gods among us
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal


Partagez
 

 destroy what destroys you (joker, flashback)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 

Jason Todd


Jason Todd

independent soul

Messages : 5500
Date d'inscription : 29/01/2017
Face Identity : Matthew Daddario.
Crédits : labonairs (avatar), Ventium ♥ (les bannières), signature (beylin), & renegade (montage)
blablalblalba
Age du personnage : trente années à écumer la ville du crime.
Ville : Gotham City.
Profession : Plus mercenaire que justicier, tu ne te considères pas comme un héros. Toi, tu n'hésites jamais à tuer.
Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins.
Compétences/Capacités : destroy what destroys you (joker, flashback) Xq1n

Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.

destroy what destroys you (joker, flashback) V9vb

Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi.
Situation Maritale : Célibataire.









destroy what destroys you (joker, flashback) Empty
MessageSujet: destroy what destroys you (joker, flashback)   destroy what destroys you (joker, flashback) EmptyMer 7 Mar - 14:21


Joker & Jason (flashback)

What doesn't kill me had better start running.


Les aiguilles se chevauchent sur la grande horloge de la ville, minuit sonne, l'heure du crime. La nuit est froide, aussi noire que le cœur des hommes qui habitent Gotham. Ta ronde ne fait que commencer. A vrai dire, depuis que Diana est à Themyscira, elle n'a jamais réellement cessée. Pour oublier, pour atténuer la douleur et le manque, tu arpentes les rues sans répit. Tu te bats jusqu'au lever du soleil, et ne trouve le sommeil qu'une fois épuisé par les coups et les blessures. Il se dit dans les bas quartiers que le Red Hood n'a jamais été aussi dangereux. Aussi sanguinaire. Et c'est vrai. Ta violence s'est accrue, ton humanité a été mise de côté. C'est une pente glissante, de laquelle tu ne cherches même pas à remonter. Tes bottes s'écrasent dans une flaque laissée par la pluie, et tu te retrouves au milieu d'un gang que tu ne connais que trop bien. C'est le sien. Celui de ton pire cauchemar. Tu les a suivi pendant des heures, et si tu n'as trouvé aucune trace de lui, tu sais pourtant qu'il n'est pas loin. Tes doigts s'agrippent à la gorge du premier d'entre eux. De ton autre main, tu sors ton arme pour exploser le crâne des trop impétueux qui osent s'approcher de près. Tu serres, dans ta rage, il ne parvient pas à se dégager de ton emprise. Il se débat, suffoque, à travers ton masque rouge, tu vois la panique gagner son regard. « Où est-il ? » Ils savent de qui tu parles, il se murmure depuis déjà plusieurs jours que tu es à ses trousses. Est-ce pour cette raison qu'il se cache ? Tu en doutes. Il n'a peur de rien. Il serait même assez fou pour se jeter dans ta gueule, rien que pour essayer de comprendre pourquoi tu en as après lui. Il n'y a aucune logique chez cet homme – chez ce monstre – , aucun instinct de survie. Tout n'est qu'un jeu. Un jeu morbide et macabre qui va bientôt prendre fin. Ta proie ne te dira rien, alors tu abrèges ses souffrances d'une balle en plein cœur. En espérant qu'il en ait toujours un. « Y a t-il quelqu'un qui va me dire où il se trouve ? » Ton ton est ferme, mais étrangement calme. Ce n'est qu'une illusion. A l'intérieur de toi-même, tout est en train de bouillir. Tu n'as plus de patience, elle est arrivée à son terme. Aucun ne se manifeste. Alors un à un, tu les exécutes. Lentement, pour laisser le temps à l'un d'entre eux de changer d'avis. C'est quand ils ne sont plus que trois à tenir debout que tu entends son rire raisonner dans la nuit. Tu le reconnaitrais entre mille, il est gravé dans ton esprit. C'est un traumatisme dont tu ne parviens pas à te défaire. Il apparaît, face à toi, vraisemblablement amusé par ce qu'il doit voir comme un spectacle. Il pense être le second acte, le tombé de rideaux. Mais il se trompe, tu n'es pas assez fou pour te laisser prendre au piège. Le gaz qu'il t'envoie s'infiltre à travers le masque. Saloperie, il va falloir songer à l'améliorer pour le rendre complètement hermétique. Tu tombes d'abord à genoux, puis au sol. Que la farce commence.

