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 slow burn (leonard)

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MessageSujet: slow burn (leonard)   slow burn (leonard) EmptyLun 27 Nov - 14:12

slow burn
(leonard & iris)

Le Central City Picture News pullulaient toujours de journalistes pressés, rythmé par le mécanisme des claviers et machines à papier. Pour certains, cela paraissait oppressant ; pour Iris, au contraire, ça lui semblait inspirant. Il n'y avait guère d'autre endroit au monde plus enclin à faire bouillir son imagination, hormis peut-être, lorsque la demoiselle se trouvait sur le terrain ; bien que depuis l'attaque de Grodd, la journaliste ait du passer davantage de temps derrière son bureau au dépens de ses aventures hebdomadaires. Ce n'était pas pour déranger son petit-ami, ni son rédacteur en chef, qui n'avaient visiblement pas oublier le kidnapping de la jeune femme quelques semaines plus tôt. Cependant c'est certaine Iris qui est la plus hantée par cette histoire, et personne d'autre n'a jamais réellement su ce qui s'est passé ce soir-là, pas même Barry. Scott se doutait que quelque chose ne collait pas à sa version des faits, sans doutes parce qu'il connait bien trop sa photojournaliste pour distinguer la vérité de ses petits mensonges, tout comme il avait le don de lire en elle comme dans un livre ouvert. Mais avec les évènements tragiques qui s'enchaînaient à Central City, il trouva de plus en plus difficile de déchiffrer les raisons de ses soudains changements de comportement. Ce jour-là, la West travaillait sur un article à propos d'un petit mémorial construit en l'honneur des quelques décès de l'attaque. On lui avait bien proposé d'écrire un article sur les héros de ce jour, et notamment sur le revirement des Rogues, mais pour des raison évidentes, la journaliste avait refusé. Pourtant, elle éprouvait bien des difficultés à écarter Snart de ses pensées depuis qu'une partie de la population le voit comme un héros, mais combien de temps cela dura-t-il ? Combien de temps gardera-t-il cette réputation, avant de retomber dans la criminalité ? Iris ne put s'empêcher, à l'instant, de se revoir au volant de la voiture, lutant contre ses propres démons et les siens, ou de sentir à nouveau la haine dans son regard et le dégout dans sa voix. Depuis ce jour, elle s'est demandé une centaine de fois ce qui serait advenu du père de Cold si elle n'avait pas déclenché d'accident ; l'aurait-il vraiment tuer ? Iris n'aurait certainement pas laissé faire cela, bien que le voleur et la journaliste se ressemble bien plus que ce que la jeune femme pouvait imaginer. Tous les deux ont subi les violences d'un père alcoolique, à une chose près, que Leonard prit la fuite avec sa sœur, plutôt que de laisser cette dernière entre les griffes du patriarche, devenu paralysé à vie. Iris ne pouvait s'empêcher de ressentir une certaine rancune envers son frère pour l'avoir abandonné ainsi, sans un mot. Lui aussi, est devenu un criminel, jeté vulgairement en prison. A ce jour, il est encore derrière les barreaux, et ce depuis déjà cinq ans. Avait-il changé en cinq ans ? Le reconnaîtrait-elle ? La journaliste attrapa son téléphone et parcourra ses photographies à la recherche d'un visage familier ; le plus simple aurait certainement été de lui rendre visite en prison, mais c'était malheureusement au dessus de ses forces. Elle ne possédait qu'une vieille photographie, accroché dans sa chambre, et un pendentif rouillé, qu'elle avait égaré le soir du kidnapping, dans lequel se trouvait une photographie d'elle et Daniel, lorsqu'ils n'avaient qu'à peine dix ans. En parcourant ses albums, elle tomba sur la photo de Snart, un sourire charmeur aux lèvres, figé dans le temps. Une très mauvaise idée lui traversa l'esprit, avant qu'elle reconsidère consciemment la chose. Retourner à cet endroit serait certainement une mission suicide, mais une fois que la demoiselle avait quelque chose en tête, il est difficile de lui faire changer d'avis. La photojournaliste se redressa, et se dirigea vers le bureau de Scott d'un pas décidé, avant de poser devant lui son téléphone portable et un morceau de papier sur lequel était noté des coordonnées. « Ce sont les coordonnées du repère de Cold. Si je ne rentre pas avant ce soir, essaye d'entrer en contact avec Flash, mais je t'en prie, n'appelle pas la police, et ne dis rien à Barry. » lâcha-t-elle à son rédacteur en chef, qui plissa un instant les yeux en attrapant le morceau de papier. Le bolide écarlate saura quoi faire, mais la jeune femme ne voulait pas mêler la police à ça, et moins encore son petit-ami. Scott s'appuya sur le bureau et jeta un regard déchiré entre l'inquiétude et la colère à la jeune femme. « Tu te souviens qu'il t'a kidnappé, n'est-ce pas ? Et dieu sait ce qu'il s'est passé ce soir-là, car j'ai le sentiment que tu me caches la vérité. » lança-t-il, haussant presque le ton, avant de lourdement soupirer et baisser la tête en secouant cette dernière de droite à gauche. « Je ne te demande pas ta permission. Je te demande de couvrir mes arrières. » Iris s'était déjà décidée, et cela, Scott le savait. Personne ne peut lui faire changer d'avis une fois que la journaliste est lancée. Cette dernière s'apprêtait d'ailleurs à partir, lorsqu'il contourna le bureau et attrapa son bras. « Tu ne peux pas sauver le monde, ni lui, ni même le changer. » Il lâcha sa prise, les lèvres pincés et les poings serrés. Il n'avait pas tort en vérité ; ses grands yeux et sa bonne volonté ne pourront jamais sauver le monde, et sa volonté de changer Cold n'aboutira sans doutes à rien, si ce n'est à sa propre perte. « Mais je peux essayer. » Sur ces paroles, la West quitta le bureau, puis l'enceinte du Central City Picture News, attrapant au passage sa veste, son casque et ses clés.

