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| Sujet: WHAT DOESN’T KILL ME BETTER RUN — Circé Sam 10 Avr - 16:27 | |
| Cassandra Colchis. I DO VERY BAD THINGS AND I DO THEM VERY WELL blackest night why do we fall ? so we can learn to pick ourselves up. nom complet : Répondant avec grande fierté au nom de Circé, elle s'est cependant affublée d'un pseudonyme d'emprunt pour errer parmi les mortels, Cassandra Colchis. alias : Circé, bien évidemment. âge : Le temps n'a aucune emprise sur elle. Née durant l'Âge de Fer, au cours de l'Antiquité, les années se sont depuis écoulées sans jamais l'effleurer, lui accordant éternellement les faveurs de la vingtaine. date et lieu de naissance : Royaume de Colchide, bien avant JC. lieu d'habitation : Lorsqu'elle ne se mêle pas au monde des Hommes, Circée vit sur une terre isolée qui lui appartient : l'île d'Aeaea. Gare à ceux/celles qui oseraient s'en approcher sans y avoir été invité(e)s. métier : Entièrement dévouée à Hécate, dont elle est l'heureuse protégée et favorite, Circé est une puissante sorcière dotée de l'immortalité, pouvant transformer la matière, manipuler la réalité, altérer les esprits, projeter des rayons magiques destructifs, fabriquer des boucliers protecteurs, se téléreporter et créer des illusions. De plus, c'est une alchimiste de grand talent, qui maîtrise l'art des poisons. identité : Secrète. équipe & affiliation : Elle est ralliée à la même bannière depuis toujours : la sienne. avatar : Summer Bishil crédits : Tumblr impatiente ; cynique ; coléreuse ; impitoyable séductrice ; espiègle ; maligne ; déterminée summer bishil | PV |
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Miracles by their definition are meaningless, only what can happen does happen. (001), Circé possède un vieux grimoire qui regroupe les nombreux sortilèges qu'elle a elle-même créés, et dont elle ne se sépare jamais. Personne ne sait où elle le cache lorsqu'elle ne s'en sert pas, mais peu de gens peuvent se vanter de l'avoir déjà vu. (002), Très méticuleuse concernant son apparence, Circé ne se présente jamais sans être soigneusement maquillée et peignée. (003), Une herbe appelée Moly perturbe sa magie, ce qui a le don de l'irriter outre mesure. (004), N'est absolument pas douée pour entretenir une quelconque relation, même amicale ; bien trop franche, bien trop cynique et indépendante, Circé use la patience de ceux qui ont le courage de la côtoyer. (005), Sa solitude est tantôt confortable, et tantôt insupportable. Mais n'ayant pas encore trouvé son égal(e), elle s'en accommode fort bien. Les humains ne disent-ils pas qu'il est préférable d'être seule que mal accompagnée ? (006), Elle ne boit jamais d'alcool car elle est insensible à ses effets, et n'apprécie pas particulièrement le goût. En revanche, sa boisson préférée est le thé. (007), Si tuer n'éveille en elle aucune culpabilité, ce qu'elle préfère est torturer ses adversaires par des châtiments que seul son esprit sinistre peut invoquer. (008), Bien qu'elle ne se pose pas la question, Circé est bisexuelle : elle apprécie autant le corps des femmes que des hommes, mais aucun esprit n'a, pour l'instant, trouvé grâce à ses yeux exigeants. (009), Exigeante envers les autres mais surtout envers elle-même, Circé ne cesse de repousser ses limites pour accroître ses forces et ses pouvoirs. (010), N'appréciant que moyennement son nom d'emprunt, elle préfère qu'on la nomme Circé. Terroriste, criminel, génie du mal... vous considérez-vous comme tel ? « Héros ou meurtrier... C'est donc ainsi que les esprits étriqués régissent le monde selon leur propre façon de penser, sans dualité possible, sans aucune nuance de gris pour contrebalancer l'obscurité étouffante et l'éclatante lumière halée. Mais, en