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 ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST

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The Watcher


The Watcher

the omniscient

Messages : 546
Date d'inscription : 06/12/2016
Face Identity : A ghost.
Crédits : starfire.
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Age du personnage : Infini.
Profession : Gardien des âmes.









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MessageSujet: ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST    ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST  EmptyMer 22 Fév - 20:07

survival of the fittest
bad blood ✸ central city
La manifestation anti méta-humains bat son plein. C'est la quatrième depuis l'assassinat du Président, et les autorités de Central City ont été obligées de s'organiser en conséquence pour encadrer les centaines de manifestants. Jusqu'à présent, les débordements ont été évités, les citoyens sont restés relativement civilisés, malgré les messages scandés à haute voix et rédigés sur leurs pancartes. La population méta-humaine de Central City est l'une des plus importantes du pays, depuis l'explosion du générateur de particules. Si Flash est le héros le plus connu de la ville, et s'il est apprécié, ses semblables ne le sont pas forcément. Pour les journalistes du pays, ces rassemblement sont du pain béni, elles alimentent les articles et font vendre, et tant pis pour ceux qui sont directement touchés par les mensonges de quelques reporters sans scrupules. « Je me demande pourquoi le Maire a autorisé cette manifestation. C'est bon, je crois qu'on a compris le message, là. » Les policiers qui encadrent la foule sont les premiers à être agacés par toute cette agitation. « Qu'est-ce que tu veux que je te dise... C'est la liberté d'expression... » « Surtout celle d'emmerder les autres. J'avais promis à Beth d'être rentré pour dix-neuf heures trente, il est déjà vingt-heures. Elle va me tuer, c'est la troisième fois cette semaine. J'ai plus de vie depuis que Duncan a été assassiné. » « C'est la faute de... » « Logan, si tu me dis encore une fois que c'est la faute de la Ligue de Justice, je te fais bouffer ton flingue. On en a déjà parlé, ils peuvent pas être partout à la fois. De toute façon, t'es jamais content ! Flash viens te sauver le cul et tu te plains parce que t'aurais pu t'en sortir tout seul, et quand il est pas là tu pleurniches parce que t'as eu la trouille de ta vie face aux Lascars ! » Tous ricanent, à l'exception du concerné, qui montre son index à ses collègues sans se démonter. « Vous me faites chier, les gars. » « Faut bien qu'on s'occupe. » La foule commence à s'agiter, et les agents de police s'agacent. « Oh, quoi encore... » Ils sont plusieurs à cligner des paupières en même temps, quand l'élément perturbateur passe devant eux. La stupeur les frappe, ils restent figés, incapables de faire le moindre geste face à l'animal qui se dresse devant eux. « Putain de bordel de merde ! » Central City n'est pas étrangère aux criminels particuliers. Captain Cold, Killer Frost, Zoom... Mais un gorille aux proportions dantesques, cela reste du domaine de l'improbable, même pour cette ville.

✸ ✸ ✸


Grodd n'éprouve ni pitié, ni compassion pour les êtres humains. Ils sont faibles, arriérés. Ils ne méritent pas que l'on s'attarde sur eux, ils ne sont bons qu'à être assujettis. Mais les hommes sont coriaces, du genre à résister quand on tente de leur mettre des chaînes aux poignets. Qu'à cela ne tienne, Grodd est doué de patience. Pour les écraser, il faut commencer par les déstabiliser, les apeurer. Un grand rassemblement est toujours une cible idéale pour une attaque. Peu importe qu'on le taxe de terroriste ou pire, de bête sauvage. Ce soir, Central City est à sa merci, ses soldats se chargeront de semer la panique parmi les fourmis, et lui se fera un malin plaisir de ridiculiser Flash. Il ne doute pas que le héros sera prompt à agir, peut-être accompagnés de ses alliés de la Ligue. En attendant leur apparition, Grodd ordonne à ses hommes de faire un véritable carnage. Plus il y aura de morts, et mieux ce sera. « Hey, King Kong ! Tu t'es perdu mon vieux ? La jungle, c'est de l'autre côté. Là, ça va pas le faire. » Green Lantern. L'arrogance personnifiée. Ne devrait-il pas être perdu quelque part dans l'espace, à s'occuper d'un quelconque conflit intergalactique ? « Allez mon gros, tu vas gentiment rentrer chez toi, et emmener tes petits copains avec toi. Sinon je vais devoir te cogner et franchement, j'aime pas taper sur les animaux, je me sens coupable après. » « Tu m'épuises... » Green Lantern et... Green Lantern ? Évidemment. Mais ils pourraient être dix que cela n'inquiéterait guère Grodd. Ce dernier pousse un rugissement furieux et bondit, et heurte le premier Green Lantern, qui s'enferme dans une sphère émeraude avant d'encaisser l'impact. Le second soupir, les poings sur les hanches. « Tu verras, John, les gorilles, ça va te changer ! T'as jamais vu de gorilles ! La prochaine fois, Jordan, je te laisse te démerder, et je vais avec Superman. Lui au moins, il se fout pas de ma gueule. »

