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 Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz

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Vandal Adg Savage


Vandal Adg Savage

super villain

Messages : 334
Date d'inscription : 22/06/2021
Face Identity : Johnny Depp
Crédits : Obsidian
Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz Original
Age du personnage : L'apparence d'un corps est une chose alors que l'âge réel en est un autre. À première vue, il semble avoir dans la mi-quarantaine, en réalité, il est le plus vielle homme à avoir marché sur la Terre, ce dernier présentant plus de 50000 années au tableau.
Ville : Il vit principalement dans son manoir près de Métropolis, mais ses demeures sont multiples à travers le monde.
Profession : Il les considère nombreuses ses tâches. Ce décrivant lui-même comme un Terroriste, un meurtrier, un tueur en série, il se voit aussi comme un Roi, un pharaon, un général, un dictateur. De par sa longue vie, il est aussi le plus grand conquérant de tous les temps, ce qui le pousse à s'autoproclamer Dieu.
Affiliation : Les Illuminatis dont il est le chef, sinon il parcourt les villes en solitaire à la recherche du pouvoir absolu.
Situation Maritale : Il ne porte pas une réelle envie d'amour dans son cœur. À ses yeux, ce genre d'union n'est utile qu'à prolonger sa vie grâce aux enfants qu'il engendre.









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MessageSujet: Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz   Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz EmptyLun 26 Juil - 1:49

Adrianna Tomaz &
Vandal Adg Savage

Bow to my will

« Qu'est-ce que...Qu'est-ce que tu m'as fait?! »

Les mots de la femme le firent sourire. Pas un rictus rempli de bonheur non, mais plutôt un rempli de satisfaction. Il tenait là l'arme ultime, autant contre son vieux rival que contre la planète entière. Une véritable force de la nature... Isis. Avec la déesse élémentaire sous son emprise, qui pourrait réellement se dresser devant lui ? Qui oserait non seulement ? Adam ? Superman ? Les deux avaient la force pour rivaliser, mais Vandal avait les ressources pour les mettre à genoux. Des armes qui le plaçaient déjà vainqueur face à ces deux puissances. La magie pour l'homme d'acier et la déesse pour le champion du Kahndaq. L'incantation l'avait ramenée, mais n'avait en rien chassé les questions qu'il était facile pour Vandal de voir dans les yeux de la femme. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait présentement et Savage était la seule personne qui pouvait éclaircir ses idées.  Or, c'était loin d'être dans ses intentions primaires. Tout ce qui comptait, c'était son succès, sa victoire. Il décida de se nourrir de cette confusion pour écraser un peu plus le libre-arbitre de la championne de la magie. L'esprit troublé de la femme, tout comme sa renaissance, venait confirmer l'étendue des pouvoirs mêmes de l'ibistick. Longtemps, il avait lu à son sujet, mais jamais il n'avait pensé la relique aussi puissante. Maintes fois il avait fondé un espoir en un écrit qui, au final, ne s'était avéré que tromperie. Il avait fait des pieds et des mains pour se retrouver en ces lieux. Si sa démarche n'avait finalement abouti à rien, dieu sait qui aurait souffert des conséquences et à quel point. Vandal sourit malicieusement à la personne qui lui faisait face avant de laisser son regard être guidé par la traînée de sang qu'il avait lui-même faite glisser sur la peau encore pâle de celle qui lui faisait maintenant face. « Ce que j'ai fait? J'ai fait tourner le vent en ma faveur, tout comme tu feras s'élever les tempêtes en mon nom. » Pas besoin de passer par mille et un chemins, Anubis lui avait rendu son âme, mais c'est le sang de Savage qui avait scellé la volonté de la femme dans un autre tombeau, la soumettant ainsi aux désirs les plus fous de l'homme de cro-magnon.

Vandal fit un pas vers l'arrière, laissant un espace entre lui et le tombeau pour qu'Isis fasse enfin son premier pas en six ans de repos. « Lève-toi et viens jusqu'à moi, championne. » Peut-être avait-il planifié son plan de a à z, mais il devait aussi s'assurer de son emprise. Pouvait-il réellement la contrôler à sa guise ? Pouvait-il la forcer à passer l'une de ses mains contre la joue de Black Adam pour l'attendrir avant de lui arracher le cœur de l'autre ? Adg recula une nouvelle fois, avant de serrer sa main contre l'objet doré. Il pouvait le sentir, ce pouvoir envoûtant. Plus il resserait son emprise, plus la force de l'ibistick grandissait. Son sang coulait en amont, mais c'était un prix si faible à payer pour la sensation de force qu'elle lui offrait en retour, pour le contrôle qu'il tenait entre ses doigts. La déesse fit un pas dans sa direction, un petit pas qui força un nouveau un sourire sur le visage de l'homme. Isis franchit le début du pentagramme, arrêtant son corps à quelques centimètres de celui de son nouveau maître incontestable. Une goutte de sang s'échoua au sol, avant qu'une autre termine sa course sur les vêtements de celle qui était morte il y a de cela quelques minutes. Vandal passa sa main contre le bras d'Adrianna avant de faire glisser ses doigts contre la sienne. Un court moment de douceur, comme s'il cherchait à rassurer l'âme de la défunte, une âme encore pertubée. Cette angoisse, il la voyait dans ses yeux, il la lisait dans ses moindres mouvements.

