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 Life is unfair, but we have to do with it... [PV Wyatt Jones]

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MessageSujet: Life is unfair, but we have to do with it... [PV Wyatt Jones]   Life is unfair, but we have to do with it... [PV Wyatt Jones] EmptyVen 7 Fév - 19:46



"Life is unfair, but we have to do with it !"

@Wyatt Jones

Si j'avais eu connaissance de ce dans quoi je m'embarquais à nouveau... Comme d'habitude, je suis le meilleur pour me foncer tête baissée et yeux fermés dans la gueule du loup. Aujourd'hui, je devais récupérer un paquet auprès d'un gars de la sécurité d'une banque plus ou moins modeste de Burnley. Le rendez-vous été fixé à 16h30, mais je suis souvent du genre à arriver en avance.
J'arrive à la banque, avec seulement caché sous mon sweat un revolver avec six balles, assez compact au canon moyen. Il sert surtout à intimider, mes pouvoirs suffisent généralement à régler les situations.
Le plan était que lorsque le gorille de la sécurité me voyait débarquer, il me faisait discrètement passer par les locaux du personnel et arriver à la réserve où était posé le colis. Le job était bien payé, je devais refiler le colis à un certain "Moores" dans le nord de Gotham avant la nuit.
Mais, à peine arrivé à la banque, je me retrouve bloqué avec les civils par une prise d'otage. Des types bien armés, équipés de gilets protecteurs et d'armes imposantes, ont commencés à débouler et foutre le monde sur le côté pour dévaliser la banque. Ils avaient tous un logo étrange sur le dos de leur veste de costume, une sorte de symbole romain, mais j'en suis pas certain...

C'était. Vraiment. Bien. MA VEINE ! Mais la situation n'était pas à mon avantage : non seulement je ne pouvais pas tous les avoir d'un coup, tant ils étaient dispersés, et puis je ne voulais pas prendre le risque de blesser un civil à cause de mes actes, et puis surtout je n'ai rien pour me cacher ! Si j'avais un masque ou quoi, je dis pas... Enfin après, j'avais ma capuche sur la tête, et je cachais mon visage comme je pouvais...
Quelques minutes s'écoulèrent, jusqu'à ce qu'une équipe de cette agence "ARGUS" ne déboule pour se friter avec les braqueurs. C'était le chaos, mais heureusement, la fusillade était plus loin dans la banque, les civils n'étaient pas entre deux-feux et certains en ont même profité pour s'échapper. Certains encore sous le joug des braqueurs. L'un d'entre eux jeta une grenade assourdissante sur les agents et cria "Pour le Romain !" Il fut abattu lors de son mouvement mais eut le temps de lancer la grenade. Alors comme ça, ce Romain se manifeste enfin... Encore un fils de p*te à rajouter à la liste des connards que je ne fréquenterais pas !

Je profitais de la fusillade pour m'extirper des civils et me faufiler à travers la banque. L'architecture de cette dernière m'aidait pas mal, car elle disposait de pilonnes derrière lesquels je me cachais.
Je me faufile donc avec précaution, attendant les bons moments pour passer d'un pilonne à l'autre et une fois arrivé près d'un escalier plus ou moins sécurisé, je monte alors à l'étage ouvert, qui donnait vue sur la fusillade.
Au loin, je vis un des braqueurs s'en prendre à un des agents, plutôt très jeune pour cette profession. Je fonce alors sur le braqueur, avec le bruit des balles, le bruit d'un mec qui court pouvait passer inaperçu, surtout si mes godasses ne produisaient pas masse bruit et que le type avait une autre préoccupation.
J'arrive à son niveau et lui assène un premier coup de poing qui commence à le déstabiliser. Il tente de m'asséner un coup de crosse que j'esquive, je lui donne un grand coup de pied l'envoyant dos au sol. Il pointe alors son fusil sur moi et s'apprête à tirer. Je tends ma main, doigts écartés, vers son canon et le brûle et le fait fondre rapidement. Par réflexe, il lâche son arme sur moi pour tenter de me déconcentrer. Mais je ne me laisse pas faire, je balance le fusil à côté et lui assène un grand coup de pied dans l'abdomen. J'enchaîne avec un second coup de pied, retourné, droit dans sa tête, le couchant sur le coup.
Je tends alors mon regard vers l'agent, visiblement pas enjoué. Je sais par des contacts les ayant croisés que ces agents ne sont pas friands des métas.

Je ne peux m'empêcher de sortir une punchline pour apaiser l'atmosphère :
"J'ai jeté un froid ?"
Je tends alors ma main, lentement, vers l'agent pour l'aider à se relever. En espérant qu'il reconnaîtra plus le fait que je viens de le sauver que le fait qu'il peut pas saquer les métas...

