✸ les affiliations

Vous trouverez dans cette annexe toutes les affiliations officielles disponibles sur le forum ! Ce sont des groupes de héros, de méchants, de forces de l'ordre ou d'indépendants que vos personnages peuvent rejoindre dès validation ou au cours de leur évolution - ces affiliations facilitent la formation de liens, d'intrigues et de groupes, donc n'hésitez pas à en faire usage ! Certaines de ces affiliations ne sont ouvertes qu'aux personnages DC, lisez bien pour vous assurer des conditions d'admissions pour vos propres personnages.

La Ligue de Justice a été assemblée par la force des choses lors de l'invasion de Darkseid, la première grande menace intergalactique à avoir frappé la Terre. Si des justiciers et superhéros existaient déjà avant la fondation de la Ligue, ils opéraient tous de manière indépendante, sans vraiment être liés les uns aux autres : sur l'impulsion de ses membres fondateurs, c'est d'abord une Ligue en petit comité qui s'est créée, avant d'inspirer d'autres héros et justiciers qui sont, petit à petit, venus gonfler les rangs, convaincus eux aussi que l'union fait la force. Une tactique qui a prouvé son efficacité face à Darkseid. Ceux que l'on nomme aujourd'hui les plus grands héros de la Terre ont décidé de maintenir cette unité salvatrice en formant la Ligue de Justice (aussi appelée Justice League, ou JL), et ont depuis maintes fois repoussé des menaces extra- et intra-terrestres, protégeant l'humanité contre les pires menaces imaginables. Les membres fondateurs sont Batman, Superman, Wonder Woman, Aquaman, Cyborg, Flash, Martian Manhunter, et Green Lantern. D'autres héros tels que Shazam ont rejoint les rangs au fur et à mesure.

Si la Trinité formée par les trois grands fondateurs, Superman, Batman et Wonder Woman est le noyau de l'équipe, le leadership stratégique est assumé principalement par Batman, quand Superman est reconnu leader d'autorité morale, dans une sorte de co-direction.


Hélas, avec de grands pouvoirs viennent de grandes responsabilités, et nombreux sont les héros de ce groupe qui se font des ennemis aussi puissants qu'eux, et bien plus dangereux - la plupart d'entre eux ayant rejoint l'organisation opposée de la Ligue de Justice, la Ligue d'Injustice.



La Ligue de Justice a établi son quartier général au sein de la Tour de Garde, station spatiale high-tech en orbite autour de la Terre, principalement financée par Wayne Enterprises. L'endroit est une véritable forteresse, mais aussi un lieu de vie et de travail tout à la fois : chaque membre de la Ligue dispose de ses propres quartiers, et c'est là qu'on trouve les archives de la Ligue, des salles d'entraînement spécialisées et surtout indestructibles, et le nerf du réseau technologique qui permet à la Ligue de surveiller la planète et y intervenir sitôt qu'un désastre se prépare. Ce QG top secret n'est accessible qu'aux membres de la Ligue ; une façade plus publique, le Hall de Justice, a été érigée à Washington DC, et sert part la même occasion de musée et hall de conférences.

Dans la Ligue de Justice, l'union fait la force, et l'esprit d'équipe est sans doute ce qui fait la plus grande force de ce groupe. Ses membres sont très disparates, humains, non-humains, viennent de toutes tranches de vie, mais sont unis par un même idéal de justice et de protection. Si la Ligue n'est pas affiliée à un gouvernement, elle a en revanche des comptes à rendre à la Maison Blanche, puisque son QG se trouve à Washington (et avec qui les relations sont souvent tendues, en particulier avec ARGUS), et surtout, elle a des comptes à rendre à l'Organisation des Nations Unies. A la Ligue de Justice, on est sous pression constante, les yeux du monde braqués sur soi, et intégrité est l'un des mots d'ordre du groupe. La plupart de ses membres préfèrent garder leur identité secrète, pour éviter de mettre leurs proches en danger. Néanmoins, tous sont très conscients de leurs responsabilités, et savent que pour défendre l'humanité, ils devront faire d'immenses sacrifices personnels.



La Ligue de Justice est le groupe de superhéros le plus prestigieux de la planète, et les rejoindre est autant un immense honneur qu'une charge lourde de responsabilités. Seuls les justiciers les plus chevronnés pouvant faire état de valeurs et convictions similaires à celles prônées par la Ligue peuvent la rejoindre, après concertation entre tous les membres fondateurs.

Ce groupe n'est ouvert qu'aux personnages de DC comics.

A chaque génération ses héros. C'est bien sûr en voyant et admirant la Ligue de Justice que ces jeunes d'une vingtaine d'années ont décidé de faire de même, à l'initiative du Fils Prodigue Dick Grayson, alias Nightwing, premier Robin devenu indépendant. Ils veulent aider leurs héros et font leurs preuves petit à petit, en gérant des crises moins importantes que la Ligue de Justice, mais nécessitant tout de même l'intervention de jeune héros accomplis et dotés d'un certain bagage d'expérience. Le groupe s'est agrandi avec les années, et la structure de l'équipe a évolué aussi : le flambeau de leader a été transmis de Nightwing à Red Robin (Tim Drake), qui a repris la direction de l'équipe en apportant son expérience des Teen Titans, et gère tout ce petit monde avec application et efficacité.

Les événements consécutifs de l'invasion de Darkseid et du Syndicat du Crime ont été particulièrement difficiles pour la Young Justice : ces énormes crises, leurs deux premières, ont occasionné de très lourdes pertes dans leur camp, dont certains membres cicatrisent encore. C'est dans ce contexte que Tim Drake a repris le flambeau, et personne dans la jeune équipe, y compris ses nouveaux membres, n'oublie les sacrifices insensés qu'ils ont enduré, plus conscients que jamais de la difficulté de leur mission, et de la nécessité de se perfectionner, pour pouvoir protéger le monde, mais aussi pouvoir se protéger mutuellement.


A ses débuts, la Young Justice était avant tout constituée des sidekicks des héros de la Young Justice, comme les Robin, ou encore Arsenal. Depuis, elle s'est étendue pour réunir de jeunes héros de tous horizons : une bonne partie d'entre eux sont des sidekicks ou bien des membres de la famille des héros de la Ligue, comme par exemple Kid Flash ou Miss Martian, et d'autres leur sont liés de façon plus complexe, comme  Superboy, le clone de Superman. Et d'autres, plus rares, sont simplement de jeunes héros en quête d'un groupe et d'une direction. La notion d'héritage et de suivre l'exemple de leurs aînés est cruciale à la Young Justice, mais il s'agit aussi d'un groupe avec son identité propre, où ces jeunes héros peuvent s'affirmer en tant qu'individus et apprendre à évoluer sans leurs mentors.

A l'instar de la Ligue, la Young Justice dispose de son propre QG, Mont Justice, situé sur Rhode Island près de New York et Metropolis. La QG se situe à l'intérieur d'un gigantesque réseau de cavernes aménagées, accessible uniquement par ses membres et la Ligue de Justice, et est à la pointe de la technologie, dotée de salles d'entraînement réelles et virtuelles, de véhicules de pointe, et d'équipements adaptés à chaque membre. Chaque membre dispose également de sa propre chambre et peut choisir ou non de vivre au Mont Justice.