Les yeux de l'homme parcoururent le décor qui les entourait, avant de s'arrêter une nouvelle fois dans ceux de la femme. « Ton esprit est troublé, ton cœur est lourd et tes pensées sont floues. Tu ne sais pas où tu es ou ce qui t'est arrivé. Tout deviendra bien vite plus clair, mais sache une chose... Certains me maudiront comme l'enfer. Or, toi... Toi, tu sauras qui je suis, tu suivras mes commandements, tu supplieras mon nom. » Il replaça les cheveux de la femme avant de reprendre là où il avait arrêté. « Prouve-moi que tu ne réponds qu'à ma volonté... Prouve-moi que tu es mienne... » Vandal ouvrit les bras, offrant ainsi une ouverture à la femme. « Montre-moi cette force qui sommeille en toi. Frappe moi de toute tes forces Ô mighty Isis. »


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Adrianna Tomaz


Adrianna Tomaz

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Age du personnage : 37 années se sont écoulées au sablier
Ville : Shiruta, royaume des grands champions, oasis paradisiaque au sein du désert
Profession : Siégeant jadis aux côtés du grand Teth Adam, tu peines aujourd'hui à te retrouver au travers du brouillard qui assiège tes esprits
Affiliation : Associée à la Black Marvel Family, tu juras jadis loyauté au Kahndaq, à son peuple et à son dirigeant, mais aussi à toute humanité n'attendant que d'être sauvée
Compétences/Capacités : Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz Ezgif.com-gif-maker-681bc152ed26c00e24
L'amulette dont t'a fait grâce Black Adam te procure des pouvoirs qui dépassent l'entendement. Lorsque tu prononces les fameux mots Mighty Isis, toi, Adrianna Tomaz, tu deviens la réincarnation même de la déité à l'origine de tes dons. Dotée d'abord de capacités surhmaines décuplées tant au niveau de la force que de la vitesse ou l'endurance, tu possèdes aussi la faculté de te laisser planer pour voler jusqu'où bon te semble, un cadeau qui te permet de t'évader loin du monde lorsque tu as besoin de te retrouver. Plus important encore, il t'est possible de contrôler la nature sous ses différentes formes: Chlorokynésie, aérokynésie, pyrokinésie, géokynésie et hydrokinésie. Bref, les possibilités sont illimitées. Tu vas même jusqu'à contrôler l'amtosphère, autrement dit la météo, chose à laquelle tu dois toutefois porter attention puisque celle-ci est sensible à tes humeurs ainsi qu'à tes émotions.

Or, ces capacités extraordinaires, tu ne les as que parce qu'Isis en a décidé ainsi. Dans l'optique où tu viendrais à perdre possession de la relique ou s'il s'avérait qu'un jour la déesse t'estime indigne de sa magie divine, tu redeviendrais aussitôt une modeste Terrienne, plus que jamais vulnérable à la mortalité et aux blessures tant mineures que majeures.

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Nothing will escape nature, and as Isis, I am nature


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Do you think there is something
wrong with me...?

Situation Maritale : Ton coeur trouble se perd, atteint, blessé, injustement privé de ces sentiments qui autrefois l'habitaient









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MessageSujet: Re: Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz   Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz EmptyLun 2 Aoû - 17:25

Bow to my will
Tu n’y comprends rien, à cette scène cauchemardesque qui se déroule sous tes yeux, à cette nouvelle réalité horrifiante qui est désormais tienne. Il y a quelques minutes à peine, tu n’appartenais pas à ce monde. Non. Il y a quelques minutes, tu étais morte. Pourquoi? Comment? Depuis quand? Tu n’as la réponse à aucune de ces questions encore, par Atum tu ignores tout jusqu’à même ton propre nom, mais une chose t’apparait maintenant claire à travers cette tempête de sable aveuglante au cœur de laquelle tu tentes de te sortir à tâtons : L’homme qui se dresse devant toi est celui qui t’a ramenée à la vie, qui a dupé Anubis pour rapatrier ton âme à cette enveloppe charnelle que tu revêtis jadis. À priori, tu pourrais lui être innocemment reconnaissante, penser que cet affront dissimule derrière de bonnes intentions, mais il faudrait être risiblement naïve pour se laisser croire à de telles sottises. Ce sinistre personnage t’a certes redonné le souffle qu’on t’a autrefois arraché, mais quelque part au plus profond de toi, tu sais qu’il existe bien pire que la mort et l’angoissant pressentiment que tu ne tarderas pas à découvrir cette sombre alternative te retourne douloureusement l’estomac. S'il t'a fait renaître, s'il t’a tirée de ton sommeil profond, extirpée du tombeau qu’il a éhontément profané, il t'a aussi plongée par la même occasion dans ce rêve lucide, cette frayeur nocturne de laquelle ton être refuse de s’éveiller. Tu as conscience de tes moindres gestes, du picotement qui se répand sur la plante de tes pieds lorsqu'ils effleurent le sol pour la première fois, de chacun des pas que tu fais malgré toi - ou est-ce de plein gré? - dans la direction de celui qui t'en a intimé l'ordre. Tu tentes d'y résister, au début, à cette force qui remodèle ta volonté, à cette seconde nature qui te tord le bras à son moindre caprice. Une vaine lutte qui se termine fatalement avec vos deux êtres à la portée l'un de l'autre. Cette fois, le grotesque réconfort qu'il t'offre avec amusement, tu le rejettes d'un revers brusque de la main, dégageant ton bras avec vivacité pour rompre ce contact qui laisse sur ta personne un odieux ressenti. Tu refuses qu'il t'approche, qu'il ose ne serait-ce que te frôler du bout des doigts. Tu le lui aurais bien fait comprendre de vive voix si tu n'avais pas eu cette impression qu'il y verrait-là une provocation, un défi. Tu ravales donc tes insultes avec dédain, écoutant, révoltée, jusqu'à la dernière de ses venimeuses paroles. L'homme prononce son discours outrageant avec une assurance déconcertante, comme s'il ne faisait que statuer sur l'inévitable. Ses mots, ils n'ont pas le même effet sur toi que ceux qui t'ont forcée à te présenter devant lui. Ils te font frissonner d'indignation, mais tu leur demeure étrangement indifférente... Du moins jusqu'à ce que  ton pire cauchemar du moment ne récidive.

