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 (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

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MessageSujet: (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.   (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche. EmptySam 27 Jan - 23:45

kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

Romantique ? Je ne savais pas vraiment si je l’étais. Mais après tout, qu’est-ce que c’est la romance ? Aucunes idées. Une rose. Des chocolats. Je n’étais pas l’homme qui avait été programmé pour être romantique. Je me souvenais bien peu des passages romantiques entre mes parents. Enfin… ils l’étaient mais 365 jours sur l’année. Pas juste le 14 février. Une part de moi était d’accord avec cette optique de l’amour. J’avais été ainsi avec Dinah. J’étais maintenant célibataire, certes. Et si je m’étais plus battu pour elle ? Je me battais pour savoir comment elle allait. C’était déjà pas mal comme bataille. Je faisais mon mieux. Mais parfois il n’y a rien à faire pour rassembler deux cœurs séparés. Rien. En ce moment ? Je ne dirais pas être amoureux, non. Mais cette fille ? Elle m’intriguait. Pourquoi elle ? Sûrement pour sa repartie. En tant qu’homme, j’aime qu’on me cherche enfin qu’on ne me prenne pas comme le boss qu’il faut respecter. Elle s’était faite respectée et c’était surement ce qui m’attirait autant. Une petite dose de caractère ? Bon dieu, j’adore les femmes qui ont du caractère. Bon… mais il n’en était pas moins que j’avais opté pour des petits sourires de temps à autres. Et ne pas être le 14 février était important pour moi. Le soleil était revenu. Un ou deux clins d’œil avant qu’il ne pointe le bout de son nez. Un second hier matin. Et aujourd’hui ? J’avais envie de profiter de cette gaieté que sunshine avait ramenée. J’étais prêt à passer au barbecue. Avoir une festivité. Je voulais m’amuser. Je voulais surtout passer une soirée loin de la drogue ou des bandits. Donc j’avais été acheter un bouquet de roses rouges et une boite de pralines. Après une heure à me motiver pour y aller enfin surtout trouver le courage, j’étais donc devant son bureau. Caché. Je cherchais un moment pour qu’elle s’en aille. Discretos comme James Bond, j’allais déposer le tout sur le bureau enfin sur la table de chimie. On appelle ça comment ? Roh, je n’en sais rien. J’en ai une pareille à la Arrow Cave. Mais c’est une table, quoi. Dans le bouquet, une carte : « Rendez-vous au restaurant au coin de la rue à 18 heures. », et voilà. Je me sentais tout content. Un restaurant italien de haute gamme. On n’en avait pas des masses. Elle ne risquait pas du tout de se tromper. En fait, c’était le seul. Enfin dans la rue, quoi. Pas le seul de Star City. Je quittais alors les bureaux, rentrant donc au manoir Queen. Je me douchais. Je me faisais beau. Je prenais mon temps, attention. Un peu de musique. Bon d’accord, je dansais sur Happy, la chanson des moi moche et vilain… mais je pensais tout de même à me faire accuser d’harcèlement sexuel sur un employé si je continuais. Non mais j’avais peur, quand même. Je n’avais jamais fait ça et pourquoi même… pourquoi je me lançais dans ça ? C’était bizarre. Oui. Je n’avais clairement pas le temps. Non mais et puis c’est une femme comme les autres et je suis un justicier qui trouve peu de temps pour faire sa manucure. Alors en plus pour un rencard ? Je trouvais le temps cette fois. Mais de toute façon, elle allait me jarreter. Imbue de lui-même, avait-elle dit. Elle ne voulait sûrement pas de moi. Roh mais ne croyez pas que je m’en prenais trop la tête, j’étais assez confiant tout de même mais les questions me passaient tout de même par l’esprit. Bonjour. Et aurevoir les doutes. Et en chantant… libéré délivré… je me rendais compte que l’heure tournait. Je mettais alors ma cravate rouge et je la serrais correctement avant… de prendre ma moto en direction des lieux. Oui, j’y vais en moto et alors ? Je n’ai pas dit que je prenais toujours mon chauffeur. Cela tuait un peu le romantisme, c’est sûr. Une fois arrivé, j’allais aussitôt garer mon bolide. Je donnais le casque au voiturier et j’entrais dans le bâtiment. Tout beau. Tout propre. Je sentais même assez bon pour un homme qui vient de faire de la moto. Pas de boues. Pas de flaques. Rien. J’étais frais comme écolo. Je m’installais. J’attendais. Voila. Un des hommes à l’entrée accueillait alors Kara. « Bonjour, je peux vous conduire à votre table ? Votre rendez-vous attend… », bien entendu, j’avais prévu de décrire la jeune femme au possible du possible à ce jeune homme. J’espère qu’elle n’allait pas croire que Lex Luthor l’attendait. Et moi ? Je restais tout autant alerte avec la Arrow Cave. Les vilains n’avaient qu’à bien se tenir s’ils me dérangeaient en plein rencard. Je leur ferais manger le cheesecake du dessert.
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MessageSujet: Re: (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.   (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche. EmptyDim 28 Jan - 0:47

kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

Une journée comme les autres. Enfin, pas vraiment. Le soleil est enfin de retour et depuis quelques temps tu peux profiter de tes nuits, te réveiller à une heure raisonnable puisque tu feras le trajet metropolis/star city en quelques secondes seulement. Parce que oui, tu as  retrouvé tes pouvoirs à pleine puissance et tu te sens bien. Le moral est enfin de retour, tes jours sont de nouveau joyeux et même reprendre la lutte contre le crime est un vrai plaisir. La pause déjeunée c'est bien passé, t'es aller rejoindre une amie pour manger rapidement et tu reviens à ton bureau de stagiaire où attend quelques documents et quelques fioles aussi. Rien de bien grave de toute façon, ni d'urgent. T'es stagiaire après tout. Pourtant quand tu reviens, enfilant à nouveau cette blouse blanche sur le dos, tu remarques les fleurs et la boite de chocolat. Tu te stoppe, tournant et regardant autour de toi. C'est bien ton bureau non ? Le livreur c'est pas tromper ? Non, c'est forcement quelqu'un du département puisque les livreurs ne peuvent pas entrer aussi facilement dans les labos. Tu echanges des regards avec des collégues, ils sourient, eux aussi ne savent rien. Vous n'étiez pas là. Tu attrapes alors les fleurs et le rouge vient à tes joues. Tu attrapes la carte, et tu es surprise au message que tu peux lire. « Rendez-vous au restaurant au coin de la rue à 18 heures. ». Un rendez vous ? Un rencard ? Avec toi ? Mais c'est qui ? Y'a aucun nom, aucun indice même. Mais c'est forcement un de tes collégues, le type bosse forcement ici. Le reste de la journée passe ainsi, lentement finalement, et tu n'es pas concentrée puisque tu tente d'élucider ce mystère, qui est ton admirateur secret ?

Te voilà devant ton miroir. Bon, tu as exactement une heure pour te trouver une tenue, te doucher, te changer, te maquiller et faire en sorte d'être présentable. T'en profite pour envoyer quelques messages à ton cousin, histoire de lui faire comprendre la panique qui t'anime actuellement. Tu files sous la douche, tu n'y passe pas trois plombes t'as pas le temps. Tu passes au séchage, et tu débarque devant ta penderie en sous vetement. Bon.. Une première robe.. Non. Une autre. Non plus.. Et celle là ? Tu l'essaie, en dentelle, rouge et courte mais pas trop. Parfait ! Tu finis par te mettre sur ton trente-et-un et il faut avoué que tu n'es pas totalement quelconque dans cette tenue. Tu passes au maquillage, le coiffage. Tu fais simple, tu laisses détacher à moitié, laissant tout de même les cheveux maintenue par une petite pince. Les lunettes, faut surtout pas oublier les lunettes et tu peux prendre le vol, pour retourner au point de rendez vous. Enfin.. dans une ruelle surtout pour qu'on ne te remarque pas. Tu prends une grande inspiration. Tu as les mains moites, t'es nerveuse. Tu ne sais pas du tout sur qui tu vas tomber. Est-ce vraiment un collégue du labo ? Ou un fou furieux qui sait qui tu es et qui veut te faire chanter ? T'en sais foutrement rien et c'est surement ce qui te perturbe le plus. Tu ajustes alors cette jolie robe que tu portes et tu serres un peu plus la pochette entre tes doigts. Quand finalement tu te lances dans cet etablissement haut de gamme. Quand tu regardes rien que la facade et les employés tu te dis que c'est vraiment pas ton truc, tu es bien loin de la ferme des Kent ou de ton petit appartement. Quand tu approches de l'hote pour t'annoncer et lui expliquer que tu as rendez vous, avec un inconnu, il te devance et s'approche déjà de toi pour te sourire. « Bonjour, je peux vous conduire à votre table ? Votre rendez-vous attend… » Alors il savait exactement qui ton rencard mystère attendait.. Une photo ? ou une description précise ? Un coup de bol ? T'en sais trop rien mais plus tu avances dans la salle et plus ton coeur bat comme un fou. Et là, tu ne comprends pas mais tu croises le regard d'Oliver Queen.. Qu'est-ce qu'il fout là lui ? Bon d'accord il est devenu plus sympa et il fait vraiment des efforts au moins avec toi. Mais ça peut pas etre lui. Ca peut pas etre ton patron ! Cet idiot de riches imbu de lui même et narcissique ! Non, ça se peut pas ! Pourtant quand tu te stoppes en compagnie de l'hote tu as un petit moment de doute. « Je vous souhaite une bonne soirée. Un serveur viendra rapidement. » Et il s'en va. Non. Pitié. Me laissez pas toute seule. Pas avec lui. revenez. Sauvez moi... Oui tu penses à tout cela d'un coup. Mais surtout tu ne peux t'empêcher de te rapeller que les roses et les chocolats viennent de lui et non pas d'un type normal. Juste de ton boss.. D'un mec super riche.. Bref.. rien à voir avec toi. Tu tentes cependant de te reprendre, pourtant tu as déjà le rouge qui recouvre tes joues en y repensant. Tu viens remettre tes lunettes en place, un geste devenue rapidement un tic selon certain. Tu l'as vu se redresser et voilà qu'il t'aide à t'installer. T'es nerveuse, tu trembles. Non mais finalement tu préféres aller te battre contre ultraman. c'est moins stressant, y'a juste à foncer dans le tas. Tu te prends. Allé Kara. C'est juste un diner, et puis tu peux partir si ça devient vraiment bizarre. Tu te reprends donc, pour enfin parler. « merci pour les fleurs.. et les chocolats.. elles etaient sublimes.. enfin les fleurs.. pas le chocolat. c'est pas que j'aime pas.. j'ai juste pas eu l'occasion de les manger.. enfin.. voilà.. » Tu finis par te stopper, baissant même les yeux, posant enfin ta pochette sur la table. Bon.. Tu ne te sens pas vraiment à l'aise. Mais qu'est-ce que tu fiches ici quoi ? Tu prends une grande bouffée, allé Kara... Tu t'es battu pour la Terre, c'est pas ce type qui va te faire peur ! Pourtant tu prends ton téléphone, envoyant rapidement un message avant de remettre le tout dans ta pochette. Tu finis enfin par redresser la tête, un peu plus sur de toi, en apparence uniquement. « Je.. je suis désolée mais je ne comprends pas.. Pourquoi ? Les fleurs, les chocolats.. ce rendez vous... enfin si j'ai compris.. mais.. pourquoi moi ? » T'es qu'une fille comme les autres après tout, enfin, aux yeux des terriens.

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MessageSujet: Re: (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.   (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche. EmptyDim 28 Jan - 19:32

kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

Franchement mais qu’est-ce que tu fous ? Tu sais que tu avais agis comme un con pour finir par faire tout ça. Pourquoi ? Tu en avais envie mais c’était dingue, non ? Primo, tu la connais à peine et tu lui as parlé quoi ? 10 minutes, même pas. Tu ne comptes pas les sourires rapides dans les couleurs et les bonjour puis les ça va que tu avais usé depuis quelques semaines. Enfin depuis les 10 minutes, quoi. Pourtant elle t’intrigue autant ? Plus les secondes passent et plus tu te poses des questions. Tu finis même par appeler tes potes au secours. Punaise, ils sont d’une très bonne aide ! Tu aurais mieux fait de demander de l’aide à Bruce Wayne. Limite, il aurait évité de te draguer ou de faire ressortir le pervers en toi. Tu adorais Elijaah et Hal mais tu stressais encore plus avec eux. C’est con, tu es con. Pourquoi tu as fait ça ? Tu sais bien que tu es un super héros. Tu as deux vies. Tu ne peux pas vivre celle d’Oliver Queen, de l’homme sans problèmes. Non. Tu ne peux même pas encore gérer tes deux vies parfaitement même après tout ce temps. Tu sais très bien que même s’il se passait un truc entre vous, cela serait voué à l’échec et tu n’es plus l’homme qui couche avec tout ce qui bouge. Dinah et toi, c’était du sérieux mais du sérieux qui n’a pas été jusqu’au bout. Elle et toi, c’était vrai. Tu veux une vraie relation mais tu veux mieux. Tu veux rencontrer une femme pour laquelle tu serais prêt à mourir. Vraiment. Tu ignores si cette blonde qui est bien plus jeune que toi pourrait être cette femme. En fait, tu ignores tout d’elle et pourtant, tu es là. Tu as fait tout ça. Quand tu la vois arriver, tu plaisantes par écrit. Tu fais ton grand en la regardant marcher par la fenêtre. Oui. Tu fais ton fière en écrivant que tu kiffes ses jambes à Elijaah. Mais non. En fait, tu stresses. Tu veux que cela se passe bien. Tu veux lui prouver que tu n’es pas qu’un connard. Tes mains sont moites. Tu tentes de rester nonchalant. Tu réponds encore quelques secondes puis tu ranges ton téléphone dans la poche de ta veste avant qu’elle n’arrive à la table. Tu restes calme. Oui, calme. « Bonsoir ! », dis-tu alors que tu te lèves avec galanterie. Ton costume noir presque gris foncé te va bien. Ta cravate fait ressortir le tout. Un petit côté excentrique. Tu te demandes si tu devais apporter une rose avec toi. Un truc. Après les fleurs et les pralines ? Oui, c’est plus fort que toi. Tu n’y connais rien. Cela ne s’était pas passé ainsi avec Dinah. Et puis elle connait ta double identité. Cette femme, cette femme magnifique… Oui, bon d’accord, tu avais posé le regard sur ses jambes pendant 5 secondes, trop longues à ton gout mais tu ne voulais pas être ainsi… elle était magnifique et elle te faisait sourire. Et pourquoi vous ne dites rien. Tu avais dit… Bonsoir. Vous allez aller loin. Tu lui tirais la chaise et tu retournais t’assoir après avoir retiré la veste de ton costume. Bon dieu, il fait chaud quand même. Tu es nerveux ou il fait vraiment chaud ? C’est peut-être ses jambes aussi. Mais non. Tu lui souris. Elle prend la parole. Tu te sens comme un robot. Tu l’es peut-être après tout. On ne sait jamais. Elle te remercie et tu sens bien qu’elle est aussi nerveuse. D’ailleurs ses joues roses sont à croquer. Tu adores quand les femmes rougissent mais là, ça te séduit. Tu souris un peu plus. Elle finit de parler. Tu appelles alors le serveur avant de répondre. Il arrive avec une bouteille de vin, un grand cru. « J’espère que vous buvez du vin… j’ignorais celui que vous préfériez ! », disais-tu alors que le serveur proposait la bouteille, montrant l’étiquette à la jeune femme afin d’avoir l’autorisation pour la servir. De ton côté, tu la regardes. Tu posais les coudes sur la tête, joignant tes mains pour les poser sous ton menton. « Je voulais simplement préparer la situation pour une future plainte pour harcèlement sexuel ! », tu gardais un air sérieux en disant cela mais tu riais aussitôt en secouant doucement la tête. « Je plaisante, je vous rassure ! », soufflais-tu d’un ton plutôt rassurant enfin tu l’espérais. Et tu plongeais ton regard dans le sien. « Et pourquoi pas vous ? », demandais-tu alors totalement confiant. « La question serait plutôt… pourquoi moi en aurais-je le droit. », lâchais-tu cette fois encore plus confiante car c’était un compliment pour elle. Tu n’es pas stupide. Autant tu peux être arrogant mais autant tu peux affirmer qu’elle mérite sûrement mieux que toi. Non seulement par ce que tu es Green Arrow… et puis tout ça, tu as une réputation. Tu n’es pas l’homme parfait. Tu le sais. Tu es parfait mais pas l’homme parfait. Tout va bien dans ta tête. Tu es très heureux avec tout cela. « Vous êtes sublimes comme ses fleurs, vous avez un petit quelque chose qui m’intrigue, qui m’attire… peut-être le fait que vous n’hésitiez pas à me remettre à ma place en sachant que j’aurais pu mal réagir et vous renvoyer… d’ailleurs en parlant de ça, je vais devoir après cette soirée… sinon ça va être difficile ! », tu souriais doucement. Tu plaisantais sur ce point, tu n’avais pas prévu de la virer et tu espérais qu’elle comprenne que cela serait une blague.
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kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

