| |
| Sujet: Captain McKenzie ► Sur la grande bleue. Ven 6 Aoû - 18:09 | |
| Victor Mckenzie I am the master of my fate, I am the captain of my soul ordinary souls why do we fall ? so we can learn to pick ourselves up. nom complet :Victor McKenzie. alias : Mac, Vic', Captain selon les cas. âge : 49 ans. date et lieu de naissance : 5 août 1972 à Coast City. lieu d'habitation : Coast city. métier : journaliste indépendant, représentant de l'ONG Sea Shepherd à Coast City. identité : Publique (relativement célèbre). affiliation : dans le camp de dame Nature. avatar : Jeffrey Dean Morgan. crédits : Chouu'. idéaliste ; insolent ; engagé ; charismatique joueur ; passionné ; têtu ; altruiste Jeffrey Dean Morgan | scénar | |
Miracles by their definition are meaningless, only what can happen does happen. (001), Le charisme, la tchatche, le bagou, l'aisance orale, l'amour des mots. Peu importe le nom qu'on donne à mon talent. Je me sais influent et convaincant, j'use et abuse parfois de ces compétences pour faire passer mes idées. Bien entendu il n'y a rien de surnaturel à savoir envoûter une assemblée, à persuader un lectorat. Pourtant je suis doué et mes réussites régulières le prouvent. Ma réputation enfle à chaque victoire, je peux projeter des ambitions plus larges grâce à tous ceux ralliés à ma cause. Le nombre de mes ennemis croit également.(002), J'étais un gamin qui ne tenait pas en place. Il me fallait du jeu sans arrêt, du sport au quotidien. Cette soif de dépense a fait de moi un élève difficile, un habitué des sanctions. J'ai tardé à comprendre l'intérêt des études mais lorsque j'ai trouvé ma voie dans le journalisme j'ai su me faire studieux. Et réussir. (003), Je n'avais pas forcément l'intention de naviguer seul sur les flots de la presse. Mon caractère sans doute trop franc, provocateur et militant m'a joué plusieurs tours. Après avoir obtenu une information incroyable qu'il me semblait indispensable de révéler, je me suis heurté à une hiérarchie coincée. Trop prudente. Insultante à mes yeux. J'ai désobéi et publié un article qui m'a coûté une arrestation. Je ne regrette rien aujourd'hui. Cette épreuve fût le début d'un tournant capital dans mon combat pour l'écologie et la vérité. (004), Si le Brick est un symbole pour mes engagements, mon premier bateau est un voilier perdu lors de l'invasion de Brainiac. J'ai une autre favorite beaucoup plus discrète : ma Harley. Je ne me déplacerait qu'en moto si c'était possible. Ce véhicule habile et rapide me donne l'impression d'échapper à la réalité, le temps d'un simple trajet. (005), Je suis tombé amoureux d'une éditrice, nous travaillions dans le même journal. Des points communs, de la séduction, des voyages et des compromis plus tard nous étions mariés. C'était en 2008 et j'ai cru que je devenais enfin quelqu'un de posé. Rangé. L'année de la maturité ? Le scandale de mon arrestation en 2012 a fait éclater ce bonheur apparent. Nous sommes depuis opposés, contrariés, presque rivaux. Mais liés à jamais dans la parentalité. (006), Derrière l'écologiste motivé je suis un homme impulsif à la vie privée assez chaotique. Même durant mon mariage, les choses n'étaient pas posées. Des disputes des doutes des remords. Depuis mon divorce, je croise encore souvent mon ex-femme.(007), J'ai découvert l'eau avec une canne à pêche dans les mains. Rassurez-vous j'ai vite abandonné cette pratique héritée de mon père. Mais c'est grâce à lui que j'ai commencé à m'intéresser aux océans. Les bateaux merveilleux, les fonds marins inquiétants, la faune et la flore vulnérables et gigantesques à la fois : je ne me lasse pas de découvrir les beautés de la grande Bleue. Je lui suis dévoué. (008), Je publie régulièrement sur tous les supports qui acceptent de partager mes écrits. Je tiens un blog populaire pour avertir, informer, signaler, rassembler tous les curieux à la cause de notre planète