Encore en apprentissage sans pour autant être des débutants, les membres de la Young Justice ont quelques années d'expérience derrière eux, et n'ont pas peur d'aller sur le terrain : ils gèrent avant tout toutes les crises que la Ligue de Justice est trop occupée pour résoudre, et couvrent tous types de missions, allant d'empêcher un attentat à stopper un ennemi de la Ligue, ou préparer le terrain pour une mission plus importante de leur aînés.


La Young Justice est composée de jeunes héros dans la vingtaine, qui ont (presque) tous rejoint le groupe grâce à leur mentor de la Ligue de Justice, ou sur recommandation de l'un d'entre eux, ou sur suggestion d'un autre membre de la Young Justice. Chaque nouveau membre doit être approuvé par Red Robin et par la Ligue de Justice.

Ce groupe n'est ouvert qu'aux personnages de DC comics.

Lorsque Koriand'r, alias Starfire, arrive sur Terre, elle est secourue et aidée par plusieurs jeunes héros. Ensemble, ils décideront de créer leur propre équipe, les Teen Titans. Dans un premier temps, le leader de cette équipe sera le premier Robin, Dick Grayson. C'est aujourd'hui Starfire qui dirige les Teen Titans, après les départs consécutifs de Dick (qui oeuvre maintenant en solo) et Tim Drake (qui a rejoint la Young Justice). Encore à l'université, mais nullement freinés par cela, ils s’entraînent et cherchent à faire leurs preuves auprès de leurs aînés,. Ils veulent être à la hauteur et prouver au monde qu'ils sont digne de leurs uniformes et de la confiance du peuple pour les protéger.

Les Titans sont la première génération de jeunes héros, déjà en place lors de l'attaque de Darkseid, et qui depuis manifestent de plus en plus leur indépendance et leur émancipation. Leur expérience gagnée au cours de longues années d'affrontement contre les menaces de tout horizon est conséquente, et la Ligue de Justice leur accorde bien plus de liberté qu'auparavant. Contrairement à la Young Justice, les Teen Titans ne sont pas forcément intimement liés aux héros de la Ligue, et forment un groupe hétérogène, chacun avec des origines différentes et leurs propres identités.


L'amitié, c'est ça la clé de leur cohésion de groupe. Toujours prêts à s'entraider, les Teen Titans sont une équipe extrêmement soudée, en plus d'avoir appris à travailler ensemble depuis des années maintenant. Tous habitent dans la Tour Titan, située à Star City, et c'est régulièrement qu'ils se retrouvent dans la joie et la bonne humeur pour s'entrainer avec Green Arrow et Black Canary, leurs superviseurs désignés, ou simplement pour discuter. Car il ne faut pas l'oublier, ce sont encore des jeunes adultes avec des problèmes de jeunes adultes. Sauver le monde c'est important, mais ça n'enlève en rien la difficulté des études ou les déceptions amoureuses. Il est primordial pour eux de trouver du soutien auprès de ceux qui peuvent comprendre leur situation, c'est à dire trouver le parfait équilibre entre missions et vie privée.

Malheureusement, toute cette entente a été ébranlée suite à un tragique événement. Slade Wilson, alias Deathstroke, a attaqué la Tour et a éliminé un à un les Titans. Excepté Bart Allen, seul survivant, qui pour sauver ses amis est remonté dans le temps. Après une période de timeline modifiée, le retour à la réalité à été difficile. Vivants mais perturbés, leur confiance en eux-mêmes a été ébranlée, et ils ont du mal à se remettre du traumatisme. Mais nul doute qu'ils parviendront, main dans la main, à surmonter cette nouvelle épreuve. Jamais un Titan n'a abandonné, et jamais il n'abandonnera !



Les membres des Teen Titans sont des jeunes avec des super-pouvoirs, et désireux, bien évidemment, de risquer leur vie pour sauver le monde. Après la formation du noyau dur, les nouveaux ne peuvent entrer sans l'accord de Starfire, qui après concertation avec ses camarades, décide qui peut rejoindre ou non l'équipe.

Ce groupe n'est ouvert qu'aux personnages de DC Comics.

A l'aube de l'univers, sept entités toutes-puissantes, représentant chacune une émotion sont nées. A la fois toutes opposées et complémentaires, chacune se distinguait de l'autre par une couleur spécifique, couvrant toutes les nuances du spectre des couleurs : Ion représente la volonté (vert), Parallax représente la peur (jaune),  le Boucher représente la rage (rouge), Ophidian représente l'avarice (orange), Adara représente l'espoir (bleu), le Prosélyte représente la compassion (indigo), et enfin, le Prédateur représente l'amour (violet). En exploitant le formidable pouvoir de ces entités, les aliens immortels appelés "les Gardiens de l'Univers" ont réussi à forger des armes d'une puissance phénoménale : tout d'abord, un anneau, de couleur verte, utilisant le pouvoir de la volonté, permettant à son porteur de créer et moduler une lumière solide avec, pour seule limite, son imagination. Les Gardiens ont d'abord maîtrisé le pouvoir d'Ion, donnant naissance au célèbre Green Lantern Corps, une force de police inter-galactique chargée de protéger l'univers. D'autres Corps correspondant à chaque couleur ont vu le jour depuis, créés par d'autres porteurs d'anneaux réussissant à miser sur le pouvoir des autres émotions - mais les Green Lanterns, armés du pouvoir formidable de leur volonté, représentent le noyau-clé de cette extraordinaire force extra-terrestre.

Etablis partout à travers l'univers, les Lantern Corps, sept au total, se sont même frayés un chemin jusque sur Terre, où les Green Lanterns Hal Jordan, John Stewart, ou encore Kyle Rayner sont devenus des membres éminents de la Ligue de Justice.

L'anneau de pouvoir est la source du pouvoir de son porteur. Artefact d'une grande puissance, il génère de l'énergie, de la lumière solide, que le porteur peut moduler selon sa volonté, et doit être rechargé à l'aide d'une lanterne qui lui est attribuée. L'anneau est également capable de détecter la nécessité ou non d'une force létale, et de l'autoriser ou l'interdire. Enfin, lorsque le détenteur d'un anneau meurt, l'anneau part à la recherche d'un nouveau porteur.


Spécialisés dans les menaces extra-terrestres, les différents Lantern Corps obéissent néanmoins à des priorités différentes, qui entrent régulièrement en conflit les unes avec les autres.

Le Green Lantern Corps, représentant le pouvoir de la volonté, agit comme force de maintien de la paix à travers l'univers. Les Green Lanterns opèrent généralement en binômes, et couvrent 3600 secteurs différents à travers l'univers. Le pouvoir de la volonté est généralement décrit comme le plus puissant des neuf pouvoirs du spectre émotionnel, et le plus contrôlable, le vert se trouvant au centre du spectre des couleurs. Leur quartier-général se trouve sur la planète Oa. Leur anneaux ont été créés par les Gardiens d'Oa.

Le Red Lantern Corps, représentant le pouvoir de la rage, sont souvent les ennemis des Green Lanterns. Animés par une rage bestiale et primaire, ils contrôlent à peine leurs pouvoirs aussi extraordinaires que destructeurs. Menés par Atrocitus, leur QG se trouve sur la planète Ysmault. Leurs anneaux ont été créés par Atrocitus, à part d'un premier anneau rouge forgé dans le sang de quatre tueurs.

