(stval) KARA&OLIVER - Tes couettes sont des jasmins et tes draps des rosiers; des nénuphars ton oreiller, et toi, la rose qui se couche.

Avais-tu prévu de le faire maintenant ? Aussi vite ? Peut-être pas. C’était parti tout seul. Le bon moment ? Tu n’en savais rien. Tu allais bien voir. Pour le moment, tu t’en sortais bien. Elle n’avait pas encore rendue tes joues rouges et tu ne parles pas d’une gifle en pensant ainsi. Enfin si en fait. Tu disais alors que tu l’avais prévenu. Elle devenait rouge. C’était à croquer. Tu voulais presque te pincer les lèvres mais tu t’empêchais de le faire. Vraiment. Tu vas passer pour un pervers. Tu ne les pas. Tu es un homme facile, oui mais pas pervers. Tu rigoles en l’entendant se répéter qu’elle est le boss. Tu voulais dire que oui mais tu te retenais. Tu comprenais qu’elle se le disait à elle-même. Et puis tu ne t’attendais sûrement pas à ce qu’elle te rende le baiser. Ces lèvres se retrouvant collées aux tiennes. Tu prenais le réflexe de mettre sa main dans le bas de son dos. Cette fois, tu étais doué en mathématique. Tu allais pile au bon endroit. Pas trop bas. Pas trop haut. Gentil Oliver. Tu étais top sur ce coup enfin… Tu ne sais pas, tu embrasses peut-être mal et Dinah s’est peut-être barrée pour cela. Mais on s’en fiche. Tu restais chaste, compréhensif. Ton regard plongé sur son visage, surtout ses joues, tu caressais alors sa main avant de sourire en l’entendant. « Tu le découvriras, je pense mais oui, c’est mangeable… », répondais-tu en penchant la tête, offrant un sourire car elle venait de dire avoir hâte de voir cela tout de même. Tu te dirigeais alors vers la table du pique-nique. Les peluches bien mouillées et les friandises encore en bon état. Vive le plastique qui protégé. Tu te figes quand elle se tourne vers toi. Tu ne sais pas si elle va encore t’embrasser, t’engueuler ou te dire que tu es nul pour les baisers. Enfin tu n’as pas encore montré ce dont tu étais capable. C’était chaste. Tu pouvais faire tellement mieux. Tu la laissais parler en riant doucement. Tu retirais alors ta veste bien qu’humide. Tu la posais alors sur ses épaules pour la réchauffer. Bah attends, elle est en robe. Pas toi. Normal. Tu la serrais un peu plus en posant son regard dans le sien. « Je te passerais CEO si besoin… », disais-tu alors d’un ton calme et sérieux. Tu plaisantes bien sûr mais tu gardes un ton sérieux tout de même. C’est toi le CEO enfin le grand boss. Tu as besoin d’être viré pour donner ta place. Cela serait assez difficile. Tu le sais. Tu te retiens alors de l’embrasser à nouveau, posant ta main sur sa joue et la caressant, simplement. Tu laisses ton regard se plonger dans le sien. « Il ne faut pas s’en faire pour l’entreprise, on aura simplement qu’à faire attention et rester professionnels, je peux le faire… Je ne suis même pas au même étage mais après je peux te comprendre si tu as du mal… Je sais que je suis irrésistible ! », tu rigoles un peu en disant cela. Tu plaisantes. Enfin à moitié. Tu sais que tu es canon quand même. Tu n’es pas con mais elle aussi. Cependant ? Tu peux te tenir. Enfin peut-être pas. Au pire, t’ira te planquer dans la Arrow Cave et tu t’entraineras pour refreiner tes pulsions ou tu prendras des douches froides. Les deux peut-être. « S’ils s’en rendent compte, c’est qu’ils veulent vraiment le voir… et on est pratiquement seuls… à part peut-être eux… », tu tournes alors un regard sérieux vers les oursons et ensuite vers elle. « Mais je ne pense pas qu’ils vont faire les ragots enfin sauf si tu les invites au bureau autour d’un thé… », tu souriais doucement et finissant par reculer légèrement. « Je vais t’appeler mon chauffeur, je m’en voudrais si tu te faisais virer à cause d’un rhume… ton patron serait vraiment un salopard… », disais-tu en secouant la tête, l’air indigné. Malheur, tu parles de toi. Tu composais alors un message sur ton portable. Appelant donc Diggle qui faisait le fake chauffeur pour toi. Tu le voyais déjà en mode : tiens, c’est toi la belle. Tu ignorais les messages précédents mais tu chipotes un peu car tu sens son regard sur toi. Instinct de survie du Green Arrow. Tu adores ça alors comme un con, tu fais durer. Au moins, elle en profite. « Tu sais, je sais que tu me regardes… », disais-tu alors en lui offrant un sourire taquin. Tu penchais la tête avant de la relever pour remettre ton portable dans la poche de ton pantalon. Ta main allant se glisser de son flan à son dos pour la rapprocher à nouveau de toi. « Je peux, boss ? », demandais-tu alors.

