Jane Restlove - Aren't they gorgeous, poisonous flowers ?

écrire l'histoire de votre personnage ici en un minimum de 500 mots.






(2000 : 10 ans)
Tout commence avec une gosse. Tu n’étais qu’une enfant pleine de vie en ce temps là, première de ta classe, on disait de toi qu’il n’y avait pas plus studieux, ni plus brillant. T’en as raflé des prix, et qui aurait pu prédire que tu te retrouverais à faire le show en tenue affriolante dans un bar chic et huppé ? Avant d’en arriver là, faut juste expliquer deux trois détails pour justifier cette trajectoire digne d’un crack boursier.

L’école, c’était important pour toi mais aussi pour tes parents, issus d’une milieu modeste, ni riche ni pauvre. Ils voulaient que tu puisse avoir ce qu’il y a de mieux et pour ça que tu étudiais : pour t’élever et avoir une vie où t’aurais le choix, davantage qu’eux ne l’avaient eut. Putain, s’ils avaient sû. Des choix, dans ton existence t’auras pas pu en faire beaucoup. Mais bref, je m’égare. T’as travaillé dur pour les satisfaire, pour qu’ils soient fiers de toi, mais tu avais le droit d’entretenir une passion tout de même, et, aussi étrange que ça puisse paraître, tu as choisis le katana.

Une passion peu commune pour une gosse, mais qui éveillait en toi un frisson indescriptible, l’adrénaline, la fascination. On raconte que t’aurais déjà vu la seule et unique “Katana” se battre dans le journal télévisé de Star City et que ça a allumé une flamme en toi, mais personne ne peut l'affirmer. En tout cas tu as développé un tel engouement pour le maniement de ce sabre que tu as commencé à devenir plutôt bonne, tu as même gagné une compétition junior une fois, tout ça avec une arme en plastoc. Ta vie était parfaite, tu étais joyeuse, tu trottinais en sifflotant dans les rues. C’est ce soir là en te dirigeant justement vers le dojo que tout a changé.
T’avais 10 ans, t’étais sur le point d’avoir ton propre sabre d’ailleurs, et peut être que si tu l’avais eu la semaine d’avant, rien de tout cela ne serait arrivé. T’as pas tant eu le loisir de comprendre ce qui se passait, on t’as mit un sac sur la tête, t’as entendu les lourdes portes d’un van se refermer sur toi et sur ta vie d’enfant, et s’en fut fini de ta liberté.



Le laboratoire ressemblait à un asile et, comme au départ t’étais trop agitée, que tu mordais et mettais des coups de pieds, on t’a sanglé tout le corps comme une détraquée. T’avais la rage et puis vu que tu hurlais sur les infirmières malgré ton bâillon, on a commencé à te droguer. Mais bon, c’était encore la partie amusante ça. Tu compris vite ce que t’étais devenue : un rat de laboratoire, et la seule pensée qui te vint fut “pourquoi moi, pourquoi pas une autre ?” Tu as cessé de croire en ce Dieu que tes parents t’avaient appris à chérir, ne pouvant comprendre pourquoi tu étais punie de la sorte pour ta conduite exemplaire. Tu as subit une batterie de tests avant de rencontrer l’homme qui dirigeait tout ça, un monstre appliqué et sans affect qui régnait sur ce laboratoire rempli de captifs comme sur un empire. Ah ça, il y en avait un paquet d’autre cages, d’autres visages mais tu ne te souviens d’aucun d’eux, végétalisée par les substances qui t'alourdissaient le sang chaque jour. T’étais désorientée et tu avais peur, incapable de te raccrocher aux jours que tu avais passés dans cet endroit aseptisé, entre ces quatres murs. La notion est toute relative quand vous êtes à demi conscient dans une pièce sans fenêtre. Tu as commencé à oublier ce que tu avais laissé derrière toi : tes proches, ton quartier, ton dojo, ton professeur, ce katana que tu aurais dû avoir à force de travail et de maturité, ta propre apparence, ton prénom…Renommée Jane, comme Jane Doe.

