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 As long as you have each other, you have your family and your are home (Solo / u.c.)

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MessageSujet: As long as you have each other, you have your family and your are home (Solo / u.c.)   As long as you have each other, you have your family and your are home (Solo / u.c.) EmptyDim 12 Mai - 23:35

Personal development
As long as you have each other, you have your family and your are home.
Le bruit de l’explosion juste avant le silence. Juste avant que son cœur ne s’arrête. Combien de temps ? Impossible à dire. Quelques secondes surement. Peut-être bien qu’il a recommencé à battre juste pour louper un battement en voyant Bruce sombrer. Puis un second. Puis un troisième. Et la rage a envahi son cœur. Et tout est devenu noir. Jusqu’à ce que Cat le pousse. Et ne soit blessée, pour le sauver. Tout en lui rappelant à quel point elle les haïssait tous les deux. Damian a accepté cette haine, parce qu’il la méritait. Mais il était incapable de laisser encore quelqu’un mourir. Le reste est assez flou. Mais quand il s’est retrouvé au manoir, la seule chose qui s’est imposée à lui c’était cette violente envie de partir. De quitter Gotham. Loin. Le plus loin possible. Il a détesté Cassandra pour avoir laissé arriver une telle chose. Pour l’avoir blâmé d’avoir semé des cadavres. Il n’a pas écouté les conseils bienveillants et empathiques d’Alfred. Il s’est enfermé dans sa chambre puis finalement a fait sa valise.

Mais il n'a pas quitté la ville. Il est allé là où il va toujours lorsqu'il se sent blessé, perdu, acculé. Pour ne pas perdre à nouveau le contrôle. Pour ne pas tomber entre les griffes de Talia. Pour prendre le temps de réfléchir à tout ça. Il est arrivé à la tour détruit. Ravagé par la douleur, par la colère et par l'incompréhension. En proie à une agitation violente qu'il a eue bien du mal à contenir pour avoir un discours fluide. Pour lui annoncer les choses un peu trop abruptement. Pour se perdre dans ce récit empli de violence et de mort. Parce qu'il n'a pas su s'arrêter. Comment l'aurait-il pu dans ce contexte ? Il a déjà du mal à se contrôler lorsqu'il arpente les rues de Gotham alors, là... dans cette situation... C'était impossible. Aussi immoral et punissable cela puisse-t-il être, c'était irrépressible. Tout comme le flot de ses paroles qui ne semblait ne pas pouvoir s'arrêter. Jusqu'à ce que finalement, il n'ait plus rien à dire. Et que le silence s'installe. Et qu'ils aillent se coucher, tous les deux. Damian avait apprécié le silence. L'absence de jugement. Il s'avait exactement ce que Barbara pensait de tout cela. Et en cet instant, il n'avait pas besoin d'une énième leçon de morale. Il avait juste besoin d'une présence. Une fois isolé, Titus étendu sur le côté du lit, Alfred étendu en travers de son torse, il est resté immobile à fixer le plafond.

Impossible de changer. Voilà tout ce qu'il pensait. Voilà tout ce qu'il semblait être. Condamné à être ce gamin incontrôlable sujet à ses pulsions colériques. Avant de se rappeler de toutes ces conversations. Zatanna. Barbara. Dick. Et probablement d'autres encore. Qui l'aident à essayer d'y voir plus clair. Qui essaient de lui proposer des options. D'autres chemins. Sans le forcer. Lui laissant le temps de découvrir de faire ses propres erreurs. Et d'imaginer un monde différent. De se rappeler d'un monde différent. Un monde où il appartenait à une famille. Une famille qui ne le jugeait pas, qui l'aimait. Et qu'il aimait aussi. Peut-être avait-il juste besoin de ça. De plus de gens sur lesquels pouvoir s'appuyer. De plus de raisons de faire quelque chose de différent. D'une véritable raison de changer. Bien sûr, le regard de Barbara était déjà motivant mais... il y avait tant de choses qui contrebalançaient. Qui le poussaient en dehors de ses limites. La balance n'était pas équilibrée. Allongé, là, à fixer le plafond, voilà à quelle conclusion il est arrivée : un meilleur équilibre. Voilà ce dont il avait besoin. Un meilleur équilibre et un havre de paix. Un endroit où il se sentirait bien. Où il se sentirait chez lui. Cela ne voulait pas dire qu'il renoncer à cette famille qui était la sienne. Juste qu'il avait besoin d'un parachute, pour ne pas s'écraser. Pas encore. Pas comme ce soir-là.