Entamer une relation ? vraiment ? Avec ton boss ? Parce que là ça fait quoi ? tu ne sais même pas mettre un mot sur ce qui se passe entre vous. c'est tellement soudain, tellement rapide que tu ne sais pas vraiment comment tu fais pour agir. Tu restes juste là, parlant trop vite parce que tu remets tes idées en place en même temps. Son invitation a te faire a mangé, tu l'acceptes avec plaisir, non pas le fait de voir comment est la demeure Queen mais tu veux juste passer une soirée, au chaud, sans pluie, sans forrain arrogant et sanss peluche à gagner. Pourtant tu veux cette soirée ou tu pourrais le regarder faire la cuisine et peut-etre même l'aider. Kara, tu mate trop de film romantique ! La vie n'est pas comme ce que tu peux voir dans ta télévision. Tu finis par lui confier que tu ne sais pas comment faire avec les ragots, tu ne sais pas comment gérer ca parce que tu as toujours été invisible, à la fac, et même au début du stage, la preuve vous vous etes "rencontré" comme ça, parce que t'en a eu marre qu'il ne te voie pas, qu'il ne t'adresse même pas un simple bonjour courtoie et poli. « Je te passerais CEO si besoin… » Il a son air sérieux et pourtant tu sais bien qu'il plaisante, il ne va pas démissionner pour te mettre à sa place et ça serait vraiment la pire idée du siècle mais bon. Il amène sa main sur ta joue qu'il caresse et tu souris doucement en croisant son regard. « Il ne faut pas s’en faire pour l’entreprise, on aura simplement qu’à faire attention et rester professionnels, je peux le faire… Je ne suis même pas au même étage mais après je peux te comprendre si tu as du mal… Je sais que je suis irrésistible ! » Si le début de son propos etait encourageant pour la suite des évements et que le coté profesionnel te rassurait, la suite pourtant te donne un sourire amusée, et un petit roulage de yeux qui pourrait faire croire que tu le trouve desespérant. « Narcissique... c'est pas qu'une rumeur ça. » tu souris, tu le taquine, pourtant tu dis la vérité, t'es sur qu'il est narcissique sur les bords, mais pas du genre a se prendre pour le plus beau du monde pour autant. Mais tu ne peux nier qu'il a un charme fou, contre tout attente tu es tombée sous le charme.  « S’ils s’en rendent compte, c’est qu’ils veulent vraiment le voir… et on est pratiquement seuls… à part peut-être eux…  Mais je ne pense pas qu’ils vont faire les ragots enfin sauf si tu les invites au bureau autour d’un thé… » Tu ris, en tournant les yeux vers les peluches toujours installé dans leur coin. Il recule mais toi tu reste là, attendant la suite « Je vais t’appeler mon chauffeur, je m’en voudrais si tu te faisais virer à cause d’un rhume… ton patron serait vraiment un salopard… » Déjà ? Tu pourrais lui dire que tu ne tomberas pas malade, que sur Terre tu es insensible aux maladies mais ça serait vraiment bizarre. peut-etre qu'un jour, si tout se passe bien, si entre vous ça colle, que tu te sens assez confiante pour le lui avouer.. mais pour le moment tu ne dis rien et tu acquiesces juste. Il te tourne le dos, prenant son telephone pour appeller son chauffeur donc et toi tu ne dis rien, tu patientes mais tes yeux ne quittent pas sa silouhette. C'est juste que tu n'as rien d'autre à faire, tu pourrais envoyer un message a Conner pour lui dire qu'il avait raison mais bon, tu preferes attendre. « Tu sais, je sais que tu me regardes… » Et voilà qu'il te surprend a nouveau, rougissant de plus belle mais bien moins que tout a l'heure quand même, tes joues commencent à ne plus connaitre la froideur de la soirée. Il range son telephone en revenant vers toi et sa main se pose sur ton flan, il te rapproche de lui et tu te laisse faire sans paniquer cette fois. « Je peux, boss ? » Boss. Ca te fait bizarre d'etre appellé ainsi mais tu souris. « Hm tu sais.. mon patron n'est pas un salopard.. il est un peu bizarre mais il est très charmant. » Tu souris avec sincérité, avant de voir une voiture aux vitres teintées apparaitre. Ca doit etre la voiture, d'ailleurs tu lui lance un petit regard pour ensuite lui montrer la voiture. « je crois que mon chauffeur est là... » Tu ne bouges pourtant pas encore, tu preferes avoir confirmation que c'est bien son chauffeur.

