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 it was like raising hell on earth (Diana)

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Jason Todd


Jason Todd

independent soul

Messages : 5500
Date d'inscription : 29/01/2017
Face Identity : Matthew Daddario.
Crédits : labonairs (avatar), Ventium ♥ (les bannières), signature (beylin), & renegade (montage)
blablalblalba
Age du personnage : trente années à écumer la ville du crime.
Ville : Gotham City.
Profession : Plus mercenaire que justicier, tu ne te considères pas comme un héros. Toi, tu n'hésites jamais à tuer.
Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins.
Compétences/Capacités : it was like raising hell on earth (Diana) Xq1n

Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.

it was like raising hell on earth (Diana) V9vb

Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi.
Situation Maritale : Célibataire.









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MessageSujet: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyJeu 13 Sep - 22:06


Diana & Jason

Our greatest glory is not in ever falling, but in rising every time we fall.


Ton dos s'écrase au sol. Tu te relèves rapidement, juste à temps pour parer un coup. Le second, aussi vif que l'éclair, tu n'y échappes pas. Et à nouveau, tu chutes lourdement sur le tapis installé au milieu du salon. Cette fois, c'est plus une grimace d'égo bafoué que de véritable douleur. « C'est déjà mieux qu'hier. » Retrouver tes souvenirs a été une première étape. Avec eux, tu dois maintenant réapprendre à te battre. Il ne suffit pas d'actionner un interrupteur, il faut que tes gestes deviennent naturels, efficaces et redoutables. Tu as largement battu ces dealers dans la ruelle de Metropolis, mais ils n'étaient rien en comparaison de ce que vous allez affronter. Avec Diana, tu commences doucement à redevenir le guerrier que tu étais. Avec son aide tu te relèves – physiquement et psychologiquement –, l'entrainement est terminé pour aujourd'hui. Car les cours de combat sont loin d'être votre seule priorité. Savage est passé à l'offensive. Contre son propre pays. Des villes ont été bombardées, des innocents sont morts. Sa folie doit prendre fin. Mais avant de l'affronter, vous devez trouver une solutions pour tous ces gens qui courent encore un grand danger. Métropolis est menacée, vous devez trouver une solution pour des milliers de personnes. Et déjà, tu sais que vous ne pourrez pas tous les sauver. Combien de temps vous reste t-il ? Une heure ? Un jour ? Une semaine ? La menace qui plane au-dessus de vous est réelle. Vandage ne bluffe pas. Bientôt, il pleuvra des bombes sur la ville. Malgré ça, tu prends le temps de te rapprocher de Diana pour venir déposer plusieurs baisers sur son front. Vous n'avez pas eu le temps de profiter l'un de l'autre. Ou du moins pas comme vous l'auriez aimé. Après avoir retrouvé la mémoire vous êtes partis pour l'Egypte. Et la suite, et bien la suite n'a pas été de tout repos. Une fois que les choses seront rentrées dans l'ordre, des vacances en famille s'imposeront. Et ce sera non négociable. Cette situation n'est facile pour personne, encore moins pour elle, alors tu fais toujours ce que tu peux pour lui apporter un peu de force et de réconfort. « T'es prête ? » Dans une heure, Barbara va pirater la radio locale – la seule qui émet officiellement – pour laisser Diana prendre la parole, et inciter les habitants à évacuer ou à se mettre à l'abri. T'as étudié les plans de la ville, et étant moderne, tu n'as pas trouvé d'abris assez grand pour regrouper les gens en cas de catastrophe. La seule solution, c'est le métro. C'est le seul endroit. Sous terre, certains pourront éviter les bombes, et espérer survivre. Mais pour être parfaitement honnête, tu ne vois aucun avenir pour ce monde. Savage ne s'arrêtera pas. L'ONU va chercher à le contrer. Et tout ça va finir en guerre mondiale. C'est peut-être une vision pessimiste de l'avenir ici, mais tu ne vois pas comment il pourrait y avoir un autre dénouement. C'est pour ça qu'il vous faut retrouver votre univers le plus rapidement possible. En attendant, vous ferez ce que vous pourrez pour eux.

BOOM.

Trop tard. Les baies vitrées explosent, lançant une pluie de verre acéré sur vous. T'es projeté au sol, quelques traces de coupures sur les bras. Tout l'immeuble se met à trembler, et le plafond commence déjà à s'effondrer. « Trop tard ! » La première bombe a été lâchée. Vous n'étiez pas loin de l'impact. Les fondations du bâtiment ont été touchées. Dans quelques minutes, il ne restera plus que des morceaux de pierre et de la poussière. « Il faut qu'on évacue avant que tout s'écroule ! » Dehors, l'apocalypse a commencé. Le boucan de la ville qui implose. Des cris. Non, des hurlements. Tu te relèves, et sors en trombe de l'appartement suivi par Diana. En jetant un œil au-dessus de vous, tu constates qu'un tiers de l'immeuble a été arraché. Il ne reste plus rien des derniers étages. T'as envie de hurler. « On se sépare. » Tu lui laisses cette étage, tu prends le suivant. Non sans lui lancer un dernier regard inquiet, tu cours et dévales les escaliers pour récupérer les survivants. Tu défonces les portes. Certains sont vides. D'autres non. « Dépêchez-vous, tout va s'effondrer ! » Tu hurles sur la famille qui ramassent ses effets personnels. Dans leur sac, tu vois tout un tas de photos. Ils sauvent les derniers souvenirs d'une vie tranquille. Dans le second appartement, un homme est coincé sous des décombres. L'immeuble tremble. C'est une question de minutes. De toutes tes forces, tu soulèves le morceau de béton qui lui écrasent les jambes. Tes bras sont douloureux, tes muscles menacent de lâcher, mais tu tiens le coup, les dents serrés. Enfin, il parvient à se dégager. « Ma fille est encore dans la chambre ! Je vous en prie, aidez-la ! » Bordel. Tu lui ordonnes de descendre, pendant que toi tu fonces dans la chambre, la fillette est là, apeurée, prostrée dans un coin. Tu t'approches et la portes dans tes bras, sans perdre une seule seconde de plus. « Tout va bien, je te ramène à ton papa. » Enfin, tu l'espères. Tu cours, descends le plus rapidement possible. Mais alors que tu étais proche du but, si proche de la sortie, tout s'écroule. Tu as à peine le temps de te jeter au sol pour protéger la petite fille. L'obscurité et le béton s'abattent sur vous.  



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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyLun 17 Sep - 20:43

it was like raising hell on earth
jason & diana

« YOU WANT BATTLE? I'LL GIVE YOU WAR. »

Comme Diana l'avait anticipé, ce n'était qu'une question de temps avant que Vandal Savage ne s'en prenne au peuple qu'il avait juré de protéger en entrant à la Maison Blanche. Évidemment, croire ce sociopathe capable de faire preuve d'empathie était une erreur, la seule chose l'intéressant et motivant ses desseins étant sa soif insatiable de pouvoir. Bien malgré elle, Diana aide Jason à retrouver ses réflexes de combattant en étant distraite, pensive. Se battre étant pour elle une seconde nature, quelque chose d'aussi instinctif que de respirer, elle pare et rend les coups sans difficulté. Elle ne peut s'empêcher de songer à ce que lui a dit Arès à propos des nouvelles guerres des hommes. Le temps des véritables champs de bataille est révolu, les généraux et autres donneurs d'ordres ne sont plus en première ligne mais bien à l'abri dans leurs bureaux. Tuer est devenu d'une facilité déconcertante, puisque l'on n'a plus besoin de regarder son adversaire droit dans les yeux, ni même de voir son visage, pour appuyer sur une détente ou lâcher des bombes. Arès lui a affirmé que les guerres sont à présent complètement dépourvues d'honneur et elle ne peut le nier. Prendre une vie n'est jamais une chose anodine et si Diana a déjà tué à de nombreuses reprises, elle n'a jamais pris de vie innocente et ne l'a jamais fait si une autre solution était possible. Elle ne parvient pas à comprendre que l'on puisse seulement envisager de bombarder des villes de plusieurs millions d'habitants pour leur "donner une leçon", pour les punir pour les crimes d'une poignée d'individus. Cela la dépasse complètement, et ce sont de telles actions qui testent sa foi en l'être humain. Même les dieux n'ont jamais commis de pareils crimes... Savoir qu'elle ne pourra pas sauver toutes ces vies lui brise le cœur et l'emplit d'un sentiment d'impuissance qu'elle déteste. Savage doit tomber, et le monde doit être remis sur les bons rails, c'est l'unique moyen de sauver toutes ces vies.

Jason à terre, Diana lui tend une main pour l'aider à se relever. Elle soupire quand il dépose plusieurs baisers sur son front, plein d'affection. « Je suis prête. Prête à arracher la tête de Savage à mains nues... » Elle sait que s'il est immortel, mais pas invulnérable. Et quand bien même elle n'approuve pas les exécutions et la justice expéditive, il faut parfois savoir arracher la mauvaise herbe avant qu'elle ne prolifère trop. Dans le cas de Vandal Savage, peut-être est-ce déjà trop tard, mais quand on coupe la tête d'un ennemi, le reste du corps finit par arrêter d'avancer. « Je ne peux pas autoriser ce monstre à rester en vie. J'ai l'impression d'être responsable de ses actions, puisque je n'ai pas mis un terme à son règne dès que j'ai su qu'il était à la tête du pays... » Tuer cet homme ne leur rendrait pas leur réalité, mais cela permettrait peut-être aux États-Unis de reprendre leur souffle. Diana sait que Bruce ou Kal-El n'approuveraient pas cette décision, comme ils n'ont pas approuvé la condamnation de Graal. Mais Vandal Savage est le pire tyran de l'histoire du monde, il a érigé et détruit empire après empire, nation après nation, il est une infection dont l'humanité doit être débarrassée une bonne fois pour toutes. Mais en l'absence du reste de la Ligue, elle ne peut soumettre son choix à personne, et seulement assumer les répercussions de son geste une fois leur monde retrouvé – si Vandal Savage ne s'en sort pas une fois de plus, ressuscité par un mauvais coup du destin. « Je n'ai plus le choix, je dois me charger de son sort et – »

Diana n'a pas le temps de prononcer la fin de sa phrase. La première déflagration fait exploser toutes les vitres de l'appartement et le souffle de l'explosion les projette au sol. Elle se relève d'un bond, indemne mais furieuse – le tyran n'aura pas perdu de temps. Les derniers étages ont été à moitié emportés, c'est un vrai miracle que leur appartement n'ait pas été complètement éventré. Mais une chose est certaine, l'immeuble ne tiendra pas longtemps. Avoir enfilé son armure pour l'entraînement de Jason a fait gagner du temps à Diana, alors elle se contente d'accrocher son lasso à sa ceinture et récupère son épée et son bouclier. Tandis que Jason évacue l'étage en dessous du leur, Diana vérifie les appartements voisins du leur. Vides, à l'exception de lui de celui juste à côté, mais elle ne peut déjà plus rien faire pour ses habitants. Elle peut entendre le métal grincer et voir le béton craqueler, le bâtiment est sur le point de s'effondrer sur lui même comme un château de cartes. Dans la cage d'escalier, Diana aperçoit Jason tout en bas, sur le point de sortir avec une petite fille dans les bras... Mais il ne sera pas assez rapide. Elle bondit par dessus la rambarde et se laisse tomber jusqu'en bas comme un boulet de canon, juste à temps pour les protéger. Elle lance son bouclier à Jason pour qu'il puisse protéger sa tête et celle de l'enfant, et de ses mains libres retient les tonnes de béton qui auraient dû les écraser. Il faut ensuite plusieurs minutes à Diana pour les extirper des décombres, car si elle ne craint rien, elle doit faire attention aux blocs qui pourraient glisser et blesser – voire tuer – Jason et la petite fille. Quand ils revoient la lumière du jour, ils sont couverts de poussière, mais sains et saufs, à quelques coupures et hématomes près.