Tu avais besoin d'aide, t'avais besoin de te calmer. Alors avant d'entrer tu envoie un message à ton cousinclone, Conner etait aussi expérimenté que toi en amour mais au moins il serait surement plus impartiale que n'importe qui dans tout ca. Bon au final il ne t'a pas forcement aider. Mais ça fait malgré tout du bien de savoir qu'il est là et que si ca tourne mal tu pourrais l'apeller. Bon c'est pas comme si tu n'étais pas Supergirl et que tu étais incapable de te défendre. Bien au contraire mais c'est surement ça le plus difficile, te défendre en ayant l'air d'une jeune femme de vingt-cinq ans toute faible. Parce que tu n'es clairement pas tout ca, t'es capable de le battre à la course, au bras de fer, à la lutte, et même au sauf en longueur ou en hauteur. T'es pas humaine. Bordel Kara, qu'est-ce que tu fiches ici ! Tu ne peux pas avoir une relation avec un homme sans griller ton identité, tu ne peux pas dormir avec tes lunettes sur le nez, tu ne peux pas vivre dans le noir. Bon, ce n'est qu'un rendez vous, tu es venue parce que tu veux savoir qui t'as envoyé tout cela, qui a pris la peine de déposer des roses magnifiques à ton bureau. Tu finis par entrer, et quand tu arrives à la table de ton patron tu as l'impression que tu as déjà perdu ton job, un stage certes mais il est rémunéré quand même. Pourquoi il fait ça ? Il veut t'humilier ? Il te prend pour une de ces blondes qui couchent le premier soir ? Il pense te faire du chantage après pour le boulot ? Non tu ne comprends mais mais tu prend la peine d'envoyer quelques messages et la réponse de Kon-El est immédiate.. tu dois arrêter de lui ecrire et profiter de ta soirée. C'est plus facile à dire qu'à faire tout de même ! Tu t'installes après qu'il fut un gentleman et tu finis par lui poser la question, après l'avoir remercie. Pourquoi toi ? T'as vraiment rien de spécial, hormis le fait d'être une alien. « J’espère que vous buvez du vin… j’ignorais celui que vous préfériez ! » D'accord, il ne te réponds pas encore. Le serveur arrive avec la bouteille mais tu n'es pas une grande connaisseuse, tu ne bois pas souvent. Pourtant tu tiens parfaitement l'alcool. Tu es un peu comme les elfes du Seigneur des Anneaux, qui ne ressentent les effets qu'après des heures et que les autres sont totalement ivres. Mais tu acquiesces au serveur pour qu'il puisse vous servir et tu le remercie d'un sourire géné. T'es pas à l'aise. Ce restaurant, trop chic, et même cette robe. Pourquoi tu l'as acheté ? Tu devais surement faire du shopping avec Starfire ou avec Cassandra pour l'avoir acheté ! Tu ne dis cependant rien alors qu'il s'accoude devant toi pour bien te regarder. Tu sens déjà tes joues rosir. « Je voulais simplement préparer la situation pour une future plainte pour harcèlement sexuel ! » tu es surprise par cette parole, surtout que tu allais surement lui demander s'il faisait toujours ça et que dans ce cas tu comprennais les plaintes. Mais tu le vois sourire, rire même. « Je plaisante, je vous rassure ! » Tu es rassurée ? Pas vraiment, parce que tu ne sais pas du tout comment te comporter face à tout cela. Est-ce que tu dois te redresser en frappant du poing.. Non tu pourrais casser la table.. Mais te plaindre de son comportement à te croire aussi facile ? Ou te plaindre d'être resté anonyme et te met dans cette situation à présent ? Pourtant ses yeux croisent les tiens, et tu te sens totalement absorbé dans son regard. Bon, tu ne peux pas nier qu'il a un charme fou et une confiance en lui qui te perturbe presque. « Et pourquoi pas vous ? » Comment ça ? Bah déjà, entre toi et la standardiste y'a pas photos, elle se trimbale en escarpins et mini jupe tous les jours, sans compter son air de fille facile. « La question serait plutôt… pourquoi moi en aurais-je le droit. » Tu rougis, mais c'est pas prévu ça, t'es pas sensée rougir a ses propos ni même te faire avoir. C'est ton boss, tu ne devrais même pas être là ! Si les employés de la boite apprennent ça, tu vas etre cataloguée rapidement et les rumeurs iront surement bon train. Et tu veux pas vivre ça ! « Vous êtes sublimes comme ses fleurs,(...) sinon ça va être difficile ! » Okay.. Tu es sublime et tu l'intrigues... C'est ça, il a trouvé ton coté supergirl et il sait que tu es une alien ! C'est pour ça ! Non mais Kara, reprends toi et cesse d'imaginer des conneries de ce genre. Conner a peut-etre raison, il a peut-etre simplement vu que tu etais une fille bien, même si tu n'es pas sur de tout les qualificatifs que ton cousinclone a employé. Tu comprends à nouveau qu'il plaisante sur le fait de te renvoyer. Tu préféres ça tout de même. « Je commence à comprendre pourquoi il y a tant de plainte pour harcelement, si vous invitez toutes vos stagiaires ici. » Tu as le sourire sur le coin de tes lèvres. Tu essaies de te détendre un peu mais c'est difficile. T'es nerveuse, totalement. Alors comme pour le s missions où tu sauves le monde, tu plaisantes et tu dis de la merde pour ne pas le montrer. « Je ne supporte pas l'impolitesse, il fallait bien que quelqu'un se dévoue à vous remettre dans le droit chemin. » Tu lui souris un peu plus, tu espères simplement suivre les conseils de Konny et passer une bonne soirée, avec ton patron certes, mais il faut tenter de mettre ça de coté. « Mais pourquoi cette invitation ? Pour me montrer que vous savez être un homme galant ? Vous n'avez pas besoin de faire vos preuves, c'est vous le patron. » Tu finis par prendre ton verre de vin et tu le tends légèrement pour porter un toast. « à la politesse, donc. » Que tu enchaines avant de prendre une gorgée.

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kara & oliver
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Tu fous quoi au juste ? Tu plaisantes avec elle et mon dieu, tu la dragues. Eh ho, on ne me la fait pas à moi, tu la séduis à ta façon. Un regard. Un sourire. Hop, un peu d’humour bien léché. Enfin tu sors le grand jeu même si tu n’as pas encore été jusqu’au bout. Tu es encore sage et tu peux l’affirmer mais comment tu peux même imaginer avec la possibilité de tomber amoureux à nouveau ? Miracle. Tu ne penses même pas que cela puisse être possible pour être franc avec toi-même. Tu parles. Beau-parleur, toi ? Mais oui, totalement. Cependant tu lui dis la vérité. Tu n’étais pas là pour la charmer à coup de mensonges. Non. Pas du tout. Tu la regardes avec attention. Tu l’écoutes alors te dire qu’elle comprenait les plaintes. Tu riais. Tu espérais vraiment qu’elle plaisante quand même. Vraiment. Enfin tu te disais que oui. Tu ne répondais pas. Tu savourais ses joues rosées du regard et son sourire mais tu ressentais la moindre nervosité de cette jeune femme presque du bout des doigts. Cela rayonnait autour d’elle. Elle irradiait de nervosité et tu trouvais ça très rassurant enfin à moitié. Avait-elle peur de toi ? Peut-être. Ou était-elle sur la même longueur d’onde ? Ou pas du tout. Eh merde, c’est rassurant ou pas. No idea. Tu souris. Au moins, ça, t’es sûr que tu sais le faire. Bingo. Avec Dinah, c’était différent. Tu n’avais pas à la séduire. Cela ne marchait pas et tu la voyais rarement rougir en fait. Pourtant tu aimais ça. Tu la trouvais adorable cette blondinette qui se trouvait face à toi. Elle te semblait normale. Comme toutes les filles. Tu l’écoutes, pas comme tous les hommes et tu rigoles doucement en la voyant porter un toast. A la politesse. Elle t’amuse. Par contre, tu avais bien pris connaissance du fait que tu étais le patron. Tu attendais juste de porter le toast aussi. « A la politesse et au patron ! », fis-tu avant de prendre une gorgée à ton tour. Tu déposais alors le verre sur la table, gardant tes deux doigts autour du pied que tu faisais tourner doucement. Ton regard toujours posé sur elle. « Si c’est moi le patron, cela veut dire que j’ai le droit de vous demander ce que je veux ? Il ne faut pas dire cela à un homme ! », disais-tu en fronçant les sourcils. Tu savais que tu disais vrai car cela pouvait dire que tu pouvais lui demander n’importe quoi. Vraiment n’importe quoi. Mais aussi obscène que romantique et tu n’étais pas ainsi. Tu n’étais pas vraiment un connard. Tout doit être consentit avec toi. Tu as peut-être un passé de fêtard du dimanche mais tu n’as jamais forcé une femme à quoique ce soit même avec le pouvoir de l’argent. Et dont tu hausses une épaule en te rapprochant un peu plus, accoudé contre la table. « Ce soir, je ne suis pas le patron… oubliez Oliver Queen et l’entreprise. J’oublierais que vous êtes ma stagiaire. Nous sommes un homme et une femme dans un restaurant ou je vous assure ne pas accompagner toutes les stagiaires car vous êtes la première et je vous assure que je ne planifie pas d’en faire une habitude à l’avenir mais je veux dire… », tu riais doucement car ce que tu venais de dire pouvait autant vouloir dire que tu n’allais plus l’inviter et que tu pourrais ne plus inventer de stagiaire. « Enfin sauf si la stagiaire qui se trouve devant moi souhaite encore que je l’invite, qui sait… », soufflais-tu aussitôt. « Mais franchement, elle ferait mieux de refuser… Je suis qu’un abruti quand je veux ! Je suis impoli en plus ! », finissais-tu par dire d’un ton presque nonchalant mais tu n’étais pas vraiment doué pour être nonchalant ce soir. Pas du tout même. « Bref, je m’appelle Oliver… et toi ? », demandais-tu alors en étant soudainement moins formel. Tu ne dois plus être le patron mais tu dois être le type normal qu’on croise dans la rue et qu’on voit à un rencard. Tu ne voulais pas qu’elle se fixe l’idée du patron sinon t’allais te prendre un râteau. Punaise et en plus, tu ne veux pas te prendre un râteau ? A quel point es-tu sérieux dans ta démarche ? Tu n’en sais rien. Tu verras bien. Tu l’as fait, tu l’assumes mais tu n’as aucuns plans si ce n’est de passer une bonne soirée. Un serveur arrive alors pour déposer les cartes et tu ne cesses de regarder la jeune femme. Tu ouvres lentement ta carte enfin ton menu en arquant un sourcil. « J’ai l’impression que je ne suis plus venu depuis des lustres, j’ignore quel est le meilleur choix à faire ! Mais depuis le retour du soleil... j'ai envie de manger des légumes de saisons. Des millions de légumes encore et encore... des carottes, des tomates et faire le stock de vitamines. Pas toi ? », dis-tu d’une conversation des plus simple. Pas de chichis. Tu parles de la pluie, du beau temps et d’un plat italien.
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kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
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Tu fais quoi là Kara ? Tu suis vraiment le conseil du mec qui a officiellement deux ans ? Et tu profites de la soirée alors que c'est ton patron ? Parce que oui, il est séduisant, très charismatique ce n'est pas le soucis. Et même si tu le trouve imbu de sa personne et narcissique, il semble te plaire. Tes pensées sur lui changent doucement, tu le trouve moins con, ce qui est énorme, tu le trouves plus gentil, souriant, et son humour est même agréable. Alors après tout, pourquoi ne pas juste profiter de cette invitation ? « A la politesse et au patron ! » C'est ton patron ! Voilà pourquoi ! Tu ne peux pas avoir ce genre de relation avec ton patron. Si ca ce sait, demain tu entendras partout que tu as tenter d'amadouer le patron pour ton job, pour etre embauchée et non pas une simple stagiaire. Tu entendras les rumeurs que tu es une fille facile, alors que t'as jamais eu de relation avec un homme. ni avec un kryptonien d'ailleurs. Tu es aussi expérimentée que ton cousinclone. « Si c’est moi le patron, cela veut dire que j’ai le droit de vous demander ce que je veux ? Il ne faut pas dire cela à un homme ! » Tu es surprise par ces propos. Tu disais que c'était lui le patron mais dans le boulot, dans le fait qu'il n'a pas à se justifier ou a prouver qu'il est gentil parce que tu l'as remis a sa place une fois. Alors oui, là tu as un peu peur de ce qu'il va te demander, parce que tu ne resteras pas ici s'il devient grossier ou obscène. Pourtant, dans son regard ou même dans son attitude, ça ne semble pas etre son plan. « Ce soir, je ne suis pas le patron… oubliez Oliver Queen et l’entreprise. (..) que je ne planifie pas d’en faire une habitude à l’avenir mais je veux dire… » Tu hausses un sourcil, comment tu dois prendre cette phrase ? Pourtant tu vois rapidement qu'il a fait une bourde en parlant, et tu ne peux pas lui en vouloir, t'en fais tout les jours. « Enfin sauf si la stagiaire qui se trouve devant moi souhaite encore que je l’invite, qui sait…  Mais franchement, elle ferait mieux de refuser… Je suis qu’un abruti quand je veux ! Je suis impoli en plus ! » Tu rougis à nouveau, c'est plus fort que toi. Tu ne peux pas nier qu'il sait tout de même y faire avec les femmes, et ça appuis bien la réputation qu'il a dans la ville où même dans son entreprise. Oliver Queen est un homme a femme.. Et finalement tu n'es qu'une de plus sur son tableau de chasse.. Enfin.. t'as pas encore céder non plus. « Bref, je m’appelle Oliver… et toi ? » Il est sérieux ? Il veut vraiment repartir a zero de cette façon pour virer le fait qu'il soit ton patron ? Tu veux bien essayer, après tout il semble faire un effort de son coté et il semble tout aussi nerveux que toi. Tu es sur que si tu te focalises sur les battements de son coeur, ça serait aussi rapide que le tient. Mais il gère bien son stresse, contrairement à toi qui respire l'angoisse du déroulement de cette soirée. Tu finis cependant par sourire et même par répondre « Kara. » Juste ton prénom, juste un nom. Tu dois lui dire que tu es enchantée ? T'en sais rien du tout, tu ne sais pas trop comment tu dois te comporter alors tu joues le jeu sagement. Quand enfin le serveur arrive, tu attrapes le menu pour y jeter un coup d'oeil. Monsieur Queen sait-il qu'il a invité la seule fille de la Terre pouvant avaler énormement de plat ? Et sans prendre un gramme en plus. La belle vie pour une femme. Mais pour le moment tu te cache presque derière ton menu. Mais c'est lui qui reprends la parole pour évoquer ses envies. « J’ai l’impression que je ne suis plus venu depuis des lustres, j’ignore quel est le meilleur choix à faire (..) Pas toi ? » Tu es surprise, il veut des légumes, pourquoi pas après tout. Bon, ce soir, tu dois faire attention, on t'invite donc tu ne dévores pas la carte et au pire si tu as encore faim tu prendras un truc chez toi avant d'aller te coucher. « Depuis le retour du soleil.. J'ai plutot tendance à vouloir rester dehors. A profiter des rayons du soleil.. » Mais tu n'en profites pas tellement dans le fond, le laboratoire n'est pas sur le toit après tout et il n'y a pas énormement de vitre pour sécuriser les lieux. Et malheureusement quand tu rentres chez toi tu ne peux pas juste te mettre sur un toit et bronzer. Mais tu peux pas vraiment lui dire ça non ? Il a beau dire de faire comme s'il n'était pas ton patron, il l'est. « Et je suis plutot patisseries.. que légumes. »Tu finis par relever les yeux vers le serveur pour commander « Je vais prendre le trio de ravioles s'il vous plait. » Tu reposes le menu, arrêtant de te cacher derière puis tu reposes tes yeux sur Oliver. « Le manque de soleil a énormement joué sur mon humeur, ça rend iritable. Alors je suis heureuse de retrouver les rayons du soleil en sortant de chez moi. et vous.. vous allez pouvoir faire votre barbecue ? » Ha ce fameux barbecue, où tu es invitée d'ailleurs, tu ne sais toujours pas pourquoi et ça te fait penser que tu ne sais toujours pas pourquoi tu es assis devant lui actuellement, pourquoi il t'a invité ? c'est surement la question de ta vie là ! Mais dans le fond, cette discution, tout aussi banale, te permet de te mettre un peu plus à l'aise.

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kara & oliver
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Et tu te retrouves à parler de la pluie mais aussi du beau temps. Pourquoi ? Tu n’en sais rien, simplement rien. Tu la dragues, oui mais tu n voulais pas en faire de trop aussi puis tu avais faim. Tu manges sainement en général. Tu évites même de manger trop de viandes mais tu en manges, attention. En fait, tu manges surtout des protéines pour tes muscles. Tu manges plus de viandes blanches par exemple et tu dévores les légumes. Tu parles de bouffes. Pourquoi ? Pour être franc, tu n’en sais rien. Tu parles de nourriture car tu penses parfois avec le ventre et un jour… Clark t’a dit qu’on séduisait par la bouffe. Tu apprends ta leçon mais tu n’y crois pas. Là, tu es face à elle. Tu la regardes. Tu l’écoutes parler du retour du soleil. Tu ne sais pas si elle se lâche, si elle joue le jeu et donc si elle oublie que tu es son patron. Tu ne veux pas trop y penser et qu’importe. Tu t’en fiches. Tu la regardais avec attention. En fait, tu buvais un peu ses mots. Quand le serveur prenait commande, il attendait même que tu te rendes compte qu’il existe. Tu écoutais la jeune femme et tu ne voulais pas encore commander. Les pâtisseries ? Tu notais cela dans ton esprit. Pas le choix de le noter dans l’esprit car tu n’as pas de calepins à la main puis même de post-it. Tu apprenais alors que le soleil la rendait irritable. Tu laissais un sourire charmeur en coin se dessiner sur tes lèvres. Tu notais bien qu’elle parlait du barbecue. « Je ne risque plus de me faire engueuler pour mon impolitesse, alors ! Mince… », soufflais-tu alors, faussement déçu mais pas du tout à vrai dire. Cela t’amusait toujours autant de parler de cela. Tu inspirais doucement en relevant le regard vers le serveur qui perdait patience et tu lui souriais. « Désolé, elle était plus passionnante que le menu. Pardonnez-moi ma lenteur ! », lui disais-tu donc d’un ton chevaleresque. Enfin avec galanterie. Tu ne tournais le regard vers elle que quelques secondes pour voir si elle allait rougir. Oui, tu veux la voir rougir car tu adores cela. C’est devenu ta passion ce soir. Limite, tu le fais presque que pour la voir rougir. Cela fonctionne peut-être, ou pas. « Je vais prendre des pomodores funghi, simplement ! », disait-tu avant de lui tendre ta carte du menu. Il prenait la seconde et il partait à sa quête du boulot qu’il avait à faire. Toi. Tu reculais sur le dossier de ta chaise, posant les mains sur tes genoux. Tu la regardais. Simplement. Sans rien dire. Tu réfléchissais un peu. « Je devrais vous emmener ailleurs pour le dessert, ils sont radins sur les doses par ici… », lâchais-tu d’un murmure sur la fin. « Du moins si j’ai bien compris, vous avez besoin d’une bonne dose de pâtisserie pour au moins envisager de me revoir et je ne suis pas contre ! », lui disais-tu avant de rire doucement. Tu allais la séduire par le ventre ? Damn, tu prends exemple sur Superman. « Quand à mon barbecue, je travaille encore dessus car même si le soleil est de retour, il ne fait pas encore assez chaud que pour vraiment en profiter. On reste encore en hiver. J’ai un peu peur de me les geler devant les flemmes. Tu vois ? Ce n’est pas que je n’aime pas les feux de camps mais un barbecue en combinaison de ski après réflexion, c’est peut-être encore bancale. Je dois réfléchir à la question ! », disais-tu d’un ton sérieux comme si tout ce que tu venais de dire était d’une intelligence extrême mais tu savais bien que c’était un peu à moitié du n’importe quoi. Tu finissais par un sourire pour quitter ce sérieux qui te va rapidement au teint. Tu te redressais aussitôt, plongeant ton regard dans le sien. Un peu sérieux, motivé. Un peu comme épris d’une poussée d’énergie. Tu n’allais pas parler de la météo et de viande sur brochette pendant toute la soirée. « Parles-toi un peu de toi… On sait tout de moi, c’est dans la presse (et sur wikidccomics, ahah) mais je ne sais rien de toi. Après tout, c’est normal… on vient seulement de se rencontrer. Cela peut sembler fou, vraiment… mais depuis notre conversation, je veux simplement en apprendre un peu plus pour cette stagiaire qui apparemment fut juste irritée par la météo… enfin c’est une version que je préfère ! », disais-tu en souriant doucement. « Si je fais mes preuves, ce n’est d’ailleurs pas pour te prouver que je suis un homme bien et pas l’idiot que tu penses que je suis ou qu’on dit que je suis mais simplement par ce que je ne suis pas cet homme que l’on pense que je suis. Je ne sais pas si c’est compréhensible ce que je raconte mais je veux vraiment savoir qui tu es… Ce que tu fais quand tu n’es pas dans… enfin à ton boulot ! », tu n’allais pas dire dans ton entreprise.