Alors il s'est levé, a ramassé ses affaires et est sorti de l'appartement sans un bruit, Alfred calé dans son sac à dos de voyage, Titus sur les talons, affaires sur une épaule. Il a déposé le chien et le chat dans une pension qu'il connaissait déjà, sans vraiment de respect pour l’heure tardive et le sommeil de propriétaires grassement payés en compensation. Puis il a gagné l'aéroport, discrètement. C'est assez déconcertant la facilité avec laquelle un enfant de 13 ans a pu acheter un billet d'avion et partir. Quelques papiers photocopiés, une signature imitée et un guichetier fatigué, peu désireux d'argumenter quoi que ce soit. Quelques dollars en plus au cas où et Damian embarquait dans un avion pour la Russie, sous une fausse identité, capuche tirée sur le visage et tête penchée pour les caméras. Juste au cas où quelqu'un d'autre que Barbara aurait la curiosité d'aller pirater le système de surveillance de l'aéroport. Mais bien sûr, si quelqu'un se demandait où il était, probablement qu'on le penserait retourné dans les jupes de sa mère. Et cela lui allait très bien. Il avait besoin de temps et de discrétion. Parce que ce qu’il voulait faire ne devait pas attirer l’attention, pour le moment. Plus tard, les jumeaux choisiraient de se dévoiler, ou non. Mais pour le moment, il préférait que tout cela reste secret. Les deux russes allaient avoir besoin de temps pour s’adapter à leur nouvelle vie et pour apprendre l’anglais également. Le voyage paru durer une éternité, teintée d’impatience et d’inquiétudes.

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Une fois sur le sol russe, il ne fut pas difficile pour lui de s’évanouir dans la nature, après avoir abandonné ses affaires dans une consigne. Subtilisant quelques vêtements, il se changea et se fondit au paysage de la ville. Toujours attentif à se dissimuler au plus possible. Des années d’entraînement à la ligue des assassins, il était plutôt facile pour lui d’être discret. Parvenir à l’orphelinat ne fut pas difficile non plus : il se souvent de ces rues, des chemins, des raccourcis. L’homme engagé pour lui servir de couverture, lui, ne se dissimulait, marchant au grand jour. Badinant çà et là, pour laisser à Damian le temps de retrouver les jumeaux et de leur parler. Hors de question de se servir d’un adulte s’ils ne souhaitaient pas le suivre, n’est-ce pas ? Et soudain, la bâtisse est là. Des briques blanches et cette architecture si spécifique, si particulière du pays dans lequel il se trouve : des tours dont les toits arrondis sont colorés. A la fois fière et délabrée. A la fois imposante et ternie par les années. Après un périple facile, Damian reste là. Il l’observe. Il la redécouvre. Identique à celle dont il se souvient. Le sentiment de plénitude qui l’envahit est doux, agréable. Il est… apaisant. Car oui, ici, il se sent chez lui. Bien que dans cette réalité, il n’ait jamais appartenu à la bande d’orphelin.

