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 for once, let's be selfish (arthur)

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MessageSujet: for once, let's be selfish (arthur)   for once, let's be selfish (arthur) EmptyVen 7 Avr - 18:25

For once, let's be selfish...
ARTHUR & MERA

Mes yeux balayent la salle de classe. Les élèves sont travailleurs. Ils sont concentrés. Mes oreilles réceptionnent le son émis par chaque frottement d’un crayon ou d’un stylo à bille que leur copie. Je veille à ce qu’aucun étudiant ne puisse avoir recours à une méthode de tricherie quelconque. Certains de mes élèves, dans d’autres classes, sont des professionnels dans son domaine. Malheureusement pour eux, il est un peu impossible pour moi de ne pas voir tout ce qu’ils peuvent concocter de malhonnête, surtout en pleine séance d’un examen. Certes, il s’agit davantage d’un examen à titre d’entraînement, mais les règles doivent être respectées et suivies à la lettre, sans aucune dérogation possible. Je passe entre chaque rangée. Mes yeux se posent sur une telle ou telle copie. Un fin sourire étire légèrement mes lèvres. Ils sont assidus et appliqués. Tout enseignant espère et désire avoir des jeunes personnes comme eux. Et bien que je privilégie toujours la pratique à la théorie, parfois cette dernière est bien utile pour que certaines informations importantes et essentielles restent ancrées dans leur mémoire. Les minutes s’écoulent d’une façon un peu rapide… trop rapide à mon goût… J’ai toujours la sensation que le temps s’enfuit à une allure hallucinante dès que je me retrouve dans l’enceinte de cette école de magie. Peut-être parce que je suis dans mon domaine, que ma passion se lit là-dessus… En tout cas, la fin de la session avait été déclenchée. Me retrouvant sur le devant de la classe, je demande au premier élève situé juste à quelques centimètres de ma personne d’aller réceptionner toutes les copies et de me les remettre. « Félicitations à vous. Vous avez mérité un bon repos. Rentrez chez vous et soyez prudents sur la sortie ! » A la réception des documents, un brouhaha se laisse grandement entendre. La fin de la journée avait été sonnée, le retour à la maison annoncé…

La situation actuelle sur Atlantis est quelque peu stable. Les incidents ne sont pas réguliers. Quelques discordes se forment, se font, mais sans que ça ne nécessite une réunion d’urgence avec l’assemblée et avec la présence d’Arthur. Néanmoins, bien que cela apporte un sentiment de paix et de plénitude pour les citoyens atlantes, cela ne m’apporte pas un certain réconfort… Mes sens ne cessent d’être en alerte, d’être maintenus en éveil et ce, dû à une seule personne : le demi-frère d’Orin, Orm. Tandis que de l’autre côté du miroir, le monde de la surface connaît des aventures des plus dangereuses, des plus improbables… J’ai été bien soulagée d’apprendre que ma meilleure amie, que Diana avait été remis d’aplomb suite à ce qu’elle a dû subir comme dégâts face à sa confrontation avec ce demi-dieu grec… Elle est forte. Elle est résistante. Aucune crainte quant au fait qu’elle se remettrait à un moment donné. Néanmoins, il me fut impossible de ne pas avoir des sentiments d’inquiétude à son égard… Elle est certainement notre meilleure amie, mais je la considère surtout comme une sœur que je ne possède pas… La famille, une demeure sacrée. Lorsque j’eus appris celui qui avait prémédité tout cela, j’ai dû prendre sur moi pour ne pas rapidement lui ôter toute substance liquide clair de son corps. Avec Orin, nous nous complétons. Autant étais-je celle qui l’adoucit quand le sanguin prend un peu trop le dessus, autant était-il celui qui parvenait à me calmer, à me doser et à éviter de commettre une erreur irréparable… bien que dans ce cas-ci, elle ne l’aurait pas totalement été… Pourtant, même si nos deux mondes devaient avoir une concentration pleine sur eux, aujourd’hui, je désire simplement penser à moi, à lui, à notre couple et à notre avenir… Pour une fois, Arthur n’est pas dans le monde de la surface, mais ici, sur Atlantis, à définir quelques détails avec nos conseillers. Une occasion que je ne le laisserais pas passer…