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kara & oliver
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Au final, est-ce que tu commencerais pas à apprécier cette discution aussi etrange soit-elle, et ce début de soirée ? Au fond, malgré ses airs de play boy riche, il semble interessant. Bon, tu ne parles pas de tout ce que tu peux entendre ou lire sur Oliver Queen, mais de la personne que tu as en face de toi. Tu espères que ce n'est pas juste une mise en scène, un role qu'il se donne pour te faire craquer parce qu'on sait tous que Kara Zor-El en colère c'est pas forcement bon signe mais, pas lui il sait pas qui tu es. C'est surement pour cela que cette soirée sera surement l'unique, parce que tu te vois mal finir par lui dire que tu es supergirl, que tu es bien plus puissante que lui même si t'as pas vraiment d'argent ou d'entreprise. Quoi que, la maison des El pourrait finir comme une entreprise familiale ? Mais pour le moment tu ne veux pas penser aux probabilités de l'echec d'une potentielle relation avec ton patron. Tu lui parles, du soleil, que le manque de luminosité solaire te rend grognon, que tu préféères les patisseries aux légumes. « Je ne risque plus de me faire engueuler pour mon impolitesse, alors ! Mince… », Tu souris alors doucement, amusée par cette phrase. Il semble prendre ton comportement passé envers lui avec beaucoup d'humour et ça te rassure, de voir que finalement ce n'est pas une gueule de con. Tu finis par poser tes yeux sur le serveur et tu passes même commande. Mais Oliver ne semble pas vouloir de son coté, il met que quelques longues secondes, minutes peut etre, pour comprendre et s'excuser. « Désolé, elle était plus passionnante que le menu. Pardonnez-moi ma lenteur ! », Tu rougis. Passionnante ? toi ? C'est surement la première fois qu'on te le dit et tu ne peux qu'avoir le rouge sur tes joues. Tu baisses même un peu les yeux avec un léger sourire timide sur le coin de tes lèvres. Il commande enfin à son tour et tu rends le menu au serveur qui repart aussitot. « Je devrais vous emmener ailleurs pour le dessert, ils sont radins sur les doses par ici… » T'amener ailleurs ? Pour le dessert ? Cette idée te plait, mais c'est uniquement parce qu'il parle de patisserie et que tu pourrais en manger des tonnes avant d'avoir un haut-le- coeur. « Du moins si j’ai bien compris, vous avez besoin d’une bonne dose de pâtisserie pour au moins envisager de me revoir et je ne suis pas contre ! » Tu relèves les yeux sur lui, surprise. Il aimerait te revoir ? Vraiment ? Non pas que tu ais besoin de patisseries pour cela mais, tu es tout de même surprise qu'un homme comme lui s'interesse a une fille comme toi au point de l'invité a diner une fois, mais encore plus bizarre qu'il désir t'inviter une fois de plus. Mais tu ne répliques rien pour le moment, tu analyses ses propes, tu l'écoutes sagement et tu souris quand il réussit à te faire rire ou a simplement t'amuser. « Quand à mon barbecue, (...), c’est peut-être encore bancale. Je dois réfléchir à la question ! » Il est hyper sérieux et toi tu ris, légèrement, apportant une main devant tes lèvres pour en cacher le son avant de baisser les yeux, gênée. Mais tu imaginais tellement le barbecue et les invités en tenue de sky que c'était une image très amusante. « Parles-toi un peu de toi… On sait tout de moi, c’est dans la presse (...) mais je veux vraiment savoir qui tu es… Ce que tu fais quand tu n’es pas dans… enfin à ton boulot ! » Tu redresses les yeux, et le visage aussi quand il te demande de parler de toi. Mais pour dire quoi ? Que t'es une alien qui vient de Krypton, que t'es la cousine de superman et que t'es sur Terre depuis trois ans ? Que tu as perdu tes parents, que tu ne trouves pas forcement ta place en tant que terrienne, que tu ne sais pas qui tu es vraiment ? Tu hausses les épaules et presque par miracle, le serveur vous interromps à nouveau pour servir vos plats. Tu le remercie d'un signe de tete et d'un sourire et t'en profite pour attraper ton verre et en boire une gorgée. Tu sais que tu vas devoir mentir, ou en tout cas, ne pas pouvoir dire toute la vérité. Une raison de plus pour laquel tu ne pourras jamais avoir une véritable relation. « Et bien.. que dire... je ne suis pas une fille très interessante vous savez.. Je suis étudiante en biochimie, je termine actuellement ma dernière année. J'adore les patisseries et je suis pas forcement fan de légumes.. Je lis beaucoup, et j'adore v... voyager. » Voler ! T'as faillit dire voler ! Heureusement que tu t'es rapidement reprise ! Tu prends une petite moue, parler de toi, tu détestes ça. Comment avoir une véritable discution dans ces moments là, parler de toi c'est révéler des informations qui pourraient se retourner contre toi plus tard, et bien que tu ne penses pas une seconde qu'il soit ainsi, tu ne peux pas mettre ton secret en péril pour un rendez vous. Tu attrapes tes couvers et lance un « Buon appetito » que tu finis par dire en italien, après tout vous etes dans un restaurant italien. Et puis tu parles plusieurs langues, et pas uniquement l'anglais. Tu commences à manger, sagement, après tout c'est trés bon ce que tu as commandé, bien que vu l'assiette, tu risque d'avoir encore fin plus tard. Tu finis par reprendre, en baissant le ton de la voix comme une confidence. « apparement même sur le plat ils sont radins. » Tu souris, amusée, le rouge revenant sur tes joues alors que tu croises son regard. Jamais tu n'avais imaginée, pensée à Oliver Queen de cette façon avant ce soir, mais tu ne peux pas nié que tu le trouves charmant. « Et vous.. on entend tellement de chose a propos de vous mais, qui est le vrai Oliver Queen ? »

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Tu veux savoir qui elle est. C’est tout. Tu redoutes par contre de devoir parler de toi. Tu espères que la presse lui suffira. Tu rêves debout, Oliver. Tu ne devrais pas penser au miracle. Cela n’existe pas vraiment, mon chéri. Tu lui souris, tu la regardes et tu poses tes yeux dans les siens quand tu lui demandes avec intensité de parler d’elle. Tu es intense, oui, oui. Vraiment. Tu l’écoutes, tu arques un sourcil quand elle dit ne pas être intéressante. Impossible. On est tous intéressant à notre façon car c’est l’interlocuteur qui le définit. S’il s’en fout, bien sûr que cela ne sera pas intéressant mais pour moi ? Ca l’était. Tu lui souriais doucement. Voyager ? Moi aussi j’avais voyagé. Idiot. Tu tombes dans le mensonge de la jeune femme même si tu te demandais de quoi elle parlait. Tu penchais la tête doucement à gauche. Ton regard ne la quittant pas même au retour du cerveau. Tu as ton plat avec sa salade à côté. Tu la regardes pourtant toujours. Tu souris quand elle te souhaite un bon appétit en italien. Tu lui rends alors en italien à ton tour. Oui, toi aussi tu sais parler plusieurs langues. Tu as beaucoup voyagé après tout. Tu te redresses. Tu ne vas pas la regarder pendant toute la soirée comme si elle pourrait être une toile de Picasso. Non. Tu lui souris et tu te mets aussi aux couverts. Tu commences à manger. Tu lâches un petit rire presque nerveux en l’entendant parler des proportions. Tu prends une gorgée que tu es presque en train de recracher quand elle te demande de parler de toi à ton tour. Merde, les miracles n’existent pas alors ? Tu te reprends en penchant la tête. « Si tu veux, on ira se jeter sur la pizzeria du coin après, les proportions sont humaines et non pour des leprechauns ! », dis-tu en te sauvant d’un sujet ? Non. Pas vraiment. « Je suis juste le PDG d’une entreprise, riche orphelin qui a vu ses parents mourir. Il n’y a rien de vraiment important à dire. J’ai eu un passé, oui. J’ai fait la fête mais c’est fini pour moi. Sûrement par ce que la musique de notre époque me dépasse clairement. Enfin je dis ça mais je dansais dans mon salon un peu plus tôt et je chantais du Disney. Donc je pense que je suis aussi pas mal fêtard mais j’ai régressé, tu vois ? », tu souriais doucement alors que tu venais simplement de lui dire des choses sans intérêt dans le fond mais tu lâchais une part de toi plus relaxante que l’homme PDG qui est riche. Non. Tu savais clairement te lâcher et tu n’avais pas vraiment peur du ridicule. Tu la regardais toujours. Tu entamais ton plat. Tu mâchais et tu avalais. « Le plus important pour moi dans la vie est simplement de m’occuper de mon entreprise. Les supers héros se chargent bien du reste. Je ne sais même pas si je serais capable d’en faire autant… Je m’occupe d’aider les gens à ma façon en investissant dans des œuvres caritatives. C’est le mieux que je puisse faire. Entre nous, je me demande s’ils ont le temps d’avoir une vie à côté. Je me rends compte que rien qu’en étant PDG, je n’ai plus le temps pour moi. Alors en super héros. Je ne souhaiterais tellement pas me marier avec l’un d’eux… enfin une d’elles, bien entendu ! », disais-tu en affichant un sourire. Un besoin un peu malsain de parler des supers héros. Peut-être pour chercher à savoir son avis à ce sujet. Tester la température. On ne sait jamais si tu devais un jour révéler ton identité secrète à cette jeune femme. Mais clairement ? Tu étais en train de mentir ? Non. Pas vraiment. Tu ne mentais pas. Enfin Tu n’en savais rien. Tu en cachais des choses. Un peu. Tu attendais quelques secondes et Tu lui souriais. Oh oui, le retour du sourire charmeur. Il le fallait bien. « Sei bella stasera ! », dis-tu alors en italien ce qui veut simplement dire qu’elle est belle ce soir. Un petit compliment après un mensonge ? Tu te disais qu’il le fallait. Tu n’aimais pas devoir mentir. Pas du tout. Tu ne mentais pas mais tu lui cachais une vérité pour la première fois. La nervosité ? Un peu. Ce n’était pas un big deal, tu la connaissais à peine mais elle restait une personne qui ne devait pas savoir que tu es Green Arrow. Une citoyenne. Une femme normale. Une pas toi, quoi.

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Tu n'es pas interessante, t'as pas grand chose à dire. Kara n'est pas une fille qui attire les regards ou qui interesse, Kara c'est la partie calme et timide, maladroite, d'une forte personnalité kryptonnienne. Alors tu ne vois pas ce que tu pourrais lui dire, ça te parait tellement banale. Tu finis par lui dire que les portions sont vraiment petite, sur le ton de la confidence, de l'humour, et il répond « Si tu veux, on ira se jeter sur la pizzeria du coin après, les proportions sont humaines et non pour des leprechauns ! » Tu souris, acquiescant. Jamais tu n'aurais imaginer qu'un riche comme lui pourrait aller manger une pizza, enfin pas dans une pizzeria du coin. Mais malheureusement pour lui t'esune grand mangeuse, t'as besoin de force et de beaucoup de calories que tu dépenses en super vitesse, en vol.. T'as besoin de force et pas uniquement des rayons du soleil pour avoir tes capacités. Tu ne sais pas s'il va parler de lui. Mais tu n'attends pas longtemps pour voir qu'il se lance. « Je suis juste le PDG d’une entreprise, (...) Donc je pense que je suis aussi pas mal fêtard mais j’ai régressé, tu vois ? », Tu es triste pour ses parents. Tu sais ce que ça fait de les perdre, de perdre ta famille et de voir ta maison, ta planète, s'etteindre. Tu connais la douleur de ce manque, d'avoir peur de ne plus te souvenir de leurs visages, de leurs voix. Quand il se met à parler de Disney tu ne peux que sourire avec douceur, tu l'imagines dans son salon en train de chanter et tu trouves ça presque adorable. Mais tu tentes cependant de ne pas trop montrer ce que tu pourrais penser, de peur de n'etre qu'une fille comme tant d'autre et de comprendre qu'il n'a fait que jouer la comédie avec toi. Il te le paierait surement, d'une façon où d'une autre. Bon tu n'irais pas le tuer ou le menacer de le jetter dans le vide, n'abusons pas. Mais tu es tout de même contente de ce qu'il vient de te dire, de voir qu'il semble vouloir changer, qu'il change contrairement aux propos des journalistes de cette ville. Tu piques ta fourchette dans ton assiette pour l'aporter a tes lèvres afin de manger ce plat, après tout les quantités sont ridicules mais la nouriture est très bonne, tu l'apprecie donc, avant de prendre une nouvelle gorgée de vin. « Le plus important pour moi dans la vie est simplement de m’occuper de mon entreprise. (...) enfin une d’elles, bien entendu ! » Tu t'es un peu figée sur place quand tu l'as entendu parler de super héro. Tu croyais quoi Kara ? Qu'Oliver Queen etait du genre a accepté d'épouser une Alien en jupette ? Bon certes tu n'imaginais pas te marier mais c'est qu'un détail. Comme si tu pouvais espérer un jour avoir une relation avec quelqu'un de normal, un terrien lambda, bien que connu à sa façon. Tu trouves admirables qu'il tente de changer le monde comme il peut, via son entreprise et les bonnes oeuvres mais ça ne change rien. il n'est pas comme toi et jamais tu ne pourras lui dire la vérité. Tu te perds un peu dans tes pensées, « Sei bella stasera ! » Tu relèves les yeux vers lui, le rouge arrivant de nouveau à tes joues alors que tu souris. « Merci.. Hm.. Je ne pense pas etre assez forte pour supporter un super hero comme compagnon. Toujours absent, toujours en danger. J'aurais trop peur qu'il ne rentre jamais. Ca serait comme vivre avec un courant d'air je suppose. Et puis, si ça ce trouve, a force de sauver le monde ils ont pris la grosse tête. » Tu mens, parce que tu en connais des héros et ils ne prennent pas la grosse tête pour autant. Pourtant tu ne mens pas totalement sur le fait que tu aurais ces peurs. Même toi en tant que Supergirl, tu sais que vous avez des adversaires dangeureux, que parfois tu manques d'y passer de justesse. Alors tu sais que tu t'inquieterais. Tu reprends ton plat, le terminant cette fois en silence avant de reprendre, avec un sourire un peu moqueur et amusé. « disney... » tu retiens un rire en l'imaginant une fois de plus. « Je suis désolée pour vos parents. Je sais ce que vous devez ressentir.. j'ai perdu les miens également. Il ne me reste que mon cousin. Ils sont tous.. morts. » Tu te confis un peu, baissant les yeux tristement en repensant à tes parents, à ta planète, à tes amis.

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Tu te demandes si tu es normal. Tu parles un peu en sortant des trucs comme un cheveu sur la soupe. Tu es impulsif et c’est ainsi. Tu dis simplement ce que tu penses même si cela n’a aucun sens mais tu as besoin de le dire. Tant bien même tu ne parlais pas de super héros, tu parlais du soleil avant donc cela à une sorte de logique ? Oui, sûrement. Tes yeux ne la quittent que rarement. Ils n’y peuvent rien car s’ils vont ailleurs, ça serait sous la table et tu veux rester gentleman. He ho me dites pas qu’elle n’aurait pas regardée sur ma chaise si j’étais en combinaison de cuir. Elijaah m’a dit que non mais après, il n’y connait rien en femme. Ou presque. Enfin… C’est complexe. Et pourquoi même écoutais-je leurs conseils ? Hal s’est fait larguer enfin… je n’en sais rien. C’est tellement complexe entre lui et Carol. Puis Elijaah ? Je crois qu’il construit ses propres petits copains donc bon. Autant dire que je ferais mieux d’aller demander des conseils au lion, il est à croquer au moins. Mais non. Je me contente de la complimenter. Normal. Après mon blabla sur les super héros. Normal. Oui. Et puis, merde. Ah mais merde. En plus, imagines qu’elle pense que Green Arrow a pris la grosse tête ? Si elle savait. Mais en plus ? Mon dieu, je suis un courant d’air autant en Green Arrow qu’en Oliver Queen… même sans être l’autre alors les deux. Non. J’allais me faire larguer si jamais ça allait plus loin. La solution est le secret, les mensonges et tout ça. C’est un couple, ça ? Solide ? Mouais. Je devais cacher la nervosité que cela engendrait. Vraiment. Car malgré ça, j’étais prêt à laisser cette chance à la soirée. Je n’en avais rien à foutre au final de donner froid comme un courant d’air. Et mon téléphone vibrait au fil de ses mots. MERDE. Je serais tellement impoli en y jetant un œil. Vraiment. Je n’osais pas le regarder mais la ville en dépendait pourtant. Cela serait tellement égoïste de s’en aller vite fait alors qu’elle ne porte pas d’écharpe. Les courants d’air, ça donne froid. Je me pinçais les lévres. La laissant terminer et souriant, tristement par contre. « Je suis désolé aussi… au moins, il vous reste un cousin… moi, il me reste une entreprise et… une maison trop grande mais vide ! », soufflais-tu alors en inspirant. « Loin de moi l’idée de faire un concours mais parfois j’ai envie d’adopter 50 pourcents des gamins des glades pour les mettre dans le manoir des Queens. Genre… ça fera un peu plus vi… », mais tu fis couper, sursautant même, surpris par cette voix à l’oreillette. Le sursaut déclenchait alors un tremblement de la table au contact avec ton genou. Plus discret, tu meurs. « Mais putain Oliver, arrêtes de draguer et regardes ton putain de téléphone ! », disait John Diggle, un camarade de la Arrow Team qui donc m’engueulait. Le plus étonnant était sûrement d’avoir une oreillette dans l’oreille. Tu l’avais donc oubliée ? Merde quand même. Tu l’aurais senti ? Mais non, à force, tu ne sentais plus les oreillettes comme si elles faisaient parties de ta vie. Enfin de celle de Green Arrow. Mais dans le fond, tu es la même personne. Sûrement. Le costume n’est qu’une costume et le nom qu’un nom mais tu es Oliver Queen dans tous les cas. Tu la regardes. Tu ne sais tellement pas quoi dire pour justifier ta bêtise. « Désolé… j’ai eu un spasmes… », lui disais-tu d’une excuse bateau. Tu aurais peut-être pu trouver mieux ? Sûrement. C’était pourtant rare que tu ressentes le besoin d’utiliser des excuses à la noix. Vraiment. Tu gères assez bien en général. Enfin, tu es plus professionnel mais ça le faisait bien rire dans ton oreillette quand même. Tu l’entendais s’esclaffer. « J’ai le téléphone qui vibre depuis tout à l’heure, je ne veux pas paraitre impoli mais cela t’ennuierait si j’allais juste passer un appel ? », dis-tu alors sans savoir ce qu’il se passe dans Star City. Tu ne pourrais pas le deviner, tu n’as même pas voulu jeter un regard sur ton téléphone. Tu n’avais jamais vraiment été ainsi, connecté ailleurs au point d’être déconnecté de ton équipe. Peut-être te lançait-elle un charme ? Tu n’en avais aucunes idées. Tu ne répondais pas à Diggle. Tu allais prétexter quoi ? Tu n’en savais clairement rien. « Pour me faire pardonner, je vous chanterais une chanson Disney de votre choix… », annonçais-tu simplement. Oui, tu ne voulais pas partir. C’était sûrement pour cela que malgré tout, tu n’avais pas levé le cul de ta chaise. Roh et puis merde, ils savent se débrouiller sans toi, non ? Justement. T’en doutais. « Oliver, on n’a pas le temps pour chanter du Disney… Stitch est en train de saccager Star City… Enfin non, c’est encore le comte vertigo, il a testé le même poison qu’il a utilisé sur toi et Elijaah, la police les a soigné avec le virus mais ils l’ont localisés, c’est un vrai champ de bataille. HURRY UP ! », hurlait-il. Je retenais toutes réactions, toussant alors simplement pour souffler un « Okay », dans ma main au moment de ma toux.
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kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
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Tu as perdu tes parents, ta famille, ta ville, tes amis, ta planète. Tu as tout perdu, et tu sais qu'il n'y a pas d'espoir pour les revoir un jour. Tu as de la chance d'avoir encore Kal, d'avoir Kon-El aussi, et c'est bien ce qui t'as permi de garder la tête froide jusqu'à maintenant. Alors tu peux que comprendre ce qu'il peut ressentir, ce vide qu'il doit avoir sans sa famille. « Je suis désolé aussi… au moins, il vous reste un cousin… moi, il me reste une entreprise et… une maison trop grande mais vide ! » c'est vrai, t'as tes cousins au moins, et tu t'es fait de nombreux amis et alliés maintenant. Tu en as perdu aussi, mais c'est une autre histoire. Cependant tu es triste pour tout cela, pour lui comme pour toi. Et puis, il vit dans une grande maison et toi dans un petit appartement que ton salaire paie tout juste. Parce qu'il ne faut pas oublier que tu dépenses énormement en nourriture.« Loin de moi l’idée de faire un concours mais parfois j’ai envie d’adopter 50 pourcents des gamins des glades pour les mettre dans le manoir des Queens. Genre… ça fera un peu plus vi… », Tu trouves ça adorable, qu'il veuille adopter ces gamins parfois, et tu comprends vraiment ce vide, sa générosité que tu ne connaissais pas auparavant. Ton regard change sur lui au fil de ses mots. Mais ça c'était avant que son genou rencontre la table et que tout tremble dessus. Tu ecarquille les yeux en le fixant, surprise d'un tel sursaut. Tu ne sait pas pourquoi, tu attrapes juste sa main, qui etait là sur la table, comme si tu voulais l'apaisait, le calmer. « Désolé… j’ai eu un spasmes… » Tu es surprise par cette réponse, un spasme ? C'est grave quand même non ? Bon t'es biocimiste et pas médecin après tout. En plus t'as pas forcement au courant de toutes les maladies possibles puisque tu ne tombes jamais malade toi. Alors tu le fixes mais tu ne le regarde pas comme si c'était totalement bizarre comme excuse, t'es naive quand même. Mais tu t'inquietes, parce que tu te dis que ca peut etre grave. « Vous allez bien ? » c'est surement visible sur ton visage, dans ton regard que tu es sincére dans cette inquiétude et peut-etre qu'il trouvera ça bizarre mais toi, tu es comme ça, soucieuse des autres, c'est pas pour rien que tu es supergirl après tout. Même s'il n'en sait rien. Tu finis enfin par relacher sa main, à regret ? tu ne sais pas, tu ne sais meme pas pourquoi tu as attraper sa main. « J’ai le téléphone qui vibre depuis tout à l’heure, je ne veux pas paraitre impoli mais cela t’ennuierait si j’allais juste passer un appel ? » Ho. Le téléphone, ça doit etre important, surtout pour le boulot ou quelque chose comme ça non ? Tu acquiesces alors simplement. Tu ne peux pas lui dire non après tout, tu ne peux pas lui dire que c'est impoli et pas vraiment galant mais tu peux comprendre que son entreprise passe avant un petit diner avec une simple stagiaire. Tu ne peux pas lui en vouloir après tout. « Pour me faire pardonner, je vous chanterais une chanson Disney de votre choix… » Tu souris alors, amusée à cette idée. « La belle et la bête.. » Que tu finis par dire, oui tu lui donnes déjà le disney qu'il devra chanter mais tu ne donnes pas encore la chanson. Tu laisses donc Oliver quitter la table pour prendre son appel et tu patientes simplement. Tu as finit ton plat, et tu termines enfin ton verre de vin. Tu ne sais pas encore combien de temps ça va durer.. Mais tu passes le temps en regardant autour de toi, souriant à un serveur qui doit penser que Monsieur Queen t'a abandonné là. Et puis tu capte une conversation, apparement il y aurait des problemes. Tu pourrais rester là et attendre sagement mais tu pourrais surtout aller les aider, ca irait plus vite et tu seras revenue avant lui.. enfin, au pire tu diras que tu etais aux toilettes. Tu laisses tes affaires sur la chaise de votre table et tu prends la direction des toilettes du restaurant.