L'Orange Lantern Corps, représentant le pouvoir de l'avarice, n'est pas vraiment un Corps en soi, et ne compte pas réellement de membres. Les possesseurs de l'anneau de pouvoir orange se consument et se régénèrent, dévorés par leur propre avarice. Présentement, Larfreeze, établi sur la planète Okaara, est le détenteur de l'anneau orange, un trésor enfoui qu'il a pu déterrer et utiliser pour son propre bénéfice.

Le Yellow Lantern Corps, surtout connu sous le nom de Sinestro Corps, représentant le pouvoir de la peur, a été créé en rivalité avec le Green Lantern Corps. Comme eux, ils maintiennent l'ordre à travers l'univers, mais en utilisant le pouvoir pernicieux de la peur pour arriver à leurs fins, et sans obéir au code moral que s'imposent les Green Lanterns. Leur leader est Thaal Sinestro, et leur base est établie sur la planète Qward. Leurs anneaux jaunes ont été créés par Sinestro lui-même pour s'opposer aux Green Lanterns.

Le Blue Lantern Corps, représentant le pouvoir de l'espoir, constitue les plus grands alliés des Green Lanterns. Leur rôle consiste à littéralement booster le pouvoir de la volonté en infusant les Green Lanterns du pouvoir de l'espoir. Souvent sous-estimés pour leur côté "sidekick" et pacifiste, ils ont pourtant prouvé à de nombreuses reprises qu'ils savaient s'imposer comme derniers bastions avant la défaite, et capable de retourner les situations les plus désespérées à l'avantage de leurs alliés. Saint Walker est leur principal représentant actuel, et leur base est située sur la planète Odym. Les anneaux bleus ont été créés par les gardiens Gaunthet et Sayd pour prêter main forte aux Green Lanterns.

La tribu Indigo, représentant le pouvoir de la compassion, est aussi une alliée des Green Lanterns. Tribu nomade établie sur la planète Nok, ils fonctionnent uniquement sur une base de rédemption : les anneaux choisissent pour porteurs les plus grands sociopathes de l'univers, et les réhabilitent grâce au pouvoir de la compassion. Leurs anneaux ont été créés par Abin-Sur, qui était persuadé que la rédemption était possible pour n'importe qui.

Le Star Sapphire Corps, représentant le pouvoir de l'amour, est un corps de Lanterns majoritairement (mais pas que) féminin, créé par les Zamarons en opposition aux Gardiens  d'Oa qui voulaient supprimer le spectre émotionnel. De toutes les couleurs du spectre émotionnel, celle-ci est sans doute la plus difficile à maîtriser. Leur plus grande championne est Carol Ferris, et les Star Sapphires sont établies sur Zamaron, où leurs anneaux ont également été créés.



On ne naît pas porteur d'anneau, on le devient ! De même, on ne choisit pas son anneau, c'est l'anneau qui choisit son porteur selon sa capacité à représenter et utiliser l'émotion qui lui est associée. Aliens, terriens, jeunes, vieux, n'importe qui est susceptible de devenir un porteur, puisque tout leur pouvoir réside dans les émotions du détenteur, plus qu'aucun autre critère.

Certains Corps sont ouverts aux personnages DC, d'autres aux personnages DC et inventés, et d'autres sont non-jouables. Nous nous réservons le droit d'ouvrir ou fermer certains Corps selon les besoins du forum, gardez donc un oeil sur cette liste pour guetter de possibles changements !

Ouvert uniquement aux personnages DC : Green Lanterns.
Ouvert aux personnages DC et inventés : Blue Lanterns, Yellow Lanterns, Star Sapphires.
Non-jouables : Red Lanterns, Orange Lanterns, Indigo Tribe (sauf passage temporaire), White Lanterns, Black Lanterns.

« Ne nous soucions pas de ceux qui marchent dans la lumière. Eux se soucient rarement de nous. » Un triste constat qui pourrait faire office de véritable slogan pour la mystérieuse Justice League Dark, qui fonctionne exactement à l’opposé de la Justice League. Créée dans l’improvisation la plus totale alors qu’une menace magique menaçait le monde, elle n’a depuis de cesse d’être dissoute, puis re-créée au fil des dangers qui pèsent sur la communauté magique de ce monde, ou à cause d’elle. Groupe relativement officieux, leurs réunions répétées ont pourtant fini par attirer l'attention d'ARGUS, qui s'est amusé à leur donner le surnom qui a fini par devenir leur appellation définitive, et de la Ligue de Justice, à la fois inquiète de l'existence de ce groupe imprévisible, et consciente de leur nécessité. Car il est bien là, le paradoxe de la Justice League Dark : personne ne veut avoir affaire à eux, leur réunion est souvent synonyme de mauvaises nouvelles, mais ils constituent le dernier recours de l'humanité face aux menaces occultes et magiques contre lesquelles même la Ligue de Justice est impuissante. Le genre d'équipe qu'on appelle en dernier recours, en somme...

Ses membres sont des sorciers, des fantômes, des démons, des vampires, et autres créatures touchant aux arts occultes et mystiques, qui vont et viennent comme bon leur semble. Ce groupe hétéroclite n’a pas de leader officiel, même si les noms de Zatanna Zatara, John Constantine, et Detective Chimp sont régulièrement mentionnés quand on a besoin de faire appel à cette ligue de l’ombre, véritables anarchistes et héros réticents qui ne sortent de leur trou que lorsqu’ils y sont forcés. Lorsqu’elle est active, la JLD dispose par conséquent d’un QG sous le Hall de Justice… qu’ils n’utilisent jamais. A la place, vous pourrez sans faillir les trouver à l’Oblivion Bar, un bar situé dans une dimension parallèle, géré par Detective Chimp en personne.  



La Justice League Dark est un groupe à l'image de ses membres : sombre, imprévisible, chaotique, anarchique, puissante et, par-dessus tout, dangereuse. La magie est un univers à part, auquel seul quelques élus ont accès, et c'est bien pour ça que superhéros comme forces de l'ordre rechignent à faire appel à eux. Dans l'univers du mystique, il n'y a que très peu de règles établies, on impose sa volonté sur la réalité, et on n'en fait souvent qu'à sa tête, quelque chose qui se reflète bien dans la Justice League Dark. Ce groupe très informel se forme et reforme à chaque nouvelle crise, et les tensions entre les membres y sont nombreuses et inévitables. Les seuls facteurs de cohésion y sont les talents de Constantine pour gérer une équipe, les talents de leader et d'unificatrice de Zatanna, et leur désir commun de sauver leur propre peau, celle de la communauté magique, et, tant qu'à faire, parfois le monde aussi... quel que soit le prix à payer. Et c'est bien parce qu'ils sont prêts à l'impossible ou l'impensable qu'ils effraient autant.

Unis aussi dans leur indépendance, ils ne répondent à aucun gouvernement, et, malgré leur surnom, ne dépendent pas de la Ligue de Justice. A vrai dire, les relations sont même plutôt tendues entre eux, et ils préfèrent s'ignorer : la communauté magique se gère toute seule, se protège avec sa Justice League Dark, et moins ils ont affaire au reste du monde, mieux ils se portent.