Metropolis a déjà des allures de paysage apocalyptique, Diana ignore combien de bombes ont été lâchées, mais elle peut déjà entendre les avions revenir. « Continue d'aider les gens à se mettre en sûreté... Et trouve le moyen de faire savoir à Barbara que j'ai besoin d'utiliser la radio. J'ai un nouveau message à faire passer, et je veux que Vandal Savage entende le moindre de mes mots. » Diana serre les poings. Elle est folle de rage, et cela se lit dans son regard. Elle s'efforce encore de ne pas remarquer le sang qui coule sur la peau de Jason, ou encore les corps déjà éparpillés dans les rues. « En attendant, je vais m'occuper de ces bombardiers. Vandal Savage voulait provoquer des réactions, eh bien me voilà. » D'ordinaire, Metropolis a Superman... Aujourd'hui, elle aura Wonder Woman. Diana s'élance dans le ciel de la métropole et repère immédiatement les appareils. Ce sont des avions de guerre dont la technologie est avancée, mais peu importe. Les balles de leurs mitrailleuses ne font que rebondir sur son armure et sur sa peau, la seule chose qu'elles parviennent à faire est l'agacer. Poings en avant, elle pulvérise le moteur du premier appareil, ce qui force le pilote à se concentrer sur sa propre survie avant de se soucier d'elle. Devrait-elle laisser une chance à ces hommes de s'en sortir ? Sont-ils des pions, de simples pantins du tyran ? Ou de fidèles alliés persuadés de servir une juste cause ? Diana n'a pas le temps de les interroger, ni même de se poser trop de questions. Elle sait déjà qu'elle ne pourra pas les empêcher de larguer toutes leurs bombes, à moins que... Kal-El n'approuverait pas, mais la situation est désespérée. Diana fonce vers l'avion tourbillonnant vers le sol en chute libre, et une fois qu'elle l'a rattrapé elle enroule le lasso autour de la queue de l'appareil. Comprenant qu'il fait face à plus fort que lui, il préfère s'éjecter et ainsi sauver sa peau. Diana fait tournoyer l'avion plusieurs fois pour lui faire gagner de la vitesse et quand elle le relâche, il va s'écraser avec fracas contre le second. Toutes les bombes qu'ils transportaient explosent, la détonation est assourdissante et l'onde de choc fait exploser les vitres sur plusieurs centaines de mètres. Mais c'est tout. En explosant dans le ciel, les bombes ont manqué leurs cibles. Diana ne se fait pas d'illusions, d'autres bombardiers seront bientôt en chemin, mais elle est prête à recommencer jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien de l'arsenal aérien de Savage. Après avoir localisé Jason parmi la foule de citoyens paniqués, Diana se pose au sol brusquement, le bitume craque sous ses bottes. « Je vais vraiment avoir besoin de cette radio, mon amour. Ou d'une caméra... Je veux que ce monstre m'entende, je veux qu'il me voie. Je veux qu'il sache que Wonder Woman n'a rien oublié, et qu'elle va aller se charger de son cas. »

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Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins.
Compétences/Capacités : it was like raising hell on earth (Diana) Xq1n

Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.

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Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi.
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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyMer 19 Sep - 22:54


Diana & Jason

Our greatest glory is not in ever falling, but in rising every time we fall.


Tu attrapes le bouclier que te lance Diana, et c'est sous un fracas assourdissant que vous vous protégez, toi et la petite fille. Une seconde de plus et vous finissiez en charpie. Tu sens tes muscles se tendre et hurler de douleur sous l'impact. Il ne se passe que très peu de temps entre l'instant où l'écroulement a commencé et terminé, mais t'as l'impression d'être là-dessous depuis une éternité, à sentir les tonnes de béton peser sur vous. Avec tes propres moyens, tu aides Diana à vous extirper de sous les décombres, tout en essayant de rassurer l'enfant apeuré et désireuse de retrouver son père. Quand enfin vous retrouvez la lumière du jour, tu la portes dans tes bras jusqu'à ce que vous soyez hors de danger. Du moins, de ce danger là, puisque dehors, c'est l'apocalypse. Les immeubles s'effondrent, les gens ne savent pas où aller, ils hurlent le nom des gens qu'ils ont perdu de vue. La petite fille est réunie avec son papa, mais c'est une bien maigre consolation face à cette scène de carnage. Tu essuies ton visage plein de poussière et de sang avec l'intérieur de ton t-shirt, et fais en sorte de ne pas voir les blessures qui marquent ta peau découverte. Affronter des bombes en tenue de sport, c'est pas l'idéal. Mais ici, tu n'aurais de toute façon pas trouvé bien mieux. Ton costume de Red Hood est resté dans l'autre univers.Tu hoches la tête aux consignes de Diana, soulagé de voir qu'elle n'est pas blessée. Mais ça, c'est pas franchement une surprise. En revanche, si physiquement elle est indemne, tu ne peux en dire autant sur son état d'esprit. La rage danse dans ses iris, tu vois ses poings se serrer sous la montée de la colère. Vandal Savage vient de commettre sa plus grosse erreur, déclencher la fureur de Wonder Woman. « Fais attention, d'accord ? » Invincible ou pas, se prendre une bombe en pleine face ne ferait pas spécialement du bien. Mais si il y a quelqu'un qui peut arrêter ce désastre, c'est elle. Quand elle s'élance vers les avions, tu cours pour venir en aide à ceux qui en ont besoin. Certains sont coincés sous les décombres, d'autres ont besoin de garrot pour stopper leurs hémorragies. Tu ne sais plus où donner de la tête, tant les cris viennent de partout. Tu fais cependant en sorte de t'occuper en priorité des enfants. Quand le ciel gronde à nouveau, tu t'attends à voir l'impact imminent d'une nouvelle bombe, mais non, c'est...Diana. A plusieurs kilomètres au-dessus du sol, elle joue au flipper avec des avions. Tous les yeux sont soudainement rivés vers elle, et t'es consterné d'en voir quelques uns immortaliser l'action dans un moment pareil. Même si, bon, t'as du mal toi aussi à cacher ton admiration. Elle en train de s'occuper des bombardiers, à elle seule, mains nues, et avec une élégance à toute épreuve. « C'est qui ? » Un homme pose la question qui était probablement dans l'esprit de tout le monde. Ici, Wonder Woman n'existe pas. Mais ils viennent d'assister à sa naissance. Et quelle naissance ! « C'est Wonder Woman. Retenez son nom, vous allez en entendre parler. » Parce qu'elle n'en a clairement pas fini avec Savage et son armée. « Et c'est aussi ma femme. » Cette fois, c'est sur toi qu'ils posent leur regard. Fier, tu te contentes d'hausser les épaules, avant de te rapprocher de Diana quand elle atterrit lourdement sur le sol. « Et moi j'ai besoin de quelques secondes pour me remettre de ce que je viens de voir. C'était badass. Et sexy. Et... incroyable. » Fanboy ? Indéniablement. Comment ne pas l'être après une telle démonstration ? Tu te racles la gorge, conscient cependant que ce n'est pas le moment de jouer au loup de Tex Avery, la langue pendue et les yeux en cœurs. « Je n'ai ni radio, ni caméra. » Autant dire que ce qu'il reste autour de vous n'est que décombres et poussière, et que tu n'as pas eu le temps de récupérer l'émetteur radio dans votre appartement. Mais ça ne veut pas dire que son message ne pourra pas être entendu. « J'ai mieux, j'ai un téléphone. » Tu lui souris, et sors celui qui était dans ta poche, encore indemne malgré ses mésaventures. « Je te filme, et j'envoie la video à Barbara. Elle la diffusera sur tous les canaux du pays, et elle pourra aussi retranscrire la bande son sur les ondes. Personne n'y échappera. Pas même Vandal Savage. » Et il est la cible numéro une du message qu'elle a à faire passer. Un message de colère, de révolte, mais aussi d'espoir pour les survivants qui ont envie de se battre. Diana maitrise les mots à la perfection, elle sait comment faire naitre en vous toutes sortes d'émotions. Avant même d'avoir entendu son discours, tu y crois fermement. Tu mets ton téléphone en mode video, et braque la caméra vers ton épouse. D'un signe de la tête, tu lui fais signe de se lancer. La révolte commence maintenant.



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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyLun 24 Sep - 16:44

it was like raising hell on earth
jason & diana

« YOU WANT BATTLE? I'LL GIVE YOU WAR. »

Diana est furieuse, elle bouillonne de rage. Une rage qu'elle essaie vainement de maîtriser, alimentée par la vision des cadavres qui jonchent les rues de Metropolis. Où sont censés fuir onze millions d'habitants ? Où pourraient-ils aller, quand le reste du pays n'est pas plus sûr ? Vandal Savage n'est pas qu'un dictateur, c'est un véritable sociopathe obsédé par le besoin narcissique de diriger le monde. Exactement le genre d'homme que Diana déteste, une plaie qu'elle aimerait pouvoir éradiquer une bonne fois pour toutes de la surface du globe. En fin de compte, elle se moque bien de savoir de quelle façon sans message sera transmis à travers le pays, du moment qu'il l'est. Tout ce qui lui importe, c'est que Savage voie son visage et entende clairement chacun de ses mots. Alors si un simple enregistrement sur le téléphone de Jason peut être diffusé sur tous les écrans et toutes les ondes, cela fera parfaitement l'affaire. Diana fixe directement l'objectif, les sourcils froncés et le regard sombre. « Vandal Savage. Je sais ce que vous êtes, et vous savez ce que je suis. Vous savez ce dont je suis capable, de la même façon que je sais que votre règne de terreur ne s'arrêtera qu'une fois que vous aurez mis le pays à feu et à sang. Mais cela n'arrivera pas. C'est terminé, Savage. Vous avez profité d'un monde qui ne ne souvient de rien, mais vous avez sous-estimé vos ennemis. Vous avez espéré que nous aurions tous disparu mais je suis là. Et il y en a des dizaines d'autres comme moi, prêts à s'élever contre votre barbarie. Vous n'êtes pas aussi intelligent que vous pensez l'être. Je vais vous arrêter, Savage. Peu importe de quelle façon, mais je vais vous arrêter et rendre leur liberté aux États-Unis. Vous n'allez pas vous rendre, parce que votre ego vous en empêche. Cela n'a pas d'importance, vous ne m'échapperez pas. Vous n'êtes pas invulnérable. Vous n'êtes pas un roi. Vous n'êtes pas un dieu. Moi, oui. » Elle désigne les ruines derrière elle et quand elle regarde de nouveau la caméra du téléphone, ses yeux lancent littéralement des éclairs. « Vous pouvez envoyer d'autres avions. Vous pouvez envoyer toute votre armada, je me chargerai de tous vos avions, de toutes vos bombes, de tous vos soldats jusqu'à ce que vous n'ayez d'autre choix que de venir m'affronter. Vous n'êtes qu'un lâche, et les lâches finissent toujours par perdre. Je sais que je ne suis pas la seule à vouloir m'élever contre vous. Je sais que je ne suis pas la seule à me souvenir de notre véritable monde. J'en appelle à tous ceux qui souhaitent s'élever contre la barbarie d'un dirigeant illégitime. Rejoignez-moi et ensemble nous pourrons mettre un terme à cette dictature qui a assez duré. Je sais que certains d'entre vous me reconnaissent, et qu'ils ne comprennent peut-être pas pourquoi. Savage a contribué à l'endormissement de vos esprits en plongeant le monde dans la peur, et cela a assez duré. Nous ne sommes ni ses pions, ni ses esclaves, et certainement pas ses victimes. Nous sommes légion, et il est seul. » Diana reste silencieuse quelques secondes, songeant à la suite de son discours. Chaque mot doit atteindre sa cible. « Beaucoup d'entre vous, cependant, ne se rappellent plus de qui je suis. » Alors elle va leur rafraîchir la mémoire. Elle espère que les hommes et les femmes de la Ligue de Justice l'écoutent. Que ses mots aient un réel impact et réveillent quelque chose en eux, ce désir commun qu'ils partagent tous de défendre et de protéger le monde. « Je suis Diana de Themyscira, fille de la grande reine Amazone, Hippolyte, et du dieu des dieux, Zeus. Je suis Wonder Woman. Je suis membre de la Ligue de Justice et ensemble nous luttons contre l'injustice. » Menaçante, elle lève son épée et la pointe vers le téléphone. « J'ai des amis, Savage. Nous allons nous occuper de vous. »

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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyVen 28 Sep - 18:17


Diana & Jason

Our greatest glory is not in ever falling, but in rising every time we fall.


Ce monde n'est pas le votre, mais ce monde ce doit d'être protégé. C'est dans votre nature de vous élever contre la tyrannie, de donner de votre personne pour autrui. Tu ne pensais  pourtant pas vraiment l'être avant. Tu exécutais pédophiles, violeurs et meurtriers, oui. Tu épargnais à d'autres de multiples souffrances, oui. Mais quelque part, c'était donnant-donnant. Tu sauvais leur vie mais tu soulageais aussi ta colère. Ce monstre qui grandissait en toi et qu'il fallait que tu nourrisses sous peine d'exploser avec lui. Tu tirais profit de tes actions, d'une façon ou d'une autre. Mais depuis que Diana est entrée dans ta vie et qu'elle est parvenue à mettre sur off toute cette haine, tes motivations ne sont plus les mêmes. Ce n'est plus pour anesthésier tes maux, c'est par amour. Un amour que tu portes à cette humanité imparfaite. Elle comme toi, c'est qui vous êtes, foncer vers le danger, vous battre, tout faire pour sauver une situation parfois désespérée. Aujourd'hui ne fait pas exception, qu'il s'agisse de votre univers ou d'un autre complètement fabriqué, vous prenez les armes. Tu enregistres le discours de Diana, aussi bien destiné à Savage qu'à la population. Elle est porteuse de menaces envers le tyran, mais aussi d'espoir. C'est tout ce qu'elle représente. Ici ou ailleurs. Une image de lutte contre l'oppression, et de leader des opprimés. T'es fier d'être à ses côtés. Fier de mener le combat avec elle. Chaque jour, elle te donne une nouvelle raison de tomber amoureux. Mais là devant toi, elle n'est pas simplement ton épouse, elle n'est pas simplement Diana, elle est Wonder Woman. Cet alter ego qui a non seulement sauvé le monde une centaine de fois, mais qui en a aussi inspiré d'autres à en faire tout autant. Ou à seulement croire en quelque chose de meilleur, ou de plus beau. Aujourd'hui, tout recommence. Et t'es presque ému de cette fois pouvoir y assister, toi qui a l'impression d'avoir tellement raté de sa vie. Si tu étais Savage, tu serais en train de chercher un trou de souris dans lequel te planquer. Parce que ce qu'elle dit, elle le fera. Pour elle, une promesse est sacrée. Lui faire payer ses actes, sauver ce monde, elle le fera. Quand elle conclue, tu baisses le téléphone, touché toi-même par son discours. « C'était parfait. » Ta voix tremble un peu, alors que tu lui souris. Un sourire qui en dit long sur ce qu'elle est capable de faire naitre en toi, en vous. Vidéo enregistrée, tu l'envoies à Barbara sur une adresse sécurisée, pour qu'elle puisse la diffuser partout. Ce n'est qu'une question de minutes avant qu'elle parvienne aux oreilles et aux yeux de tout le monde. Maintenant, vous avez encore beaucoup de travail. Elle a stoppé d'autres bombes de frapper la ville, mais il y a dans les rues des milliers de gens sans domicile, et des milliers d'autres déjà morts ou en attente de soins. « Il faut qu'on conduise ces gens dans un endroit sûr et à l'abri, un gymnase ou un... » Ta phrase reste en suspend. Sourcils froncés, tu fixes un point derrière Diana. Enfin, pas un point, un corps allongé sur le sol. Sans dire un mot de plus, tu marches le cœur battant vers cette personne que tu as reconnu de loin. Comment l'oublier ? Puisqu'il s'agit de ta propre mère. Catherine Todd. Elle est là, au sol, morte ou inconsciente. Dans cette vie, elle t'a trahi. Dans l'autre, aussi. C'est une constante aux deux univers, elle et toi, vous êtes destinés à ne jamais avoir une relation normale, saine, comme devrait l'avoir une mère et son fils. Tu sais que tu as été jeté en prison par sa faute. Que tu as enduré la sentence pour la protéger, et qu'elle t'a ensuite simplement abandonné. Mais tu pensais qu'elle était partie très loin d'ici pour tout oublier. Alors qu'en vérité, elle était simplement dans la vie d'à côté. Ce n'est pas vraiment ton existence, c'est celle de l'autre. Mais c'est toujours mieux que de mourir sous les coups du Joker par sa faute, pas vrai ? « C'est ma mère. » Tu ne penses pas que Diana l'ait déjà vu. Tu n'as pas de photo d'elle. Ni ici, ni dans votre monde. T'arrives pas à détacher ton regard. T'arrives pas à vérifier son pouls. T'es simplement paralysé par le choc des souvenirs. Et par cette colère, cette terrible colère. Ton complexe d'abandon est né avec elle. Tellement de tourments sont nés avec elle. « Mamaaaaaaaan. » Tu tournes la tête vers le petit garçon qui se jette sur le corps de ta mère. Maman ? Il n'a pas plus de 10 ans. Assez pour être ton demi-frère. Il pleure, il la secoue, comme pour la réveiller d'un sommeil trop profond. Et toi, tu ne bouges toujours pas. Est-ce que tu dois la sauver ? Pour elle ? Pour toi ? Pour cet enfant ? T'en sais rien. Tu sais plus ce que t'es censé faire. T'es simplement désarmé par la scène qui se joue devant toi.



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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyLun 1 Oct - 22:28

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« YOU WANT BATTLE? I'LL GIVE YOU WAR. »

À présent, Diana ne peut qu'espérer que son appel touche autant de personnes que possible. Si seulement les membres de la Ligue pouvaient l'entendre et se souvenir... Sinon complètement, au moins que ses paroles éveillent en eux le besoin de rendre justice, de s'élever contre la tyrannie en place. Seule, Diana n'arrivera pas à mettre un terme au règne de Savage. Même si elle le tuait, quelqu'un d'autre prendrait sa place, et ainsi de suite. Elle n'a pas la moindre envie de devenir le bourreau de tout un gouvernement, aussi terrible soit-il, ce ne serait pas une solution. Sans compter que de telles exécutions ne guériraient pas cette réalité malade, cela reviendrait à mettre un morceau de sparadrap sur une jambe cassée en espérant bêtement que cela règle le problème. « Plus aucun endroit n'est sûr, Savage va envoyer d'autres avions pour bombarder la ville. Il faut ordonner aux gens d'évacuer Metropolis, la ville ne sera bientôt plus qu'une zone de guerre. En les faisant passer par les souterrains nous pourrions peut-être... Jason ? Jason, tout va bien ? » Les sourcils froncés, Diana suit le regard de Jason. Quand elle remarque une femme rousse étendue au sol – morte ou seulement inconsciente – elle ne comprend tout d'abord pas pourquoi il affiche une expression aussi sidérée. Ce n'est hélas pas l'unique corps qui jonche le sol, ni même la première fois qu'il est confronté à la mort. Ce n'est que lorsqu'il lui dévoile subitement qu'il s'agit de sa mère que Diana comprend son trouble. « Ta quoi ? » Catherine Todd n'a été sa mère dans aucun monde. Ni dans celui-là, ni dans l'autre. C'est tout juste si elle mérité le titre de génitrice, et si un petit garçon ne s'était pas jeté sur elle en pleurant, Diana aurait été tentée de l'abandonner à son sort, comme elle avait abandonné Jason au sien. Une grimace déforme ses lèvres avant qu'elle ne se rende jusqu'à Catherine en quelques foulées. Agenouillée à côté d'elle, elle pose deux doigts sur son cou pour prendre son pouls. Évidemment, elle est vivante... « Occupe-toi du garçon, je me charge d'elle. » Sans faire preuve de beaucoup de délicatesse, Diana charge celle qu'elle se refuse à considérer comme sa belle-mère sur son épaule. « Jason ? JASON ! » Elle hausse le ton pour qu'il reprenne ses esprits. Elle l'appelle encore une fois, mais cette fois son nom est couvert par le bruit des réacteurs d'un nouvel avion de chasse. Un juron lui échappe – Savage n'aura pas perdu de temps. Diana n'a pas le temps d'être douce et attentionnée, alors elle dépose Catherine dans les bras de Jason de la même façon qu'elle se serait débarrassée d'un poids gênant. Elle fait signe au petit garçon, qui partage quelques traits avec Jason, de le suivre. Le petit semble trop apeuré pour remettre ses directive en questions, alors il hoche la tête plusieurs fois. « Le métro, dépêchez-vous. Maintenant ! » Chaque seconde qui passe est une seconde perdue. Quand Diana entend le sifflement caractéristique d'une bombe qui file rapidement vers le sol, elle s'élance sans réfléchir. Elle sait pourtant qu'elle ne pourra pas l'intercepter, elle a beau être rapide, elle ne l'est pas autant que Barry ou Kal-El. Au moment où la bombe touche le sol, elle entrechoque ses bracelets avec plus de force que jamais pour générer une onde de choc capable de contrer celle de la bombe. Les deux explosions combinées sont assourdissantes, toutes les fenêtres de plusieurs bâtiments explosent d'un coup. Mais l'onde de choc contraire générée par Diana parvient à limiter les effets dévastateurs du missile. Ce n'est qu'une fois le verre et la poussière retombée qu'elle réalise que ses avant-bras sont extrêmement douloureux. Probablement parce qu'en entrechoquant ses bracelets aussi fort que possible pour parvenir à protéger les fugitifs de la bombe, elle a brisé ses propres os. Par nécessité. Et de toute façon, peu importe, elle guérira vite. Alors elle serre les dents.

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Age du personnage : trente années à écumer la ville du crime.
Ville : Gotham City.
Profession : Plus mercenaire que justicier, tu ne te considères pas comme un héros. Toi, tu n'hésites jamais à tuer.
Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins.
Compétences/Capacités : it was like raising hell on earth (Diana) Xq1n

Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.

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Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi.
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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptySam 6 Oct - 10:36


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Our greatest glory is not in ever falling, but in rising every time we fall.


Dans aucune des réalités tu n'aurais pensé la retrouver. Cette femme qui t'a causé tant de souffrance. Qui t'a obligé à commencer ta vie avec un handicape, qui t'a retiré toutes les bonnes cartes. Tu vivais dans la rue, enfant orphelin et abandonné par celle qui l'a mis au monde. Et tu te souviens encore de cette question obsédante, alors même que tu cherchais un endroit au chaud où te réfugier : pourquoi ? Encore aujourd'hui tu n'as pas la réponse. Il t'a fallu énormément de temps avant de mettre au placard cette facette de ton passé. Elle t'a conduit au Joker, elle a été en partie responsable de ta mort. Ta propre mère. Elle n'a peut-être pas appuyé sur la détente, mais c'est bien elle qui tendait le bras vers toi, la mort au bout du chemin. Dans votre monde, elle est probablement morte, abattue par le Joker quelque part quand il n'a plus eu besoin d'elle. Et ici, et bien, tu pensais ne jamais la revoir. Il te faut faire un effort surhumain pour sortir de tes pensées et retrouver le regard de Diana. En guise de réponse, tu hoches simplement de la tête, incapable de dire quoi que ce soit de plus. De toute façon, qui a t-il à dire ? Même si la tentation est grande, tu ne peux pas la laisser mourir ici. Pas parce que tu éprouves encore la moindre affection à son égard, simplement parce que tu refuses de trahir qui tu es pour elle. Tu t'es battu pour devenir celui que tu es aujourd'hui, et tu ne la laisseras pas gâcher tous ces efforts, et tout ce que Diana a donné pour toi. Tu récupères le corps inconscient de Catherine Todd dans tes bras, et tu entraines son fils vers la première entrée de métro. Ce n'est pas un abri anti-atomique, mais ça devrait largement minimiser la casse le temps de trouver une solution. Tu dévales les marches à toute vitesse, le cœur serré de laisser Diana derrière. A l'intérieur, il y a déjà plusieurs personnes apeurées qui attendent que quelqu'un vienne leur dire quoi faire. Malheureusement, tu n'es pas certain d'être celui qu'ils cherchent. « Restez ici, vous êtes en sécurité. » Les murs tremblent un peu sous le grabuge de ce qui se passe à la surface, mais il faudra bien plus pour les voir s'écrouler. Tu déposes le corps de ta mère dans un coin, aux côtés de son fils. Un fils que tu observes quelques secondes avec attention. Est-ce qu'il te ressemble ? Est-ce qu'il est le fruit de cette réalité, ou est-ce qu'il appartient aussi à votre monde ? Il pleure, il a peur de perdre sa mère. Est-ce que par miracle, Catherine n'a pas reproduit la même erreur ? Est-ce qu'elle s'est réellement occupée de ce fils là ? Tant de questions, et tu n'as pas beaucoup de temps pour les réponses. « Je vais chercher de l'eau, je reviens. » Tu dis ça pour l'enfant dont le regard s'assombrit de terreur en te voyant t'éloigner. A nouveau, tu cours pour rejoindre l'extérieur, dans l'espoir de trouver de quoi subvenir aux besoins de ces gens, même provisoirement. Tu ignores combien de temps Savage va essayer de bombarder la ville avant de comprendre qu'il n'y parviendra pas tant que Wonder Woman sera là. Il va finir par se lasser et porter sa puissance de frappe ailleurs. En attendant, il faut mettre le plus de gens à l'abri dans les métros. Tout est brisé. Tout est anéantit. Cette ville n'est plus que dévastation, et ce malgré les efforts de Diana pour minimiser les dégâts. Tu n'as aucun mal à trouver une supérette dont toutes les vitres sont brisées, et tu profites de ce libre accès pour prendre un panier et y mettre de quoi boire et à manger pour ton groupe de survivants. Tu espères que beaucoup ont pu trouver un endroit où se cacher. Tu l'espères, mais tu n'y crois pas vraiment. Il y a bien trop de cadavres qui jonchent le sol de Métropolis. Avant de partir, tu attrapes une bande dessinée que tu trouves sur un présentoir près de la caisse, pour le petit garçon. « Diana ! »  Elle est seule face à cette catastrophe. Où sont les autres ? Pourquoi personne n'est venu la rejoindre ? Tu lâches ton panier plein de vivres par terre quand tu vois l'état de ses bras. « T'es blessée... » Même si tu sais qu'elle va vite guérir, tu ne peux t'empêcher de ressentir une énorme colère. Tu étais déjà agité et nerveux, mais là ta poitrine se soulève de plus en plus lourdement sous le poids de la rage. « Diana... » Tu as envie de lui demander quelque chose. Quelque chose que tu n'as pas le droit de lui demander. Pas quand la ville est à feu et à sang. Pourtant, il faut que tu le fasses. Parce que tu ne te sens pas capable de faire autrement. « Je crois pas que je peux le faire sans toi. » Tu mets plusieurs secondes à retrouver son regard, honteux. Faire face à ta mère. C'est de ça que tu parles. Elle est peut-être réveillée maintenant, et tu ne veux pas être seul. Tu ne peux pas. Elle est le nom que porte tes tourments. Elle t'a détruit, à l'image même de cette ville que vous essayez pourtant désespérément de sauver. Et si Diana vient de repousser les bombes, t'as besoin qu'elle en face de même pour celles qui menacent maintenant de s'abattre sur toi.



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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyJeu 11 Oct - 21:33

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« YOU WANT BATTLE? I'LL GIVE YOU WAR. »

Diana n'est pas particulièrement rancunière, mais ses rares griefs ont la dent dure. Elle ne connaît Catherine Todd que de nom et de réputation, mais c'est pour elle bien suffisant. Peu importe le monde, cette femme semble tout simplement être incapable d'être une bonne mère pour son fils. Son fils aîné, puisqu'elle ne s'est apparemment pas privée de fonder une nouvelle famille après l'avoir abandonné à son sort. Ses bras sont brisés, mais ce n'est pas ce qui lui fait le plus mal, ce n'est pas ce qui la rend folle de rage. Non, c'est cette expression sidérée sur le visage de Jason après qu'il ait aperçu sa "mère" étendue au sol, après qu'il ait vu ce petit garçon en pleurs la secouer en l'appelant "maman". Au milieu du chaos gratuit causé par Vandal Savage, c'est ce qui la met le plus en colère, ce choc auquel Jason doit faire face au pire moment possible. « Je vais bien. » Les mots sont presque crachés entre ses dents serrées, elle n'ose pas le regarder dans les yeux de peur que son propre courroux ne le trouble davantage. D'autant plus que c'est lui qui devrait être le plus furieux des deux, pas elle. Mais Diana ne peut s'en empêcher, elle en veut terriblement à cette femme de l'avoir tant fait souffrir, de ne l'avoir jamais traité comme il le méritait. Elle ne comprend pas que l'on puisse mettre un enfant au monde et ne pas l'aimer, ne pas souhaiter le meilleur pour lui. Chaque seconde passée loin d'Ophelia est un déchirement, elle ne s'imagine pas un jour l'abandonner, aucune raison ne serait assez forte pour l'y pousser. Mais cette femme... Cette femme a sciemment condamné son fils à une vie derrière les barreaux dans ce monde, et elle est tout aussi responsable de sa mort que le Joker dans l'autre. Cette femme est à l'origine de la terrible phobie d'abandon dont elle ne parviendra sans doute jamais à le débarrasser complètement. « Je ne vais nulle part, Jason. » Ses os encore en miettes, elle ne peut pas prendre son visage entre ses doigts pour le forcer à la regarder. Alors elle se rapproche de lui de plusieurs pas, cherchant son regard en même temps qu'elle leur impose cette proximité. « Je n'irai jamais nulle part, moi. » Elle ne lui a jamais caché sa désaffection pour sa mère, et elle ne lui fera pas l'affront de prétendre vouloir lui donner une autre chance. Mais en même temps qu'elle laisse son amertume s'exprimer, elle peut le rassurer. « Jason, regarde-moi. Je suis là. Je suis toujours là. Peu importe... Peu importe cette femme, tu entends ? Elle t'a mis au monde, mais c'est bien la seule chose qu'elle ait faite pour toi. Tu ne lui dois rien, ni aujourd'hui, ni demain, ni jamais. » Diana lève les yeux vers le ciel, anxieuse de voir apparaître de nouveaux avions de chasse. Les bombardements ne peuvent pas cesser aussi vite, ce serait trop beau. À moins que Savage n'ait simplement voulu faire une démonstration de force ? Même en ayant empêché la majorité des bombes d'exploser au sol, les dégâts sont considérables et le bilan humain est lourd, trop lourd. « Elle n'est qu'un fantôme, Jason. Un fantôme qui ne peut plus, et ne doit plus te faire le moindre mal. Tu as tous les droits du monde de lui demander de te rendre des comptes, d'exiger d'elle des explications. Mais je t'en prie, ne rouvre pas des plaies qui ont mis une éternité à se refermer. » Même s'il semble évident que la confrontation est inévitable, ce n'est pas une raison pour laisser Catherine Todd le blesse plus qu'elle ne l'a déjà fait, Diana ne le tolérerait pas. « Il faut que nous allions nous mettre à l'abri. » Elle fronce les sourcils quand elle aperçoit les vivres éparpillés au sol, visiblement oubliés après qu'il ait vu l'état de ses bras. Plus que quelques minutes, et ses os brisés ne seront plus qu'un douloureux souvenir. Mais elle aurait préféré qu'on les lui casse mille fois plutôt que de le voir endurer une telle torture psychologique. « Jason... Si elle ment, ou si elle fait preuve de mauvaise foi... Je le saurai. » C'est une mise en garde qui ne lui est pas directement adressée. Diana n'interrompra pas ces bien lugubres retrouvailles, mais si par malheur Catherine essaie de manipuler Jason en tirant sur la corde sensible, en jouant de ses sentiments... Que les Olympiens lui viennent en elle, car Diana n'aura aucune pitié pour elle.

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Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.

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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyDim 14 Oct - 23:09


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Diana est la seule personne avec laquelle tu n'as aucun mal à te montrer vulnérable. Pendant longtemps, pour toi, vulnérabilité a été synonyme de faiblesse. Et il a fallu qu'elle te reconstruise pour que tu comprennes ton erreur. Tu as le droit de baisser la tête, parfois. Le droit de ne pas être fort, parfois. Il n'y a pas de honte à ressentir les choses, et à les laisser s'exprimer autrement que par la colère. C'est ce que tu fais maintenant, face à elle, alors que tu laisses rouler une larme sur ta joue. Un sillage de pureté sur une toile de poussière. C'est la seule que tu autorises à couler, avant d'aller affronter ta mère. Devant elle, tu refuses de montrer quoi que ce soit. Tu ne veux pas qu'elle ressente ta souffrance, parce qu'elle ne la mérite tout simplement pas. Tu retrouves le regard de Diana quand elle te demande de le faire. Est-ce que tu aurais aimé vivre auprès de ta mère ? Evidemment. Est-ce que tu aurais aimé grandir dans une famille saine et stable ? Evidemment. Est-ce que t'as souffert de ce manque flagrant d'affection ? Evidemment. Mais aujourd'hui, ça n'a plus autant d'importance. Parce qu'elle est là. Parce qu'Ophelia est là. Et elles t'apportent tout l'amour dont tu as besoin. Elles compensent largement ce dont tu as manqué dans ton enfance. Le regard de Diana, ses mots, te gonflent d'une force indescriptible. Elle a ce pouvoir là, faire de toi un homme invincible. Tu te sens prêt à lui faire face. Quoi qu'il arrive, celle que tu aimes sera à tes côtés, alors qu'est-ce que tu risques ? Tu hoches la tête, avant de récupérer le panier et de retourner au métro où tout le monde patiente. Comme tu t'y attendais, Catherine a retrouvé ses esprits, elle se tient adossée contre le mur, son fils dans les bras. Quand tu arrives près d'elle, tu lis dans ses yeux l'étonnement, l’incompréhension, et peut-être aussi un peu de joie. « Jason ? » Elle te reconnaît aussitôt, alors quand tu tends une bouteille d'eau à ton jeune frère. Tu ne laisses pas perturber, elle se souvient de ton visage, de tes traits, et alors, qu'est-ce ça prouve ? Pendant un instant, tu songes à lui demander pourquoi. Pourquoi elle est partie ? Pourquoi tu es destiné à grandir seul ? Et puis, finalement, tu te ravises. Tu ne poses pas les questions qui t'obsèdent depuis des années. Tu n'exiges aucune explication. « Jason, mon fils, c'est bien toi ? » Elle se relève, cherche à attraper ta main, mais tu te dérobes, sous son regard blessé d'un geste trop brusque. « Je ne suis pas ton fils. » Tu laisses le panier sur le sol, à disposition de ceux qui en ont auront besoin. Toi, tu as déjà tout ce qu'il te faut. Tu incites Diana à te suivre à l'extérieur, pour profiter encore un peu de ce moment de répit. Ce n'est probablement pas ce à quoi elle s'attendait. Et à vrai dire, toi non plus. « Je m'en fiche. » Tu hausses les épaules, un fin sourire aux lèvres, avant d'accrocher tes iris aux siennes. « Sans renier mon passé, ou même le mépriser, je ne suis plus cet homme là. Tu l'as dit toi-même, ma mère n'est qu'un fantôme, et je la laisse avec mes autres démons, derrière la porte que j'ai verrouillé. » A quoi bon demander des explications ? Tu sais déjà que rien ne pourra te satisfaire, et que jamais tu ne retrouveras ta mère. Elle ne l'a de toute façon jamais été. Tu as vécu et grandi seul, ces épreuves t'ont amené là où tu es aujourd'hui, et pour rien au monde tu ne changeras ça, car ce chemin t'a conduit tout droit à Diana. « Je t'ai toi. J'ai Ophelia. Qu'est-ce que j'en ai à foutre des explications d'une femme qui n'a aucun impact et aucune influence sur ma vie ? Elle n'existe plus. Quoi qu'elle me dise, je m'en fiche. » Ta famille, tu l'as déjà. C'est avec elles que t'es heureux. Avec elle que tu peux enfin envisager un avenir serein, sans te retourner vers un passé tourmenté. Ta mère. Le Joker.  Diana t'a exorcisé de tout ça. Et même si ils essayent tous de frapper à la porte, jamais plus tu ne leur ouvriras. Tu attrapes ses deux mains pour les serrer doucement dans les tiennes, au cas où elles ne seraient pas encore complètement rétablies. « Ce n'est peut-être pas le bon endroit, ni le bon moment pour te faire une déclaration, mais je t'aime, Diana. Tellement. Que ce soit ici ou chez nous, tu fais de moi quelqu'un dont je suis fier. Le gouffre s'est refermé sous mes pieds, et je n'ai plus peur de rien, parce que je sais que tu seras toujours là. Je sais que tu seras toujours là. » C'est ta façon de lui dire que tu t'es affranchi de cette peur de l'abandon. Et que ta mère n'a plus aucune influence sur tes actes. « Je suis un époux et un père comblé, c'est pas grave si je ne suis pas un fils. » C'est étrange, que d'avouer des choses aussi intimes sur un terrain dévasté. Mais n'est-ce pas une lumière dans l'obscurité ? Quoi qu'il arrive, quoi qu'il advienne, l'amour restera debout sur le champ de bataille. Comme une fleur qui repousse sur une étendue de cendre, vous vous dressez sur les décombres, en faisant le choix d'aimer, plutôt que d'haïr.
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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyLun 22 Oct - 15:00

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Il y a beaucoup de fantômes dans la vie de Jason. Beaucoup trop. Certains le hantent plus que d'autres, comme cette mère qui ne l'a jamais vraiment été et n'a toujours fait que lui faire du mal. Diana se moque de savoir que Catherine ait pu changer, elle ne lui fait pas confiance et doute que cela puisse changer un jour. Elle n'a pas abandonné Jason pour le protéger, ou pour que quelqu'un puisse lui offrir une vie meilleure que celle qu'elle aurait pu lui donner. Elle s'est débarrassée de lui parce qu'il la gênait, voilà tout. Et rien de ce qu'elle puisse dire ou faire ne changera jamais cela. Dans la station de métro, Diana préfère garder ses distances, craignant de s'en prendre physiquement à Catherine si elle devait dire le moindre mot de travers. Elle ne se souvient pas avoir déjà autant méprisé qui que ce soit, ou avoir éprouvé un tel dégoût. En revanche, elle plaint sincèrement le petit garçon qui l'accompagne, il n'a pas choisi plus que Jason de l'avoir pour mère. Quand il la regarde, la peur dans les yeux, elle lui adresse un sourire qui se veut rassurant, comme à tous ces gens qui l'observent en se demandant qui elle est. Est-ce que certains la reconnaissent ? Est-ce qu'elle leur rappelle quelque chose, est-ce que des souvenirs s'éveillent au fond de leurs mémoires ? Peut-être bien, mais elle n'en aura pas la certitude aujourd'hui. Diana fronce les sourcils, profondément agacée par l'hypocrisie dont Catherine ose faire preuve avant que Jason ne la repousse froidement. Elle n'a pas à intervenir, même si elle en meurt d'envie elle se contente de la foudroyer du regard. Elle pourrait le faire littéralement si elle le voulait, et l'idée est beaucoup plus tentante qu'elle ne devrait l'être. Le visage fermé, Diana suit Jason à l'extérieur de la station, saisissant l'opportunité de s'éloigner de cette femme avant de lui sauter à la gorge. Metropolis est dévastée, mais elle est davantage inquiétée par les ravages dans l'esprit de Jason. Inutile de le nier, Diana est surprise par la maturité dont il fait preuve. Non pas qu'il ait un comportement enfantin d'ordinaire, mais face à Catherine il aurait eu tous les droits et toutes les raisons d'exploser, d'exprimer la peine et la frustration accumulées pendant toutes ces années. Elle est terriblement fière de lui et de la force d'esprit dont il fait preuve. Au milieu des décombres elle lui sourit, et si elle n'avait pas eu encore si mal aux bras, elle l'aurait enlacé. Elle ne lui dit pas qu'il regrettera peut-être un jour de ne pas avoir saisi l'opportunité de se confronter Catherine, ce serait inutile. Il choisit de mettre ce chapitre de son histoire derrière lui une bonne fois pour toutes, et c'est la meilleure chose qu'il puisse faire. Pour lui, mais aussi pour leur famille. Cette femme ne fera jamais partie de la vie d'Ophelia et elle ne souffrira pas plus que son père de son absence. « Il n'y a pas de bons ou de mauvais moments pour faire une déclaration, Jason. Il y a juste des moments. » Quand on mène une vie comme la leur, il ne faut pas hésiter à dire les choses. Tant pis si c'est en plein combat, au milieu d'un champ de ruine ou simplement au moment de s'endormir. « Je suis fière de toi, Jason. Tellement fière de toi. Tu as tellement changé... » Il a grandi, mûri, il s'est débarrassé de toute cette haine qui le gangrenait et l'empêchait d'avancer. Mais contrairement à ce qu'il pense, même si elle a certainement influencé ces changements, il est le seul à pouvoir s'en féliciter. C'est lui a fait le choix de laisser tout ce qui le faisait souffrir dans le passé pour réussir à se concentrer sur le présent et sur l'avenir. Rien n'a été facile, mais il a réussi. « Je serai toujours là, quoi qu'il arrive. Mais je ne serai pas seule. » Doucement, elle prend son visage entre ses mains et frotte ses joues pour en retirer la poussière, et simplement pour lui donner un peu de tendresse. « Tu es un fils, Jason. Tu as un père. Je sais... Je sais que les choses sont loin d'être faciles avec Bruce, mais il t'aime. Avec tout ce que nous avons vécu, tout ce que nous avons perdu et failli perdre... Il faut que nous mettions un terme à toutes ces querelles ridicules qui nous séparent les uns des autres. Ton père est têtu, mais il t'aime. Et tu lui manques. Et je suis sûre qu'au fond, il te manque aussi... » C'est la dernière chose qu'il lui reste à régler pour être complètement libre et ne plus avoir le moindre boulet accroché à la cheville, même minuscule. Ses relations avec sa famille sont compliquées, mais l'affection qu'ils partagent tous ne laisse place à aucun doute. C'est encore une épine dans son pied, il faut qu'il s'en débarrasse avant qu'elle aussi ne finisse par s'infecter. « Tu es un fils et un frère. C'est juste plus compliqué que ça ne devrait l'être. » Diana soupire avant de déposer un baiser sur son front. Faute de pouvoir le prendre dans ses bras, elle pose sa tête contre son torse pour qu'il le fasse pour elle. « Mais en attendant que cela s'arrange complètement, sache que je ne pourrais rêver d'un meilleur époux ou père pour ma fille. »

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Age du personnage : trente années à écumer la ville du crime.
Ville : Gotham City.
Profession : Plus mercenaire que justicier, tu ne te considères pas comme un héros. Toi, tu n'hésites jamais à tuer.
Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins.
Compétences/Capacités : it was like raising hell on earth (Diana) Xq1n

Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.

it was like raising hell on earth (Diana) V9vb

Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi.
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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyJeu 25 Oct - 20:14


Diana & Jason

Our greatest glory is not in ever falling, but in rising every time we fall.