Tu passes par la porte de secours finalement, ni vu ni connu et rapidement tu t'envoles. Après un petit passage par la garde robe pour enfiler ton costume que tu ne pouvais pas cacher sous cette robe, tu voles jusqu'à l'endroit après t'être concentrée. Il ne te faut pas bine longtemps pour arriver sur place et tu poses une main sur ta hanche alors que tu flottes tranquillement. Tes yeux sur pose sur le robin des bois à capuche à qui tu souris « Hey l'écolo ! un coup de main ? » Tu finis par te poser au sol, avec classe toujours, et tu penches le minois « Heu.. je passais.. dans le coin.. tu vois tranquille quoi.. bref.. je t'écoute.. c'est chez toi ici. » Tu passais dans le coin.. tu vas pas lui dire que tu etais en rencard quand même ! Tu ne voudrais pas prendre la place du héro du coin, ça le fait pas et puis tu ne sais pas trop comment il procède. Toi tu fonces dans le tas, tu les assomes, les ligotes rapidement pour les donner aux autorités compétentes. Mais là, tu ne sais pas ce qu'il veut faire et tu sais pas comment il le prendrait surtout. Pourtant, quand finalement tu vois un brigan vous foncer dessus, tu ne peux pas t'empêcher d'utiliser tes pouvoirs, utilisant le super-souffle pour l'envoyer voler contre un mur. Le voilà assomé. « un de moins, on dirait. »


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kara & oliver
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Tu es dans la merde. Pas d’autres façons de le dire autrement. Tu es dans la merde, c’est tout. Tu es simplement dans le caca. Tu ne veux pas quitter ce rencard. Tu n’en es pas heureux. Tu étais bien là. Tu décompressais et tu te sentais presque comme un homme normal. Presque. Tu ne peux plus être un homme normal totalement. Tu ne le pourras sûrement jamais depuis qu’un lion a dévoré ta maman et ton papa. Mais c’est comme ça. Tu entends alors que Vertigo a encore frappé. Tu te souviens d’avoir été paralysé. Tu te souviens même de la sensation de ta troisième jambe paralysée. Cela t’avait traumatisé mais Mary Poppins avait été là. Tu pensais à tous les hommes qui ont dû ressentir cela ce soir. Erk. Tu toussais alors un okay. Elle semblait te laisser y aller en disant la belle et la bête. Tu te disais que cela serait sûrement plus facile d’arrêter le comte que de chanter… histoire éternelle. Tu lui souriais. Tu te retenais de lui offrir un clin d’œil. Tu te rendais alors vers la sortie, allant rapidement à la Arrow Cave avec la moto d’Oliver Queen que je garais. J’enfilais alors rapidement ma tenue avant d’aller prendre mon arc. John me donnait plus de détail, me taquinait aussi un peu sur ce qu’il avait entendu. Il me répétait que j’étais jolie en italien. Je le tuais du regard rapidement avant de m’en aller en direction des lieux. J’étais en avance ? Non. En regard. C’était un terrain de mine. Une fusillade. Certains flics se cachaient et d’autres se faisaient avoir. Les enflures tiraient. Tu entends alors des bruits de vents enfin de personnes volantes. Tu te retournes alors. Tu as l’habitude avec Clark Kent et ses amis. Tu connais ce son. « Oliver, il y a supergirl devant toi ! », disait-il alors dans ton oreillette. « Ah bon ? Je n’avais pas remarqué ! », répondais-tu aussitôt avant de sourire à la jeune femme en jupette. Tu la connais peu. Tu l’as croisé après l’écroulement de Luthor Corp. Tu connais son cousin mais tu ignores un peu tout d’elle à part qu’elle était dotée de belles jambes. T’as vraiment un problème avec les jambes, mon gars. Elles te paraissent même familières ce soir. Pourquoi ? Aucunes idées. « Hey… Supergirl, je n’ai pas encore trouvé de surnom qui accroche, désolé... », disais-tu un peu abruti sur le coup mais ta voix était un peu floutée, masquée. Plutôt grave. Tu faisais toujours cela et surtout en public car les brigands sont autour de vous. Tu poses ton regard assombri par un masque mais tes yeux bleus encore finement perceptible vers l’oiseau volant. Tu n’avais cependant pas le temps d’en rajouter qu’elle… te mettait un des mecs à terre. Elle aurait pu s’en charger toute seule. « On ne refuse jamais un peu d’aide… je suis seul, ce soir ! », lui dis-tu, sentant bien que ses excuses étaient bateaux. En fait, t’as l’air plus intelligent en Green Arrow qu’en Oliver, non ? Tu sens bien qu’elle te cache un truc mais qu’importe. Elle fait ce qu’elle veut de sa vie privée. Tu lui souriais. « En premier lieu, on ramène la police chez eux enfin, on les fait évacuer bien entendu… », il n’y avait que Barry pour trouver le temps entre deux bagarres pour faire chauffeur uber. Pas toi. Non. « On les arrête et je m’occupe personnellement du comte… », lances-tu simplement d’un grognement. Oui, tu grognes car ce connard a gâché une partie de ta soirée et tes pâtes seront froides à ton retour, merde. Certes elles n’étaient pas nombreuses mais quand même. « Il faut en neutraliser le plus possible, je te laisse ceux de gauches, je prends ceux de droites ! », dis-tu d’un partage équitable. Après tu ne les as pas comptés. Tu te rends alors sur les lieux, tu tires une flèche explosive sur un paquet se trouvant à gauche afin de les neutraliser. Les flics s’éloignent de plus en plus. De toute façon, ils ont l’habitude de ne pas se mêler aux bagarres quand les justiciers sont dans le coin. Tu tires une flèche ou deux sur certains petits coquins qui veulent se faire la mâle dans leur cuisse. Ils tombent au sol comme des mouches. Tu t’occupes aussitôt des trois fées clochettes qui sont cachés derrière un camion mais cette fois avec un corps à corps. Tu continues de te battre puis tu reviens vers Supergirl. « Pas de pistes pour le comte vertigo ? », demandes-tu à l’oreillette tandis que tu poses ton regard vers la blondinette. « Il a empoissonné plusieurs jeunes dans une boite de nuit, ils sont soignés mais le comte doit vraiment être appréhendé. Il se fait la malle bien trop souvent… », disais-tu à la jeune femme. Tu ne savais pas si elle avait entendue parler de lui mais sa réputation le précédait.
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kara & oliver
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Tu arrives, tu es en train de te dire qu'heureusement que tu te maquilles que peu et que c'était toujours au naturel. Du coup, en mode Supergirl ou en mode Kara ça passe comme une lettre à la poste. Tu te poses et quand tu le salus, tu lui souris.  « Ah bon ? Je n’avais pas remarqué ! », Tu ne capte pas vraiment de quoi il parle sur le moment, mais rapidement tu te dis qu'il doit etre en communication, c'est logique après tout il n'a pas de super ouie et puis meme toi tu ne l'utilise pas souvent. « Hey… Supergirl, je n’ai pas encore trouvé de surnom qui accroche, désolé... » Tu souris alors, amusé mais tu ne réplique pas, tu veux juste aider, terminer ca au plus vite parce qu'il y a ton patron qui t'attend dans un restaurant italien chic ! Bon, c'est bizarre dit ainsi mais tu commencais vraiment à te détendre, tu passais une bonne soirée quoi ! Bon hormis le téléphone mais tu ne peux pas lui en vouloir. « On ne refuse jamais un peu d’aide… (...) Il faut en neutraliser le plus possible, je te laisse ceux de gauches, je prends ceux de droites ! » Très bien, ça ira vite alors ! Tu n'es pas Flash mais tu es quand même assez vive et rapide. Tu te lances donc, sans voler, tu marches jusqu'aux idiots qui gachent ta soirée. Pendant que Green Arrow s'occupe de son coté, toi tu ne prends pas longtemps pour choper, assomer, et ligoter les malfrats avec ce que tu trouves... Tu viens quand même t'attraper un panneau de signalisation pour t'en servir de cordes ou de menotte, tu sais pas trop. Mais au moins ils sont hors d'état de nuir ceux là. Quand Arrow revient vers toi tu tournes les yeux vers lui. « Pas de pistes pour le comte vertigo ? » Tu le laisse discuter avec son correspondant alors que tu passes les yeux aux rayons termique. C'est pratique quand même. Tu peux facilement le repérer ainsi et savoir exactement ou aller et comment l'avoir. « Il a empoissonné plusieurs jeunes dans une boite de nuit, ils sont soignés mais le comte doit vraiment être appréhendé. Il se fait la malle bien trop souvent… », Tu acquieces, tu ne connais pas vraiment ce type, enfin t'en as entendu parler évidement mais tu n'as jamais vraiment eu affaire à lui. Mais tu n'as pas le temps de parler, de plaisanter ou même de rester là pour mettre au sol les sous-fifres, t'as d'autres trucs à faire quand même ! Alors tu ne dis rien et tu files, aussi rapide que possible puisqu'il ne te faut même pas une minute pour l'attraper et l'assomer avant de revenir devant Arrow « C'est lui ? désolée, j'suis pressée.. enfin je veux dire qu'il faut pas laisser ce type en liberter quoi ! » Tu prends un sourire colgate, et tu lui adresse même un clin d'oeil alors que le pauvre compte.. enfin pas si pauvre il l'a bien cherché.. se retrouve aux pieds du héro de la ville. Le compte a une vilaine bosse sur la tête, t'as frappé au premier endroit possible pour le mettre au sol rapidement. et puis le principal c'est bien qu'il soit hors d'état de nuir non ? « Bon et bien... à plus ! » Et tu décolles déjà. T'as pas le temps quoi !

