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 Three words, eight letters (hal)

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Carol Ferris


Carol Ferris

independent soul

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Three words, eight letters (hal) Original
Age du personnage : 34 ans.
Ville : Coast City.
Profession : Directrice de Ferris Aircraft ; pilote ; super héros parfois à ses heures perdues.
Affiliation : Star Sapphire corp.
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Humaine
x Corps à corps / sport de combat
x Maniement d'armes
x Pilotage d'avions militaires
x Parle Anglais, Espagnol et Portugais

Star Sapphire
x Rayon énergétique
x Vol / lévitation
x Création de structures
x Localisation des êtres aimés dans la galaxie
x Pouvoir de l'Amour

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Situation Maritale : Fiancée à l'amour de sa vie, le Green Lantern Hal Jordan.









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MessageSujet: Three words, eight letters (hal)   Three words, eight letters (hal) EmptyDim 22 Mar - 22:14

Hal &
Carol

three words, eight letters

Ses doigts passant dans ses cheveux, Carol l'observait dormir. Ainsi allongé sur le dos, plongé dans un sommeil profond, il semblait si paisible. Loin étaient les préoccupations. Loin étaient les blessures de ces derniers mors. Des mois éprouvant. Des mois passés sur une planète dévastée, en proie à une guerre sanguinaire. Son cœur avait pleurait pour tous ces morts, pour toutes ses âmes blessées, perdues, arrachées. Pour ces familles, ces parents, ces enfants, ces amants. Pour tous ceux qui avaient perdus et perdus jusqu’à finalement y laisser la vie. Dans cette dévastation, la représentante de l'Amour avait été d'une impuissance rare. Car l'Amour avait déserté depuis longtemps cette planète pour laisser place à la rage, à la haine et à la rancœur. Alors, au début, elle avait erré. Erré comme une âme en peine. Mais entre la haine et l'amour, entre la rage et l'amour, il n'y avait souvent qu'un pas. Et elle-même s'était laissé consumé par les émotions. Et guerrière, elle avait vengé tout ces amours brisés. Aujourd'hui, elle ne pouvait que vouloir profiter de cette accalmie. Bien sur, rien n'était parfait sur leur planète. Sur cette terre qui était la leur. De nouveaux ouragans se profilaient à l'horizon. Mais pour le moment, il n'y avait rien de plus naturel, de plus parfait que le spectacle de cet homme endormi. Cet homme qui était le sien et qu'elle avait accepté d'épouser avant qu'ils ne soient arrachés à leurs existences pour être précipités dans une autre. Un sourire voyagea sur ses lèvres pour les étirer délicatement.  Ses doigts descendirent des cheveux de son fiancé jusqu'à la rondeur de l'une de ses joues. Elle en suivit doucement le contour de la pulpe de ses doigts. Sa main quitta cependant son visage lorsqu'au loin un bruit attira son attention. La femme d'affaire – plus ruinée que jamais – tendit l'oreille.

Pendant un instant, elle n'entendit plus rien et pensa avoir rêvé. Puis, il reprit. Carol comprit finalement que quelqu'un cognait contre le bois de sa porte d'entrée. Avec un léger soupir, elle déposa un baiser sur le front de Hal et se leva. Avant de quitter sa chambre, elle attrapa sa robe de satin et la passa sur son corps nu par soucis de décence et modestie. « J'arrive ! » grommela t-elle lorsque les coups reprirent de plus belle. Déverrouillant sa porte, elle s'apprêta à dire au visiteur le fond de sa pensée lorsqu'elle avisa la personne se trouvant face à elle. Immédiatement, ses yeux s'embuèrent de larmes mal contenues. «  Carol.. » souffla l'homme. Bien que plus vieux et plus fatigué que dans ses souvenirs, Carol Ferris se tenait là. Sur le perron de sa villa côtière. Avec un sanglot bloqué dans la gorge, elle lui sauta au cou et le serra fort contre elle. Un geste qui fut presque immédiatement copié par le père de famille. «  Que c'est bon de te revoir ma fille ! » s'exclama t-il en l'éloignant de lui pour la regarder. Sans attendre, Carol le fit pénétrer dans la villa et lui proposa un café.

Le père et la fille discutèrent de tout et de rien pendant quelques secondes avant que Carol, ne tenant plus, lui annonce finalement la bonne nouvelle. L'homme restait un instant bouche bée avant de laisser éclater toute sa joie. A moitié en riant, Carol l'intima à plus de discrétion. Hal dormait toujours – bien qu'elle ne savait comment avec le boucan qu'ils faisaient – et elle voulait le laisser se reposer au maximum. Lorsqu'il passa cependant le pas de la porte de leur chambre quelques minutes plus tard, elle ne put le protéger de l'étreinte forte de son père ni de ses remarques. Carl Ferris était aux anges oui. Mais il ne put s'empêcher de faire remarquer à Hal qu'il avait drôlement pris son temps. Carol le réprimanda gentiment en secouant la tête. Point désolé, l'homme continua sur sa lancée et se lança dans un long monologue sur les préparatifs du mariage, la liste des invités et autres détails du genre.

