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 go out with the tide, come back with the waves

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Carol Ferris


Carol Ferris

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Crédits : tearsflight
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Age du personnage : 34 ans.
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Profession : Directrice de Ferris Aircraft ; pilote ; super héros parfois à ses heures perdues.
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x Corps à corps / sport de combat
x Maniement d'armes
x Pilotage d'avions militaires
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MessageSujet: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyJeu 17 Aoû - 12:03

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garth & carol
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Je luttais. Contre l'ennui et la fatigue. Contre le fourmillement dans mes jambes qui ne me laissait plus. J'étais agitée. Et devant moi, la réunion poursuivait son cours comme si de rien n'était, inconsciente de animation. Elle n'en finissait plus. Je savais que je devais faire attention. C'était important. C'était même indispensable pour ma compagnie. Elle ne vivait pas ses meilleures heures. La compétition sur le marché de l'aviation militaire était rude. Les français marchaient sur mes plates-bandes et me piquaient mes clients. J'avais besoin de ce contrat. J'avais besoin de vendre les derniers avions que nous avions mis au point. Ils étaient un vrai bijou de technologie. Et ils m'avaient coûté un bras et une jambe en construction et développement. Pour autant, j'étais juste ailleurs. J'avais envie que cela se termine. Je ne cachais pas mon soulagement lorsque je terminais de serrer les mains des détachés militaires présents et que j'envoyais mon assistante personnelle pour les escorter jusqu'à la sortie. Malgré mon manque de participation, ils étaient satisfaits. En même temps,  mes ingénieurs n'avaient pas besoin de moi pour expliquer les particularités des engins.  Une fois la pièce vide, je me laissais aller dans une chaise. J'avais la migraine. Je fermais donc les yeux et enfoui mon visage entre mes mains. Une grosse tasse de café trouva son chemin jusqu'à moi. Je remerciais la bonne âme dans un grognement. Un rire léger me répondit. Thomas me connaissait que trop bien pour se formaliser de ma mauvaise humeur ou de mon manque de manière. Il m'avait vu dans mes pires états. Je n'exagérais qu'à peine.

« C'était réjouissant comme réunion ». Je ne retenais qu'à peine un ricanement. J'étais contente de voir que j'étais pas la seule à avoir trouvé ça pénible. «  Tu veux me dire ce qui t’arrive ? ». Un autre grognement passa mes lèvres. Thomas, en tant qu'ami de longue date, avait le pouvoir de me poser ce genre de questions sans craindre de se faire virer. Il savait en profiter. «  Rien, j'ai juste pas envie aujourd'hui ». «  Y'a des jours comme ça ». «  Si seulement ça aurait pu tomber un jour où il n'y avait pas de réunions ». Thomas ria, amusé par ma déconfiture face à mon manque total de professionnalisme. Personne n'était pas parfait. Je n'étais qu'humaine après tout. Si mon père était là pour me voir, je n'aurais jamais entendu la fin de cette histoire. Autant dire qu'il n'aurait pas été très ravi. Mon père avait le business dans le sang. Je n'étais pas mauvaise mais je n'étais pas aussi bonne que lui. J'avais d'autres qualités. D'autres passions. De toute façon, il n'était pas là pour me voir. Pas là pour me donner son fameux regard. Celui qui vous glaçait le sang de peur. Qu'est ce que je pouvais détester ce regard. «  Heureusement que c'était la dernière alors. Tu sais ce qui te ferait du bien ? ». «  Une nouvelle vie ? ». Thomas ria à nouveau. «  T'en voudrais pas d'une nouvelle de toute façon même si on te la servait sur un plateau d'argent ». «  Hum... vrai ». « Non ce qu'il te fait, c'est un peu de temps pour toi... là haut ».  Sa proposition eut le mérite de me faire relever la tête. Mon regard se posa sur la cour au-dehors et sur les divers hangars. Je n'avais pas piloter depuis ce qui me semblait une éternité. Ça me manquait. Énormément. «  J'ai tout un tas de choses à faire Tom ». «  Tout un tas de choses qui peuvent attendre une heure ou deux. Je me propose même fr t'aider si ça peut te soulager un peu ». Vraiment, je ne le méritais pas. Il était beaucoup trop bien pour moi. Un sourire fleurit sur mes lèvres. D'agitée je passais à excitée.

Tom avait eu raison. Le ciel, l'altitude, le léger tremblement de mon avion, c'était tout ce dont j'avais besoin. Certaines décompressaient avec un bain chaud à bulles et un verre de vin. Moi, je me perdais dans l'infinité bleu et les nuages. Je ne faisais rien de particulier. Juste le fait d'être là haut me suffisait. Bien trop vite cependant, je dus redescendre. Je laissais l'avion à l'équipe technique et retrouvais mon bureau et ses papiers. Fidèle à sa promesse, Thomas m'aida à les passer en revue. Je finissais néanmoins seule. Je n'allais pas lui prendre toute sa soirée. C'était déjà bien aimable de sa part de m'aider, je n'allais pas en abuser. Sachant que c'était pas son boulot et que certains dossiers étaient trop confidentiels pour qu'il puisse y jeter un coup d’œil. Lorsque l'heure fur trop avancée pour continuer, j'éteignais tout et quittais l'endroit. Un bâillement décrocha ma mâchoire alors que je démarrais. Je saluais le garde de nuit de l'entrée en passant à ses côtés et pris la route. Je devais de mon trajet habituel pour venir me garer en bordure de mer.  Mon dos et mon cou étaient en compote. L'air marin ferait des merveilles pour mon humeur. Je quittais mes chaussures et remontais le bas de ma combinaison de pilote pour venir enfoncer mes pieds dans l'eau. Une séance aérienne et le calme de la plage en début de soirée... il n'y avait rien de mieux pour la californienne que j'étais. Je reculais un eu précipitamment lorsqu'une vague voulu me lécher les mollets. Je ne voulais pas de traces de sable sur ma combi. Lorsque la mer commença à s'agiter un peu trop, je me résignais à faire demi tour. Il était déjà tard de toute façon. «  Hey, est ce que ça va ? ». Mon regard avait été attiré par la forme couchée au sol un peu plus loin. Forme que je n'avais pas remarqué jusque là. J'hésitais un instant et regardais autour de moi. Il n'y avait personne d'autre. Doucement, je m'approchais. La forme s’agrandit jusqu'à devenir une silhouette masculine. L'homme ne bougea pas d'un poil lorsque je m'arrêtais à ses côtés.  Je m'accroupissais. Tant pis pour ma combi et l'eau de mer.  « Est ce que vous m'entendez ? ». Aucune réponse. Je l'examinais rapidement pour essayer de trouver une blessure quelconque et n'en trouvais aucune. Aucune apparente en tout cas. Lentement, j'amenais je posais mes doigts sur son poignet pour prendre son pouls. Il était vivant. Mais pas un bon état. Il fallait que j'appelle une ambulance avant qu'il ne me claque entre les doigts. Ça serait vraiment la pire façon de terminer cette journée.

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by Wiise
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MessageSujet: Re: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyMar 19 Sep - 0:30

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carol & garth
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Je me réveille. La tête à moitié à l’envers, entre le canapé et le vide. Un mal de crâne absolu. Comme si un éléphant s’était assit sur ma gueule, s’était relevé, puis re-assis. Dans une sorte de danse ridicule visant uniquement à me rendre la vie impossible. Lorsque je lève la tête – avec cette impression qu’elle me suit avec quelques secondes de retard. Comme si son cerveau voulait absolument rester coucher sur l’oreiller invisible qui le soutenait. Lorsque je peux enfin me tenir à peu près droit, j’observe le sol de la maison. Je ne suis donc pas le seul cadavre. Entre les bouteilles d’alcool qui gisent sur le sol et les gens que je ne connais pas, inconscient, je ne peux que déduire qu’il s’agit d’un lendemain d’une bonne soirée que j’ai partiellement oublié. Je me lève difficilement, mes jambes m’ordonnant de ne pas bouger ou de courir rejoindre mon lit. Le plus difficile instant étant celui où j’essaye d’ouvrir la bouche. Putain, il faudrait une truelle pour décoller ma langue de mon palais. J’ai – encore – beaucoup trop bu. Beaucoup trop. Je ne saurais définir quels sont les mélanges qui m’ont amené à un tel état d’ébriété. Habituellement, je suis capable de reconnaître l’alcool qui m’a mit mal. Là, je ne reconnais rien. Absolument rien. J’ai du faire des mélanges. C’est bien le pire. J’ouvre la baie vitrée pour voir ce qu’il se passe à l’extérieur. Bagdad. En pire. J’essaye de m’approcher de la piscine pour voir… qu’elle n’est pas là. Putain de merde. Je ne suis pas chez moi. Qu’est-ce que j’ai foutu ? Où est-ce que je suis ? Qu’est-ce que j’ai bien pu foutre hier soir pour arriver à un endroit qui n’est pas Métropolis, vu l’absence de bâtiments connus aux alentours. J’essaye de retrouver un T-shirt ou une chemise qui m’appartient et m’habille tant bien que mal avant de me rendre compte que l’alcool commence à faire un autre effet. Un effet considéré comme indésirable chez un atlante. La déshydratation. Et pas la petite déshydratation de gamin. Non, celle qui te prend au trippe et te donne l’impression d’avoir puisé dans toutes les réserves d’eaux de ton corps.