De retour au restaurant, tu t'es rechangé et tu repars discretement dans les toilettes pour dame pour te refaire une beauté. Tu arranges un peu la tenue en même temps, il ne faut pas qu'il s'appercoit que tu t'es changée, puis rechangée. Quand tu reviens dans la salle, un serveur t'interpelle « Vous allez bien ? Vous avez quitter la table brusquement.. » Tu lui souris « tout va bien je vous remercie. » Quand tu rejoinds ta table, Oliver n'est toujours pas revenue et tu commences à te dire que son soucis a l'entreprise doit etre vraiment urgent et important. Peut-etre que tu devrais partir et le laisser régler son soucis après tout ? Tu restes cependant a table et tu ne sais pas vraiment combien de temps tu attends avant de le revoir arriver. Tu souris, rassurée de voir qu'il revient tout de même. « Tout est arrangé ? » tu demandes simplement si son appel a été bénéfique, tu ne voudrais pas le retenir s'il doit partir après tout.
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kara & oliver
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Tu n'en revenais pas tout de même... Le comte Vertigo arrivait vraiment à envoyer balader tes rencards... Quand ce n'était pas avec Elijaah, c'était avec une de tes stagiaires. Mais tu ne voulais pas y penser. Tu t'en voulais déja assez, non ? Oui. Tu te haissais toi-même d'avoir été emmerdé le mauvais soir. Pour quoi tu passais ? Un enculé de premiére. Tu soupirais doucement à cette pensée. Pourquoi ? Tu étais seul. Oui, Supergirl avait pris la poudre d'escampette. Quelques secondes. Pas plus. Elle n'avait rien dit. Elle est commode la kryptonienne malgré le sunshine qui est de retour. Enfin, presque. Tu la vois revenir avec le comte. Ah oui, quand même. Si c'était aussi facile, tu pourrais prendre ta retraite en fait. Tu n'as pas de forces surhumaine. Tu n'as pas de super vitesse. Tu es de l'argent. Tu as des fléches. Tu as une cape. Et le must, le vert te va bien au teint. Ca ne te donne pas l'impression d'être le smiley qui vomit. Malaise quand même. Non mais voila, elle a l'air pressé. Tu arques un sourcil. Toi aussi aprés tout mais il fallait avouer que ça te frustrait. Tu voulais te défouler sur lui. Tu ne pouvais pas car devant les flics ? T'allais passer pour quoi ? Un tordu. Tu la regardais filer. Ah oui. Tu te rappelles cette histoire de courant d'air. Tu comprends mieux la blondinette car Supergirl, elle était pire que toi. Tu inspirais doucement, serrant son arc et tu rentrais simplement à la arrow cave. Croisant alors la fête foraine sur ton chemin. Tu as des idées. Oui. Tu veux te rattraper. Tu demandes même à Diggle un petit coup de main. Il te dit que pour chanter du disney, tu pourrais juste grogner comme une bête. Il a sûrement fumé en fait. Tu en rigoles. Tu léves les yeux et tu retournes au restaurant. A nouveau dans ton smoking. Cela ferait bizarre si tu venais dans ta combinaison verte. Normal quoi. Tu te sentais presque comme Madame Doubtfire au restaurant. Tu étais quand même un gars étrange pour avoir l'impression d'être un drag queen spécialisé dans les mamies. Non mais quand même, t'es tordu. Non mais c'est vrai que ce film t'avait toujours subjugué. Vive la motivation mais tu ne ferais pas pareil. Tu arrives alors, tu n'as pas la veste de ton smoking étant donné qu'elle était restée sur ta chaise. Autant dire que tu avais eu froid sur la route avec seulement ta chemise. Mais bon. Cela valait le coup. La chemise était noir, tu gardais un style assez classe qui te plaisait. Tu payais l'addition avant de la retrouver car tu vois, tu ne la faisais pas assez attendre à ton gout. Mais tu trouvais surtout cela plus galant de le faire en toute discrétion sans te vanter : azy, j'ai payé la note devant toi pour bien montrer que je suis un type bien. Non mais faire penser que tu pars sans payer, c'est mieux ? Ahah. Voleur de riche. Mais là ? Tu avais un plan pour te faire pardonner sans même savoir si tu en avais besoin. Comment ne pas en avoir besoin. Tu étais parti plus d'une demi-heure au moins. Tu ne saurais pas dire exactement mais c'était long tout de même. Tu lui souriais, gêné et tu t'installais. Elle semblait assez inquiéte. Et toi, tu te sentais frustré à la fois de ne pas avoir eu l'occasion de te défouler. Ces aliens quand même, trop efficaces. Tu inspires doucement en la regardant. "Oui et non, un contrat pour une nanopuce... Mais un concurrent l'a acheté à ma place. Rien de bien grave mais j'aurais bien aimé attraper ce contrat... au moins ça aurait été une meilleure raison pour être soudaine parti... Je me sens un peu... vraiment désolé !" disais-tu en regardant alors ton plat. Tu n'avais plus faim car cela devait être froid et puis la frustration aussi. En fait aprés une bagarre, tu avais faim en général mais de créme glacée. Ce qui peut expliquer le fait que tu en conserves des tonnes même si Artémis les mange toutes à ta place. Tu penches la tête en lui souriant. Tu lui tends alors la main. "Je compte bien me rattraper... Tu me fais confiance ?", demandais-tu alors en gardant un air sérieux mais mystérieux surtout. Encore une fois, tu réalisais avoir oublié ton oreillette. Pourquoi ? Diggle te disait qu'il te faisait confiance... en finissant par un ma bête. Devoir entendre des commentaires pendant que tu es occupé à garder ton sérieux, c'est difficile tout de même. Quand elle prenait ta main, tu te levais et tu allais vers la sortie. Tu allais discrétement gratter ton oreille pour retirer l'oreillette de ton haute main bien entendu qui déclenchait tout de même un bruit assez grissonnant et désagrable. Tu t'y prenais mal mais tu tentais de ne rien montrer. Tu la glissais dans ta poche. Une fois dehors, tu te rapprochais alors de ta moto. Tu prenais la casque en lui souriant. "Je n'en ai qu'un et même s'il sera un peu grand... Je pense qu'il t'ira bien !", tu dis ça en te rapprochant et tu lui tends alors. "Oui, Oliver Queen se balade en moto... Pas de chauffeur privé et je ne vole pas vraiment aussi !", lui disais-tu sans même savoir qu'elle volait mais c'était ta frustration face à Supergirl qui te faisait parler à vrai dire. Enfin celle qui residait encore depuis qu'elle t'avait ramenée le méchant sur un plateau. Rah. Tu allais t'en remettre. Tu ne lui en voulais pas. Elle t'avait fait gagner quelques douleurs aux côtes. Tu regardes alors la moto. "Tu n'as pas peur de la moto, j'espére... Worse than the total agony of being in love ?", cites-tu alors de Love Actually, tu rigoles doucement. Tu ne sais pas d'ou tu sors cela mais dans le fond, ça t'amuse de parler d'amour pour la perturber un peu. La taquiner. Tu ne tombes pas amoureux enfin pas encore... enfin tu crois. T'en sais rien. Ses joues rouges te plaisent mais... minute papillon. Mais tu as toujours aimé cette citation. Mais tu te souviens aussi de quand elle avait prise ta main. Tu te souviens de ce petit courant éléctrique que tu avais ressenti. Oui. Tu l'as ressenti. Tu avais été surpris surtout mais tu étais trop pressé pour t'en rendre compte surtout avec ce petit clown dans ton oreille. Tu avais tenté de rester normal. Tu avais trouvé ce geste si naturel mais c'était aussi un premier contact physique que tu n'avais pas vu venir, surtout son inquiétude face à ton spasme. Enfin. Tu avais trouvé ça adorable. Peut-être qu'une part de toi est plus charmé par elle que tu ne le pensais ? Punaise, tu te sens comme Christian Grey mais avec tes nuances de vert. Tu ne veux pas l'attacher et être tordu, non... Tu veux juste aller à la fête foraine avec elle. Tu trouves que cela pourrait être une bonne façon de passer une bonne soirée. Mais pour cela ? Faut monter sur la moto car tu ignores qu'elle vole. Cela serait plus rapide ? Oui enfin tu t'imagines assez mal faire le trajet en Kara Airline.
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Malgré cette petite absence rapide et efficace, tu as l'impression de l'attendre longtemps. Son coup de téléphone doit vraiment etre important pour qu'il passe autant de temps. Ne ferait-il pas mieux d'annuler cette soirée pour régler ses affaires ? Dans le fond, est-ce que tu le veux vraiment ? C'est ton patron certes, mais tu apprends vraiment à avoir une autre vision de lui durant cette soirée. C'est peut-etre juste un bon comédien et peut-etre qu'il abuse de ta gentillesse et de ta naiveté mais tu le penses pourtant sincère sur ce qu'il a pu te dire jusque là. Au final, tu arrête un peu de le voir comme un mec bourré de tunes, arrogant et sur de lui, celui qui pense avoir tout les droits, trop imbu de sa personne et égocentrique. S'il y a des choses que tu percistes à croire, il y en a d'autres qui se trouvent totalement effacées de ta vision des choses et remplacer par quelques qualités. Quand enfin il revient, tu souris, pourtant tu es tout de même inquiete, tu ne peux pas oublier ce spasme qu'il a eu. C'est annonciateur de crise cardiaque ? ou d'un malaise ? t'en sais rien. Tu aurais du faire médecine au lieu de faire biochimiste finalement. Ca aurait ete bien plus utile, même sur les champs de bataille. "Oui et non, (...) Je me sens un peu... vraiment désolé !" Il a l'air frustré et tu peux comprendre si un gros contrat lui est passé sous le nez finalement. Ca explique les traits de son visage un peu plus tendu depuis son retour. Tu espéres malgré tout que ça ne gachera pas son humeur et cette soirée. Parce que tu passais un bon moment jusqu'à ce qu'il s'absente et tu aimerais bien continuer a en apprendre d'avantage sur lui, les choses que les journalistes ne peuvent pas savoir. la véritable personnalité de ton patron. Il te tend la main, et tu le regardes avec surprise. "Je compte bien me rattraper... Tu me fais confiance ?" Pourtant, il y a quelque chose en lui qui t'inspire confiance et tu poses ta main dans la sienne. Tu le suis alors, tu supposes qu'il a déjà réglé la note parce qu'on ne vous aurait pas laissé partir ainsi, aussi facilement et avec des "bonne soirée" venant du personnel. Quand vous arrivez dehors, il se stoppe devant une moto. Vraiment ? Il attrape un casque qu'il te tend. "Je n'en ai qu'un et même s'il sera un peu grand... Je pense qu'il t'ira bien !" Tu le regardes, tu essaies de voir s'il plaisante. Non pas que tu ais peur de la vitesse, au contraire, mais tu te dis surtout que tu n'es pas dans une tenue adéquate. "Oui, Oliver Queen se balade en moto... Pas de chauffeur privé et je ne vole pas vraiment aussi !" Tu souris, amusée, même si tu ne comprends pas vraiment pourquoi il parle de voler. Toi tu peux, mais tu te vois mal le lui dire, c'est pas vraiment une chose que l'on dit comme ca.  "Tu n'as pas peur de la moto, j'espére... Worse than the total agony of being in love ?" Heu, non tu n'as pas peur de la moto même si tu n'en as jamais fait, mais là, il vient bien de citer du love actualy non ? le film d'amour ? Tu rougis instentanément, une fois encore tu as les joues totalement rouge rien que pour ça. Tu prends enfin le casque sans rien ajouter pour le mettre sur ta tête. Tu fais super attention a tes lunettes, ta coiffure tu t'en moque, mais il ne faut pas que tes lunettes tombes de ton visage sinon tu es sur qu'il y aura un grand moment de gêne et de solitude. Tu ne perds pas de temps, voilà que tu grimpes sur la moto en premier, mais t'as oublier ta robe et celle-ci remonte alors un peu plus. Tu tentes de la maintenir à la bonne taille mais c'est gênant. Heureusement que le casque evite de montrer ta gêne croissante. Tu patientes et quand il grimpe à son tour, tu as un petit moment d'hésitation. Tu dois passer tes bras autour de lui là, non ? Tu plisses les yeux, il ne te voit pas après tout, et tu passes tes bras autour de lui pour te serrer dans son dos.Jamais tu n'aurais imaginer enlacer ton patron ce soir ni même un autre soir. et encore moins de cette façon. Tu le laisses alors mettre le contact, la moto vrombit et vous voilà partie. La vitesse ne te fais pas peur pourtant la sensation est vraiment sympa, moins bien que d'avoir les cheveux au vent mais c'est tout de même génial dans le fond. Quand vous arrivez sur place, tu descends après lui, tu retires ton casque en faisant une fois de plus attention à tes lunettes puis tu tournes les yeux vers l'endroit ou il s'est arrêté. « une fête forraine.. » et là, sur tes lèvres se posent un magnifique sourire tout comme les yeux qui pétillent. Tu n'as jamais vraiment participer a ce genre de chose sur Terre, pourtant sur Krypton tu te souviens des jeux durant les fêtes, c'était un peu le même principe, et ca te rappel des souvenirs que tu pensais oublier. Tu as un petit air nostalgique mais tu te reprends bien vite, te surprenant même a venir embrasser la joue d'Oliver pour le remercier et tu attrapes sa main, tu retombes en enfance en quelques secondes à peine, le tirant avec toi pour entrer dans l'ambiance festive. Non, finalement Conner avait raison, tu profites de ta soirée et tu sens que ca sera vraiment une belle soirée.


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MessageSujet: Re: (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.   (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche. EmptyMar 30 Jan - 13:45

kara & oliver
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des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

Non mais, tu te dis vraiment qu'elle va te rendre dingue à rougir. Tu imagines même ne pas tenir longtemps avant de vouloir lui voler un baiser. Non mais rien que cette pensée te trouble. T'es sérieux ? Non mais quand même. C'est à ce point que ses joues roses t'attirent ? C'est même plus rose, c'est rouge. Assorti à ta cravate et sa robe bien courte. Maintenant, elle n'est plus assise. Tu n'avais non plus pas pensé à l'idée de la moto et d'une robe. Tu ne pensais plus vraiment à ce genre de détail. Tu es un homme aprés tout, tu n'as jamais ce soucis. Bah ça arrive rarement que tu te balades en robe. Madame Doubtfire ou pas. Mais... tu t'en rends bien vite compte en la voyant s'installer sur la moto. Tu repenses rapidement à Hal et Elijaah. Tu secoues la tête pour tenter en vain de retrouver tes pensées. Tu remontes le regard vers le casque avant de la rejoindre. Alors en plus, vous êtes collés et serrés. Punaise, t'avais jamais été aussi proche d'elle. T'avais jamais été proche d'elle tout court. Tu trouves même qu'elle est sûrement le genre de femme à ne pas être aussi vite proche des hommes. Une sensation. Elle n'a rien d'une allumeuse déja et elle est timide. Tu ne serais pas surpris qu'elle soit rouge sous le casque et tu aimes cette sensation mine de rien. Tu tentes vraiment de te concentrer sur la route mais c'est tout de même assez... enfin cela te déconcentre quand même au point ou tu loupes un feu rouge mais qu'importe. Tu finis par t'arrêter. Tu espéres qu'elle aime les fêtes foraines car sinon ? T'es dans la merde, mon gars. Tu te dis que tout le monde aime les fêtes foraines. Enfin presque, tu descends alors de la moto. Ton regard se posant sur la robe par accident. Mon dieu, elle a encore monté. Tu te pinces les lévres en levant les yeux pour éviter de regarder puis... voila qu'elle semble citer le lieu ou vous êtes. Elle... t'embrasse sur la joue. Elle est sérieuse ? Punaise, c'est toi qui rougit cette fois. Tu ne l'avais pas vu venir. Ouais, mec. Tu rougis. Fais gaffe à ta virilité quand même. Tu ne rougis pas énormement. Juste un peu. Pas intensement. Cela ne se voit sûrement même pas. Tu as juste ressenti une chaleur soudaine. Surpris, surtout. Tu tournais alors ton regard vers elle. "Je pense que cela veut dire que je suis pardonné... J'aurais quand même à chanter une chanson ?", demandais-tu alors en riant doucement. Tu avais prévu un petit truc dans le genre mais tu ne voulais pas te presser. La soirée n'est pas terminée. Tu te laissais donc tirer tout en ayant dit ces mots. Tu t'arrêtais simplement devant un stand de tir à fléche. T'étais chaud boulette. Tu savais que tu allais t'en sortir avec brio. Oui, vraiment. "Tu veux une peluche ? Parait que je suis doué enfin, je crois...", tu l'attirais alors vers le stand. Tu retirais ta veste pour être plus à l'aise. Tu es un perfectionniste aprés tout, même un pro. Tu ne penses pas vraiment à ta couverture sur le coup. Enfin si... tu devrais peut-être manquer une cible. Tu tentes pour le premier coup. Vraiment. Tu tentes de te concentrer. Vraiment. Tu tentes quoi, t'es à fond dans la concentration. Tu veux rater mais tu réussi... Génial. Tu continues. Tu dois en tirer 5 sans fautes pour avoir la plus grosse peluche. Tu en tires 4. Puis... tu te concentres tellement qu'il fallait qu'elle te déconcentre. Tu tentais déja d'éteindre l'homme et ses envies en toi qu'elle te massait. Mince, tu voulais pas rater la cible. Pourtant ouais, t'as raté la cible pour la premiére fois de ta vie. "Mince...", dis-tu en contenant au mieux possible l'égo qui est en toi. Tu ne veux pas vraiment qu'on remarque que tu sais.... tu es le meilleur archer. Mais elle t'a touchée... "Je voulais vraiment marquer le gros lot, je suis désolé...", dis-tu en mode bon perdant mais en fait pas du tout. Non, t'avais perdu et tu en bavais. Au moins, t'arrêtais pendant 5 secondes de baver sur ta stagiaire. Espéce de pervers. "Je te laisse choisir ton petit cadeau !", dis-tu en souriant tandis que tu déposes à ton tour un baiser sur sa joue. La vengeance. Mais tu clotures ce baiser par un clin d'oeil. Oui, c'est ton truc, ça. Les clins d'oeil. Tu la laisses donc choisir sa peluche tout en payant le forain.

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MessageSujet: Re: (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.   (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche. EmptyMar 30 Jan - 14:20

kara & oliver
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"Je pense que cela veut dire que je suis pardonné... J'aurais quand même à chanter une chanson ?" Tu ricanes pour finalement lui lancer « evidement ! c'est trop tard pour reculer » tu ris joyeusement, tu te sens vraiment bien là, détendu et plus du tout aussi nerveuse qu'au debut. Conner avait raison, faut juste profiter et ne pas rester parano. Tu verras bien comment la soirée se terminera et si tu n'es qu'un amusement, et bien tu te seras tout de même bien amusée ce soir. La fête forraine, il pouvait surement pas faire mieux, faut une usine de patisseries mais n'exagèrons pas. "Tu veux une peluche ? Parait que je suis doué enfin, je crois..." Une peluche ? Oh chouette ! Tu le suis alors jusqu'au stand, tu restes même sagement a coté à le regarder faire. Il ne rate aucune fleche et tu es vraiment surprise de son agilité, il pourrait même faire de l'ombre a Robin l'écolo à ce niveau là. Tu veux pourtant faire quelque chose, tu ne sais pas trop comment, l'encourager ? Oui pourquoi pas, alors tu approches et tu finis par poser tes mains sur ses épaules pour lui faire un léger massage. Un peu comme les managers de boxeur, tu lui donnes même un petit mot d'encouragement « vous pouvez le faire ! » Il finit par tirer une fois que tu l'as relacher et il rate. Le forrain est rassuré soudainement et toi tu souris, parce que tu t'en moques finalement de ne pas avoir la peluche géante, tu as passé un bon moment et ça te suffit amplement.  "Mince..." Tu n'es pas triste, au contraire t'es même impressionner de ce qu'il vient de faire. "Je voulais vraiment marquer le gros lot, je suis désolé..." Il a vraiment l'air de s'en vouloir en plus, pourquoi ? Toi, t'es plutot ravie et puis il a quand même mis quatre fléches sur cinq quoi !  "Je te laisse choisir ton petit cadeau !" Tu acquiesces et tu te figes totalement quand il vient déposer un baiser sur ta joue. Tu ecarquille les yeux et tes joues ne peuvent pas être aussi rouge que cela, tu as atteind le niveau ultime du rougissage. Tu souris, un peu niaisement sur le moment alors que tu réclames ton lot au forrain. Tu choisis finalement un coussin en forme de cupcake, au final il est parfait ce cadeau, réussissant ta passion pour les patisseries et pour les peluches. Tu rejoinds alors Oliver, reprenant la marche à sa hauteur pour finalement répondre « merci.. et j'adore ce lot.. Vous etes vraiment doué, vous pourriez rivaliser avec Green Arrow à ce rythme là ! » Tu souris, pour toi c'est un vrai compliment parce que tu connais les talents de L'écolo pour l'arc et les fléches. Pourtant t'as l'impression qu'il n'apprecie pas ton compliment et tu te reprends, bafouillant même un peu « heu pardon.. c'était un compliment.. enfin.. je pensais que vous l'appréciez comme quasiment tout le monde de cette ville... enfin pardon... en plus j'suis sur qu'il doit avoir la grosse tête ! » Tu tentes vraiment de te reprendre, mais tu ne sais pas que tu mets les pieds dans le plat encore plus profondement. « enfin je crois.. je ne le connais pas.. » Tu hausses les épaules, tu tentes vraiment d'etre crédible quoi. Tu continues de marcher jusqu'à voir un stand qui t'interesse. « venez.. je vais vous avoir un lot pour vous remonter le moral ! » Tu attrapes de nouveau sa main, ça en devient presque une habitude maintenant et vous vous stoppez devant le stand du chamboule tout. Bon, c'est simple, il faut faire tomber les conserves, et si tu mesures bien ta force tu n'auras pas détruit le stand. Tu lui souris alors, le forrain se moque déjà un peu, ça se voit a son sourire. « la petite dame veut essayer ? faut frapper fort, ca ira ? » Tu prends une petite moue et tu souris encore grandement. Tu lui fais signe de te donner les balles puis tu montres la peluche géante « il faut faire quoi pour l'avoir ? » « Ho Mademoiselle a de l'ambition ! Il faut faire tomber les boites trois fois de suite, d'un seul coup. » Tu acquieces alors, attrapant alors la première balle en mousse. Frapper fort mais pas trop. Tu lances un regard vers Oliver, puis tu te concentres a ton tour. T'es sur que le forrain pense que tu n'y arriveras pas ! Tu tires la première balle et tout tombe directement. Parfaitement ciblé, parfaitement excécuté ! tu souris en coin, un peu comme après une victoire.. ce qui est le cas. Et de un ! Tu te décalles pour avoir accès au second plateau de conserves et tu fais la même chose. Toutes les boites sont au sol. Et tu passe enfin au troisieme. Tu y vas doucement, t'as ciblé la force qu'il te faut et tu finis par tout faire tomber. Le forrain tire une tête d'enfer et toi tu sautilles sur place « j'ai réussi !!!! j'ai eu la grosse peluche ! faut pas sous estimer les femmes ! » on dirait une gamine là, t'es en mode hystérique alors que tu savais parfaitement que tu aurais reussis. D'ailleurs t'y pense, tu aurais peut etre du faire semblant de ne pas etre douée non ? En faisant la tête, le forrain met dans tes bras le gros nounours géant que tu finis par tendre à Oliver. « cadeau »