Quand il s'approche de ton corps étalé par terre, tu attrapes son col, et d'un coup de tête brutal contre son front, tu échanges vos places. Il s'écroule, tu te relèves. Ses poisons n'ont plus aucun effet sur toi, merci Poison Ivy, le marché valait le coup. Sans la moindre douceur, tu fais basculer son corps inerte par dessus tes épaules, et l'amène dans un lieu qui n'attendait plus que lui. Voilà plusieurs nuits que tu prépare la pièce qui lui servira de morgue. Tout a été minutieusement préparé pour que rien ne t'échappe. Le risque zéro n'existe pas, notamment avec un dangereux psychopathe comme lui, mais tu as minimisé les risques au maximum. Tu vides ses poches, sa veste, balance au loin tous ses grotesques gadgets, avant de l'attacher solidement à une chaise. Le hangar désinfecté est entièrement vide. Il n'y a que lui et toi, pour un face à face qui n'a que trop tardé. Patiemment, tu attends qu'il reprenne ses esprits. Tu as attendu si longtemps que tu n'es plus à quelques minutes. Il n'y a pas d'autre fin possible à cette histoire. Il t'a pris la vie, tu vas prendre la sienne. Et qu'importe ce que Bruce pourra bien penser de cet acte, il est temps que son règne s'achève. Quand ses yeux s'ouvrent, tu le fixes intensément derrière le masque, planté droit devant lui. Il a presque l'air inoffensif, attaché comme du bétail sur sa chaise, sans moyen de défense ou d’échappatoire. Mais tu ne sous-estimeras jamais un adversaire tel que lui. La folie est imprévisible. « La cinglée au bois dormant se réveille. » Contrairement à ce que tu t'es longuement imaginé, tu n'éprouves aucune peur face à lui. Juste une profonde colère que tu t'impatientes d'exprimer. Tu n'attends pas obtenir quoi que ce soit, sa mort sera déjà une bien ample satisfaction. Ce soir, tu es juge, jury et bourreau.
AVENGEDINCHAINS
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous


Invité

Invité










destroy what destroys you (joker, flashback) Empty
MessageSujet: Re: destroy what destroys you (joker, flashback)   destroy what destroys you (joker, flashback) EmptyJeu 29 Mar - 13:22

Destroy what destroys you

Flashback I

Ahh la nuit. Quel moment merveilleux! Gotham est encore plus belle et sombre quand on y voit plus clair. Quand les peurs prennent le pas sur la lumière. Les gothamites sains d'esprits le savent, mieux vaut ne pas trop traîner tard dans les rues. Au risque de tomber sur une mauvaise rencontre. Et il y en a beaucoup à faire par ici. Encore plus quand le Red Hood est de sortie.

Le Joker le sait, depuis quelques temps déjà, ce nouvel arrivant en ville le cherche. Il s'est même permis de porter son ancienne panoplie. Enfin, en tous les cas, de prendre son ancien nom. Et le masque, rouge, qui ne permet de voir le visage de celui qui se cache dessous. C'est étrange, intriguant même. Surtout qu'il semble lui en vouloir personnellement. Ce qui le rend curieux. Après tout, il en a des ennemis, beaucoup, la ville entière, l’Amérique même, mais qu'on le cherche à ce point. Quitte à tuer un à un tous ses sbires, c'est... et bien... surprenant.

La violence de cet homme ne rend clairement pas hommage à la chauve-souris qu'il porte sur son torse. A croire que le papa Batman n'a pas totalement bien fait son travail. De loin, il l'observe interroger les pauvres types sur qui il a mis la main. Il manque un peu de classe, ce n'est qu'une brute sanguinaire, sans doute avec un manque flagrant d'intelligence, mais puisqu'il le cherche avec autant de hargne, pourquoi ne pas lui faire, finalement, le plaisir de l'avoir en face à face?

Bon bien entendu, ce n'est pas non plus pour lui laisser lui refaire le portrait que le clown sort de l'ombre, son rire raisonne sur les parois. Il sait qu'il fait son effet, en général. Ce rire de dément, qu'il module à son bon plaisir d'ailleurs. S'il sort de l'ombre, c'est pour utiliser son précieux gaz sur l'énergumène qui l'oblige à devoir se retrouver des hommes une fois qu'il aura régler son cas. Mais il y a quelque chose d'étrange, le masqué ne rit pas. Après tout, ce gaz est fait pour mourir de rire, non? Il s'en approche, un peu plus méfiant, une moue intriguée, ce n'est pas normal. Pourtant, alors qu'il revoit dans sa tête la composition de sa dernière fournée, il n'a pas totalement le temps de tout comprendre qu'aussi vif qu'un chat, son ennemi se relève pour l'attraper. Dans son regard, on peut comprendre qu'il a compris qu'il s'est fait avoir, mais que pour le coup, il a un coup en retard. Et c'est le noir.

C'est la douleur lancinante à la tête qui finit par lui faire ouvrir les yeux. Les lumières des néons sont assez agressives, mais rien qu'il n'a pas l'habitude, en fait, tout ça le fait déjà rire. Même s'il n'est pas aussi puissant que tout à l'heure, le Joker rit, comme il l'a toujours fait, qu'importe la situation dans laquelle il se trouve. La vie est une blague. La voix de l'homme masqué se fait entendre, il relève son regard sur lui, un petit sourire en coin. Pas inquiet, alors qu'il sait très bien qu'il risque potentiellement de passer un mauvais quart d'heure.

- Oh! Enfin, nous faisons connaissance. Se redressant un peu mieux sur sa chaise, en secouant la tête comme pour se remettre les idées en place. Découvrant qu'il est ligoté solidement à la chaise sur laquelle il a été installé. Hum... tu sais recevoir. Ha ha ha. Un fan n'est-ce pas? Avec un grand sourire.