Narcissique ? Toi. Oui, un peu quand même et tu l’affirmes. Tu n’as aucuns de mal à avouer que tu es canon puis tu l’as remarqué depuis toujours. Après le côté CEO et riche attire aussi pas mal et ça aide mais cela marcherait si tu ressemblais au Pingouin ? Tu me diras, le joker se tape bien un canon alors tu peux tout attirer. Tout. Enfin là, tu ne voulais pas tout attirer. Tu parlais. Tu commandais un taxi. Tu te rapprochais et tu demandais même la permission. Pourquoi ? Bah en fait, tu ne sais pas trop. T’avais envie d’un peu de tout. L’embrasser à nouveau ? Ouais mais faut en garder pour après aussi, roh pas tout le même soir. Etre proche d’elle ? Aussi. Pleins de choses. T’allais peut-être être un ogre aussi mais pas dans le même domaine. Sûrement. Tu es rassuré en la voyant sourire. John étant déjà là, tu relèves le regard quand elle montre la voiture. Tu ne recules pourtant pas d’un pouce. Tu tournes le regard vers les phares. Tu retournes à nouveau ton regard vers elle. « C’est bien lui ! », il aime choisir son moment en plus. Tu te sens presque déçu. Enfin tu voudrais pouvoir rester plus longtemps mais bon, il fait froid. « Je sais qu’il fait horriblement trempé mais j’aurais bien envie de laisser ce chauffeur avec les peluches et de te ramener… », Proposais-tu simplement. Tu n’avais pas d’arrières pensés. Pas du tout. En fait, tu n’avais juste pas envie d’arrêter la soirée sur la note d’un chauffeur. Peut-être est-ce ton nouveau toi galant, presque romantique qui parle. « La bête ramènerait Belle à son dos, non ? », lâches-tu simplement en haussant une épaule. Une petite métaphore ? T’allais quand même ne pas te transformer en bête et la porter sur ton dos. Non seulement t’as pas trop envie de faire ça mais en plus… t’es pas une bête enfin… pas encore. Attends un peu quand la tentation sera difficile à contenir. Tu risques de changer, certes. « Je peux également te faire faire un tour de la ville mais il se fait tard ! », disais-tu, responsable et raisonnable. Mais non, tu voulais peut-être encore sentir ses bras autour de toi sur un petit tour en moto. Tu voulais sûrement simplement avoir la sensation de ne pas juste la laisser dans une voiture et c’est bon. Non, tu voulais faire l’effort plus important que d’envoyer ton chauffeur. Tu voulais être le chauffeur mais tu n’étais pas sûr de ce qu’elle désirait. Peut-être qu’elle voulait être au chaud dans une voiture ? Sûrement. Tu laissais ton regard, tu attendais sa réponse. « D’ailleurs, tu vis ou ? », demandais-tu tandis qu’il n’y avait pas d’adresse dans son dossier à l’entreprise. Tu ne vas pas dire que tu avais regardé, non. Tu avais bien pensé lui envoyer les roses à son adresse et les chocolats aussi. Cela aurait été plus discret mais tu ne l’avais pas fait. « Ton patron n’est pas un salopard, il comprendra si tu veux éviter les rhumes mais il se trouve que tu es charmante aussi… et puis je suis bizarre ? Comment ça ? », disais-tu faussement offusqué après réflexion. Oui, voilà. Tu riais doucement en reculant. Tu regardais John mettre les peluches dans la voiture. Il était gentil, il les foutait pas dans le coffre comme des paquets mais il les mettait assis. Charmant. Tu reposais ton attention sur elle. Espérant qu’elle ne se demande pas comment John sait que les peluches sont avec vous. Et tu étais troublé qu’il le sache également. « Elles sont en charmantes compagnies… d’ailleurs cela va de soi, tu gagnes les deux… J’ai gagné une peluche différente… », soufflais-tu en restant sérieux mais avec un sourire taquin. Il est content le clown… ouais.