Les vrombissements de la moto s'arrêtèrent devant le repère, éclairé cette fois-ci par les rayons ardents du soleil. Elle retira son casque, et observa un moment la structure, imprimant le paysage, les sons, les odeurs. Elle descendit de son véhicule, tenant son casque dans une main, et s'approcha de la porte. Iris pouvait encore rebrousser chemin et retourner à son quotidien, sans mettre sa vie en danger, mais elle ne pouvait simplement pas s'y résigner, en dépit du fait qu'elle ne savait pas ce qui l'attendait de l'autre côté de ces murs, ni de sa réaction lorsqu'il verra de nouveau le visage de la journaliste, celle qui avait osé mentionner son père, celle qui a avorté ses plans, et qui a bien failli le tuer dans l'accident. La West prit néanmoins une grande bouffée d'air frais, avant de lever le poing et de frapper à la porte. Elle expira longuement, serrant fortement le casque entre ses doigts moites, tandis que son palpitant tenta de nouveau de s'échapper de sa poitrine. La porte s'ouvrit sous ses yeux ébahis, la silhouette se Snart s'esquissant devant elle. Mais aussitôt que l'homme reconnu le visage de la belle, il referma la porte, ne laissant qu'à peine le temps à Iris de prononcer un mot. Elle soupira un instant avant de poser la main sur la porte, remarquant que celle-ci n'était pas fermée à clé. Elle la poussa lentement avant de s'introduire dans la planque et de fermer derrière elle avec tout autant de douceur. Iris resta quelques secondes devant la porte, dos à lui, avant de daigner se retourner et poser le casque sur le premier meuble venu. La West ne savait pas réellement par où commencer, ni même quoi dire. Tout ce qu'elle avait en tête auparavant ne daignait pas sortir d'entre ses lèvres, coincé en travers de sa gorge, rendant son souffle saccadé. « Je... fini-t-elle par articuler. Je suis venu m'excuser. » Elle fronça un instant les sourcils et desserra les poings. Son air n'était pas particulièrement agressif, ni particulièrement doux. Elle n'avait pas l'intention de peser ses mots, et c'est sans doutes cela qu'elle devrait craindre, néanmoins elle ne se voulait pas méchante, elle voulait simplement qu'il comprenne. « Mais en vérité, je ne suis pas désolée. lâcha-t-elle, secouant légèrement la tête de droite à gauche, et s'approchant d'un pas. Je ne m'excuserais pas d'avoir provoqué l'accident. Je ne m'excuserais pas non plus d'avoir parlé de votre père, ni de ce que j'ai causé. Son air était plus sombre, sans être malveillant. Vous pouvez garder vos petits jeux pour quelqu'un d'autre, parce que je ne suis pas votre otage aujourd'hui, et vous ne pouvez pas m'effrayer plus que je ne le suis déjà. » lança-t-elle, avant de reprendre un instant son souffle avec difficulté. Elle osait pour la première fois avouer qu'elle avait peur, et ce, sans qu'il le devine par ses poings serrés et son souffle irrégulier. « Je ne suis pas votre ennemie. » Iris haussa légèrement le ton de sa voix, et fit un pas de plus, lentement, comme si elle avait peur que le sol s'effondre sous ses pieds. « Pourquoi vous ne voulez pas le comprendre ? » demanda-t-elle dans un souffle, croisant les bras, décroisant les bras. Elle ne savait pas réellement dans quelle posture se mettre, tant elle éprouvait des difficultés à penser correctement. Elle espérait à présent ne pas l'avoir énervé davantage, si elle voulait ressortir vivante et en un seul morceau de cette épreuve. Peut-être qu'Iris ne voulait en réalité que réparer quelque chose qu'elle avait cru brisé, ou bien parce qu'il partageait bien plus que ce qu'elle imaginait et qu'elle refusait de le voir sombrer à l'instar de son frère. Personne ne sait vraiment ce qui a poussé la journaliste jusqu'ici.