réalité, le bien et le mal sont des notions biaisées, influencées par les convictions et les croyances humaines qu'il serait parfois bien judicieux de réfuter. Aucun de ces mots ne peut me décrire. Aucun ne peut me définir. Ne suis-je pas davantage que ces idioties prétentieuses et fades avec lesquelles les bienfaiteurs en armures dorées aiment se flatter ? Ne suis-je pas encore plus grande que l'essence même de ces mots blafards ? Je ne suis ni l'un ni l'autre. Les naïfs défenseurs de la paix ne veulent pas entendre que celle-ci ne peut exister sans la guerre, tout comme la vie ne peut avoir lieu sans la mort. Indissociables, entremêlés dans des échos éternels, les rouages de la vie se dessinent, et j'en suis la gardienne. Ainsi s'établie l'horloge du temps et de l'équilibre. Je sème la discorde, les Hommes récoltent la tempête. » Quel est votre but, et qu'êtes-vous prêt à faire pour l'atteindre ? « Surgissant d'un lointain passé, comme une ombre qu'on croyait avoir enterrée, l'œuvre d'un génocide inachevé. Je pensais l'avoir accompli, mais j'ai été aveuglée, on m'a trompée, dupée. Les Amazones sont toujours là. Vivantes, quelque part. Errant sur le monde avec un pied de conquérant, respirant l'air que je convoite, souillant la fière réputation qui honore mon nom, entachant mes exploits d'autrefois et menaçant d'accomplir la prophétie d'Hécate par leur simple existence. Mais si les Amazones pensent encore pouvoir me survivre, ce sont elles qui se trompent, cette fois. Je ne laisserai rien ni personne prendre ce qui m'a été donné, car tout ce que j'ai acquis au fil des âges, je l'ai gagné au prix de sacrifices et de souffrances que personne n'aurait enduré. Qu'elles ne se réjouissent pas trop vite... Rien n'est plus à craindre que la vengeance d'une sorcière, et elles vont l'apprendre à leur dépens. » Que pensez-vous des héros et de leur volonté d'instaurer la paix dans le monde ? « La paix est aussi fragile qu'illusoire. Il est utopique de vouloir la préserver à tout prix, comme un voile recouvrant le monde des affres de la méchanceté. Tout n'est qu'équilibre savamment entretenu, prudemment manié. Mais ils ne comprennent pas, ils ne peuvent pas comprendre, comment le pourraient-ils ? On leur martèle depuis si longtemps qu'ils sont nés pour changer les choses, pour rendre ce monde meilleur, qu'ils ont fini par s'en convaincre. Alors ils luttent sans relâche, combattant monstre après monstre, éradiquant menace après menace, sans même réaliser que le combat ne cessera jamais. Il n'y aura jamais de cessez-le-feu. Personne ne sonnera le dernier coup de canon. Aucun drapeau blanc ne sera hissé. Aucun camp ne gagnera jamais : la guerre et la paix ne peuvent s'étendre l'une sur l'autre. Et moi, au milieu du vacarme, je me délecte de leur ignorance et de leur naïveté. » pseudo - prénom - âge. pays : France ! fréquence de connexion : Tous les jours normalement. où avez vous connu que le forum ? Grâce à un de vos membres ! votre avis dessus : C'est écrit tout petit, je me tue les yeux mais tout est génial alors je sacrifie mes pupilles ! un dernier mot ? Hâte de vous rejoindre et d'écrire en votre compagnie !
Dernière édition par Cassandra Colchis le Sam 17 Avr - 2:55, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: WHAT DOESN’T KILL ME BETTER RUN — Circé Sam 10 Avr - 16:52 | |
| Cassandra Colchis I DO VERY BAD THINGS AND I DO THEM VERY WELL Figure au nom trop souvent raturé, les récits s'emmêlent concernant son histoire et son ascendance, car elle vient des temps immémoriaux, dont elle est l'unique mémoire. Ainsi, il vous sera ici délivré une ébauche de tout ce qui pourrait être entendu à son sujet, les principaux traits de son chemin et de son esprit, qu'il est bien sage d'éviter.