«  Et si on faisait ça qu'entre nous ? » le stoppa t-elle lorsqu'il partit bien trop loin. En plus de l'attention de son père, elle eut soudainement sur elle celle de Hal, resté très silencieux jusque là pour certainement laisser passer la tempête sans en être victime. Sous leurs yeux inquisiteurs, l'assurance de Carol fondit quelque peu comme neige au soleil. Mais la jeune femme retrouva facilement cette dernière. «  C'est vrai après tout.  On n'a pas besoin de grand chose. Juste de nous ». Eux deux, un témoin, leurs familles respectives et peut être un officier d'état civil. Même si de nos jours n'importe qui pouvait obtenir le droit de marier quelqu'un en passant une qualification rapide sur internet. Les réseaux étant ce qu'ils étaient cependant, il fallait s'armer de patience. Sans compter sur l'administration débordée.  Avec un peu de chance, cela restait cependant possible. «  On pourrait... je ne sais pas... aller à Hawaii.. là tout de suite et oublier tout ce qui n'est pas nécessaire ». Ni Hal ni elle n'avait eu le temps d'aborder la cérémonie de mariage parfaite. Ni même de parler de leur mariage prochain en général. La vie ne leur en avait pas laissé l'occasion jusqu'à présent. Pourtant, les mots qu'elle venait de prononcer lui paraissait juste. Une cérémonie sans chichis leur correspondait plus qu'une grande affaire. Encore fallait-il que Hal soit évidemment d'accord avec un tel plan. Mais elle, plus elle y pensait et plus cela ressemblait son mariage rêvé. La spontanéité de leur couple, la simplicité de Hal. Oui cela lui semblait parfait.


Pando
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Hal Jordan


Hal Jordan

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Age du personnage : 35 ans
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Le pouvoir de Hal est transmit par l'anneau. C'est lui qui lui confère tout. La connaissance de tout ce que savent les Gardiens est inscrites à l’intérieur même de l'anneau. Ce dernier fonctionne avec une batterie, une lanterne.
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Hal a besoin de la recharger au moins une fois toute les 24 heures minimums s'il ne veut pas tomber à cours. L'anneau lui permet de créer ce qu'il souhaite. Du moment qu'il le visualise, le reste se fait tout seul.
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Porter l'anneau est quelque chose d’éprouvant. L'anneau lui permet de voler et de pouvoir se déplacer extrêmement rapidement dans l'espace. L'anneau est considéré comme l'une des armes les plus puissantes de la galaxie. .

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MessageSujet: Re: Three words, eight letters (hal)   Three words, eight letters (hal) EmptyMer 25 Mar - 20:41

 Three words, eight letters

There not enough in this world to tell you how i feel about you, there isn't enough word to spell how much i love you, but there you, and taht's the only thing i need. I just need those eight letters, and these three words


Avec le retour à la réalité, à notre réelle place, j’avais pu rejoindre Carol, et retourner à la maison avec cette dernière . La finalité de cette réalité n’était pas tout rose, mais je préférais ne pas y penser alors que j’allais pour la première fois depuis un long moment pouvoir profiter d’un repos mérité, et réparateur. Je ne savais plus à quand remontait le dernier, c’était dire. C’était pourquoi, une fois la villa de rejoint, c’était avec des retrouvailles appropriées, et des longues minutes avec ma femme dans mes bras que je quittais ce monde pour me retrouver dans celui des songes. Je ne savais combien de temps j’avais dormi, mais j’avais la sensation d’avoir sommeillé pendant des jours, tant le fait de faire une nuit entière était étrange. Les tissus ainsi que la présence de Carol m’avait énormément manqué lors de mes dernières nuits. Je restais quelques minutes de plus, à me dégourdir les membres, je sentais les articulations craquer alors que poussais un petit bruit montrant que je dormirais bien encore quelques minutes. Mais alors que je me tournais pour me mettre de l’autre sens dans le lit, j’entendais quelques bruits venant de la pièce plus lointaine. J’étais encore un peu brumeux, alors je me levais doucement, attrapais un t-shirt avec un logo de l’équipe local, ainsi que le premier short qui passait alors que je frottais finalement mes yeux, sortant de la pièce avec les cheveux en pétards. Lorsque je faisais les quelques pas pour être dans la fameuse pièce, mes yeux mettaient quelques secondes avant de s’habituer à l’intensité. Je voyais Caroline qui semblait être plus heureux que jamais, et un homme qui s’approchait de moi rapidement, avant de me prendre dans ses bras. Un homme que je n’avais plus revu depuis des lustres. Et bien que quelques fois notre relation était compliquée, un homme que j’étais content de voir finalement. Je souriais, coupable des accusations que me lançait l’homme. Il avait raison, mais ce temps était notre force, il était celui qui nous avait permis de nous construire, d’être les personnes que nous étions, et surtout d’être ce duo si fort que nous formions à présent.