Ce n'est pas le genre du clown de s'étendre, en fait, s'il démarre la conversation, c'est surtout pour voir ce que veut l'autre. Ce qu'il lui veut. Sans doute pas du bien, mais encore?
Revenir en haut Aller en bas

Jason Todd


Jason Todd

independent soul

Messages : 5500
Date d'inscription : 29/01/2017
Face Identity : Matthew Daddario.
Crédits : labonairs (avatar), Ventium ♥ (les bannières), signature (beylin), & renegade (montage)
blablalblalba
Age du personnage : trente années à écumer la ville du crime.
Ville : Gotham City.
Profession : Plus mercenaire que justicier, tu ne te considères pas comme un héros. Toi, tu n'hésites jamais à tuer.
Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins.
Compétences/Capacités : destroy what destroys you (joker, flashback) Xq1n

Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.

destroy what destroys you (joker, flashback) V9vb

Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi.
Situation Maritale : Célibataire.









destroy what destroys you (joker, flashback) Empty
MessageSujet: Re: destroy what destroys you (joker, flashback)   destroy what destroys you (joker, flashback) EmptyMar 24 Avr - 11:19


Joker & Jason (flashback)

What doesn't kill me had better start running.


Ce rire, il intensifie le traumatisme. Tu revis la scène, celle qui s'est jouée il y a dix ans de cela, dans un entrepôt abandonné perdu au milieu d'un pays inconnu. Des os brisés. Le goût du sang dans la bouche. Presque impossible de bouger sans ces vagues lancinantes de douleur qui te donnent envie de hurler. Tu ressens tout intensément, comme si tu étais encore dans la pièce confinée, les poings liés, la corde rêche qui abime la peau de tes poignets. Son rire. Ce même rire qui raisonne cette nuit. Le fer qui s'abat sur tes muscles te brise chaque fois un peu plus. Pas seulement le corps, aussi l'esprit. Tu n'en veux pas à Batman de ne pas être là. De ne pas avoir pu te sauver. Non, c'est à toi-même que tu en veux, tandis que tu retiens tes hurlements. Tu as été stupide. Tu es tombé dans un piège. Bêtement. Négligemment. Comme un débutant. Tu es le seul responsable de cette boucherie. Pendant quelques secondes, ils gardent ses bras levés, un bref instant de répit, le pied de biche prêt à frapper une nouvelle fois, et c'est là que tu en profites pour te tourner vers lui. Ta joue se décolle du bitume, salie par ton propre sang, et tu lui souris. Il va peut-être te tuer, mais Bruce viendra pour lui. Il te vengera. Et son règne prendra fin. En faisant de toi sa nouvelle victime, il vient de se condamner lui-même à mort. Tu craches sur le sol. La barre de fer fend les airs pour trouver ton omoplate. Tu n'arrives pas à te retenir de hurler. Quand il en a fini avec toi, tes poumons sont affaissés, ta respiration est sifflante. Tes muscles sont atrophiés, tu peux à peine bouger. Tu vois la bombe, et le compte à rebours qui défile sous yeux à peine ouverts. Tu tentes de te relever, mais c'est impossible. Tu n'es plus capable de sauver ta propre peau. C'est terminé. Ainsi va se clore le chapitre. Aujourd'hui, tu vas mourir. Avec la vie que tu as mené, est-ce réellement étonnant d'être ainsi fauché en pleine jeunesse ? Tu n'espérais pas vivre un avenir paisible auprès d'une femme aimante. Ni avoir des enfants. Ton destin a toujours été de périr à la fleur de l'âge. Au moins espères-tu quitter ce monde en héros. Cinq. Est-ce que tu as été assez brave ? Quatre. Est-ce que tu as été le Robin qu'il attendait que tu sois ? Trois. Est-ce qu'il est fier de toi ? Deux. Est-ce que tu vas sombrer dans l'oubli ? Un. Pardon, Bruce.