Il y a quelques semaines de cela, Orin m’a offert une surprise des plus inattendues : demander ma main. Depuis ce jour, nous sommes fiancés. Une alliance qui allait évoluer vers un possible mariage et qui souderait définitivement notre royauté envers les habitants d’Atlantis. Depuis les derniers évènements d’avec l’ONU, d’avec les missions de la Ligue de Justice, les dégâts survenus sur plusieurs villes, nous n’avons pas eu le temps, ni même eu l’occasion d’en discuter. Je ressens le besoin d’être rien qu’avec l’homme que j’aime, de pouvoir n’être que tous les deux, dans notre bulle aquatique rien qu’à nous. J’ai besoin de sa présence. J’ai besoin de lui.

« Orin… ? » Je suis à l’intérieur de nos appartements, plus précisément dans la pièce de séjour. Je retire ma couronne que je dépose soigneusement sur le haut d’une armoire alors que mes pas se font entendre sur le sol de la pièce. J’appelle mon fiancé, car mes oreilles ont entendu du bruit. « Orin… ? Tu es là… ? » Je continue sur ma lancée. Mes pas suivent la direction de ce que mes oreilles perçoivent. La silhouette de l’être aimé se dessine plus en profondeur. Plus elle se dessine, plus un sourire étire mes lèvres. Notre chambre. Il est torse nu. Il se met à l’aise. Mes yeux soulignent avec une certaine gourmandise la sculpture étonnante de son corps qui ne cesse de me plaire et de m’envoûter. Sans m’en rendre compte, ma lèvre inférieure est aussitôt assaillie par un mordillement de mes dents. Je m’adosse alors contre la porte, les bras croisés en dessous de ma poitrine. « Tu aurais pu me prévenir que tu avais terminé avec les conseillers… »


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MessageSujet: Re: for once, let's be selfish (arthur)   for once, let's be selfish (arthur) EmptyLun 17 Avr - 14:34

For once, let's be selfish...
ARTHUR & MERA

Il y a parfois des moments, au demeurant anodin, qui recèlent d’une certaine importance et d’un apaisement tout aussi certain. L’absence de logique définirait simplement que cela a lieu dans une situation totalement contradictoire, et nullement prévue pour apporter de tels ressentiments. La preuve en était ? Le gala de Luthor. Oui, étrangement, c’est de par ce gala que nous avons pu partager, avec ma reine, quelques instants d’évasion, de fuite, de changement et d’épanouissement pour notre couple alors que notre rôle n’était que celui de deux ambassadeurs royaux, ni plus, ni moins. Et je dois d’ailleurs souligner que le gala en lui-même fut tout sauf une partie de plaisir. Si nous avions eu le plaisir de retrouver quelque peu Diana, et de nous assurer de façon plus prononcée de son rétablissement, l’heure n’était pas à l’humour où à la légèreté. Les manigances de Luthor. La menace de sa nouvelle ineptie. Le danger de sa candidature. Tous des éléments que nous étions venus étudier et analyser, tout en essayant de déceler la faille. Conjuguons à cela le tempérament sanguin de ma sirène et moi-même, et de notre envie de le faire douloureusement et lourdement payé ce qu’il avait pu infliger à notre plus proche amie… Mais, malgré cela, oui, malgré toutes ces nervosités et toutes ces tensions, il y eut ces précieux moments partagés en tête à tête avec ma reine. Des instants passionnels, des instants amoureux. Profiter d’une liberté pour s’offrir de nouveau à l’autre. Savourer le changement de lieux que nous n’aurions sans nul doute jamais parcouru si nous n’avions pas été obligés. Avancer dans une ambiance différente, une atmosphère diamétralement opposée à un système de vie… Mais qui décelait toutefois des sensations d’éloignement loin des intrigues de la cour, des idéaux révolutionnaires ou des menaces basées sur la peur et l’incompréhension. Ne pas quitter son trône, ne pas abandonner la couronne, mais en oublier toutes les responsabilités qui en découlait. Tels étaient ces quelques instants fragiles et fugaces que nous avions connu à la surface qui, je dois bien le reconnaître, m’avait permis de revenir sur Atlantis, délesté de quelques nervosités et autres mauvaises pensées. Une petite mission à l’air libre. Sortir la tête de l’eau. Ne pas se noyer dans les problèmes. Et passer, dès lors, une après-midi de réunion en compagnie de vos conseillers sans aborder de sujets trop difficiles, lourds ou sensibles. Juste se perdre sur le bien-être de mon peuple et sur l’organisation d’évènements plus joyeux et festifs. Certaines fêtes annuelles et autrement festivales auraient bientôt lieu. Sans compter qu’il y eut pas mal d’échange d’idées sur une ‘journée événement’ qui pourrait se retrouver mise en place dans les jours à venir, et permettrait d’oublier les blessures encore et toujours laissées par la révolte de Orm et les tensions de craintes et de méfiance quant aux négociations avec le peuple de la surface. J’en savais mon peuple très inquiet. Et outre quérir leur confiance, il était également dans mes prérogatives de les rassurer et de veiller à ce qu’il puisse aussi vivre dans une certaine sérénité.