Carl faisait ses plans sur la comète, alors que j’essayais toujours de rattraper avec mon esprit encore trop endormi pour l’occasion. Mais l’homme était rapidement stoppé par ma femme, qui proposait l’idée de le faire entre nous, quelque chose de plus intime, de plus personnel qu’un grand mariage habituel. Alors que j’essayais de réprimer un bâillement, je voyais d’abord le regard de Carol se poser, puis celui de Carl. Mon regard sautait d’un coup sur la dame puis sur l’homme. L’idée faisait un tour rapide dans ma tête alors que je la voyais reprendre proposant Hawaï. Je connectais mes neurones pour établir une pensée et une réponse qui concordait. « C’est pas une mauvaise idée » ajoutais-je en premier lieu, avant de faire quelques pas pour me mettre derrière une chaise, où je venais attraper de mes mains les deux montants. Avant de reprendre, posant plus la question à Caroline plutôt qu’à Carl. « Si tu me laisses quelques minutes pour prendre le téléphone et appeler Jimmy, on peut partir dans l’heure qui suit » annonçais-je, totalement emballé par l’idée. L’impulsivité et moi faisions un très bon combo, alors quand elle me prenait par les sentiments comme ça, je ne pouvais qu’être d’accord. Je faisais quelques pas, et une fois à côté de Carl, je n’osais pas lui faire une tape, mais l’intention était là. « Il a fallu le temps pour tout ça, mais ça en valait le coup. » Je regardais Carol avant de reprendre. « Et si je devais recommencer et savoir qu’il faudrait attendre des années pour en arriver là, je signerais encore une fois tout de suite. » Je me rapprochais de cette dernière, avant de lui faire un baiser sur la joue, et de prendre le téléphone non loin d’elle. Je faisais quelques pas plus loin pour approcher d’une autre pièce. « Hawaï » lui demandais-je une dernière fois avant de la voir acquiescer. Je laissais donc ma femme et mon beau-père pour quelques minutes alors que j’allais annoncer la nouvelle à mon frère, nouvelle qui prenait pour le mieux, malgré l’imprévu de la situation, que lui et sa famille serait présent, et que je n’aurais qu’à passer le récupérer. Je revenais dans la pièce, avec un paquet de cacahuètes dans les mains, j’en mangeais quelques unes alors que je la posais ensuite sur la table, pour que Carl puisse en prendre, et même Carol si elle le souhaitait. Je venais me tenir à non loin de la dame avant de lui demander. « C’est un super endroit Hawaï, pourquoi tu l’as choisi ? » Lui demandais-je, alors que je lui attrapais les épaules pour les masser un peu. Je me doutais qu’elle ne devais pas être très à l’aise avec les démonstrations d’amour face à son père, c’était pourquoi je ne faisais rien d’autre, je passais juste mes mains sur ses épaules, massant l’endroit tout en l’écoutant. Puis, lorsqu’elle avait fini, je venais poser ma tête dans sur l’une de ses épaules, un peu plus basse que moi, j’avais à me courber, mais je trouvais ça amusant, je pouvais sentir son odeur, et avoir quelques cheveux sur mon visage. J’ajoutais finalement. En direction de Carl. Honnête et désirant à savoir ce que l’homme faisait de ses journées récemment. Je n’avais pas eu énormément de nouvelle de lui, c’était pourquoi je lui posais la question. « Et vous Carl, que devenez-vous ? » Demandais-je, avec beaucoup de respect pour l’homme qui était tout d’abord le patron mais qui était surtout l’ami de mon défunt père. J’avais un petit appui sur le cœur, imaginant la réaction que mon père aurait eu en apprenant que lui et son ami allaient faire partie de la même famille par l’union de leurs enfants. Un petit sourire se dessinait sur mon visage alors que j’écoutais les mots de l’homme.


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MessageSujet: Re: Three words, eight letters (hal)   Three words, eight letters (hal) EmptyJeu 26 Mar - 19:06

Hal &
Carol

three words, eight letters

L'idée, elle l'avait proposé sur un coup de tête. Et pour éviter que son père ne prévoit jusqu'aux prénoms de leurs futurs enfants. Pourtant, plus la suggestion tournait dans sa tête et plus elle trouvait l'idée délicieusement géniale. Parfaite même. En accord avec tout ce qu'ils étaient. Pour autant, elle se retrouva tout de même un peu pris de cour lorsque Hal donna son accord. Probablement sans trop y penser. Ayant peur qu'il change d'avis si il réfléchissait un peu, elle acquiesça lorsqu'il lui redemanda si elle était sure pour la destination. Son fiancé disparut dans la pièce d'à coté pour annoncer à son frère la bonne nouvelle. «  On est vraiment en train de faire ça ? » demanda t-elle à son père, le regard perdu sur le bois de la porte de sa chambre. « Apparemment » rigola son père, probablement amusé par son air estomaqué. Un son remonta le long de sa gorge alors qu'elle continuait de fixer le vide. « C’est un super endroit Hawaï, pourquoi tu l’as choisi ? » questionna finalement Hal en revenant vers eux.  « Euh..c'était juste une idée comme ça ! ». Vraiment, tout ce qui était précédemment sorti de sa bouche n'avait pas fait l'objet d'une profonde réflexion. Elle avait simplement donné la première destination à peu près idyllique qui lui était passée par la tête. Peut être parce que la jeune femme avait toujours rêvé d'y aller mais n'y avait encore jamais mis les pieds. L'occasion était alors juste parfaite.

« Non mais... on est vraiment en train de faire ça ? Là tout de suite ?  » demanda t-elle à nouveau en semblant réaliser la situation. «  Mais … je n'ai pas de robe » couina t-elle en se levant d'un bond, délogeant au passage Hal. Et elle ne parlait même pas des alliances. Ni du bouquet. Après tout, elle pouvait toujours cueillir deux ou trois pétunias et pivoines par là. Ils avaient bien des fleurs à Hawaii après tout. Dans ses pensées, la trentenaire s’éclipsa jusqu'à sa chambre sans plus rien écouter de la conversation qui avait reprise entre les deux hommes. Ils pouvaient bien s'occuper pendant qu'elle remédiait à son petit problème de tenue. A tour de bras, la femme d'affaire fouilla dans ses armoires. Sans regarder, elle balança l'une après l'autre les robes qui lui tombaient sous la main, jusqu'à créer un monticule de tissu sur le sol derrière ses pieds. Une exclamation de satisfaction passa ses lèvres lorsqu'elle attrapa une longue jupe blanche au tissu léger.  Carol ne se souvenait même plus avoir déjà porté le vêtement, signe qu'elle devrait certainement faire un tri dans ses possessions. Trouver un haut se révéla un peu plus compliqué mais elle retrouva finalement un crop top blanc décoré de dentelle de la même couleur. Critique, elle déposa les deux pieds sur son lit défait pour les étudier. A vue d’œil, les deux morceaux semblaient se complimenter.  Jamais, elle n'aurait cru se marier dans un look bohème fait d'habits  dont le total ne devait pas dépasser quarante dollars. Mais loin d'en être déçue, elle laissa au contraire un sourire joyeux étirer ses lèvres.

Avant de pouvoir les mettre, Carol devait cependant prendre une douche et se coiffer. Ce qu'elle fit le plus rapidement possible. Pour ses cheveux, la jeune femme resta dans le thème, et créa une couronne tressée autour de sa tête. Pour adoucir ses traits, elle laissa cependant pendre deux petites mèches de chaque côté.  Un coup de blush, de poudre, d'eyeliner et de crayon plus tard, elle était fin prête. Ne lui restait plus qu'à passer ses vêtements. Les tissus légers épousèrent parfaitement ses courbes. Carol eut une pensée pour sa mère, décédée depuis des années. Ce jour, elle aurait bien aimé le partager avec elle. Malheureusement, la vie en avait décidé autrement. Au moins, lui restait elle son père pour la mener jusqu'à son futur mari. Bien d'autres n'avaient même pas cette chance.

