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 you look perfect tonight (barry, stval)

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MessageSujet: you look perfect tonight (barry, stval)   you look perfect tonight (barry, stval) EmptyLun 29 Jan - 21:22

barry & iris

i found a man, stronger than anyone I know. he shares my dreams, i hope that someday i'll share his home. i found a love to carry more than just my secrets. to carry love, to carry children of our own. - perfect, ed sheeran

(TENUE D'IRIS) La demoiselle ajusta une dernière fois l'emplacement des couverts et la disposition des guirlandes lumineuses accrochées aux quatre murs de la pièce. Elle inspecta les moindres détails et surveilla scrupuleusement la cuisson de son repas ; elle pouvait se montrer très douée en cuisine lorsqu'elle y mettait du sien, et ce soir, elle ne laissa rien au hasard. Elle voulait que tout soit parfait, et ce, à tous les niveaux. Quelques heures plus tôt, elle s'était apprêtée d'une robe rouge écarlate, maquillée minutieusement d'un simple rouge à lèvres et d'eye-liner noir. Elle n'a guère besoin de passer des heures dans la salle de bain pour se préparer, préférant quelque chose de simple mais classe plutôt que trop chargé. Néanmoins, Iris a passé l'après-midi entière à décorer la pièce vide de guirlandes lumineuses et de bougies, et à préparer un repas digne des plus grands restaurants chics. Elle voulait marquer le coup et fêter leur installation dans un nouvel appartement, jusqu'ici encore rempli de cartons, de meubles à monter, et de pots de peintures fraiches. Il n'y avait d'ailleurs qu'une seule table disposée dans la salle de vie, deux chaises, et une chaîne hifi, dont les branchements étaient dissimulées grâce aux guirlandes lumineuses. Dans la cuisine, il n'y avait pas plus qu'une table où la photojournaliste avait posé ce qui lui avait été nécessaire dans la préparation du diner. Elle a transposé une vingtaine de cartons dans une chambre, débarrassant l'autre de tout ce qui ne leur sera pas utile ce soir. Barry ne devrait pas s'y attendre, ou du moins, c'est ce qu'elle espérait. Il y a quelques jours – l'idée germait dores et déjà dans son esprit –, la demoiselle l'a prévenu de son absence le jour de la Saint Valentin, prétextant devoir rejoindre Metropolis pour un article très important ; elle prouva une énième fois l'efficacité de son don naturel pour le mensonge, puisque ses plans, jusqu'ici, se sont déroulés comme elle l'avait prévu. Les deux amoureux se serait contenter d'un appel tardif, de s'échanger quelques mots avant que la journée ne se finisse et qu'une autre commence, et ce malgré le fait que leur travail respectif ne leur avait pas permis de se croiser plus de cinq minutes pendant toute cette semaine. Une semaine qui fut bien trop longue à son gout. Mais la jeune femme préparait bien plus qu'un simple appel, bien qu'elle n'ait jamais réellement su être  romantique sans faire les choses maladroitement ; il faut dire qu'elle n'a que peu l'habitude d'organiser ce genre de surprise, et qu'ils penchent habituellement pour un rendez-vous dans un restaurant chic du quartier. Néanmoins, Iris avait cette impression obstinée que leur relation prenait un tournant non-négligeable, et que ce jour-ci ne pouvait pas être un jour comme les autres.

Le claquement de la porte la sortit brusquement de ses pensées. Elle jeta un dernier coup d'oeil frénétique à la table, l'inspectant en l'espace d'une seconde, à la recherche d'un objet manquant, avant de poser son regard cette fois-ci sur sa robe écarlate, une pensée venant lui faire perdre brusquement la capacité à réfléchir : était-elle assez jolie ? le rouge n'est-il pas un peu de trop ? ou au contraire, peut-être n'était-elle pas assez apprêtée pour un tel évènement ? Ses peurs s'effacèrent aussitôt que la silhouette de Barry se dessina à la porte de la pièce, et elle redevint la gamine éperdument amoureuse du garçon de ses rêves. Sa colonne vertébrale vrilla dans un frisson, tandis qu'un sourire étira ses lèvres. « Joyeuse Saint-Valentin. » lança-t-elle, aussi sincère qu'elle pouvait l'être, une étincelle brillant dans ses grands yeux espiègles et son sourire rafraichissant, impatiente de découvrir sa réaction. En réalité, elle ne lui laissa que peu de temps pour dire ou montrer quoi que ce soit, qu'elle se hâta dores et déjà à le rejoindre et sauta dans ses ses bras, se laissant emportée par ses derniers. Elle l'enlaca quelques instants, profitant de sa présence et de la chaleur à laquelle elle n'a pas eu droit pendant une semaine, avant de l'embrasser, ses deux mains posées sur ses joues. Iris attendit qu'il la repose au sol pour rompre le baiser et plonger ses pupilles noires dans les siennes, attentive à ses réactions face à la surprise de sa petite-amie.
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MessageSujet: Re: you look perfect tonight (barry, stval)   you look perfect tonight (barry, stval) EmptyMer 7 Fév - 19:46

You look perfect tonight
Iris West & Barry Allen
I remember the first day I ever looked into your eyes and felt my entire world flip
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Les laboratoires du CCPD étaient plus vides que d'ordinaire en ce quatorze février. Certains des employés avaient décidé de partir plus tôt que prévu pour passer la Saint-Valentin aux côtés de leur conjoint. A la grande surprise de son entourage, Barry faisait partie de ceux qui étaient restés jusqu'à la fin de leur service. Tous savaient à quel point il était investi dans son métier, mais pensaient également qu'il aurait autre chose à faire que d'être avec eux pour ce jour si spécial. Il ne cessait de répéter à qui voulait bien l'entendre qu'il était plus qu'heureux d'avoir franchi une nouvelle étape avec Iris, ils s'imaginaient donc qu'il serait avec elle en train de célébrer l'événement plutôt que de chercher des traces d'ADN sur des pièces à conviction trouvées sur diverses scènes de crime. Ce serait probablement même ce que l'éternel retardataire aurait fait si sa petite-amie se trouvait à Central City. Ils avaient beau vivre ensemble désormais, ils pouvaient passer des journées toutes entières sans voir le visage de l'autre à cause de leurs obligations professionnelles, comme c'était le cas cette semaine. Le coureur avait espéré qu'ils auraient pu se rattraper le jour de la fête des amoureux, mais c'était sans compter sur le Picture News qui avait décidément choisi le pire moment possible pour envoyer leur journaliste phare à Metropolis. Puisque personne ne l'attendait, il ne se pressa pas pour rentrer. En fait, il fallut plutôt même que Singh le force à s'arrêter pour qu'il décide finalement de quitter son lieu de travail. Le chemin entre le commissariat et Brookfield Heights lui laissa le temps de songer à ce qu'il ferait du restant de la soirée. Ce n'était pas comme s'il ne trouverait rien pour s'occuper. Il y avait de nombreux travaux à faire dans leur appartement, avant qu'ils ne se l'approprient pleinement. Puis, Saint-Valentin ou pas, il imaginait mal tous les criminels de la ville se tenir à carreau pour ne fut-ce qu'une nuit. Malheureusement, tout ceci ne lui ferait pas oublier l'absence de la personne qui prenait une place de plus en plus importante dans sa vie.

Le sprinteur se figea après avoir déverrouillé la serrure de la porte menant à son nouveau domicile. L'état de ce dernier était bien différent de l'état dans lequel il l'avait laissé avant de partir travailler. Où était passée la montagne de cartons qui trônait auparavant en plein milieu de la place principale ? Les pièces de meubles éparpillées un peu partout parce qu'il avait toujours remis l'assemblage de celles-ci à plus tard ? Pire encore, pourquoi une délicieuse odeur émanait de la cuisine ? Il ne comprit ce qu'il se passait qu'en apercevant l'auteure de tous ces mystérieux changements bondir sur lui. Iris ? Il laissa s'échapper un cri d'étonnement alors que ses bras entourèrent instinctivement sa taille pour la réceptionner. « Mais qu'est-ce que tu fais ici ? » Ses joues s'étirèrent pour laisser place à un sourire où étaient à la fois mêlées stupéfaction, joie et incompréhension. Un déclic finit par se faire à l'intérieur de sa tête face à l'air malicieux qu'il discernait sans trop de difficulté à travers les traits de sa partenaire. « Non... Tu m'as piégé ? » La question était plus rhétorique qu'autre chose, la réponse semblait évidente. Elle l'avait si habilement roulé dans la farine qu'il ne put s'empêcher de rire en posant ses deux mains sur ses épaules. La photojournaliste devait bien être la seule personne à être en mesure de le berner aussi facilement. Quand il s'agissait d'elle, le bolide pouvait boire chacune de ses paroles sans émettre le moindre doute. Comme pour s'assurer que rien de tout ceci n'était une hallucination, il se rapprocha d'elle pour l'embrasser à son tour. Elle se trouvait bel et bien devant lui. Il n'en revenait toujours pas. Depuis le temps qu'ils étaient ensemble, Barry pensait avoir tout vu avec sa petite-amie. C'était pourtant toujours lorsqu'il s'y attendait le moins que celle-ci lui montrait à quel point elle était encore pleine de ressources. Sortir avec le phénomène que représentait Iris West signifiait également ne jamais être au bout de ses surprises. Il avait pris pour habitude de voir cela comme une mauvaise chose, mais la demoiselle réussissait toujours à lui montrer qu'elle savait également utiliser sa capacité à réaliser l'inattendu à bon escient.

« Tu as tout décoré toute seule ? » Il tourna sur lui-même pour mieux détailler les bougies et les guirlandes placées ici et là dans le salon. Il ne pouvait que se montrer admiratif devant un tel travail. « C'est splendide. » Jamais il n'aurait soupçonné sa compagne être en mesure d'enjoliver la pièce d'une telle manière. Ceci était tout aussi étonnant que prévisible, tout compte fait. Mieux que quiconque, il savait à quel point sa petite-amie était une femme pleine de ressources. Les décorations étaient agréables à observer, certes, mais celles-ci faisaient tout de même pâle figure quand on les comparait à la robe que portait Iris. « Tu es splendide. » Depuis son arrivée, ses yeux étaient braqués sur elle et sur le sourire lumineux qu'elle arborait, celui qui avait le don de lui faire oublier tout ce qu'il avait enduré précédemment dans la journée. Tous ses problèmes devenaient soudainement négligeables dès l'instant où ses mirettes se posaient sur le visage de la jolie reporter. « Non, tu es plus que ça. Tu es... » Il ne mit pas bien longtemps avant de trouver un autre compliment. « Magnifique ! Attends, je peux faire mieux. Je te trouve ravissante. Tu es... Tu es... » Sublime. Charmante. Superbe. Rayonnante. Chaque seconde qui s'écoulait, un nouveau mot venait enrichir le vocabulaire déjà bien varié de Barry. Aucun ne lui convenait cependant, chaque nouvel adjectif qui lui venait en tête semblait meilleur que le précédent.


••••

by Wiise
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MessageSujet: Re: you look perfect tonight (barry, stval)   you look perfect tonight (barry, stval) EmptyJeu 8 Fév - 19:03

barry & iris

i found a man, stronger than anyone I know. he shares my dreams, i hope that someday i'll share his home. i found a love to carry more than just my secrets. to carry love, to carry children of our own. (perfect, ed sheeran)

La demoiselle n'était pas peu fière de sa surprise. Elle s'était de nombreuses fois imaginée les pires choses qui pouvait menacer ses plans ; elle qui n'est pas réellement habituée à ce genre de soirée, et qui a l'habitude maladive de vouloir tout contrôler, n'aurait certainement pas eu la patience d'essuyer une défaite. Mais elle se rassura, nichée au creux de ses bras, son palpitant tambourinant de nouveau dans sa cage thoracique. Les jours, semaines et mois s'écoulaient, et jamais elle ne s'était sentie autant en sécurité qu'à ses côté, malgré toutes les catastrophes que le monde traverse. Mais ce soir, la photojournaliste escomptait fermer les yeux sur tous ces évènements, ne serait-ce que quelques heures. A ses côtés, Barry lui donnait dores et déjà l'impression qu'il n'y avait qu'eux, que le monde se figeait, n'existait plus, ne laissant que leurs deux cœurs battants en rythme. En cette soirée du quatorze février, un milliard d'autres cœurs proclamaient la même mélodie. La jeune femme s'amusait de la mascarade qu'elle avait imaginé, lui faisant avaler un départ soudain pour Metropolis – la journaliste se serait d'ailleurs sans doutes arranger pour être présente, quitte à rater une occasion en or pour le Central City Picture News. Il y a quelques années, la demoiselle aurait avancé ne pas aimer la Saint-Valentin, considérant le quatorze février comme un jour des plus banals, mais c'était avant qu'elle rencontre le scientifique, à l'époque où l'amour était incontestablement synonyme de peine et de déception. Barry lui prouva de nombreuses fois que sa conception de l'amour était faussée par les relations désastreuses qui ont rythmé la vie de la jeune journaliste, parmi un millions d'autres choses dont elle ne soupçonnait pas l'existence.

Iris ne pu retenir un rire satisfait lorsque son petit-ami découvrit la machination dressée contre lui. « Et le piège a fonctionné. » fit-elle, un large sourire étirant ses lèvres, son air espiègle toujours accroché au visage. Ce n'est pas la dernière surprise qu'elle lui réserve ; elle a préparé le diner de A a Z, et ce sans entraînement. Iris n'a habituellement jamais l'occasion de cuisiner, et se contente d'un plat à emporté dans un fast-food situé à quelques pas du Central City Picture News, pourtant il semblerait que la jeune femme ait un don naturel pour la cuisine, lorsqu'elle daigne y accorder un peu de son temps. « J'ai quand même eu peur que tu ne quittes jamais le travail. Je t'aurais attendu des heures... mais la bouteille de champagne aurait sans doutes été déjà vide à ton arrivée. » lança-t-elle sur le ton de la plaisanterie, avant de venir prendre sa main et entrelacer ses doigts avec les siens. En vérité, la journaliste aurait certainement trouvé un stratagème pour le forcer à avorter ses analyses. Mais des imprévus pouvaient encore arriver – ils seraient par exemple obligés de commander des pizzas, si la dinde venait à brûler. Iris jeta d'ailleurs un coup d'oeil à l'horloge, tandis qu'elle laissait Barry admirer la décoration lumineuse. Elle acquiesça d'un signe de tête lorsqu'il lui posa une question, et ses lippes s'étirèrent de nouveau dans un rictus satisfait à sa remarque. « Merci. Peut-être que je devrais me reconvertir en décoratrice d'intérieure... » souffla-t-elle pour elle-même, laissant ses yeux vagabonder sur les murs, les guirlandes lumineuses et les bougies. La demoiselle sentit le rouge lui monter aux joues à sa seconde remarque, et ne put s'empêcher de laisser échapper un rire d'entre ses lèvres, détournant le regard vers le plafond, à la fois gênée et amusée. « Ca suffit. » lança-t-elle dans un rire confus, avant de venir poser une main à mi-chemin entre son cou et sa joue, et de poser ses lèvres sur les siennes dans un baiser. Peut-être ceci le convaincra d'arrêter avant que la gêne ne lui fasse entièrement perdre ses moyens. Iris scella leurs lèvres quelques secondes, mais n'eut d'autres choix que de le rompre lorsqu'un bruit se fit entendre dans la cuisine : le minuteur. « Je crois que le repas est bientôt prêt, murmura-t-elle, à seulement quelques centimètres du visage de Barry. Installe-toi. » fit-elle avant de s'écarter et de se rendre dans la cuisine. Iris attrapa deux gants, qu'elle enfila aussitôt, et sortit le plat du four. Elle lâcha un soupire rassuré lorsqu'elle remarqua que rien n'avait brûlé. Elle referma le four d'un geste du pied, ses yeux rivés sur le plat qu'elle tenait avec difficulté entre ses mains – il y avait au moins à manger pour quatre, mais c'était sans compter la capacité de Barry a avaler une quantité astronomique de nourriture sans prendre un seul kilo. « J'espère que tu as faim. » lança-t-elle en revenant dans la salle principale, après avoir posé le plat sur la table de la cuisine. La demoiselle s'installa en face de lui et commença à verser le champagne dans deux coupes. Elle attrapa ensuite la sienne entre ses doigts et la leva, un énième sourire accroché à ses lèvres. « Joyeuse Saint-Valentin, Barry. » fit-elle d'une voix douce. Iris était comblée ; cela se sentait dans son air, dans ses mots, dans ses yeux. Elle ne pensait pas pouvoir être plus heureuse, pourtant il lui prouvait chaque jour le contraire. Elle est tombée amoureuse de lui dès le jour où elle l'a vu, et tombe amoureuse de lui encore et encore, à chacun de ses sourires.
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