Il se souvient du paradoxe temporel. Il se souvient de cette réalité, où il a appris à marcher sur ces pavés inégaux qu’il souligne d’un regard amusé. Il se souvient du nombre de chute impressionnant qu’il a fait parce qu’il se prenait les pieds dans les pavés dépassant. Il se souvient s’être cogné tant de fois. Mais chaque chute, chaque bosse, chaque bleu l’avaient rendu plus fort. Il sourit un peu. Il se souvient des premiers pas dans la rue, des longues heures passées à apprendre à faire les poches des gens avec cette veste sertie de clochette. Encore et encore. Jusqu’à ce que plus aucune clochette ne sonne lorsqu’il passait sa main dans une poche pour en sortir un portefeuille. Il se souvient de ses premiers jours d’école. Et des devoirs qu’il faisait ici, aidé des plus grands. Et il se souvient des disputes entre les orphelins. Il se souvient d’avoir pris une place, progressivement, cette place si particulière qui lui permettait de faire cesser les cris et les affrontements entre les enfants. Parce qu’ils étaient ensemble dans cette galère. Ils partageaient la même misère. Il se souvient des histoires d’horreurs racontées par les plus vieux. De la planche de ouija ramenée par l’un d’eux pour leur faire peur. Damian sourit un peu. Ce qu’ils avaient pu être naïfs… Maintenant, il sait. Les démons existent réellement. Les fantômes aussi. Même si cela ne fonctionne pas forcément pareil que dans les films. Il se rend compte que dans l’autre réalité, ils avaient été très chanceux. Insolemment chanceux.

Et avant qu’il n’ait réellement bougé, plongé dans ses souvenirs, une voix s’élève à sa droite, le tirant de sa rêverie. « Il t’en aura fallu du temps pour revenir… Où étais-tu passé Damian ? » la blondinette s’avance, sourire malicieux aux lèvres. Elle a bien tenté de lui faire les poches, mais celles-ci sont vides. Damian n’est pas idiot. Se balader dans ces rues nécessite quelques précautions qu’il a prises, bien entendu. D’ailleurs, alors qu’elle ressort sa main, les doigts du garçon se resserrent sur son poignet, le serrant avec une certaine douceur. Malicieuse, elle sourit et dit : « Tu étais le meilleur d’entre nous… je vois que cela n’a pas changé ». Peut-être même est-il encore meilleur. Formé par les meilleurs, pour faire des prouesses physiques et stratégiques. Il regarde son aînée. Elle ne l’a pas oublié. Elle se souvient. Elle pose sur lui ce regard dont il se souvient. Empli d’affection et de bienveillance. Il se redresse un peu et relâche son poignet tout en disant : « J’étais perdu… ». Il la contemple. Et demande : « Où est ta moitié ? ». Après tout, l’autre jumeau n’est jamais très loin de sa sœur. Surtout lorsqu’elle s’avance vers le danger d’une certaine façon. Damian aurait pu être différent. Agressif. Même si sa présence ici semblait effectivement dénoter d’une mémoire retrouvée et d’une volonté de retrouver ses amis. « Damian, perdu… Cela ne semble pas envisageable… ». Pour simple réponse, le brun surgit derrière la blondinette. Il pose sur Damian un regard un peu méfiant. Et Damian ne peut pas lui en vouloir.