Pieds nus, la jeune femme retourna dans le salon où elle découvrir les deux hommes de sa vie tranquillement assis sur le canapé – ignorante du fait que son père avait donné à Hal à son propre alliance et celle de sa défunte femme. «  Vous comptez y aller comme ça ? » les questionna t-elle, les deux poings sur ses hanches dans une posture parfaitement réprobatrice.  «  Tu sais que le futur mari n'est pas censé voir sa future femme avant la cérémonie »  s'exclama Carl en se levant pour aller à sa rencontre. Pour toute réponse, Carol haussa les épaules. Hal et elle n'avait rien d'un couple ordinaire. A ce titre, elle ne voyait pas le mal à s'asseoir un peu plus sur les traditions. Après tout, ils n'étaient plus à ça près. De toute façon, la jeune femme n'était pas assez supertitieuse pour croire à ces inepties. «  Tu es magnifique » lui souffla t-il en posant un baiser sur sa joue. Un geste tendre qu'elle lui rendit. « N'empêche... » recommença la jeune femme en réalisant quelque chose, «  qui va nous marier ? ». Ils ne pouvaient décemment pas se présenter au bureau d'état civil sans un rendez vous.  Avec l'administration certaines règles se devaient d'être respectées. Qui plus était, elle ne connaissait personne dans son entourage qui avait obtenu le droit de marier quelqu'un. Voilà qui allait mettre un coup d'arrêt à leurs folles ambitions.


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Le pouvoir de Hal est transmit par l'anneau. C'est lui qui lui confère tout. La connaissance de tout ce que savent les Gardiens est inscrites à l’intérieur même de l'anneau. Ce dernier fonctionne avec une batterie, une lanterne.
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Hal a besoin de la recharger au moins une fois toute les 24 heures minimums s'il ne veut pas tomber à cours. L'anneau lui permet de créer ce qu'il souhaite. Du moment qu'il le visualise, le reste se fait tout seul.
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Porter l'anneau est quelque chose d’éprouvant. L'anneau lui permet de voler et de pouvoir se déplacer extrêmement rapidement dans l'espace. L'anneau est considéré comme l'une des armes les plus puissantes de la galaxie. .

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MessageSujet: Re: Three words, eight letters (hal)   Three words, eight letters (hal) EmptyMar 28 Avr - 21:37

 Three words, eight letters

There not enough in this world to tell you how i feel about you, there isn't enough word to spell how much i love you, but there you, and taht's the only thing i need. I just need those eight letters, and these three words


J’avais un petit haussement de sourcil quand Carol se rendait compte qu’on était réellement en train de préparer le mariage, et qu’il allait se dérouler non dans un futur lointain, mais dans un beaucoup plus proche que nous le pensions. J’étais quelque peu angoissé à l’idée, mais le contre coup du bonheur que m’apporterait de pouvoir réellement l’appeler ma femme me couvrait cette partie. Bien que je n’avais nullement besoin de la loi ou de l’avis du pays. J’en avais que faire de tout ça. Si j’avais l’envie de l’appeler comme tel, je le faisais. Elle m’avait déjà dit oui plus tôt, son accord était le seul dont j’avais besoin. Et le seul auquel je me référais. Je regardais ensuite Carl, pour ajouter un petit ‘j’en ai bien l’impression’ suivi de la remarque de Carl. Tout trois étaient en train de réaliser, sans réellement s’en rendre compte. Nous étions plus portées sur le fait que pourquoi pas ? Pourquoi attendre. Autant le faire maintenant, quand nous le pouvions, quand le peu de personne qui nous fallait était là, quand tout était réuni. Que le monde n’allait pas à sa perte dans le quart d’heure, et que je pouvais passer du temps avec eux. Temps que j’allais bien augmenter ensuite.

J’avais un petit coup lorsque je pensais à ça, lorsque je m’interrogeais sur comment avoir plus de temps. L’idée de tout quitter me sondait l’esprit. Prendre ma retraite auprès du Corps, bien que je savais que les petits bleus n’allaient pas me laisser partir sans me demander mon dû. C’était ma décision, et en aucun cas la leur. Il y avait aussi le cas de la ligue. Comment leur annoncer si je gardais à l’esprit de partir ? Il y avait bien John qui était encore là, Simon et Jessica qui montait en puissance. La terre était loin d’être en pénurie de lanterne, sur ce côté-là, j’étais rassuré. L’idée de lâcher mon anneau pour Carol continuait à germer dans ma tête alors qu’elle sortait de la pièce en jurant qu’elle n’avait pas de robe. Je venais me placer sur un petit coin avant d’ajouter, presque en harmonie avec son père. « Elle à toujours des robes » Je rigolais presque à ce qui venait de se produire. Avant de discuter quelque peu avec celui qui allait devenir mon beau-père. J’avais presque l’impression de rêver quand je sortais cette phrase. Ce qui semblait être à des années lumières voir dans des dimensions parallèles il y a quelques années semble si réel et si proche que je pouvais le toucher du bout de mon doigt. Étant seul à seul avec l’homme, j’ajoutais. « Vous savez, j’aurais aimé que mon père soit présent. Se tenir avec vous, c’est mon seul regret. » Ajoutais-je, en regardant le sol. Soudainement, je sentais sa main se poser sur mon épaule, avant d’ajouter tout bas. « Moi aussi, fiston, moi aussi... » suivi d’un petit silence. Il n’y avait rien de malaisant, juste deux hommes qui en regrettaient un troisième. Avant que j’annonce que j’allais prendre soin de sa fille. Que je n’étais plus le même qu’avant, et que j’avais compris maintenant. J’avais compris l’importance et la chance que j’avais. L’instant se terminait par les bras de Carl qui venait me serrer un instant, avant de me faire une tape pour ensuite aller se poser sur le canapé. Je le rejoignais.