Retour à la réalité. La douloureuse réalité. Quelques secondes avant que la faucheuse ne s'empare de ton âme, tu étais persuadé qu'il te vengerait, qu'il ne laisserait pas ta mort impunie. Qu'il ne le laisserait plus faire de mal à qui que ce soit. Et pourtant. Il est là, face à toi, plus souriant que jamais. Tu es mort pour rien. Le Joker, lui, est toujours en vie. Tu ne perds pas ton temps à écouter ses mots empoisonnés, et dans un coin de l'entrepôt, tu actionnes la bombe artisanale que tu as fabriqué. Le compte à rebours est lancé. Il ne reste plus que quinze minutes avant que tout ne parte en fumée. Lui le premier. Va t-il comprendre ? Se souvient-il seulement de toi ? Oui, comment pourrais t-il t'oublier. Tu as été son chef d'oeuvre. Il est parvenu à atteindre Batman plus que n'importe quel autre de ses ennemis. Il s'en est prit à sa famille, il l'a touché en plein cœur. C'est impossible que ton nom se soit effacé de son esprit malade. Tu as été bien trop important dans sa lutte acharnée contre le chevalier noir. « Ne te fie pas au masque. Ce n'est pas de l'admiration. C'est un but à atteindre. Et une façon de ne jamais oublier quel montre m'a créé. » Sans lui, il n'y aurait jamais eu de Red Hood. Et si Red Hood existe aujourd'hui, c'est uniquement pour exécuter les tarés dans son genre. Il est seulement le plus gros morceau d'une fricassée de psychopathes qui gangrènent ta ville. Ces quinze minutes avant l'explosion, c'est ton plaisir personnel. Ta propre vengeance. Quinze minutes pendant lesquelles tu vas pouvoir faire ce que tu veux de lui. Et pour commencer, bien évidemment, tu t'empares du pied de biche qui trônait dans un coin. « Je suis certain que ça va te rappeler quelques souvenirs. » Des souvenirs glorieux pour lui, terrifiant pour toi. Tu ne montres rien transparaitre sous le masque rouge, mais en plus d'éprouver la satisfaction d'enfin réussir à l'atteindre, il y a cette peur, infantile. Celle du Robin que tu fus. Tu lèves le bras et frappe le fer contre son épaule. Même s'il risque de refuser de te donner ce que tu veux, sa souffrance, tu ne sais que trop bien l'effet que ça fait. C'est comme un tremblement qui se propage dans tout le corps. Un muscle est touché, mais la douleur s'émancipe partout. Tu frappes une seconde fois, plus violemment encore, cette fois sur son genou. Dans quelques coups, ses os vont commencer à se briser. Ses organes vont lâcher. Et alors, le souffle de l'explosion pourra l'emporter. Et comme toi, personne ne viendra le sauver. Comme toi, il va mourir seul.
AVENGEDINCHAINS
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous


Invité

Invité










destroy what destroys you (joker, flashback) Empty
MessageSujet: Re: destroy what destroys you (joker, flashback)   destroy what destroys you (joker, flashback) EmptyMer 9 Mai - 15:09

Destroy what destroys you

La mémoire du Joker n'est clairement pas sélective, mais il faudra sans doute plus qu'un masque et ce qui va suivre directement pour qu'il se rappel de l'une de ses victimes. Surtout que pour le moment, il le croit encore mort. En tous les cas, il sent dans la voix étouffée par le masque, que cet homme lui en veut. Profondément. Ce qui ne l'étonne guère, qui ne lui en veut pas dans cette ville? A croire qu'il n'a que des ennemis. Il garde son sourire, même s'il est en très mauvaise position, il sait qu'il a une chance de cocu. Qu'importe ce qu'il lui arrive, il finit toujours par s'en sortir et cette chance, elle s'est fait connaître dès sa chute dans un bain chimique.

- Un but? Dépasser le monstre, ce mentor d'une vie? L'observant, presque taquin. C'est intéressant. Raconte-moi notre histoire, on a monté un coup ensemble et tu t'es senti trahi? Ou alors j'ai refusé ton invitation à une soirée?

Il a suivi du regard le Red Hood jusqu'à cette fameuse bombe, dont le décompte s'affiche sur un petit moniteur. Quinze minutes. Ça va être court. Bon, il est vraiment dans de beaux draps, mais pour le moment, rien ne montre que cela l'inquiète. Il cherche encore qui est ce "justicier" face à lui.

- Honnêtement, je pense que tu pourras battre ton monstre, tu es un tueur sanguinaire, je t'ai vu t'acharner sur certains des types que tu as poursuis. C'est marrant, vouloir faire régner l'ordre en abattant tes ennemis. Si tu espères que l'on tremble en entendant ton nom, je crois que pour la plupart ça marche. C'est ça que tu cherches?

Il hausse un sourcil en voyant le pied de biche dans la main de l'homme masqué. Oh... on en est là donc. Une bonne vieille vengeance à coup de barre de fer. Mais le Robin qu'il a eu sous la main, n'a pas été le seul qu'il a détruit ainsi.

Bien qu'il soit fou, le clown sait parfaitement que ça va faire mal. Aussi mal que quand Batman décide de le mettre K.O avec ses poings. Bon, ce sera un mauvais moment à passer. Heureusement que sa résistance à la douleur est d'un niveau élevée.

- Tu es bien présomptueux. Hahaha! Enlève ton masque, que je voie ton joli minois.

Bon avouons-le, le premier coup sur l'épaule ne manqua pas de lui faire mal. Mais il n'eut qu'un grognement de douleur. Et ce ne fût que ce que pu entendre le Red Hood de sa part. Oh oui, il a mal et ça se voit aux grimaces de douleurs sur son visage, mais au-delà de la douleur, il se marre, encore. Le jour où la Mort viendra le chercher, il sera encore en train de rire.