L'histoire se répète. En quelques mots insouciamment balancés, on te replonge dans cet état de transe où ton esprit et ton corps se livrent un combat déjà gagné d'avance par le second. Sa demande relève du suicide, mais il te fait plaisir d'y céder, sous l'emprise ou non de cet envoûtement dont tu n'arrives toujours pas à percer les mystères. Tu resserres doucement la main alors que les flammes vacillent autour de vous, agressées par une brise soudaine qui s'élève. Tes cheveux vaguent dans le vent qui se fait momentanément plus puissant, imposant. Il s'infiltre par les labyrinthes du tombeau, siffle la menace dans vos oreilles et soulève le sable autour de vous dans sa course vers ton poing autour duquel il se canalise. Celui qui attend que tu le frappes de ta foudre ne se fait pas prier bien longtemps. En réponse à ses désirs, et assurément aussi aux tiens, tes jointures percutent son thorax de plein fouet. Or, ce n'est pas la faiblesse de tes muscles encore engourdis qui le propulse contre le mur de la salle, mais bien la fureur titanesque de la tempête qui accompagne ton coup, un pouvoir que tu sembles détenir mais duquel tu n'as aucun souvenir, aucune maîtrise. L'impact te surprend aussi bien qu'il surprend les fondations de la pyramide qui, à la façon de l'homme tombé plus loin, grondent de douleur, épris d'un tremblement faisant danser les cailloux à vos pieds. La poussière se glisse en chutes au travers des craques entres les rochers qui s'écroulent, l'un d'eux s'écrasant si près de toi que tu manques de perdre pied. La colère du tombeau résonne dans la grande salle l'espace d'un instant qui s'éternise, te laissant incertaine sur la suite des choses. Le plafond allait-il donc vous tomber sur la tête? Il faut croire que non.

Lentement, le silence revint s'immiscer, timide. Toi, tu restes immobiles, encore aux prises avec cette déstabilisante révélation. Cette puissance qui vous avait secoué, était-elle véritablement tienne? La remarque incompréhensible de ta victime te revient en tête. J'ai fait tourner le vent en ma faveur, tout comme tu feras s'élever les tempêtes en mon nom. Fébrile, tu scrutes ta main, comme si l'explication à cette force herculéenne y était tatouée, puis tu le scrute à son tour, lui qui repose inerte au sol. Est-il...? Impossible. Tu ne saurais dire pourquoi, mais tu as la terrible impression qu'il ne sera pas aussi aisé de se débarrasser de lui. Et puis, aussi horrible que cela puisse te sembler, tu ne veux pas qu'il meure. Tu ne veux pas prendre de vie, et même si l'admettre te soulève le cœur, tu ne peux pas non plus  nier que sans lui, bon nombre de tes questions demeureront sans réponse. Il est le seul qui sache ce qui se trame, quelle est cette malédiction qui t'habite et il est aussi le seul qui puisse présentement t'éclairer sur qui tu es, où vous êtes. C'est donc un mélange paradoxal de déception et de soulagement qui se réfugie en toi lorsque celui qui a encaissé ta frappe se redresse maladroitement sur ses genoux. D'une main guidée par l'instinct, d'un mouvement qui s'apparente bien plus à un réflexe qu'à un acte réfléchi, tu commandes les vents vers lui sans même lui laisser la chance de se redresser. Il est dangereux, tu le sais, tu le sens. Il t'a déjà prouvé exercer une emprise inéchappable sur toi, tu ne lui laisseras certainement pas l'occasion de t'en faire une nouvelle démonstration. Ta paume ouverte en sa direction, tu le soumets à la pression de l'air qui plaque son dos sans ménagement à la surface contre laquelle il s'est écrasé plus tôt, au grand désespoir du tombeau déjà fragile qui frémit à nouveau. La pression qui s'impose contre son torse est telle qu'il serait inconcevable pour un humain d'arriver à échapper une seule syllabe. « Je ne supplie personne! Je n’appartiens à personne! Et tu te trompes grandement si tu crois que je vais passivement me plier à qui que ce soit. » Tu t'avances, cette fois de pleine conscience, mais sans aller dans l'excès. Tu ne vas pas imprudemment te mettre à risque, mais tu ne crains pas non plus de l'approcher. Aurais-tu dû fuir? Te montrer plus méfiante? Assurément. Or, tu n'as pas froid aux yeux et livrée à cette ignorance totale dans laquelle tu es plongée, tu ne peux que te fier à tes instincts - qu'ils te jouent ou non des tours. Tu n'as pas l'intention de baisser la tête devant cet arrogant qui ne prend même pas la peine de dissimuler le sombre dessein qu'il prévoit.  Il t'a réveillée, puis il a tenté de te contrôler. Maintenant, tu veux qu'il ait une bonne idée de l'erreur qu'il a commise, mais surtout, tu veux savoir. Comprendre. « Je veux des réponses. Qui es-tu? Pourquoi m'avoir ramenée? Qu'est-ce que tu attends de moi? Et je ne me répéterai pas une troisième fois: Qu'est-ce que tu m'as fait? » Ton pied botte accidentellement la relique qui était plutôt en possession de ton interlocuteur. Le bruit attire ton attention, puis ton regard. Un tu-ne-sais-quoi t'attire, capte avarement ton intérêt. Tu as la curieuse impression qu'elle te parle, qu'elle murmurre à la fenêtre de ton âme.
‹c› Vanka
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Vandal Adg Savage


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Age du personnage : L'apparence d'un corps est une chose alors que l'âge réel en est un autre. À première vue, il semble avoir dans la mi-quarantaine, en réalité, il est le plus vielle homme à avoir marché sur la Terre, ce dernier présentant plus de 50000 années au tableau.
Ville : Il vit principalement dans son manoir près de Métropolis, mais ses demeures sont multiples à travers le monde.
Profession : Il les considère nombreuses ses tâches. Ce décrivant lui-même comme un Terroriste, un meurtrier, un tueur en série, il se voit aussi comme un Roi, un pharaon, un général, un dictateur. De par sa longue vie, il est aussi le plus grand conquérant de tous les temps, ce qui le pousse à s'autoproclamer Dieu.
Affiliation : Les Illuminatis dont il est le chef, sinon il parcourt les villes en solitaire à la recherche du pouvoir absolu.
Situation Maritale : Il ne porte pas une réelle envie d'amour dans son cœur. À ses yeux, ce genre d'union n'est utile qu'à prolonger sa vie grâce aux enfants qu'il engendre.