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kara & oliver
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Ton égo était descendu, vraiment. T'avais eu mal, là. Bon d'accord, tu sais que tu restes tout de même le meilleur archer mais aprés la robe, le collé-serré sur la moto et tout ça... T'avais un peu de mal à gérer un massage. Trop tôt. Tu n'étais pas encore assez descendu de ses montagnes russes. Tu dragues beaucoup enfin non, tu charmes mais depuis Dinah, tu étais resté sage. Pas de femmes. T'avais pas le temps en fait. C'est pour ça que tu te demandais si tu aurais le temps. Tu te dis que c'était la faute du soleil. Voila. Il était parti et t'avais laissé avec une ville sans dessus et dessous. Oui, une ville à poil quoi. Tu tournais le regard vers elle une fois qu'elle avait sa peluche. Tout content au final qu'elle semble heureuse. Au moins, c'était déja ça. Tu reprenais même petit à petit des couleurs. Elle te remercie mais... ton sourire se dissipe. Tu arques alors un sourcil en faisant une moue. Bah, tu voulais pas le montrer mais sur le coup... Tu ne saurais même pas vraiment dire comment tu le prenais. Enfin... Cela te faisait bizarre. Cela te faisait peur. Si elle réalisait ? Elle allait sûrement partir en courant. Tu n'étas pas discret mais tu ne l'avais pas senti venir. Pourtant tu aurais dû. Ce n'était pas comme si tu venais de gagner une peluche pour elle en tirant des fléches. Lui, il ne raterait pas car les jolies filles ne le massent pas pendant qu'il tenté de sauver la ville. Enfin... pas encore. Elle bafouille et tentent de se rattraper. Tu trouves ça attendrissant. Tu laisses un petit rire t'échapper avec un sourire timide sur le coup. Puis tu arques à nouveau un sourcil quand t'entends qu'il a prit la grosse tête. Bah merveilleux, de mieux en mieux. Non mais tu changeais d'émotions à toutes les secondes. Mais ton sourire n'échappait pas. Elle était adorable à bafouiller comme ça. Par contre, un lot. Tu fronces les deux sourcils cette fos. Elle va vraiment réussir ? Oui, tu en doutes mais tu sais que les femmes peuvent être surprenantes. Tu en as rencontré beaucoup même sans pouvoirs qui pourraient gagner un gros lot. Elle attrape ta main, c'est bizarre... tu te sens presque réconforté rien qu'avec ce geste simple. Tu en rigoles quand le forain la titille. Tu le payes même alors qu'elle tente de se concentrer enfin... elle ne semble pas en avoir besoin. Tu tentais à peine le billet qu'elle faisait son show. T'en restais un peu bouche-bée à vrai dire. Tu posais ton regard sur le forain et tu haussais simplement les épaules. Tu adorais cependant la tête du forain mais la tienne n'était pas mieux. T'en prenais encore un coup même si t'étais à la fois vraiment fiere d'elle. Cela faisait juste un peu beaucoup en quelques minutes. Si John entend, il doit bien rigoler dans la Arrow Cave. Il n'a sûrement pas de vie pour écouter ton rencard avec des popcorns. Et puis elle te tendit l'énorme peluche. Un énorme nounours. "Hummm... merci, je pense que c'est la premiére fois qu'on m'offre un nounours lors d'un... rendez-vous !", disais-tu un peu, chamboulé enfin ton égo était chamboulé mais tu finissais par rire. "Si tu n'étais pas vraiment attendrissante, je pourrais vraiment me vexer... enfin l'homme en moi.", tu levais les yeux. Tu faisais une petite déclaration à ta façon. Tu lui souris. Tu la regardes en prenant le nounours sous ton épaule. Tu vas naturellement chercher sa main. Pire... Tu entrelaces même tes doigts avec les siens. Un geste différent qu'une simple main dans la main. tu ne sais pas trop, ce fut presque un réflexe. Toi, tu sais que c'est différent mais elle ? Tu n'en sais rien. Tu ne sais même pas si elle se rend compte qu'elle te fait de l'effet. Cela te semble maladroit ou alors elle a vraiment oubliée que tu étais son boss. Tu ne vas pas t'en plaindre mais pendant ce temps, tu prends vraiment sur toi. Et puis tu es galant. Tu ne vas rien tenter sauf si elle le tente. Non mais tant qu'elle ne t'embrasse pas sans faire exprés. "Tu as encore faim ?" demandais-tu en montrant alors le stand de sucreries. Barbe à papa, Pommes d'amour, beignets... et même des sucettes. Il y avait pour tous les gouts. Vraiment. "Je devrais appeler mon chauffeur pour plus tard car sur une moto... au pire le nounours rentrera en moto...", ahah ! T'imagines tellement un nounours au volant de ta moto. Cela serait so badboy pour teddybear. "Je devrais lui mettre un blouson de rockeur pour faire plus viril !", lâchais-tu en riant doucement.

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kara & oliver
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Tu lui tends la peluche, qu'il finit par prendre et tu souris, contente et fière de ton lot. Pourtant tu n'as jamais douté une seconde de tes capacités et tu aurais peut etre du viser moins gros ? tant pis, ce qui est fait, est fait ! Quand tu regardes Oliver, tu ne t'attendais pas à voir ce genre de visage, mais rapidement il répond. "Hummm... merci, je pense que c'est la premiére fois qu'on m'offre un nounours lors d'un... rendez-vous !" Tu souris un peu, c'est vrai que vous etes en rendez vous, et que dans la logique ce n'est pas à la demoiselle d'offrir une peluche mais bien l'inverse. Mais franchement tu t'en moque de la logique ce soir parce que dans ta tête plus rien ne semble logique.  "Si tu n'étais pas vraiment attendrissante, je pourrais vraiment me vexer... enfin l'homme en moi." Voilà que le rouge arrive de nouveau sur tes joues, il a le don de te faire rougir c'est dingue quand même. Il attrape ta main, c'est un geste que tu apprecies, t'en oublie vraiment que c'est ton patron et qu'on pourrait vous voir, que demain tu pourrais etre la rumeur numéro une mais là, vraiment tu t'en fiche. Pourtant ça te fait peur tout cela, se rapprochement qui se fait bien trop vite, c'est la première fois que ça t'arrive. tu as déjà eu des flirtes, même sur Krypton mais tu n'as jamais eu de relation avec qui que ce soit, t'en as jamais eu le temps : entre ton entrainement, les amazones, les vilains et la disparition du soleil. C'était pas forcement ta priorité. Mais cette fois c'est différent parce qu'il ne fait pas que prendre ta main, il enlace aussi tes doigts aux siens. Tu as un petit moment d'hésitation. Votre histoire a de l'avenir ? Absoluement pas. T'es supergirl, tu ne sais même pas s'il pourrait l'accepter, s'il serait capable de garder le secret ou simplement de se faire à l'idée que tu es une alien. Ca va vite et pourtant ça te plait, t'as l'impression d'etre une vrai terrienne pour une fois. Ton coeur s'est un peu affolé, trop d'émotions finalement. "Tu as encore faim ?" ca te fait sortir de tes pensées, suffit qu'on parle de bouffe pour que tu te réveilles en fait. Il te montre le stand de sucrerie, il y en a pour tout les gouts. Mais ton choix c'est déjà poser sur les pommes d'amour, tu pourrais presque baver dessus quoi. "Je devrais appeler mon chauffeur pour plus tard car sur une moto... au pire le nounours rentrera en moto..." Tu reposes tes yeux sur lui en souriant, amusée. C'est vrai que vous etes venue en moto, ca va etre délicat avec un coussin cupcake et une peluche géante tout de même. "Je devrais lui mettre un blouson de rockeur pour faire plus viril !" Tu ris, doucement, parce que tu imagines tellement la veste de cuir sur la peluche que tu trouves ça amusant. t'es pathétique, à la base tu es naive et timide, maladroite aussi mais pas aussi niaise. Mais tu sais pas, tu ne pensais pas avoir cette attirance pour ton patron avant ce soir. « je suis certaine que ça lui irait bien.. il faudra lui donner un nom ! » Oui, donner un nom a la peluche, c'est naturel chez toi ! Tu lui souris, ta main toujours dans la sienne alors que tu lui remontre le stand de friandise mais cette fois, tu prends ton petit air de fille autoritaire, sauf que tu es bien plus mignon que terrifiante là. « C'est moi qui vous invite cette fois ! Je vous ai vu payé le forrain tout a l'heure ! donc c'est moi qui vous invite ! » Tu ne lui laisse pas le choix, tu t'avances vers le stand sans pour autant lacher sa main ou même desserrer tes doigts des siens. « Bonjour, je vais vous prendre une pomme d'amour, cinq sucettes, deux paquets de popcorn caramel, un paquet de popcorn salé. deux paquets de nougat blanc, trois paquets de nougat aux amandes, et trois barres de nougatine de sesame.. Ho et aussi un cable de reglisse. Et toi tu veux quoi ? » parce que oui, tout ça là, c'est juste pour toi. Hey, tu viens de le tutoyé ! Tu ne t'en ai meme pas rendu compte, c'est venue comme ça, naturellement, peut etre parce que tu es main dans la main avec lui actuellement ? T'es trop mignonne, et ça te serre dans la poitrine quand tu le regardes. Conner avait raison, il est attirant pour les standarts humains.. mais visiblement pour l'avis kryptonnien aussi. Tu rougis en baissant les yeux, pourquoi tu le regarde comme ça d'ailleurs ? faut que tu te reprennes un peu !

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kara & oliver
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Tu te sens étrange. Aussi loin que tu ne t’en souvienne, tu n’as jamais vraiment eu une soirée comme celle-ci. Une soirée normale mais surtout comme un homme normal. Par contre, tu te sentais aussi moins PDG, moins sérieux et cela te faisait du bien. Un vrai bien. Tu pouvais te lâcher. Vraiment. Cela t’arrivait mais rarement ainsi. Etre avec cette jeune femme te faisait du bien même si elle tuait totalement ton ego de male. Tu ne voulais pas t’en vexer. Au contraire, tu te satisfaisais de ses joues rosées comme d’une victoire. Tu ignorais si c’était vraiment sur la même longueur d’onde que vous étiez car tu ignorais toi-même sur quelle onde tu étais. Tu arrêtais un peu d’y penser car cela allait bien. Oui, cela se passait bien alors pourquoi gâcher tout avec un stupide cerveau ? Cette fois, c’est bien un cerveau dont tu parles. Tu riais quand elle parlait de lui donner un nom. « Cela ne risque pas de faire de nous des parents d’une peluche ? On se connait a peine, c’est trop tôt pour l'adoption. », lui disais-tu avant de sourire. Tu ne prenais pas peur, tu savais qu’elle ne devait pas penser à cela et toi tu n’y penses pas non plus. Tu t’occupes déjà de titans alors d’un enfant ? Oui mais non. Tu te contentais de lui proposer de manger. Son petit air autoritaire ne te faisait pas peur. Tu hochais juste la tête pour lui faire plaisir car tu savais que tu payais son salaire, tu pourras clairement lui rendre cet argent sans même attendre son avis. Tu aurais le dernier mot. Tu voulais lui faire plaisir mais pour toi, c’est l’homme qui paie. Pas de fifty et fifty. No way. Ce n’est clairement pas ton style puis tu as l’argent donc autant lui faire plaisir. Tu remarques pourtant qu’elle ne fuit pas en courant à vos doigts entrelacer. Bon signe ? Au final, peut-être que tu pourrais courir par ce que tu te sens bien et tu as peur que cela ne puisse aller plus loin pour bien des raisons. La première ? Non pas des moindres. Green Arrow. La seconde ? Le temps. La dernière ? Tu la mérites ? Surement pas. Puis tu ignores si elle en a envie en plus. Elle est peut-être juste tactile ? Elle a massée son patron quand même. La triche pour gagner ? Tu aurais clairement pu méditer a ce sujet mais c’était avant qu’elle n’énumère 75% des friandises a la carte pour son dessert. Tu arquais un sourcil, assez surpris. Tu la regardais terminer. En fait, tu ne savais pas quoi dire a part demander ou elle pourrait mettre tout cela. Non mais sérieux, elle est toute fine. Tu trouves ca irrésistible en plus. Non mais elle te tutoie en plus. Et ce regard. Tu en oubliais sa commande et tu en oubliais la tienne aussi. Tu posais alors un de tes doigts sous son menton pour relever son regard vers toi. Tes yeux bleus se plongeant dans les siens. Tu avais envie de l’embrasser, oui. Mais tu avais encore moins envie de te faire gifler donc tu n’allais pas le faire. Tu la respectes et c’est ainsi. Tu n’es pas ainsi, tu as surtout peur qu’elle fonde dans tes bras. « Ne te cache surtout pas quand tu rougies, cela me donne juste envie de t’embrasser et c’est une agréable sensation. Cela te rend adorable voir même irrésistible. Tu l’ignores peut-être mais c’est très efficace surtout que j'ignore comment tu vas tout manger. Cela serait du gâchis de détourner le regard, tu as de jolis yeux. », et bim. Tu n’y allais pas de main morte. Le ton langoureux, séducteur et surtout confiant. Tu avais de l’assurance. Tu ne l’avais pas quittée du regard. Tu avais soutenu le sien. Tu te contentais de caresser sa main dans la tienne avec ton pouce, hésitant à faire de même sur sa joue. Mais ce fichu forain toussotait. Tu tournais a peine le regard vers lui. « Une pomme d’amour, simplement. », lui disais-tu avant de reposer ton attention sur la jolie blonde qui était face a toi. Pas loin de 10 centimètres entre vous deux. Tu reculais doucement pour ne pas la brusquer. « Je n’ai pas été totalement franc avec toi, j’ai bien un membre de ma famille en vie… mais je n’en ai jamais parle ou du moins pas a tout le monde. J’ai appris il y a 10 ans que mon père avait eu une fille lors d’une relation extra-conjugale. J’ai une demi-sœur donc tout le monde ignore encore l’existence. Je ne veux pas encore entacher la réputation de mon père. C’est bête pourtant car il a trompe ma mère. », disais-tu avant de doucement baisser le regard. Tu étais toujours hésitant a en parler car c’est un sujet délicat après tout. C’est une sorte de secret de famille que tu ne voulais pas divulguer trop rapidement. D’une étrange façon, tu voulais lui faire confiance. Tu voulais aussi t’ouvrir à elle. C’est rare chez toi mais pour une fois ? Tu voulais faire les choses autrement. « J’essaye de la retrouver, elle aurait été kidnappée à la naissance… je connais juste son prénom … Mais il peut être totalement différent mais voila, c’est une confession délicate. J'espère que tu ne men veux pas de ne pas en avoir parle plus tôt. », disais-tu en lui souriant tout doucement. Au moins, c’était un secret que je pouvais lui confier.

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MessageSujet: Re: (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.   (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche. EmptyMar 30 Jan - 20:23

kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

Tu lui donne cette peluche, que tu as fierement gagné et tu lui indique qu'il va devoir la baptiser, lui donner un prénom. « Cela ne risque pas de faire de nous des parents d’une peluche ? On se connait a peine, c’est trop tôt pour l'adoption. » Tu ris, doucement, amusée tout de même par cette blague. Après tout c'etait presque pareil, sauf que là, ce n'est pas un petit chien mais une peluche. Tu l'entraine au stand des friandises en précisant que tu l'invite. hors de question qu'il paie tout, certes il est très galant et bourré de fric mais ce n'est pas une raison pour le laisser tout payer, c'est ta vision des choses. Tu parles au forrain, lui donnant la liste de ce que tu veux mais tu ne vois pas vraiment la tête d'Oliver, pas avant de lui demander ce qu'il veut. tu te dis qu'il va peut etre te prendre pour un ogre vu la longueur de la liste. Tu aurais pu simplement prendre une friandise pour ce soir, mais non tu en as pris pour un régimant, sauf que le régimant ne contient que toi et que tu n'es même pas sur que ça durera plus de deux jours tout ca. Tu rougis quand tu t'en rend compte, baissant même les yeux, un peu honteuse finalement mais tu es surprise, quand il s'approche et que son index se pose sur ton menton pour le redresser, pour que tes prunelles soient capturées par les siennes et que tu en perds le souffle. Il fait quoi là ? Pourquoi il se rapproche comme ça ? Pourtant il ne fait rien de tout cela. « Ne te cache surtout pas quand tu rougies, cela me donne juste envie de t’embrasser et c’est une agréable sensation. (..) Cela serait du gâchis de détourner le regard, tu as de jolis yeux. » Tu ravales ta salive en l'ecoutant. Il a envie de t'embrasser.. c'est ça qu'il a dit non ? Tu ne sais pas trop comment gérer, tu dois faire quoi ? Juste attendre, paniquer ou le devancer ? T'en sais rien et puis tu vas pas envoyé un message à ton cousin pour savoir si oui ou non tu dois embrasser le type avec qui tu as un rencard quand même ! Bon Kara, reste calme ! Il soutient ton regard, son pouce caresse le dos de ta main et toi t'as l'impression d'avoir actuellement seize ans comme dans les séries que tu peux regarder depuis que tu es sur cette planète. Pourtant vous etes interrompu par le forrain qui toussotte, vous ramenant un peu à la réalité. « Une pomme d’amour, simplement. », Qu'il finit par dire. Le forrain met alors la commande et tes friandises dans un sachet qu'il te tends ensuite. Sauf que tu es absorbé par ses yeux. Bordel c'est pire que de la kryptonite en fait ! Ses yeux sont en kryptonite peut etre ! Non mais Kara tu imagines n'importe quoi là. Il finit cependant par reculer, t'es presque décue mais tu n'en montre rien. Au final, s'il t'avait embrasser tu aurais surement paniquer, pourtant, est-ce que tu aurais été contre ? t'en sais trop rien. « Je n’ai pas été totalement franc avec toi, (..) C’est bête pourtant car il a trompe ma mère. », Tu es surprise par cette confidence. Alors il a une demie-soeur ? Tu peux comprendre qu'il n'en parle pas et tu es touchée qu'il t'en fasse part finalement. Est-ce qu'il te fait confiance ou est-ce que c'est une connerie pour savoir si tu vas le répéter ? Non, il a l'air sincère en tout cas. « J’essaye de la retrouver, elle aurait été kidnappée à la naissance… je connais juste son prénom … Mais il peut être totalement différent mais voila, c’est une confession délicate. J'espère que tu ne men veux pas de ne pas en avoir parle plus tôt. » Tu souris alors, avec douceur et tu approches pour glisser ta main libre sur sa joue et déposer un baiser sur cette même joue. Tu recules alors et tu finis par lui répondre « je suis touchée par cette confession et je peux comprendre. je suis sur que tu l'as retrouvera. » Tu souris, mais une fois de plus c'est le forrain qui te ramène sur terre. Tu attrapes le sac après avoir relacher sa joue et tu finis par, à regret, lacher sa main et t'éloigner de lui pour régler tes achats. Tu en reviens ensuite à lui, souriant doucement et lui tendant sa pomme d'amour, prenant la tienne par la même occasion. « Je peux manger tout ce que je veux sans prendre un gramme.» Que tu finis par dire, pour répondre a sa question, ou tu mets tout ce que tu manges. Parce qu'il ne la pas dit mais c'était gros comme une maison quand il a vu la liste de tes achats. Tu reprends un peu la marche mais tu lui montres des tables de pique nique disposé pour l'occasion. Tu viens poser ta peluche cupcake dessus, ainsi que ton sachet de sucreries. « Puisque tu m'as faite une confession.. je vais en faire une aussi.. hm..» Bon il faut que tu refléchisses. Tu vas éviter de lui dire que tu es une alien. que tu as des super pouvoirs. et que ton cousin c'est superman. Ouaip, tu vas éviter de lui dire tout ça. « je passe vraiment une agréable soirée. » Tu lui souris, sincère, c'est pas vraiment une confession mais c'est tout ce que tu as trouver actuellement. « et tu me dois toujours une chanson de disney! » Que tu ajoutes en riant, le taquinant même.