:copyright:️ DABEILLE
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Wyatt Jones


Wyatt Jones

independent soul

Messages : 347
Date d'inscription : 03/02/2020
Face Identity : Florence Pugh
Crédits : Neverland (vava)
Life is unfair, but we have to do with it... [PV Wyatt Jones] 8vls
Age du personnage : 20 ans
Ville : Kassiopeia se trouve en ce moment sur Themyscira, le temps que Donna revienne de mission et supervise son éducation.
Profession : Guerrière
Affiliation : Les Amazones, la Wonder-Family pour qui elle voue loyauté.
Compétences/Capacités :
Alchimiste

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L’Alchimiste est une matière inconnue qui octroie à N°2 la capacité d’influencer les molécules. Le pouvoir a connu diverse évolution dû à l’instabilité de cette matière dans le corps du sujet. La dernière évolution de cette capacité en date est celle de faire usage de l’énergie même de l’Alchimiste, représentée par une lumière semblable à des flammes solaires, une aura lumineuse entourant le corps de N°2.

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Il s’agit de particules qui influencent la matière qu’elle touche, dans le cas du sujet numéro 2 : les cellules de son corps absorbent ses particules et rendent le sujet physiquement plus capable durant un laps de temps. Nous notons que sa force et sa vitesse varie en fonction des particules dans ses cellules, mais à son maximum, ses facultés physiques sont semblables à celle d’une Amazone. L’énergie lumineuse des particules sert aussi de protection contre les attaques basiques au corps à corps de force humaine. Cependant, plus l’énergie des particules se concentrer en un point, plus ce point gagne une résistance semblable à celle d'une Amazone, mais laissant à contrario plus vulnérable les parties du corps qui ne sont plus protéger par les particules. Cette concentration peut aussi servir à envoyer une attaque à distance de pure énergie, mais non-létale. Selon Lavoisier, « Rien ne se perd, rien ne se crée : tout se transforme. »