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MessageSujet: Re: Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz   Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz EmptyVen 13 Aoû - 2:47

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Vandal Adg Savage

Bow to my will

Quelques mots seulement et elle était sous son emprise, envoûtée et sans volonté propre. Tout ce qu'il espérait, et même plus encore. Il l'avait regardée faire des pas vers lui, sans qu'elle n'ait même la chance de défier ses mouvements et pour être franc, il avait aimé l'effet. Il avait savouré, évidemment. Il vivait pour cela, pour avoir un contrôle absolu sur toutes et chacune des situations qui lui arrivaient. Pour s'assurer tôt ou tard d'être celui que les gens allaient suivre sans même broncher, de gré ou de force. Car, si tel était son désir, alors tel serait sa réalité et désormais, c'était avec elle, Isis, que tout allait commencer. Il avait des armées prêtes à mourir pour lui, des gouvernements qui le craignaient plus que tout, mais une fois de plus, ça n'était pas assez pour contenter son avide besoin de pouvoir. L'immortel voulait plus, l'immortel voulait tout. Et maintenant, il l'avait. Une nouvelle arme entre ses mains. Il se savait déjà plus puissant, plus près du but ultime de conquête, de suprématie. Avec la grande déesse de la magie à ses côtés, il s'imaginait pratiquement revivre l'époque de Morgane, celle qu'il avait jadis chérie et portée à son dernier souffle. Satisfait du résultat, Adg ne sut pas se défaire du grand sourire présent sur son visage. Il éleva le son de sa voix pour s'assurer de s'entendre, pour s'assurer qu'elle l'entendait bien. Si la première commande qu'il avait donnée n'avait pas eu d'effet majeur, la nouvelle allait tout changer. Il était temps qu'il soit témoin de la vraie force qu'il avait éveillée, qu'il découvre si son précieux temps avait été dépensé vainement ou astucieusement investi.

La plupart des gens auraient été étonnés d'entendre les vents s'élever à l'extérieur de la nécropole. Pour lui, c'était tout le contraire, c'était ce qu'il attendait en vérité. Son air amusé avait laissé place à une douce impatience qu'il lui était impossible de dissimuler. Ses yeux suivirent les grains de sable qui s'élevaient. Déesse des éléments, rien de très surprenant. Il attendait que le coup arrive pour en juger la force, mais déjà, il ressentait une partie de celle-ci dans les aléas des vents qui avaient trouvé le moyen de s'élever malgré l'épaisseur des pierres qui servaient de murs. Puis vint finalement le fameux coup. Propulsé comme une vulgaire poupée de chiffon, c'est justement dans l'un de ses murs que la course de Vandal s'arrêta. Il entendit ses os craquer contre la surface dure et il eu bien besoin d'un instant au moins pour reprendre son souffle. Sonné, tout ce qu'il était possible pour lui d'entendre à cet instant étaient les éboulements autour de son corps. Il y avait bien longtemps qu'il n'avait pas eu à faire face à une puissance de la sorte. La magie lui avait toujours posé problème, c'était d'ailleurs l'une des raisons qui l'avait poussé à exterminer plusieurs homo-magis par le passé. Le potentiel de ces êtres était bien trop grand pour qu'ils survivent, à moins bien sûr qu'ils ne soient tous soumis à la volonté de Savage. Maintes fois il avait subi les frappes des héros de ce monde, mais aucune, vraiment aucune, ne l'avait secoué de la sorte. Vandal avait tenu tête devant les plus grands, il savait en juger, et cela ne faisait que lui confirmer à quel point la femme revenue d'entre les morts et désormais à sa merci allait jouer gros dans la balance. Le sauvage venait de truquer le jeu, ébranler les rapports de forces, et tant qu'il avait la mainmise sur le libre-arbitre de la championne, il serait celui largement avantagé par cette truquerie.

Immobile depuis un long moment déjà, Vandal finit par regrouper ses forces, trouvant appui sur ses genoux qui avaient passé bien près de flancher à nouveau. Au fond de lui, c'était clair, il n'avait aucun doute qu'il allait survivre, mais son corps demandait plus de temps pour récupérer de l'onde de choc qu'il venait d'absorber. Son arrogance l'avait mené à jouer contre ses propres faiblesses et cette fois-ci, contrairement à ce qu'il avait vécu dans ses autres vies, son bluff n'avait pas porté fruit. Il avait encaissé bien plus qu'il ne l'avait prévu. Une fois encore, il sourit malgré tout à pleines dents, laissant un faible gémissement s'échapper de ses lèvres. L'immortel avait demandé cette frappe, il l'avait ordonnée même et il n'était pas peu fier du résultat, mais il aurait dû voir le choc venir. Tant pis. De toute façon, s'il espérait reprendre pied et continuer son délire, celle qui lui faisait face en décida autrement, plaquant sans même le toucher l'homme contre la roche qui l'avait arrêtée quelques instants plus tôt. L'impact de son dos contre le mur parvint à lui soutirer une légère grimace alors qu'il toussa un rire avec difficulté. C'est la pression des vents qui le tenait contre le mur, comme une main invisible posée sur son torse. Un mouvement de la tête vers le plafond lui fait comprendre que le temple ne pourrait pas tenir encore bien longtemps sous les coups. Il ramèna son attention sur la femme. Même au pied du mur, son assurance  demeurait. Il la suivit du regard, lui offrant un sourire machiavélique. Sadique. Sans coeur. S'entendait-elle ? Croyait-elle réellement avoir un mot à dire sur la suite des choses ? Ne venait-elle pas d'être contrainte d'obéir à ses moindres désirs ? Et pourtant elle se tenait là à insolement déballer de beaux discours? Très bien. Vandal chercha la relique qui l'avait fait maître d'une main tremblante, toujours soumis à l'écrasante puissance de la magie d'Isis. Geste vain. Il ne l'avait plus en sa possession. C'était là un désavantage pour lui et certainement un avantage pour celle qui venait de reprendre une nouvelle fois son interrogatoire. Mais en voilà beaucoup de questions. L'immortel n'eut guère besoin de chercher encore longtemps son artefact: La fin du monologue de la femme lui fit vite comprendre que l'objet se trouvait au sol, non loin de lui. Il pouffa légèrement, prenant la parole avec une voix faible. « Tant de paroles futiles, risibles... C'en est lamentable. »  il recommençait à peine à respirer normalement, malgré la force, malgré la pression et déjà, il jouait avec le feu. « Je crois que tu n'as pas encore saisi, malgré tes petites démonstrations. Ou plutôt mes démonstrations. Vois-tu, tu n'as aucun contrôle sur toi-même, tu suis et respectes chacun de mes mots, que cela te plaise ou non. Tu t'abreuves de mes idées et tout ça sans même y penser, encore moins y échapper. » C'était sur lui qu'il  voulait qu'elle porte son attention. Cette provocation, elle n'était qu'une tentative pour attirer l'intérêt de la femme qui fixait l'artefact. Ça et la vérité, bien sûr. « Tu veux des réponses ? Soit. Relâche ton emprise et tu en auras. C'est raisonnable, non?» Il inclina doucement la tête vers l'avant, rehaussant l'un de ses sourcils, avant d'offrir un nouveau regard à celle qui s'était encore rapprochée de quelques pas. Elle ne semblait pas convaincue. Vandal racla sa vieille gorge, laissant sa voix rauque se faire entendre dans la nécropole sacrée. « Qui suis-je ? En voilà une bonne question... Et toi alors, qui es-tu? Saurais-tu non seulement y répondre si une autre âme errante venait à te la poser ? Ou alors ne ferais-tu que succomber aux trous béants de ta mémoire ?  Je peux t'éclairer si tu daignes faire ta part. » Il se jouait d'elle, car il savait très bien que tôt ou tard, il allait être tiré de cette situation, qu'il allait redevenir celui aux commandes. Ça n'était qu'une question de temps. Cette feinte, cette distraction, elle permettait à ses forces de lui revenir petit à petit alors qu'Isis, elle, semblait plutôt perdre de son emprise sur lui. Songeait-elle à sa proposition ? Oserait-elle imprudemment relâcher cette force mystique qui mettait l'homme sur le carreau ? Vandal s'aventurait sur des terrains inconnus et dangereux. Mais elle savait aussi. Elle qui voulait répondre aux points d'interrogations, elle savait que seul Vandal, là maintenant, pouvait l'aider. Oui, heureusement ou plutôt malheureusement pour elle, il avait la solution à son trouble. Une solution qui l'arrangeait lui et pas elle bien sûr, mais une solution il demeure. Tout ce qu'il fallait, c'était qu'il mette la main sur l'Ibistick, qu'il reprenne les règnes. Alors, cet imprévu, ce petit problème technique, serait fixé. La situation serait à nouveau sous contrôle. Elle serait à nouveau sous contrôle. « Je suis l'immortel, je suis Vandal Savage... L'objet de ton admiration la plus totale. Ton pire cauchemar. »