Carl commençait à me raconter des faits de sa vie, de comment il avait rencontré la mère de Carol. Des histoires que je n’avais jamais entendu de lui, des choses qu’il ne m’avait jamais partagé, que je me sentais honoré de pouvoir les entendre. C’était donc sans l’interrompre qu’il continuait, et que je buvais ses paroles. Agrémentés de quelques blagues et d’anecdotes qui manquaient de me faire mourir de rire, j’en apprenais encore plus sur lui. C’était une personne formidable, et bien qu’il avait quelques défauts, qui n’en possédait pas ? J’arrivais presque à voir pourquoi mon père l’aimait tant. Ses histoires se terminaient sur ses doigts qui venaient prendre son alliance, avant de la regarder une dernière fois, pour me la tendre. Joignant celle de sa femme qu’il sortait de sa poche. Manquant de mot, je lui laissais me les déposer alors que je n’arrivais plus à former de phrases. Je n’avais pas besoin de lui demander s’il était sûr, je sentais que le choix était déjà fait depuis un moment. J’acceptais tout en le remerciant du mieux que je pouvais, avant de vouloir ajouter une phrase, mais entendant la dame être de retour, je cacher les joyaux, je garderais donc la phrase pour le moment de l’autel. Avec un grand sourire, je me tournais avant de voir qu’elle était accommodé de ce que je pensais être un assemblage, mais qui lui allait à la perfection. J’étais tellement hypnotisé par la belle que j’en avais oublié que je ne portais qu’un short et un premier t-shirt trouvé dans le coin. Carl rejoignait sa fille, la complimentant sur sa tenue, chose que je ne pouvais pas lui enlever de la bouche. Carol était déjà quelque chose de base, mais avec la robe faite pour l’occasion, le soleil pouvait s’éteindre qu’elle rayonnerait à sa place. Je n’avais pas besoin de dire quoi que ce soit, que mon silence et ma bouche bée était assez parlante. C’était tout simplement la plus belle des femmes.  Mon nouveau problème était que je n’avais pas de tenue ou de 31. Mon seul se trouvait chez moi, et  était bien trop vétuste à présent. Mon cerveau faisait toutes les options possibles avant de retenir une solution qui pouvait se produire. Jimmy. Il était toujours bien habillé, bien qu’un peu plus frêle que moi, il devait certainement avoir une belle chemise blanche, ainsi que quelque chose qui allait suivre avec ça. C’était même certain. J’ajoutais donc. « Je me changerais en allant chercher Jimmy, prépare l’appareil photo, c’est pas tous les jours que je m’habille. » Ajoutais-je, avec un petit sourire, taquinant presque. Mais dans le fond, c’était bien vrai. Je m’étais beaucoup trop habitué de ma veste de pilote que j’en serais presque perdu sans elle. Carol venait soulever un nouveau point dont nous avions pas pensé. Je faisais la liste des amis que je possédais. Personne ne correspondait. Sauf un. Mon meilleur ami, Bartholomew Allen. L’homme le plus rapide du monde. Qui pouvait peut-être me sauver la vie sur ce coup là. Jugeant l’idée, je demandais à Carol et à Carl un instant, m’excusant pour reprendre mon portable et composer le numéro de ce dernier. Je faisais la discussion avec mon frère que je n’avais jamais eu, avant de finaliser sur l’idée que c’était possible. Je revenais à la hâte dans la pièce, avec le téléphone qui venait de raccrocher. « C’est tout bon ! J’ai ! » Annonçais-je. « Et en plus, c’est le meilleur qui soit. » avec le sourire aux lèvres. Sans laisser le doute à Carol, je continuais. « Barry peut s’occuper de cette partie, je comptais toute manière le choisir pour mon témoin, encore mieux ! » Alors que je m’avançais encore plus vers eux. « On se rejoint directement là-bas ou vous voulez faire un tour chez Jimmy avant de décoller ? » disais-je alors que je prenais les deux trois affaires importantes avant de prendre la direction de l’extérieur.


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Carol Ferris


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MessageSujet: Re: Three words, eight letters (hal)   Three words, eight letters (hal) EmptyMar 12 Mai - 21:25

Hal &
Carol

three words, eight letters

Avant que la jeune femme ne puise désespérer et ne retourne se changer avec un moral en berne, Hal trouva la solution. Barry Allen. Quelqu'un que Carol appréciait beaucoup et qu'elle n'avait eu la chance de rencontrer que grâce à son fiancé, bientôt mari. Un sourire ravi se posa donc sur ses lèvres et elle fut pris d'un léger sentiment euphorique. Leur plan pouvait à nouveau avancer comme sur des roulettes et cela ne pouvait que la réjouir. « On se rejoint » souffla t-elle à Hal, tout contre sa bouche. « Je pourrais comme ça choisir la plage. Je t'enverrai les coordonnées » continua t-elle, secouant doucement son anneau sous son nez. « A tout de suite » termina t-elle en déposant finalement ce baiser avec lequel elle le narguait sur sa bouche. Le cœur battant joyeusement dans sa poitrine, la jeune femme le regarda prendre ses quelques affaires et partir. Autrefois, elle n’aurait pas été tranquille à l'idée de le voir disparaître de son champ de vision. De peur certainement qu'il ne se dégonfle et ne fuit. Quelque chose pour laquelle, il avait été extrêmement doué. Aujourd'hui, cependant, elle ne ressentait aucune peur. Ils avaient fini par trouver cet équilibre. Plus encore, ils avaient trouvé cette sérénité dans leur couple. Hal et Carol étaient définitivement sortis plus forts de toutes les épreuves qu'ils avaient traversé avec les années. Aujourd'hui, l'un comme l'autre étaient prêts à tourner une page définitive sur leurs jeunes années et passer à ce nouveau chapitre de leurs vies. En était pour preuve les deux demandes en mariage de Hal – ou la demande puisqu'elle ne se rappelait pas vraiment de la première. Du moins pas dans les moindres détails.