(2004 - 14 ans)

C’était comme si t’étais née dans cet enfer en fin de compte, ce scientifique fou avait presque prit des allures de figure paternelle au fil des années. La puberté t’a changé plus que la majorité des adolescents, puisque les essais chimiques ont pu pleinement opérer sur ton corps. Après, tu n’avais plus jamais arrêter de changer, changer devint ton identité. Ton geôlier sembla lui même surpris du résultat, comme dans un mauvais film il a commencé à te considérer comme le joyau de sa collection d’êtres difformes et trafiqués. Progressivement, tu as eu le droit à de meilleurs traitements, tant et si bien qu’il supprima les derniers calmants qui avaient subsister dans ton alimentation journalière. Il t’a fallu deux semaines pour te sevrer complètement de ces drogues qui t’avaient été donnée comme des bonbons quasiment depuis que t’étais arrivée dans ce trou.



Tu réalisais enfin que ton corps n’avait plus rien de normal, ton organisme et tes cellules modifiées, ta structure moléculaire anormalement instable commencèrent à copier tout ce qui se trouvait autour de toi comme un caméléon : les infirmières, la mousse synthétique du sol… On se pressa de te changer d’environnement, et tu atterrit dans ce que tu as renommé “ta maison”. Une grande et large cage en verre blindé. Les tests ont redoublé, les vitres devinrent des écrans et on te submergea d’images, pour t’inculquer tout ce que tu n’avais encore appris dans ta jeune vie d’autrefois. L’Histoire, la Science, l’Art, l’Humain… Il fut bien vite établit qu’il ne suffisait pas que tu connaisse une matière pour la copier, il fallait d’abord que tu la touche, que tu la comprenne. Ils te forcèrent au mimétisme des dizaines d’heures par jour, et quand tu ne dormais pas ni ne mangeait tu étudiais le monde. Les progrès furent rapides : Studieuse un jour, studieuse toujours. Des éclats de lucidité de réveillait parfois en pleine nuit, comme des souvenirs emprisonnés dans des rêves, et lentement, épuisée, tu connut de nouveau cette rancœur, cette haine qui te consumait lentement de l’intérieur. Empoisonnée par le ressentiment, l’impression qu’on t’avait volé quelque chose de crucial, un plan se mit en marche dans ta tête. T’appris à copier les apparences des autres, que tu n’avaient visiblement pas besoin de toucher, mais ton champ d’action était limité, privée d’espace, entravée, tu faiblissait trop vite.

Alors, tu demanda à aller dehors. Plus comme une façon de repérer les lieux, de comprendre comment sortir. Tu déchantas bien vite quand, menottée, on te guida jusqu’à l’extérieur à force de tergiversations : Une île. T’étais coincée sur une putain d’île, et tout ce qu’il y avait à l’horizon c’était l’eau.
Le comprendre te fit rendre tes tripes, pleurer, et hurler finalement quand on te ramena à cette cage hexagonale vitrée.
On te coupa les cheveux, les ongles et finalement on te présenta un miroir, innocemment. C’est quand tu vis ton reflet, pour la première fois depuis longtemps, que tu réalisa l’ampleur de cette colère. Tes yeux lançaient des éclairs, vêtue d’une blouse aseptisée tu ne te reconnu pas toi même. A la simple vue de cette femme dont la vie avait été volée, ton sang n’a fait qu’un tour, et tu as laissé exploser ta rage pour de bon. Dire que ce soir là tu t’étais salit les mains était un doux euphémisme. Tu as fait péter tes liens, attrapé le rebord du miroir, laissant tes bras devenir des lames démesurément grande, et tu as fait un carnage. Ce n’est qu’une fois couverte de l’hémoglobine de ceux qui t’avaient maintenus la tête sous l’eau toutes ces années et épuisée qu’on te freina dans ta course.


Il fut décidé que le directeur du laboratoire avait été trop tendre avec toi, et tu eus le droit au nec-plus-ultra des lavages de cerveau, un collier électrique et des mesures spéciale. Tu n’étais, un an après, plus dangereuse pour un sou. Tu étais devenue une personne douce, insouciante, joyeuse : tu étais une enfant dans un corps de femme. Attirée par les couleurs, la musique, tu passa un temps fou à regarder des films, tu n’avais plus à t'exercer au mimétisme puisque tu étais devenue une experte : imitant à la perfection les actrices de tes films favoris et leurs les vêtements, les plumes, les écailles, les pétales de fleur… Tu étais docile et agréable, mais tu étais également devenue une très belle femme. Et ça, le scientifique qui t’avais conçu l’avait remarqué. Un homme vint un jour la voir, dans un costume élégant, un embonpoint certain et l’oeil vif. On t’ordonne de lui montrer ce que tu sais faire, et c’est dans une grande salle que tu exécute ce curieux numéro.






