the evil within (dick)

Dick &
Barbara

the evil within

Un seul bruit, sourd et répétitif. Le son de ses doigts qui pianotaient sur la surface plane de son bureau. Face à ses écrans, Batgirl réfléchissait. Plus tôt dans la nuit, Arkham Asylum avait été l’amphithéâtre d'un coup d'état – à défaut de pouvoir utiliser un vocabulaire plus adapté. Depuis, les internés de l’asile parcouraient les couloirs de la grande battisse et enfermaient le personnel médical dans les cellules d'isolement. A travers le grainage de mauvaise qualité des caméras de sécurité, Barbara savait que la situation était à présent hors de contrôle. Et le signal qui brillait haut dans le ciel ne faisait que confirmer ses pensées. Un instant, elle resta dans le noir de son antre, à le regarder scintiller entre les nuages chargés de pluie. Finalement, elle rabattit son masque sur son visage et se déplaça jusqu'à se trouver sous la trappe qui menait directement au plafond. Sans un mot, elle déclencha le grappin et disparut. La Tour était placé à quelques mètres du commissariat, la trentenaire n'eut aucun mal à attendre son point de rendez-vous. Sans grandes surprises, elle y retrouva son père. « Et Batman ? » demanda t-il en s'attendait certainement à voir le chevalier noir débarquer à tout instant. Pour avoir des yeux partout, Barbara savait cependant que l'homme n'allait pas montrer le bout de son nez ce soir, autrement occupé qu'il était. « Vous avez quelque chose pour moi commissaire Gordon ? » se contenta t-elle de demander pour toute réponse. Le vieux loup la considéra un instant et, dans son for intérieur, la rouquine s'en amusa. Après toutes ses années, la jeune femme ne savait toujours pas ce que son père savait ou ne savait pas. Et elle admettait être bien trop trouillarde pour oser demander. Il y avait une certaine sécurité dans le silence. Un silence qu'elle ne souhait aucunement briser. Après, elle n'en doutait pas, quelques mots à son encontre dans sa barbe plus poivre et sel que rousse, son père lui relata rapidement la situation de l'asile de Gotham, ne lui apprenant rien de nouveau. Mais il y avait dans les habitudes quelque chose de sacré. Barbara ne serait pas de celle qui briserait ce lien si difficilement acquis entre la police et les justiciers de Gotham. Leur relation fonctionnait sur la coopération après tout.

Ce ne fut que lorsqu'elle fut sûre qu'il eut terminé que Batgirl s’éclipsa, telle une ombre de la nuit, sans bruit et dans la plus grande discrétion. De retour à sa Tour, elle fit le rapide trajet jusqu'à son garage. Devant les véhicules garés, elle hésita un instant. Son dévolu se jeta toutefois sur la moto qu'elle venait tout juste de réparer. Dans un vrombissement de moteur et un crissement de pneu, la justicière fila à travers la ville. Lorsqu'elle arriva à sa destination, elle fut accueillie par diverses voitures de police et camions de presse. Habituée de ce spectacle, elle n'y prêta guère attention et alla directement à a rencontre de Renée Montoya. La policière chevronnée lui fit un récapitulatif rapide des dernières informations. Barbara savait que malheureusement elle n'avait d'autres choix que d'aller se jeter dans la gueule du loup. Il fallait qu'elle pénètre dans le centre. Mais pas toute seule. Jamais toute seule. Et encore moins dans ce genre d'endroits. Ayant fait passer un message rapide à travers Batman Inc, elle attendit, bras croisés sur sa poitrine, qu'au moins un de ses coéquipiers la rejoigne. Après tout, il lui avait déjà annoncé qu'il serait de la partie. Maintenant, il ne lui manquait plus qu'à pointer le bout de son nez.

Pando

The Evil Within.