✸ ✸ ✸


quelques précisions :
→ Évitez de faire des posts de plus de 800 mots, pour que le rp aille vite entre 500 et 800 mots, c'est l'idéal.
→ Panique au cœur de Central City. Vous êtes en pleine rue, parmi des centaines de personnes paniquées, et des gorilles qui veulent vous écraser, que vous soyez civil ou héros. Vous devez leur échapper, et si possible essayer de les mettre hors d'état de nuire, leur leader particulièrement, Grodd.
→ Les PNJs présents sont : Gorilla Grodd, Green Lantern (Hal Jordan) et Green Lantern (John Stewart). Vous pouvez - et êtes même encouragés - à interagir avec eux ! En revanche, c'est le staff qui se charge de les PNJiser, sinon ce n'est pas drôle
→ Pour une fois, n'ayez pas peur de taper sur des bêtes, promis on ne dira rien à la SPA
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MessageSujet: Re: ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST    ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST  EmptyJeu 23 Fév - 18:24


— survival of the fittest —
La foule s'agitait, les voix s'élevaient dans un chant presque commun à son oreille, comme un hymne de plus en plus reconnaissable à la ville de Central City. A la fenêtre du Picture News, les journalistes s'affolent et observent le spectacle médiatique qui s'offre à eux ; les manifestations se font plus nombreuses et dangereuses, mais rares sont les reporters qui s'opposent à celle-ci, quand les affaires deviennent aussi florissantes. Bien qu'elle ait l'intention de se trouver au coeur du sujet, Iris n'est pas de cet avis. Des dizaines, voire des centaines de vies sont en danger, humains et méta-humains confondus. C'est d'ailleurs ces derniers qui sont les plus touchés par ces manifestations.

La West attrapa son appareil avant de zigzaguer entre les journalistes. Peu d'entre eux avaient le courage d'entrer au coeur des évènements, et se contentait de porter sur le papier les murmures portés par le vent. Elle prit l'ascenseur qui l'amena au rez-de-chaussée ; quelques minutes suffit à la belle pour s'aventurer dans les rues de la ville et de se mêler à la foule assourdissante. Les voix se mêlent, indistinctes, mais toutes s'animent avec le même esprit, la même volonté. Le mouvement humain l'empêchait de reculer ; la journaliste était prise au piège. Elle mit de longue minutes à s'en dépêtrer, mais elle eut aisément l'occasion d'obtenir des photographies réussies.

A quelques pas d'elle, un enfant, dont les pleures sont à peine audibles derrière les cris des manifestants ; le petit avait sans doutes perdu la main de sa mère, et dans ce bruit constant, il était impossible de reconnaître les cris d'une femme cherchant son fils des cris des autres manifestants. Iris rangea son appareil et prit l'enfant dans ses bras. « Tu t'es perdu mon grand ? » demanda-t-elle d'une voix douce. L'enfant hocha la tête de bas en haut avant de crier à tue-tête qu'il cherchait les bras de sa mère. Iris fit quelques pas dans l'espoir de trouver un endroit sûr pour le garçon ; elle s'approcha d'une groupe de policier. « Je sais que vous avez sans doutes beaucoup à faire, mais vous pouvez garder un oeil sur lui ? Il a perdu sa mère, il vaut mieux qu'il soit entre les mains de la police si elle veut avoir une chance de le retrouver. » En vérité elle ne laissa pas le temps aux policiers de répondre quoi que ce soit, car la journaliste s'éclipsa, en gardant à l'esprit les noms des officiers à qui elle avait laissé l'enfant.

Les rues semblaient interminables, tant la foule était prenait une ampleur démesurée. Mais un élément perturbateur n'échappa à sa vue, ni à celle de la majorité des manifestants. Le sang de la journaliste se glaça, tandis que ses yeux s'écarquillèrent face au spectacle qui lui était offert. U gorille aux proportions gigantesques se tenait là, l'allure menaçante, comme l'animal maître de l'oeuvre cinématographique King Kong ; ce fut la première chose qui lui vint à l'esprit, car une créature de ces proportions n'existent que dans les fictions. Pourtant tout cela était bien réel, tout comme la panique qui s'installa parmi la foule. Elle s'agitait avec une force bien plus imposante, les cris se distinguaient des précédents, dans ceux-ci on pouvait sentir la peur. La journaliste suivit son instinct ; elle tenta de mettre le plus de manifestants en sécurité, d'empêcher les maladroits de trébucher et d'être piétinés par la foule. La West n'avait qu'un espoir : que la silhouette du superhéros Flash se dessine dans l'horizon, et qu'il sauve une nouvelle fois la ville d'un chaos certain.
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MessageSujet: Re: ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST    ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST  EmptyLun 27 Fév - 23:59