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kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

Est-ce que tu devrais l’embrasser, non. Tu pourrais ? Tu n’en sais rien. Tu as l’impression qu’elle ne te giflerait pas au regard qu’elle pose sur toi mais non. Tu ne le feras pas. Non seulement car tu es prudent mais aussi pour faire trainer l’envie. Tu es ainsi, tu peux te contenir. A quoi bon se presser. Tu as été franc et tu lui as dis. Voila. Il ne reste plus qu’a attendre. J’attend alors. Un sourire triompheur tout de même, elle sentait prise au dépourvu. Bon d’accord, ton sourire était bien intérieur pour éviter de passer pour un connard séducteur pas franc. Car tu étais franc. Toi-même, tu te perturbais d’avoir déjà autant envie de passer des limites. Et tu en avais ? Oui, tu restes le patron et tu sais que ce n’est pas une bonne idée en général. Dans le fond, vous n’êtes pas au même étage. Vous vous croisez, simplement. Tu en connais zéro sur la chimie. Tu ne peux pas vraiment déranger son travail de ce fait. Tu payes juste le salaire. C’est tout. Tu comptais bien payer ses friandises sur la feuille de salaire. Pas plus, juste les friandises. Tu n’allais pas lui donner une augmentation, ce n’est pas éthique. Et tu lui confies un petit secret sur ta vie, tu n’en dis pas plus. Tu évites les détails lies a Starfish Island. Tu devras surtout encore mentir pour expliquer comment tu es rentré vivant d’une ile corrompue par des dealers asiatiques avec tes deux jambes et un arc à flèches… Tu dis le principal en espérant qu’elle ne t’en tienne pas rigueur. Ce genre de secrets n’est pas vraiment facile a conserver mais reste le plus facile a dire comparé aux autres. Tu espères retrouver la trace d’Emiko, un jour. Tu la regardes alors… sans t’attendre a ce qu’elle ne pose une main douce sur ta joue. Mon dieu, elle devrait éviter si elle ne veut pas que tu deviennes tout feu, tout flamme. Tu te contentes de sourire a ce geste. Tu ne t’y attendais tellement pas. Te rendait-elle la monnaie de ta pièce après avoir parlé de l’embrasser mais ne pas le faire. No ideas. Peut-être voulait-elle te tenter a le faire ? Qu’importe, cela ne fonctionnait pas encore. Tu recevais même un baiser sur la joue, mais c’est meugnon. Tu souris comme un idiot. Amusé. Tu laissais alors la jeune femme reculer. Tu la regardais payer en pensant qu’elle devait réellement imaginer gagner la galanterie de monsieur Queen. Pas du tout. Tu gagnais. Tu riais de plus belle, tout en prenant ta pomme d’amour. « Moi aussi mais je fais attention aux muscles tout de même. », dis-tu alors d’un ton assez féminin pour plaisanter. De toute façon, tu t’entrainais tellement ou dépensait tellement mais il est sur que tu mangeais moins que Barry ou même elle. Le moment devenait sérieux tandis qu’elle allait te faire une confession. Tu t’attendais au truc sérieux, vraiment. Genre, oui, elle est une alien et veut tuer tout le monde. Mais non. Tu n’étais pas déçu mais amuse par sa confession. « Merci pour le dessert », dis-tu, poli comme tout. Tu apprends vite. Tu croquais dans la pomme d’amour. Tout simplement, avalant tandis que tu n’oublies pas pour la chanson. Oh non. « Cela doit être un calvaire de me confier ce secret, je crois ! » disais-tu d’un ton moqueur tandis que tu sortais le téléphone de ta poche. Une interférence se faisant encore avec l’oreillette tandis que tu recevais un message écrit au même moment. Tu n’y répondais pas. Tu cherchais juste spotify. Oui enfin une chanson, quoi. Tu relevais un regard vers elle, surement occupée à manger ou te dévorer regard ? Peut-être. Tu lui souris. « Je ne l’oublie pas. », dis-tu en regardant alors les peluches. « En plus, on a augmente l’audimat. », lui souffles-tu tandis qu’il n’y avait franchement pas grand monde à cette heure. Tu mettais alors ton portable en mode musique, tu avais mise histoire éternelle. Priant pour qu’elle sache danser. Tu te levais en lui tendant une main. « Puis-je vous offrir une danse ? », lui demandais-tu simplement. Pas de chichi, pas de courbatures royales. Non, juste une main présente et une proposition alléchante. « En plus, j’adore qu’on me donne des ordres avec le sourire ! », lui rajoutes-tu pour la taquiner surtout au fait qu’elle ne te rappelle à l’ordre pour la chanson.





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kara & oliver
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Vous rejoignez des tables de piques-niques, vous allez pouvoir poser vos affaires et vous asseoir pour manger votre friandise. Tu lui souris, tu te sens vraiment bien, tu paniques un peu parfois, comme ce moment où il a dit vouloir t'embrasser mais qu'il ne l'a pas fait. Tu ne sais pas ce qui te perturbe le plus, le fait de dire qu'il veut t'embrasser, ou le fait qu'il ne le fasse pas ? Tu ne sais pas. S'il t'embrasse, tu vas reagir comment ? Même si vous passez une excellente soirée, que vous vous amusez, que vous vous sentez bien, enfin toi en tout cas. Mais il reste ton patron, et demain, quand vous retournerez bosser, vous ne ferez que vous croiser, il n'y aura pas de regard complice, de sourire tendre, ni de baiser sur la joue. Au fina, cette soirée ne ménera a rien et tu ne sais pas si tu le désir vraiment. parce que cela n'implique meme pas encore le plus gros de tes secrets. « Moi aussi mais je fais attention aux muscles tout de même. » Tu ris doucement, alors que tu lui donne sa pomme d'amour. « Merci pour le dessert » Tu lui souris simplement alors que tu as déjà croquer dans ta pomme d'amour. Voilà comment se poursuit la soirée. Vous avez eu un repas hyper chic dans un restaurant haut de gamme et vous finissez par manger une pomme d'amour ensemble à une fête forraine. Pourtant tu ne rêvais surement pas mieux comme évolution des choses. La fête forraine est une chose que tu adores et vous avez même pu vous y amuser, même si Oliver a été un peu vexé pour la dernière flèche. Et toi qui, comme une idiote, le compare presque à Arrow, non mais tu etais vraiment pas douée sur le moment.. et tu ne l'es pas vraiment encore maintenant. « Cela doit être un calvaire de me confier ce secret, je crois ! » Tu gardes un sourire amusé sur les lèvres. Tu aurais voulut lui confier un vrai secret, quelques choses que tu caches, une véritable part de toi comme il vient de le faire mais tu ne peux pas te permettre de lui apprendre que tu n'es pas une terrienne. Il sort son téléphone, est-ce qu'il s'ennuie avec toi ? il a peut etre eu un message ou alors on l'appel ? Mais soudainement il y a un bruit bizarre qui agresse ton oreille. Tu sursaute, une main rejoignant l'oreille comme si ca allait changer quoi que ce soit. Une interference, mais tu ne sais pas trop de quoi. En tout cas, dans ce genre de même tu regrettes d'avoir une super ouie. Mais tu changes rapidement de sujet en lui rapellant qu'il te doit une chanson de disney. Tu as demandé la belle et la bête parce que c'est ton disney favoris mais tu aurais pu demander n'importe quoi, la petite sirène, le roi lion ou même aladdin. Mais il faut avouer, il n'y a rien de plus romantique que la belle et la bête. Et tu n'y songes que maintenant. « Je ne l’oublie pas. En plus, on a augmente l’audimat. » Tu acquiesces en tournant le regard vers les peluches à ton tour. Votre publique est bien calme tout de même. Tu continues de manger ta pomme d'amour alors qu'il se lève pour te tendre une main. Tu la fixe un instant sans comprendre jusqu'à ce qu'il t'invite. « Puis-je vous offrir une danse ? » Une danse ? Vraiment ? ici, au milieu de la fête forraine ? En plus il a mis Histoire Eternelle comme musique, tu ne peux clairement pas refuser de toute façon. Tu abandonnes la pomme d'amour, ta main rejoignant la sienne et tu te lèves. « En plus, j’adore qu’on me donne des ordres avec le sourire ! » Tu rougis, voilà que ça recommence ! Il est incapable de parler sans que tu ne rougisses en retour finalement. Tu te met debout face à lui, une main se posant sur son épaule et l'autre restant dans sa main. C'est l'homme après tout, c'est à lui de conduire la danse et tu te laisse donc faire. T'es pas une pro, mais tu sais tout de même danser un slow ou une salve ou un truc du genre. C'est pas compliqué à apprendre ces quelques pas. Tu te laisses donc conduire sous histoire eternelle, non mais jamais tu n'aurais imaginer faire ça. Tes yeux croisant enfin de nouveau les siens et le rouge à tes joues ne partant pas de si tot. Tu lui souris, sincérement. « C'est la première fois que je danse avec un homme.. qui ne soit pas mon père. » Une confession, un peu plus vrai en tout cas. Ca te rappel les danses avec ton père, quand vous vous amusiez alors que tu etais bien plus jeune. Oliver est le premier avec qui tu danses et c'est agréable. « C'est le premier rendez vous, aussi.. » Tu as déjà eu des flirtes, mais ta timidité a souvent jouer, sur Terre en tout cas, sur krypton c'est une autre histoire. Tu baisses les yeux, rougissant de plus belle. Tu souris pourtant, un peu en coin avant de finalement grimacer et de pencher la tête sur le coté. Une interference une fois de plus. Tu sais pas d'ou ca vient mais ça aggresse ton oreille et c'est horrible.





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kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
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A vrai dire, tu ne regardais même pas le message que tu venais de recevoir. Tu ne t’en intéressais pas et tu avais déjà fait ta part de super héros. Cela ne semblait pas urgent en tout cas. Tu ne voulais pas froisser la jeune femme. Tu ne voulais surtout pas gâcher le moment. Tu voulais mettre une chanson mais tu sursautais un peu quand elle sursautait. Tu faisais une fausse moue. Oui, voilà. Une fausse petite moue. Totalement fausse petite moue. Tu ne savais pas ce qu’il se passait à vrai dire et une part de toi s’inquiétait tout de même pour elle. Tu avais entendu l’interférence mais à ce point ? Tu n’en savais rien. Les interférences, tu les voyais souvent avec tous les bazars que tu trimballes. « Tu te moques de mon spasme ? », demandais-tu alors. « Je suis désolé… », disais-tu en ne réalisant pas que c’était lié à cette oreillette. Tu oubliais simplement de l’éteindre parfois. Un simple réflexe à force de savoir que tu devrais la remettre aussitôt. Tu te levais donc, elle te fixait et ça t’amusait clairement car tu avais vraiment l’impression qu’elle était en train de réaliser ce qu’il se passait. Tu es plein de surprise ? Tu te surprenais aussi. Tu n’avais jamais vraiment réalisé que tu pouvais être romantique. Tu es un dragueur surtout mais un romantique ? En fait, tu voulais juste peut-être mériter cette jeune femme ? Ce n’était pas pour lui prouver quoique ce soit mais pour elle, tu voulais devenir un peu… cet homme. Et tu t’y plaisais d’ailleurs. Elle se levait et tu te contentes et glisser ta main dans son dos, à une hauteur raisonnable. Tu te mets à la conduire enfin la danse. Elle n’est pas un bolide, cette jeune femme. Tu sais conduire les deux enfin les trois. Tu ne t’en sors surtout pas mal en danse. Et voilà qu’elle parle de son papa. Cela te surprenait d’être comparé à son papa. Tu souriais mais le premier rendez-vous. Attends… c’est possible. Tu fronces les sourcils sans trop savoir quoi dire sur le coup. Pas du tout en fait. Tu vas dire quoi ? Cela te faisait avoir des questions qu’on devrait éviter lors d’un premier rendez-vous. Tu as perdu l’habitude surtout. Tu as 35 ans et plus 15 ans. Tu ne demandes plus aux filles si elles sont vierges. Et si elle ne l’est pas ? Comment cela se faisait qu’elle n’avait jamais eue de rendez-vous ? Relation longue durée, on passe direct à l’étape couple ? C’est rare. Cela te perturbe mais tu ne le montres qu’un court instant. Tu te contentes de reprendre la danse. Mais encore un message et encore une interférence. Tu arques un sourcil en la voyant grimacer. Tu retires alors la main de son dos. « Je suis désolé… J’ai un kit main libre, je pense l’avoir laissé connecté… », tu vas alors mettre la main dans ta poche pour retirer l’oreillette que tu jettes au sol sous ton pieds avant de l’écraser simplement. Tu gâches un peu de l’argent, c’est sûr mais dans le fond ? Tu penses simplement que c’est mieux ainsi… tu ne voulais pas prendre le temps de l’éteindre. Tu ne voulais surtout pas lui laisser assez de temps pour voir que cela n’avait rien d’un kit main libre à vrai dire. Pas de questions. C’était mieux ainsi. C’était surtout mieux pour votre premier rencard. Si elle découvrait déjà que tu étais Green Arrow ? Tu pouvais déjà prendre le râteau comme un grand. Tu te rapprochais à nouveau d’elle. Pourtant ta main à nouveau dans son… dos enfin sauf que tu calculais ta trajectoire comment un abruti et qu’elle se retrouvait… bah sur ses fesses, voilà. Tu la laissais à peine une fraction de secondes pour la retirer aussitôt en réalisant ce que tu venais de dire. Tu grimaçais avant de te pincer les lèvres. Tu finissais même par garder ta main à distance. « Je n’avais pas prévu de faire cela… mauvaise trajectoire ! », disais-tu alors avec un ton d’excuses sincères dans la voix. Tu t’en voulais. Oui. Vraiment. Tu riais nerveusement, tu ne savais pas quoi faire autrement. Changes les idées, voilà. Change-les. Alors tu te mettais à chanter la chanson. Tu n’es pas un chanteur né mais qui ne sait pas chanter du Disney ? Bon d’accord, tu ne connais pas les paroles par cœur. Tu n’étais pas une fille. Tu n’apprenais pas les chansons romantiques même quand tu étais gosse. Tu allais sûrement t’en sortir comme un grand ? Tu n’en savais rien, t’avais fichtrement peur de remettre ta main sur elle, maintenant. Et si tu recommençais ? Tu te contentais d’évaluer tes risques de gifles en la regardant dans les yeux. Tu chantes. C’est tout. Pas un mot. Pas un touché enfin si… sa main que tu tiens pour mieux danser. C’est tout. C’est au moins loin de ses fesses, si tu te trompes c’est que tu le fais exprès.

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kara & oliver
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Une interferance que tu n'avais pas vu venir. Au restaurant tu en avais senti une aussi mais tu etais concentrée sur autre chose alors ça ne t'avait pas fait sursauter. Mais là c'est finalement le fait d'etre concentré sur autre chose qui a fait que ça t'as surpris. Ca doit venir de son téléphone, quand il l'a sortie. Enfin tu supposes t'es pas vraiment une pro en matière de technologie terrienne. Tu as déjà mis des semaines avant de comprendre comment fonctionnait un telephone portable quand tu es arrivée, et tu ne parles pas de la peur que tu avais du grille-pain. ou du mixeur.. Lui t'avait vraiment foutu la frousse quand Martha s'en etait servit la première fois avec toi. « Tu te moques de mon spasme ? Je suis désolé… » Tu prends un peu de temps avant de comprendre de quoi il parle et tu secoues la tête pour dire non. Evidement que tu ne te moques pas de lui. La main dans la sienne, sa seconde dans ton dos. t'es un peu gênée, intimider et tu lui fais même cette véritable confession sur toi et les hommes. Tu n'avais jamais danser avec un homme qui n'était pas ton père, et encore, tu n'as surement pas du danser des tonnes de fois avec lui. Mais surtout c'était ton premier rencard, et c'était surement pour cela que tu etais vraiment nerveuse. De nouveau une interferance. Bordel, elle est vrament pas loin ce qui irite un peu ton ouie. « Je suis désolé… J’ai un kit main libre, je pense l’avoir laissé connecté… » Tu relèves les yeux sur lui, tu comprends pourquoi ca n'arrête pas, l'oreilette du kit main libre et le telephone doivent faire ce bruit qui t'agace. « Ne le sois pas, j'ai juste l'oreille un peu sensible. » Que tu dis pour justifier tout cela. Il finit par te lacher un peu pour sortir le kit et le balancer au sol avant de l'écraser. tu ecarquilles les yeux, non mais il n'était pas obligé de mettre fin à la vie de ces ecouteurs quand même ! Il sourit, et toi tu tentes de sourire aussi alors qu'il reprend place dans la danse avec toi. Sauf que sa main se termine sur tes fesses et tu te figes, les yeux ecarquillées. T'as bugué Kara ! « Je n’avais pas prévu de faire cela… mauvaise trajectoire ! » T'as toujours pas bouger, les joues surement aussi brulante que le soleil d'été. Là, t'es juste totalement paniquer. Il a mit sa main sur ton postérieur.. Ca n'a duré qu'une seconde à peine certes, mais il a tout de même mis sa main sur tes fesses. Il s'est excuser, il semble vraiment mal pour ce geste non voulu. Mais toi tu dois faire quoi ? Dire que ce n'était pas respectueux ? Partir ? le gifler ? T'en sais rien ! Il finit par reprendre la danse, sa main loin de toi, et il finit même par se mettre à chanter. Et toi t'as toujours pas réagit, tu danses, mais ton visage est toujours buguer en mode "je dois faire quoi." Tu finis par stopper cette danse, tu te recules un peu, juste un pas ou deux. Tu tentes de mettre de la distance entre vous. Pourtant avant cela, tu aurais même pu finir blotti dans ses bras pour danser encore et encore. Mais tu ne sais pas, il a vraiment l'air désolé. « je... ce... je ne... ce.. rien.. ce n'est.. rien.. » D'accord, tu n'as même plus le cerveau à l'endroit parce que là tu racontes n'importe quoi. Tu dois faire quoi maintenant ? Tu reste a cette distance, tu ne sais vraiment pas comment reagir. Tu pourrais envoyer un message a une amie en demandant si mettre une main aux fesses c'est une coutume terrienne ou si ca se fait pas comme partout ailleurs ? Trop de chose dans ta tête parce que même tes joues ne semble pas dérougir pour autant. « je.. vous.. tu.. » Tu vas faire tout les pronoms là ? Mais tu n'as pas le temps que tu lèves les yeux au ciel quand tu sens une goutte de pluie tomber sur ton bras. Il ne faudra pas bien longtemps pour comprendre et voir, la pluie tromber. C'est soudain, une averse, surement passagère mais une averse tout de même. Et te voilà devant lui, la pluie trempant tes cheveux et les peluches sur la table. Devant ce type qui te fait passer une bonne soirée, pour qui tes sentiments ne sont plus si négatif, qui te fait rougir comme une tomate et, avoues le, te plait vraiment. Mais là tu ne sais pas comment reagir. et la pluie ne te laisse pas de répis pour autant. « on.. devrait.. s'abriter» merci pour cette magnifique idée Kara ! Tu prends le controle de la situation ca fait peur !