- Pas si mal le maniement du pied de biche, gamin. Crachant un peu de sang. Alors que le clown profite d'une pause, bienvenue. Mais c'est pas assez fluide encore et tu tapes comme une fillette. T'as peur de faire mal? Alors que tu fais le malin avec ton flingue?

Oui il prend de sacré risque à lui dire ce genre de chose, à chercher à alimenter la rage qui semble brûler chez son interlocuteur. Mais c'est en mettant les gens dans une colère noire, qu'on les pousse à faire une erreur. L'erreur qui pourrait bien être fatale, d'ailleurs. Car il ne lui faut pas grand-chose, pour pouvoir s'en tirer, il le sent, ses liens, lentement, se détende. Il a appris quelques tours, notamment celui de trouver le moyen de se détacher de liens un peu trop bien attaché.

Le roi de l'évasion, c'est lui.
Revenir en haut Aller en bas

Jason Todd


Jason Todd

independent soul

Messages : 5500
Date d'inscription : 29/01/2017
Face Identity : Matthew Daddario.
Crédits : labonairs (avatar), Ventium ♥ (les bannières), signature (beylin), & renegade (montage)
blablalblalba
Age du personnage : trente années à écumer la ville du crime.
Ville : Gotham City.
Profession : Plus mercenaire que justicier, tu ne te considères pas comme un héros. Toi, tu n'hésites jamais à tuer.
Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins.
Compétences/Capacités : destroy what destroys you (joker, flashback) Xq1n

Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.

destroy what destroys you (joker, flashback) V9vb

Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi.
Situation Maritale : Célibataire.









destroy what destroys you (joker, flashback) Empty
MessageSujet: Re: destroy what destroys you (joker, flashback)   destroy what destroys you (joker, flashback) EmptySam 23 Juin - 19:05


Joker & Jason (flashback)

What doesn't kill me had better start running.


Que cherchais-tu en te transformant en brute sanguinaire ? En exécutant tes victimes de sang-froid ? La question mérite d'être posée. Le respect ? La reconnaissance ? Si Batman a voulu instaurer la peur chez ses ennemis, toi, ce serait plutôt la terreur. Tu ne veux pas qu'ils te craignent, tu veux qu'ils soient terrorisés. Tu n'es pas avide de mort au point de vouloir les exterminer un à un sans répit. Si certains finissent par rebrousser le chemin du crime par crainte de tomber sur le Red Hood, pourquoi pas ? Ça resterait un criminel en moins dans ces rues. Mais le Joker, lui, tu sais que rien ne pourra jamais le faire changer. Qu'aucune chauve-souris, qu'aucune ombre ne pourrait l’apeurer. Il s'est enfoncé bien trop loin dans la folie pour ressentir une émotion aussi humaine que la peur. Il ne craint rien ni personne. Et surtout pas Batman. Leur relation te retourne l'estomac, tu pourrais vomir ton repas de ce soir rien qu'en pensant à ce lien particulier qui les unit. Tu n'es pas dupe, tu vois clair en leur petit jeu. Si le Joker est dans une telle merde ce soir, c'est parce que Bruce est trop lié à lui pour réussir à simplement l'exécuter. Il préfère sacrifier des innocents sur l'autel de leur écœurante relation. Pour quelles raisons ? Tu n'as jamais eu la force de te pencher sur la question. Il aurait dû te venger. Il aurait dû mettre un terme à sa misérable et pathétique existence après t'avoir déposé six pieds sous terre. Mais il n'a rien fait. Rien du tout. Le monstre respire toujours. Le monstre n'a même pas été inquiété. « Il n'y a que ça que vous comprenez, la violence et la mort. C'est la seule façon de vous arrêter. » A quoi bon les mettre en prison pour les voir sortir quelques mois après ? La corruption gangrène cette ville. Il n'y a plus d'hommes fiables à Gotham. Tous peuvent être achetés par n'importe lequel de ces truands. Ils ne t'ont pas laissé le choix. La mort est définitive, implacable. Ainsi, tu es certain qu'ils ne recommenceront jamais.