Professor Zoom
Don't stop me now I'm having such a good time,
I'm trav'ling at the speed of light,
I wanna make a supersonic man out of you



Ma tasse de thé fumait agréablement, posée sur la table. L'odeur parfumée, le bruit du papier journal à chaque page que je tournais, les conversations banales autour de moi dans ce café, les petits plaisir du quotidien. Aujourd'hui je les appréciais, car le quotidien ne serait pas routinier, ni pour moi, ni pour toutes ces vies autour qui n'avaient aucune idée du fil extrêmement mince au bout duquel elles pendaient. Je consultai ma montre. Un sourire en coin étira mes lèvres. Je lisais le journal sans le lire, car je connaissais déjà cette journée. Les manifestations battaient leur plein dehors, mais ce ne furent pas elles qui firent brusquement vibrer la surface de ma tasse. D'abord une fois, puis deux, puis de plus en plus fortement, amenant les clients à se presser vers les vitres pour voir d'où venaient ces tremblements. Et puis les cris. La panique. Tout le monde se mit à courir mais je ne bougeai pas de ma chaise, me contentant de pivoter la tête pour regarder à travers la vitre. La lumière de la rue était entravée par une masse de muscle au poil sombre, bientôt rejointe par d'autres. Ah, ce cher Grodd et son armée de gorilles. Dire que dans mon présent du 25ème siècle, j'avais à faire à son lointain descendant, qui était mon assistant de laboratoire de par son intellect évolué. Quelle ironie. Je repliai tranquillement mon journal après avoir complété la dernière case des mots croisés, et le posai sur la table. Je déverrouillai la bague à mon annulaire, camouflée comme une chevalière de la famille Wells alors qu'il n'en était rien. Le temps ralentit, ou plutôt, je passai en super-vitesse, alors que le costume jaune en émergea. Je fonçai dedans pour le revêtir. Le tissu sur ma peau me gonfla d'une euphorie machiavélique, comme si le pouvoir à l'état pur se greffait sur mon être. Douce sensation.

Je courus à travers la foule en panique, esquivant aisément leurs mouvements incohérents ainsi que les gorilles déchaînés qui dévastaient les rues de toute leur force brute. Je voyais chaque détail au ralenti, toutes ces vies étaient à ma merci sans même le savoir, sans même me voir. Mais leurs piètres existences n'étaient pas ma préoccupation du jour. Je me rendis au Picture News et en fouillai chaque étage en quelques secondes avant de m'atteler aux rues alentours à la recherche d'Iris, que je finis par trouver. Evidemment, la future madame Flash essayait de mettre des gens à l'abri, faisant fi du danger pour elle-même. Je levai les yeux au ciel. Pathétique.  Plus encore de voir un énorme gorille atterrir brusquement devant elle pour tenter de l'attraper dans son énorme patte. Est-ce qu'elle pensait un peu à moi ? Si elle mourrait, je mourrais, quelle égoïste ! Je soupirai, puis accélérai pour saisir Iris dans mes bras à la volée. Je m'arrêtai à quelques mètres du poing du singe qui fracassa le bitume. « Iris, ma belle Iris, cela faisait longtemps, » déclarai-je, narquois. Je ne lui laissai même pas le temps de réaliser qu'elle était vivante et dans mes bras que je me déplaçai de quelques pas rapides de côté, esquivant l'attaque enragée du singe. « Encore raté, » m'amusai-je. Puis je repartis en trombe, Iris toujours dans mes bras, pour courir le long d'un immeuble quelques rues plus loin et la déposer sur le toit, où je m'arrêtai à mon tour. « Quoi, tu attendais Flash peut-être ? » ricanai-je, « Si seulement il n'était pas si lent... Où est-il d'ailleurs ? Flashy, Flahsouille est en retard pour sa belle, c'est inhabituel ! » me moquai-je en tournant autour d'Iris par mini-sauts de vitesse, tel un éclair instable. En vérité, j'étais juste surexcité, amusé par la situation. « Ne bouge pas, mets-toi à l'aise, j'en ai pour trois secondes, au sens premier du terme. » Je disparus du toit et revins trois secondes plus tard très exactement. « Pardon pour cette absence, quel mauvais hôte je fais ! » m'excusai-je faussement en levant les bras.
« Un bonbon peut-être ? » lui proposai-je en tendant le paquet de fraises piqué à un enfant. Je me déplaçai d'un bon juste auprès d'elle pour l'attraper de nouveau et d'un autre bond rapide, la ramener de force au bord du toit. Je ne tenais pas en place. Tant d'énergie, tant d'impatient sadisme que c'en était grisant.
« Que penses-tu de mon oeuvre ? » ricanai-je en posant un pied sur le rebord, m'accoudant sur mon genoux pour observer le chaos que j'avais accentué. Dans la rue, en bas, j'avais en trois secondes récupéré des dizaines d'enfants que j'avais enfermé dans un bus, à la merci des trois énormes gorilles qui arrivaient dans leur direction. Et plus ils braillaient de peur, plus les singes rugissaient pour venir les écraser. « Flash ? Flash ! Toujours pas là ? Il doit être occupé ailleurs, il manque de motivation pour venir jouer avec nous. Aidons-le, veux-tu ? » Sans prévenir, je donnai un coup dans le dos d'Iris pour la faire tomber du toit. Bien sûr, je devais la garder en vie, et si Flash ne la sauvait pas de cette chute, je le ferais au dernier moment, mais tout de même, c'était moins drôle. Je piochai dans le sac de bonbon pour en gober un autre, grand sourire carnassier aux lèvres, mes yeux rouges scrutant la chute d'Iris. Je me délectai de son hurlement. Et dire que j'avais été amoureux d'elle. Allez Barry, mon idole, viens jouer avec moi.