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Dernière édition par Vandal Adg Savage le Mer 10 Nov - 22:47, édité 8 fois
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L'amulette dont t'a fait grâce Black Adam te procure des pouvoirs qui dépassent l'entendement. Lorsque tu prononces les fameux mots Mighty Isis, toi, Adrianna Tomaz, tu deviens la réincarnation même de la déité à l'origine de tes dons. Dotée d'abord de capacités surhmaines décuplées tant au niveau de la force que de la vitesse ou l'endurance, tu possèdes aussi la faculté de te laisser planer pour voler jusqu'où bon te semble, un cadeau qui te permet de t'évader loin du monde lorsque tu as besoin de te retrouver. Plus important encore, il t'est possible de contrôler la nature sous ses différentes formes: Chlorokynésie, aérokynésie, pyrokinésie, géokynésie et hydrokinésie. Bref, les possibilités sont illimitées. Tu vas même jusqu'à contrôler l'amtosphère, autrement dit la météo, chose à laquelle tu dois toutefois porter attention puisque celle-ci est sensible à tes humeurs ainsi qu'à tes émotions.

Or, ces capacités extraordinaires, tu ne les as que parce qu'Isis en a décidé ainsi. Dans l'optique où tu viendrais à perdre possession de la relique ou s'il s'avérait qu'un jour la déesse t'estime indigne de sa magie divine, tu redeviendrais aussitôt une modeste Terrienne, plus que jamais vulnérable à la mortalité et aux blessures tant mineures que majeures.

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MessageSujet: Re: Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz   Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz EmptyMar 12 Oct - 6:58

Bow to my will
Ton esprit fait le vide autour de toi. Le décor se dissipe, le crépitement du feu s'estompe, tes inquiétudes, tes craintes, ta frustration, le flot d'émotions qui te chamboule, tout lentement s'évapore jusqu'à ce que tu ne baignes dans le néant, l'immatériel, ou presque. Ta vision n'est plus qu'un long tunnel au bout duquel cette mystérieuse relique repose, seul objet de ton attention la plus totale. Elle t'appelle et tu te sens étrangement obligée d'y répondre, comme si vous étiez liées, enchaînées l'une à l'autre par une force inopposable. Isis. L'homme qui te fait face, celui sur qui tu as finalement le dessus, t'es complètement sorti de la tête, et c'est peu dire. Ton emprise sur sa personne s'épuise plus tu t'enfonces dans le gouffre de ton obsession. Rien ne semble avoir d'importance, sinon cet artéfact près duquel tu t'accroupis pour amener lentement une main curieuse explorer son mystère. Tu te demandes s'il ne s'agirait pas là de la clef qui te permettrait d'enfin pousser cette porte derrière laquelle se cache la vérité, les détails de cette histoire floue dans laquelle tu fais office de personnage. C'est peut-être effectivement le cas, mais tu n'en sauras rien, car sitôt apposes-tu tes empreintes sur la surface dorée, un sentiment de chaleur vive te dévore le bout des doigts, menaçant de se répandre si tu ne relâches point ta prise. Tu te départis de ta trouvaille avec soudaineté, brutalité, la faisant voler du revers aux côtés du scélérat oublié. Ton regard déconcerté, reflet de ta douleur qui pour l'instant refuse de s'appaiser, inspecte la blessure invisible avec incrédulité, puis l'orgine de celle-ci. Comment est-ce possible? L'est-ce non seulement? Car il y a à douter,  à ne rien y comprendre, à en perdre la raison et pourtant, tu n'hallucines pas. Tu l'entends déjà à nouveau prononcer impérieusement ton nom, tu sens déjà ton corps lutter pour s'en approcher. Mais à quelle fin?

