout intérêt à la ramener.

« Excusez moi messieurs, mais l'Irlande coule dans mes veines. Bonne soirée! »

Disait-elle avant de se rendre d'un pas félin et sensuel vers la sortie. A défaut d'avoir su trouver une friandise pour le dessert, elle aurait au moins fait tourner quelques têtes. Une vingtaine de minutes plus tard, l'héritière était enfin de retour dans la suite luxueuse de son hôtel. Elle se tâtait alors... Se téléporter dans son manoir pour prendre un bon bain dans SON confort ou rester ici pour profiter un peu de New York et surtout rentabiliser le prix exorbitant de cette foutue suite? Hum... Que faire? Finalement, elle optait pour la seconde option. New York était peut être une ville ennuyeuse à ses yeux de riche milliardaire mais ça restait tout de même New York. Puis merde, elle avait payé cette suite après tout, et pas qu'un peu, elle allait donc en profiter. Et comme elle avait pas du tout envie de s'emmerder la vie, elle appelait le room service pour qu'on lui fasse couler un bon bain chaud et moussant avec fraises, Chardonnay et bougies. Autant se faire plaisir jusqu'au bout non? D'ailleurs, une fois installée dans son bain, elle en rajoutait une couche...

« Alexa, joue moi Paint It Black des Rolling Stones. »

Ce que la technologie pouvait parfois apporter du bon... Siobhan adorait Alexa. Des les premières notes de la chanson, l'irlandaise était parcourue de frissons de la tête aux pieds. Indéniablement sa chanson préférée. Elle pouvait l'écouter encore et encore jusqu'à plus soif. Fermant les yeux, elle savourait cet instant délicieux, comme figée dans le temps. Bien sûr, c'était trop beau pour être vrai, il fallait bien qu'un imbécile vienne gâcher tout ça. Siobhan était furieuse lorsqu'elle entendait le room service frapper à la porte. Comment osait-il pénétrer ainsi dans sa chambre et dans son intimité sans y avoir été invité?! Le débile profond qui se trouvait derrière cette porte allait en entendre parler, ça c'était certain. Demain il serait au chômage. La musique était trop forte? C'était une putain de blague ou quoi? Toutes les chambres étaient insonorisés dans cette cage dorée grandeur nature. C'était quoi ce bordel?! Siobhan sentait l'entourloupe à plein nez. Elle laissait tout de même l'intrus entrer sans une seule once d'inquiétude. Elle ne sentait aucune magie, aucune menace... juste de la curiosité pour celui ou celle qui avait osé cette grossière truanderie. Et... Damn! Quelle putain de bonne surprise! Captain Boomerang en personne... La touriste qui sommeillait en Siobhan McDougal était ravie de voir cette attraction livrée à domicile, directement dans sa salle de bain. Ce bougre de brigand, elle l'aurait reconnu entre mille. Elle avait suivi sa carrière avec la plus grande des attentions tant elle aimait son style et ses méthodes. Un bon à l'ancienne celui là, une sorte de Clyde Barrow avec plus de panache et de répondant. Siobhan l'observait de la tête aux pieds. Exactement le genre de friandise qu'elle appréciait.

Après quelques secondes de flottement, durant lesquels l'irlandaise ne l'avait pas quitté des yeux, Digger Harkness lui confiait qu'il était là pour un braquage. Merde alors! Quelles étaient les foutues chances que cela arrive! Boomerang qui braque, sans le savoir, une de ses admiratrices, Silver Banshee... Siobhan ne pouvait que croire à un clin d'oeil du destin. Enfin un divertissement à la hauteur dans cette ville. La jeune femme esquissait un sourire, sans se laisser démonter pour un sou.  

« Alexa, baisse le volume. »

Siobhan n'avait pas envie de s'égosiller pour ce premier entretien avec le célèbre criminel. Peut être un futur allié, qui sait? L'héritière aimait à croire que rien n'arrivait sans rien. Alors si le destin avait mis Boomerang sur sa route, c'était peut être parce qu'il pourrait lui être utile dans sa quête. Après tout, il était un membre éminent de la prestigieuse Suicide Squad... Oui, Silver Banshee était au courant de leur existence.

« Très bien monsieur le bandit, je ne veux pas de problème moi. »

Lui répondait-elle d'un air candide. Elle aurait pour elle l'effet de surprise tant qu'il la prendrait pour une pauvre et frêle bourgeoise d'un mètre soixante à tout casser. Douce, innocente et inoffensive. Obéissant aux ordres de l'ours mal léché, Siobhan se levait et sortait de la baignoire, affichant sans complexe une nudité et une silhouette parfaites. Ses courbes étaient divines et son corps dépourvu de la moindre imperfection. Oui, elle pouvait se vanter de cela, elle avait été dotée par la nature d'une beauté... criminelle. La situation l'amusait beaucoup, elle prenait un malin plaisir à provoquer ainsi le voleur aux boomerangs. Et tandis que l'homme sirotait comme du petit lait ce précieux Chardonnay à cinq cent dollars la bouteille, l'irlandaise enfilait un peignoir de bain. La friandise était certes très appétissante mais il en fallait plus pour que Siobhan veuille la goûter.

« Prenez quelques fraises je vous en prie, mettez vous à l'aise. »

Poursuivait Siobhan en sortant de la salle de bain pour rejoindre la pièce principale de la suite.

« Mais vous allez être déçu, je n'ai que très peu de choses à vous offrir. Je voyage toujours léger. »

C'était vrai ça... A part deux tailleurs et une robe de soirée de grands couturiers, une nuisette en satin, du parfum de luxe et du maquillage, l'héritière n'avait pas ramené grand chose avec elle. Elle avait un peu de liquide dans sa sacoche de soirée, mais rien d'autre.
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