J’essaye de trouver le frigo. Je l’ouvre et n’y constate qu’une petite bouteille d’eau. Je la descends rapidement mais je me rends alors compte que ça ne sera pas suffisant. Il me faut de l’eau, en grande quantité. Il faut que je baigne dans de l’eau. Et actuellement, il me faudrait sûrement de l’eau salée. En bref, je dois trouver un océan. Je regarde ma montre. Il est 20h. Putain, mais qu’est-ce qu’on a foutu ? La soirée à finit à midi ou quoi ? En soit, ce n’est pas impossible. Un after en entraîne vite un autre. Je saute le plus haut possible pour essayer de trouver un océan à proximité. Arrivé à une quinzaine de mètre, j’en vois un. Il n’est pas si loin que ça. À une heure maximum. Je me dirige donc dans cette direction. Le chemin est long. Je ne peux pas utiliser mon énergie dans des sauts, de peur de ne plus pouvoir repartir. Je ne passe devant aucune piscine ou quoique ce soit. Putain, c’est quoi cette ville de merde ? Y’a rien qui pourrait me sauver la vie ici ? Je vais devoir mourir comme un abruti parce que je n’ai pas bu assez d’eau et beaucoup trop d’alcool ? Remarque, ce serait le genre de décès qui me conviendrait plutôt bien. J’imagine déjà Arthur et Mera, sur mon corps, à moitié dépiter et à moitié en train de se demander comme annoncer ça au peuple atlante sans perdre totalement la face. En bref, je les imagine un petit peu comme d’habitude. Je regarde une nouvelle fois ma montre pour me rendre compte que ça fait un moment que je suis parti. Je ne sens toujours pas l’odeur de l’océan. C’est bizarre.

Après plusieurs minutes, de longues, très longues minutes, à me promener dans la ville, en mode Walking Dead à la recherche d’eau, tel un zombie recherchant un cerveau, j’arrive à proximité. Mon énergie est faible, mais je vois enfin l’eau. Le déplacement de chacun de mes pieds est comme essayer de porter une voiture. Ma tête bourdonne, me fait mal, comme si elle s’était contractée à son maximum. Je ne sais pas où je suis, je sais juste qu’en face de moi, il y a de l’eau. Je continue d’avance, je la vois qui se rapproche doucement. Elle n’est plus qu’à 20 mètres. À 15 mètres. À 10 mètres. À 5 mètres. Et je tombe. Je n’ai plus d’énergie. Je n’ai plus assez d’eau. Je n’ai plus rien. Je vois lentement mon image qui se trouble, j’arrive à tendre ma main en direction de l’océan. Je perds connaissance.

Je ne suis réveillé que par un contact contre ma peau. Cool, je ne suis pas mort. J’entends une voix. Une voix de femme. J’arrive à peine à ouvrir les yeux pour voir un visage qui me regarde l’air inquiet. Oh. Un ange venu me sauver. Si je pouvais, j’esquisserais un sourire. Si c’est ça le paradis, en faite, je signe tout de suite. Je la suivrais n’importe où. Ce n’est que lorsque je la vois tirer son téléphone de sa poche que je comprends qu’elle veut appeler les secours. Ah ben non, c’est pas une bonne idée. Ils ne m’aideront pas beaucoup en m’emmenant dans un hôpital. Je réunis toutes mes forces et essaye de parler. « Pas. Hôpital… ». Ma bouche a l’air aussi sèche qu’une morue qu’on baigne dans du sel pendant plusieurs jours. « O. Cé. An. ». Bordel, j’ai l’air d’un débile. Faudrait pas qu’elle pense qu’il faille m’emmener dans un asile. « Atlante. Branchies. Océan. ». C’est bien Michel, tu n’arrives pas à enchaîner une phrase. Bien joué. « Océan… ». Et je reperds connaissance. Quelle bravoure pour un super-héros.


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by Wiise
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Carol Ferris


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MessageSujet: Re: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyJeu 21 Sep - 15:55

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garth & carol
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Toujours aucune réponse. Et son pouls devenait plus faible au fil des secondes. Un juron passa mes lèvres avant de plonger ma main dans l'une des poches de ma combinaison. Mes doigts se refermèrent rapidement sur les contours de mon téléphone. Mes doigts pressèrent les touches pour appeler les urgences. Je n'allais pas le laisser comme ça. Puis, mes connaissances médicales étaient limitées. Je connaissais les soins de premiers secours. Je savais faire des points sur les plaies les moins graves. Mais c'était bien tout. Le reste je préférais le laisser aux spécialistes. Après tout, ils avaient un diplôme et pas moi. Pas là dedans en tout cas. Il fallait laisser à chacun les rênes de son monde. Ils étaient bons avec les médicaments et un bistouri , j'étais bonne avec les commandes d'un avion de chasse hyper rapide. « Pas. Hôpital… ». La voix faible m'arrêta dans ma lancée. Mes yeux bleus se reposèrent sur la forme à mes genoux. L'homme avait un œil à moitié ouvert et tentais sans grand succès de me regarder. Mon pouce flotta au dessus de l’icône verte sur mon écran. Il fallait vraiment que je passe cet appel. J’hésitais cependant. Peut être avait il des croyances qui faisaient qu'ils ne voulaient pas être traitées. On avait eu un cas comme cela dans ma société. Personnellement, je ne comprenais pas ce genre de raisonnements. Si on était en phase terminal d'un cancer là oui. Au bout d'un moment, rallonger inutilement la vie ne servait plus à rien. Mais lorsque c'était facilement curable et permettait de continuer à vivre, là je ne comprenais plus. « O. Cé. An ».  Je prêtais l'oreille, peu sûre de comprendre ce qu'il essayait de me dire. « Atlante. Branchies. Océan. ». Les mots me parvinrent plus clairement. Délicatement, je bougeais son cou. Effectivement, il avait des branchies. L’hôpital n'était alors plus la meilleure idée. Je n'étais pas ure qu'ils puissent faire grand chose pour lui. La physionomie atlante à ce que j'imaginais devait être bien différente de celle des humains. Non pas que je connaissais grand chose. C'était la première fois que j'en voyais un, et surtout d'aussi près. Malgré moi je ne pus m'empêcher de me sentir curieuse. « Océan… ». Je lui tapotais un peu la joue lorsqu'il perdit connaissance.

Je n'hésitais pas plus. Je libérais ma main en posant mon téléphone sur un petit caillou qui traînait par là. C'était mieux que le sable. Finalement, je me remis debout et me penchais pour l'attraper sous les aisselles. Avec toute la délicatesse que l'on me connaissait, je commençais à le tirer vers l'eau.  L'eau lapa mes orteils avant de caresser mes chevilles. Bientôt, elle passa à travers le tissu de ma combinaison. Moi qui avait tout fait jusqu'à présent pour la maintenir sèche et hors de l'eau... voilà que je plongeais presque tête la première avec. Et dire que je venais de l'acheter. Plus j'avançais et m'éloignais de la rive, plus ma charge se fit moins lourde. L'eau aidait grandement en le faisait flotter. Je ne savais pas vraiment jusqu’où je devais aller. Jusqu'où je devais le submerger.  Je m’arrêtais finalement lorsque l'eau dépassa ma poitrine. Je le bougeais un peu pour le mettre perpendiculairement à mon corps et le tenir Il pouvait probablement survivre sous l’œil même en étant inconscient mais je ne préférais ne pas prendre de risques. Je nageais en terrain inconnu ici. Et c'était le cas de le dire. Je n'avais pas envie de le tuer par erreur et ignorance. Si il survivait, je n'aurais qu'à lui poser toutes les questions nécessaires. Au cas où.