Ce qui te tire de ta bataille contre toi-même n'est rien d'autre que la voix de son auteur. Tu te serais bien à nouveau malmenée les doigts avec cette flamme magique si l'homme ne t'avait point ramenée à l'ordre, volontairement ou non, en accaparant tes pensées. Les chuchotements de la breloque demeurent, se font cacophonie insistante, mais tu t'efforces d'y faire la sourde oreille pour te rencentrer au mieux sur tes priorités: arracher des aveux de ton interlocuteur et des explications sur cette étrangeté au passage. Les premières paroles qu'il t'adresse, t'en déplaise, elles ne sont en aucun cas des réponses à tes nombreux questionnements. Non. Elles ne sont que le début d'un discours narcissique, ehonté, le tout banalement balancé avec un ton des plus condescendants. « Pardon?!  » C'est qu'il est audacieux, voire salement imprudent, pour quelqu'un d'incapacité, étampé contre la pierre à ta merci. Son arrogance te démange la gorge. T'as envie de lui crier qu'il a tort, qu'il n'est qu'un pauvre fou en proie à son propre délire, mais quelque part, tu ne peux expliquer cet élan de docilité qui t'a envahie plus tôt. Dit-il vrai? Non, bien sûr que non. Tu t'es levée car tu le voulais. Tu l'as frappé car tu en mourrais d'envie, comme toute personne normale et en pleine possession de ses moyens face à un être aussi exécrable que celui-ci. Oui, c'est cela, et tu comptes bien le remettre à sa place, lui rappeler la grave erreur de baisser sa garde qu'il a commise et qui désormais te place en position de force, mais celui-ci décide à la dernière seconde fatidique de surenchérir de façon bien plus avisée. Il en vient à ce que tu espères tirer de lui, non pas sans toutefois négocier. Des réponses, contre sa liberté.

À première réflexion, tu n'es pas encline à céder à cette proposition suspecte, mais ses dires font à nouveau germer le doute dans ton esprit avec une absurde facilité. Et si les dieux lui ont vraiment conféré une toute puissance inéchappable des mortels à laquelle tu ne peux que religieusement te plier? Donner une telle force à ce vaniteux, ce serait certes se moquer de vous, leurs fidèles, mais ça ne serait pas nécessairement impossible. Après tout, l'histoire est parsemée de ces évènements qui échappent à la logique humaine. Et si l'homme avait véritablement - voire a toujours - une emprise sur toi, aussi inexplicable soit-elle, ne voudrais-tu pas en connaître le pourquoi? D'un autre côté, s'il est effectivement doté de ce pouvoir, comment expliquer le fait qu'il n'ose plus en user depuis qu'il se confond avec l'art funéraire du mur. Toutes ces hypothèses, ces si et ces peut-être te font perdre le large.  Quelque chose cloche. Un détail significatif semble t'échapper. S'il désire se libérer de ta force, il n'a normalement qu'à te l'ordonner, non? Pourquoi ses mots ont-ils perdu de leur poigne sur ton esprit encagé? Tu l'ignores, mais tu as la profonde certitude qu'accéder à sa demande ne sera pas dans ton intérêt. Diable, rien ne te garantit qu'il tiendra sa part du marché. Tu restes ainsi muette à sa requête, pesant le pour et le contre sur la balance qui ne cesse de chanceler. L'homme s'avance dans ses propos, sans doute encouragé par l'hésitation qui se lit dans tes yeux, qui affaiblit la force des vents le contraignant, mais plutôt que de t'éclairer, chasser ne serait-ce qu'un peu l'obscurité dans lequel ton esprit se perd, il te pousse toujours plus profondément dans ta noirceur en t'assiégeant de questions auxquelles, encore une fois, tu n'as point réponse. Qui tu es? Mais tu sais très bien qui tu es! Tu es... Tu es une âme égarée, troublée et déconcertée. Tu es une femme qui s'est eveillée dans une crypte, lugubrement installée dans un tombeau qu'elle redoute être le sien et qui n'a que cet odieux étranger pour la sortir de sa confusion. Tu es bien tout cela, mais tu dois être bien plus, il n'y a pas de doute. Tu dois avoir un nom. Un passé. Une histoire. Et c'est le récit tout entier qui t'échappe, que cet arrogant t'offre de te dévoiler, cet arrogant qui porte lui aussi un nom que tu connais dès à présent: Vandal. « Tu crois que je vais naïvement me laisser duper par tes marchandages? Je suis peut-être égarée au coeur du brouillard, mais je ne suis pas sotte. Tu n'es pas de bonne augure. » Le regard que tu lui renvoie est téméraire, dur. Tes yeux lui offrent un aperçu de ta combativité, mais le tremblement de tes poings serrés fait contraste malgré toi avec l'image d'une femme inébranlable que tu tentes de projeter. « Je respecte immanquablement chacun de tes mots prétends-tu... Très bien. Si tu tiens à te sortir de cette impasse, ordonne-le moi. Ou incline-toi devant la situation et coopère. » Il n'y a pas d'autres options, pas d'autres issues. Tu n'as pas l'intention d'en démordre et il serait préférable pour lui d'en prendre rapidement conscience avant que tu ne perdes patience, chose qui pourrait bien vite arriver. Pour l'instant, tu attends, à l'affut de sa moindre réaction. Sa réponse ne vient pas, ou du moins elle ne vient pas assez rapidement. Devant son silence insolent, tu serres des dents et franchit la distance qui vous sépare en deux enjambées en plaquant d'autant plus le pauvre corps de l'homme d'une main agitant les vents. « Ne m'as-tu pas entendue? Qu'attends-tu!  » Tu n'as point peur de l'affronter en face à face, toi qui n'as rien à perdre, qui ne te rappelle de rien, et quand bien même, tu n'as pas à craindre quoi que ce soit. Tu as le beau jeu avec ces capacités qui dépassent l'entendement. Tu le penses sincèrement, mais c'est exactement le problème avec toi, Isis. Tu ne t'en souviens peut-être pas, mais de ton imprudence, de ta tendance à braver tout ce qui se dresse devant toi sans jamais choisir la fuite, tu récoltes souvent des problèmes. Et c'est présentement le cas. Tu transperces l'homme d'un air confrontateur, lui offrant une dernière chance de parler, mais ce n'est pas le timbre de sa voix qui parvient jusqu'à tes oreilles. Ce sont les appels incessants de l'ibistick qui te reviennent. Plus bruyants. Plus pressants. Plus influents. Tu baisses lentement ton attention vers l'objet entre vos pieds qui te ramène à ce fameux état de transe auquel il t'es impensable de résister. À nouveau le noir. À nouveau l'envie de ramasser cette maudite babiole. Et cette fois-ci, tu le fais. Ta main se referme sur la vieillerie, la douleur revient au quart de tour, mais tu ne lâches pas pour autant. L'artéfact te commande de ne pas le faire et toute opposition qui naît en toi y meurt momentanément. T'as même peine à maintenir la concentration nécessaire pour commander l'élément en ta faveur. Sous l'influence, tu te redresses, ménageant difficilement ton air fermé qui a tôt fait de se transformer en une grimace d'inconfort. Les murmurres te poussent, te contraignent, et c'est avec horreur que tu constates ta main ouverte désormais tendue vers Vandal, la cause de ta souffrance à sa portée. Tu penses avoir compris le principe, mais t'as percé le tour de magie trop tard.
‹c› Vanka
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Vandal Adg Savage