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MessageSujet: Re: ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST    ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST  EmptyMar 28 Fév - 18:58

Intrigue Central City
Survival of the fittest
Un gorille souleva la voiture qui se trouvait à côté de lui puis s'avança lentement vers un groupe d'élèves. Il envoya ensuite l'automobile s'écraser contre les enfants incapables de faire le moindre pas, immobilisés par la peur. Ce fut cependant sans compter sur l'intervention éclair du bolide écarlate qui arriva tout juste à temps pour les secourir. Il ne s'arrêta de courir qu'après avoir déposé les jeunes étudiants en lieu sûr. Enfin, le terme " sûr " était relatif, sachant que la ville toute entière était devenue le terrain de jeu de primates plus intelligents que la normale. Le coureur soupira, il pensait en avoir terminé avec les invasions pour un certain temps, mais il s'était visiblement fourvoyé.

Les yeux de Flash bougeaient constamment de gauche à droite, scrutant les horizons à la recherche d'une personne en danger. Profitant de sa super-vitesse et de ses réflexes améliorés, il esquivait habilement les singes sur son passage et chaque objet que ceux-ci lançaient dans sa direction sans trop de problèmes. Il écartait tous les civils qu'il pouvait trouver sur son chemin, mais ne perdait jamais son but premier : trouver Grodd. Les envahisseurs avaient beau être dangereux, la cible prioritaire restait le chef, le pire d'entre eux. Les écouteurs internes de son costume, calibrés sur la fréquence du CCPD, interceptèrent un message émis par l'un des hélicoptères des forces de l'ordre. Le sprinteur fut soulagé d'apprendre que la Ligue lui avait envoyé des renforts, et par n'importe lesquels d'ailleurs. En effet, les deux Green Lantern de l'équipe allaient l'épauler. Selon, le pilote envoyé en reconnaissance, le duo se trouvait déjà aux prises avec un singe plus menaçant et impressionnant que les autres. Grodd, sans aucun doute.

« Bienvenue à Central City, les Lanterns. Pile à l'heure pour participer au remake de " La planète des singes ", j'avais peur que vous n'ayez pas reçu les invitations. Vous avez déjà fait la rencontre de César, apparemment. »

Malgré la gravité de la situation, Flash trouvait encore le temps de rire avec les deux officiers d'Oa, même si sa blague semblait avoir eu plus d'effet sur Hal que sur John. Le bolide écarlate s'apprêtait à aller les aider, mais des cris provenant de la direction opposée attirèrent son attention. Un groupe d'enfants frappait aux fenêtres d'un bus dont les portes étaient visiblement bloquées alors que trois gorilles s'approchaient dangereusement du véhicule. En quelques secondes, le héros s'était posté entre le bus et les trois agresseurs. Il fit rapidement agiter ses bras, repoussant alors les bêtes à l'aide de puissants vortex. Il fit ensuite vibrer ses mains qu'il plaqua contre la porte de l'autocar pour la faire sauter et ainsi libérer les jeunes gens. Barry les regarda se mettre en lieu sûr alors qu'il reçut un appel d'Hal.