C’est après avoir soulevé une seule idée politique que la réunion prit fin. Comme de juste, l’idée de pouvoir sceller un traité avec le peuple de Themyscira, le peuple de Diana, me trottait de plus en plus dans la tête depuis mes longues séances obligatoires à l’ONU. Je devais d’avantage en discuter avec ma meilleure amie afin d’établir un projet réel et concret. Mais je fus des plus ravis de voir que cette proposition était accueillie avec le plus grand des enthousiasmes. Bien évidemment, je n’attendais pas particulièrement d’approbation pour agir, mais il est toujours plus présent quand les conseillers royaux ont le bon goût de se montrer du même avis que le vôtre. Ainsi pouvais-je regagner les quartiers royaux avec un petit sourire satisfait, ainsi qu’une certaine forme de contentement. Je pense que comme tout un chacun, il était plus qu’évident que j’éprouvais mille fois plus de plaisir à ressortir de concile productif, au lieu de débats s’enlisant perpétuellement dans un discours de sourd et d’esprits trop fermés. De quoi conserver une certaine bonne humeur… Et certaines idées pour la fin de cette journée. Car, bien que je pensais perpétuellement à la femme qui partageais ma vie, à cette atlante qui m’avait confié et offert son cœur, je dois dire que je résonnais encore de ces quelques plaisirs partagés et échangés sur la terre ferme. Je voulais profiter d’une journée sans trop d’obscurité pour demeurer sur cette vague grisante, plaisante et épanouissante à souhait. Certes, l’époque était trouble et dangereuse. Des personnes de notre stature se devait d’avantage d’être sur le front qu’à errer dans escapades idylliques. Pourtant, comme me l’a souligné un jour ma chère amie amazone, il faut savoir cerner les bons moments de l’instant présent pour ne pas s’isoler uniquement dans les guerres et les conflits. Oui, il faut répondre à l’appel des responsabilités. Oui, nous nous devons de ne pas faillir au devoir qui nous est dû. Souverain… Membre fondateur… Je n’oubliais pas quel était mon rôle dans ce marasme ambiant, ni la place que je devais continuer d’occuper. Mais, en cet après-midi d’accalmie, je m’autorisais à penser à une autre forme d’essentiel. Celui qui m’importait le plus. Celui qui, égoïstement, n’était que le seul à compter, dans une certaine mesure. Je voulais m’autoriser à penser à ma sirène, à ma moitié, à ma fiancée… Et combler tous ces instants où nous n’avions pas le droit, ni le choix de pouvoir savourer ce qui nous rattachait tellement et si puissamment l’un à l’autre.