Je posais sa tête au creux de mon coude. De ma main libre, j'attrapais de l'eau pour arroser son visage. Je répétais l’opération plusieurs fois pendant de longues minutes. Je ne savais pas si ça faisait grand chose mais je m'avouais à court d'idées. Au moins, il avait l'air de reprendre des couleurs. Je soupirais et envoyais finalement mon regard sur l'horizon noir. La nuit était bien tombée depuis que j'avais mis les pieds sur le sable. Je fermais les yeux un instant et me laissais bercer par le clapotis des vagues sur le sable à quelques mètres de moi.  Je les rouvrais au bout d'un moment pour laisser mon regard retomber sur le visage de l'atlante que je tenais toujours dans mes bras. «  Hey réveille toi ». Mes doigts tapèrent sans force sur sa joue. Juste un peu pour le secouer. Je n'allais pas passer toute la nuit comme ça. Même à Coast City l'eau n'était pas assez chaude la nuit pour que je me le permette. «  On se réveille , allez un petit effort ». Si il ne se réveillait pas pour me dire comment il se sentait, je n'allais pas pouvoir le deviner. Il y avait des limites à mon talent naturel, aussi appelé instinct féminin.

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MessageSujet: Re: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyDim 1 Oct - 18:42

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carol & garth
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Dans mon inconscience, je rêve. J’ai toujours cru qu’il était impossible de rêver pendant qu’on était inconscient. Visiblement, je croyais de la merde. Je rêve d’un monde presque parfait. Un monde où on arrête de mes les briser. Un monde où on arrête de me faire croire certaines choses pour rien. Un monde où plus personne n’essaye de contrôler, les pensées, les façons de faire, bref la vie des autres. Un monde où au final, on ne se demande pas si chacune des actions sera la bonne puisque les gens ne vous jugent pas pour chacun de vos mots, pour chacune de vos actions, pour chacune de vos pensées. Putain, c’est pas mal d’être inconscient. Les gens sont bon beaucoup moins désespérant dans ce monde. Beaucoup moins frustrant. C’est possible de rester inconscient à vie ? Non ? Ben dommage. J’aurais presque préféré. Arthur m’aurait dit que cette pensée était irresponsable venant d’un haut dignitaire atlante. Facile à dire quand sa vie frôle la perfection. Je ne dis pas qu’il n’a pas eu un passé compliqué, mais aujourd’hui, il n’a vraiment pas à se plaindre. À une ou deux tentative d’assassinat près, bien sûr. Et puis depuis peu, j’ai appris à m’en foutre un petit peu de ce que pense les autres quand même. Ma vie n’appartient qu’à moi. Si j’ai envie de me bourrer la gueule H24 parce que ça m’amuse ou ça m’occupe, je m’en fous bien. Et si Arthur veut me punir pour cela – et je sais qu’il ne le veut pas – qu’il le fasse. Je n’ai pas de temps à perdre.

Progressivement, je sens ma peau qui retrouve son état naturel, mes branchies qui se remplissent, remplaçant mes poumons. Ce système binaire est vachement sympa quand même. Je sens mon corps retrouvé progressivement de la force. Très progressivement. C’est impression est des plus étranges. Des plus frustrantes. C’est comme si j’étais conscient sans vraiment l’être. J’étais toujours dans mon monde mais j’étais plus fort, plus massif, plus moi également. Même dans mon monde, j’étais une version améliorée de moi-même. Progressivement, j’entends une voix venir d’en haut. Interprétant cela comme un dieu supérieur qui s’adressait à moi, je sens comme une force qui m’attrape par le col et qui me tire de mon monde pour me ramener progressivement dans un autre monde, dans le vrai monde, celui qui n’est pas parfait et pas aussi drôle. Avec encore quelques difficultés, j’arrive à ouvrir les yeux. J’observe une jolie brune. Elle me regarde, inquiète. Comme si elle me connaissait. Je n’avais pas vraiment l’habitude de voir quelqu’un s’inquiéter autant pour moi. Alors même qu’elle ne me connaissait pas. Merde. Ça fait bizarre. Je sens finalement mes forces revenir le long de mes membres. Suffisamment pour arriver à me redresser dans l’eau. Mes pieds touchent le fond de l’eau et j’arrive à tenir quasiment debout. Je regarde la jeune femme avec un sourire. « Merci, madame… ? ». Je plonge la tête sous l’eau pendant quelques secondes, laissant à mes branchies le loisir de revivre. Je n’avais jamais eu à subir un tel niveau de déshydratation. Jamais. C’est étrange. Très étrange même. Je relève la tête pour faire face à la jeune femme. Elle m’avait tout de même porté de la plage à l’océan, ruinant au passage ses vêtements, pour m’aider. Beaucoup d’humains, ou mêmes d’atlantes pour être honnête, auraient tourné la tête pour faire comme s’il ne m’avait pas vu. Beaucoup. Je pose mon poing droit sur le cœur et m’incline légèrement dans sa direction. « Merci ! Je vous dois la vie. Parole d’atlante : je vous serai à jamais en dette ». Je me relève lentement. Ce ne sont pas le genre de mots que je balance à la légère. Jamais. Une parole d’atlante est une parole que l’on tient jusqu’à la mort. « Je m’excuse pour vos vêtements. Je vous promets de les rembourser à la première occasion ! »

Je l’observe attentivement. Elle est belle, très belle. Je m’en veux presque de l’avoir forcé à se jeter dans l’eau. Je me sens un peu mal pour le coup. Mon beau discours du « je suis indépendant, je fais ce que je veux » perd beaucoup de sa crédibilité lorsqu’une femme que je ne connais pas est obligée de venir me sauver la vie. Comme un con. Je suis bien comme un con là tout de suite. Mera en rigolerait beaucoup – ne manquant pas de me faire un sermon au passage. « Je suis Garth. Fils de Thar. Conseillé du roi Arthur et général dans l’armée atlante. ».

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MessageSujet: Re: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyMar 3 Oct - 12:19

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garth & carol
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Au premier abord, ma technique n'avait pas l'air de produire ses effets. Je n'abandonnais pas pour autant. Je continuais de tapoter le bout de mes doigts contre sa joue. Pour une micro seconde, l'envie de le pincer légèrement me prit. Je me retenais cependant. Je me souvenais à quel point cela avait pu m'énerver enfant lorsque ma grand mère s'amusait à le faire. Et si moi j'avais détesté ça, il y avait pas mal de chance pour que lui aussi. Et puis, le geste était un peu trop familier pour que je me le permette. Sachant de plus qu'il n'y avait aucune garantie pour que cela fonctionne. Comme disait le dicton, ne jamais faire aux autres ce que l'on ne voulait pas que l'on nous fasse ; une règle par laquelle j'essayais de vivre. Autant dire que ce n'était pas simple tous les jours. Finalement, je regardais ses paupières frémir puis battre légèrement. Le pauvre n'avait pas l'air de savoir où il était. Ses yeux à peine entrouverts laissaient filtrer  une regard hagard. Il était perdu. En soit cela ne me surprenait pas. Moi aussi je serais confuse dans sa situation. Du moins, je l'imaginais.  Je n'avais pas vraiment pour habitude de m’évanouir sur la plage. « Vous m'entendez ? ». J'eus le droit à un silence pour toute réponse. Il avait apparemment du mal à émerger. Je m'en inquiétais instantanément. Je nageais en pleine inconnue ici. Peut être qu'il avait subit des séquelles. Peut être que je devais faire plus que ce que je faisais.  Je ne savais pas. Je ne connaissais rien à sa physionomie. En outre, je ne savais même pas ce qu'il avait.