Les prérogatives de la JLD consistent donc avant tout à protéger la communauté magique des dangers qui la menacent, mais aussi à empêcher la communauté magique de mettre le reste du monde en péril, garants réticents d'un équilibre déjà précaire. C'est aussi eux que la Ligue de Justice appelle à la rescousse quand eux-même sont à court d'options.



La JLD se forme, se reforme, et ne se ressemble jamais. La rejoindre est souvent un acte involontaire, résultant de la maxime "se trouver au mauvais endroit au mauvais moment" et jeté dans l'arène sans autre forme de procès parce que vous avez eu le malheur d'être sur le radar de Madame Xanadu ou Constantine. Il n'y existe pas de recrutement officiel - il suffit de connaître les bonnes personnes, et vous pourriez bien tirer le jackpot à la prochaine catastrophe qui frappera le monde.

A noter que la JLD se protège férocement : jamais un agent d'ARGUS ou d'un gouvernement quelconque n'y sera accepté, et de même, quelqu'un considéré dangereux pour la communauté magique, ou considéré trop proche de quelqu'un de dangereux, sera vraisemblablement refusé. De même, les relations ente la Justice League Dark et la Ligue de Justice sont pour le moins tendues.

Ce groupe est ouvert aux personnages inventés.

A chaque action sa réaction : c'est selon ce précepte que, après la création de la Ligue de Justice, Lex Luthor a oeuvré dans l'ombre pour former son propre groupe secret de super-vilains. C'est sa haine envers Superman et son obsession pour les méta-humains et aliens dans leur ensemble, qui a dicté sa logique pour ce projet complètement démesuré, génial, et impossible - et pourtant, l'impossible devient possible entre les mains de l'homme le plus intelligent du monde. Un à un, et dans le plus grand secret, l'homme d'affaires a rassemblé les némésis de chaque membre de la Ligue de Justice, et les a unis sous une même bannière : collaborer, ensemble, pour se défaire de leurs ennemis respectifs. Une tâche difficile au vu de ces personnages démesurément puissants et dangereux, aux intérêts souvent divergents. Mais force est de constater que ça fonctionne : la Ligue d'Injustice grandit de jour en jour, et s'ils doivent encore s'organiser pour frapper leurs ennemis commun, ils ont bien compris leur intérêt à collaborer, et attendent dans l'ombre leur chance de frapper une bonne fois pour toutes...

Tous ces super-vilains sont unis sous la bannière de Lex Luthor et ses talents remarquables de diplomate, le seul dans cette assemblée à réussir l'exploit de tous les faire converger dans un but commun. L'expression "les ennemis de mes ennemis sont mes amis" est particulièrement vraie pour ce groupe, qui sait mettre ses différends de côté pour travailler ensemble. Pour autant, la méfiance continue de régner, Luthor toujours arrêté sur ses positions anti-métahumains ; mais quel meilleur moyen de prendre le dessus sur eux, qu'en se mêlant à eux et en faisant des plus dangereux ses propres alliés ?

Evidemment, la Ligue de Justice représente leur plus grand ennemi, et tous les membres de la Ligue d'Injustice sont des criminels notoires célèbres pour leurs hauts faits d'armes, et souvent recherchés aux quatre coins de la planète par les forces de l'ordre.


La Ligue d'Injustice regroupe des méchants issus de tous milieux, il s'agit là d'une assemblée très hétéroclite, mais tous partagent quelques points communs : ce sont des poids lourds, très lourds, capables de rivaliser avec les plus grands héros de la planète. Chacun d'entre eux est obnubilé par ses propres objectifs, qui peuvent souvent entrer en conflit avec les buts d'un autre membre de la Ligue d'Injustice - l'intervention de Luthor est toujours salvatrice pour éviter les guerres intra-utérines. Mais, similairement, la Ligue d'Injustice a aussi fait réaliser à certains de ses membres de nouvelles possibilités d'alliances et de coopération. Autrement dit, cette Ligue est un outil formidable, mais à double-tranchant, particulièrement délicat à manier pour son leader...

Pour le moment, ce sont surtout des alliances qui s'organisent, des alliances que la Ligue de Justice n'avait pas vues venir - mais des plans de plus grande envergure se préparent peut-être en coulisse, tout en s'ajustant en fonction des diverses menaces qui frappent le monde.


La Ligue d'Injustice ne compte que des supervilains, et des supervilains de gros calibre. On ne rejoint la Ligue que sur invitation personnelle de Lex Luthor - c'est lui qui choisit, soigneusement, les participants selects de ce qui constitue l'une des grandes oeuvres de sa vie.

Ce groupe n'est ouvert qu'aux personnages DC comics.

Cette équipe est composée des plus grands criminels incarcérés dans les prisons de Belle Reve, Iron Heights ou encore Blackgate dont certains disposent d'aptitudes et de pouvoirs surnaturels. Ils sont envoyés sur des missions jugées trop dangereuses pour l'armée américaine. Tel que l'entend son surnom funèbre, ces opérations-commando font des membres du crew, pour la plupart hantés par un drame intime, une véritable chair à canon. La Task Force X suit les ordres d'Amanda Waller qui a le pouvoir de faire exploser leur tête grâce à des nano-bombes implantées dans leurs nuques. Si les missions sont réussies, les membres de l'équipe obtiennent des remises de peine. Le grand public ne doit pas être informé de l'existence de la Suicide Squad et, si une mission échoue, les membres concernés seront tenus pour responsable aux yeux de la population en servant de bouc émissaire pour le gouvernement. Une situation peu enviable, donc, mais Waller est connue pour souvent ne laisser aucun autre choix.

Si Amanda Waller est celle qui donne les ordres, c'est Rick Flag, un agent A.R.G.US, qui supervise l'équipe sur le terrain et qui détient lui aussi le contrôle des bombes. En opposition à son commandement, Floyd Lawton, alias Deadshot, s'est hissé en tant que leader naturel de son équipe, rendant la relation entre les deux hommes très conflictuelle.

Les ennemis de la Suicide Squad sont évidemment la Ligue de Justice et les héros de la planète (qui n'approuvent pas ce regroupement de criminels), ainsi que toutes sortes d'adversaires trop dangereux pour l'armée. En soit, tout et n'importe quoi pourrait un jour se retrouver face à la Squad, à partir du moment où Waller en aura décidé ainsi.


Difficile d'avoir un noyau homogène quand il est composé de plusieurs individus aux intérêts bien personnels. Constituer une équipe c'est une chose, la faire fonctionner en est une autre. Il n'est donc pas rare de voir les membres du groupe être en désaccord ou tenter une approche plus égoïste. Afin de limiter la casse, c'est Deadshot qui est en charge de maintenir un minimum de cohésion et d'entente au sein de l'équipe. Tâche ardue, mais qui au fil du temps est devenue de plus en plus naturelle. Malgré les conflits, ils savent rester unis dans l'adversité quand il le faut, et peuvent faire preuve d'une réelle entente, tous liés par la menace d'une bombe qui pourrait leur ôter la vie au moindre faux pas. Ce qui est certain, c'est qu'à la Suicide Squad, on ne s'ennuie pas.  