Dick Grayson & Barbara Gordon

◊ ◊ ◊

Mes yeux étaient fixés sur le fameux signal dans le ciel. Avant, il ne fallait pas trop attendre afin de voir la lumière s'éteindre. D'une façon ou d'une autre, Bruce avait toujours sa méthode pour rejoindre le toit du poste de police dans un rien de temps. Les temps avaient drastiquement changé, mais heureusement pour la ville de Gotham, ainsi que pour les Gothamites, la fameuse Bat-Family étaient encore présente pour répondre à l'appel. Je savais comment ça se passait. J'avais fait partie de cette routine pendant longtemps. Fidèle au poste et fier de l'être, Jim Gordon attendait avec patience l'arrivée d'un membre de la famille. Si à une époque, je m'aurais dépêcher à prendre le chemin pour aller à la rencontre d'un de nos plus précieux alliés, les récents événements avec le peuple changeait la donne. Des révélations qui venait mettre en péril plusieurs éléments dans ma vie. Moi qui essayais d'ailleurs de bien séparer la vie de Dick et de Nightwing, et bien, désormais ce n'était plus possible. Dick Grayson, officié pour le GCPD, n'était plus. Si plusieurs policiers vouaient un véritable respect pour notre petite famille de héros, bien d'autres ne partageaient pas ce même avis. Les regards de mes confrères et de mes consœurs m'avaient d'ailleurs guidé jusqu'au bureau de Gordon, ressortant de celui-ci avec un fusil et un badge en moins. Si l'homme avait tenté de me convaincre de ne pas baisser les bras, il s'était rendu bien vite compte que ma décision était déjà prise et bien pensée. À mon avis, Gotham tout comme Blüdhaven n'allaient pas devenir plus sécuritaire, d'autant plus que Gotham ne comptait plus sur la présence de Batman... Peut-être qu'il était possible pour moi de me servir de ses révélations, de combattre le crime sur de plus grandes périodes de temps.

Perdu dans ma tête, c'est la sonnerie de la ligne destinée à l'initiative Batman Inc, qui me ramena à l'ordre, me permettant finalement de me rendre compte que le symbole qui illuminait le ciel de la ville maudite, c'était éteint. Sans hésiter, j'enfila mon costume, tout en prenant connaissance de la nouvelle urgence. C'est la voix de la nouvelle leader de la famille qui offrit la menace. Barbara méritait sa place et heureusement pour elle, elle n'avait pas vu son identité se faire révélée au grand jour, simplifiant probablement ses visites près du signal. Je ne fus aucunement étonné d'apprendre qu'une crise venait de frapper l'asile d'Arkham. Je m'étais toujours demandé pourquoi Bruce insistait pour amenés les criminels les plus notoires dans cette place, qui fois après fois, ce prouvait pas suffisamment sécurisée pour mettre aux oubliettes ceux qui menaçaient cette ville. C'est durant ma deuxième année à titre de Robin que j'avais compris. Les systèmes de l'asile étaient directement liés à l'ordinateur central des batcave, chose que Stryker Island par exemple n'avait pas. Sans attendre, j'offris une réponse positive à Batgirl, l'informant qu'elle pouvait m'attendre avant de s'introduire dans les lieux.

C'est un trajet d'une dizaine de minutes qui séparait mon appartement à Blüdhaven de l'asile. Dans un monde hypothétique, c'était suffisamment de temps pour que la situation dégénère et qu'un criminel s'échappent, mais au fil des années, les techniques du GCPD c'était développer, m'offrant ainsi le temps nécessaire pour me rendre avant que le pire ne survienne. Très vite, je me rendis sur place, évitant le plus possible les caméras et les policiers déjà sur place, rejoignant Batgirl un peu plus loin. « Alors qu'avons-nous par ici Batgirl? » Le simple fait de la voir me faisait du bien, comme toujours. Il y avait bien longtemps que nous avions tous les deux oubliés la possibilité de se réveiller l'un aux côtés de l'autre, mais jamais je ne pourrais me passer d'une dose de Barbara Gordon dans ma vie. De son côté, les choses avaient l'air de bien allée avec Nathaniel et je ne pouvais que me réjouir pour ma plus vielle amie. « Je suis arrivé le plus vite que j'ai pu. » À plusieurs reprises durant mon trajet, j'aurais pu faire un petit arrêt afin de faire une patrouille rapide dans un secteur suspect, mais je savais que Barbara m'attendait ici, me forçant plutôt à envoyer des alertes via le système que la fameuse rouquine avait elle-même utilisée suite à sa rencontre avec le commissaire.