Issue de l'union des titans Persée et Hypérion, Circé fut la princesse du royaume de Colchide, berceau de l'ancienne civilisation géorgienne. Née sur un véritable monticule d'or, elle était de celles qui se lassent aussitôt des présents qu'on soumet à leurs yeux ; capricieuse, insolente et désobéissance, Circé était déjà dotée d'une nature irrévérencieuse, qui n'admettait point la soumission. Mais élevée dans le but de perpétuer la couronne de son père par un mariage qu'elle n'avait point désiré, elle fut offerte à un homme à l'esprit sot et au physique ingrat, mais qui était néanmoins animé des plus suaves intentions à son égard. Se sentant humiliée par ce mariage imposé, Circé se lassa bien vite de jouer les épouses complaisantes à son côté ; c'est pourquoi, sans aucune autre forme de procès, sans même éprouver le moindre scrupule pour son geste, elle avait organisé sa mort par un empoisonnement qui provoqua, au pauvre malheureux, une agonie aussi longue que cruelle. Accusée d'être la responsable — car elle ne s'était point cachée du soulagement qu'elle éprouvait à l'idée d'être libérée des liens sacrés du mariage, Circé ne réfuta guère l'incrimination qui allait la condamner, bien trop fière de son acte pour ne pas le revendiquer. Après tout, n'avait-elle pas épargné son peuple d'un futur roi aussi incompétent qu'ignare ? Elle fut traitée de meurtrière, jugée comme telle, chassée de son royaume pour la mort d'un époux qu'elle n'avait pas choisi et qu'elle n'avait jamais aimé.
Exilée de sa terre natale par la condamnation de ses semblables, Circé se réfugia sur l'île d'Aeaea, où elle s'exerça longuement à développer ses talents en matière de magie. Mais quand bien même elle démontrait des aptitudes tout à fait admirables en la matière, le cœur de Circé ne se ravivait d'aucune teinte chaleureuse : il lui fallait se venger, répondre à la haine par la haine, mais surtout répandre le sang de ceux qui l'avaient châtiée. Mais ses pouvoirs se limitèrent bien vite aux frontières de son île, et elle fit alors appel aux divines sirènes pour que celles-ci usent de leur chant envoûtant afin de guider les marins jusqu'à elle, pour qu'elle puisse exercer ses sorts sur ces derniers. Ils furent nombreux à s'échouer sur son île, et presque autant à ne jamais la quitter. Le plus illustre des marins tragiquement échoués sur l'île d'Aeaea est Ulysse, qui fut fait prisonnier durant de longs mois avant de pouvoir reprendre la mer, lorsque sa belle geôlière s'était lassée de lui et de ses compagnons de route. Mais quand bien même son terrain de jeu attirait des proies divertissantes en la personne des marins égarés, Circé se lassait de tout, même de son île qui était sa prison dorée, et sur laquelle elle s'ennuyait gravement. Avide d'un pouvoir encore plus grand, d'un pouvoir qui lui permettrait d'exercer sa vengeance tant attendue, Circé attira le regard de la déesse Hécate, qui se pencha au-dessus de son crâne pour lui soumettre une proposition inattendue : son âme contre une puissance et des pouvoirs colossaux. Hécate lui souffla à l'oreille qu'elle serait le parfait instrument de sa vengeance contre les dieux de l'Olympe, et qu'elle ferait d'elle sa favorite, sa protégée, que rien ne pourrait plus se mettre sur son chemin et que nul n'oserait douter d'elle après cela. Il n'y eut point l'ombre d'une hésitation dans l'esprit belliqueux de Circé, qui accepta sans délai l'offre de la déesse, recevant ainsi l'immortalité et une puissance quasi-divine. C’était comme renaître sous la coupe d’une déesse qui s’éteignait, se reformant d’un corps et d’un esprit plus puissants encore, prolongeant la vie et apprivoisant la mort, qui allait devenir son allié. Cette nuit-là, sur l’île qui avait été son refuge, Circé était devenue une nouvelle femme. Elle était devenue une sorcière. Et son esprit sinistre s’engorgeait déjà d’une vengeance qui avait bien trop tardé.