« C’est bien lui ! » Tu es presque décue finalement, tu ne pensais pas qu'il arriverait aussi vite ni même que vous devriez vous séparer tout de suite. Non, mais tu te sens bien là, encore un peu nerveuse mais le pire sera surement dans ton lit ce soir quand tu repenseras a tout cela et que tu seras totalement paniquer par tout ce qui s'est passé, par les baisers, les peluches, les compliments qu'il t'a fait, ta manie de passer pour un ogre, l'avoeux sur ta virginité et sa main sur tes fesses. tout cela te rendra totalement hystérique mais pour le moment tu te contentes simplement de rester. « Je sais qu’il fait horriblement trempé mais j’aurais bien envie de laisser ce chauffeur avec les peluches et de te ramener… » Tu es surprise, mais ton sourire trahit deja ta réponse. Tu es pour qu'il te ramene, jusqu'à ta voiture evidement, tu ne vas pas le faire repartir jusqu'à métropolis. en plus ça serait bien trop voyons. « La bête ramènerait Belle à son dos, non ? » Voilà qu'il utilise Disney contre toi, avoir chanter la belle et la bete lui monte a la tête. « Je peux également te faire faire un tour de la ville mais il se fait tard ! » Tu souris mais tu acquiesces, oui il se fait tard et tu ne veux pas en abuser. « D’ailleurs, tu vis ou ? » Ouch, question piège. Tu ne peux pas dire que tu vis a Star City ça serait un trop gros mensonge mais tu ne peux pas dire que tu es de Metropolis, sinon il va se demander comment tu fais pour venir tout les matins et repartir le soir a chaque fois. Bon, tu ne sais pas vraiment si c'est si loin que ca, t'es pas douée avec les distances parce que pour toi, tout est rapide, ou trop long ça depend. « Ton patron n’est pas un salopard, il comprendra si tu veux éviter les rhumes mais il se trouve que tu es charmante aussi… et puis je suis bizarre ? Comment ça ? » Tu ris doucement et tu hausses même les épaules avec un petit air innocent, comme si tu ne voulais pas avouer ce que tu venais de dire. tu le trouves bizarres mais venant de toi c'est un vrai compliment. Tu tournes les yeux vers le chauffeur qui vient de sortir de la voiture pour aller récuperer les peluches et les friandises. Il amene tout dans la voiture, sur le siège arrière. Comment il sait pour les peluches ? Ha, Oliver a du le lui préciser dans son message probablement. C'est même logique finalement. « Elles sont en charmantes compagnies… d’ailleurs cela va de soi, tu gagnes les deux… J’ai gagné une peluche différente… » Tu gardes les deux peluches ? c'est adorable, tu souris alors et tu viens le remercier en venant poser un baiser sur sa joue. pourtant l'ours geant, c'était un cadeau pour lui. C'est là seulement que tu comprends qu'il parle de toi, pour la peluche différente. Tu ressemble a une peluche ? vraiment ? Tu souris pourtant et puis tu finis simplement par répondre « La voiture de ta nouvelle peluche est sur le parking de son boulot. Je ne vis pas en ville. Donc tu pourras me déposer au parking. » Que tu ajoutes, tu réponds même a la question sur qui te racompagne. tu accepte que ce soit lui et non pas le chauffeur de peluche. C'est un peu idiot de devoir te déposer a un parking mais il faut bien que tu récupere ta voiture, tu vas faire le retour en volant evidement, mais tu déplaceras ta voiture en dehors du quartier, on ne sait jamais. Tu finis par t'éloigner, laissant Oliver expliquer la situation a son chauffeur alors que toi tu rejoinds la moto. Tu patiences sagement, tu attends qu'il revient pour te donner le casque que tu enfiles en faisant attention à te slunettes une fois encore et tu grimpes, en faisant une fois de plus attention a la robe. Quand il grimpe, tu passes tes bras autour de lui et tu te serres dans son dos, un peu moins timide cette fois, ce n'est pas comme la première fois après tout. Le moteur vrombit et vous voilà partie. Durant le trajet tu te serres bien contre lui pour ne pas glisser, parce que ta robe est encore humide et ça ne fait pas forcement bon ménage. Finalement il ralenti, dommage, tu sais que vous etes arrivée et tu descends de la moto. « c'est vraiment génial ce truc.. » tu parles de la moto évidement.