Après quelques instants de plus, il se remit enfin sur ses pieds. Je le laissais faire sans pour autant m'éloigner. Mes mains étaient toujours là, presque tendues, comme pour le rattraper. Et me protéger aussi. On ne savait jamais. Il n'était pas évident que je puisse faire grand chose contre lui mais tout de même. Je devais bien aire honneur à mon entraînement militaire. Et cela même si à présent debout il me dépassait d'une bonne tête. Il fallait dire que je n'étais pas non plus particulièrement grande. Sans être minuscule non plus. Après tout, j'étais pilote et il y avait des critères en terme de taille. Le sourire qu'il me lança apaisa cependant quelque peu mes pensées. Il n'avait pas l'air méchant. Ce qui en soit ne voulait pas forcément dire grand chose. « Merci, madame… ? ». «  Mademoiselle ». La remarque était sortie par habitude. J'avais trente ans certes mais ce n'était pas une raison pour m'appeler Madame. A chaque fois, j'avais l'impression de prendre au moins dix ans. Le sentiment était loin d'être agréable. « Carol » lui offris je enfin avant qu'il ne disparaisse sous l'eau. Je regardais autour de moi et me demandais brusquement si c'était ainsi qu'il disparaissait. Au moins, il avait dit merci. Je supposais que c'était déjà ça. Mais non, sa forme était toujours visible et sa silhouette ne tarda pas à passer à nouveau la surface de l'eau. Rien en revanche n'aurait pu me préparer à la suite. « Merci ! Je vous dois la vie. Parole d’atlante : je vous serai à jamais en dette ». Je restais surprise un moment, yeux ronds. «  Vraiment ce n'est rien ». Je ne savais pas quelles étaient les coutumes sous l'eau mais en ce qui me concernait il ne me devait rien. Quelque chose me disait cependant que j'allais avoir du mal à le lui faire comprendre sans l'insulter. « Je m’excuse pour vos vêtements. Je vous promets de les rembourser à la première occasion ! ».  Un sourire passa sur mes lèvres avant de s'effacer lorsque je glissais mon regard vers le bas et am combinaison à trois quart enfouie dans les eaux salées. Elle était fichue, je le savais par avance. Mais bon un vêtement ne valait pas la vie d'une homme. Atlante ou humain. « C'est très aimable de votre part mais cela ne sera pas nécessaire. Ce genre de vêtements ne se trouve pas à la vente ». Ou du moins pas à la vente civile. On parlait de matériel militaire ici. Il n'était pas accessible à tout le monde. Du moins, on pouvait les trouver en tant que civil mais les prix pratiqués risquaient forts de décourager même les plus fortunés.

« Je suis Garth. Fils de Thar. Conseillé du roi Arthur et général dans l’armée atlante ». «  Euh enchantée... Carol Ferris  directrice de Ferris Aircraft et pilote de passion». Oui ça en jetait moins mais bon. J'eus un sourire.  Apparemment, je n'avais as sauvé n'importe qui. Je ne connaissais pas grand chose à son peuple mais je savais qui était Arthur Curry. De nom au moins à défaut de le connaître personnellement. « Si ce n'est pas indiscret, je peux savoir ce que vous faites à Coast City et ce qui vous est arrivé ? ». J'étais curieuse de nature et il m’intriguait. Je l'admettais. Sa présence surtout.  «  Vous êtes sur que vous allez bien ? ». Même dans l'eau il chancelait légèrement. « Je vous avoue que je ne connais rien à … vous ». Je fis un geste de la main pour l désigner lui, l'eau et ce qui se trouvait en dessous. «  Donc si il y a quelque chose d'autre que je peux faire, il va falloir me guider. Non parce que vraiment... mes connaissances sont inexistantes ». Je l'avouais sans honte.


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MessageSujet: Re: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyMer 4 Oct - 0:10

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MAL DE TÊTE ! PUTAIN DE MAL DE TÊTE ! Comme venu de nul part, il me frappe à la gueule. Tout juste mes présentations terminées, je sens cette douleur d’ailleurs. Saloperie, je ne m’y attendais pas à ça. Putain de déshydratation. Ça ne part pas aussi facilement que ça. J’étais frappé à la gueule. Cette impression infinie d’avoir son cerveau qui se referme sur lui même. Comme s’il cherchait le moyen de s’éloigner le plus possible de ma boite crânienne. Bordel. Si ça c’est pas un des effets de l’alcool, je ne m’appelle plus Garth. Je n’avais jamais ressenti ça, du moins pas à ce point-là. Il faut croire que cette garce d’eau se cache vraiment n’importe où. En même temps, c’est logique. Si, lors d’une gueule de bois, on a mal au crâne à cause du manque d’eau, il est logique que lorsque l’on perd connaissance à cause du même problème, cette douleur ne soit que plus intense. Non parce que là, c’est un truc de malade. Pendant quelques secondes, j’ai même des difficultés à voir la femme qui vient de me sauver la vie, à comprendre ce qu’elle me dit. Tout ce que je ressens, c’est l’envie de boire, de sentir l’eau s’infiltrer en moi par tous les endroits possibles. Je replonge la tête sous l’eau, quelques secondes, ce ne sera jamais suffisant, mais ce sera toujours mieux que rien. Je me doute bien qu’elle n’a pas que ça à faire, me voir plonger et remonter, plonger et remonter. Je lui dirais bien que ça va mieux mais il semble évident que ce n’est pas le cas. Je ne suis toujours pas sûr de mes capacités. Au mieux, je pense pouvoir commander un taxi pour rejoindre Métropolis. Il est clairement impossible que je puisse rejoindre Atlantis maintenant. Malgré ce que les gens pourraient croire, c’est impossible. Un peu de logique. Un humain qui a subit de la déshydratation sera incapable de rejoindre sa maison en courant, pourquoi serais-je capable de le faire en nageant ? Certes, je suis dans l’eau, mais l’effort physique est bien trop important. L’exemple est peut-être mauvais. Imaginons plutôt un humain qui vient de faire une crise d’aérophagie, il lui faudra se reposer avant de partir. Ben là, c’est pareil. Et vu que les taxis pour Atlantis n’existent pas, je vais devoir tenter de rejoindre mon autre domicile. Métropolis.

« J’aimerais pouvoir vous répondre. J’en suis bien incapable. J’ai commencé une soirée hier soir à Métropolis. Je me suis réveillé en fin d’après-midi ici. Je ne savais même pas que j’étais à Coast City. J’ai du trop boire. Déshydratation, j’ai tenté de rejoindre l’océan. J’ai échoué. ». Expliqué comme ça. J’avais l’air pitoyable. En même temps, je l’étais. La grande gloire des héros, ce n’est pas moi qui la porte. Je ne m’en cache pas. L’alcool ne rend pas intelligent. Et j’aime beaucoup trop l’alcool. Je ne dois donc pas être un grand génie. Je ne brille que par ma force et mes capacités au combat. « Sûr… Non. Mais ça va déjà beaucoup mieux. Le fait que je sois conscient est déjà un bon point, non ? ». Je me retourne pour regarder l’océan. Elle me dit que je suis à Coast City. J’essaye dans ma tête de me souvenir d’où cela se situe sur une carte. J’essaye d’évaluer le temps qu’il me faudrait pour rejoindre Atlantis. Ouais. Non. Je n’y arriverais pas. Pas comme ça. Je vais devoir me reposer avant. Boire beaucoup d’eau et dormir. Ou en tout cas me reposer. Reprendre des forces. Manger ne serait peut-être pas une mauvaise chose. Cela doit faire une bonne quinzaine d’heure que je n’ai rien avalé. Un bruit venant de mon estomac semble appuyer mon estimation. « Aucun souci là-dessus Je ne m’attends pas à ce que tous les humains connaissent la physionomie atlante. ».  Pour une fois, il n’y avait aucune parole méchante. Je ne pouvais objectivement pas m’y attendre. Nous avions toujours gardé nos secrets. Je commençais à sortir de l’eau, je ne pouvais pas y rester ad vitam. Surtout avec la nuit tombée. Elle me proposait encore son aide. J’étais bien trop gêné pour demander quoique ce soit. Être sauvé par quelqu’un, c’est déjà énorme. Que demander de plus ? Attends, mais Métropolis, c’est peut-être loin en fait. Merde. « Merci, je n’ai besoin de rien. Ce serait plutôt à moi de vous poser la question. ». Une fois sortie de l’eau. J’observais mes vêtements et surtout les siens. Bordel, ça avait l’air d’être des vêtements de valeur et l’eau salée, ben ça abime. Ça abime beaucoup même. « Je vais juste prendre un taxi pour un hôtel. Il va me falloir un bon repas et une bonne nuit de sommeil. ». Je lui adressais un clin d’œil. « Je vous remercie encore, Carol Ferris, pilote de passion. ». Je m’asseyais quelques secondes sur le sable, les yeux vers l’océan, regrettant intensément cet évènement.