Leurs missions peuvent aller de la récupération d'un artefact à la capture d'un individu dangereux. En soit, tout ce qui est bien trop risqué pour les militaires américains.



Pour rejoindre la Suicide Squad, il faut être un criminel emprisonné (de préférence à Belle Rêve, où se trouvent la plupart des membres). C'est Amanda Waller qui approche chaque individu qu'elle souhaite intégrer à l'équipe, leur proposant une remise de peine en échange de leur service. Et quand Waller s'intéresse à quelqu'un, le refus n'est pas une option.

Ce groupe est ouvert aux inventés.

Il s'agit d'une agence gouvernementale paramilitaire secrète des États-Unis, basée à Washingthon, dirigée par Amanda Waller, et dépendante de la Sécurité Intérieure. Sa devise est Noster Quaerere Incipere (Notre recherche commence). Son nom signifie Advanced Research Group Uniting Super-humans. Si officiellement A.R.G.U.S agit en tant que soutien de la Ligue de Justice, fournissant des ressources et faisant le ménage derrière leurs combats, officieusement, elle met également en place des plans d'urgence dans le cas où un super-héros déraillerait.

Pendant des années, le second, Steve Trevor, a élargi les fonctions de l'organisation, au point d'y inclure la surveillance des meta-humains et la prévention des menaces non naturelles. Ses agents confisquent des artefacts magiques et des technologies avancées, veillent sur les incursions d'autres dimensions et combattent monstres et surhommes menaçant les intérêts de l'Amérique et de l'humanité. Les menaces neutralisées sont cachés dans des centres de recherches tels que la Chambre noire, la Chambre rouge ou le Cirque. Il existe plusieurs sous-divisions, avec chacune un agent A.R.G.U.S qualifié à sa tête, et dont les missions peuvent être plus ciblées. Avec l'arrivée de plus en plus fréquente d'Hommes venus d'ailleurs et la prépondérance de la magie, il devient difficile de tout gérer en même temps. C'est pourquoi Trevor et Waller délèguent de plus en plus, tout en ayant bien évidemment un droit de regard absolu sur les actions (ou inactions) des divisions.

Quant à Amanda Waller (surnommée The Wall chez A.R.G.U.S), brillante analyste de la NSA, son intelligence, son don pour la direction et sa capacité à prendre des décisions difficiles lui ont valu de prendre la tête de l'agence et de diriger la Suicide Squad. Ayant le contrôle sur cette équipe composée de criminels et faisant preuve d'un tempérament aussi impitoyable que le leur, Waller est prête à torturer et tuer les candidats dès l'entrainement, utilisant des gaz neurotoxiques sur des prisonniers mutinés et n'ayant pas peur de mettre en danger des centaines de civils.


Amanda Waller sait tout et voit tout. Ou du moins, c'est l'impression qui se dégage de sa façon de diriger. Si A.R.G.U.S était premièrement destiné à servir de liaison entre les Etats-Unis et la Ligue de Justice, désormais, Waller semble agir en électron libre pour nourrir ses propres intérêts personnels. Obsédée par la menace meta-humaine, elle n'hésite jamais à emprisonner ceux qu'elle ne parvient pas à contrôler (ou à enrôler dans sa Suicide Squad), garnissant toujours un peu plus les sous-sols des différentes factions de l'agence. Tests scientifiques, mutations, clonage, il n'y a aucune limite à ses expériences douteuses sur les pauvres malheureux pris dans son filet. Mais le secret est bien gardé, elle s'en assure, et attention à l'agent qui oserait s'élever contre sa toute-puissance. Si en théorie personne n'est obligé de rester chez A.R.G.U.S contre son gré, en pratique, Waller prend ensuite un malin plaisir à s'immiscer plus ou moins subtilement dans la vie des déserteurs. A contrario, portant grand intérêt à la loyauté et au sens du devoir envers son pays, les plus fidèles sauront être récompensés et mis dans la confidence (ou plus justement, dans l'illusion de la confidence). Waller ne laisse aucun crime impuni, n'autorise personne à lui tenir tête, et tôt ou tard, elle obtient toujours ce qu'elle désire.  

Si elle travaille aux côtés de la Ligue de Justice, échangeant des informations et des artefacts avec elle, elle sait néanmoins garder les meilleures cartes de son jeu secrètes. Il y a beaucoup que les héros de la planète ignore sur cette femme de poigne, notamment son projet de trouver un moyen de mettre hors d'état de nuire chaque membre de la Ligue. Et dernièrement, il semblerait même qu'elle envisage de former son propre groupe de super-héros, pour faire concurrence à la prestigieuse équipe. Son pouvoir et son influence commence à déranger Steve Trevor, qui n'approuve pas toujours sa façon de faire les choses.



Pour parvenir à s'épanouir chez A.R.G.U.S, il faut avant tout apprendre à se plier aux ordres d'Amanda Waller. Cette dernière recrute ses agents avec beaucoup de minutie, et avec pour préférence les hommes et les femmes abîmés, sans avenir déterminé, et facilement malléables. Et sachez-le, elle a horreur que l'on lui dise non. Si vous voulez vivre une expérience intense de terrain ou aider à protéger l'humanité, l'agence est sûrement faite pour vous. Mais attention à la petite astérisque en bas du contrat, qui vous oblige à servir d'abord les intérêts de Waller, toujours.

Cette affiliation est ouverte aux inventés.

Dans la famille des organisations top secrètes blindées de mystères et de secrets, je demande... S.H.A.D.E. ! S.H.A.D.E signifie Super-Human Advanced Defense Executive. Active depuis plusieurs siècles, son but principal est de protéger l'humanité des menaces non-humaines, une mission qu'elle accomplit dans l'ombre et le secret le plus total depuis sa création. Et pour cause, le personnel de S.H.A.D.E est des plus singuliers, ses agents étant pour la majorité des homo magi, des méta-humains et des créatures en tous genres (par exemple, Frankenstein et Lady Frankenstein). S.H.A.D.E est une organisation à la pointe de la technologie où l'avancée scientifique règne en maître, et mêle cette dernière aux capacités extraordinaires de ses agents. Organisation anti-terroriste indépendante, S.H.A.D.E est néanmoins sur le point d'établir une nouvelle base aux États-Unis, Father Time désirant garder un œil sur l'évolution de cette nation si particulière (et pas forcément en bien...). S.H.A.D.E n'obéit à aucun gouvernement et va parfois à l'encontre des lois nationales et internationales pour atteindre ses buts, mais suite à une demande insistante des Nations Unies l'organisation est entrée en contact avec la Maison Blanche pour recruter ses nouveaux agents... N'en déplaise à Amanda Waller, S.H.A.D.E fera concurrence à A.R.G.U.S dans l'ombre !

Parmi ses agents, les plus remarquables sont bien entendu son directeur et fondateur, Father Time, un méta-humain bien mystérieux dont le sens de l'éthique laisse à désirer, et le célèbre monstre de Frankenstein, qui a repris le nom de son créateur. Frankenstein agit régulièrement comme bras droit de Father Time, et surtout, de caution morale plus que nécessaire dans cette agence très borderline.