Un vent de destruction souffla sur le royaume de Colchide. Une tempête furibonde qui détruisit tout sur son passage, ne laissant qu'un champ de ruines derrière elle ; personne ne put survivre à la fureur vengeresse de Circé, qui jubilait intérieurement d'être porteuse d'un tel pouvoir destructeur. Aucune supplication, même prononcée par la bouche des enfants, n'avait pu adoucir son cœur. Il n'y avait pas de pardon possible pour une nature comme la sienne. Pas d'indulgence, pas de clémence, pas de pitié. Pour Circé, il n'y avait eu que la haine. Et très vite, son nom fut accompagné d'une terreur effroyable, qui glaçait le sang de quiconque l'entendait. Dans le monde antique, où ses terribles méfaits avaient été mille fois contés, elle était devenue une figure de puissance et de peur, et l'on osait à peine songer à sa personne sans craindre d'attirer son regard, ainsi que sa férocité. Mais le royaume de Colchide, qui n'a point été reconstruit après sa chute, ne fut pas le seul à souffrir de sa rage dévastatrice. Peu après la naissance du peuple des Amazones, Circé n'avait pu s'empêcher de les considérer comme une potentielle menace pour sa propre survie, et elle s'était mise en tête de les éliminer, il le fallait. S'alliant pour ce faire avec Arès, le dieu de la guerre, car ce dernier lui avait affirmé que c'était son rôle d'éradiquer le peuple des Amazones, elle lui fit confiance sans se méfier ; après tout, n'était-il pas le mieux taillé pour accomplir cette tâche ? Ce fut la toute dernière fois que Circé fit confiance à quelqu'un d'autre que sa propre personne. Car si les anciennes Amazones furent décimées par Héraclès, un homme davantage taillé pour être l’allié de Circé selon ses propres dires, Antiope conduisit la moitié des Amazones à Athènes, sans que la ville ne soit détruite par ces dernières, car la paix fut célébrée par un mariage entre Thésée et Antiope. Passé les sentiments de colère grandiose envers Arès, qu'elle trouvait indigne de son nom, Circé s'était décidée à achever sa quête elle-même. Qu'importe la défaite, ce n'était pas assez pour la décourager : tenace, elle n'avait pu renoncer en étant si proche de la réussite. Songeant qu'il lui faudrait être aussi fine qu'astucieuse, Circé jeta son dévolu sur Ariane, femme bafouée, ancienne épouse de Thésée. Avec une sournoiserie peu commune, Circé enivra son esprit de colère et de jalousie, la poussant à rejoindre la chambre de sa rivale pour l'assassiner dans son sommeil, ce qu'elle fit. Si elle n'avait pas assisté à la scène, Circé avait ressenti, jusque dans l'essence même de ses os, jusque sous sa peau, que le dénouement tragique venait de se jouer : l'heureuse épouse n'était plus, elle avait tuée dans son repos, sans pouvoir se défendre. Les yeux fermés, les mains sur son trône, Circé avait presque entendu le dernier battement de coeur d'Antiope, qui avait sonné comme le glas. Circé venait de semer la discorde, et elle s’était délectée des événements qui en découlèrent : la Pythie et ses Amazones blâmèrent Thésée pour le meurtre, tandis que ce dernier les accusait en retour. Les Amazones eurent fini par s'éteindre, disparaissant dans les brasiers d'une haine barbare, une colère enflammée par la main de Circé, qui se croyait triomphante, qui se sentait invincible.