Vandal Adg Savage

super villain

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Face Identity : Johnny Depp
Crédits : Obsidian
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Age du personnage : L'apparence d'un corps est une chose alors que l'âge réel en est un autre. À première vue, il semble avoir dans la mi-quarantaine, en réalité, il est le plus vielle homme à avoir marché sur la Terre, ce dernier présentant plus de 50000 années au tableau.
Ville : Il vit principalement dans son manoir près de Métropolis, mais ses demeures sont multiples à travers le monde.
Profession : Il les considère nombreuses ses tâches. Ce décrivant lui-même comme un Terroriste, un meurtrier, un tueur en série, il se voit aussi comme un Roi, un pharaon, un général, un dictateur. De par sa longue vie, il est aussi le plus grand conquérant de tous les temps, ce qui le pousse à s'autoproclamer Dieu.
Affiliation : Les Illuminatis dont il est le chef, sinon il parcourt les villes en solitaire à la recherche du pouvoir absolu.
Situation Maritale : Il ne porte pas une réelle envie d'amour dans son cœur. À ses yeux, ce genre d'union n'est utile qu'à prolonger sa vie grâce aux enfants qu'il engendre.









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MessageSujet: Re: Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz   Bow to my will | ft. Adrianna Tomaz EmptyJeu 18 Nov - 0:25

Adrianna Tomaz &
Vandal Adg Savage

Bow to my will

Le contrôle, il savait qu’il allait le reprendre assez vite lorsqu'elle allait mordre à l’hameçon qu’il tendait subtilement. Déjà sans même le vouloir, attirée par l’artefact lié à son âme, elle l’avait rapproché de ce qu’il voulait. La brûlure de la puissance n’était pas pour tout le monde. C’était là un prix que plusieurs n’étaient tout simplement pas prêt à payer, contrairement à lui. L’immortel l’avait payé par le passé et il le payerait encore et toujours. Il acceptait de le débourser, car il savait que le jeu en valait la chandelle. L’avoir sous son emprise n’avait pas de valeur. Préparé pour cette rencontre, il n’avait cependant pas prévu la force qui habiterait la déesse de la magie. Elle était morte, depuis plusieurs années même, jamais elle n’aurait dû présenter une menace, pas là, pas maintenant. Du moins, c’est ce que ses expériences au fil des années lui avaient appris. Le corps, l’esprit et surtout les muscles demandaient généralement une période d’adaptation après une si longue inactivité, mais la voilà qui prouvait qu'il y avait toujours une exception à la règle ou était-ce rien d'autre qu'un effet secondaire de l’Ibistick ? Ce détail, il ne l’avait pas calculé et peut-être que c’était son erreur, car présentement, il était toujours forcé à n’être qu’un spectateur dans cette scène qui se déroulait sous ses yeux. Ses paroles, destinées à celle qui se tenait non loin de lui, ne servaient qu’à plonger encore plus la femme dans les zones grises de son esprit. Des dires vagues, des réponses tournées en question et bien sûr des questions qui restaient sans réponse. Il percevait le trouble dans les yeux de la déesse et il s’en nourrissait. Dessiné comme la victime, mais tout de même confiant d’être en mesure de faire tourner la balance assez brusquement, Vandal savourait chaque seconde d’hésitation sur le visage de son interlocutrice. Isis, Ô puissante Isis, soumise par la simple volonté de celui qui se révélait suffisamment décidé pour prendre les règnes.