S.H.A.D.E. est un peu le paradis de la science-fiction et des scientifiques fous. Ici, créatures de tous bords, chercheurs complètement givrés (souvent prompts à effectuer leurs expériences sur eux-mêmes), et aventuriers du bizarre se côtoient joyeusement au coeur de leur quartier général : la Fourmilière. La Fourmilière est une petite sphère d'un pouce de diamètre, constamment en mouvement à travers la planète, au coeur de laquelle est nichée une véritable ville avec sa propre atmosphère : les agents y accèdent grâce à une technologie de miniaturisation et de téléportation. Dans la Fourmilière, on trouve tout ce qu'il faut pour ravir les amateurs de science complètement zinzin : des laboratoires à la pointe de la technologie, très peu de considération éthiques, des gadgets dont même James Bond n'aurait pu rêver... Les Humanids, des êtres artificiels qui se régénèrent toutes les 24h, constitue la force ouvrière de la Fourmilière, permettant aux agents et aux scientifiques de se concentrer entièrement sur leurs travaux. Et, cerise sur le gâteau, chaque agent de S.H.A.D.E. a accès à S.H.A.D.E.net, un réseau télépathique qui leur sert d'internet - mais en mieux, puisque télépathique.

Agence principalement centrée sur l'anti-terrorisme, les missions de S.H.A.D.E. visent principalement à déjouer des complots, attaques, et menaces secrètes visant la Terre et l'humanité. Chez S.H.A.D.E., le mot d'ordre est discrétion : on agit dans l'ombre, à l'abri des regards, et avant que le reste du monde n'ait le temps de s'apercevoir du risque qu'il encourt. Et bien entendu, la recherche scientifique est un composant primordial de leur travail, complémentant à merveille le travail des agents sur le terrain.


Contrairement à Amanda Waller et sa Suicide Squad, Father Time recrute ses agents sans user d'autre chose que ses moyens de persuasion : les agents de S.H.A.D.E. rejoignent tous l'agence de leur plein gré (à quelques rares exceptions près), persuadé par de grosses sommes d'argent pour financer leurs recherches, la promesse de folles aventures, de pouvoirs, ou tout autre avantage que Father Time est ravi de fournir en échange de leurs bons et loyaux service. Les recrues de S.H.A.D.E. sont très variées : méta-humains, humains, homo magi, anciens militaires, avocats, espions, scientifiques, aventuriers, la force de leurs troupes réside dans leur folle diversité ! Tout ce qui compte, c'est d'avoir un talent (ou plusieurs !) utile à l'agence, et de ne pas avoir peur de se salir les mains et d'affronter plein de trucs bizarres.

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gcpd (police de gotham)
Il s'agit de la police de Gotham City, chargée de faire régner la loi et l'ordre tant bien que mal dans cette ville gangrenée par le crime. Le commissaire Gordon, à la notoriété avérée même au-delà de la ville, est la figure de droiture de la police, alors que nombre de ses agents sont corrompus par les différents gangs de Gotham. Difficile de savoir si l'on peut vraiment faire confiance à ceux censés nous protéger des criminels.

mpd (police de metropolis)
Les policiers et agents de Metropolis sont, d'après les études annuelles des ONG internationales anti-corruption et pro-transparence, dans le top 3 des polices du monde les moins corrompues et les plus intègres. Le peu de corruption qui affecte le MPD est lié aux activités clandestines de Luthor, mais la majorité du temps on ne parvient pas à le lier aux affaires louches car il camoufle bien ses traces. Beaucoup de polices des autres villes et Etats envoient des recrues se former au sein des unités de la ville du futur.

ccpd (police de central city)
Parmi les villes américaines, la police de Central City compte également parmi les moins corrompues du pays, mais n'atteint pas le niveau réputé de celle de Metropolis.

scpd (police de star city)
Si Gotham City est la seconde pire ville en matière de corruption policière, et corruption tout court, après Bludhaven, Star City ne suit pas très loin derrière ces deux-là. La police est plus violente et plus agressive que celle de Metropolis et de Central City, à l'image des héros qui les composent.



A Gotham, la pègre pullule sans limites, les fous arpentent les rues (lorsqu’ils ne sont pas sous les verrous de l’asile d’Arkham) et la police y est plus corrompue que partout ailleurs. La corruption est d'ailleurs certainement le symptôme le plus viral. Une corruption politique. Une corruption judiciaire. Ou parfois une corruption de l’esprit. Dresser une liste des dysfonctionnements judiciaire de la ville serait une tâche dantesque… Des cadres du Gotham City Police Department aux simples agents de patrouille, tous sont impliqués à des degrés différents dans des actes de corruption (pots-de-vin, chantage…), voire des crimes plus graves (trafic de drogue, meurtres…). Les maires de Gotham qui se succèdent n’améliorent pas la situation, à la solde du grand banditisme ou grands criminels eux-mêmes. Malgré les efforts du commissaire James Gordon (et, à un moment, ceux d’Harvey Dent) pour enrayer la corruption au sein du GCPD mais également dans les hautes sphères politiques, Gotham reste une ville gangrénée par sa criminalité, ceux qui y participent et ceux qui ferment les yeux.

Si Star City ressemble beaucoup à sa sœur du crime, bien heureusement, il existe encore des gens bons, prêts à s'impliquer pour la population qu'ils sont censés protéger en s'engageant. A Metropolis et Central City, l'ambiance y est bien meilleure, et chacun travaille main dans la main pour résoudre les crimes et larcins qui tapissent leur ville respective. Tout est donc question d'environnement, et comme toujours, Gotham est le pire endroit où essayer d'éradiquer le crime. Mais heureusement, certains n'ont pas perdu espoir, et même s'ils sont rares, les policiers droits dans leurs bottes récoltent les louanges de Gordon ou de Batman lui-même. Parmi eux, nous pouvons citer Renée Montoya et Harvey Bullock, qui font de leur mieux pour ne pas sombrer dans la facilité de la corruption. Ces courageux qui osent tenir tête aux criminels sont devenus la cible des gangs, désireux d'ôter ces cailloux dans leurs chaussures. Devenir policer n'est donc pas un métier sans risque, surtout à Gotham, mais sans ces gens, aucun doute que la situation serait d'autant plus désespérée.



N'importe qui peut rejoindre les rangs de la police. Selon où ils habitent, cependant, la situation pourrait être radicalement différente. Si pour Gotham avoir des valeurs est un risque, à Metropolis l'épanouissement est presque assuré. Ce qui est certain, c'est que le courage est le maitre mot pour exercer ce métier dangereux mais si important.

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La Ligue des Assassins est une organisation si ancienne (des textes datant de 3200 ans avant J-C, date des premiers écrit en font mention) et elle est si secrète qu'on connaît peu de choses à propos d'elle. La plupart des individus ignore d'ailleurs son existence. Basée à Nanda Parbat, elle est composée de plusieurs centaines d'assassins dirigés par un seul homme que l'on nomme Ra's al Ghul. Celui-ci a alors accès aux eaux du Puits de Lazare qui sont capables de soigner n'importe quelle blessure et de ramener les gens à la vie. Dès que le dirigeant meurt, un autre homme prend sa place et son titre.