C’est l’esprit souriant et, je n’ai pas peur de le dire, amoureux, que toutes mes pensées se dirigeaient vers elle. Repenser à notre rencontre… A son premier véritable contact lors de l’assassinat de mère, et des dernières paroles de celle-ci… A ce premier baiser osé que je lui ai volé… A nos débuts… A notre évolution… Et tout ce qui nous restait encore à vivre et partager ensemble. Me délestant de ma tenue royale, j’optai pour un pantalon plus traditionnel, demeurant le torse nu, alors que l’idée d’une surprise me vint en tête. Sourire en coin, le regard perdu sur l’équivalent de fenêtre de notre chambre donnant vue sur l’immensité océanique, j’entrai télépathiquement en contact avec certains ‘amis’ de la faune marine. Surprendre et renouveler la nature des moments partagés avec sa moitié était également le fer de lance d’une relation passionnelle et éternelle. Je n’allais nullement me retenir ni me priver d’agir alors de la sorte. Ils m’avaient entendus. Ils se mettaient en chemin. Une certaine satisfaction gagna d’avantage mon visage, et se vit décupler lorsque j’entendis surtout la voix de l’élue de mon cœur. Mes lèvres s’étirèrent dans un sourire. Mon visage se tourne en coin. « Je viens tout juste de rentrer, ma reine… » Lui offris-je un regard amoureusement perçant accompagné d’un certain sourire charmeur, tout en laissant mon corps se retourner entièrement dans sa direction. Je ne me prive pas de la détailler quelques instants, savourer ce spectacle qu’elle m’offre inlassablement de jour en jour, et qui ne cesse de s’embellir avec le temps. « Mais, si tu tiens à m’en vouloir de ne pas être venu te chercher… » Je pousse mes pieds contre le sol pour prendre de l’élan et rejoindre ma moitié à l’aide de quelques brasses et battements de jambes. « sache que je ferai le nécessaire pour trouver le chemin du pardon… » Lui murmurais-je avec taquinerie et malice, alors que mes pieds retrouvaient le sol tandis que mes mains partirent à la rencontre, soyeusement et fermement, de ses hanches délicates. « Et n’oublie pas que ton souverain est un homme de parole. » Conclus-je, un certain amusement mutin aux coins des lèvres pendant que je laissais fondre mon visage afin de partir à la rencontre et à la redécouverte de sa bouche, de ses lèvres, auxquelles j’offris un contact amoureusement langoureux et passionné.


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MessageSujet: Re: for once, let's be selfish (arthur)   for once, let's be selfish (arthur) EmptyMar 18 Avr - 16:07

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ARTHUR & MERA

Une splendeur. Sans nulle autre pareille. Une vision de rêve. Une vision qui me transporte. Qui transporte mon esprit vers un passé si lointain… trop lointain… Vers un passé encombré de dangers, de dégâts, d’esprits bien trop étriqués, bien trop dangereux. Un passé dont j’y serais encore prisonnière sans l’aide si précieuse de notre défunte Reine bien aimée. Un passé qui ne m’aurait pas offert une telle opportunité, une telle chance en ayant rencontré, sur mon chemin, un homme aussi élégant, séduisant que féroce et sévère. Un passé que je ne désire plus connaître. Un passé que je ne désire plus avoir sur mon chemin. Un passé que je ne souhaite nullement revoir un jour. Mon monde se dessine, se présente juste devant moi, juste sous mes yeux et c’est ce qui est le plus important en soi, en cet instant précis. Dès que mon regard se fut reposé sur le corps d’athlète de mon souverain, je dois bien admettre que je ne pensais à plus rien d’autre. Pour une fois en de si longues semaines, cela faisait du bien. C’est reposant. C’est apaisant. Penser simplement à l’être aimé, sans se soucier de ses responsabilités… Je sais que des instants de la sorte ne risquent pas de se dérouler tous les jours, surtout avec la vie que nous menions, et c’est d’ailleurs bien pour cela que je ne veux consacrer le temps qui se présente devant nous, à notre couple, tout simplement.