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MessageSujet: Re: slow burn (leonard)   slow burn (leonard) EmptyJeu 30 Nov - 2:15

slow burn
Iris & Leonard
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Quelque temps s’était passé depuis l'attaque de gorilles. Qui l'aurait crût qu'un jour la ville serait soumise à une attaque de gorilles ? Pas moi en tout cas. Après tout, depuis l'arrivé de l'homme bleu volant que tout le monde idolâtre, ce monde n'a cessé de devenir encore plus étrange. Tant que je pouvais encore faire mes cambriolages, ce monde m’allait. J’étais seul avec Maya dans ma planque. Entre-temps, j'avais un sac avec toutes mes affaires importantes, comme cela, je pouvais partir à n'importe quelle moment. Lorsqu'un bruit de moto retentissait. Moto ? Probablement Roscoe. J'entendais toquer. J'allais donc ouvrir. J’étais surpris de voir que non seulement, ce n’était pas Roscoe, mais en plus, c’était Iris. Encore elle ? Elle ne pouvait pas me foutre la paix ? Maintenant qu'elle n'avait plus de valeur à mes yeux, elle n’était plus qu'une femme parmi d'autres femmes. Je me fichais de son sort. Elle venait probablement réclamer quelque chose ou une faveur, en échange de m'avoir « sauvé la vie ». Même si je pensais qu'elle était la responsable de l'accident. Donc techniquement, elle ne m'avait pas sauver la vie, bien au contraire. Donc je ne lui devais absolument rien. C'est pourquoi je claquais la porte à son nez. Rien à foutre des politesses. Connaît pas. Je retournais auprès de Maya quand la porte du hangar s'ouvrait. Apparemment, elle ne connaissait pas non plus la politesse. Elle entrait dans la planque, puis refermait derrière elle. Elle commençait à blablater. A vraie dire, je ne l’écoutais qu'a moitie. Elle disait venir s'excuser. Puis, elle disait le contraire. « Mais en vérité, je ne suis pas désolée . Je ne m'excuserais pas d'avoir provoqué l'accident. Je ne m'excuserais pas non plus d'avoir parlé de votre père, ni de ce que j'ai causé.  Vous pouvez garder vos petits jeux pour quelqu'un d'autre, parce que je ne suis pas votre otage aujourd'hui, et vous ne pouvez pas m'effrayer plus que je ne le suis déjà. »  Puis, elle continuait. « Je ne suis pas votre ennemie. Pourquoi vous ne voulez pas le comprendre ? »