Lorsque la porte se referma dans son doigt, Carol se tourna vers son père. « J'ai toujours des affaires à toi dans le placard de la chambre d'ami. Allons voir ce qu'on y trouve ». Le patriarche hocha la tête et lui emboîta le pas. En quelques minutes, Carol avait réussi à trouver quelque chose qui lui allait encore et qui convenait à l'occasion. Un pantalon en lin et une chemise. Le tout le rendait élégant sans en faire trop. Bien sur, l'homme était très loin des costumes trois pièces et hors de prix qu'il avait eu l’habitude de porter. Mais, au vue de leur choix de cérémonie, le luxe n'était pas invité. Et puis, ils allaient littéralement se marier sur la plage, sous le soleil de plomb d'Hawaii. A ce titre, il lui paraissait important de garder un certain degré de confort. Elle ne voulait pas voir ce jour si spécial de sa vie gâché par des tenues trop serrées ou inadaptés à leur environnement. Lorsqu'ils furent prêts, Carol laissa sa bague la recouvrir de son célèbre costume rose – bien contente à cet instant d'avoir avoué à son père sa double vie des mois auparavant. «  C'est comme voler dans un avion » lui souffla t-elle, en sentant sa soudaine réticence. «  Oui, juste sans sangles, casque, matériel de protection, siège et siège éjectable » marmonna t-il sous l'air amusé de son unique enfant. « Au moins, il y a un pilote » rétorqua t-elle, malicieuse.

Une fois dans les airs, Carl se dérida bien vite et observa le paysage aérien comme il ne l'avait jamais vu auparavant. Ainsi en l'air, porté dans l'énergie des Star Sapphire, il pouvait admirer sans obstacle toute l’immensité et la beauté du ciel. Décidant de faire un léger détour, elle fila avec la boule protectrice retenant son père vers l'espace. En quelques secondes, elle quitta l'atmosphère. Bientôt, la Terre se présenta dans toute sa splendeur bleutée. Subjugué, Carol posa ses deux mains contre la paroi rose et admira la vue qui s'offrait à lui. « Bon d'accord, c'est bien mieux qu'un avion » concéda t-il. Une remarqua soufflait d'une voix rauque qui ne put que faire rire la jeune femme d'affaire. Bien oui qu'un avion indeed.

Après lui avoir laissé quelques minutes de plus, elle les ramena vers la planète bleue et vola tout droit vers Hawaii. Du ciel, elle fit un tour de cette île de beauté et analysa les plus belles plages. Carol jeta, au final, son dévolu sur une petite crique engoncée entre deux pans rochers et une forêt dense. Oubliée du monde, ce petit bout de paradis leur offrirait toute l'intimité dont ils avaient besoin. Satisfaite, elle combla la distance pour les poser au sol. Immédiatement, la bulle de protection et son costume disparurent. Sa tenue, de même que ses cheveux et maquillage léger, n'avaient pas bougé d'un pouce. Utilisant sa bague, elle envoya a position à Hal. Sachant que ce dernier se chargerait de transmettre l'emplacement à Barry, elle ne s'embêta pas à le faire. Le bolide rouge ne tarda d'ailleurs pas à faire son entrée. Elle fut cependant surprise de voir qu'il s'était arrêté au coin le plus éloigné de la plage pour arriver vers eux en marchant calmement. Était ce la présence de son père qui l'avait forcé à adopter une telle attitude ? Plus surprenant fut cependant de constater les traits tirés et fatigués du policier. «  Merci d'être venu » lui souffla t-elle en embrassant sa joue, se souvenant que Hal lui avait dit que l'homme n'était pas au mieux de sa forme. Et à le voir, elle ne pouvait que le confirmer. Pour cette raison, elle était heureuse et reconnaissante de sa venue.


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Le pouvoir de Hal est transmit par l'anneau. C'est lui qui lui confère tout. La connaissance de tout ce que savent les Gardiens est inscrites à l’intérieur même de l'anneau. Ce dernier fonctionne avec une batterie, une lanterne.
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Hal a besoin de la recharger au moins une fois toute les 24 heures minimums s'il ne veut pas tomber à cours. L'anneau lui permet de créer ce qu'il souhaite. Du moment qu'il le visualise, le reste se fait tout seul.
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Porter l'anneau est quelque chose d’éprouvant. L'anneau lui permet de voler et de pouvoir se déplacer extrêmement rapidement dans l'espace. L'anneau est considéré comme l'une des armes les plus puissantes de la galaxie. .

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MessageSujet: Re: Three words, eight letters (hal)   Three words, eight letters (hal) EmptyLun 1 Fév - 20:56

 Three words, eight letters

There not enough in this world to tell you how i feel about you, there isn't enough word to spell how much i love you, but there you, and taht's the only thing i need. I just need those eight letters, and these three words


Le sourire de ma future femme était la seule chose que je recherchais, je n’avais plus besoin de rien d’autre dans ce monde qu’elle. Lorsqu’elle annonçait qu’on se rejoindrait directement là-bas, je faisais un petit signe de tête pour affirmer, et pour me montrer que j’étais sur la même longueur d’onde. Avant de m’embrasser, elle venait me dire presque tout bas qu’elle allait choisir l’endroit, et que je n’aurais qu’à me rendre aux points donnés. Pas de soucis là-dessus. l’endroit m’importait presque pas, tant qu’à la finalité, que cette femme dont mon regard était posé puisse être ma femme. C’était mon seul souhait. Puis vint finalement ses lèvres contre les miennes. Comme pour finaliser ce petit pacte. Tout excité à l’idée d’être marié, submergeant l’anxiété et mon ancien démon qu’était ma peur de l’engagement, ce n’était plus qu’une question d’heures pour qu’un nouveau pan de ma vie débute. Une vie que je comptais bien mener, une vie dont j’allais être fier de vivre, et de la partager avec la personne qui m’importait le plus au monde.