Plus les particules de l’Alchimiste faiblis, plus N°2 est proche de perdre connaissance. Plus les particules sont à leur paroxysme, plus il y a de chance que l’Alchimiste entre en éruption. L’éruption étant un pic d’énergie provoquant une dangereuse déflagration de particule, N°2 doit trouver le juste milieu dans sa manière de gérer l’énergie de l’Alchimiste. La téléportation ou l’utilisation continue de l’énergie, permet d’éviter que N°2 entre en éruption. Depuis la dernière expérience, l’énergie du sujet se recharge de lui-même, donc si N°2 n’utilise pas ses capacités, son corps risque potentiellement d’entrer en éruption.

~~~ o ~~~

I just want to serve you

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Situation Maritale : Célibataire...









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MessageSujet: Re: Life is unfair, but we have to do with it... [PV Wyatt Jones]   Life is unfair, but we have to do with it... [PV Wyatt Jones] EmptyDim 16 Fév - 6:09



"Life is unfair, but we have to do with it..."

Si la loi devient crime, alors le crime n'est plus... - Juge






     Un jour comme un autre ? Qu’est-ce que c’est sensé vouloir dire cette connerie, hein ? Pouvait-on me le définir avec exactitude la signification de cette merde ? Tout le monde emploi cette expression comme si ce que ces pauvres débiles traversaient, était sensiblement identique pour tous. Mais l’était-il vraiment, d’ailleurs ? Avions-nous réellement la même expérience d’une journée, la même perception d’un jour comme un autre ? Quoi ? Serait-ce un peu trop con de songer à ce qu’est le quotidien ? Sans doute que des conneries, si vous voulez mon avis. Jamais une journée ne peut être la même, même si sur le dossier la mission comporte les mêmes propriétés, les mêmes risques, les mêmes ordres et consignes à la con, la mission est toujours différente, les blessures aussi. Certains fous ont le coeur à s’y habituer, à s’endurcir, à devenir insensible jusqu'à y voir une répétition qui existe que dans leur esprit lasse. D’autre y voit plus douloureusement chaque jour une éprouvante épreuve ; celle d’affronter le poids de la dépravation humaine et de ne pas en faire une routine. Et je pense faire partie de ce qui voit chacune de ses missions comme un nouveau patient qu’il faut traiter différemment.
     J’étais silencieux dans le véhicule, songeur, mon air grave sous la tension. Je n’avais pas apprécié les ordres de cette mission-là, il n’y avait aucune subtilité, aucune tactique quelconque. Nous devions simplement entrer et neutraliser les cibles sans même se soucier des otages qui pouvaient très bien finir avec une balle perdue. C’est du n’importe quoi. Pourquoi de tels ordres ? Ce gang, était-il vraiment plus important que les vies innocentes qui étaient menacées. On ne cherchait même pas à provoquer la négociation stratégique, où à savoir combien ils étaient à l’intérieur de cette banque, si des pièges n’avaient pas été installés pour stopper toute ascension militaire, dont la notre. On se jetait simplement dans la gueule du loup à l’aveugle. « Sheppard, je vais me concentrer directement sur la sécurisation des civils afin de les évacuer au plus vite. Les ordres n’ont pas de sens aujourd’hui. » Je me tournais vers les autres gars qui semblent un peu près d’accord, j’acquiesçais donc de la tête. Vérifiant notre équipement, gilet pare-balles, la sécurité du FN P-90 retirée, nous sortîmes du véhicule.

      Quatre agents de l’escouade Apache Cry, se faufilant dans la banque par le conduit d’Aération du toit. Peu avant d’entrer, on s’était rapidement posé pour mettre un plan en place. Ce n’était pas notre genre de foncer tête baissé. Déjà, après avoir piraté le réseau informatique du coin, nous avant constater que toutes les caméras étaient HS. C’était là bien dommage, cela nous aurait permis de faire le compte du nombre d’ennemis à neutraliser. Impossible du coup de savoir comment agir à l’avance pour sécuriser les otages, il nous fallait donc nous jeter dans cette fameuse gueule. Frustré, mais pas moins déterminé, je suivais le mouvement de mon escouade. C’est dans un couloir, à l’abri des regards que nous étions sortis des conduits. Agile, silencieux, efficace, nous avancions jusqu’à avoir un premier visuel sur l’ennemi. La première chose à faire, ce qui nous vinrent à l’esprit, c’était d’éloigner le potentiel combat des otages, s’accaparer l’attention des braqueurs pour permettre une échappatoire pour les otages. La plus expérimentée au corps-à-corps se chargea donc d’approcher les hommes qui dévalisaient l'une des cellules de ses diamants.  
     Envoyant une bombe fumigène, casque sur le visage, elle profita de leur désorientation pour les étaler à elle seule. Lorsque le son de cette confrontation attira la curiosité de ceux qui dévalisait des cellules plus éloigné, sous la directive de Sheppard, nous tirâmes sur les messieurs pour attirer leur attention et laisser à notre camarade le temps pour nous rejoindre et se mettre à couvert. Lorsqu’on s’aperçut que les hommes qui gardaient les otages venaient vers nous aussi, nous primes la décision de nous séparer, ils reculaient de reculer en attirant l’attention des criminels, tandis que moi, j'avançais en contournant le combat. Une fois qu'ils étaient persuadés de ne blesser aucun innocent, ils commencèrent à tirer avec une plus grande précision dans le but de neutraliser ceux qui pouvait l’être rapide, même cela signifiait de les abattre sans aucune forme de procès. Généralement, la négociation est impossible lorsque nous sommes envoyés, pourtant nos supérieurs ne voulait réellement guère laisser de chance à ces criminels-là, ce qui était davantage intrigant.

      Lorsque je me faisais repérer, je tirais un visant le plus possible leur gilet pare-balles, n’hésitant pas à vider un chargeur entier pour assommer ceux qui insistaient pour se relever l’arme à la main. Passant quelquefois au corps-à-corps désarmes ceux qui était à ma porter, pour tirer avec leurs armes sur le gilet pare-balles et les assommer. Bien que j’ai vu venir la grenade assourdissante, forcé de désarmer un autre d’entre eux pour éviter de me faire tirer dessus, la grenade explosa non loin de moi. La douleur, aux oreilles, la vue légèrement troublée suffisaient à me faire perdre équilibre, me rattrapant comme je le pouvais pour me mettre à couvert et attendre que l’effet passe. Celui qu’avait jeté ça, avant crié un nom. Respiration lourde, j’inspirais et expirais lentement les yeux fermés un moment. Puis je me relevais à l’entente des pas qui s’approchait dans ma direction, dos contre le pilier qui me dissimulait encore. J’attrapais par réflexe l’arme du braqueur, la projetant au loin dans un mouvement mille fois répété, dès lors que je vis le bout du canon. Courir en pointant l'arme devant soi, était une erreur de débutant.
     Seulement, ma vision encore trouble et mes réflexes étrangement engourdis, le désarmer avait été tout ce que j’avais pu réaliser. Très vite, je me rendis compte que je pouvais difficilement esquiver ses coups, juste les bloquer, dans une position de garde simpliste. Dans ses mouvements, je repérai son arme secondaire à sa ceinture, qu'il dégaina. Cette action avait créé une faille dans ma garde dans laquelle s’engouffra cet enfoiré pour me faire basculer. La frustration fut aussitôt changée en colère dans mon cœur, car être si humblement humilié ne pouvait que me foutre hors de moi. Mais avant de me relever, un inconnu se jeter sur le criminel, le désarmant avec une capacité pyrokinésie à première vue, puis le mettant hors d’état de nuire avec un coup de pied retourné. Fais chier. Je posais une main sur mon front, inspirant et expirant de nouveau, il fallait que les effets de la grenade s’estompent. Je levais un sourcil à sa question, ne l’ayant pas fondamentalement comprise sur le coup. Et je n'avais pas l'envie d'y réfléchir plus que nécessaire avec ma tête qui tournait encore.

      J’attrape sa main pour me relever. « Merci. » Dis-je simplement avant de sortir des menottes et menotter l’homme qu’il avait neutralisé seul. Appuyant sur le Talkie-walkie accroché au-dessus à mon gilet pare-balle, j’ouvris un canal pour contacte mon supérieur. « Sheppard, je me dirige vers les civils pour les évacuer, ça ira ? Terminé. » Demandais-je, attendant quelques secondes. « Bien reçu, on continue d’éloigner les cibles des otages, mais fais gaffe quand même. Terminé. » Je me tournais finalement vers le rouquin. « Ton nom ? » Demandais-je avant de récupérer les armes du criminel menotté et vérifier mes munitions.
 



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