Ce n’était pas la première fois que quelqu'un venait me voir en prétendant ne pas être mon ennemie. Pourtant, toutes ces fois se sont toutes soldes par une trahison. Je en savais pas ce qu'Iris me voulait, mais clairement, elle n'avait pas l'air de vouloir lâcher l'affaire. Toute cette histoire commencait à m’agacer. Je rentrais dans mon repaire, je prenais mon Cold gun, puis ma veste. J'attrapais mon sac et je sifflais Maya pour qu'elle me suive. Je m’arrêtais à l’entrée du repaire. « Deuxième fois que tu joues avec ta vie. Tu sais, un jour, le mec en face de toi va finir par être moins clément que moi. » Je le pensais sincèrement. Sur le moment, je n'avais aucun intérêt à l'attaquer. Là, pour le moment, mon seul et unique intérêt était de quitter cet endroit. A présent que la journaliste était revenue, qui me disait que Flash ne serait pas le prochain ? Cette planque était compromise, alors il fallait que je bouge. Où ? Je ne savais pas encore. Je m’arrêtais juste devant Iris, la surplombant. « Si tu te dis ne pas être mon ennemie, alors pourquoi être revenue ? Pourquoi compromettre cet endroit ?. » Je m'approchais encore plus. «  Et je crois que c'est toi qui ne comprend pas quelque chose. Je suis un cambrioleur, je baigne dans le vole et la corruption, toi ? Une journaliste qui vient d'un tout autre milieu. Tu vois où je veux en venir ? » j’étais à présent dangereusement proche d'elle. « La seule raison pour laquelle tu sois venue, est que tu me veux quelque chose. Hors, je te dois rien, donc soit tu repars tranquillement et je te laisse en un seul morceau, ou soit tu continues à jouer les casses pieds et ce coup-ci, tu vas vraiment voir l'effet de la glace sur la peau. » Je me voulais menaçant. J'allais partir, et il ne fallait surtout pas qu'elle me suive. Il fallait qu'elle soit effrayée à l’idée de me voir. Au moins, elle ne me chercherait plus. Si ça se trouvait, elle n'avait plus d'exclu, alors elle voulait une interview ? Je ne savais vraiment pas pourquoi elle revenait, mais je m'en fichais. Je la dépassais à présent par le côté, la frôlant. Je sortais à présent de la planque. Un pick-up m'attendait. Comme toujours, ce n’était pas le mien. Je ne savais même plus où je l'avais pris. Mais cela m'importait peu. Je jetais mon sac, l’arrière du véhicule. Puis j'ouvrais la porte pour que Maya monte. Celle qu'elle faisait. J'allais monter, quand la jeune femme m’appela. Elle commençait vraiment à me gonfler. Je commençais à envisager le fait de la mettre ko. Puis de partir. Elle me retenait bien trop longtemps. « Bon, tu as environ 30 secondes avant que la crosse de mon Cold Gun vienne embrasser ta tempe, alors fait vite. » Je lui donnais une dernière chance. Après, tout, elle avait quand même eu les tripes de revenir. Dommage qu'elle ne voulait vraiment pas rejoindre les Rogues, avec tant de cran, elle aurait facilement intégré le groupe.

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by Wiise
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MessageSujet: Re: slow burn (leonard)   slow burn (leonard) EmptyJeu 30 Nov - 19:49

slow burn
(leonard & iris)