(2006 - 16 ans)

Tu es devenue artiste de cirque, comme beaucoup d’autre détenus du laboratoire. Les premiers temps, ça te plu beaucoup, d’être enfin “libre”. Tu étais devenue une vraie vedette et ne vivais plus que pour le feu des projecteurs. C’était toujours toi le clou du spectacle, après que tous les autres aient exhibés leurs bizarreries créées de toute pièce par la science, tu paraissais encore plus magnifique. Normal, ta difformité était interne, à toi. Les freaks et toi étiez faits du même bois, et, peu à peu, tu réalisa que n’étais rien de plus qu’un objet. Tes amis et toi vous faisiez les pitres au bon vouloir du maître de cirque, qui n’était en fait lui-même que l'employé de votre tortionnaire à tous : vous n'étiez pas libres, vous aviez juste changé de prison. T’appris à être acrobate, ce qui ne fut pas facile étant donné toutes ces années coincée dans une cage, à courir sur un tapis de course une fois par semaine. Mais finalement, le plus clair de ton temps, tu atterrissais de nouveau dans une cage en verre. Tu jouais les sirènes, les anges, copiant tour à tour queue de poisson et ailes de cygne, et même si ton lavage de cerveau avait été efficace, tu te retrouvais désillusionnée parfois, ne pouvant te figurer pourquoi. Tu sentais que tu n’étais pas tant à ta place, et, ayant tout oublié de ton passé tu ne pouvais regretter. T’as touché d’un peu trop près à l’alcool et remplacé cette addiction par le tabac.

(2009 - 19 ans) • Star City

Tu viens de terminer un numéro qui a eut beaucoup de succès, dans ton body pailleté et tes cheveux bleus, tu salues la foule bras tendus vers le ciel. Les applaudissements fusent, tu t’apprêtes à quitter la scène tandis que les spectateurs sortent du chapiteau, mais un homme vient à ta rencontre. La cinquantaine, propre sur lui et des lunettes teintées de jaune, il te demande si ta vie au cirque te convient. Bien sûr, tu as des amis ici mais les conditions de travail sont difficiles, vous sillonnez les états unis sans cesse, et tu ne veux plus jouer les créatures de rêve dans une boîte. Alors, quand il te propose de travailler dans un club, où tu serais rémunérée et que tu aurais ta propre vie tu acceptes.
Tu te demandais comment le directeur de cirque avait pu te laisser partir aussi facilement, et ce n’est que plus tard que tu appris que tu avais été acheté : seule option qu’avait ton nouveau patron pour te sortir de cet enfer. Pour la première fois depuis de très longues années : tu avais le choix.

(2010)

Connectée à la vraie vie désormais, tu commençais à redevenir toi-même, la vraie toi. Nouveau nom : Restlove, que tu t’es confectionné avec soin, papiers, appart’, job et même petit ami, tu reprends en main ta vie dans l’insouciance. Tu décidais de rencontrer un psychologue sur les conseils de ton boss, qui lui avait une vague idée de ce que t’avais pu vivre. Il parvint à te rendre des bribes de mémoire avec du temps, et émietta ce conditionnement qu’avait subi pour que tu puisse au final reconnecter les morceaux. Tu pouvais au moins réaliser que tu avais du avoir une autre vie avant le laboratoire mais laquelle ? Cette partie de ton existence occultée pour toujours, tu as commencé à faire tes propres recherches pour essayer de recoller les morceaux, retrouver ta piste.

Tu décides d’aller voir la police pour demander l’accès au dossier sur les enfants disparus depuis les dix dernières années, accès qui t’es refusé. Tu n’auras que les affiches placardées sur un mur du commissariat de Central City. Ton enquête piétine terriblement.

(2012) Le générateur de particule de StarLabs explose, et avec lui naissent de nombreux métahumains, en regardant le journal télévisé tu décides de te mettre en quête d’un méta-humain télépathe afin qu’il puisse fouiller ton esprit et te ramener des souvenirs de ta vie d’avant. Tu ne sais pas que tu as tué plusieurs personnes alors, ni que tu as été enlevée par un scientifique qui a mené de nombreuses expériences sur toi jusqu’à te rendre toi même méta-humaine, et tu es persuadée d’avoir ce pouvoir depuis la naissance.