Tu savais déjà qu'il ne te ferait pas le plaisir de hurler. Tu savais que seul son rire raisonnerait. Malgré sa position de faiblesse, il cherche un moyen de s'en sortir. Et quel meilleur moyen que de te pousser à la faute ? Tu connais ses provocations, tu connais cette façon qu'il a de vous pousser dans vos derniers retranchements. Mais même si tu as parfaitement conscience de tout ça, tu n'en reste pas moins un homme écorché, traumatisé. Et quand il s'agit d'affronter son passé, il n'y a plus de règles, seul l'émotionnel est de mise. Il t'incite à frapper plus fort, alors tu le fais. Tu frappes de toutes tes forces, brise ses os autant que tu le peux. Mais il ne se tait pas. Même dans tes cauchemars il ne se tait jamais. Violemment, tu fais basculer la chaise pour qu'il tombe en arrière sur le sol froid. Ta botte vient s'écraser sur sa cage thoracique, le priver d'air pour qu'il se taise. Tu ne peux pas le détruire psychologiquement, il ne reste plus rien de sensé chez cet homme. Il n'est plus humain, rien ne pourrait l'atteindre. Alors il ne te reste qu'à l'anéantir physiquement. Le compte à rebours défile. Les minutes s'écoulent. Tu n'as plus beaucoup de temps pour accomplir ta vengeance. Tu te penches vers lui, assez près de son visage pour y voir les abysses dans son regard. « Contemple ton œuvre inachevée. » Tu ôtes le masque. Tu te révèles à ton tortionnaire. Mais cette fois-ci, vos rôles sont inversés. Tu n'es pas certain qu'il te reconnaisse, ou qu'il te fera le plaisir de l'admettre, mais tu plonges malgré tout tes yeux dans ses iris aussi noirs que son âme. Ce chef d'oeuvre manqué. La rature sur l'exploit de sa vie. « Tu m'as peut-être brisé les ailes, mais ça n'a pas été suffisant. » Robin n'existe plus, c'est quelqu'un de complètement différent qui se dresse devant lui aujourd'hui. L'oiseau rieur s'est transformé en rapace. Et entre ses serres, le responsable du carnage.
AVENGEDINCHAINS
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous


Invité

Invité










destroy what destroys you (joker, flashback) Empty
MessageSujet: Re: destroy what destroys you (joker, flashback)   destroy what destroys you (joker, flashback) EmptyVen 6 Juil - 20:32

Destroy what destroys you

Ah ça, la violence, c'est sans doute le seul moyen de se faire comprendre. Et encore, le Joker n'est pas vraiment sensible à grand-chose. Parce qu'il ne prête aucune attention aux émotions humaines. Il ne les comprend même sans doute pas complétement, parce qu'il s'en moque. Il vit dans son propre monde, à quoi bon s'encombrer de choses qui ne manquent pas de vous pourrir la vie? Lui est libre et ça lui convient parfaitement ainsi.

- Et tu te crois donc au-dessus de nous ainsi? Tu es pareil, voire pire, parce que tu penses le faire pour la bonne cause, alors que tu utilises les pires moyens. Mais j'aime ça.

Terminant dans un rire. Lui ce qu'il veut, c'est ébranlé le fou furieux qui est face à lui et qui ne manque pas de le tabasser avec force. Le métal qui s'écrase à chaque fois sur sa peau, ses os, ne manque pas de se faire sentir, sans doute a-t-il quelques os brisés, mais il sait qu'il s'en remettra, comme toujours. Il ressent à toute la force que met son assaillant qu'il y a de la haine, de la rage chez lui, contre sa personne. Il se demande qui peut bien être ce type. Oui c'est une façon comme une autre d'éviter de ressentir trop la douleur, se poser des questions.

Il grogne alors qu'il se retrouve jeter au sol avec force. Tellement fort qu'un bruit de craquement se fait entendre, mais est-ce encore des os ou la chaise qui vient de se fendre. Pas le temps de trop y réfléchir, l'homme se penche sur lui, lui coupe la respiration. Une moue se fait sur le visage du clown, il ne fait pas autant le malin qu'avant, après tout, on peut n'avoir peur de rien, il n'est pas aussi fou, quand il ressent vraiment le danger, surtout avec la bombe qui risque de sauter d'une minute à l'autre.

- Une œuvre inachevée... tu... me rends... curieux... l'ami. Son souffle est difficile, entre le pied et sans doute les côtes cassées... mais il continue de sourire, il ne lui montrera jamais, ses possibles inquiétudes.

Le masque tombe, le regard noir de son adversaire se plante dans le sien. Il ne le reconnait qu'après quelques secondes et ses sourcils se lèvent de surprise.

- Toi?

Mais il est mort, ce Robin est mort, il le sait!

- Tu as trouvé la fontaine de Ra's coquin! Il ne va quand même pas croire aux fantômes, ce n'est pas son genre. Non, il explose de rire. Et dire que Batman s'est fait un sang d'encre, comment a-t-il réagi? Dis-moi? Une quinte de toux le prend un instant et il crache un peu de sang. Ou alors il joue la comédie, d'un mouvement brusque, sa tête remonte vers celle de Jason pour fracasser son front contre le sien.

Ce n'est pas le genre du clown de rester inactif, surtout si on lui donne la possibilité de bouger. Bon, il n'est pas aussi puissant que le Red Hood et se retrouve à moitié sonné par le coup, mais le choc a été rude aussi pour l'autre, il le sait et vif comme un chat, il profite de la faiblesse de la chaise pour arracher ses liens, tant pis pour les douleurs et se relever avec une grande difficulté, se tenant un bras ballant qui ne veut plus répondre. Cassé.

- Hahahaha!