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x Corps à corps / sport de combat
x Maniement d'armes
x Pilotage d'avions militaires
x Parle Anglais, Espagnol et Portugais

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x Pouvoir de l'Amour

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MessageSujet: Re: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyJeu 5 Oct - 14:47

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«J’aimerais pouvoir vous répondre. J’en suis bien incapable. J’ai commencé une soirée hier soir à Métropolis. Je me suis réveillé en fin d’après-midi ici ». Je me retins de siffler d'admiration. J'avais eu  mes moments fous pendant mes années d'académie. Mais jamais, je n'avais bu jusqu'à ne pas me souvenir comment j'avais traversé tout le pays. Métropolis n'était vraiment pas la porte à côté. Ni même sur la même côte. « Je ne savais même pas que j’étais à Coast City. J’ai du trop boire. Déshydratation, j’ai tenté de rejoindre l’océan. J’ai échoué ». Un sourire amusé se posa sur mes lèvres bien malgré moi. Je n'avais aucunement l'intention de me divertir de sa mésaventure mais... c'était tout de même assez cocasse. Il fallait bien le reconnaître. Même dans mes pires moments, je n'avais jamais quitté l'endroit où j'étais. Et surtout pas pour aller aussi loin. Ou alors je ne m'en souvenais vraiment pas. Mais tout de même , quelqu'un me l'aurait forcément dit si tel avait été le cas. Les miliaires n'étaient pas les derniers pour se moquer des uns et des autres. Ça faisait parti de la camaraderie de l'académie.

A nouveau il chancela gentiment sur ses pieds. Et ce n'était pas que la faute au mouvement des vaguelettes. « Sûr… Non. Mais ça va déjà beaucoup mieux. Le fait que je sois conscient est déjà un bon point, non ? ». «  Effectivement, c'est déjà mieux que rien ». Je le fixais un instant lorsqu'il détourna le regard pour le poser sur l'horizon. Physiquement, il tenait debout. Plus ou moins. Mais cela ne voulait pas dire qu'il allait mieux. Au moins, il avait repris quelques couleurs. C'était déjà ça de gagné. Je me demandais furtivement si ce genre de comportement était normal pour quelqu'un de son rang. Je voyais mal un général de notre armé boire assez pour se mettre dans des états pareils et surtout être ensuite inutilisable. Après, les nôtres étaient bien plus vieux et n'avaient pas la même résistance. Deux verres et je supposais qu'ils s'endormaient pour le reste de la soirée. Normal ou pas, de toute façon ce n'était pas à moi d'en juger. Je ne connaissais pas assez leurs coutumes pour me le permettre. Tout était certainement très différents dans son monde. Qui étai je donc pour reprocher quelque chose ? Surtout à quelqu'un que je ne connaissais ni d'Eve ni d'Adam. Cela serait vraiment malvenu de ma part.  Et tout aussi déplacé. « Merci, je n’ai besoin de rien. Ce serait plutôt à moi de vous poser la question ». «  Ce n'est pas moi qui était évanoui il y a quelques minutes ». « Je vais juste prendre un taxi pour un hôtel. Il va me falloir un bon repas et une bonne nuit de sommeil ». «  Il y a un restaurant qui fait aussi auberge à un kilomètre de là sur votre droite ». Je me penchais pour ramasser mon téléphone avec deux doigts. J'avais les mains mouillées et rien pour les essuyer. J'allais devoir attendre d'être dans ma voiture pour enlever le sable qui avait collé à ma coque en cuir. Un grognement faillit franchir mes lèvres lorsque j'imaginais l'état dans lesquels j'allais retrouver mes sièges si je m'asseyais tel quel dessus. « Je vous remercie encore, Carol Ferris, pilote de passion ». «  De rien , mais faites moi une faveur, essayez de pas finir aussi mal la prochaine fois. Je ne serais pas toujours dans les parages pour vous ramasser ». Il aurait été humain, j'aurais eu définitivement pitié de son foie. « Faites attention à vous ». Je prie finalement congé et fis le chemin inverse jusqu'à ma voiture.

Avant de quitter la plage, je me retournais une dernière fois. Mes yeux bleus se posèrent sur sa silhouette toujours assise et immobile. Je ne savais même pas si il avait vraiment l'intention de bouger de là. Ni même si il avait la force. Peut être que je surestimé ses capacités actuelles. Je secouais légèrement la tête et posais mes poings sur mes hanches. Qu'étais je censée faire au juste ? Le laisser comme ça, sans surveillance semblait une mauvaise idée. Je n'avais pas envie de lire demain dans a presque qu'on avait retrouvé un corps atlante sur la plage. «  Hey ! ». Ma voix perça le silence et le calme imposé par le léger clapotis des vagues. « Venez, au moins je vous dépose à l'auberge ». J'attendis qu'il bouge pour franchir la distance qui me séparé de mon véhicule. Je me rappelais au dernier moment que j'avais des serviettes de plages à l'arrière. Au moins mes sièges n'allaient pas souffrir plus que nécessaire. « Asseyez vous là dessus ». Comme lui, je pliais le tissu et le plaçais sur mon siège afin d'y poser mes fesses trempées. Une fois le contact mis, je sortis du parking et pris la direction de l'auberge que je lui avais précédemment indiqué. Je m'arrêtais devant cette dernière et levais un sourcil agacé lorsque j'avisais le signe qui indiquait que l'endroit était fermé pour travaux. Ils avaient bien choisis leur moment pour faire la rénovation. «  Bon pas d'auberge alors ». Je repris la route et fit le trajet jusqu'à chez moi. J'espérais ne pas faire une bêtise. Ni me mettre inutilement en danger. Vu comme ça, il avait l'air sympathique . Mais  cela ne voulait pas forcément dire grand chose. Cependant tous les autres hôtels étaient dans le centre ville et je ne comptais pas tous les faire. Ma ville en bord de mer était beaucoup plus proche. J'avouais aussi que j'en avais un peu plein les pattes de cette journée et que j'avais bien envie de rentrer chez moi. « J'ai une chambre d'ami, vous pouvez vous en servir pour cette nuit. La chambre vient avec sa propre salle de bain équipée. Hésitez pas à en faire usage ». Ah si mon père me voyait, il me traiterait probablement d’idiote pour ramener ainsi des inconnus chez moi. Heureusement, il n'était pas là pour le voir.  «  Si vous voulez de l'ibuprofène , il y a en a dans le placard à gauche au dessus de l'évier. Sinon pizza ça vous va ? ». Il était tard et mon estomac commençait à se rebeller du traitement que je lui imposais. Autrement dit, j'avais faim.

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MessageSujet: Re: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyDim 8 Oct - 18:03

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Alors que j’étais assis sur la plage, face à la mer et son calme effrayant, j’observais lentement la jeune demoiselle partir. Ses derniers mots d’encouragement – si on peut appeler ça comme ça – ne me motivaient que guère. J’avais montré à l’humanité la grandeur de l’armée Atlante. Pas très étonnant qu’Arthur n’approuve pas mes soirées. Ceci étant, je ne lui demande pas vraiment son avis. Donc la question ne se pose pas. L’océan est étrangement paisible. Ce n’est pas dans mes habitudes. Je réfléchissais à l’endroit où pouvait se trouver l’auberge dont elle m’avait parlé. À dire vrai, je n’avais pas du tout compris l’endroit qu’elle m’avait indiqué pour manger. Je ne connaissais pas la ville et je me pense bien incapable d’aller à un tel endroit par mes propres moyens. Je dois juste essayer de me souvenir du nom de l’auberge pour pouvoir la donner à un chauffeur de taxi. Ce sera un bon début. Pour ce qui est de dormir, arf, je trouverais bien aussi. Je pourrais même dormir ici sur la plage, ça ne me dérangerait pas. C’est plutôt le fait de manger que j’attends avec impatience. J’ai vraiment faim, là, tout de suite. Je mangerais un cheval en salade, comme ils disent.

Finalement, j’entends la voix de la demoiselle qui m’interpelle au loin. Je lève la tête pour la regarder. Elle me proposait de m’emmener à l’auberge. Encore un geste bien trop sympathique de sa part. Mais je ne pouvais pas vraiment refuser, sinon, j’allais me retrouver à devoir aller pécher. Or j’ai horreur du poisson, je trouve son goût fondamentalement mauvais. Ce que les humains interprètent comme une protection écologique n’est en fait qu’un manque de goût. Contrairement à ce qu’ils pensent, les atlantes mangent du poisson. Evidemment qu’ils en mangent même. Dire qu’un atlante ne mange pas de poisson c’est l’équivalent de dire d’un humain qu’il ne mange pas de créature terrestre. C’est stupide. Moi, je n’en mange pas parce que je ne trouve pas cela bon. Elle m’indique une serviette qu’elle a posée sur un siège afin que je m’asseye dessus. Je m’asseye, l’air légèrement gêné. « Désolé pour vos fauteuils de voiture. L’eau de mer est vraiment mauvaise pour le cuir de voiture. ». C’est bien souvent pour cela que lorsque je sors de l’océan, je rentre à pied et je vais prendre une douche immédiatement. L’odeur est tout bonnement détestable lorsque l’on est à l’air libre. Même moi, je m’en rends compte. Elle démarre la voiture et nous allons en direction de l’auberge. Elle était fermé à cause de travaux. Je regardais la jeune femme, je n’avais pas le temps d’ouvrir la bouche qu’elle repartait. « Vous auriez du me poser là, je me serais débrouiller. » C’est vrai, je me serai parfaitement bien débrouillé. Mais elle en avait décidé autrement et comme Arthur m’a toujours dit : « quand une femme te dis de faire quelque chose, tu le fais, et tu fermes ta gueule. ». J’essaye de vivre par cette maxime depuis longtemps maintenant. Elle finit par m’annoncer qu’elle m’emmène chez elle. Voilà comment passer de gênant à ultra gênant. Non mais non, c’est trop, m’emmener chez elle, par Neptune, c’est trop ! Je la suis, tranquillement. Elle m’indiquait la chambre et le placard avec de l’ibuprofène. « Mille mercis, si les humains étaient tous aussi bons que vous, ça ferait longtemps qu’Atlantis et l’humanité travaillerait main dans la main ! Je ne prends pas les médicaments humains en revanche, ils n’ont pas d’effet sur mon corps. Merci quand même. ». Je me dirige lentement vers la chambre. « La pizza est très bien Mademoiselle Carol. Puis-je prendre une douche avant le repas ? Je vous promets que je vous le revoudrais à la centaine ! ». L’idée était de ne pas trop l’importuner de ma présence.

Je me dirigeais lentement vers la chambre et la salle de bain. J’avais vraiment besoin d’une douche et à mon avis, elle devait réellement penser la même chose. Je n’avais absolument pas d’argent sur moi et je me trouvais encore une fois stupide de manger grâce à elle. Ce soir, elle aura été mon ange gardien et je n’aurais été qu’un imbécile heureux sans elle. Une fois ma douche terminée, je m’essuie avec une serviette et trouve un jean qui trainait dans sa chambre d’ami. Je l’enfile, il me va à la perfection et sors de la pièce, torse nu. Si mes vêtements pouvaient un tout petit peu sécher, ce ne serait pas une mauvaise chose. J’arrive dans le salon, la cherchant du regard, sans la trouver. Je fais donc le tour de la pièce tout doucement, attendant son retour. Mes yeux se promenant un peu de partout avant de s’arrêter une pièce un peu plus brillante que les autres. Cette pièce attirait mon regard plus que tout. Je ne pouvais que m’approcher et la prendre dans mes mains. Je reconnaissais cet item. Il s’agissait d’un anneau de pouvoir. Pas dans le genre Le Seigneur des Anneaux mais dans le genre Green Lantern and co. Ce genre-là. Elle faisait donc parti de ce vaste univers ? Elle était de couleur rose/violet. Je n’avais encore jamais vu ce genre de couleur. Qui était-elle donc ?


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MessageSujet: Re: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyLun 9 Oct - 13:59

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« Mille mercis, si les humains étaient tous aussi bons que vous, ça ferait longtemps qu’Atlantis et l’humanité travaillerait main dans la main ! ». Je laissais échapper un petit rire amusé. Je n'avais que peu de connaissance sur les accords ou la politique humaine-atlante.  J'imaginais cependant que les humains n'étaient pas les seuls fautifs des relations tendues entre les deux races. On avait nos mauvais côtés mais on en avait aussi des bons. Comme eux, je supposais. Mettre l'arrogance propre aux êtres vivants dotés d'intelligence de côté n'était pas quelque chose d'aisé. Je me retins cependant de faire tout commentaire. Lorsqu'elle était en vie ma grand mère m'avait rabâché qu'il y avait deux sujets que l'on ne devait jamais aborder en public : la religion et la politique. Selon elle, cela n'amenait que des débats conflictuels et jamais rien de bon. Il y avait quelque chose de vrai là dedans. Même si cela était également aussi caricatural de son époque. « La pizza est très bien Mademoiselle Carol ». «  Carol, juste Carol. Pas besoin de mademoiselle ». A force, il allait me donner l'impression de ne pas être chez moi et ou d'avoir un employé directement dans mon salon. Et puis, il évoluait dans mon espaces personnels à présent. Il pouvait abandonner les formules d'usages. « Puis-je prendre une douche avant le repas ? Je vous promets que je vous le revaudrais à la centaine ! ». «Bien sur allez y. Il va falloir un peu de temps pour que la nourriture arrive de toute façon donc ne vous gênez pas. Les serviettes sont dans le placard en dessous du lavabo. Normalement vous avez tout ce qu'il vous faut mais si jamais il manque quelque chose, n'hésitez pas à m'appeler ». Je le regardais disparaître dans la chambre d'ami puis haussais les épaules. Il était là à présent de toute manière, il était trop tard pour se poser plus de questions.  

Je commandais les pizzas puis rangeais deux trois trucs par ci par là avant de moi même me décider à prendre une douche. Je n'avais pas vraiment prévu d'avoir des visiteurs et l'état de ma maison s'en faisait ressentir. Ce n'était pas sale. Loin de là. Mais ce n'était pas aussi  rangé que je l'aurais voulu. «  Oui oui on se calme ». Mes oiseaux s'étaient mis à crier à tue tête dès que j'avais commencé à ouvrir la porte de ma chambre. Ils remuaient dans leurs grandes cages, excités à l'idée qu'ils allaient pouvoir enfin en sortir. La journée avait été certainement été longue pour eux. Je n'aimais pas les enfermer pendant mon absence. Mais j'avais appris que c'était mieux ainsi. Mon fauteuil ne s'était toujours pas remis des coups de becs qu'il avait reçu. Et ça m'évitait de retrouver des fientes un peu partout dans la maison. Et surtout aux endroits où je m'y attendais le moins. Je commençais par laisser sortir le plus petit de mes oiseaux. Mango, le petit dernier de la famille, monta sur mes doigts sans se faire prier. Je le déposais sur mon épaule avant d'aller libérer le grand frère. Maui lâcha un cri strident lorsqu'il fut enfin libre. J'en riais. Les deux boules de plumes ne tardèrent pas à vaquer à leurs propres occupations et à courir ou voler à travers toutes les parties accessibles de la villa. Je secouais la tête devant leurs pitreries.

Prendre une douche fut une histoire rapide et bientôt je passais un short le long de mes jambes et un débardeur pour couvrir le haut de mon corps. Je soupirais de satisfaction lorsque je ramenais mes cheveux en un chignon déstructuré sur le haut de mon crâne. Enfin, je me sentais à l'aise. Je jetais un regard morne à ma combinaison et passais sur le balcon de ma chambre pour la mettre à sécher. Je déciderai de son sort plus tard. Je me stoppais sur le seuil de ma chambre lorsque j'avisais mon invité dans mon salon. Plusieurs choses me sautèrent aux yeux. La première : il était torsu nu. Peut être que je devrais lui trouver un tee-shirt. La seconde : mes oiseaux s’étaient planqués quelque part et étaient trop silencieux. Ça sentait le mauvais coups. Enfin la troisième : il tenait ma bague des stars sapphires dans sa main. Je m'insultais à voix basse. J'avais oublié de la ranger à sa place habituelle. Qu'est ce que je pouvais être stupide parfois. Même Hal ne connaissait pas l'existence de la bague. Aujourd'hui, un parfait inconnu était entrain de la manipuler. Que pouvais je à présent ? Prétendre qu'elle était fausse ? La bague prit la décision pour moi lorsqu'elle s'activa pur venir se ficher sur mon doigt. Elle n'aimait pas trop être touché par quelqu'un d'autre. Elle était délicate et clairement dotée d'une volonté propre. «  Ce n'est pas bien de toucher les affaires des autres ». Je le fixais un instant sans rien dire de plus puis avançais un peu plus dans la pièce. Je ne fis aucun geste pour retirer l'objet et le remettre à sa place. Au moins avec ça autour du doigt, j'étais tout à fait apte à me défendre. Et à lui faire regretter tout geste que je pouvais interpréter comme une agression. «  Vous avez vu mes oiseaux ? Ils ne sont pas du genre à être aussi silencieux ». Sauf si ils dormaient ou si ils étaient prêts à faire une ânerie. De vrais enfants.  Avec des plumes. «  La pizza devrait pas tarder à arriver. Je vais vous chercher un tee-shirt». Je devais bien avoir un de Hal par là. J'avais pas tout jeté en déménageant. Comme prévu, j'en trouvais un sous une pile de mes propres habits. Je le dépliais et le secouais un peu. Il était chiffonné, et le Jordan écrit en grosse lettre au dos avait perdu de sa couleur. Néanmoins, cela ferait bien l'affaire.

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MessageSujet: Re: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyVen 13 Oct - 11:00

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Impossible de ne pas faire le lien. Cet anneau ressemble étrangement à celui qui se trouve à la colocation. Il brille tout autant, il est tout aussi imposant et tout aussi peu discret. La seule différence ? Il est rose/violet tandis que celui de Kyle est vert. Pour autant que je sache, les Green Lantern ne sont pas les seuls à se promener à travers l'univers avec des anneaux au doigt. Ils sont beaucoup. Beaucoup. Ce qui m'a toujours fait poser une question. D'après Kyle, chaque Green Lantern à son secteur spatial. Un ensemble de galaxies, systèmes planétaires, solaires etc. sous leur juridiction. Et si, de prime abord, le chiffre aussi imposant qu'impossible à retenir de secteur ne fait qu'accroître l'impressionnant pouvoir des lanternes, le simple fait de pouvoir définir un nombre de secteurs impose donc que l'univers ne soit pas infini... ET ON NE COMMUNIQUE PAS L'INFORMATION AUX PHYSICIENS ? Pardon. J'ai toujours trouvé ça con. Les super-héros pourraient aider une meilleure compréhension de certaines lois de la physique. Dommage. Perdu dans mes pensées, je n'en suis qu'extrait par la sensation de l'anneau qui saute de mes mains vers celles de Carol. Il n'y a donc plus aucun doute au fait qu'il s'agisse du sien. Nul besoin de magie ou de télépathie pour se rendre compte que le fait de me voir avec cet anneau dans les mains ne pouvait que la gêner. Un certain secret se cache derrière la vie de super-héros - ou de super-Vilain, je ne juge pas - ce qui a toujours éveillé la curiosité. Tout le monde connaît mon nom et mon statut, en tout cas tout le monde qui s'y intéresse. Pourquoi cela ne s'applique qu'aux atlantes ? « Je vous dirais bien que ce n'est pas ce que vous croyez mais c'est exactement ça. Je suis tombé dessus, je l'ai regardé, je n'aurais pas dû.

Ne pouvant m'empêcher de remarquer un certain désir de changer de conversation, je mettais mes questions de côté et me consentirait sur... ses oiseaux ? Je n’aime pas ces bestioles. Si les humains ont toujours eu des craintes vis-à-vis des créatures pouvant peupler le fond de l'océan, il est logique que les atlantes aient les mêmes craintes vis-à-vis de ce qui traine dans les airs ? Bon, à la différence qu'aucune créature des airs ne ressemble à rien et fait plusieurs dizaines de mètres de long. Ok. J'avoue. Ma peur des piaffes est ridicule. Personne n'est parfait. « Euh... Non, je n'ai rien vu. » Et heureusement, je les aurais sûrement rôtis sur place. Victoire pour tout le monde. Je fermais les yeux. Mon ouïe était légèrement plus développée que celle d'un humain. Peut-être serais-je capable de les entendre en me concentrant un petit peu. « J'ai l'impression d'entendre des bruits d'impact contre quelque chose de métallique. On dirait une plaque de cuisson. Je suggère donc la cuisine. ». Je lui adressais un sourire tandis que je me concentrais sur la vue par la fenêtre de son salon. Très sympathique.

« D'accord, je ne bouge pas d'ici. ». Je me perds alors dans mes pensées. Naviguant entre les Green Lanterns, les oiseaux, le mec chelou en bas de l'immeuble qui semblait trouver ça malin de faire peur aux jeunes filles. Avec un petit sourire, j'usais d'un petit peu de magie pour créer une sorte d'épée faire en eau qui le suivait partout où il allait. Jusqu'à ce qu'il fuit. D'aucuns diront que c'est une attitude tristement vile, je leur répondrais que ce n'est pas si méchant et que si j'étais descendu, il aurait affronté bien pire. Je ne suis sorti de mes pensées que part le retour de la jeune femme, un T-Shirt dans une main, les pizzas dans l'autre. « Aaah ! ». Difficile de caché mon bonheur. Encore une fois, ça peut passer pour de l'impolitesse mais bon, j'ai vraiment faim et j'aurais tout le temps d'être reconnaissant après. Je l'observe avec un sourire tandis qu'elle ouvre les cartons. À sa plus grande tristesse nous constatons que les pizza sont froides. Avant même qu'elle ne puisse me proposer de les emmener à son four, je les attrape. « Regardez. ». Avec un tout petit de concentration, ma main devient légèrement rouge et réchauffe les pizzas en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. « La magie, c'est pratique même pour manger. ». Finalement, nous attaquons le festin dans un silence assez gênant. Aussi heureux l'un que l'autre de manger, je constate tout de même que la découverte de l'anneau a jeté un certain froid. C'est dans ces moments-là que je brille par mon manque de tact et que je dis une connerie. « Vous savez, mon meilleur ami est un Green Lantern. ». En y réfléchissant je n'aurais peut-être pas du dire ça. Peut-être qu'ils ne s'entendent pas entre couleurs. « Et vous, vous êtes les Pink Lantern ou les Forces Violettes ? ». Je mimais une sorte de croix avec mes bras. Je rigolais. Oui. Même en étant sur Terre depuis à peine plus d'un an, j'avais la référence. « Quoiqu’il en soit, votre secret est bien gardé. Premièrement parce que je n’ai personne à qui le dire, deuxièmement parce que je suis pas sûr de m’en souvenir et troisièmement parce que je m’en fou un peu. Vous faites bien ce que vous voulez de votre temps libre, ça ne me regarde pas. ».

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Carol Ferris


Carol Ferris

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Profession : Directrice de Ferris Aircraft ; pilote ; super héros parfois à ses heures perdues.
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x Création de structures
x Localisation des êtres aimés dans la galaxie
x Pouvoir de l'Amour

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MessageSujet: Re: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyDim 22 Oct - 21:26

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garth & carol
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Ne voulant pas m’appesantir sur l'anneau à mon doigt, je ne répondis rien. Au moins, il avait eu le courage de reconnaître qu'il n'aurait pas du. C'était tout à son honneur. Malgré tout, il n'était pas vraiment en tord. J'aurais du ranger ma bague à son endroit habituel au lieu de la laisser traîner. J'étais seule responsable de la situation qui venait de se créer. Pour ma défense, j'étais peu habituée à recevoir du monde. Et c'était d'autant plus vrai ces derniers temps. J'avais l'impression de ne faire que travailler. Et lorsque je rencontrais des amis, c'était toujours à l'extérieur.  Même si cela n'excusait pas, ça justifiait mon oubli. Il fallait espérer que ce petit incident me servirait de leçon et qu'à l'avenir j'apprendrais à toujours ranger l'anneau dans mon tiroir à sous vêtements. Je m'estimais cependant heureuse que ce moment n'ai pas été avec Hal. Il avait perdu l'habitude de débarquer à l'improviste, mais on ne savait jamais. C'était une conversation que je n'étais pas prête à avoir de sitôt. Voir pas du tout. C'était tout à fait hypocrite de ma part. Je m'en rendais compte. Mais c'était ainsi. « Euh... Non, je n'ai rien vu.J'ai l'impression d'entendre des bruits d'impact contre quelque chose de métallique. On dirait une plaque de cuisson. Je suggère donc la cuisine » . A peine eut-il finit que plusieurs bruits sourds se firent entendre. Je soupirais en fermant les yeux. Maui avait encore trouvé ma réserve de conserves. Lorsqu'il s'y mettait, cet oiseau était infernal. Rien ne lui échappait. La catastrophe fut suivit de piaillements heureux.   Voilà qui répondait définitivement à ma question. Je haussais les épaules, dépitée. Par chance, des conserves je n'en avais pas tant que ça et tout rangeait fut une affaire de quelques secondes. Je chassais les oiseaux de la cuisine et les renvoyais dans la pièce principale.

Ensuite je passais dans ma chambre, pour récupérer le tee-shirt et fit un détour sur le retour par la porte d'entrée pour prendre les pizzas et payer le livreur. Je lui déclarais de garder la monnaie lorsqu'il plongea la main dans sa sacoche pour récupérer la différence. Il pouvait bien garder le surplus en pourboire. A mon mécontentement cependant, les pizzas s’avérèrent froides. Une moue se plaça sur me lèvres. Clairement, le service ne valait pas le prix que l'on payait. Après, je ne regrettais pas ma générosité, le livreur n'y étais certainement pour rien. Sauf si il avait  fait un détour. Là oui, responsable il l'était. Je soupirais. Le mystère resterait entier. « Regardez ». Sa voix avait arrêté mon geste. Je me rassis et le laissais faire. Je soulevais un sourcil lorsque sa main devint rouge. En quelques secondes, le repas était à nouveau chaud et une délicieuse odeur embauma la pièce principale. Je me demandais furtivement si je pouvais en faire de même avec mon anneau. La réponse était certainement. Seulement, je n'avais que peu l'habitude de recourir à l'objet dans ma vie de tous les jours. J'appréciais mon humanité et les gestes simples du quotidien. Surtout après une longue journée. « La magie, c'est pratique même pour manger ». Un sourire amusé se posa sur mes lèvres. «  En effet ». Je le laissais se servir en premier, en bonne hôte de maison que j'étais. « Ouste ». Du bras je chassais mes deux oiseaux, descendus de leur perchoir pour zieuter ce qui se passait. Ils volèrent un instant au dessus de nos têtes avant de s'engouffrer tout deux dans ma chambre.  « Désolée, ils sont jeunes. C'est comme avoir des enfants par moments. Ils sont tout aussi curieux ».  Je me servis finalement et m'enfonçais un peu plus dans le dossier du fauteuil lorsque je commençais à mâchonner ma part. Un silence  inconfortable prit place entre nous. Il fallait dire que nous étions des étrangers l'un pour l'autre. En plus, j'étais crevée et je n'avais que peu envie de réellement faire la conversation.

« Vous savez, mon meilleur ami est un Green Lantern ». Je posais mon regard sur lui. Instantanément, je me mis  réfléchir. Était-il ami avec Hal, ou un autre des autres Green Lantern de ce secteur ? Je savais que Curry était en contact avec Hal en tant que membres de la Justice League. C'était donc probable que l'un des ses généraux également. Je paniquais intérieurement. Je n'avais pas envie que l'existence de mon anneau lui parvienne aux oreilles. Je me calmais néanmoins aussi soudainement. Si je ne laissais rien paraître, il n'avait pas de raison qu'il vienne à découvrir le pot aux roses. Et à ce que je savais, il pouvait très bien parler de quelqu'un d'autre.  « Et vous, vous êtes les Pink Lantern ou les Forces Violettes ?  ». Je secouais la tête, amusée malgré moi par ses soudaines pitreries. «  On nous appelle le Star Sapphirre Corp. Mais Pink Lantern ou forces violettes ma foi ça peut aussi marcher ». Je laissais échapper un léger rire. «  Là où les Green Lanterns manient la volonté, nous on manie l'Amour ». « Quoiqu’il en soit, votre secret est bien gardé [...] Vous faites bien ce que vous voulez de votre temps libre, ça ne me regarde pas. » « Merci ». Honnêtement, je n'en attendais pas moins de lui. Après tout, je venais de lui sauver la mise et lui avait offert le gîte et le couvert. «  Et vous, à part  boire trop d'alcool et être secourue par des inconnus, vous faites quoi ? Je veux dire en quoi consiste réellement votre poste. Vous vivez sur la terre ferme ?». Curiosité quand tu nous tiens.

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MessageSujet: Re: go out with the tide, come back with the waves   go out with the tide, come back with the waves EmptyMer 1 Nov - 16:12

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Je me concentrais par moments sur ma part de pizza, par d’autres moments sur la jeune femme. Difficile de savoir quoi dire dans ce genre de situation. Nous avions déjà abordé beaucoup de sujets et il s’agissait tout de même d’une inconnue donc certaines choses ne pouvaient pas être partagées. Nous nous retrouvions à manger, en se regardant dans le blanc des yeux, comme deux adolescents à un premier rendez-vous galant. La seule différence était que j’étais assuré de me retrouver seul dans mon lit. Sans même chercher à savoir si elle avait un homme dans sa vie – et sans parler du fait que je ne puisse être plus ridicule que ce soir – elle était des Star Sapphires, leur pouvoir est l’amour. Cela suppose donc qu’elle soit déjà énormément amoureuse de quelqu’un. CQFputaindeD. Je me retrouvais donc dans cette étrange situation où nous n’avions plus grand chose à nous dire et où la soirée semblait clairement toucher à sa fin. En même temps, soyons honnête, l’objectif était de manger et d’aller se coucher et quand bien même est-ce que je voudrais faire autre chose, j’en serais probablement bien incapable. Malgré la douche et la baignade dans l’océan, j’étais toujours lessivé. Toujours aussi incapable du moindre mouvement brusque, toujours aussi incapable de quoique ce soit d’autre que de manger et dormir. J’aurais presque eu envie d’une cigarette, là, tout de suite. Mais en fait, non, je vais être sage, je ne vais pas aller gambader en ville pour me trouver des clopes. Ce n’est ni le moment, ni le lieu. Avalant finalement ma part de pizza, je me tourne avec un sourire vers la jeune femme. « Je passe la majorité de mon temps sur la terre ferme oui. Mon roi m’a demandé de rejoindre une équipe de super-héros humaine ou presque. Je passe malgré tout énormément de temps sur Atlantis. ». Je souris et attrape le verre d’eau placé devant moi pour le terminer d’une traite. Par Neptune, j’ai soif. Ma voix grave était tout de même assez fatiguée. Je sentais que si ma gorge pouvait communiquer avec moi, elle me dirait de fermer ma gueule pour la laisser se reposer. Sorry not sorry bro’.

« Je reste malgré tout un haut officier de l’armée atlante, j’ai donc quelques obligations. Mais maintenant, je suis plus souvent sur terre oui. Maintenant, je suis d’avantage connu sous le nom de Tempest que sous le nom de Garth. C’est toujours mieux que de n’être vu que comme le gamin qui suit Aquaman, ceci-dit. ». Car oui, je n’avais pas vraiment ce statut. Pas comme Kaldur qui lui était souvent vu comme le gamin qui suit Aquaman. Ou comme Nightwing lorsqu’il était Robin. Bref, beaucoup de sidekick, comme ils disent, ont vécu ça. « Mais mon poste reste, en lui-même, assez difficile à expliquer. Je ne sais pas si moi-même, je le comprends réellement. ». Je me levais, me dirigeais rapidement vers sa cuisine pour y remplir deux nouveaux verres d’eaux que je ramenais vers elle. Je les pose tous les deux sur la table avec un petit sourire. « Et vous ? En quoi consiste votre métier ? En dehors de votre rôle chez les Star Sapph…quelque chose, désolé, je suis mauvais pour les noms. ». J’écoute attentivement sa réponse. Ça m’intéresse réellement, j’ai envie de savoir comme quelqu’un qui semble avoir de grandes responsabilités prennent le temps de sauver un débile comme moi de l’asphyxie, de le nourrir et de le loger. C’est quand même rare de faire preuve d’autant de compassion. En même temps, si son pouvoir est l’amour, ça s’explique. Mais tout de même, c’est admirable. Au bout d’un certain temps, je sens que mon corps commence à me lâcher et un baillement m’échappe. Puis un deuxième. Voyons l’amusement, je me lève, m’incline légèrement en signe de respect. « Je crois qu’il est temps pour moi d’aller me coucher, si cela ne vous dérange pas. ». Attendant son approbation, j’attrape les cartons vides de pizza et me dirige vers la poubelle. Puis éventuellement, je me retire. Je prends soin de plier le T-Shirt qu’elle m’a prêté. Je comptais partir tôt, laisser un petit mot et revenir peut-être plus tard pour lui rendre l’argent que je lui dois. Sûrement même. Parole d’Atlante.

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