(2015)

Tu finis par te trouver une personne capable de te rendre tes souvenirs, les flashs reviennent et peu à peu et t‘anéantissent : malheureusement tu as perdu pour toujours tes souvenirs d’avant le laboratoire, mais tu te souviens désormais de tout ce qu’ils t’ont fait endurer dans le but de te mettre, toi et les autres dans un cirque comme des bêtes de foire. Tu tires un trait sur les relations amoureuses avec les hommes, écoeurées d’eux. Tu ne les approchera désormais que pour t’en servir, la seule exception c’est ton patron. Tu te dégotes aussi un katana, objet que tu manies bien malgré ta perte de mémoire, il semblerait que ce soit comme le vélo.
Darkseid attaque le monde, et tu profites du chaos ambiant pour laisser éclater ta vengeance. Tu libères les freaks et avec leur aide tu incendie le cirque. Commence ta vie de criminelle, tu formes une équipe avec les anciens du laboratoire pour reconstituer une liste des employés du labo et tenter de retrouver le cerveau de l’opération: le scientifique dont aucun de vous n’a le nom.

(2017)

Le syndicat du crime fout le bordel sur terre, et personne ne se préoccupe de toi et tes assassinats. Tu commence à être rodée dans l’art de faire disparaître les corps. Puis que ton visage à toi doit être placardée sur une affiche “missing” depuis plus de dix ans, il en serait de même pour eux. Tu te fais appeler Belladonna désormais, “Herbe au diable” la belladone une plante empoisonnée qui attise, enrage et tue. Tu trempe la lame de ton sabre dedans pour empoisonner les blessures.

(2018)

L’ordre est revenu sur Terre, il est temps pour toi de faire très attention si tu ne veux pas te faire prendre par un héros, qui sont apparus en force.

(2019)

Tu succombes à la Colère, l’un des 7 pêchés capitaux lâché sur Terre et déclenche une boucherie dans un centre commercial, tu es arrêté et mise en prison. On te relâche trois semaines après, ton bosse ayant payé la caution, et l’excuse de la magie noire avancé par ton avocat.

(2019)

Tu continues d'exécuter les noms de ta longue liste de personnes impliqué dans la folie scientifique de l’homme que vous connaissez désormais sous le nom de : Dr Galéos, un ancien employé de Hugo Strange.

Tu te débrouille comme tu peux sur Terre-4, t’avais ton sabre sur toi et t’étais en train de jeter un corps à la mer quand vous avez été téléportés. Tu espère que le corps que tu as laissé en suspens ne mènera pas tout droit à toi mais six mois passent avant que vous ne regagnez Terre-1, ravagée par l’absence prolongée d’une grand partie de ses habitants. Tu découvre mieux les Atlantes et Amazones dont t’avais jamais trop entendu parler dans ta vie de recluse, si ce n’est au travers des informations.
Tu décides de vivre ta vie sans plus de limites désormais que tu as survécu à tout ça, mais jusqu'à quand ?

✸ La première étape a été accomplie avec succès! Te voilà maintenant validé et cela te donnera un accès complet au reste du forum! S'ti pas beau tout ça hein?    

✸ Si jamais ce n'est pas déjà fait, nous t'invitons vivement à lire le règlement, ainsi qu'à prendre connaissance du contexte (mais nous savons que tu l'as déjà fait), tout comme à lire les différentes annexes que nous avons concocté minutieusement et avec amour!

✸ Présentation terminée, il te reste une fiche générale à présenter: celle des liens et des rps! Cela reste facile, car en plus tu disposes d'un modèle tout beau et tout propre! Et si cela s'allie à ton personnage, tu auras même le privilège de le faire entrer dans le vaste monde des réseaux sociaux! Tout comme il pourra avoir son répertoire téléphonique! Ah, on te facilite tellement la vie, jeune padawan...

✸ Qui n'aime pas les profils tout beau et tout propre? Personne! C'est pour ça que nous t'invitons vivement à remplir les champs de ton profil pour que chaque membre puisse en connaître plus sur toi en un rien de temps!

✸ Les Etats-Unis sont tellement vastes et la population si variée... C'est pour cela que si tu envisages de créer un scénarios pour ton personnage, n'hésite pas à le faire et à engager le maximum d'informations pour que nous en sachions davantage sur lui!

✸ Tu vas sans doute penser que c'est pire qu'à l'école (tu ne peux pas savoir à quel point  ), mais il est nécessaire que tu passes par nos registres, surtout si tu appartiens à une équipe, afin que nous puissions les tenir à jour!  

✸ Nous te souhaitons de bien t'amuser parmi nous! N'hésite surtout pas à participer à nos jeux et à la partie  flood pour encore plus de folie!