Ses membres sont pour la majorité des ninjas surentraînés non seulement au combat mais aussi à tous les arts annexes, de type camouflage, poison, etc. Ils sont présents partout dans le monde, telle la toile d'araignée de Ra's Al Ghul, véritable Napoléon du Crime, conquérant et plus grand stratège jamais connu. Leur mission est d'épurer une planète polluée par le vice et la médiocrité, dans le but de créer un monde meilleur selon les idéaux de leur Messie auto-proclamé.

Pendant des siècles, la Ligue a vendu les services d'un agent, d'une équipe ou de toute l'organisation aux puissants de toutes les nations. Cela a permis de financer ses entreprises et de renforcer les avantages politiques de sa clandestinité. Elle a aussi enseigné l'art du combat durant toute l'histoire humaine. Responsable de la formation de nombreux guerriers, Damian Wayne, Jason Todd, Lady Shiva ou encore Bane ont appartenu à leurs rangs.

La Ligue a tendance à être très démodée à bien des égards, y compris dans leurs méthodes de communication, telles que l'encre invisible qui est rendue lisible lorsqu'elle est exposée à une flamme, ou à des colonnes de fumée pour signaler un emplacement. Ils préfèrent également les arcs et les flèches, les bâtons et autres armes de l'époque médiévale, et délaissent presque systématiquement les armes à feu.

Lors de leur initiation, les membres choisissent de nouveaux noms en langue arabe pour se distancier de leur vie passée et renaître en quelque chose de nouveau. Il semble même que l'apprentissage de cette langue soit une condition d'adhésion, car de nombreux membres de la Ligue (même ceux dont la langue maternelle n'est pas l'arabe) ont été entendus la parler.



La Ligue suit un code d'honneur très strict, et ceux qui sont assez fous pour le violer sont rapidement pourchassés et tués. Celui qui enfreint les règles doit donc vivre sans cesse avec la crainte d'être traqué jusqu'à la mort. D'abord sont envoyés les membres les moins qualifiés, puis si leur proie continue de s'échapper, c'est ensuite l'élite qui est chargé de régler le problème. Pour être libéré définitivement de son emprise, il n'y a que deux moyens : mourir, ou être relâché. Et l'émancipation est extrêmement rare. Quand vous êtes enrôlés dans la Ligue, c'est donc un contrat à vie que vous signez avec eux. Par ailleurs, si l'un d'entre eux est tué de sang froid, c'est 50 civils innocents par jour qui vont être assassinés en attendant que le responsable se dénonce et soit amené devant leur justice. Avec la possibilité d'affronter Ra's lui-même dans un duel judiciaire à l'issue toujours identique. Rares sont ceux qui peuvent battre le maitre, et beaucoup préfèrent choisir la mort directement.
Mais en échange de loyauté absolue, il est évident que chaque membre atteint un niveau d'excellence inégalable, allant jusqu'à la capacité de pouvoir s'échapper de n'importe quelle prison, ou encore à résister aux techniques d’interrogatoires les plus poussées.

Malgré la discipline radicale qui règne au sein de la cité, il arrive que certains émissaires de Ra's Al Ghul se retournent contre lui, allant parfois jusqu'à fonder leur propre organisation rivale. Quant à Talia, sa propre fille, elle n'hésite jamais elle aussi à s'opposer à son illustre père quand il s'agit de nourrir ses propres intérêts.


C'est la Ligue qui vous trouve, et rarement l'inverse. Régulièrement en quête de nouveaux guerriers à enrôler, elle est attentive aux âmes en peine qui ont besoin d'une renaissance. Mais gardez bien à l'esprit qu'en intégrant leurs rangs, toute faiblesse est à proscrire. Loin d'être un camp de vacances, nombreux sont ceux qui ne tiennent pas le rythme extrêmement soutenu des entrainements, ou même encore la sévérité des punitions à chaque échec. Quand vous rejoignez la Ligue des Assassins, il n'y a que la mort qui vous en libère.

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La Cour des Hiboux est une organisation criminelle secrète qui est à la fois connue et méconnue, tenant souvent de la rumeur voire du mythe auprès des habitants de Gotham. Elle contrôle la ville par des ramifications implantées depuis des siècles dans toutes les structures stratégiques (politique, économique, financière, juridiques, etc.), et est composée principalement des familles aisées de la ville, a fortiori aristocratiques. Nul ne sait qui ils sont vraiment, ils se rassemblent dans des lieux tout aussi secrets, arborant des masques de hiboux et de chouettes, pour traiter des affaires, corruptions, et stratégies à adopter. La Cour recrute des enfants du Cirque Haly (le cirque où Dick Grayson a grandi) pour en faire des assassins, surnommés les Ergots (Talons en VO). Le hibou, symbole de la communauté, est le prédateur naturel de la chauve-souris, au sens propre comme au figuré. De par ses membres richissimes autant que par leurs places stratégiques, elle dispose de ressources considérables. Elle est au courant de tout ce qui se passe dans Gotham, et on la soupçonne même d'avoir indirectement la main mise sur chacun de ses gangs et de ses mafias.

Voici quelques noms ayant appartenus à la Cour : R.H Orchard (constructeur du Orchard Hotel, son fils Benjamin rejoindra le cirque Haly), Thurston Moody (un noble de la ville qui kidnappait des enfants pour en faire ses esclaves), Sebastian Clark (ancien grand maître de la Cour).

L'arme de la Cour sont les Ergots, de puissants assassins qui leur sont entièrement dévoués. Endormis dans un sanctuaire, ils se réveillent uniquement quand ils sont "appelés", et amenés à exécuter les desseins de leurs commanditaires. Quand ils meurent lors de missions, ils sont ramenés à la vie à l'aide d'un sérum concoctait par la Cour. En revanche, un seul est activé à la fois, et le nouveau Ergot se doit d'assassiner son prédécesseur pour prouver son efficacité. Experts au corps à corps et excellents dans la maitrise de l'arme blanche, ils sont de redoutables et coriaces adversaires.


Difficile de mettre des mots sur ce qui se passe réellement au sein de la Cour, tant le secret est de mise. L'identité de chacun est cachée par un masque, assurant leur anonymat ainsi que leur immunité. Car il ne faut pas l'oublier, les membres sont tous des gens de l'élite de Gotham, ce qui leur offre un énorme contrôle sur le fonctionnement de la ville, en plus de la certitude de rester intouchables. Le pouvoir, voilà ce qu'ils sont. En plus des Ergots, certains hauts placés, tels que les politiciens, cherchent à modeler Gotham selon leurs envies, et la question d'interdire les héros masqués a souvent été envisagée. Quand ils ne parviennent pas à obtenir satisfaction sous leur masque de hibou, ils se servent de leur influence politique ou mondaine pour accomplir leurs sombres buts.

Des preuves de leur existence remontent jusqu'aux années 1600, et ils sont depuis impliqués dans de nombreux actes criminels à Gotham. Détenant carrément le droit de vie ou de mort sur les citoyens, leur pouvoir font d'eux les bâtisseurs et les marionnettistes de toute la ville. Les arrêter est presque impossible, car il est bien difficile de déterminer de façon certaine qui ils sont et où ils se cachent. Leurs bases d'opération sont en vérité dissimulées sous les infrastructures les plus anciennes de Gotham. Ils possèdent également un labyrinthe géant, construit par leurs soins, et destiné à emprisonner et rendre fou leurs proies.