Il n'y avait rien à espérer. Rien à en retirer. Certains riaient de cet espoir candide. D'autres, à l'inverse, le considérait comme l'arme la plus destructrice que la journaliste avait en sa possession – suivi de son charme en deuxième position. Et ce, parce que la demoiselle avait cette habilité de le transformer en une force impérissable. Une pouvoir bien à elle, qui ne fait pas d'Iris un être amélioré, ou une héroïne en cape, mais bien davantage, une humaine, comme on en manque cruellement aujourd'hui. Mais il y avait quelque chose de bien plus dangereux encore que l'espoir ; quand celui-ci s'est brisé, quand même ses grands yeux émerveillés et son sourire rafraichissant ne font pas la différence. Une haine qui ne la différencie pas de son frère, construite sur les fondations de son enfance ratée. Une instabilité émotionnelle parfois plus lourde à porter que certains secrets. C'est cette haine qui l'avait emmené jusqu'ici, à l'extérieur de la ville, qui lui donne encore la force de tenir debout face à la porte, puis face à l'homme. Pourtant, contrairement à Daniel, ce sentiment, elle le contrôlait. Elle le transformait en quelque chose de positif, qui a rapidement su expliquer pourquoi la jeune femme se tenait là, sans daigner abandonner. Il devait néanmoins s'en douter ; la photojournaliste ne comptait pas battre en retraite à la première menace exprimée, en dépit du fait qu'il ne lui laissa qu'à peine de temps de prononcer un mot, de l'observer attraper en vitesse ses affaires et de lui faire face. Snart n'avait pas tort, et c'était sans doutes ce qu'il y avait de plus difficile à avaler. Sa crainte d'être retrouvé était réaliste. Malheureusement, il quitta le repère presque aussitôt, ne laissant que quelques secondes à Iris pour lâcher un « bien joué, Iris... » à elle-même, lorsqu'il claqua la porte derrière lui. Après un lourd et bref soupire, la journaliste tenta de le rattraper, alors qu'il balança le sac dans le pick-up et ordonna à la chienne de monter. « Leonard ! » lança-t-elle, avant que l'homme ne monte lui aussi dans la voiture. Si cela lui sembla d'abord étrange d'être aussi familière, cette pensée s'évapora rapidement de son esprit lorsqu'il sembla lui accorder une chance de parler, même si ceci fut accompagné d'une seconde menace. Elle pensait pourtant avoir été assez explicite : tenter de l'effrayer était peine perdue. Iris n'était plus une otage, ni une victime. Elle était venu ici de son pleine gré, sans que personne, hormis son rédacteur en chef, ne sache où elle était. Sans arme matérielle. Sans moyen d'appeler à l'aide. Juste elle, et ses tripes. « Personne ne sait que je suis ici. Je n'ai pas mon téléphone. Il n'y aucun moyen de vous trouver. » dit-elle d'une voix sincère. Ce n'était pourtant qu'à moitié la vérité ; elle avait une confiance aveugle en son rédacteur en chef. Tant que la journaliste rentre envie, l'emplacement de la planque ne sera jamais dévoilée. « Il n'y a pas de piège. Pas de plan. Ses traits s'adoucissaient à vue d'œil. Je suis pas là pour vous demander une faveur. » La West n'était pas encore assez arrogante pour penser qu'il lui devait quoi que ce soit. Elle l'avait, certes, sans doutes sauvé en le sortant à temps de la voiture, néanmoins elle restait celle qui avait provoqué ce dernier, et ce, parce qu'elle n'avait pas trouvé de meilleur moyen pour l'empêcher de s'en prendre à son père, après que la jeune femme l'ait provoqué. Quel que soit le service que l'ont cru rendu, Iris était la cause du problème. « Je voulais vous remercier, commença-t-elle avant un léger soupire. Vous remercier d'avoir sauvé Central City. » Iris faisait référence à l'attaque de Grodd, pendant laquelle les Rogues ont prêté mains fortes au superhéros Flash pour débarrasser la ville de la créature. Sans eux, le nombre de victimes serait bien plus important qu'il ne l'est déjà. « N'était-ce pas satisfaisant ? demanda-t-elle, les sourcils froncés, un air surpris accroché au visage. N'est-ce pas glorifiant d'être perçu comme un sauveur ? Un héros ? D'être admiré ? » La demoiselle n'avait pas oublié une des raisons principales de sa visite : son accord avec le bolide écarlate, pour tenter de faire basculer l'homme du côté des héros, et non des criminels. Elle ne croyait pas aux causes perdues, en dépit des difficultés qui se présentaient à elle. Il y avait toujours un espoir pour que son cœur ne soit pas aussi froid que ce qu'il prétendait.

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