non sans évoquer mes prises de positions politiques. (009), Je fume trop, bois du café à toute heure de la journée ou de la nuit, touche de plus en plus à l'alcool : mon hygiène de vie s'en tire grâce à l'activité physique dont je ne sais pas me passer. La plupart de mes amis me sermonne sans arrêt quant à mes consommations. (010), Les tatouages sur ma peau sont mes passions, mon fils, mes rêves ancrés à mon âme. En quoi l'apparition des méta-humains a-t-elle changé le cours de votre existence ? Leur apparition sonne davantage comme une révélation à mes yeux. Ils étaient là et nous avons été aveugles, ce qui est désormais corrigé. Mon existence en a été certes bouleversée mais plus sur le long terme que comme un choc soudain. J'ai été d'abord fasciné, je me suis renseigné, j'ai cherché à savoir si certains de mes proches étaient meta-humains. Cette excitation de départ à vite cédé la place à l'appréhension, la méfiance. Les incidents se multipliant de manière inquiétante. J'ai néanmoins refusé de faire partie des journalistes qui sautent sur les actes suspects, le pouvoir de la presse est immense et je ne voulais pas bêtement pointer du doigt des délinquants sous prétexte qu'ils étaient différents. J'y voyais une forme de discrimination inacceptable - et j'ai toujours fait confiance en notre justice. Mon jugement a été altéré lors de l'invasion de Brainiac. Le désastre sur le port à emporté mon voilier, ce trésor acheté quinze ans plus tôt à bord duquel mes parents s'étaient naïvement embarqués. La douleur et la colère se sont naturellement dirigées contre notre ennemi et, durant quelques jours, contre tous les meta-humain. Aujourd'hui je me suis fait à l'idée qu'il y a des meta-humains parmi les dangereux, les bons, les puissants, les stupides, les jeunes et les victimes. Leurs natures sont comme nos origines : variées, riches, innocentes. Elles ne justifient pas leurs interventions, elles n'excusent pas leurs erreurs et n'amoindrissent pas leurs actes héroïques. Je m'efforce d'être objectif et intègre.
que pensez-vous des groupes tels que la ligue de justice, qui n'obéissent à aucune loi ? Puis-je vraiment les critiquer ? Je suis mal placé pour reprocher à des indépendants de se battre. Leur position est discutable mais j'ai conscience des intérêts que peut représenter pour eux cette liberté vis à vis de la loi. Ils s'exposent à tous les dangers légaux de notre système mais, personnellement, tant qu'ils œuvrent pour la paix et la sécurité des citoyens... je n'y vois aucun inconvénient.
l'humanité est-elle en mesure d'affronter toutes les nouvelles menaces se présentant ? Si on pouvait clairement estimer lesdites menaces en approche, je vous donnerais mon analyse. Malheureusement je ne saurai quantifier leur force, ni les comparer aux nôtres. L'humanité a tenu tête à bien des dangers, elle a toujours su se réinventer, se remettre en question, s'adapter...et désormais s'entourer d'alliés précieux aux capacités fantastiques. Je suis un optimiste, un battant, un humaniste. Je vais jouer franc jeu : ouais, je pense que nous avons nos chances face au merdier qui se présente.
Chou - Vic - 30 ans. pays : France. fréquence de connexion : Je passerai tous les jours. où avez vous connu que le forum ? de partenariat en partenariat. votre avis dessus : c'est beau, c'est vaste, je ne pouvais pas passer à côté. un dernier mot ? hâte !
Dernière édition par Victor McKenzie le Sam 7 Aoû - 21:26, édité 3 fois |
| | |
| Sujet: Re: Captain McKenzie ► Sur la grande bleue. Ven 6 Aoû - 18:10 | |
| Victor McKenzie citation Je débarque dans la vie de mes parents un soir d’été, alors que les températures estivales rendent l’atmosphère moite et étouffant. Un premier cri caractériel qui fait sourire ce couple modeste et heureux. Je bénéficie directement d’un cadre de vie idéal, de l’amour à revendre et des repères solides, tendres, sincères.