(c) oxymort

Dick &
Barbara

the evil within

Bras croisés sous le symbole sur sa poitrine, cape doucement fouettée par le vent et ses deux pieds fermement ancrés dans le sol, Batgirl avait tout de l'allure de feu son mentor. Malgré tout, elle en restait bien différente et tendait à s'en éloigner un peu plus tous les jours. Malgré tout le respect et l'amour qu'elle avait eu et avait toujours pour lui, elle ne cherchait pas à devenir lui. Elle était sa propre personne, sa propre justicière. Elle avait ses propres qualités et ses propres défauts. Toutefois, elle restait un membre de cette famille et elle ne pouvait complètement oblitérer ce qui lui avait été inculqué. Et cette aura qu'elle dégageait, alors qu'elle restait pour le moment immobile au milieu de la route face au bâtiment d'architecture gothique, en était la preuve. De toute façon, elle était fière de cette éducation si durement acquise. Fière d'appartenir à cette grande et courageuse famille. Fière d'avoir été l'élève du Batman. Fière d'avoir repris le flambeau pour continuer de faire brûler la flamme autant qu'elle le pourrait. Avant d'elle-même passer le rôle à qui de droit. Quand ? A cette question, elle ne pouvait encore y répondre. Quant au qui, elle aurait bien le temps de voir venir. Elle savait cependant que ce n'était pas sur l'homme qui venait de se placer à ses côtés, qu'elle donnerait le titre. Non pas parce qu'il en était pas capable – après tout le costume il l'avait déjà porté à maintes reprises lorsque la situation l'avait nécessité- mais parce que lorsque le temps serait venu, il serait probablement bien trop vieux et fatigué pour vouloir endosser une telle responsabilité. Et puis, même aujourd'hui, elle n'était pas certaine qu'il en voudrait. Lui qui n'avait jamais cherché autre chose depuis des années que de s'émanciper. Et s'émanciper, il l'avait fait. Il était devenu son propre héro, rayant presque son ancienne vie d'un simple coup de crayon. Parfois, elle lui en voulait encore d'avoir mis leur histoire de côté. Mais cela ne durait guère que quelques secondes avant que la partie rationnelle de son cerveau reprenne le dessus. Et puis, Barbara le comprenait. Plus que n'importe qui. Elle qui était aussi sa propre personne.

« Alors qu'avons-nous par ici Batgirl? » demanda t-il en adoptant une position miroir de la sienne, inconsciemment. Un geste qui la fit sourire. « Je suis arrivé le plus vite que j'ai pu » rajouta t-il alors qu'elle décroisait ses bras pour les laisser tomber le long de son corps et se tourna légèrement vers lui. « Merci d'avoir répondu présent malgré tu sais... » lâcha t-elle avec un léger sourire. Barbara ne savait que trop bien combien sa situation était aujourd’hui compliquée, voire compromise. Les révélations du peuple avait porté un coup dur à cette famille de chauve-souris. Bien sur, la trentenaire avait tenté par tous les moyens de diluer les documents, de les effacer mais les preuves étaient trop accablantes pour semer le trouble dans l'esprit de ses concitoyens. Comme depuis plusieurs fois depuis des jours, son sang ne fit qu'un tour dans ses veines et une bouffée de haine lui fit serrer les dents. Ce peuple si elle les trouvait … elle savait qu'elle les détruirait. Pas physiquement, jamais physiquement. Mais il y avait bien d'autres moyens d'enterrer les gens. « La routine vraiment. Arkham est aux mains de ses patients » répondit-elle finalement entre ses dents serrés, se forçant à retrouver son calme. « Depuis qu'on fait ça, ça fait quoi ….. la vingtième fois que ça arrive ? La trentième ? » demanda t-elle, sans réellement attendre une réponse de se part. « Prêt à te la jouer à la Outlast ? » questionna t-elle, « c'est un jeu vidéo d'horreur qui se passe dans un asile » rajouta t-elle cependant, n'oubliant pas que Dick n'était pas Tim et ne partageait pas forcément son amour pour les jeux vidéos. Si il avait un jour manipulé la manette, la jeune femme n'oubliait pas non plus qu’aujourd’hui ils étaient bien différents de leurs eux d'avant. De ces deux enfants, puis ados aux rêves plein la tête. Qu'ils étaient loin ces moments d'insouciance. Qu'elle était loin l'innocence. « Allons-y » souffla t-elle avant que ses pensées ne la mène sur un chemin empli de regrets et de nostalgie.