Tu as gagné une peluche différente ? Elle n’est pas très poilue. Enfin tu ne vois pas tout mais les jambes te suffisent. De toute façon, roh t’as vécu sur une île alors les poils sauvages ne te font pas peur. Tu as sûrement même déjà croisé des ours. Après les lions, rien d’anormal. Mais de la à comparer cette jeune femme avec une peluche ? Tu disais ça pour plaisanter dans le fond. Tu ne savais même pas ou en était votre relation. Tu n’étais pas encore au moment du câlin. De base, tu n’es pas un câlineur (oui, tu inventes des mots)  facile mais qui sait ? Tu n’en sais rien en fait. Tu la laissais alors choisir mais en l’entendant, tu souriais. Elle ne vit pas en ville ? Voilà qui va te couter de l’essence si vous allez plus loin. De toute façon, la justice league te coute de l’essence. Parfois tu aimerais voler, courir vite ou qu’importe. Tu gagnerais un temps de fou. Tu pourrais peut-être inventer un système de téléportation. Voilà, pourquoi pas. Cela serait plutôt pas mal. Mais non. Tu ne peux pas inventer cela, tu peux payer pour faire inventer cela. C’est tout. Et tu comprends qu’elle te demande donc de te déposer. Alors, elle est accroc à toi ? Tu te contentais de sourire. On ne va pas trop en montrer. Tu ne veux surtout pas paraitre trop heureux. Alors tu la regardes prendre l’initiative d’aller annoncer la nouvelle au chauffeur enfin à Diggle. Tu sens son regard moqueur et taquin sur toi quand elle a le dos tourné et tu le tue littéralement du regard en faisant signe que tu le rejoindras plus tard. Tu poses cependant aussitôt ton regard sur elle avant de lui donner le casque. Non mais mon dieu, il va falloir trouver une solution pour ses jambes si elle est vierge. Des doudounes même. Il va falloir que tu t’occupes à regarder son visage. Mais même… quand elle rougie, ce n’est pas mieux. T’es dans la merde, mon petit. Si tu savais en plus qu’elle est la cousine de Clark, tu serais encore plus dans la merde. En vrai, t’es dans la merde totale. Genre la merde qui pue vraiment bien. Tu vois ? La merde saveur… enfin arrête de parler de fumiers et cacas. Merci. Il fait chaud. Très chaud. Puis en plus c’est trop canon une fille avec la veste de smoking mais encore mieux quand c’est la tienne. Comme toujours, tu l’imagines juste dans ta chemise le lendemain matin. Non mais arrêtes. Tu arrêtes. Tu t’approches. Puis tu grimpes sur la moto, devenant la peluche à serrer. Tu te sens bien. Ouais, t’aimes pas spécialement les câlins mais là ? Tu as clairement envie de rouler pendant toute la nuit et plus si affinités. Une fois sur le parking, tu restes sur la moto, tu tournes ton regard vers elle. Pas de sécurité, tu n’as pas de casque. Si seulement tu savais que tu risquais plus la mort qu’elle. Elle pourrait même te tuer en te serrant un peu trop fort. Tu la regardes descendre de la moto et tu rigoles en l’entendant. « A ce point ? Tu aimes les sensations fortes alors ? », demandais-tu en descendant à ton tour. Tu t’approchais pour lui retirer le casque avec galanterie. Oui, tu fais attention à ne pas la blesser et même tu es doué avec elle. Tu prends bien soin à faire attention à ses lunettes. Tu trouves ça adorable en passant. Tu posais alors le casque sur la moto avant de poser tes mains sur ses joues, tu la regardais alors dans les yeux, profondément. Au plus profond, non mais tu te noies, là. Respires bien sous l’eau. Enfin presque par ce que là, tu l’embrasses. T’y mets un peu plus de temps cette fois. Ouais, tu prends bien ton temps. Tu restes chaste. Et puis tu recules simplement. « Je te dirais bien bonne nuit mais tu as de la route… donc un bon retour serait plus correct… », disais-tu d’un ton calme. « Par contre ce n’est pas un baiser de bonne nuit… », soufflais-tu en riant doucement. Ah non mais les baisers de bonne nuit sont peut-être moins chastes ? Tu te retenais beaucoup pour y aller à un rythme normal. Manquerait plus qu’elle fasse une crise cardiaque si tu utilises la langue. Et puis tu la laisses rentrer, ça te fait bizarre. Oui, bizarre. Tu ne sais pas vraiment comment te comporter. T’as peur aussi. Punaise, oui, ça te fait peur. Tu ne t’attendais pas à ça. Tout avait été si… enfin… voila. T’as assez bizarre. Tu étais donc retourné à la cave et tu avais imploré des vilains de venir… plus dans le chapitre suivant.