Il se décolle définitivement du mur, et parce que des enfants  - qu’il ne reconnaît pas – sortent de la bâtisse pour jouer, Damian propose : « Marchons ». Il les entraîne dans les rues et tout en vérifiant que personne ne laisse traîner d’oreille indiscrète, il demande : « Vous vous souvenez de tout ? ». Son russe est parfait, bien qu’il ne l’ait pourtant jamais appris dans cette réalité. Souvenir de la vie menée dans le paradoxe temporel. La jeune fille acquiesce. Son frère lui, passe une main arrière de sa nuque. Des paroles de la Lilia, il comprend que c’est grâce à elle qu’il s’est souvenu. Et bien sûr, tous les deux ne savent pas comment ou pourquoi c’est arrivé. Alors Damian le leur explique, sans rentrer dans les détails. Il leur parle d’un speedster ayant remonté le temps pour changer une catastrophe survenue. Il détaille comment les choses ont dérapé et comment elles sont revenues à la normale. Lilia le regarde et dit : « C’était… tellement différent. Ici et maintenant, les choses sont plus difficiles ». Damian grimace un peu. Il sait qu’il a mis du temps à venir et même s’il sait que ce n’est pas un reproche, il s’en veut un peu. Il la regarde simplement et finit par dire : « Je pourrais vous proposer autre chose. Une vie différente. Ailleurs ». Lyov penche la tête, et s’arrête, toujours méfiant. Damian le regarde et se contente de lui sourire un peu en ajoutant : « Je sais. Mais je t’assure que je ne vous veux pas de mal. Je ne suis pas tout à fait le même mais… je ne suis pas si différent que le Damian dont vous vous souvenez ». Irrépressible envie de liberté. Fort caractère. Impulsivité. Il prend le temps de leur expliquer. Qui il est. D’où il vient. Et ce qu’il a à leur proposer. Une vie à Gotham. Dans une ville bien plus dangereuse que Moscou. Bien plus sombre. Et plus il parle, plus il se rend compte que ce qu’il décrit ne donne pas envie. Mais il se doit d’être honnête. Il ne dit pas tout. Il ne parle pas de Robin. Parce qu’il est trop tôt. Lui aussi est méfiant. Ils continuent à marcher dans les rues. Et à chaque fois qu’il en a l’occasion, Lyov plonge une main dans une poche, sort un portefeuille, le temps à sa sœur qui récupère les billets et la monnaie avant de le jeter. Et Damian, sans préoccupation pour une quelconque morale en fait de même. Lilia est au milieu des deux garçons, remplissant ses poches de leurs prises un sourire aux lèvres, posant des questions à Damian qui se plie à l’exercice de répondre à la jeune fille avec toute la patience dont il dispose. Le jeune Wayne montre patte blanche. Leur périple les amène jusqu’à un parc. Et Lilia va jusqu’à un banc s’y installant, en tailleur, regardant les deux garçons qui restent debout, devant elle.

« Et pourquoi devrions nous te suivre ? Pourquoi ne resterais-tu pas ici ? ». La question est justifiée. Et Damian y a déjà songé plusieurs fois. Il le pourrait. Mais pour le moment, il ne peut s’y résoudre. « Parce qu’il a une famille. Personne ne nous retient ici… si nous partons tous les deux ». Une ville ou une autre, cela ne semble pas faire de grande différence pour la jeune femme. Son frère, lui, est plus méfiant, plus distant. Il ne souhaite pas forcément quitter l’orphelinat. Même s’il n’a pas forcément d’attache avec les autres orphelins, il s’est habitué à sa vie ici. Il en connait les enjeux, les risques. Et il se sent chez lui. Il ne souhaite pas forcément quitter cet endroit. Ils sont les plus vieux, et même si dans une autre vie Damian était en quelque sorte leur chef, il devrait se plier un peu à la majorité pour une fois. Mais le jeune russe se rend vite compte que la majorité ne va pas dans son sens. Il est assez rare que sa sœur ne décide d’aller contre l’avis qui est le meilleur pour eux, ou d’aller dans son sens. Mais visiblement, elle semble avoir envie de partir. Damian est contraint d’entrer dans les détails de la ville : son emplacement, son fonctionnement, les risques, les avantages. Plus il parle, plus Lyov se surprend à penser qu’il est difficile de dire quelle ville est la plus risquée. Cette Gotham à l’autre bout du monde ou leur chère ville natale. Ici, les dangers sont légions. Criminalité, terroriste, extrémisme. Et pour des adolescents orphelins comme eux, rester en vie relève du miracle. Entre la prostitution, le trafic d’organe, le trafic humain et les combats clandestins… combien d’entre eux ont disparu, engloutis par la ville ? Forcé de constater que cela ne changerait pas beaucoup là-bas, qu’ils évolueraient dans le même genre d’environnement, le russe a fini par baisser les armes devant l’entêtement de sa sœur, convaincue par l’idée depuis les premiers mots de l’américain. Il serait donc forcé d’apprendre l’anglais mieux qu’il ne savait actuellement le bredouiller.