Une comptine leur a été dédiée, mais encore aujourd'hui, beaucoup sont persuadés que la Cour des Hiboux n'est qu'un mythe :

"Beware the Court of Owls, that watches all the time,
Ruling Gotham from a shadowed perch, behind granite and lime.
They watch you at your hearth, they watch you in your bed.
Speak not a whispered word about them, or they'll send the Talon for your head."



Pour être un membre de la Cour, il faut appartenir à l'élite de Gotham. Politiciens, entrepreneurs, aristocrates, ce sont eux qui gagnent leur ticket d'entrée dans l'organisation la plus puissante de la ville. Et bien entendu, tous sont sans scrupules et obsédés par la domination d'autrui. Ils ne sont ni plus ni moins que des criminels très bien organisés, pourvus de moyens collossaux, et entourés d'une aura secrète et mystérieuse.

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Le gang du Joker
Personne n'ignore qui est le Joker, et ce bien au-delà de la seule ville de Gotham. C'est pourtant là que le sinistre clown criminel aime semer la terreur, et que depuis des années, il sévit dans toute sa folie. Beaucoup de rebuts de la société, de fous à lier autant que de criminels voulant juste se défouler, ont rejoint le Joker pour former son gang. Il faut être de toute façon un peu fou pour suivre un fou. Cannibals, pédophiles, zoophiles, tueurs en série, schizophrènes, et autres monstres du genre ont trouvé un refuge pour épanouir leur folie, là où tous les autres gangs et mafias les rejettent car incontrôlables. Tous craignent leur chef qui peut se retourner contre eux sur un coup de tête, mais une chose est sûre, c'est le prix à payer pour participer aux crimes les plus funs, les plus malsains et sans limites de toute la planète. Car le Joker et ses idées aussi psychotiques que géniales n'ont pas d'égaux en la matière.
Les membres du Gang arborent des peintures et maquillages de clowns, et souvent des vêtements débraillés. Le Gang sévit surtout dans les coins les plus pauvres et mal famés de Gotham, mais n'ont aucun scrupule ni aucune peur d'aller ailleurs si cela leur chante. Leur quartier général est au parc d'attraction, qui la nuit devient un lieu digne d'un film d'horreurs.

Le gang du Pingouin
Le Gang Umbrella est la mafia d'Oswald Cobblepot, couramment surnommé Le Pngouin. Il gouverne une vaste partie de Gotham, et tout le monde le sait. Dans ces territoires, rien ne se passe sans qu'il ne soit au courant par le biais de ses hommes de mains et indics dissimulés parmi la population. Il est tellement puissant que c'est à peine s'il s'en cache, et tout le monde sait où le trouver : à l'Iceberg Lounge, le bar sélect et VIP le plus en vogue de Gotham. Seules les grosses fortunes et personnes de pouvoir (politique) y ont leur droit d'entrée, et ceux ayant été invités par elles. Industriels, juges, maires, députés, avocats, et autres représentants de métiers stratégiques y vont régulièrement, conférant l'immunité visible du Pingouin, dont le bras est plus que long à Gotham. C'est évidemment un lieu de façade pour le blanchiment d'argent, entre autres activités.

Le gang de Black Mask
Rival principal du Pingouin, Black Mask est celui qui est parvenu à rassembler sous sa coupe les familles mafieuses de Gotham qui autrefois se faisaient la guerre, les Falcone et les Maroni. Très rares sont ceux qui connaissent la véritable identité de Black Mask, Roman Sionis, identité que tous ses ennemis cherchent à découvrir pour le faire tomber, et qu'il protège jalousement. Homme d'affaires hors pair, mafieux jusqu'aux ongles, impitoyable et respecté, Black Mask et sa mafia règnent sur une bonne partie de la ville, d'égale importance que celle du Pingouin.

Le gang de l'Epouvantail
Les dealers de Jonathan Crane sont spécialisé dans le trafic de drogues, de médicaments et de psychothropes extrêmement rares. L'Epouvantail étant un génie scientifique dans ce domaine et celui de la chimie cérébrale, il fabrique lui-même de nouvelles drogues qui inondent régulièrement le marché noir de Gotham et même au-delà. Il n'y a aucune drogue ou médicament inconnu pour lui. Loin d'avoir un territoire à lui et plutôt indépendant et nomade, le Gang de l'Epouvantail est présent partout et nulle part à la fois, et loue parfois ses services et son trafic à d'autres chefs de gangs en fonction de ses intérêts et envies. Ses dealers sont partout mais l'Epouvantail lui, est très dur à trouver en personne, car sa hiérarchie pyramidale laisse ses sbires dans l'ignorance, sans parler des drogues dont ils sont abreuvés.

Le gang de Bane
Bane a été exclu de la Ligue des Assassins par Ra's Al Ghul, mais n'a pas arrêté pour autant d'appliquer leur code et de viser leurs objectifs. Ses hommes, tous mercenaires comme lui, l'ont suivi, et depuis les seigneurs de guerre de Bane opèrent en renégats à la fois selon les préceptes de la Ligue, mais aussi pour leurs propres intérêts. Ainsi, ces "chiens de guerre" agissent souvent pour diverses autres organisations qui les paient bien, ou pour des services dont Bane a besoin. Ils agissent à Gotham mais aussi partout dans le monde, souvent au coeur de conflits géopolitiques d'actualité.



Le grand banditisme occupe malheureusement une place prépondérante dans l’écosystème criminel de la ville. C’est la famille mafieuse Falcone qui s’est imposée comme la plus emblématique, suivi par la famille Maroni, son éternelle rivale. Mais ce n'est plus un secret pour personne, Gotham est également le terrain de jeu de multiples organisations criminelles, dont Black Mask, Oswald Cobblepot et le Joker, pour ne citer qu'eux, sont à la tête. Et chacune d'elle cherche à étendre toujours plus son influence. Un climat de danger permanent règne donc sur la ville, et ce sont les habitants innocents qui sont les dommages collatéraux de ces rivalités incessantes. Malgré tout, il existe une certaine hiérarchisation dans le milieu, et chaque gang a son quartier attitré, où il est libre de faire ce que bon lui semble. Et attention à celui qui ne respecterait pas cette règle. Empiéter ou convoiter les possessions des autres est souvent synonyme d'exécution. Autant dire qu'il s'agit là d'une guerre sans fin, où tous cherchent à exploiter les faiblesses des autres pour devenir celui qui dominera la ville. Un quartier, c'est bien, un empire, c'est mieux, et tous les coups sont permis.



N'importe quel habitant de Gotham, à la moralité douteuse, peut trouver sa place dans l'un des gangs. Même si les risques sont grands, entre la possibilité de contrarier son boss ou d'être attrapé par le GCPD, certains parviennent à gravir les échelons et deviennent des éléments indispensables pour la conquête du pouvoir. Disons que c'est un peu à double tranchant. Entre ceux qui tirent leur épingle du jeu et ceux qui ne sont ni plus ni moins que de la chair à canon, flirter avec la haute criminalité de Gotham est digne d'une périlleuse partie de poker.

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