« Un peu de coup de pouce ici ne serait pas de ref... »
« Un instant... » l'interrompit-il en remarquant une silhouette qui lui était plus que familière chuter du haut du toit du Picture News. « Iris ! »

L'ombre d'un instant, il avait oublié son protocole habituel, ses formalités, et avait appelé la reporter par son prénom. Il ne réfléchit pas bien longtemps avant de partir au secours de sa belle. Il accéléra suffisamment pour pouvoir courir sur le mur et les vitres du bâtiment tout en écartant déjà les bras, s'apprêtant à la réceptionner en plein vol.

« Je pensais que notre prochaine rencontre aurait lieu autour d'un café. Et dire que certains me traitent d'impatient !  »

Une autre petite boutade pour détendre l'atmosphère alors qu'il la remonte jusqu'au toit de l'immeuble. Il avait bien sûr fait référence à leur dernière conversation, à Brookfields Heights. Quand elle n'allait pas vers le danger, c'était le danger qui venait à elle. Etant donné que la ville était envahie par une horde de singes, l’Éclair ne pensait pas tirer de conclusions trop hâtives en se disant que l'un d'eux avait poussé la journaliste. Or, encore une fois, il avait tort. Il n'y avait aucun primate au sommet du Picture News, juste une seule personne. Zoom. Il arborait une tenue semblable à la sienne, à la seule différence que les couleurs étaient inversées. Ce qui agaçait Flash n'était cependant pas la ressemblance entre leurs combinaisons, mais plutôt le sourire satisfait dessiné sur le visage de ce dernier, il l'attendait.

« Evidemment, tu as choisi le bon moment pour faire ton apparition...  »

Sauver la ville d'un gorille télépathe et de son armée était trop facile, apparemment, il fallait en plus qu'un bolide beaucoup plus rapide que lui entre en scène. Barry s'était déjà confronté à Zoom auparavant, mais ignorait toujours tout de lui, de sa véritable identité. Il s'amusait à apparaître et disparaître tout aussi vite après avoir mis le protecteur de Central City dans l'embarras. Pour lui, tout ceci n'était qu'un simple divertissement, le justicier l'avait bien compris. Malheureusement, il lui était impossible de comprendre la raison qui avait poussé l'inconnu à faire de lui son partenaire d'amusement. Son instinct de policier lui disait que ce qu'il y avait entre eux était plus personnel que cela en avait l'air. Les deux Green Lantern allaient devoir s'occuper des primates sans le coureur pour le moment, il ne pouvait pas laisser un autre intervenant aggraver la situation. Son corps libérait des étincelles, signe qu'il était prêt à en découdre avec son opposant. Il se pencha légèrement vers l'avant. Il allait l'arrêter là, maintenant, avant que d'autres innocents ne se retrouvent impliqués dans ce jeu qui n'amusait personne en dehors de son créateur.

« Je pense que tu as dû le remarquer, mais j'ai d'autres problèmes plus importants à régler, là. Finissons-en rapidement.  »

Sa phrase fut à peine terminée qu'il se rua sur le principal concerné à toute vitesse, un bras tendu vers l'avant pour tenter de l'attraper par le col et éviter qu'il ne s'échappe, comme il avait l'habitude de le faire.
GOTHEIM sur Never Utopia
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MessageSujet: Re: ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST    ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST  EmptyJeu 2 Mar - 21:18


SURVIVAL OF THE FITTEST – SUSAN, IRIS, EOBARD & BARRY



Le commissariat de Central City était en vigilance. Cette journée n’allait pas être des plus calmes pour les hommes et les femmes du CCPD. Les manifestations avaient toujours leur lot de casseurs, de chercheurs d’embrouilles et autres emmerdeurs. Les prises d’empreintes digitales en une telle journée pouvait doubler voir même tripler par rapport à une journée banale. Sans compter que les métahumains utilisaient souvent ce genre de trouble public pour exécuter leur méfait. De ce fait, il fallait qu’un analyste reste présent jusqu’à la fin des événements. Il n’y avait presque personne dans le commissariat et je devais avouer que je me faisais chier comme un rat mort. Patty Spivot me regardait dans l’encadrement de la porte du laboratoire alors que j’étais en pleine partie de solitaire sur mon ordinateur. Du solitaire… quelle tristesse !

Tu fais pitié… !
Patty avait la classe et la délicatesse d’un char d’assaut. Le lieutenant de police était pourtant l’une des femmes les plus adorables que j’avais eu le plaisir de rencontrer à Central City. Mais elle était aussi très… beaucoup trop obstinée ! Elle vint jusqu’à mon bureau et y déposa deux grands cafés crèmes… Adorable vous disais-je ! Mes yeux se mirent à briller comme deux étoiles face à ce plaisir gourmand.

