La guerre.. La guerre ne change jamais. Le sang ne se lave que part le sang, voila se que j’ai appris a La Légion Étrangère, mais aussi dévorer l’Homme intérieur qu’on est pour laisser place a la bête sauvage au plus profond de nous. Les hauts-gradés m’avez envoyé avec les Hommes de Slade Wilson, pour accomplir quelque chose.. Une mission, ou deux soldats français de l’armée de terre était pris en otage. Incapable de l’armée.. Bordel. Ils savent pas faire une mission, nous, on se démerde quand on est dans la merde. Mais revenons à Slade...
Un gars en or, aussi attachant que meurtrier. Un combattant hors-pair, et ne parlons pas de son génie tactique qui a fait gagner pas mal de campagne. J’en ai fait une paire avec s’type, je lui confierais ma vie entres ces pattes. On a combattu dos a dos beaucoup plus de fois que j’ai pu fréquenter une fille dans toute ma putain de vie.
Les gens autour de moi rigolent, et c’est bien. Ça veux dire que la cohésion entres les membres est bonne et qu’ils confient leurs angoisses pour la mission future dans leurs blagues qui ne mine de rien en disent beaucoup sur leurs attentes et leurs peurs.Dans mon cas.. Ils me connaissaient, mais on une certaine crainte depuis que j’ai arraché le bras d’un terroriste pour le faire parler. Les boulots les plus violents ne me fond pas peur, mais le moins du monde.
Mais je suis tiré de mes pensées parts la voix de Slade qui me parle et me tend le dossier que je lis attentivement tout en l’écoutant. Je tire sur ma gitane maïs, recrachant la fumée part le nez avant de sourire aux explications de la personne que je considère comme un frère de sang. Net et précise comme explication, ma priorité reste dans le tas de sauver les otages. Surtout les deux Français, ma tête arrive sur une pique, je les sors pas de cet enfer, et j’ose imaginer les tortures qu’ils ont subits pendent leur captivité.
La répartitions des équipes est faite, comme d’hab’ je connais la préférence que Slade a pour m’avoir pour lui couvrir le cul. Ce qui m’arrache un sourire, tout le monde s’affole un peut, je vais radoucir les mœurs un peux, il ne faut pas qu’ils partent tout stresser avant, ils risquent des conneries.
‘’ Eh Chef… Après tout ça, faudra qu’on aille boire un p’tit coup. J’crois qu’on aura tous le gosier sec, j’sais pas ce que vous en pensez les gars et les nanas ? ‘’
Un oui général se fait entendre. Mon sourire s’élargit avant de faire un clin d’œil à Slade. On annonce les cinq minutes restantes, tout le monde vérifie sont matériel ce que j’ai fait depuis un moment. Je sors mon couteau qui est planquer sur un holster au niveau de ma poitrine avant de sortir ma pierre et a aiguisé et a l’aiguisé lentement, re-fessant le tranchant avant que ma voix de baryton commence à faire des ‘’ hmm….’’ Avant de se mettre a chanté ‘’ La Mort’’ une chanson militaire française. Le calme arrive dans l’hélico, tout le monde se rivant les yeux vers moi. Ils restent étonnés ne comprenant sûrement aucun mot de ce que j’ai dit, continuant d’aiguiser le couteau. Une fois prêt, je rengaine avant de me lever et regarder Slade, un sourire àux lèvre.
J’arrive devant la porte, mettant mon barda sur mon dos et le parachute. La Légion est connue pour le deuxième REP, les parachutiste. Et il croit que je vais prendre la voie terrestre… Que nenni, je ne vais pas me gêner.
‘’ Tu crois que je vais prendre la voie terrestre ? On se retrouve plein nord Chef ! Tennez vous bien les enfants ça va secouer ! ‘’
Je leur fais un signe de mains. Avant d’accrocher Slade rapidement, et d’ouvrir avant de sauté. Volant dans l’immensité bleu, je me sens apaisé.. Le bruit du vent et ce dernier dans mes cheveux cours. J’apprécie ça, vraiment. Je soupire, mon rêve éveiller devant se finir. J’ouvre mon parachute avant d’attérire à la position définie avant. Une fois arrivé, je remets mon parachute dans le sac avant de prendre fidéle ak-47 équipé d’un silencieux, je m’assois sur une pierre attendant mon compagnon d’arme. Je rallume la cigarette qui c’est éteinte durant mon mini-vol