Malgré ce contexte enviable, je suis un garçon turbulent et plein de vie. Mes enseignants parlent d’hyperactivité pour les plus polis, d’autres évoquent de l’insolence. Légèrement abattu, mon père cherche à canaliser ce surplus d’énergie que je dépense sans réfléchir. Il essaye de me faire parler, dessiner, même pêcher… Alors attiré par cette belle bleue, je demande à m’en rapprocher. J’apprends à nager vers sept ans et à neuf ans je participe à mes premiers cours de voile. L’immensité océanique me fascine mais je ne l’envisage pas immédiatement comme un sujet d’étude, encore moins de travail.
Les années qui s’enchaînent ne m’assagissent pas. Je suis un adolescent bon vivant, rieur, fêtard. Je créé de belles angoisses à mes parents lorsque j’achète ma première moto ou quand je m’élance sur des courses navales loin de leur regard aimant. Malgré un parcours scolaire secoué par les réprimandes, mon entente avec les parents reste saine et bienveillante.
Puis je développe ces compétences. Mes capacités. Mon "pouvoir". Je suis grand et bien bâti, j’impressionne, ma voix grave interpelle et bientôt mes mots se posent avec justesse. J’apprends à doser, à mesurer le niveau de provocation dans mes propos et joue sur le côté négligé-charmeur qui me vaut mes premières conquêtes. Organiser mes idées et défendre mes opinions devient presque un passe-temps. J’en viens à préparer mes arguments par écrit, à synthétiser des avis pour savoir les déblatérer à mes éventuels adversaires ; Ces plaidoiries auraient pu me conduire dans des études de droit mais à l’heure de choisir une voie, je n’ai pas le niveau ni l’intérêt pour le juridique d’ailleurs. En revanche, une solution se profile. Un chemin tentant, presque évident quand je me renseigne : le journalisme.
La pratique de divers sports nautiques et les belles phrases sur le papier deviennent deux passions qui provoquent un combat logique : l’écologie marine. J’y vois plus qu’une cause à défendre, ça devient une véritable lutte à mes yeux car l’équilibre de notre nature – des Océans notamment dont je deviens presque spécialiste – est déjà malmenée par l’égoïsme humain. En devenant reporter, je me fais porte parole de cette Terre abîmée. Homme de terrain, je vais à la rencontre des écolos en tout genre et menace les grands pollueurs sans m’inquiéter de leur pouvoir. Un peu naïf au départ, trop entêté par la suite, j’ignore les quelques attaques de certaines industries aujourd’hui toujours mes ennemies. Mes ardeurs ne trouvent pas beaucoup de limites. Il y a bien sûr mes parents, qui s’appliquent à me freiner prudemment avant que je sois capable de comprendre qu’un peu de réflexion vaut mieux qu’une action mal construite.
Et puis il y a Tess, l’éditrice. Nous avons en commun l’amour de la nature, la passion de la presse, l’envie de belles choses. C’est d’abord de l’amusement, de la tendresse, de la légèreté. On ne veut rien s’imposer, tout partager. J’ai trente-cinq ans lorsqu’elle devient madame McKenzie et j’observe notre couple avec affection et appréhension mêlées. Je sais ce que mon épouse attend de moi : rester fidèle à mes convictions… tout en assouplissant mes méthodes. Je ne me suis jamais considéré extrémiste ni contestataire ; en revanche j’admets que mes engagements sont entiers. Je ne peux pas me battre pour cette Terre - et ses eaux - en restant immobile ou muet ! Alors je continue de dénoncer, de chercher l’information abjecte, le sujet explosif qui fera réagir. ... Et je trouve.