Avec le seul bruit de ses bottes sur le bitume, Barbara s'avança dans la nuit. D'un coup de grappin, elle passa la haute grille qui délimitait le périmètre de l’hôpital psychiatrique et retomba de l'autre côté. Les lentilles spéciales sur ses yeux scannèrent l'endroit pour trouver le meilleur point d'entrée possible – car il était été très stupide d'utiliser la porte d'entrée. « Il y a une fenêtre ouverte au dernier étage sur la droite. Elle mène dans une salle de bain » informa t-elle Nightwing. Décidément, peut être qu'elle était vraiment prête pour vivre le scénario de Outlast, à quelques détails près. Après tout, Barbara n'avait rien d'une journaliste et restait une arme à part entière.

Pando

The Evil Within.

Dick Grayson & Barbara Gordon

◊ ◊ ◊

La voir là, se tenir avec droite avec les bras croisés sur la poitrine ne pouvait que faire remonter de vieux souvenirs. Je n'arrivais plus à compter le nombre de soirée que nous avions passer ensemble a s'entraîner ou encore à combattre l'injustice grandissante de Gotham. Une époque pas si lointaine, contrairement à l'impression que j'avais. Les années et les combats nous avaient endurcies, rendues meilleurs, mais celles-ci nous avaient aussi changés grandement. Ça faisait plusieurs années que je savais que Barbara allait tôt ou tard prendre le relais. Mine de rien, elle était la plus solide d'entre nous. Facilement la rouquine aurait pu tout lancée par la fenêtre, abandonnée et ne jamais enfilée le costume, suite à la lourde épreuve qu'elle avait fait face, mais ce n'était pas elle. Son caractère et sa force ne lui auraient jamais permis de faire ça. Ce sont sûrement mes bonnes connaissances de la personne qui m'avait poussée à comprendre le choix de mon mentor. En fait, il n'y avait pas réellement de débat à y avoir. Barbara était le meilleur choix pour prendre la place de Bruce et je savais très bien qu'elle le prouverait sans cesse, jour après jour.

« Je crois qu'une trentaine de fois n'est pas encore suffisant. Tu sais... Arkham, c'était sa méthode, il croyait en la possibilité de sauver chaque être humain, mais l'asile est-il encore la meilleure place ? » Peut-être que c'était le temps de faire un changement, peut-être que la perte de Bruce et l'arrivée de Barbara pouvait marquer une nouvelle ère pour le crime à Gotham. Malgré tout le respect que je devais à mon père et mentor, il fallait être lucide et l'avouer... Arkham n'était plus ce qu'elle était jadis. Le sujet était toutefois peut-être trop délicat, mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser au nombre de crimes qui ont été commis suite aux multiples évasions. Il ne fallait pas être stupide pour se rendre compte que la prison de Stryker Island était plus sécuritaire. Bâti sur le modèle d'Alcatraz, le centre d'incarcération était tout de même reconnu pour ses bonnes méthodes, ainsi que pour avoir retenu plusieurs super-criminels.

Je laissai Barbara dicter le plan, celle-ci démontrant son côté geek, faisant une référence à un jeu vidéo qui ne me sonnait absolument aucune cloche. Si le jeune Dick aurait su tout suite, je devais avouer que j'avais plutôt pris un penchant vers la littérature et les films, délaissant les jeux vidéos. Après tout, ma vie nocturne, surtout lors des derniers temps, ne m'offrait pas réellement de temps libre pour m'adonner à ce genre d'activité. J'élevai l'un de mes bâtons dans les airs, me laissant portés par le grappin camoufler dans celui-ci. Tant bien que mal, j'essayais d'ignorer les cris de certains des policiers qui venaient de m'apercevoir. Cette situation, créée par le peuple, n'allait pas me rendre la vie trop facile. J'espérais qu'aucun rapprochement ne se fasse entre mon identité et celle des chanceux qui n'avaient pas été révélés. Barbara par exemple. Mon attention se reporta sur ma complice lorsqu'elle fit mention de la fenêtre ouverte au plus haut niveau de l'asile. « En espérant ne pas tomber sur Mr. Freeze... T'imagines le froid que cela mettrait.» Je n'avais pas pu m'empêcher de dire une petite niaiserie, mais Barbara savait que celle-ci voulait dire que j'étais prêt à affronter peu importe ce que nous allions croiser dans cet asile.

Une fois de plus s'est aidée de mon grappin que j'atteignis l'étage supérieur du bâtiment. L'entrée que nous avions décidé d'emprunter était la seule qui nous offrait un semblant d'avantage. L'asile était aux mains des criminels et des patients une fois de plus et utilisée l'entrée principale aurait été rien d'autre qu'un suicide. Debout, face au petit portail, j'imposai ma main devant Barb, insistant ainsi pour franchir l'ouverture en premier. Il était hors de question qu'elle passe en premier, trop de risque qu'elle reçoive une attaque surprise. Pas qu'elle ne serait pas capable de se défendre ou de répondre à une potentielle offensive, mais je préférais tout de même éviter. En une fraction de seconde, je fis passer mon corps dans le cadre de fenêtre, scrutant rapidement les alentours avant de faire un signe de la main à ma collègue.

L'endroit était petit et avait clairement été négligé lors des dernières corvées de ménage. Des traces de sang étaient facilement visibles sur les murs blancs qui nous entouraient. Je portais mon index droite contre mon masque, activant par le fait même l'un des multiples gadgets de celui-ci. « Le sang est sec. Il date de bien avant la prise de contrôle des criminels. » Dis-je tout en passant le même index dans l'une des traces rougeâtres. Les options n'étaient pas nombreuses. L'asile était pris d'assaut et pour arrêter le tout, nous allions devoir sortir et faire face à la horde de criminels qui avaient causé cette catastrophe... Une fois encore. Je portai mes mains contre mes cuisses pour prendre mes bâtons que j'avais serrés avant d'entrée. « Prête pour une folle soirée, j'espère. » Elle était toujours prête. Toujours. Peu importe ce qui se trouvait devant elle. C'était l'une des choses que j'aimais le plus chez elle d'ailleurs. Sans attendre, j'ouvris la porte qui nous faisait face. À première vue, nous n'avions rien à craindre, l'étage semblait vide, du moins, les corridors qui m'étaient présentement visibles.

Sans réellement avoir une idée de l'état des étages inférieurs, nous nous enfonçâmes vers les grands escaliers qui permettaient de passer d'un niveau à l'autre. « Alors ça ressemble à ça dans Outcast? » Un cri de douleur se fit entendre au loin, puis ma tête bascula vers Batgirl. « Je crois que nous avons une bonne idée d'où commencer. » Sans perdre de temps, je pris la direction des escaliers, esquivant de peu une balle qui fut dirigée dans ma direction. Décidément, nous n'étions plus seuls à cet étage. Je trouvais rapidement couvert derrière un pilier près de moi. Il me restait juste à espérer que l'individu n'aille aucune idée que je n'étais pas seule dans cette nouvelle descente aux enfers.

(c) oxymort

Contenu sponsorisé

» Hear no evil, speak no evil, and you won’t be invited to cocktail parties || John
» The line between good and evil is thin {Mari McCabe}
» Evil Fate (ft. Zatanna)
» Evil Genius (Eobard Thawne)
» nicolas nolan •• darling, you're evil as always.