Ooooh ouiiii je vous aime, Patty Spivot… Lequel est le mien ? demandais-je.
Celui sans sucre, pardi ! répondit-elle d’un air taquin.
Ahah… très drôle !
Patty poussa une des deux tasses en ma direction. Que je pris avec grand plaisir entre mes mains. Ce plaisir brulant allait être une bénédiction. Portant ce met à mes lèvres, je ne pus m’empêcher de sourire. J’étais ravie qu’elle soit avec moi, ici ce soir. Il ne manquait plus que Barry et l’équipe aurait été complète. Mais il avait eu la chance de ne pas avoir été demandé en renfort, ce que j’enviais.

Nous buvions notre café à petites gorgées dans un silence de mort mais je trouvais cela agréable. Buvant une nouvelle gorgée, je manquais de renverser le breuvage brulant sur moi. L’alarme retentit dans les bureaux du CCPD, ce qui eut pour effet de réveiller l’ensemble des agents présents. Sans attendre, nous nous dirigeâmes en-dehors du laboratoire pour savoir ce qui se passait.

C’est quoi ce bordel ? demanda Patty en élevant la voix pour se faire entendre de tous.
Grodd et sa click au milieu de la manifestation ! répondit à la hâte un des officiers.

Grodd ? C’était quoi ça ? Un méta qui venait de profiter de l’assemblée au dehors pour mettre un peu d’agitation ? Je regardais Patty avait interrogation, quand elle capta enfin mon regard, elle m’éclaircit un peu sur l’identité de Grodd. Un gorille doté de capacités télépathiques qui en voulait à l’humanité. Je compris alors à qui on avait à faire.

Depuis l’explosion de l’accélérateur de particules de S.T.A.R. Labs et l’apparition des métahumains, Harrison Wells, le directeur du dit labo, collaborait avec le CCPD. La police n’avait jusqu’à présent aucune arme pour combattre ces monstres qui attaquaient régulièrement, enfin pas tout à fait, il y avait Flash. Mais même si il courait très vite, il ne pouvait pas toujours se trouver en deux lieux différents au même moment. Et dans ces instants, il fallait que la police puisse se défendre. Patty me prit par le bras.
Il parait que tu sais plutôt bien te servir d’une arme. J’acquiesçais. Viens avec moi !

Me servir d’une arme… C’était bien la seule chose positive que mon tueur d’ex-mari avait apporté de positif dans ma vie. Il y avait bien eu Eddie, mais la vie en avait décidé autrement. Je suivais ma collègue d’un pas acharnée jusqu’à arriver devant l’armurerie. Je me stoppais nette devant la porte alors que Patty commençait déjà à fouiller des grandes caisses de bois qui se trouvaient au fond de la pièce.
Il y a quelques semaines, S.T.A.R. Labs nous a apporté ces petits bijoux.[/i] dit-elle en me montrant des armes de la taille d’une mitraillette. Ultrasons. Associé à des anesthésiants, c’est parfait contre les animaux. Je ne pouvais que reconnaitre que l’idée était bonne.

Dix minutes plus tard, nous étions dans la rue avec une douzaine d’autres agents, armés de pistolets à ultrasons et des pistolets anesthésiants. Je n’avais pas signé pour ça quand j’avais intégré la police. Mais je comprenais l’urgence de la situation. La majorité des effectifs avaient déjà été envoyés sur le terrain et le commissariat était quasiment vide. De plus est, j’avais plus d’intérêt à être sur le terrain, car étrangement, on n’allait pas me demander de relever les empreintes digitales de primates. Le ciel s’illuminait de rayon vert. Si nous n’avions pas encore croisé la route de Flash, nous avions au moins que les Green Lanterns étaient venus aider la ville sous l’assaut des singes. En progression par groupe de trois, l’objectif était de neutraliser les primates. Un à un. Mais je devais avouer qu’il y avait beaucoup trop et que je n’étais pas trop rassurée d’avoir une arme entre mes mains.

Un gorille vint dans notre direction. Patty et l’agent Simpson lui tirèrent dessus avec les ultrasons. Le flux sonique était invisible à l’œil nu et aphone. Impossible de savoir si les armes fonctionnaient avant de voir l’animal ralentir sa course et porter ses mains à ses oreilles.
Maintenant Sue.
Sans attendre, et avec beaucoup d’inquiétude, j’appuyais sur la détente. La flèche vint de planter dans l’épaule de l’animal. Quand le produit fit effet, il s’écroula au sol. J’émis un petit cri étouffé de surprise.
Je doutais que Floyd ait ce genre de réaction quand il tirait sur quelqu’un.