En 2012, une lectrice attire mon attention sur Ace Chemicals. Elle y travaille et souhaite, anonymement, me parler de pratiques ultra polluantes. Il ne m’en faut pas plus – vous pensez bien – pour creuser cette piste. Grâce à elle, nous rassemblons les preuves frappantes de ces produits que l’entreprise renvoient dans nos mers depuis ses usines. Je dépose le dossier sur la table de mes supérieurs, persuadé de tenir un gros titre ! Mon euphorie m’aveugle et je tombe de haut quand on me demande de me taire, de supprimer ces données. La tension monte avec la hiérarchie, avec Tess, aussi. Pour elle il n’est pas question de mêler le journal à ces histoires, la société visée est trop puissante et mes informations potentiellement surestimées. Sans son soutien, alors que nous attendons notre premier enfant, je décide sur un coup de tête de publier un article rédigé dans la nuit : tollé général. Les réactions sont celles que j’attendais. La dénonciation fait beaucoup de bruit et Ace Chemicals est sévèrement pointée du doigt. Certains de ses associés lui tournent le dos et ses actions en bourse chutent. De mon côté, tout éclate également. On m’applaudit dans certains bureaux, d’autres collègues m’insultent. J’ai soit disant placé le journal dans une posture délicate et bientôt mes propres employeurs s’allient à l’entreprise de produits chimiques pour m’attaquer en justice. Espionnage industriel, vol et exploitations de travail protégé, propriété intellectuelle violée… Les accusations sont nombreuses et je suis arrêté puis placé en détention provisoire dans l’ attente de mon sort.
Mais ce fameux article qui m’envoie derrière les barreaux me vaut une dernière carte. La popularité. Je m’estimais déjà connu comme un journaliste engagé, le procès qui suit la publication fait de moi une référence en matière d’écologie. Après plusieurs mois de privation de liberté, j’obtiens gain de cause au tribunal. Relaxé par le juge, je suis animé par une brutale envie de rattraper le temps perdu. D’abord avec mon fils. Né alors que je suis en prison, j’espère pouvoir devenir un père ultra présent. Je lui en fais la promesse… Et ne la tiens pas. J’ai trop envie de profiter de cette célébrité nouvelle pour faire avancer mon combat. Mes projets se multiplient et fonctionnent un peu partout auprès de mes associés. C’en est trop pour Tess. L’arrestation a craquelé nos derniers liens, elle attend ma libération pour entamer une procédure de divorce. En un sens, cette rupture est une émancipation. J’en profite pour m’investir totalement dans ce qui me fait avancer. Je quitte mon poste et suis en capacité de devenir indépendant. Plus encore, les dédommagements et intérêts touchés suite à mon injuste enfermement me permettent d’investir, de concrétiser une idée folle : acheter un voilier. Un grand, grand voilier battant pavillon "Sea Shepherd". Je deviens capitaine à la barre du somptueux BlackBeard, comme un pirate à l’assaut des polluants.
Renommé pour mes affronts et autres sabotages à l'encontre des baleiniers, chasseurs de coraux ou citernes dangereuses, je n'appâte pas seulement des activistes mais bientôt des politiques. Mon arrestation a marqué quelques esprits qui, à l'approche d'élections ou d'engagements stratégiques me sollicitent. Lorsque l'intervention me permet de faire de la publicité dans mes intérêts j'en profite sans rougir. Lorsque les yeux doux me sont fait sans que je ne puisse rendre l'entretien/la soirée/le dîner utile à Sea Shepherd, je ne rougis pas non plus pour décliner - publiquement si possible. Une idée chemine néanmoins dans mes pensées. Petit à petit, j'entends les avantages d'un mandat et prends conscience de mon réel potentiel d'électeurs. La balance penche toujours en défaveur d'une carrière politique, mais qui sait ce que l'avenir me réserve ?
L'an dernier, lorsque Brainiac a envahi ma jolie ville, une partie de moi s'éteint. Le petit voilier sur lequel j'ai tant voyagé est détruit, englouti par ma belle Bleue. Cet océan que j'ai toujours considéré comme un ami, une présence rassurante, certes colérique mais si attentive et généreuse ; cet océan m'a pris mes parents. Ils s'étaient réfugiés sur la petite embarcation pendant les sanglants évènements. J'étais au large puis, en venant prêter main forte aux secours, je n'ai pas immédiatement compris leur silence. Je n'ai pas voulu interpréter les signaux. Plus de voilier, plus de parents. La blessure est incurable mais le combat n'est pas terminé : la pollution est une ennemie vile et insonore tandis que le Monde continue de cracher les autres menaces. Il y a quelques mois seulement des identités secrètes sont révélées par les terroriste du groupe Le Peuple, c'est une nouvelle agitation qui ne freine en rien la progression des marées noires.