Il part alors rapidement en direction de ses affaires jetées plus loin, le but étant de se trouver une arme pour se défendre et surtout, filer, il doit filer. Parce qu'il le sait, cet homme revenu des morts, ne le laissera pas vivre. Il l'a parfaitement lu dans ses yeux et ne soyez pas étonnés mais... le Joker estime qu'il a encore beaucoup de chose à faire ici-bas.
Revenir en haut Aller en bas

Jason Todd


Jason Todd

independent soul

Messages : 5500
Date d'inscription : 29/01/2017
Face Identity : Matthew Daddario.
Crédits : labonairs (avatar), Ventium ♥ (les bannières), signature (beylin), & renegade (montage)
blablalblalba
Age du personnage : trente années à écumer la ville du crime.
Ville : Gotham City.
Profession : Plus mercenaire que justicier, tu ne te considères pas comme un héros. Toi, tu n'hésites jamais à tuer.
Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins.
Compétences/Capacités : destroy what destroys you (joker, flashback) Xq1n

Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.

destroy what destroys you (joker, flashback) V9vb

Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi.
Situation Maritale : Célibataire.









destroy what destroys you (joker, flashback) Empty
MessageSujet: Re: destroy what destroys you (joker, flashback)   destroy what destroys you (joker, flashback) EmptyMer 22 Aoû - 18:41


Joker & Jason (flashback)

What doesn't kill me had better start running.


Tu ne prétends pas être un héros, loin de là. Les reproches que te fait Bruce tu les entends. Mais tu fais délibérément le choix de ne pas les écouter. Tes mains sont rouges du sang de la vermine de Gotham. Leurs corps sont criblés de tes balles. Ce n'est pas l'idée qu'on se fait de la justice, mais c'est la tienne. Radicale et expéditive. Le clown se trompe. Tu mesures amplement les conséquence de tes actes, et rien ni personne ne t'empêchera jamais de protéger ta ville à ta façon. C'est ta loi. Tes règles. Est-ce que ça fait de toi l'un d'entre eux ? Est-ce que tu t'abaisses aux criminels que tu t'es juré d'éliminer ? Peut-être. Peut-être pas. Tu ne te poses pas ce genre de questions, et tu ne laisseras pas le Joker s'insinuer dans ton esprit. Tu sais qui tu es, tu sais ce que tu vaux, et même si Bruce répugne tes méthodes, il ne peut nier leur redoutable efficacité. Ce n'est qu'une question de mathématique finalement. Gotham n'est pas une Hydre, il suffit de couper plusieurs têtes en même temps. Comme tu ne trouveras aucune peur dans le regard du Joker, tu prends plaisir d'une autre façon. Le son métallique de la barre qui brise ses os. Le sang qui gicle de ses blessures. Même s'il ne montre rien, la souffrance est inévitable. Ce sont des détails auxquels il faut prêter attention. Sa respiration sifflante. Sa voix cassée. Certains membres tordus. Cet homme est fou. Tous t'auraient déjà supplié d'arrêter. La douleur est intolérable, tu la connais, tu la ressens encore parfois au plus profond de toi-même. Personne ne peut y résister. Mais lui, il rit encore. Jusque dans la tombe, six pieds sous terre, il rira.

Il te reconnaît. Evidemment, comment aurait-il pu t'oublier. Ce coup magistral pour achever Batman a probablement été un tournant dans leur querelle. Tu ne lui réponds pas. Tu ne lui racontes pas ton histoire. Qu'importe la façon dont tu as été ramené à la vie, tout ce que tu veux qu'il sache, c'est qu'il a échoué. Et que tu n'auras de répit qu'une fois ta vengeance accomplie. Ton cœur bat furieusement. Tu approches du but. Enfin tu vas pouvoir laisser ce passé macabre derrière toi. Mais l'euphorie te rend négligent. Tu commets des erreurs. Des erreurs qui pourraient te coûter cette belle prise. Le coup qu'il t'assène te prend par surprise, et tu recules en grognant de douleur et de colère. Il est fou, mais diablement futé. Il ne lui faut pas plus de tes quelques secondes d'inattention pour se libérer de ses liens. Tu sais qu'il n'ira pas loin, il est bien trop amoché pour t'échapper, mais tu n'as plus l'avantage. Ton plan vient de prendre un tournant inattendu. Et laisser au Joker le temps d'improviser, c'est très très risqué. Il cherche une arme, mais tu tires la tienne de ta ceinture bien plus rapidement. Ainsi amoché, il ne peut rien faire contre toi. Tu le repousses d'un coup de pied, lui fait perdre l'équilibre. Son crane est dans ton viseur. Tu n'as plus qu'à tirer. « Une dernière volonté ? » Non, tu ne lui feras pas ce plaisir. Tu n'as plus envie d'entendre sa voix, son rire maudit. Ton doigt glisse sur la gâchette. Et...