Mais bien que satisfaite d'avoir provoqué l'extinction du peuple des Amazones — du moins, le pensait-elle, Circé s'était finalement lassée de vivre parmi les mortels, qu'elle méprisait ouvertement pour leur bêtise et leur faiblesse d'esprit. Elle avait eu sa vengeance contre le royaume de ses ancêtres, elle avait même contribué à déchoir les Amazones, elle avait semé le chaos et la discorde partout sur Terre... Elle se sentait lasse de cette vie monotone et incolore mais, surtout, elle considérait à présent que les Hommes étaient indignes de sa présence divine. Durant trois mille ans, Circé est donc restée sur son île, où elle n'a cessé de redoubler de malice et de stratagèmes fourbes pour attirer les visiteurs jusqu'à elle, trompant sa solitude seulement lorsqu'elle en éprouvait l'envie, leur offrant, de temps à autre, un sort bien moins enviable que la mort. Mais, de loin, depuis le berceau que forme son île, elle observait le monde des Hommes qui évoluait, changeait, se métamorphosait et redoublait d'une cruauté dont elle était parfois l'auteure. Si les Hommes n'éveillaient en elle aucun intérêt, car ils étaient tous semblable à des pantins désarticulés qu'elle pouvait manier à sa guise, Circé menait parfois ses pas jusque sur leur sol, distillant la division, le conflit et les querelles sur son passage, entraînant ainsi quelques guerres qui firent d'innombrables morts au fil des siècles. Elle s'en amusait sans disgrâce, de cette facilité déconcertante avec laquelle elle pouvait les manier, et qui lui donnait l'impression d'être face au grand échiquier du monde, duquel elle ressortait toujours vainqueur. Toujours ? Du moins, c’est ce qu’elle avait aimé croire.
Elle s'était fourvoyée, se berçant d'illusions, se complaisant dans les contours dorés de son palais et de son île verdoyante, permettant à ses ennemis de revenir par sa négligence. Lorsque la vérité de sa défaite, menée par Wonder Woman, avait éclaté, sa colère fut telle que l'île toute entière avait tremblé. Les Amazones étaient toujours en vie, pire encore : l'une d'elles était une héroïne adulée et acclamée, une guerrière comme celles d'antan... Comment était-ce possible ? De prime, elle n'avait pas voulu y croire, mais même son entêtement légendaire avait dû se rendre à l'évidence : les Amazones n'avaient pas totalement disparu, bien au contraire. Tandis qu'elle faisait les cent pas dans son palais, ruminant sa colère et sa frustration, une petite voix, dans sa tête, avait soufflé ces quelques mots oubliés, comme relégués au fin fond de sa mémoire pour ne pas s'en soucier :
"Upon the death of witch and the birth of witch, Hecate, by name and choice, shall repossess her soul."
Toutes ces années, elle n'avait pas réellement compris le sens de ces mots, les considérant même avec bien trop de légèreté, mais à présent, elle en était certaine, d'une conviction irrationnelle qui n'était approuvée par aucune preuve, mais qu'aucun argument n'aurait pu raisonner non plus : cette Wonder Woman était celle qui allait faire écho à la prophétie d'Hécate, et qui allait provoquer sa chute, sa mort. L'idée lui paraissait insupportable. Ses idées s'emmêlèrent dans un capharnaüm de craintes bordéliques et de colères sourdes, la faisant trembler à la fois de rage et de peur. Tout ce qu'elle avait sacrifié, tout ce qu'elle avait enduré pour arriver jusqu'ici, tout allait s'écrouler pour une misérable Amazone qui n'aurait jamais dû exister. Elle ne pouvait le tolérer. Il fallait qu'elle frappe la première, et qu'elle frappe vite et fort. Si une nouvelle guerre contre les Amazones s'annonce inévitable pour Circé, celle-ci songe encore à la meilleure façon d'aborder le problème. Si elle pense à rallier secrètement plusieurs personnes à sa cause, sa mésaventure avec Arès l'empêche d'accorder une confiance aveugle à ses associés, sans parler de ses légères difficultés à éprouver la moindre forme d'autorité. Mais une chose est sûre : Circé, la divine sorcière aux élans de colère redoutable, sort enfin de l'ombre.