C’était sur ces mots que je prenais le minimum, un signe à Carl, un sourire à Carol qui voulait tout dire, et une séparation qui n’attendait que ses retrouvailles propréteurs d’un avenir radieux. Je prenais la direction de l’appartement de Jimmy, avant de me poser directement sur le balcon, bien qu’étant une méthode étrange pour entrer chez lui, l’homme était habitué. Je le faisais rapidement, histoire de ne pas éveiller de doute, si rapide qu’un œil peinerait à le remarquer. J’entrais dans l’endroit, avant de souffler un grand coup, je lâchais. « C’est normal d’être aussi pressé d’y être, mais à la fois anxieux à l’idée de comment ça va se passer ? » cherchant du regard mon petit frère, c’était Sue, sa femme que je trouvais d’abord. « Si tu savais comment Jimmy était pâle la veille de la cérémonie ! Ça ne lui a pas empêché d’être parfait le jour venu, tu n’as pas à t’en faire, et puis je suis sûre que ta future dame l’est tout autant que toi » finissait-elle, d’une humeur presque taquine. Non, c’était impossible, Carol être affecté par un quelconque stress ? Elle avait un sang-froid qui ferait rougir les soldats les plus entraînés du pays. Bon, peut-être pas ces derniers temps, la période ainsi que ces dernières aventures l’empêchait d’être à son maximum. Mais je n’avais aucun doute sur ce côté-là d’elle. Elle devait plutôt être excitée et ne plus tenir en place. C’était Carl que je plaignais, le pauvre sa journée allait avoir un rythme infernal. Courage ! Plus que quelques heures à tenir !

L’idée d’avoir Carl Ferris comme beau-père venait seulement me frapper, je n’y avais pas réellement songé. Enfin, c’était naturel que ça le devienne, mais ce n’avais jamais été aussi proche de l’être. Et rien que d’imaginer la scène, j’en étais presque rempli de honte. Pas de rejoindre sa famille, mais que lui m’avait comme beau-fils. Le pauvre… C’était avec un rictus qui s’était formé avec ses pensées que mon visage changeait de forme, mes yeux cherchaient Jimmy qui venait de parler, mais que je n’avais pas entendu les paroles. « Tu disais ? » Jimmy, l’air renfrogné, me grondait presque dessus. «Je te jure que si tu fais la même sur l’autel, je te fous à l’eau. » Je soufflais avant de rétorquer. « C’est bon, c’est bon, j’étais juste dans mes pensées, rien de grave... » Je n’avais pas le temps d’ajouter quoi que ce soit qu’il venait poser une chemise blanche, d’une très bonne facture, bien qu’un peu trop grande pour la carrure de mon frère, ainsi qu’un pantalon noir. L’ensemble donnait un air chic, bien habillé sans trop en faire. Un air qui pouvait m’aller, ce n’était pas extravagant, ni trop formel, j’en retroussais un peu les manches pour garder un style Jordan’nesque. Une intention à ma chevelure, les accessoires comme les chaussures ainsi qu’une petite montre s’ajoutaient, et j’étais presque prêt. Je dévisageais les regards de Sue et Jimmy, presque apeuré de ne pas être à la hauteur de Carol. Au final, c’était plus la surprise des deux de me voir réellement dans une telle tenue pour un événement de ce genre qui les avait scotchés. Je portais les finitions, avant de rejoindre le balcon où se trouvait Jimmy. Pendant que Sue finissait de préparer les enfants, je venais toucher deux mots à mon frère avant l’engagement d’une vie.


Quelques instants de silence, puis, je venais d’un ton neutre briser ce silence. « Tu penses que papa et maman serait fier de nous ? » Je regardais ma bague de Lantern, qui allait être remplacé par une nouvelle responsabilité, tout aussi grande que de veiller sur l’univers. « Tu as ta famille, tu réussis ta vie, Jack aussi je suppose. Même s’il m’aura fallu du temps, c’est à mon tour. » je reprenais une bouffée d’air, avant d’ajouter. « Ils me manquent tellement, j’aurais voulu qu’ils soient présents aujourd’hui. » Je sentais une main puis deux bras m’envelopper. Ceux de mon frère. Qui venait simplement me dire. « Souris, je suis sûr qu’ils l’ont toujours été. »


Tout le monde était prêt, quand le message de Carol venait à pic, un copier-collé de l’endroit, envoyé à mon autre frère, l’homme le plus rapide du monde. J’informais à tout le monde comment on allait s’y rendre, avant d’exécuter le plan. Tout le monde dans une petite bulle, et quelques instants plus tard. La plage se dessinait. Je venais poser tout d’abord ma famille, les laissant avancer d’abord, puis j’arrivais. Je m’approchais tout d’abord de Barry, lui attrapant le poignet puis, dans une force contrôlée, je le tirais pour l’étendre. « Merci, ça compte beaucoup pour moi que tu sois là ! » quelques tapes dans le dos pour étendre encore plus mes remerciements. Barry avait probablement des milliers de problèmes à régler, mais le savoir ici, et accorder de son temps était magique. Je voyais Carl et Carol un peu plus loin. Je souriais avant d’annoncer à mon meilleur ami. « C’est l’heure de se jeter à l’eau » Accompagné de mon sourire le plus sincère, je faisais quelques pas pour venir me placer proche de l’eau. Je passais une rapide inspection de ma tenue, tout me semblait être aux normes, bien que mes chaussures s’enfonçaient un peu dans le sable encore chaud de la journée. Mon cœur commençait déjà à s’emballer alors que rien n’avait commencé. Je regardais un dernier coup l’horizon. Avant de dire adieu à Harold Jordan, celui qui avait tant redouté ce moment, mais pour accueillir une version meilleure de ce dernier, une version meilleure de moi-même. Une version qui n’attendait plus que trois mots d’une femme pour être complet. Je me tournais de nouveau, pour faire face aux personnes présentes. Mais aussi pour voir Carol me rejoindre.


