Messages : 5500 Date d'inscription : 29/01/2017 Face Identity : Matthew Daddario. Crédits : labonairs (avatar), Ventium ♥ (les bannières), signature (beylin), & renegade (montage) Age du personnage : trente années à écumer la ville du crime. Ville : Gotham City. Profession : Plus mercenaire que justicier, tu ne te considères pas comme un héros. Toi, tu n'hésites jamais à tuer. Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins. Compétences/Capacités :
Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.
Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi. Situation Maritale : Célibataire.
L'impuissance te ronge. Elle est à deux doigts de te faire perdre la tête. Celle que tu prends entre tes doigts, plongeant tes doigts dans tes cheveux décoiffés. Ton cœur, ton âme, ton esprit, tout est éclaté. Trop de morceaux, puzzle que tu ne réussiras jamais à reconstituer. La peine, la haine, la douleur, la rage, tout se mélange, tu ne sais même plus ce que tu ressens. Tu veux la sauver. Même si tu dois y passer des années, tu ne la laisseras pas tomber. Sans leur aide. Puisqu'aucun d'entre eux ne veut essayer. Comment réagiraient-ils si c'était leur âme-soeur qui gisait par terre ? Sans doute ne seraient-ils pas aussi statiques, immobiles. T'as envie de les frapper, tous, pour oser regarder sans rien faire, pour se contenter d'observer. Ils n'y sont pour rien, mais t'as besoin de trouver de nouveaux coupables. Le vrai est mort avant que tu ne puisses déverser toute ta colère. Et Superman a fendu le ciel pour se ruer sur Arès. T'es seul avec ta culpabilité de ne pas avoir pu la sauver. Effondré, tu ne sais même plus ce que tu ressentais avant tout ce désastre. Encore hier elle était avec toi, vous avez passé la nuit ensemble. Encore hier vous avez ri. De tout ce bonheur il ne reste que son corps désarticulé, une flaque de sang où se noient tes souvenirs. Même le bon a un goût désastreux, amer. Vos plus beaux moments ne sont que des lames dans la poitrine. Diana, elle en est morte ce soir. Toi, elles t'assènent de toute part, sans répit, et tu dois t'efforcer de rester debout. Parce que tu n'as pas le droit de lâcher, tu dois encore la sauver. Quand le sur-homme revient, tu te retournes vivement, et ne le quitte pas du regard quand il s'approche d'elle. Il cautérise ses plaies, frappe de toutes ses forces sur sa poitrine. Chaque poing qui s'abat est une souffrance pour toi. Tu refuses qu'il lui fasse du mal. Les dents serrées, tu t'avances vers lui, prêt à l'en empêcher par la force de tes bras. C'est idiot, parce qu'il fait ça pour elle. Tu le sais au fond de toi. Mais là, plus rien n'a de sens. Tu ne vois que la brutalité de ses gestes, sa souffrance fait écho à la tienne, sa rage d'autant plus. Même si vous restez deux êtres opposés. Sa présence te dérange presque. Ce n'était pas son combat, c'était le votre. Il ne fait que renforcer ton sentiments d'impuissance face à la situation. Superman arrive et soudain, les choses commencent à s'arranger. Le sur-homme aux pouvoirs prodigieux vient de tous vous sauver. Et il a réussi là où tu as échoué, il a relancé son cœur. Le soulagement que tu ressens est indescriptible. Tes jambes tremblent, tu pourrais t'écrouler sous le choc des émotions qui t'assaillent. Tu t'accroches si fort à cet espoir que le perdre à nouveau t'anéantirait complètement. « Elle, elle respire ? » Est-ce qu'elle va s'en sortir ? Comment faire maintenant pour lui venir en aide. Tu essuies une nouvelle larme que tu n'avais pas sentie couler d'un revers de main. Le voir l'enrouler dans sa cape et la serrer contre lui t'es insupportable. Ta simple humanité te foudroie. T'aimerais tout faire pour elle, mais t'en es incapable. Lui le peut. Tu le toises du regard, comme un avertissement. C'est l'amour de ta vie que tu lui confies. C'est comme abandonner une partie de toi-même. Ça te coûte beaucoup, énormément. Ne rien faire, ne rien dire, ravaler ta méfiance, contrôler ta colère, c'est pour elle que tu le fais. Tu places tout ce qu'il te reste d'énergie et d'espoir en Superman. Cet homme que tu ne connais pas, mais en qui elle avait confiance. Et toi, tu fais confiance à Diana, alors tu abdiques pour cette fois. Ta fierté ne prendra pas le dessus ce soir. C'est ton amour pour elle qui guide tes décisions. Tu dois la laisser partir. Tu n'as pas le choix. Il t'est difficile de déglutir, tu peines à la quitter des yeux. Tu la regardes une dernière fois, avant qu'il ne l'emmène. « Luthor. C'est Luthor le responsable de ce carnage. C'est Diana qui ... » Qui te l'a dit avant de mourir. Tu ne parviens pas à terminer ta phrase. Le message est passé. Maintenant, il fera ce qu'il voudra de l'information. Toi, tu feras de même de ton côté. Ce crime ne restera pas impuni. Il va s'envoler, ta lutte intérieure est féroce. Tu serres si fort tes poings, encaisse péniblement la réalité de ce futur sombre, te prépare à faire face à l'absence. « Sauve-la. » Tu redresses ton regard vers lui, et une seconde plus tard, il disparaît dans la nuit. Avec Diana dans ses bras.
Le calme est presque revenu. Il est effrayant. Et il sera encore pire tout à l'heure, quand tu vas retrouver un appartement vide. Vide d'amour, vide de sa présence. Tu n'as pas bougé depuis le départ de Superman, et soudain tu vois Dick s'approcher de toi. A défaut de comprendre ta souffrance, il veut t'aider à la supporter. Ce frère que tu as perdu, qui sans le vouloir t'a causé plusieurs séquelles, cherche à te réconforter. Il a vu, ils ont tous vu, ce qu'elle représentait pour toi. Et si tu ne veux pas de leur pitié, tu ne recules pas pour autant quand il t'attrape de son bras valide. Les tiens pendent encore dans le vide. T'es pas capable de rendre l'étreinte. Vous venez de vous retrouver, t'as trop de choses à lui dire, trop de reproches qui ont nourris ta colère pendant des années. Pourtant, cet homme que tu as tant détesté certains jours, il ne veut que ton bien. Ta respiration est forte, pénible. Tu cherches à lutter, encore, toujours. T'es pas doué pour lâcher prise. Mais ce soir, tout est différent, pas vrai ? Tant pis pour le passé, là tout de suite, il n'y a qu'aujourd'hui qui compte. Tes mains viennent finalement s'accrocher à lui, tu le serres comme si ta vie en dépendait. Si fort que t'as peur de le briser. Son appui t'es fondamental, Dick est devenu une béquille. Sans lui, tu serais déjà à genoux. Tu te sens incomplet, vidé, mais ce réconfort endort un peu la douleur. Morphine du cœur. Tu te laisses doucement aller, tu t'autorises à être mal. Pendant quelques secondes, tu acceptes de te montrer vulnérable. C'est moins dur, quand un frère vous prend dans ses bras.
Quand tu te retires, tu le remercie d'un regard. Parce que t'es pas capable de le faire avec des mots. « Je dois récupérer ses affaires ... » Ta voix est rauque, cassée par cette gorge nouée. Hope est encore là elle aussi. Sa nuit n'a pas été plus réjouissante. Mais t'es heureux de la voir encore debout. Elle n'a cessé de t'impressionner, et tu lui seras éternellement reconnaissant d'avoir essayé. Tu les quittes, tous, obsédé par ce besoin de tout récupérer. Ce lasso, cette épée, ce bouclier, tout lui appartient. Et tu lui rendras, un jour. Tu refuses que tout tombe dans d'autres mains. Tu ramasses également l'épée d'Hercule, l'objet du crime. Cette lame qui t'a tout enlevé. Tu prends tout. Ne laisse rien. Si ce n'est cette moitié de cœur que tu n'es pas parvenu à retrouver dans les décombres.
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L'impuissance te ronge. Elle est à deux doigts de te faire perdre la tête. Celle que tu prends entre tes doigts, plongeant tes doigts dans tes cheveux décoiffés. Ton cœur, ton âme, ton esprit, tout est éclaté. Trop de morceaux, puzzle que tu ne réussiras jamais à reconstituer. La peine, la haine, la douleur, la rage, tout se mélange, tu ne sais même plus ce que tu ressens. Tu veux la sauver. Même si tu dois y passer des années, tu ne la laisseras pas tomber. Sans leur aide. Puisqu'aucun d'entre eux ne veut essayer. Comment réagiraient-ils si c'était leur âme-soeur qui gisait par terre ? Sans doute ne seraient-ils pas aussi statiques, immobiles. T'as envie de les frapper, tous, pour oser regarder sans rien faire, pour se contenter d'observer. Ils n'y sont pour rien, mais t'as besoin de trouver de nouveaux coupables. Le vrai est mort avant que tu ne puisses déverser toute ta colère. Et Superman a fendu le ciel pour se ruer sur Arès. T'es seul avec ta culpabilité de ne pas avoir pu la sauver. Effondré, tu ne sais même plus ce que tu ressentais avant tout ce désastre. Encore hier elle était avec toi, vous avez passé la nuit ensemble. Encore hier vous avez ri. De tout ce bonheur il ne reste que son corps désarticulé, une flaque de sang où se noient tes souvenirs. Même le bon a un goût désastreux, amer. Vos plus beaux moments ne sont que des lames dans la poitrine. Diana, elle en est morte ce soir. Toi, elles t'assènent de toute part, sans répit, et tu dois t'efforcer de rester debout. Parce que tu n'as pas le droit de lâcher, tu dois encore la sauver. Quand le sur-homme revient, tu te retournes vivement, et ne le quitte pas du regard quand il s'approche d'elle. Il cautérise ses plaies, frappe de toutes ses forces sur sa poitrine. Chaque poing qui s'abat est une souffrance pour toi. Tu refuses qu'il lui fasse du mal. Les dents serrées, tu t'avances vers lui, prêt à l'en empêcher par la force de tes bras. C'est idiot, parce qu'il fait ça pour elle. Tu le sais au fond de toi. Mais là, plus rien n'a de sens. Tu ne vois que la brutalité de ses gestes, sa souffrance fait écho à la tienne, sa rage d'autant plus. Même si vous restez deux êtres opposés. Sa présence te dérange presque. Ce n'était pas son combat, c'était le votre. Il ne fait que renforcer ton sentiments d'impuissance face à la situation. Superman arrive et soudain, les choses commencent à s'arranger. Le sur-homme aux pouvoirs prodigieux vient de tous vous sauver. Et il a réussi là où tu as échoué, il a relancé son cœur. Le soulagement que tu ressens est indescriptible. Tes jambes tremblent, tu pourrais t'écrouler sous le choc des émotions qui t'assaillent. Tu t'accroches si fort à cet espoir que le perdre à nouveau t'anéantirait complètement. « Elle, elle respire ? » Est-ce qu'elle va s'en sortir ? Comment faire maintenant pour lui venir en aide. Tu essuies une nouvelle larme que tu n'avais pas sentie couler d'un revers de main. Le voir l'enrouler dans sa cape et la serrer contre lui t'es insupportable. Ta simple humanité te foudroie. T'aimerais tout faire pour elle, mais t'en es incapable. Lui le peut. Tu le toises du regard, comme un avertissement. C'est l'amour de ta vie que tu lui confies. C'est comme abandonner une partie de toi-même. Ça te coûte beaucoup, énormément. Ne rien faire, ne rien dire, ravaler ta méfiance, contrôler ta colère, c'est pour elle que tu le fais. Tu places tout ce qu'il te reste d'énergie et d'espoir en Superman. Cet homme que tu ne connais pas, mais en qui elle avait confiance. Et toi, tu fais confiance à Diana, alors tu abdiques pour cette fois. Ta fierté ne prendra pas le dessus ce soir. C'est ton amour pour elle qui guide tes décisions. Tu dois la laisser partir. Tu n'as pas le choix. Il t'est difficile de déglutir, tu peines à la quitter des yeux. Tu la regardes une dernière fois, avant qu'il ne l'emmène. « Luthor. C'est Luthor le responsable de ce carnage. C'est Diana qui ... » Qui te l'a dit avant de mourir. Tu ne parviens pas à terminer ta phrase. Le message est passé. Maintenant, il fera ce qu'il voudra de l'information. Toi, tu feras de même de ton côté. Ce crime ne restera pas impuni. Il va s'envoler, ta lutte intérieure est féroce. Tu serres si fort tes poings, encaisse péniblement la réalité de ce futur sombre, te prépare à faire face à l'absence. « Sauve-la. » Tu redresses ton regard vers lui, et une seconde plus tard, il disparaît dans la nuit. Avec Diana dans ses bras.