Dernière édition par Cassandra Colchis le Sam 17 Avr - 2:27, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: WHAT DOESN’T KILL ME BETTER RUN — Circé Sam 10 Avr - 17:23 | |
| SUMMERRRRRRRRRRRRR azfgrthgrefgrhj ! J'ai toujours voulu jouer cette tête un jour et un jour je le ferai mais en attendant, quelle joie, et pour incarner Circé en plus ! On aura l'occasion de se croiser entre magos et en attendant, je te souhaite la bienvenue parmi nous ! |
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| Sujet: Re: WHAT DOESN’T KILL ME BETTER RUN — Circé Sam 10 Avr - 17:43 | |
| héééééé officiellement bienvenue tes trois choix étaient bons, donc Circé est parfaite elle aussi par contre, est-ce que tu pourrais mettre "Cassandra Colchis" en pseudo pleaaaase ? on préfère le nom + prénom plutôt que l'alias on se trouvera un lien quoi qu'il en soit, et n'hésite pas si tu as d'autres questions |
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| Sujet: Re: WHAT DOESN’T KILL ME BETTER RUN — Circé Sam 10 Avr - 18:06 | |
| Olala le super perso j'ai suivi la conversation de loin dans les invités et je suis contente que tu aies choisi Circé . En plus avec cette bouille, elle est parfaite . Bienvenue parmi nous et courage pour ta fichette . |
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| Sujet: Re: WHAT DOESN’T KILL ME BETTER RUN — Circé Sam 10 Avr - 20:19 | |
| Bienvenue par ici! J'avais un lien plutôt sympa avec la Circé précédente (qu'on a pas eu le temps de jouer :p), je viendrai t'en parler après la validation pour voir si ça t'intéresse ^^ En attendant bonne chance pour la fichoune et à très vite sur le fofo |
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| Sujet: Re: WHAT DOESN’T KILL ME BETTER RUN — Circé Sam 10 Avr - 20:47 | |
| officiellement bienvenue je suis ravie que tu aies choisi Circé, elle est intéressante et a tellement de potentiel à exploiter en jeu si tu as questions à propos de la Wonder Family et compagnie, n'hésite surtout pas à me MP bon courage pour la rédaction de ta fiche |
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| Sujet: Re: WHAT DOESN’T KILL ME BETTER RUN — Circé Lun 19 Avr - 20:54 | |
| @Cassandra Colchis Avec un petit peu de retard, me voilà Avant que je ne puisse te valider, il va falloir faire quelques modifications dans ta fiche Tu as très bien cerné le personnage et j'ai beaucoup aimé te lire, mais tu ne fais mention d'aucun des événements importants du forum, or nous demandons qu'il soit fait mention d'au moins deux des grandes intrigues dans les fiches, pour que vos personnages soient bien ancrés dans l'univers du forum Tu peux choisir celles que tu préfèrent, et si tu as des questions à ce propos, n'hésite pas Aussi, petit point important concernant les Amazones : lorsque Hercule et Thésée ont attaqué Themyscira, ils n'ont pas décimé les Amazones (sinon Hippolyte et les siennes n'existeraient plus ) et les Amazones d'Antiope ne se sont pas éteintes après sa mort, puisqu'elles ont fondé la tribu de Bana-Mighdall En ce qui concerne les détails des intrigues relatives à la Wonder Family, on pourra continuer à en discuter par MP/sur Discord comme prévu, je reste à ta disposition pour t'aider et répondre à tes questions |
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