Toujours contraint contre la roche, il défit son regard avec insistance. Elle est perdue, encore plus qu’avant même et il en est la principale raison. Elle hésite, elle se questionne et elle redoute, peut-être sans même le savoir. Elle redoute de devoir se plier devant lui, alors que la situation semble tellement en son contrôle. Vandal le sent, il le voit, dans la résistance qu'elle offre dans ses mouvements et dans son irritation vis-à-vis des circonstances. Isis demande l’inverse, elle veut qu’il plie son corps devant sa grandeur, devant sa force, mais lui, il le sait ce qui va arriver, alors il la regarde marcher directement dans le piège, sans même parler. Il ne daigne même pas ouvrir les lèvres, conservant pour lui les réponses qu’elle s’acharne à vouloir lui arracher depuis plusieurs longues minutes. Vandal a cité ses conditions et il ne comptait pas démordre. Pas maintenant, pas jamais. Plus le temps passe et plus que la déesse semble perdre sa patience, mais aussi sa concentration, puis finalement, elle franchit la distance, créant une situation qu’elle n’arrivera pas à renverser malgré toute ses habilités. Ce chamboulement, il le voit venir et sans attendre son arrogance s'accroche une nouvelle fois sur son visage, alors que de son côté elle renchérie de plus belle, revenant à la charge avec des demandes. Croit-elle qu’il paniquera devant le haussement de sa voix ? Aucune chance. Le vent va tourner, voire, il est déjà en train de tourner, après tout, c’est sa volonté et Anubis lui a accordé. Il écoute encore celle qui lui fait face, tandis qu'elle lui demande pratiquement l’impossible. La pression contre son torse est peut-être de moins en moins intense, mais il n'en reste pas moins que sans l'objet doré, son contrôle sur elle est pratiquement nulle. Il ne doit pas le laisser paraître, il ne doit pas broncher, sa stratégie est la bonne, le bluff tiendra le temps qu'il faut. Ô, il le sait avec certitude, car tranquillement, il regagne sa mobilité, il redevient le prédateur et non la proie. Toujours silencieux, il laisse son regard être guidé par l’artefact, avant de le replonger dans celui d’Isis. La relique ne l’appelle pas lui, mais Vandal ressent quand même l’énergie que celle-ci dégage et si lui il la ressent alors nul doute qu’elle est dans la même situation, attirée par cette mystique puissance qui attend là à leurs pieds. Une force magique les unit désormais, la déesse et l’immortel. Le sang qu’il a fait couler pour compléter le rituel marque désormais l’âme de la femme qui finit par s’incliner devant lui.

Il la regarde prendre son bien avec assurance, confirmant par le fait même qu'il n'était pas le seul à ressentir ce qu'il ressentait. En un rien de temps, il se sentit libéré, bien que toujours contraint contre la paroi sableuse. Elle venait de succomber et lui, il venait de gagner une fois de plus. Il ouvrit sa main sans dire un mot, attendant que la magie fasse son travail. Hautain comme toujours, il défia à nouveau les iris de la femme perdue dans le brouillard. Le trouble dans son regard était merveilleux et Vandal s'en délecta un bref instant avant de libérer la déesse de cette souffrance qu'elle s'infligeait en tenant l'objet. Tant bien que mal, il dissimula la déformation de ses traits faciaux, suite au léger sacrifice qu'il devait faire pour être en plein contrôle une fois de plus. « Toujours perplexe déesse ? Nul besoin de prononcer le moindre mot, car Anubis m'a vendu ton âme. Le dieu chacal t'a fait mienne. » Il affirma sa poigne contre la relique, tout en racla sa vieille gorge. « Les vents, tu cesseras, d'un pas, tu reculeras, puis à genoux devant moi, tu seras. » Libre aussitôt sa phrase terminée, il regarda la femme suivre chacune de ses consignes à la lettre, prenant quelques secondes lui-même pour récupérer le peu de force qui semblait lui manquer. Adg traînait ses pieds dans le sable, déformant les traces de sang qui s'imbibaient de plus en plus dans les grains qui avaient perdu vie, suite aux ordres de l'immortel. « Tu veux des réponses, tu en auras, mais aucune d’entre elles ne t'offrira satisfaction ou soulagement. Aucune ne te servira de phare dans ce brouillard qui voile ta mémoire et sans hésiter, tu reviendras toujours vers moi. » Il cessa ses mouvements circulaires autour d'elle. « Lève-toi et soutiens mon regard. Laisse-moi voir ton âme se déchirer de plus en plus suite à mes révélations. » Une autre confrontation psychologique plutôt que physique allait avoir lieu et c'était celle qu'il attendait depuis qu'elle avait fait son premier mouvement. « Tes questions étaient multiples, mais je vois en toi comme dans un livre ouvert. Tu veux savoir qui tu es, où tu es et ce que je t'ai fait, certes, mais plus que tout, tu redoutes la vraie question, celle qui brûle au plus profond de toi. Pourquoi tu es ici dans une nécropole, dans un tombeau sacré ? » Il prit une courte pause, comme s'il cherchait à créer un suspense. Elle n'offrait pas de réaction, mais il savait qu'il avait touché une corde sensible. « Tu es Adrianna Tomaz, incarnation de la déesse Isis, protectrice du Kahndaq, ancienne alliée d'Adam, soumise et partenaire de l'immortel. Tu es ici dans ton sanctuaire, dans ton lieu de repos, car tes idéologies t'ont poussée au sacrifice ultime pour un monde dit meilleur. » Son discours n'était pas totalement véridique, mais il comptait bien réécrire les faits et les vérités. Elle voulait savoir et elle allait savoir, du moins, ce qu'il voulait bien qu'elle sache. « Tu me vois comme un être mesquin et remplis de mauvaises intentions, mais tu te trompes. J'ai fait couler mon sang pour te ramener, car une menace se lève sur ton pays et sans toi tes fidèles seront perdus. » Son plan prenait forme de plus en plus. Chacun de ses mots le rapprochait de son objectif, de son envie de grandeur. Isis était la clé et maintenant, il l'avait bien en sa possession. Grâce à elle, il obtiendrait sa vengeance sur son vieux rival et tellement plus. Il voulait une main posée sur le Kahndaq et la reine qui allait avec. « Un être d'une puissance incroyable terrorise ton peuple. Sa force n'a d'égale, mais toi, toi tu lui es supérieur. Voici la raison pourquoi j'ai perturbé ton sommeil, pour qu'une fois de plus le soleil ce lève sur ceux qui s'inclinaient jadis devant toi. Pour que tu reprennes ta place sur le trône. » Jouer cette carte le rendait malade. Celle du faible qui a besoin d'aide, qui supplie. Ce n'était pas la première fois au travers des époques qu'il l'utilisait et malgré ça, il ne semblait pas s'habituer au goût amer que ça lui laissait en bouche. La seule pensée de quémander de l'aide le dégoûtait. Heureusement que ce n'était que de la poussière aux yeux. « Qu'en dis-tu déesse, acceptes-tu de livrer ce combat à mes côtés ? » Il venait de lui donner l'illusion qu'elle avait le choix. « Tu chercheras Black Adam, tu t'en rapprocheras autant que je le désire, autant que nécessaire pour le faire tomber, puis le jour venu, suite à ma demande, tu le trahiras, prouvant ta fidélité à mon nom, à mon être et à ma grandeur. »



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