Aujourd'hui je suis partagé entre cet engouement sans faille en faveur de l'écologie, moi le fier chevalier adulé, et la pesante appréhension d'abord discrète, de plus en plus tenace qui murmure à quoi bon ? Si je fais en sorte de m'entourer des meilleurs - gérant les recrutements de l'équipage personnellement - si les démonstrations de soutien et d'admiration sont abondantes, il m'arrive de douter. De remettre en question ces interventions sauvages au nom de la nature qui ne nous sauverons jamais. Face aux immensités adverses, à la stupidité humaine et un certain fatalisme, j'avoue ressentir un peu de perplexité. Au fond, ces scrupules viennent probablement de ce que je n'ai pas pu accomplir pendant que je me déchaîne sur les mers. Une paternité médiocre, une vie de famille inexistante, une attitude émotionnelle discutable, un avenir personnel utopique... Ce sont ces pensées fades qui me poussent de plus en plus régulièrement à la bouteille ; N'ayez crainte, ce ne sont que des passades vite remplacées par la ferveur de ma flotte !
Dernière édition par Victor McKenzie le Sam 7 Aoû - 21:18, édité 4 fois |
| | |
| | | |
| | | |
| Sujet: Re: Captain McKenzie ► Sur la grande bleue. Ven 6 Aoû - 19:22 | |
| Bienvenue par ici Captain McKenzie. Bien hâte de voir ce que ta fiche nous réservera. Toujours plaisant d'avoir des nouveaux membres et en plus lorsqu'il s'attarde au scénario c'est top. Encore bienvenue. |
| | |
| | | |
| Sujet: Re: Captain McKenzie ► Sur la grande bleue. Ven 6 Aoû - 20:39 | |
| He hoy captain! Bienvenue parmi nous avec ce scénario tant attendu et si intéressant! J'espère que tu te plairas avec ce personnage du tonnerre. Avec Layla, tu es entre de bonnes mains Bonne chance pour ta fiche! |
| | |
| | | |
| | | |
| | | |
| | | |
| | | |
| Sujet: Re: Captain McKenzie ► Sur la grande bleue. Sam 7 Aoû - 22:39 | |
| célébrons la victoire! ✸ La première étape a été accomplie avec succès! Te voilà maintenant validé et cela te donnera un accès complet au reste du forum! S'ti pas beau tout ça hein? ✸ Si jamais ce n'est pas déjà fait, nous t'invitons vivement à lire le règlement, ainsi qu'à prendre connaissance du contexte (mais nous savons que tu l'as déjà fait), tout comme à lire les différentes annexes que nous avons concocté minutieusement et avec amour! ✸ Présentation terminée, il te reste une fiche générale à présenter: celle des liens et des rps! Cela reste facile, car en plus tu disposes d'un modèle tout beau et tout propre! Et si cela s'allie à ton personnage, tu auras même le privilège de le faire entrer dans le vaste monde des réseaux sociaux! Tout comme il pourra avoir son répertoire téléphonique! Ah, on te facilite tellement la vie, jeune padawan... ✸ Qui n'aime pas les profils tout beau et tout propre? Personne! C'est pour ça que nous t'invitons vivement à remplir les champs de ton profil pour que chaque membre puisse en connaître plus sur toi en un rien de temps! ✸ Les Etats-Unis sont tellement vastes et la population si variée... C'est pour cela que si tu envisages de créer un scénarios pour ton personnage, n'hésite pas à le faire et à engager le maximum d'informations pour que nous en sachions davantage sur lui! ✸ Tu vas sans doute penser que c'est pire qu'à l'école (tu ne peux pas savoir à quel point ), mais il est nécessaire que tu passes par nos registres, surtout si tu appartiens à une équipe, afin que nous puissions les tenir à jour! ✸ Nous te souhaitons de bien t'amuser parmi nous! N'hésite surtout pas à participer à nos jeux et à la partie flood pour encore plus de folie! |
| | |
| | | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |