écrire l'histoire de votre personnage ici en un minimum de
500 mots.Pensez à la relecture et aux correcteurs comme
bon patron qui peuvent toujours servir.
Chapitre 1 : Cogito, ergo sumNaitre… Naitre… Naitre. Un bien grand mots, je suis née dans les contrées froide de la Russie, la Mère Patrie. La ou les hommes boivent a plus soif, qui se battent a main nue contre des ourses. La Patrie qui a apporter le communisme aux ouvriers, père de grand homme :
Raspoutine, Lénin, Trostky , Staline… Ses hommes ont forgé la Russie actuelle.
Et c’est dans un contexte d’ouvrier que je né. Sergei Baranov, premier d’une lignée de sept.
L’école de base ce n'était pas mon fort, et j’ai dû arrêter très tôt vers mes treize ans. Mes frères et sœurs commencées a poussé très vite, du coup, il fallait de l’argent… Beaucoup et vite.
Du coup je me suis retrouver à l’usine a souder, toute la journée. Toujours, les étincelles de fer, les odeurs de métal brûlé, ça me passionner. Ou même à faire déferler l’acier chaud dans les longs dédales de machine.
Vivre comme un homme, un vrai comme disait mon père. J’ai travaillé pour ma famille et de loin pour moi. J’ai très vite compris que je devais me forger une carapace aussi dure que l’acier. Que se soit physique… Ou mental.
De treize à dix-huit ans, j’ai travaillé travailler et encore travailler. Sauf que quelque-chose m’avait beaucoup plus intéressé… J'avais des échos d’un corps d’armée Français élitiste, La Légion Étrangère, le contexte militaire hein ? Fallait avoir dix-huit ans pour entrer dans ce corps, je dis au-revoira mes parents et aux restes des Baranov avant de me tirer sans me retourner.
Je m’engage pour un long voyage vers Aubagne en France.
Chapitre 2 : Audaces fortuna juvatDurant mon long pèlerinage, j’ai commencé à devenir un chrétien assidu. Ne loupant jamais une messe un Dimanche. Priant en m’arrêtant dans chaque ville et patelin paumé du monde ou les Catholique sont présent. Bien que je développe un penchant pour l’alcool et la cigarette, avec mes maigres dons pour me faire pardonner de mes péchés.
J’apprends à faire preuve de bonté, de gentillesse et d’aider mon prochain. Une fois j’ai même reçu en cadeau une croix en plaquer, or que je garde toujours sur moi. Elle m’aide à me guider quand je suis perdu.
J’arrive après plusieurs mois a ma destination, j’arrive à rentrer pour la phase de teste. Accepté, on m’entraîne pour devenir un Légionnaire. On m’apprend le français, la dureté physique et mental, le code du légionnaire.. Et j’en passe, le tout dans un esprit de camaraderie et de fraternité exemplaire. Au bout de plusieurs mois, je commence à aller en directe sur le terrain, je fais plusieurs stages de survie, je me débrouille pour devenir bon.
Je reste de dix-huit à 28 chez eux, je m’y plais fermement, je monte jusqu’au grade de capitaine en fonçant toujours le premier au terrain. Jusqu’à se tragique jour…
Chapitre 3 : si vis pacem, para bellum Ce jour maudit, partir en ‘’campagne’’ avec ses frères d’armes contre des terroristes, c’est dans mes cordes… Dans nos cordes. Je pars avec mon équipe, dans une province lointaine affrontant le feu et la fièvre comme le disait la chanson du boudin.
Le problème… C’est que nous sommes arrivé en territoire ennemi et ils sont en surnombre… On se bat comme des furies, comme on nous l’a appris… La mission est sacrée. Nous en exterminons le plus, mes frères meurt un à un. La rage m’emplit, mais je suis fait prisonnier une fois le seul encore debout, sans munitions à vouloir les assaillir au poing et continuer ma mission.
Je suis fait capturé et prisonnier. Sans rien pour donner une alerte à la Légion. J’ai jamais été beau, mais.. La torture ma rendu pire. À force de me faire cogner, mon visage a pris une forme différente de celle de base… Après, j’ai subis toutes les pires atrocités, passant de la simulation de noyade à l'électrocution, aux lacérations des chiens…
J’ai perdu le fil du temps, depuis combien de temps, je suis là ? Ma vision.. Je ne vois plus les couleurs… Tout vire au noir et blanc. Je récite les passages de la bible avant de les insultés en latin. Ça fait toujours classe de tendre le bâton pour se faire battre.
Je me souviens plus quand exactement, assis.. Attacher, souiller et ensanglanté. Agonisant sur une chaise. Je ne voyais rien, du moins… Les couleurs n’étaient plus avec moi. La torture m’avait sacrément amoché… Je commence à dérailler sévère.
Quelque chose surgit, un homme vêtu de blanc, au cheveu long brun… Cette barbe... Jésus ? Je dois dérailler… Il a les stigmates du christ.. Il joint les mains en se mettant à genoux… Je crache le sang accumulé dans ma bouche et ça le transperce… Mon cerveau… Grr… À nouveau, un mal de tête m’empêche de réfléchir. J’entends juste.
‘’
Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font. ‘’
Avant de tomber dans un nouveau sommeil du a la perte de sang.
Je ne sais pas combien de temps, je suis resté non-éveiller, quand je repris connaissance, j’étendais une voix… Grave, profonde. Un homme grand, un œil manquant. Qui me pose juste une question :
‘’
Qu’est-ce qui est plus fort que l’acier ? Le sang et la rage. ‘’
De nouveau, je tombe dans les pommes avant de me faire réveiller part une pluie de coups.
Je reprends connaissance, mais cette fois si bien qu’affaiblis, je sens une étrange rage bouillir en moi, d’un coup trou noir.
Un massacre plus tard, je me ‘’réveille’ baigné dans le sang que je suppose d’être mes ennemies. Je suis choqué… Je suis dehors, je ne discerne pas les couleurs, seul le rouge que j’ai sur le corps. Je fuis, apeuré de ma propre folie avant d’essayer de survivre dans un terrain inconnu. Je fini tant bien de mal à me faire rapatrier en France avant de quitter la Légion pour l’Amérique.
Chapitre quatre : Aurea mediocritasPlusieurs mois que j’étais sorti de l’ombre, j’ai plaqué ma vie de Légionnaire pour vivre d’amour et d’eau fraîche… Sauf que j’ai rajouté beaucoup de ricard. Durant ma détention, l’arrivé de Darkseid sur terre et l’attaque du syndicat du crime on fait du remue-ménage, toute ses vies perdues me reste au travers de la gorge.
Je n’ai pas pu les aider et ç’est ça qui me rend malade. Pendent que la vermine cour les rues… Hm. Ma direction ? Gotham. Oui, la ville du chevalier noir et de ses chauves-souris qui veille au grain.
Une fois en ville, je m’impose d’abord a l’église. Remplissant des travaux gratuit pour aider cette dernière, avant d’aller en ville casser des gueules. Avant de laisser les criminels ligotés dans un coin pour la police.
Une chose me manque, c’est ma vision. En haut d’un clocher, j’observe.. Ce que je devine comme le levé du soleil, l’impair en cuir volant derrière moi.
‘’
Hm.. Bon.. C’est l’heure de la prière. ‘’
Dis-je avant de disparaître pour aller a l’église, priée pour ma rédemption. Mais ce n'était pas assez… Une chose me manquer. Ce que j’avais connu : L’Ordre.
À Gotham, on cherche des gens pour faire les sales boulots… Du coup, je reprendre vite du service avec les flics.
Me revoilà de nouveau, le chien de garde qui traîne dans les ruelles en quête de sang et d’Ordre.