C'est drôle, tu avais presque oublié ton autre famille, celle placée sous l'emblème de la chauve-souris. Peut-être parce que vous n'avez jamais été réellement ce que tu espérais. Pas à l'image de ces familles que tu croisais sur les trottoirs, les mains de l'enfant dans celles de ses parents, heureux de partager un moment ensemble, qu'importe la destination. Tu t'es façonné ta propre conception, un idéal, un espoir, un rêve. Mais avec Bruce en tant que tuteur, avant d'être officiellement adopté par lui, tu ne pouvais attendre autre chose qu'une vie compliquée. Batman était ton père. Et il allait de pair avec une croisade masquée et désespérée. C'est dans cette sphère particulière que tu as été élevé, jusqu'à renaitre de tes propres cendres. Avec cette renaissance, tu es devenu quelqu'un d'autre. D'abord un homme torturé, violent et avide de vengeance, avant de devenir celui qui se tient devant la femme qu'il aime, et dont elle dit elle-même être fière. Tu as changé sous son regard, tu t'es affirmé sous ses caresses, tu as gagné confiance grâce à son amour. Mais ta relation avec Bruce, elle, reste inchangée. Ses mots frappent encore ton esprit, ceux qu'il a tenu après son retour au manoir. Qu'il ne fallait pas attendre de lui un père. Qu'il en était incapable. Bien sûr que ça t'a fait mal. Bien sûr que tu as du mal à passer outre. Mais Diana a raison, il n'est pas trop tard pour ramasser les pots cassés, et essayer, ensemble, de les recoller. T'es aussi têtu que lui, c'est un fait, mais aujourd'hui tu te sens prêt à faire un premier pas. Il n'est plus seulement père, il est aussi désormais grand-père, et tu refuses de priver Ophelia de quoi que ce soit. Si il est peut-être trop tard pour vous, il ne l'est pas pour elle. « J'aimerais lui présenter Ophelia. Même Bruce ne pourra pas résister à ses sourires. » Oui, il te manque, inutile de le nier. Diana est déesse de la Vérité, mais avant toute chose, elle te connait sur le bout des doigts. Tu n'as rien à lui cacher, quand bien même tu ne le pourrais pas. Tu es lié à Bruce, plus que tu ne l'admettras jamais, et parfois, t'es profondément attristé de faire tous ces efforts sans lui à tes côtés. T'aimerais qu'il voit l'homme que tu es devenu, et que lui aussi puisse être fier de toi. Parce que si Diana a fait beaucoup, tu n'oublies pas que c'est lui qui t'a sorti de la rue, et t'a offert la possibilité de reprendre ta vie en main. Tu n'as jamais été qu'un délinquant à ses yeux, tu as été une forme d'espoir, aussi bien pour toi-même que pour lui. Une lumière dans son obscurité. Une lumière qui illuminait aussi la tienne. « Quand tout sera terminé, j'irai lui parler. » C'est une promesse. Et cette fois, la confrontation ne se fera pas sur un toit de Gotham, avec les mots en guise de lames tranchantes. Pour prolonger cette vitale affection dans ce moment de destruction, tu enlaces Diana, la serrant doucement contre toi. Elle a toujours su quoi te dire pour réchauffer un cœur refroidit par les coups du destin. Fut un temps, tu ne pensais pas être à la hauteur. T'étais persuadé que tu finirais par gâcher votre histoire. Des pensées désormais révolues, car s'il existe bien une évidence dans ce monde, dans cet univers et tous les autres, c'est que vous êtes faits l'un pour l'autre. Faits pour vous aimer. Intensément, et sans aucune limite. « Et moi je n'ai jamais osé rêver aussi grand. » Elle a toujours été pour toi la femme parfaite, une femme inatteignable. N'est-ce pas incroyable aujourd'hui de pouvoir la serrer dans tes bras ? Mais pour que ce bonheur soit total, il te manque quelque chose. Ta fille, que tu n'as pas revu depuis que l'univers a été chamboulé, et dont l'absence se fait cruellement ressentir. « Diana, j'aimerais qu'on rentre. » Tu ne parles pas de Gotham, puisqu'ici votre villa n'existe pas. Non, c'est à Themyscira que tu veux aller. C'est peut-être égoïste de vouloir quitter Métropolis alors qu'elle règne dans un tel chaos, mais que pourrez-vous faire de plus ? Une guerre se prépare, et pour la mener à bien, tu as besoin de retrouver ton énergie. Une énergie que seul un retour en famille pourrait t'offrir. « Je n'ai pas vu Ophelia depuis que nous sommes ici... Elle me manque. » Tu sais que Diana comprendra, elle qui a pu la revoir plusieurs fois, même si ce n'est pas autant qu'elle aurait voulu. Tu crains d'avoir raté énormément de choses, et ton cœur se serre à cette idée. « S'il te plait ? » Tu desserres un peu l'étreinte pour pouvoir la regarder dans les yeux. Est-ce que ça va lui coûter de laisser les gens de Métropolis se débrouiller seuls, oui. Mais si tu n'en ressentais pas un besoin aussi viscéral, tu n'aurais jamais osé le demander. Tu as besoin de ta fille. Besoin de la voir sourire, besoin de sentir son odeur, besoin de la prendre contre toi. Besoin de ta famille au grand complet.
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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyJeu 1 Nov - 13:25

it was like raising hell on earth
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« YOU WANT BATTLE? I'LL GIVE YOU WAR. »

Tel père, tel fils ? En ce qui concerne Bruce et Jason, pas vraiment. Mais malgré toutes leurs différences et tous leurs désaccords, ils se ressemblent beaucoup sur certains points, bien plus que l'un ou l'autre ne serait prêt à l'admettre. Faisant aussi bien partie de la vie de Bruce que de celle de Jason, Diana entend deux sons de cloche. Et si ses sentiments pour Jason l'empêchent parfois d'être complètement objective, elle a suffisamment joué le rôle de médiatrice entre eux pour savoir qu'ils veulent la même chose. La relation entre un père et son fils n'est pas toujours évidente, encore moins quand l'on mène une vie comme la leur, mais après tout ce qu'ils ont traversé ensemble ou séparément, il est grand temps d'enterrer la hache de guerre une bonne fois pour toutes. Cette épreuve plus que toutes les autres aura prouvé à quel point la vie est fragile. Rien de ce que Diana ne pensait acquis ne l'était réellement, comme si elle avait découvert vivre dans un château de verre au lieu d'un château de pierre au beau milieu d'une violente tempête. « Personne ne pourrait résister aux sourires de notre fille. Batman ne sera pas l'exception à la règle. Et puis elle est sa première petite-fille, je suis certaine qu'elle n'aura pas le moindre mal à l'attendrir. » Présenter Ophelia à son grand-père serait faire le premier pas, un geste qu'elle espère que Bruce mesurera à sa juste valeur. Qu'il soit aussi ouvert avec lui qu'il l'avait été avec elle, malgré leurs divergences d'opinions et de méthodes. Ce sont des choses qu'ils vont devoir apprendre à ignorer, elles sont tellement insignifiantes à côté de l'importance de leur famille... Elle aussi épuisée, Diana se laisse aller à l'étreinte de Jason et soupire longuement. Elle aurait aimé que cette journée se déroule différemment, que son appel ait un effet instantané et que des membres de la Ligue de Justice surgissent de nulle part, comme s'ils n'avaient attendu que son signal pour se montrer. Plus que tout, elle aurait aimé voir apparaître Kal-El, le voir tomber du ciel et reprendre son rôle d'Ange de Metropolis. Mais il n'est pas venu, les autres non plus, et la mégalopole a été ravagée par les bombes. Où iront se réfugier ses millions d'habitants, à présent ? Qui se souciera des milliers de dépouilles prisonnières des décombres ? Diana ne possède aucune réponse, et elle n'a pas non plus les moyens de les aider comme elle le voudrait. Elle se sent impuissante et il n'y a rien qu'elle ne déteste plus que cela. Elle regrette, sincèrement, d'avoir fait passer ses principes moraux avant une action certes expéditive, mais efficace. La culpabilité la ronge tandis que Vandal Savage doit certainement jubiler, bien à l'abri entre les murs de la Maison Blanche. « Tu veux rentrer... ? » Jason ne parle pas de Gotham, puisque dans ce triste monde ils n'y possèdent pas de chez eux, mais de Themyscira. Son paradis, encore une fois éloigné et protégé de la cruauté du monde humain. Diana ne peut que comprendre son envie et son besoin de retrouver leur fille, elle aussi se languit de pouvoir la prendre dans ses bras, chaque instant passé loin d'elle est un véritable déchirement. Depuis que ce cauchemar a commencé, elle a eu la chance de pouvoir la voir et s'occuper d'elle, ce n'est pas le cas de son père. Ses bras de moins en moins douloureux, elle s'écarte doucement de Jason et prend ses mains entre les siennes. « Moi aussi, je veux rentrer. Elle me manque tellement... » Elle prend une profonde inspiration, les yeux baissés, réflexe idiot pour dissimuler la peine qui s'installe sur son visage. « Je dois aussi faire mes adieux à Antiope et Venelia. » Encore une fois. Diana s'attend à ce que ce soit un nouveau crève-cœur, à ce que ce soit peut-être  plus dur que la première fois. Si seulement elle était certaine de retrouver Hippolyte plus tard, cela lui mettrait un peu de baume au cœur, mais elle est hélas loin d'en être sûre. Hippolyte, Antiope, Venelia... C'est bien trop de deuils à faire d'un seul coup pour une seule personne, qu'on soit une déesse et une héroïne n'y change malheureusement rien. « Donne-moi juste un ou deux jours... Je ne peux pas laisser tous ces gens comme ça. Je ne peux pas les laisser sans nulle part où aller, sans rien, je ne peux pas... » Elle secoue la tête ; même si cela promet d'être un casse-tête, elle ne peut pas tourner les talons maintenant et mettre des œillères. Elle est profondément affectée par la misère de tous ceux qui se retrouvent à présent sans toit, sans ressources, peut-être même orphelins et sans famille. « J'ai juste besoin de m'assurer que Savage n'enverra pas l'armée pour massacrer les survivants. Il y a suffisamment de choses qui pèsent sur ma conscience, je n'ai pas envie d'y ajouter le poids de plusieurs millions de morts. » Metropolis a déjà trop souffert, que ce soit dans ce monde mensonger ou dans le véritable. Après les attentats terroristes, le tsunami provoqué par Sea King, la voilà détruite par un dictateur fou. « Donne moi deux jours, et ensuite nous partirons pour Themyscira. Et quand nous reviendrons... Je tuerai Vandal Savage. » Entre deux maux, il faut choisir le moindre. Pour Ophelia, et pour tous les enfants qui n'ont pas la chance d'être protégée comme elle. Puisque la Ligue de Justice semble avoir disparu, la responsabilité de mettre un terme à son règne sanglant lui revient. « Et une fois que nous serons débarrassés de lui, je convaincrai mon père de nous aider. Je veux qu'on me rende mon monde. Je veux qu'on me rende ma mère. » Et elle en est certaine, Jason le veut tout autant qu'elle.

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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyMar 6 Nov - 20:26


Diana & Jason

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Ton amour pour elle est une évidence pour tout le monde. Mais quand tu vois la tristesse s'imprimer sur ses traits, c'est ton devoir de l'aimer encore plus. Alors quand elle baisse les yeux, tu prends son visage entre tes mains pour l'obliger à te regarder. Des mains un peu poussiéreuses, quelques entailles sur les avant-bras, un cœur en berne, mais toujours fort pour Diana. C'est un des plus beaux aspects de votre relation, porter l'autre sur son dos quand avancer seul devient trop pénible. Tu sais déjà que les adieux seront déchirants. Vous en avez déjà discuté, pour elle, le retour d'Antiope et Venelia dans sa vie est terriblement perturbant, douloureux. Et l'échéance approche. Il faudra bientôt qu'on lui les arrache à nouveau. Quand viendra l'heure, tu lui tiendras la main, tu endosseras une partie de sa tristesse. Comme aujourd'hui, vous serez debout et ensemble pour contrer tout ce qui cherche à vous atteindre. Vous affrontez peut-être plus d'épreuves que la moyenne, mais à côté de ça, vous avez votre petite fille, votre famille, qui vous aide à tenir coûte que coûte. Et après tout ce que vous venez de traverser, revoir Ophelia serait comme un baume sur les plaies. Comme recharger les batteries avant de porter le coup final. « Deux jours, bien sûr. » Deux jours pour faire tout ce que vous pouvez pour ces gens, et ensuite vous ferez votre retour à Themyscira. Ça te semble être un bon compromis, et vous n'aurez pas le regret de ne pas avoir fait tout ce qui était en votre possible. Elle a raison, Savage pourrait vouloir achever les survivants. Deux jours pour vous assurer de la sûreté de la ville. Deux jours pour leur offrir abris et provisions. T'aimerais que vous soyez plus, elle et toi c'est bien trop peu pour couvrir tous les dégâts, mais vous allez devoir faire avec. Et quand elle te dit qu'elle tuera Savage, tu la crois. Pas une seule seconde tu doutes de ses capacités et de sa détermination. Ce qui pourrait passer pour inconscient et arrogant chez n'importe qui, chez Diana, c'est simplement la vérité. « On sauve la ville. On sauve le monde. Et on sauve Hippolyte. La routine, non ? » Dans votre quotidien, malheureusement oui. Mais cette fois, tu préfères le prendre avec le sourire. Car ce n'est pas avec votre amertume et votre tristesse que vous allez atteindre vos buts, c'est avec beaucoup d'espoir et d'amour.

***

T'es heureux de constater qu'il y a quelques constantes dans ce nouvel univers, à commencer par ce bon vieux jet invisible. Mais si tu as déjà posé plusieurs fois les pieds à Themyscira, cette fois, c'est différent. Tu n'auras pas la protection d'Hippolyte, ni l'affection de certaines Amazones un peu plus tolérantes que d'autres. C'est non seulement un homme qui débarque sur leur île paradisiaque, mais en plus un parfait étranger. Tu avances donc près de Diana, peu enclin à t'aventurer où que ce soit, malgré ton impatience de plus en plus palpable de retrouver Ophelia. « L'accueil risque d'être tout aussi chaleureux que la première fois. » Quand tu as forcé ton chemin jusqu'ici pour retrouver Diana. Même si cette fois tu es accompagné de leur reine, tu sais qu'il leur faudrait bien plus pour accepter ta présence. Et tu ne leur en veux pas. Tu ne leur en as jamais voulu. Même si tu n'es pas responsable de leurs traumatismes, tu ne peux nier que l'homme a fait beaucoup de mal. Chaque jour, t'as l'impression d'en avoir de nouvelles preuves. Tu as fait le choix de voir au-delà de tout ça, mais tu ne peux pas en demander autant aux autres. Tu respectes leurs craintes, leurs peurs, et tout ce qui les touche de près ou de loin. Aujourd'hui, ce n'est pas une troupe d'Amazones en colère qui viennent à votre rencontre, mais une seule. Venelia. Ton cœur se serre. La souffrance qu'elle doit ressentir il t'est impossible de l'imaginer. Si tu venais à perdre Diana, c'est tout ton monde qui s’effondrerait avec fracas. Et en plus de devoir faire face à la vérité, elle doit maintenant le faire avec l'homme qui partage la vie de celle qu'elle aime. D'un regard à Diana, tu lui fais comprendre que tu veux prendre l'initiative. C'est quelque chose que tu dois faire, quelque chose qui te tient à cœur. Alors tu vas en avant, à la rencontre de Venelia, qui ici ne te connait pas encore. Tu n'as pas besoin de te présenter, elle sait déjà qui tu es, et tu ne lui feras pas l'affront de prétendre que tu l'ignores. Après quelques secondes à vous observer en silence, tu prends la parole : « D'où je viens, j'ai toujours eu un profond respect pour vous. Vous avez été l'une des premières à m'accepter, et encore aujourd'hui ça compte énormément pour moi. » Est-ce que cette Venelia est différente de la votre ? Non, tu ne le penses pas. Sinon Diana ne lui aurait jamais confié Ophelia en partant. « J'aime même à croire qu'une certaine forme d'amitié est née entre nous. » Avec elle et sa fille. Tu te souviens encore du banquet, où à la même table, vous êtes parvenus à vous apprivoiser. A vous faire rire. A instaurer un lien qui n'avait rien de superficiel bien qu'à ses prémices. « Je n'attends bien évidemment pas la même chose de vous maintenant. Mais sachez que je vous suis profondément reconnaissant d'avoir pris soin de notre petite fille. » Tu esquisses un sourire timide, ne sachant comment te comporter pour que la situation ne soit pas trop gênante. Tout ce que tu lui as dit, tu le penses sincèrement. Ce n'est pas pour l'amadouer ou gagner son affection, c'est simplement ce que tu aurais aimé lui dire avant qu'elle parte. Elle aura toujours une place à part dans le cœur de Diana, mais aussi dans le tien. Tu n'oublies jamais ceux qui te tendent un jour la main.
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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptySam 17 Nov - 23:20

it was like raising hell on earth
jason & diana


Diana se sent de moins en moins à l'aise sur cette île dont elle ne voit plus que les différences avec sa Themyscira, à commencer par son absence d'âme en l'absence d'Hippolyte. Quand bien même elle demeure l'un des endroits les plus sûrs de la planète, Diana n'est plus capable d'ignorer l'évidence. Comme le reste du monde, Themyscira est malade, et plus le temps passe et plus il devient urgent de trouver un remède à ses maux. Et comme pour tout traitement, il risque d'y avoir des effets secondaires qu'ils ne peuvent pas tous anticiper. Mais Diana est au moins certaine d'une chose, s'ils parviennent à retrouver le bon univers, alors cela signifiera forcément perdre de nouveau au moins Antiope et Venelia. C'est pour retrouver Ophelia, mais aussi pour leur faire ses adieux que Diana est revenue sur Themyscira. Son cœur se brise rien que d'y songer, elle ignore comment elle trouvera la force de le faire. Venelia est la seule Amazone à venir à leur rencontre, elle ne sait pas si c'est une bonne chose ou non. Pourquoi est-elle seule ? Il y a forcément une raison à cela, sans doute très personnelle. Diana ne dit rien quand Jason lui fait savoir qu'il souhaite s'adresser à elle, alors elle reste légèrement en retrait quand ils arrivent à sa hauteur. Venelia semble inquiète, lasse, elle écoute Jason sans dire un mot, son regard allant de lui à Diana. Quand il a terminé elle soupire tout bas, les épaules affaissées. « Je sais. Antiope m'a tout raconté, je me souviens. » Diana ouvre la bouche pour parler, mais elle ne sait pas quoi dire, les mots restent bloqués dans sa gorge. Si Venelia se souvient, alors elle sait que ses jours sont probablement comptés. « Ophelia est réveillée, je suis sûre que vous avez hâte de la retrouver. Nous parlerons plus tard. » Diana acquiesce d'un signe de la tête, incapable de prononcer le moindre mot. Elle ravale ses larmes, soucieuse de garder la tête haute au moins jusqu'à ce qu'ils arrivent à la nurserie d'Ophelia. Elle n'oublie pas qu'elle est encore reine et que revenir sur l'île accompagnée d'un homme sera déjà mal vu sans qu'elle n'y rajoute une apparente détresse émotionnelle. Elle garde les poings serrés et le long de son corps pour éviter à ses mains de trembler et marche en  regardant droit devant elle, n'adressant que quelques brefs signes de tête aux Amazones qui s'inclinent sur son passage. Ils suivent Venelia dans un dédale de couloirs jusqu'à une aile plus éloignée du palais, et Diana est presque choquée par le calme qui y règne. Plusieurs enfants devraient être là, à jouer dans la cour ou à suivre les enseignements de leurs préceptrices dans une salle ouverte sur les jardins. Mais ils ne croisent aucune petite Amazone, seulement des membres de la garde royale. Dans la pièce qui lui a été réservée, Ophelia dispose d'un grand berceau au milieu duquel elle est assise, son attention accaparée par une poupée cousue pour ressembler à sa mère. Quand elle entend du bruit dans la pièce, elle se retourne et est tellement contente de voir ses parents qu'elle bascule sur le matelas en riant et en babillant. Le cœur tout à coup plus léger, Diana se rend jusqu'à elle d'un pas pressé. Ophelia tend ses petites mains vers elle alors elle se dépêche de la prendre dans ses bras pour la serrer contre elle. « Bonjour, ma princesse. » Elle dépose un baiser sur ses cheveux si doux et respire à fond sa merveilleuse odeur de bébé. Elle l'accapare quelques secondes avant de la déposer dans les bras de son père, qui ne l'a plus vue depuis des semaines – une éternité. Ophelia a bien grandi, elle est beaucoup plus éveillée et son caractère commence à s'affirmer. La jolie couleur verte de ses yeux s'est confirmée, comme le hale doré de sa peau et ses cheveux noirs. Diana caresse tendrement la joue d'Ophelia avant de retourner vers Venelia, la gorge nouée. « Merci d'avoir pris soin d'elle, Venelia. » « Elle te ressemble tellement. Le rôle de mère te va si bien, Diana. » Elle hoche la tête, ne sachant pas comment s'exprimer sans risquer d'éclater en sanglots. « La dernière fois que nous nous sommes vues... Je suis morte, n'est-ce pas ? Je ne me souviens pas de tout, c'est terriblement flou... Mais je suis morte, cela, je le sais. » Aurait-il mieux valu qu'elle ne le sache pas, qu'Antiope ne dise rien et laisse son inconscient la protéger ? En fin de compte, une vérité blessante vaut-elle vraiment toujours mieux qu'un mensonge rassurant ? « Je suis désolée, Venelia. Je suis tellement désolée. » « Ne le sois pas. » Ne le sois pas... Diana secoue la tête avec insistance avant d'attirer Venelia à elle pour la serrer dans ses bras. Elle aimerait tellement pouvoir trouver un moyen de la sauver, de toutes les sauver. Mais toute déesse qu'elle soit, ce n'est pas un pouvoir que Diana possède. Même les dieux souffrent de cœurs brisés et de cuisants échecs.