EXORDIUM.
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MessageSujet: Re: ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST    ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST  EmptyDim 5 Mar - 20:58



Un gorille aux proportions gigantesques terrorisait la ville et ses habitants, sans qu'aucun humain ne puisse prendre le contrôle de la situation, de ce chaos imminent qui tentait à s'emparer de la moindre peur, de la moindre faiblesse. Iris se posait bien des questions, quand la panique environnante le lui permettait ; la foule s'affolait, les gens criaient, s'éparpillaient, se bousculaient pour l'endroit le plus sûr, là où une de ces créatures ne pourra les atteindre. La journaliste s'était attelé à la tâche de mettre chacune de ces âmes terrifiées quelque part où rien ne pourrait les menacer, sans penser à protéger sa propre vie. Elle n'attendait qu'une chose : voir la silhouette du superhéros Flash se dessiner dans l'horizon, faire naître une once d'espoir dans l'affolement. Néanmoins ce n'est pas le bolide écarlate qui vint la sauver, lorsque la belle  se trouva être menacée par l'une de ces bêtes.  

Son sauveur arborait un costume jaune, orné d'une flèche, à l'identique de celle de Flash, néanmoins rien d'autre ne lui paraissait semblable au superhéros qu'elle admirait. C'était Zoom. « Iris, ma belle Iris, cela faisait longtemps. » Le gorille paraissait désorienté, accablé par la supervitesse de l'homme qui s'échappait d'entre ses mains avec une aisance si singulière. « Encore raté. » Iris n'eut en réalité que peu de temps pour se rendre compte de la situation qui l'encombrait ; l'anti héros se pressa de la conduire jusqu'au toit d'un immeuble, là où s'offrait à elle une vue imprenable sur le chaos engendré. « Quoi, tu attendais Flash peut-être ? Si seulement il n'était pas si lent... Où est-il d'ailleurs ? Flashy, Flahsouille est en retard pour sa belle, c'est inhabituel ! » Qu'attendait-il d'elle ? Cela, Iris n'en avait aucune idée. Il s'acharnait à rendre le travail de Flash plus compliqué qu'elle ne l'était, pour une raison qui échappait à la journaliste, néanmoins qu'elle ne tardera pas à tenter de découvrir. « Ne bouge pas, mets-toi à l'aise, j'en ai pour trois secondes, au sens premier du terme. » Trois secondes plus tard, il apparut sous ses yeux, sans que la belle n'eut le temps de prononcer un mot. Ses lèvres s'entrouvrirent, mais il n'y eut rien de plus qu'un souffle. Un souffle significatif de son agacement. La journaliste ne contrôlait rien, et elle en souffrait. « Pardon pour cette absence, quel mauvais hôte je fais ! » La West se contenta d'écouter, sans omettre aucun de ses dires. Il s'amusait, trépignait, comme un enfant ; sa dernière question ne fut pas une surprise pour la journaliste, mais elle ne quittait pas l'homme des yeux. Elle plantait un regard sévère dans ses pupilles, à la fois désemparé mais déterminé. Cependant l'antihéros prit de nouveau la belle dans ses bras, afin de l'emmener au bord du toit. « Que penses-tu de mon oeuvre ? » Des gamins criaient, enfermés dans un bus, à la merci de trois gorilles qui n'attendirent pas plus longtemps pour assaillir l'auto. Iris écarquilla les yeux à cette vue, les poings serrés, tremblant, mourant d'envie de frapper, ne serait-ce que pour combler une partie de la culpabilité qui l'affublait ; elle ne pouvait rien faire, du haut de ce soit. Rien d'autre que de regarder ces enfants mourir sous les griffes d'une bête. Mais que faisait Flash ? « Flash ? Flash ! Toujours pas là ? Il doit être occupé ailleurs, il manque de motivation pour venir jouer avec nous. Aidons-le, veux-tu ? » Zoom poussa la jeune femme du haut du toit, qui se mit aussitôt à hurler. Iris se voyait périr au fur et à mesure qu'elle s'approchait du sol. Il lui sembla si proche, tandis que le temps, lui, paraissait si long. Elle se perdait dans ses propres cris, que bientôt elle confondit avec celui du reste de la foule.

C'est le bolide écarlate qui sauva, de justesse, la journaliste en détresse. Un soupire de soulagement, rapidement remplacé par l'inquiétude ; Zoom l'attendait, et la West appréciait peu d'être traitée comme un appât. « Je pensais que notre prochaine rencontre aurait lieu autour d'un café. Et dire que certains me traitent d'impatient ! » Le bolide reposa la belle sur le toit, avant qu'il n'ait le temps de découvrir que c'était Zoom, et non un gorille, qui avait poussé précédemment la journaliste. « Evidemment, tu as choisi le bon moment pour faire ton apparition... » L'homme avait ce qu'il attendait : Flash. Aussitôt que le superhéros eut prit la parole, elle scruta les alentours afin de dénicher un moyen de descendre du toit. En bas, elle pouvait encore être utile, et non être utilisée. « Je pense que tu as dû le remarquer, mais j'ai d'autres problèmes plus importants à régler, là. Finissons-en rapidement. » Flash et Iris s'élancèrent en même temps, lui sur sa cible, tandis que la journaliste fonça vers la porte qu'il lui permettra de descendre du toit.
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MessageSujet: Re: ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST    ✸ SURVIVAL OF THE FITTEST  EmptyJeu 16 Mar - 10:40

Professor Zoom
Don't stop me now I'm having such a good time,
I'm trav'ling at the speed of light,
I wanna make a supersonic man out of you




Mon meilleur ennemi était enfin là, joie ! J'allais prendre un malin plaisir à le faire tourner en bourrique, il n'avait pas idée. Je rigolai en réponse à ses tirades. Comme s'il était en mesure de m'arrêter ! Il n'était pas prêt, pas encore. Je le vis bondir vers moi, à une vitesse extrême, mais pas assez. Me penchant de côté j'esquivai sa main tendue vers moi, cherchant à m'agripper. Je lui saisis le poignet avec force et le lui brisai d'un mouvement sec sans le lâcher pour autant. Il guérirait vite, à quoi bon me priver d'un peu de douleur sur son visage. Toujours en super-vitesse, qui paraissait ralentie pour nous, je l'attirai à moi juste assez pour lui susurrer à l'oreille à l'insu de toute autre présence : « Trop lent, Barry, trop lent... » Profitant de son propre élan super-rapide, je n'eus qu'à pivoter pour terminer de le projeter au loin dans sa trajectoire, à savoir le bout du toit d'où il tomberait probablement vu la vitesse prise. Mon ricanement diabolique s'éleva dans les airs, pris d'un quasi fou-rire. Oui, Flash, je sais qui tu es, et il était temps que tu le saches, histoire de te rajouter un peu de frayeur dans le coeur. Qui connaissait l'identité d'un héros connaissait ses proches, et donc ses faiblesses. S'il croyait que je ciblais Iris au hasard, il se trompait. « Tu vas devoir faire mieux que ça si tu veux espérer devenir "l'Homme le plus rapide du monde" ! » lui criai-je par-dessus le rebord du toit. Ce petit manquait de motivation pour se surpasser, peut-être que cette nouvelle peur allait le stimuler un peu.  S'il voulait des réponses, et m'empêcher de frapper son entourage, il allait devoir m'attraper. Et pour ça, il avait encore un peu de chemin à faire. Dans un dernier rire, je partis en trombe dans un bang significatif du mur du son explosé en quelques dizaines de mètres. Virant entre les immeubles je disparus à travers un portail temporel sans laisser à mon ennemi le loisir de pouvoir me suivre dedans.



Je réapparus au coeur de StarLabs, dans les sous-sols, et m'empressai de changer de tenue pour redevenir Harrison Wells. Je repartis aussitôt pour m'arrêter sans être vu dans une rue, celle où se trouvaient désormais mes "collègues" Patty Spivot et Susan Lawton, entre autres agents du CCPD. Ayant pris soin de déchirer quelques parties de mon magnifique costume, j'arrivai vers elles en courant tout essoufflé, comme si je venais de survivre de peu à une tornade. « Enfin je vous trouve ! StarLabs est en état de siège et le CCPD aussi de ce que j'ai vu ! C'est une invasion ! Et il y a les Green Lantern et... Pfiouuu. » Je m'appuyai sur mes genoux pour reprendre mon souffle, ou du moins faire semblant. « Je vois que vous avez pris les armes StarLabs ! Si ça ne vous ennuie pas, je vais rester avec vous, parce que je ne sais absolument pas me battre, encore moins contre ces... trucs ! Fascinants soit dit en passant. » Oui, le scientifique en moi ne pouvait que trouver ces gorilles intéressants. Dommage qu'ils soient si dangereux. Par chance, dans le futur, j'aurais tout le loisir de faire des expérimentations sur eux, bien en cage. Intellectuel mais pas combattant, le Harrison  Wells que j'étais allait avoir besoin de protection comme n'importe quel citoyen de la ville.  « Est-ce que vous avez un plan ? Est-ce que je peux aider d'une quelconque man... ATTENTION ! » Gorilles en vue et ils ne semblaient pas content de voir que les demoiselles avaient neutralisé plusieurs des leurs avec leurs armes.



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