L'irruption de plusieurs hommes t'incitent à changer de cible. « Merde ! » Ses sbires, ses pantins ont fini par retrouver sa trace. Comment ce taré peut-il encore avoir du soutien ? Tu tires sur la première ligne. Plusieurs tombes comme des mouches. Mais rapidement, il te faut te mettre à l'abri pour éviter leur riposte. Une balle t'effleure la jambe, juste avant que tu ne retournes une lourde plaque de métal pour te protéger des tirs. Au fond du hangar, tu les observes lui venir en aide. Ta colère est lancinante, vertigineuse. Il va t'échapper. Il te reste un dernier espoir. Tu fermes un œil et vise la bombe posée sur une table à l'autre bout de la vaste pièce. Boom. Tu te caches sous la plaque pour te protéger de la déflagration et des débris. Est-il mort ? A t-il survécu ? Tu vois plusieurs cadavres brûlés sur le sol. Mais tu ne prends pas le temps de vérifier, certains s'en sont probablement tirés et attendent que tu t'approches pour t'abattre. Tu fuis par la porte, la rage au ventre et l'envie de hurler dans la nuit noire.
AVENGEDINCHAINS
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous


Invité

Invité










destroy what destroys you (joker, flashback) Empty
MessageSujet: Re: destroy what destroys you (joker, flashback)   destroy what destroys you (joker, flashback) EmptyVen 24 Aoû - 23:42

Destroy what destroys you

Bien sûr, bien sûr. Personne ne veut jamais parler longtemps avec lui. Pourquoi? Il sait parfois tenir la conversation, se montrer intéressant comme interlocuteur. Non? Le Red Hood a l'air d'estimer qu'il ne mérite aucune réponse de sa part. Pourtant il a gagné, puisque le Joker est à sa merci et qu'il ne semble pas être en moyen de faire quoi que ce soit. Mais il a peut-être peur de lui donner trop d'informations ou trop d'importance. Il hausse les sourcils, il demandera à Batman, intéressé de voir sa réaction. Il risque de perdre ses nouvelles dents, il le sait, mais il adore jouer avec le feu, surtout quand ce feu concerne la chauve-souris.

Ah oui, il garde l'espoir de pouvoir s'en sortir, même si pour le coup, il est vraiment mal barré. Car cet homme revenu d'entre les morts veut sa peau. Pas de doute là-dessus. Vu comment il le frappe, ses armes, la bombe, rien n'est laissé au hasard. Sa mort est programmée. Bon c'est compréhensible qu'il ait une petite dent contre lui après ce qu'il lui a fait. Mais n'est-il pas revenu à la vie? Pourquoi garder ainsi une rancœur? Hum? Ces héros... ils ne savent jamais poser les armes. Quel dommage.

Bien sûr... vu son état, difficile de faire quoi que ce soit. Si son cerveau répond encore assez bien, ce n'est pas tellement le cas du reste de sa personne. Jason a tapé fort, très fort même. Il a fait son malin, mais il souffre, ses nombreux os cassés ne lui laissent pas vraiment le temps de respirer correctement et dans une grimace il se retrouve bien rapidement à terre, repousser du pied par le justicier. Décidément... il lève une main devant lui, comme si cela allait réellement le sauver d'une balle dans la tête. Si proche de la Mort, il ne voit rien, pas de vie qui défile devant ses yeux ou quoi que ce soit du genre. Il ne sait pas s'il a peur d'un coup ou s'il est en paix avec lui même. Une dernière volonté? Son sourire s'agrandit, il partira dans un rire, parce que jamais personne n'obtiendra quoi que ce soit d'autre de lui.

Mais le clown a une bonne étoile. Quoi qu'on en dise. Il y a toujours un moyen où il s'en sort, surtout quand il n'est pas face à Batman qui ne sait pas comment mettre un terme à sa vie. Voilà que ses hommes l'ont retrouvé. Pour une fois qu'ils servent à quelque chose ceux-là! Et tant mieux, ils détournent l'attention de son bourreau. Il recule rapidement, enfin aussi rapidement qu'il le peut. Quelqu'un l'attrape alors par le col, sans qu'il ne sache qui cela peut-être et le sort du hangar. Enfin... presque... ils sont soufflés tous les deux par l'explosion hors du bâtiment.

Avec d'autres os cassés, mais finalement en un seul morceau, les survivants attrapent leur chef pour le balancer dans une voiture et filer dans la nuit. Il ne faut surtout pas que le Red Hood ne les suive et ne les rattrape. Ce serait vraiment trop con de se rater si près du but. Quant au Joker, se sachant en sécurité, il rit, sans doute pour laisser passer un peu sa nervosité, mais jamais personne n'osera lui poser la question. Les balles partent si vite parfois.

Et finalement, c'est son corps qui décide qu'il est temps de tout mettre sur off. Au moins jusqu'à ce qu'il soit soigné.

Encore une fois, merci bonne étoile.


- Fin du flashback -
Revenir en haut Aller en bas



Contenu sponsorisé












destroy what destroys you (joker, flashback) Empty
MessageSujet: Re: destroy what destroys you (joker, flashback)   destroy what destroys you (joker, flashback) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
destroy what destroys you (joker, flashback)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Et mer...... [Joker]
» Who are you ? Ft Rachel [Flashback]
» The rebel club ● ft JB (FLASHBACK)
» anatomy of a tragedy (flashback, ORM)
» Nobody likes a sad clown. [Ft. Ace - FLASHBACK]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
gods among us :: limbo :: archives :: les rps terminés-