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Mes amis, l'heure est grave! Le Peuple, depuis bien trop longtemps déjà, sème le total chaos sur son passage! Il arpente nos rues en quête de méta-humains à brutaliser, s'attaque à nos infrastructures, dévoile au grand jour l'identité de nos justiciers masqués et semble maintenant à l'origine des nombreuses disparitions qui font la une de nos journaux. Il est temps de nous lever, prendre les armes et mettre fin à cette période de terreur!    Il est temps de leur montrer de quel bois on se chauffe!  Citoyens du monde, je vous le demande: QUI EST AVEC MOI???    

...Bonsoir  

De retour en force avec cette nouvelle intrigue, nous avons cette fois-ci deux supers sujets events à vous proposer.   Cependant, on garde le mystère sur ce qui vous attend Votre seul indice: un mot clé pour chaque intrigue. Eh oui, il faudra s'en contenter. 

pour l'intrigue 1, l'indice est... boom.
pour l'intrigue 2, l'indice est... versus.

A vous de choisir

Quoi? C'est pas suffisant?

Bon, allez, on va vous donner des indices supplémentaires, mais c'est bien parce qu'on vous aime.   Vous les trouverez sous la forme de questions auxquelles vous devrez répondre dans le formulaire plus bas. Par pure curiosité hein.


Vous connaissez la chanson: Si l'une des deux aventures pique votre attention, rejoignez-nous pour ces rps de groupe qui promettent du lourd.    Vous avez deux semaines, soit jusqu'au 29 juillet, pour vous inscrire. Après cette date, les sujets seront lancés Pour cela, vous n'avez qu'à remplir le formulaire ci-dessous et à le poster à la suite de ce message :

Code:

<m>pseudo ✸</m> écrire ici.
<m>groupe ✸</m> écrire ici.
<m>Aventure à laquelle vous désirez vous inscrire ✸</m>
Intrigue 1 ( )
Intrigue 2 ( )
<m>Pour l'INTRIGUE 1:  Pensez-vous être capable de prendre des décisions difficiles ✸</m> écrire ici.
<m>Pour l'INTRIGUE 2: Vous préférez être le chat ou la souris ? ✸</m> écrire ici.
<m>précisions/wish list ✸</m> écrire ici.

les inscrits au sujet #1:

→ Diana Prince-Todd
→ Donna Troy
→ Wyatt Jones
→ Jason Clay
→ Kory Anders
→ Dick Grayson
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les inscrits au sujet #2:

→ Caroline Kelley
→ Boston Brand
→ John Constantine
→ Orm Marius
→ Y'Mera Xebella Challa
→ Malory Warworsth
→ Jane Restlove
→ Arthur Curry
→ Faith Cross
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‹ Enfance : (nom féminin) première période de la vie humaine, de la naissance à l’adolescence. › 

Juillet 07, 2013 – 00 : 43.
Gotham city est calme ce soir, plongée dans le noir profond de cette nuit d’un été déjà bien entamé. La ville est étonnamment silencieuse et ni alarme, ni sirène, ne résonnent dans les rues du quartier Est. Malaise sur Crime Alley pour la gamine de l’appartement (#)326, au dix-septième étage de l’immeuble central. Toutes lumières éteintes rien ne bouge, exception faite des cris assourdissants qui traversent les murs de papier mâché d’un appartement à l’autre de l’immeuble. Au (#)326, pourtant, tout est calme et seule la petite couverture rapiécée du tout petit lit de la chambre d’enfant aux murs violet électriques remue doucement. C’est Stephanie, de son patronyme complet Stephanie Brown, l’enfant délaissée. Camouflée sous le tissu, une petite tête blonde s’agite de façon presque turbulente entre amoncèlement d’annonces, coupures de presses, photos cachées et photocopies de toute sortes. Le crayon qui frotte la page, sans relâche avec pour seul éclairage ambiant les rayons hasardeux et tremblotants des lampadaires longeant la rue en contrebas. Par-dessus l’épaule de la gosse, curieusement, on avec plus de précision l’espèce de journal dont elle semble noircir les pages avec ardeur.

‹ Dear Diary, I know what my next science project is going to be called : my love/hate relationship with Gravity. › 
STEPHANIE BROWN @ BATGIRL VOL. 20 {#}1{/#}.

Cher Journal, aujourd’hui c’est mon anniversaire. Mon seizième anniversaire. Et encore une fois, une énième fois, Papa n’est pas là. Il devrait à nouveau sortir de prison, dans une semaine ou peut-être deux. Non, plutôt deux cette fois en fait. J’ai essayer de l’arrêter, encore et encore, j’ai vraiment essayer. Mais s’en est trop maintenant, ça ne peut plus continuer. Je n’ai pas envie de m’étendre sur cet anniversaire de plus, cet événement encore gâché. Je voulais seulement noter que tout va changer maintenant, c’est décider, tout doit changer. Ma décision est prise et dans plusieurs années quand je serais vielle et quand je serais parent à mon tour, je veux me rappeler de ce jour. Le jour de ma liberté.
Spoiler.

‹ Responsabilité : (nom féminin) obligation de réparer le dommage que l’on a causé par sa faute, dans certains cas déterminés par la loi et nécessité morale de remplir un devoir, un engagement. › 

Avril 23 - 30, 2015 – 00 : 00.
Pliée en deux, avec un drap pour seul intimité, couverte de sueur et secouée par la douleur, Stephanie hurle fort, trop fort, fort même à s’en briser la voix. A l’extérieur de la chambre aux mur couleurs pastelles, ils font les cents pas, les siens. Ces chauves-souris qu’elle considère comme sa famille, cette famille raccommodée, construite – détruite puis reconstruite de toutes pièces, ce gang, cette bande, cette chose aussi bancale qu’elle est solide. Pensée rassurante. Lorsque ces mains se posent délicatement sur ses épaules. Deux grandes mains, à la caresse à la fois douce et néanmoins d’une force de poigne féroce. Tim. Comme toujours, il est là où elle ne l’attend pas, là où elle ne l’espère pas. Le cœur bon, avec elle. C’est dans un cri ultime et un soupir de désinvolture décidée, que ces deux enfants, parents, laissent filer l’étincelle.

– Courage mon enfant, que la vie te sourie et que ton avenir soit bon.
Je t’aime.

‹ Dear Diary, Robin and I are in it up t our necks again. It’s like we were never apart. And the risks don’t matter. I’m not talking about physical risk. That’s a give with all the dangers we love to put ourselves in. I’m talking about my heart, Diary. That’s where I could really get hurt. › 
STEPHANIE BROWN @ ROBIN/SPOILER SPECIAL.

– NON !

Stephanie ouvre les yeux et se redresse en sursaut, l’angoisse perle de chaque pore de sa peau et ses membres en tremblent encore. Machinalement, tel un automate et les pupilles voilés, elle quitte les draps ensanglantés de ce lit qui n’est pas le sien et les bras de cet homme qu’elle n’ose plus regarder depuis un moment déjà. Depuis trop longtemps maintenant. Elle a le cœur qui serre, qui bat, se débat et se ressert dans une de ces atroces douleurs dont on ne connaît ni la raison ni le but, mais qu’on sait capable de terrasser la moindre parcelle de raison même insoupçonnée. Toujours comme téléguidée, elle griffonne quelques lettres presque indéchiffrables sur une page de carnet arrachée – un ‹ au revoir › peu habile et franchement brouillon, talent surement prédisposé aux Brown. Puis finalement, laissant le mot là (bien en évidence), sur le bureau, près du costume de Spoiler délicatement plié par Alfred un peu plus tôt – elle tourne les talons. D’un pas aussi bien hésitant que franc, elle enfile ses vêtements avant de quitter la chambre, puis le manoir, puis le quartier.