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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyMer 28 Nov - 17:25


Diana & Jason

Our greatest glory is not in ever falling, but in rising every time we fall.


Venelia se souvient de tout. Elle sait donc quel sort funeste lui a été réservé lors de la bataille sur les plages de Themyscira. Tu es profondément attristé pour elle, et terriblement frustré de ne rien pouvoir changer à son destin. L'impuissance, voilà l'un des pires maux de la palette des émotions humaines. Tu adresses un dernier regard à Diana, avant de rejoindre le palais retrouver Ophelia d'une impatience non feinte. Chaque instant, tu restes auprès de ton épouse, peu désireux de susciter la colère des Amazones. Tu ignores combien se sont ré-accaparés leurs souvenirs, mais certaines doivent encore ignorer complètement ton identité. Un homme sur leur île, le compagnon de leur reine qui plus est, c'est beaucoup trop risqué pour que tu t'aventures seul jusque là bas. Elle est là, dans sa propre pièce privée, au milieu de son berceau. Ton cœur se soulève d'un bonheur indescriptible, quand tu l'entends rire à votre arrivée, et sourire à votre vue. Tu craignais qu'elle ne se souvienne pas de toi, que ces semaines passées loin d'elle transforme ton image en un lointain souvenir. Mais tu comprends maintenant que tu t'es trompé, et que le lien qui unit un père et sa fille est indestructible. Diana s'élance vers elle, la portant déjà dans ses bras. Toi, tu souris bêtement, incapable de détacher ton regard des deux femmes de ta vie. Elle a tellement grandit. Et ce rire... Ce rire que tu pourrais écouter pendant des heures. Quand vient ton tour, tu la portes délicatement contre toi, mais comprends rapidement qu'elle n'est plus le bébé que tu as laissé. Elle est joueuse, sait déjà ce qu'elle a envie de faire, et a décidé de ne pas sagement rester en place. Non, elle tend sa petite main vers toi pour te toucher le visage. Tu vois sa petite grimace quand elle caresse les poils de ta barbe, puis son amusement, d'avoir eu cette sensation de picotement dans les doigts. Si tu n'avais pas entendu la voix de Venelia, tu aurais perdu complète notion du temps. Reconnaissant d'avoir pris soin de votre fille, tu appuis les remerciements de Diana d'un hochement de tête. Ce qu'elle a fait pour vous, tu ne l'oublieras pas. Et si tu ne pensais pas qu'il était possible d'avoir encore plus de respect pour cette femme, et bien tu réalises maintenant que tu t'étais trompé. Afin de leur laisser leur intimité, refusant d'être de trop dans ces vraies retrouvailles, tu t'excuses auprès d'elles : « Diana, on se retrouve dans la chambre. » Si elles ont des choses à se dire, tu préfères qu'elles soient seules. Tu ne parles pas d'adieu, mais tu ne doutes pas néanmoins qu'elles aient des choses à se raconter depuis tout ce temps. Tu refermes la porte derrière-toi, et te rends dans la chambre de Diana, que tu connais maintenant par cœur. Toujours dans tes bras, Ophelia cherche à s'exprimer, à l'aide de quelques babillages fort intéressants. « Je suis tout à fait d'accord avec toi. » Hop, tu la déposes sur le lit, et t'assois sur l'un des bords. Déjà, sur le ventre, elle cherche à te rejoindre, toujours en essayant de communiquer à sa façon avec toi. « Tu viens voir papa ? » Tu t'amuses à la faire tourner en bourrique, changeant d'endroits à chaque fois pour la faire gambader sur le matelas. Mais pas le moins du monde agacée, elle semble plutôt s'amuser, à entendre son rire en continu. N'y tenant plus après quelques minutes, tu la portes sous les bras pour la soulever dans les airs, te prenant au jeu du papa gâteau. « C'est bien, ma chérie. » Tu la serres contre toi, déposant plusieurs baisers sur sa tête, sur ses joues, partout. Le manque que tu as ressenti loin d'elle était intolérable, et il va te falloir un bon moment avant de t'en débarrasser complètement. Quand Diana vous rejoint dans la chambre, tu te diriges aussitôt vers elle. « Maman est triste, il faut que tu lui fasses plein de bisous. » Tu la déposes doucement dans les bras de sa mère, sentant que seule Ophelia sera capable d'apaiser un peu son chagrin. Quant à toi, tu l'embrasses sur le front, cherchant à apporter ta propre pierre à l’édifice. « Ça va aller ? » Même si tu te doutes bien que non, t'as bon espoir de réussir à lui changer les idées ce soir. Pour la première depuis bien trop longtemps, votre famille est enfin réunie.
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MessageSujet: Re: it was like raising hell on earth (Diana)   it was like raising hell on earth (Diana) EmptyLun 17 Déc - 22:26

it was like raising hell on earth
jason & diana


Diana n'est pas douée pour les adieux. Cinq mille ans de vie n'auront pas rendu l'exercice plus aisé, très certainement parce que la plupart des personnes qu'elle connaît sont immortelles, et à plus forte raison celles avec lesquelles elle a grandi et passé la majeure partie de sa vie. Elle ne veut pas dire au revoir à Venelia, ni à Antiope, elle ne veut pas avoir à endurer de nouveaux deuils impossibles. Elles ne devraient pas devoir mourir une seconde fois, rien de tout cela n'est juste. Diana n'arrive pas à relâcher Venelia, comme si elle risquait de disparaître aussitôt qu'elle le ferait. Elle vit cette situation comme un véritable échec, bien qu'elle n'y soit pour rien. La rancœur ne fait pas partie des émotions avec lesquelles elle est le plus coutumière, mais elle en veut au monde entier. Elle en veut à ceux qui sont responsables de cette terrible situation, elle en veut à ceux qui ne se sont pas manifestés pour l'aider dans sa lutte contre Vandal Savage, elle en veut aux dieux qui choisissent une fois de plus d'ignorer les maux des hommes parce qu'ils ne les affectent pas. Elle maudit son impuissance, son incapacité à faire quoi que ce soit pour rendre au monde son vrai visage. Pendant une très brève période, Diana avait eu la naïveté de s'imaginer qu'obtenir les pouvoirs d'une déesse lui permettrait de faire davantage pour aider le monde et pour protéger les siens. Elle n'aurait pas pu se tromper davantage. Elle est l'une des rares Olympiennes à vouloir agir au lieu de rester simple spectatrice, et l'ironie du sort veut qu'elle ne puisse rien faire. Venelia ne lui en veut peut-être pas, mais Diana doute parvenir un jour à cesser de se tenir pour responsable de sa mort. Comment ensuite faire face à Antiope, et à toutes celles qui seront à nouveau envoyées dans le royaume d'Hadès une fois que la mascarade aura pris fin ? Elle craint ne pas en avoir le courage. Après de longues minutes à serrer Venelia dans ses bras, Diana s'écarte doucement. L'Amazone essuie les larmes qui ont coulé sur ses joues et y dépose un baiser, un sourire triste aux lèvres. « Va retrouver ta fille, Diana. Le temps des adieux n'est pas encore là. Et quand bien même il le serait, je sais déjà tout ce que j'ai à savoir. Et toi aussi. Nous nous aimerons toujours, rien ne changera jamais cela. » Diana hoche la tête doucement, comprenant parfaitement ce que Venelia lui dit. Certaines choses sont immuables, peu importent les caprices de l'univers. À contrecœur, elles se séparent ; mais Diana sait que Venelia a raison sur toute la ligne. Elle a besoin de se ressourcer, à moins que la chance ne soit définitivement pas de leur côté, le monde ne devrait pas rebasculer dans sa dimension d'origine dans la minute. Diana l'espère, en tout cas. Elle referme la porte de la chambre derrière elle, une expression mélancolique sur le visage, et prend Ophelia dans ses bras quand Jason la lui rend. Elle serre immédiatement sa fille contre elle, merveilleux antidote contre les émotions qui la font suffoquer. Elle va s'asseoir sur le bord du lit et installe Ophelia sur ses cuisses, et comme si de rien n'était la petite attrape les cheveux de mère pour jouer avec. Est-ce que tout ira bien ? Elle secoue la tête sans dire un mot. Non, mais que peuvent-ils y faire ? Les forces à l’œuvre sont plus puissantes que tout ce qu'elle connaît. Savoir qu'elle ne perdra ni Jason ni Ophelia est la seule chose encore en mesure de la rassurer, le reste n'est fait que d'incertitudes. « Quand tout sera terminé... Je trouverai les responsables de ce fiasco. Et ils auront des comptes à rendre. » À elle et au monde entier. Nul ne peut causer tant de douleur et s'en sortir en tout impunité. Si justice divine il y a bien, alors Diana veut bien en être la première exécutrice. Il ne fait pas bon de laisser son cœur dicter sa conduite en toutes circonstances, mais qu'importe.

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