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MessageSujet: Re: Three words, eight letters (hal)   Three words, eight letters (hal) EmptySam 13 Mar - 22:48

Hal &
Carol

three words, eight letters

Le soleil était haut dans le ciel bleu. La mer lapait gentiment le sable à chaque mouvement de vague. Et que dire de l'air dont le parfum teinté d'embrun remplissait ses poumons d'un sentiment nouveau d'excitation. Qui aurait cru qu'elle en serait arrivée là un jour ? Se marier, elle l'avait toujours imaginé. Son mari, en revanche, cela avait été plus compliqué. Mais qu'elle était heureuse à  présent. Heureuse de constater qu'ils étaient finalement prêts. Un sourire aux lèvres, elle posa son regard tendre sur l'homme qui allait bientôt devenir son mari. Son premier et son dernier mari. Parce que même si la vie devait les séparer, Carol savait qu'elle ne pourrait jamais aimé quelqu'un d'autre comme elle aimait Harold Jordan. La preuve en était qu'ils étaient tout traversés ensemble pour se retrouver là aujourd'hui. Beaucoup de femmes à sa place n'auraient probablement pas accordées autant de cette chance à son homme qu'elle. Et l'inverse était probablement vrai également. A bien des égards son histoire d'amour n'était pas parfaite, mais pourtant elle se sentait vivre un vrai conte de fée. «  Tu es ravissante » souffla la femme du plus jeune frère de la fratrie. «  Merci » répondit la mariée sur le même ton, la gorge nouée par l'émotion. Évidemment lorsqu'elle contemplait les visages joyeux qui se trouvaient autour d'elle, Carol ne pouvait que regretter les absents. Sa mère en premier lieu qu'elle aurait aimé voir au premier rang. Mais aussi les parents de Hal dont elle avait eu la chance de faire la connaissance il y avait bien longtemps. C'était tout particulièrement de son père qu'elle se souvenait le mieux. En tant que pilote de Ferris Aircraft, elle l'avait vu maintes fois arpenté le tarmac. La femme d'affaire le savait, il serait fier de son fils. Et pas seulement parce qu'il allait se marier. Non, pas seulement. Hal était un homme extraordinaire. Un homme qui ressemblait beaucoup à son défunt père. Même Carl Ferris ne pouvait le nier.

«  Du coup on s’assoit où ? » demanda Jimmy, la plaisanterie évidente au fond de sa voix. Avec un léger rire, Carol fit apparaître des chaises. Ils étaient en famille ici, les secrets n'avaient points lieu d'être. Et toute façon, tout le monde savait déjà tout depuis bien longtemps. Lorsque enfin tout le monde prit place, les invités sur leurs chaises de fortune, Barry devant leur petite assemblée , et Hal pratiquement à ses côtés, la cérémonie commença. Le bonheur au fond de ses yeux bleus, Carol attrapa le bras de son père. Le duo avança doucement le long du sable chaud. Lorsqu'ils arrivèrent à hauteur de Hal, de qui elle n'arrivait à détourner le regard, son père embrassa son front et plaça sa main dans celle tendue de son fiancé. Sa main glissa cependant de la sienne pour venir couler sur son avant bras et finalement se placer sur son torse. «  Je tiens à préciser que le baiser c'est pour la fin » déclara Barry, de sa voix grave et chaude, faisant évidemment rire leur petit comité. «  C'est quand je veux d'abord » répondit Carol Ferris, bientôt Carol Jordan, avec un air enfantin qui n'échappa à personne. Ni à son père qu'elle entendit pouffer dans son dos, ni à Barry qui amusé secoua sa petite tête blonde. Quelle chance ils avaient d'avoir un ami aussi dévoué. Aussi serviable. Aussi loyal. Une amitié rare qu'elle chérissait.

Tapant dans ses mains, Barry s'assura qu'il avait l'attention de tout le monde et commença son discours. Lorsqu'il leur demanda si ils avaient des vœux, Carol haussa les épaules pour signaler qu'ils n'étaient pas allés jusque là dans leurs préparatifs éclairs. Pour autant, la jeune femme savait improviser et ce fut exactement ce qu'elle fit. «  Harol... mon dieu ce prénom » ria t-elle légèrement. «  J'ai bien du mal à réaliser qu'on en est là, tous les deux. La première fois que l'on s'est embrassé semble faire partie d'une autre vie. Il s'est passé tellement de choses entre ces deux moments. Nous avons eu notre quotas d'instants heureux mais aussi de doutes. Nous nous sommes fait beaucoup de mal. Et pour certains cela aurait été le signe que l'on n'était pas fait l'un pour l'autre. Mais comme ils auraient eu tords. Et comme l'on aurait été bêtes de ne pas donner à ce que nous avons toutes les chances du monde.  Oui cela n'a pas toujours été agréable ni parfait mais j'ai toujours été sure d'une chose : mon amour pour toi. Il a brûlé et brûlé sans jamais s'éteindre pour devenir un brasier. Il est plus fort aujourd'hui qu'il ne l'était hier et demain il le sera plus qu'aujourd'hui. Là, à ce moment, je te promets que cette flamme ne s'étendra jamais. Qu'elle continuera à éclairer nos chemins, dans cette vie ou dans une autre. Nous sommes liés à jamais par cette amour qui nous lie. Cet amour imparfait qui pourtant est parfait dans son imperfection.  Je t'aime Hal, et quoiqu'il advienne demain ou dans dix ans, tu seras toujours celui que je choisirai » termina t-elle, les yeux plus humides qu'au début de son discours. Oh oui elle l'aimait, plus que tout au monde.

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