Une fois rentrés à l’orphelinat, les jumeaux ont préparés leurs affaires. Damian est resté en arrière. Le reste est allé très vite. Quelques billets glissés çà et là, quelques faux papiers et une bonne dose de corruption et les jumeaux quittaient les lieux, leurs sacs sur l’épaule, suivant un riche américain venu de loin pour trouver des adolescents, sans que personne ne se pose aucune question. Encore deux orphelins engloutis par la ville. Elle serait sans doute vendue dans une maison close, ou à des pédophiles qui feraient d’elle une marionnette jusqu’à ce que finalement, elle ne meure brisée. Lui serait sans doute vendu à des organisateurs de combat ou à une mafia quelconque qui l’éduquerait et ferait de lui le parfait soldat, jusqu’à ce que finalement, il ne meure roué de coups ou abattu par les forces de l’ordre. En réalité, il n’en était rien. Il n’y avait que Damian, qui les sortait d’un enfer pour les plonger dans un autre. Ils étaient trois en quittant l’orphelinat, et trois en regagnant l’aéroport. Mais la troisième personne avait changé. L’adulte ayant servi de couverture à Damian n’était plus là. Difficile de dire où il s’en était allé, mais personne ne poserait jamais de question. Eviter les caméras, dissimulé derrière sa capuche tout comme les deux orphelins, et finalement embarqués dans un avion séparément, sous de fausses identités jusqu’à atterrir en dehors de Gotham. Regagner la ville en train, et s’y enfoncer dans les ombres, disparaissant comme Damian avait appris à le faire ici. Installer les jumeaux ne fut pas difficile, leur remplir le frigo non plus. Leur présenter le plan de la ville le fut un peu plus. A peine arrivés, ils voulaient déjà explorer, découvrir. Alors Damian avait pris le temps de faire les choses pas à pas, les avertissant sur les dangers recelés dans certains quartiers. Le Joker. La mafia. Poison Ivy et ses plantes. Et bien d’autres encore.

Expliquer tout cela à Barbara fut une autre étape. Plus difficile. D’autant plus qu’il se rendait compte avec regret qu’il avait manqué une mission de Batgirl à laquelle il aurait p se joindre et durant laquelle il aurait pu rencontrer anonymement son compagnon, le prof d’histoire. Rien d’officiel, mais un certain instinct. Voilà ce qu’il pressentait. Et bien sûr, cela ne lui plaisait pas tellement, mais en même temps, il n’y pouvait rien. Et cela tombait plutôt bien, maintenant qu’il n’était plus seul et qu’il avait un autre point de chute pour les fois où il ne pourrait pas rester au manoir. Ne voulait pas serait sans doute plus juste. A peine quelques jours. Une poignée d’heure. Mais sa vie venait de basculer et il devait à nouveau s’adapter aux changements en essayant de se dire que pour une fois peut-être, les choses iraient pour le mieux. Et alors qu’il faisait connaissance avec les jumeaux – pour la deuxième fois au final – un sms avait troublé son calme. Un appel de Batman. Une mission pour Robin. La colère qui l’avait traversé, l’agitation créée par le message n’avait pas échappée à la jolie rousse qui s’était simplement contentée de poser ses mains sur ses épaules pour l’apaiser. Pour le décharger. Ils iraient bien tous les deux : habitués à la solitude, habitués à l’indépendance. Ils attendraient. Son retour. Ses vérités encore masquées. Elle avait un bon instinct pour cela. Damian connaissait plus de choses qu’avant, mais il était aussi plus sombre, plus torturé. Il y avait dans cette histoire qui était la sienne des zones d’ombres qui refusaient de se lever et qui cachaient probablement de très noirs secrets. Lilia en était persuadée. Ils apprendraient à les comprendre, à le comprendre et à l’épaule comme lui apprendrait à le faire pour eux. Ainsi allait leur famille, depuis toujours.


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