Revoir cette musculature, sous toutes ses formes, même si elle ne se représente que de par la vision de ce torse divin, ne peut que ramener mon esprit à l’avant arrivée à ce gala. Un moment de partage. Un moment d’évasion. Un partage qu’un couple aimé, passionné, amoureux ne peut que savourer pleinement, sans apporter une quelconque rupture pour une raison qui arracherait le cœur de stopper un échange romantique. Fort heureusement, je parviens à m’extirper de ma torpeur à l’entente des mots et de la voix grave, rauque, mais qui fait tant flancher mon cœur, d’Orin. Un sourire ne peut que s’étirer et s’afficher sur mes lèvres, sur mon visage. « Cela a dû bien se passer pour te voir sans une once d’agacement dans le regard, ou même dans la voix… » Et j’en suis contente. Plus que de raison d’ailleurs. Orin se retourne, doucement mais sûrement. Il se retourne et il faut que mes pulsions, que mes hormones me retiennent pour que je ne puisse agir de façon trop brute en me ruant vers lui… Avec Arthur, quand nous sommes rien que tous les deux, je peux être moi-même. Je peux être la femme qu’il l’aime. Je peux me confier à lui, sans aucun jugement de sa part, sans aucune hypocrisie quelconque. Aux prémices de notre relation, j’ai été perdue. Déboussolée par les évènements, désarmée en sa présence car je sentais des changements se dérouler au sein de mon cœur. La première fois que je ressens de tels sentiments, si intense, si puissant. Jamais, je n’ai eu l’occasion de connaître cela. Nous sommes complémentaires. C’est ce qui fait notre force, en toute circonstance. « Je pourrais t’en vouloir, oui… » Le sourire, tantôt présent, s’affine davantage. Il se montre quelque peu discret, avec quelques notes de malice. Je le regarde. Il se rapproche, tout en élégance, à sa façon. Je retiens ses mots. Je les retiens fermement, dans son entièreté. Il se rapproche une fois encore. Ses pieds regagnent la paroi du sol de la pièce. Il me ramène vers lui de par la présence de ses mains sur mes hanches. Une poigne douce, mais remplie d’assurance toutefois. Le bas de ma lèvre est légèrement mordillé, tandis que mes mains rejoignent le pourtour de son cou. « Ferais-tu… vraiment tout ce qui est en ton pouvoir pour combler et satisfaire les besoins de ta future femme… ? » J’insiste avec malice et sensualité sur le « vraiment » alors que le ton reste sur la note d’une légère sensualité pour apporter un peu plus de profondeur à notre échange. J’accueille ses propos avec un sourire. Uniquement avec ce dernier car je ne trouve pas le temps de laisser mes lèvres prononcer quoi que ce soit. Elles ne trouvent que le temps, l’opportunité de les entrouvrir pour accueillir allègrement, avec une passion enivrante, les lèvres de l’homme qui fait battre mon cœur à l’unisson. Elles se frôlent. Elles se touchent pour partager un baiser à la fois tendre, amoureux, mais hautement intense et passionné. Je prends le temps qui est nécessaire pour le faire perdure aussi longtemps que possible. Une main en profite pour se glisser sous le bas des cheveux d’Orin. Je caresse sa nuque. J’apporte un peu plus de profondeur à notre baiser, laissant le plaisir à ma jambe se relever quelque peu vers l’arrière, prouvant le bien que je ressens à l’embrasser dans cette façon. « Je ne risque pas d’oublier, vois-tu… ? » Des mots qui se laissent être glissés entre deux baisers, l’occasion pour nous de reprendre un peu notre souffle, alors que l’ironie est telle que les circonstances d’habitations pourraient faire naître des rires de par nos comparses terrestres.  

Alors que je fus désireuse de profiter de ce petit temps de « répit » pour user de sournoiserie et de ruer discrètement vers le lobe de son oreille, mes yeux sont intrigués par un détail. Un détail qui se voit être découvert vers le semblant de fenêtre qui fait office d’ouverture pleine vers l’immensité océanique de notre royaume, de notre cité. Ma main poursuit son chemin de caresses douces et lentes sur la nuque de mon souverain, tandis que les secondes s’écoulent et l’avancement de silhouettes d’animaux marins se dessine de plus en plus sur l’eau. Je dois froncer les sourcils. Je dois retenir un sourire amusé et amoureux. Mon visage se redresse et se repose complètement face à celui d’Arthur. Et dès que son regard croise le mien, je persiste à me dire que je ne pourrais, décemment, rien lui cacher… Je ne me laisse, néanmoins, pas déstabiliser et libère doucement ma main pour qu’elle glisse et se repose sur le sommet de son torse. « Soit, ils désirent faire une petite promenade avec leur maître favori… ou alors… » Je place un petit silence entre deux mots avant de reprendre une quelconque parole. « ou alors, ils sont présents pour une raison qui m’est inconnue, mais dont j’espère en connaître rapidement la réponse…  » Ces mots sont prononcés en gardant un ton de voix doux, suave et quelque peu sensuel, dans l’unique but de davantage séduire et faire frémir l’élu de mon cœur. Sournoise ce qui peut me qualifier en cet instant précis.



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