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kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
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Tu as sauvé ses oreilles en tuant ton oreillette et tu t’es surement vengé du mangeur de popcorn pervers qui écoute. Sûrement. Tu ignores s’il écoutait ou s’il t’avait mis sur sourdine mais il n’avait pas non plus déconnecté le réseau entre vous sinon tu n’aurais pas d’interférence. Tu n’y penses pas trop. Tu n’avais pas le temps d’y penser pour être honnête que voilà… et bien voilà, oui, tu mets la main sur ses fesses. Tu la vois buguer et tu ne sais pas quoi faire. Tu chantes même. Mais… elle bug toujours. Comment tu dois faire ? Relancer ses idées en remettant la main ? Never. Oh non. Never. Tu te demandes de plus en plus si elle a vraiment dit vrai quand elle disait ne jamais avoir eu de rencard car tu l’as vraiment mais vraiment… cassée en fait. Elle vit encore ? Tu ne te poses pas vraiment la question. Tu tentes le reboot en continuant comme si de rien n’était. Tu te sens con en fait. Vraiment. Tu ne veux pas qu’elle pense que tu ne réalises pas ton geste. Tu ne les touches plus, voilà. On ne sait jamais. Elle ira ou ta main après ? Non mais quand même. Stupide main. Voilà, c’est la main qui est fautive. Et elle recule soudainement. Tu ne comprends pas vraiment. Enfin si mais non. Elle te dit des mots qui n’ont pas de sens vraiment dans cet assemblement. Enfin… tu ne sais pas trop comment dire. Tu te contentes de lui sourire. Tu la trouves amusante quand même et puis tu es rassuré, elle redémarre. Ce n’est donc pas une machine ? Tu t’apprêtais à la rassurer. Tu faisais un pas vers elle. Tu avançais lentement vers elle. Mais une goutte, une seconde. Tu rigoles en l’entendant. Tu t’avances et tu attrapes pour l’attirer avec toi. Tant pis la peluche, elles allaient sécher mais elles n’allaient pas attraper un rhume. Tu allais directement au plus proche, la roue. « Je te jure, je ne voulais pas faire ce que j’ai fait, c’était un accident… Je n’aurais jamais osé… », lui disais-tu avec désolément dans la voix. Tu filais vite fait le billet qui restait dans ta poche au forain qui l’acceptait. Normal, c’était un gros billet qui pourrait payer la roue pour l’orphelinat mais bon. Tu ne réfléchissais pas vraiment. Tu t’installes seulement si elle s’installe en fait. Tu te dis que vous allez être serré et que tu vas sûrement encore faire attention à tes fichues mains. Tu la regardes du coin de l’œil et tu souris avant de tourner le regard vers elle. « Tu sais, tu avais totalement le droit de me gifler… je le méritais enfin… je me serais gifler moi-même si j’étais une femme… », tu arquais aussitôt un sourcil en te rendant compte de ce que tu venais de dire. Non mais t’es sérieux quand même. Oliver. Tu es sérieux. Tu lui souris, elle est toute mouillée. Tu te pivotes un peu vers elle en dégageant une mèche mouillée de ses cheveux. « Tu n’as jamais eu de rencards ? », demandais-tu alors à cette blondinette devant toi. Une voix compréhensive, pas du tout surprises ou je ne sais quoi. Un ton normal pour ne pas la juger. Ce n’est pas du tout le cas. Elle doit avoir ses raisons. Tu comprenais de plus en plus qu’elle soit surprise. Tu ne lâchais pas ses yeux enfin tu tentais de captiver son regard. Non, tu n’allais rien faire. Tu ne ferais rien surtout après ça. Tu inspirais doucement en évitant de faire un geste de plus et tu te mets soudainement à rire. « Je ne sais même plus quoi faire de mes mains maintenant, je me suis senti tellement stupide… J’ai dû te faire littéralement peur… la prochaine fois, fais m’en voir de toutes les couleurs… », lâchais-tu en mode désolé. Oui, tu l’étais. Vraiment. Et tu ne savais vraiment plus où poser tes mains. « Ne t’inquiètes pas pour la pluie, j’appellerais mon chauffeur qui ta ramènera chez toi ! », lui soufflais-tu simplement. De la galanterie pure. Oui, tu es galant sur le coup mais tu n’allais pas la laisser attraper un rhume quand même. « Tu auras sûrement besoin d’aides avec les peluches qui ont sûrement besoin d’un séchoir… et tes friandises ! Je devrais appeler un convoi pour tout ça en fait… », dis-tu d’un ton moqueur. Mais tu te sens nerveux après avoir faite cette bêtise donc tu dis clairement n’importe quoi. Mais vraiment. « Je me sens idiot quand même, je suis nerveux maintenant… », lâchais-tu aussitôt. Pour pleins de trucs en plus. Tu te sens nerveux pour ta main, pour le fait d’être son premier rencard. « J’espère que j’étais un premier rencard à la hauteur… », voila tu te sens idiot.

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MessageSujet: Re: (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.   (stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche. EmptyMer 31 Jan - 16:13

kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

Allé Kara, ressaisi-toi ! Il t'a mis une main aux fesses, c'était pas intentionnelle donc tu peux te reprendre et mettre le disque dur en route ! La pluie fait son apparition et tu trouves que c'est un bon moyen pour penser a autre chose et même parler d'autre chose tout simplement. C'était une erreur tu l'as bien compris, il ne voulait pas te manquer de respect ou tenter de te pelotter ! Tu n'es pas a l'aise avec tout cela, parce que tu ne sais pas comment ça fonctionne les rencards. C'est la première fois que tu as un rendez vous avec un type, tu n'as jamais eu de petits-amis non plus alors avec les hommes, t'es pas vraiment douée, sauf pour te battre ou pour gueuler peut-etre. L'averse fait son oeuvre et t'es rapidement trempée, tu n'es pas bien couvert après tout, tu n'as que ta robe, même pas de veste. IL faut dire que tu n'as pas froid. Il attrape ta main à nouveau pour t'attirer et t'amener jusqu'au lieu qui vous mettra à l'abris de la pluie, la grande roue. « Je te jure, je ne voulais pas faire ce que j’ai fait, c’était un accident… Je n’aurais jamais osé… » tu acquiesces d'un signe de tête pour faire comprendre que tu avais bien compris cela, ce n'est qu'un accident et tu peux le comprendre, le probleme c'est simplement toi finalement. Peut-etre que tu devrais lui dire ? Que tu ne sais pas comment réagir avec un homme, que t'as jamais eu de petit ami et que tout cela c'est nouveau pour toi. Il régle le forrain et il grimpe, tu fais la même chose, t'installant alors dans la nacelle. « Tu sais, tu avais totalement le droit de me gifler… je le méritais enfin… je me serais gifler moi-même si j’étais une femme… » Tu souris, amusée de voir qu'il comprend finalement un peu ce petit.. long.. bug que tu as eu a ce geste. Tu le vois se tourner vers toi, sa main approchant de ton visage et il ne fait que replacer une meche humide par la pluie. Tu lui souris alors simplement, doucement alors que sa question te surprend.« Tu n’as jamais eu de rencards ? » Non jamais, ni même de petit ami mais ne pas avoir de rencard ne signifie pas etre celibataire depuis vingt-cinq ans non ? Tu acquiesces juste à sa question, confirmant que tu n'as jamais eu de rencard avant ce soir. Tu avais bien faillit ne pas venir, et tu aurais surement fait marche arrière si Conner ne t'avait pas pousser à le faire. « Je ne sais même plus quoi faire de mes mains maintenant, je me suis senti tellement stupide… J’ai dû te faire littéralement peur… la prochaine fois, fais m’en voir de toutes les couleurs… » Tu es surprise par ses propos.. La prochaine fois ? Alors il aimerait vraiment te revoir en dehors de ton laboratoire dans son entreprise ? Tu es heureuse d'entendre cela pourtant tu as peur. Et Supergirl ? tu ne peux pas le cacher eternellement, tu as eu de la chance durant le repas qu'il soit au téléphone pour filer aider Arrow l'écolo ! Tu ne pourras pas toujours avoir de bonnes opportunités, et au final tu ne serais qu'un courant d'air. c'est toi qui l'a dit après tout, les héros ne sont que des courrant d'air et tu ne serais pas une exception. « Ne t’inquiètes pas pour la pluie, j’appellerais mon chauffeur qui ta ramènera chez toi ! Tu auras sûrement besoin d’aides avec les peluches qui ont sûrement besoin d’un séchoir… et tes friandises ! Je devrais appeler un convoi pour tout ça en fait… » Tu tires une petite moue, pourtant amusée de voir qu'il reussit a plaisanter malgré tout cela. « Je me sens idiot quand même, je suis nerveux maintenant… » Et toi alors, t'as l'impression d'etre de nouveau au début du repas, quand tu ne savais pas quoi dire ou faire. quand tu etais totalement petrifiée par l'angoisse. « J’espère que j’étais un premier rencard à la hauteur… » Tu te reprends a ces mots, tournant les yeux vers lui et tu lui souris alors. Ton premier rencard etait vraiment bien malgré le contexte. C'est ton patron et toi t'es qu'une stagiaire qui est la pour valider son stage de fin d'etude et avoir son diplome. T'es son employée, et votre relation ne sera evidement pas bien vu si ca s'apprend dans les couloirs de l'industrie. mais tu as passé une bonne soirée. vraiment. « la prochaine fois.. je choisi un resto.. avec des quantités pour ogres...» Tu souris, sincérement, tu veux par cette phrase, qu'il comprenne que tu aimerais le revoir, que tu aimerais un nouveau rendez vous et que tu veux vraiment apprendre à mieux le connaitre, à ne pas devoir ecouter les journalistes et les rumeurs et te faire ta propre idée de qui il est. Et actuellement, tu trouves que c'est un homme bon, généreux, amusant, galant mais maladroit.. mais pour la maladresse tu es mal placée pour parler. Tu détournes le regard, le baissant même par timidité et honte surtout. « pour être franche.. je n'ai jamais eu.. de petits amis.. et je suis désolée pour ma reaction.. c'était un accident..  » Vaut mieux que ce soit clair dès le début après tout, peut etre qu'il changera d'avis en comprennant que tu n'es pas le genre de femme a savoir ce que désir un mec. Et tu te sens idiote, totalement honteuse même de révéler ce genre de chose maintenant. pourtant tu tournes les yeux vers lui, avec un petit air de confiance dans les yeux. « j'aimerais beaucoup te revoir.. si c'est possible.. parce que même si on a dit qu'on l'oubliait ce soir.. tu reste mon patron. »


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kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

Il est vrai que tu ne voulais pas la brusquer avec une maladresse. Tu n’étais pas maladroit en général mais là, tu avais été vraiment… enfin peut-être une histoire de tailles et de calculs. Les mathématiques ne sont pas vraiment ta tasse de thé enfin sauf pour bien viser. Et encore… Einstein pouvait sûrement mieux le faire que toi ? Ou pas du tout. Tu imagines mal Einstein doué à l’arc. De toute façon, tu es le meilleur archer. Pas moyen autrement. Même Einstein ne peut pas être plus doué. Tu peux être égocentrique quand cela parle de tes flèches et ce soir, tu as été déconcentré, c’est tout. Voila. Tu te fondais en excuses. Cela arrivait rarement. Tu n’étais pas du genre à t’excuser mais là, c’était différent. Les raisons étaient différentes et tu avouais ta faute ce qui n’est pas toujours le cas. Tu n’es pas parfait et tout le monde sait ça. Tu finis par l’écouter, elle sourit. Elle ne semble pas t’en vouloir. Est-ce un bon signe ? Tu l’espères. Tu souris en l’entendant. Tu tentes d’écouter si la pluie se calme d’une autre oreille pendant juste une fraction de seconde. Mais tu l’écoutes. Tu comprends bien qu’elle veut te revoir mais tu évites de trop montrer ta joie. He ho, poto, t’es pas un homme pour rien. Tu n’allais pas sauter dans un arc-en-ciel, crier de joie dans les nuages et puis revenir. Puis de toute façon, tu ne sais même pas si tu peux faire des arcs-en-ciel avec tes flèches. Peut-être une invention à venir. Tu n’en sais rien. Tu la regardes alors qui te dit ne jamais avoir de petits amis aussi. Une confession que tu avais comprise peu de temps après et qui aussi te rassurait sur le fait qu’elle soit effectivement timide et qu’elle ne sache sûrement pas qu’un homme ça s’allume assez vite. Cela t’amuse mais en fait ? Cela te fout aussi la pression. Tu ne veux pas écouter cette pression. Pas encore. En fait, tu as peur surtout que cela se passe mal. L’enjeu est énorme. Toi, elle n’est pas la première mais tu connais l’importance du premier pour les femmes. Toi… Tu ne te souviens plus tellement de laquelle était la première. Mais bon. La roue tourne et fronces tout de même les sourcils quand elle te rappelle que tu es le patron. Bah, t’avais pas oublié mais quand même, tu t’en fiches un peu. Ce que pensent les gens ne t’importe pas vraiment pour tes choix de vie privé. Tu avais bien été le fêtard qui s’en foutait carrément qu’on le pense trop fêtard. « Et bien j’aimerais te revoir aussi mais on va dire un truc… dès qu’on est hors de l’entreprise, tu es mon boss. Tu prends toutes les décisions et je paie juste la note… Car c’est ainsi que ça fonctionne quand on a des rencards ! Ca s’appelle la galanterie, je crois. Enfin j’aime bien ça ! », tu dis ça d’un ton plaisantin puis tu sais que les friandises ? Tu allais lui rembourser d’un stratagème très vilain. Tu n’allais sûrement pas attendre longtemps. « Pour ce qui est du restaurant d’ogres, je peux aussi cuisiner pour toi, un soir ! », disais-tu sans arrière-pensée à l’idée de l’inviter chez toi. « Je te rassure, le manoir des Queen est déjà une pension pour adolescents affamés qui adorent vider mon frigo… », dis-tu pour la rassurer sur le fait que tu invites souvent des gens et pas seulement pour les embrasser ou plus dans toutes les pièces. Tu ne veux pas qu’elle prenne peur. Vraiment pas. « Mais si quelqu’un parle de notre rendez-vous enfin… ils n’ont pas de raisons de le savoir mais si cela se sait… Les ragots sur moi se font facilement et parfois même viennent de moi-même, je trouve ça fun en fait. Le premier qui te gênera entendra parler du patron. Je ne veux pas que cela te mette dans une situation gênante, moi, je peux le gérer. C’est toi la boss du coup… », lâches-tu à nouveau tandis que tu sors de la nacelle quand la roue s’arrêtait. Il ne pleuvait plus vraiment enfin peut-être mais plus à torrent en fait. De toute façon, vous étiez encore à l’abri par la tonnelle de l’entrée de la roue. Tu lui présentais ta main pour l’aider à la sortir. Une fois qu’elle était sur ses deux pieds, tu l’attirais vers toi d’une impulsivité soudaine. Tu mettais la main sur sa joue et tu l’embrassais. Un simple baiser. Même un peu chaste. Tu ne voulais pas la brusquer mais juste l’embrasser. Tu ne voulais pas non plus griller à nouveau les systèmes de la jeune femme. Tu lâchais ses lèvres, la regardant alors dans les yeux. « Je t’avais prévenu de ne plus me rappeler que j’étais le patron, je perds le contrôle sinon… », lâchais-tu d’un ton doux mais surtout un peu taquin. Bon d’accord, tu as surtout trouvé une bonne excuse pour le faire.


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kara & oliver
Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers;
des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

Tu aimerais vraiment le revoir, peut etre pas dans une soirée blindée dans un resto chic mais juste une soirée, une après midi peu importe. Tu mettrais Supergirl au placard pour quelques heures, les gens peuvent bien se passer de toi pendant une journée non, ils n'ont qu'à appeller ton cousin après tout ! Tu es encore un peu nerveuse, beaucoup nerveuse, parce que tu as surtout peur qu'il impose une barrière entre vous a present. Il connait ton secret le plus intime, et tu ne parles meme pas du fait d'etre alien. Tu as entendu des tonnes de rumeurs et de ragots, c'est pas ton genre de les écouter mais tu as forcement eu conscience de la réputation qu'il a, ou avait en tout cas, le nombre de femmes. toi t'es pas ce genre de filles justement et peut-etre que tu ne peux pas être à la hauteur ? Au fond, t'en sais rien parce qu'il y a bien trop de choses qui pourraient causer cette possible relation à sa perte avant même de commencer. Les secrets ne font pas bon menage avec une relation sincére, mais est-ce qu'il serait capable d'entendre la vérité sur toi ? T'en sais trop rien. « Et bien j’aimerais te revoir aussi mais on va dire un truc…(..) Enfin j’aime bien ça ! » Etre son boss en dehors du boulot ? Tu arques un sourcil, c'est totalement bizarre comme idée mais finalement c'est une façon amusante de voir les choses. « Pour ce qui est du restaurant d’ogres, je peux aussi cuisiner pour toi, un soir ! Je te rassure, le manoir des Queen est déjà une pension pour adolescents affamés qui adorent vider mon frigo… » Ah ? il acceuille des adolescents ? C'est une chose que tu ne savais pas, au fond tu ne sais pas grand chose, sauf les trucs inscrits sur le journal, mais tu ne peux pas dire que tu le connais vraiment, c'est tout nouveau, vous apprennez simplement à connaitre l'autre et quand tu es arrivée au restaurant en debut de soirée, tu ne pensais pas que la soirée se passerait ainsi. « Mais si quelqu’un parle de notre rendez-vous enfin…(..) C’est toi la boss du coup… » Si quelqu'un l'apprend et que les rumeurs vont bon train dans les couloirs de la Queen Industrie, tu ne sais pas comment tu pourrais reagir, tu serais incapable de nier probablement, tu trouverais juste des excuses ou a te justifier et au final ça serait surement pire que mieux, tu pourrais même le blesser en niant une chose que tu désir pourtant. et tu ne veux pas vraiment de tout cela. Vous finissez pas quitter la nacelle de la grande roue et tu attrapes sa main pour quitter l'endroit. il ne semble plus pleuvoir averse et c'est déjà ça, tu as pu un peu te sécher finalement. et puis, assis dans cette nacelle vous avez finalement pu dire que vous vouliez vous revoir. Pourtant une fois en dehors de tout cela il te tire vers lui, tu te retrouve bien proche de lui et les yeux relever pour le regarder et tenter de comprendre ce qu'il fait mais c'est trop tard quand tu le comprend. Ses lèvres sur les tiennes, et tes yeux qui se ferment pour quelques secondes. C'est court, chaste, et pourtant il y a de la tendresse dans ce baiser. « Je t’avais prévenu de ne plus me rappeler que j’étais le patron, je perds le contrôle sinon… » Et voilà, t'es de nouveau totalement rouge. mais c'est pas rien quoi, il vient tout de même de te prendre un baiser, de poser ses lèvres sur les tiennes, et etrangement tu as adoré ce contact. Ce n'était pas ton premier baiser, tu es vierge mais n'abusons pas quand meme, cependant ca fait bien longtemps que ce n'était pas arrivé. Alors le rouge sur tes joues c'est surement totalement normal et en plus il se moque gentiment en te rapellant que lui rapeller que c'était lui le patron n'était pas une bonne idée. Quoi que, est-ce vraiment une si mauvaise idée que ça ? Tu pourrais presque t'habitué à ce genre de réaction en l'apellant patron. Bon Kara ! Sors un peu de tes reveries et reviens sur terre. Tu lui souris alors, toute timide a nouveau. « C'est moi la boss.. » Que tu répètes dans un murmue, comme pour te le mettre dans la tête. Et bien soit, puisque tu es la boss. C'est finalement toi qui vient réclamer un baiser, qui vient lui rendre celui qu'il vient de te donner. Tu es en talon mais pas encore assez grande alors tu te met un peu sur la pointe des pieds, tes yeux se ferment au contact des siens. Tu reste sage, chaste evidement, puis tu te recule, le rouge encore au joue et immédiatement tu reprends avec humour. « Oliver Queen cuisine ? vraiment ? et c'est mangeable ? » Tu le taquine, ta main dans la sienne toujours. « J'ai hate de voir ça alors.. » Tu finis par reprendre la direction de vos affaires, dans ta tête c'est pire que la raclée d'ultraman kryptostéréodé ! c'est le gros bordel, c'est ta tête et ton coeur qui viennent de prendre une raclé par un simple baiser. Tu ne peux pas dire que tu ne t'y attendais pas, tu pensais juste que ca arriverait plus tard bien naivement. Tu ne sais pas s'il fera un commentaire sur ce baiser mais toi, tu ne dis rien, pourtant tu l'as aimé ce baiser ! une fois à la table de pique nique, tu te stoppe et tu te retournes enfin vers lui, tu t'es un peu reprise, plus calme. « Je ne sais pas comment réagir face à des rumeurs.. alors.. tachons d'etre professionnelle au boulot. J'imagine déjà les langues de vipères dirent que je veux une promotion... qui n'est pas possible puisque je ne suis que stagiaire pour mon diplome de fin d'étude mais bon.. » tu parles vite.. trop vite.. tu paniques encore là Kara. respire un peu !


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