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 (F - LIBRE) EIZA GONZÁLEZ ✸ I'm Mary Seward. Queen of Blood. The baddest bitch who ever lived.

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MessageSujet: (F - LIBRE) EIZA GONZÁLEZ ✸ I'm Mary Seward. Queen of Blood. The baddest bitch who ever lived.   (F - LIBRE) EIZA GONZÁLEZ ✸ I'm Mary Seward. Queen of Blood. The baddest bitch who ever lived. EmptyLun 18 Nov - 21:56

Seward Mary
Being a vampire gave me my powers. But being me made me awesome.

Blackest Night
why did I fall ? falling made me feel like I was flying.
nom complet: Mary Seward alias : Mary, Queen of Blood (Reine du Sang) âge : 454 ans. date et lieu de naissance : Née le 14 mars 1565, à Bristol, Angleterre. lieu d'habitation : Ses deux repères les plus importants ce situent à Bludhaven et à Londres. métier : Monarque. identité : Secrète. équipe & affiliation : Aucune équipe - The Cult of the Blood Red Moon (Le Culte de la Lune Rouge Sang) avatar : Eiza Gonzalez. crédits : Gifs-hunt sur Tumblr et moi.



Ambitieuse ; Autoritaire ; Charismatique ; Déterminée
Idéaliste ; Impitoyable ; Intolérante ; Indépendante
Machiavélique ;Possessive ; Rancunière ; Sensuelle ; Spontanée

Eiza Gonzalez | personnage réservé
The devil whispered in my ear, "you’re not strong enough to withstand the storm."
(001), Mary est né à Bristol en 1565, une ville qui n’avait alors qu’encore qu’une vingtaine d’année. Elle fut le fruit d’une liaison entre un noble de classe inférieure, Nicholas Seward, et l’une de ses servantes ; une beauté espagnole venant de la Péninsule Ibérique nommée Constança de Santistevan. Nicholas, déjà marié, fit comprendre à sa servante que c’était son silence ou bien son cou. Quelques mois après la naissance de Mary, sa mère se maria à un autre serviteur, avec qui elle eut trois autres enfants. Deux garçons et une petite fille qui fut malheureusement sourde à la naissance. Son beau-père, un homme profondément jaloux et qui savait pertinemment comment Mary avait été conçue, ne traita jamais Mary avec le moindre respect et, alors que Constança tentait de venir à sa défense, il se fit un point d’honneur de battre sa propre femme jusqu’à ce que, effrayée pour sa vie et celle de ses autres enfants, elle se résigne à traiter Mary de la même façon. Comme si ça n’était pas suffisant, lorsqu’elle fut en âge de commencer à travailler, un peu avant son treizième anniversaire, pour son père biologique, Mary eu droit de la part de celui-ci à un traitement des plus injustes, ignorant complètement ce qui se cachait derrière l’hostilité de l’homme. Et la femme de celui-ci, qui avait fini par découvrir le vilain petit secret de son mari, était encore plus abusive à son égard.

(002), Ce ne fut que lorsque Nicholas et sa femme tentèrent de vendre le corps de Mary dans le but d’établir une alliance politique avec un autre noble que celle-ci apprit la vérité. Elle n’avait encore alors qu’une quinzaine d’années à son nom. Ne possédant rien et sachant qu’elle ne pouvait compter sur personne pour la défendre de son père biologique, elle prit la fuite et laissa Bristol derrière elle pour trouver un endroit où elle pourrait se réfugier et travailler, dans l’espoir de pouvoir se construire un futur meilleur.

(003), La jeune femme trouva ce refuge chez le clan des Bennett à Glastonbury. Elle n’avait pas vraiment eu la chance de développer d’autre compétences et elle n’avait pas envie d’abandonner la profession dans laquelle elle avait été éduquée ; car même si elle avait été émotionnellement abusée toute sa vie et qu’elle détestait ce travail, c’était tout de même une position qui assurait une certaine aisance et un sentiment de sécurité. Ce n’était pas parfait ; le patriarche de la famille était lui aussi très dur et par moment même cruel dans sa façon de s’adresser à ceux qui n’était pas aussi fortuné que lui. Cependant la femme de celui-ci, Elise, traita Mary avec dignité et gentillesse. Et puis, il avait Andrew, le fils unique de la famille Bennett. Un homme courtois, souriant, charmant et qui n’était certainement pas difficile à regarder, mais qui était peut-être un peu préoccupé par son désir de prouver sa valeur.

(004), Plusieurs années plus tard, Mary, qui passait beaucoup de temps à lancer des regards au jeune Bennett, remarqua que celui-ci avait commencer à lui retourner l’attention qu’elle lui donnait. Ce n’était pas le désir qu’elle avait l’habitude de voir dans les yeux des hommes qu’elle identifiait dans ceux du jeune homme ; c’était de l’admiration. Malgré cela il sembla éviter de lui adresser la parole et, les quelques fois où il le faisait, semblait se faire violence pour ne pas s’attarder autour d’elle, bien qu’il restât toujours poli. Puis celui-ci parti à la guerre comme de si nombreux hommes de son âge le faisait. Mary se retrouva d’abord rongée par l’inquiétude en pensant qu'il n'y avait aucune chance qu'Andrew ne rencontre pas une quelconque noble femme pendant son voyage qui lui volerait son cœur. Trois années passèrent et Mary, qui parvenait parfois à lire les lettres que le jeune homme envoyait à sa mère lorsque celle-ci les laissaient trainées sur son bureau, ne pouvait contenir son soulagement à chaque fois qu’elle constatait qu’il était toujours vivant et qu’il n’allait pas revenir à la maison une femme au bras. Lorsque le jeune homme fut de retour, c’est avec joie qu’elle remarqua que le regard de celui-ci s’attardait toujours aussi souvent sur elle, mais elle ne percevait plus que de l’admiration dans les yeux du jeune homme, mais aussi de la résolution. Il ne tarda pas à lui avouer ses sentiments et il commença à la courtiser, comme si elle était son égale - une dame de compagnie et non pas une domestique - comme un vrai gentilhomme.

(005), Le père d’Andrew, qui n’approuvait pas de la romance florissante entre son fils et une simple servante, s’arrangea pour éloigner Mary de ce son fils. Andrew lui assura qu’il allait confronter son père, et que s’il n’arrivait pas à lui faire voir raison, qu’il prendre la fuite, renoncer à son nom et la retrouver. Quelques jours plus tard, n’ayant toujours pas reçu de nouvelle, Mary trouva une lettre qui avait été déposé sur sa table de chevet venant d’Andrew. La lettre expliquant qu’il allait prendre ses distances et qu’ils ne pouvaient être ensemble les circonstances étant ce qu’elles étaient. Mary n’arriva pas à croire qu’Andrew puisse l’abandonner ainsi et s’en retrouva complètement bouleversée. Mais ça ne fut que le début de son désespoir, car, en plus de croire que l’homme qu’elle aimait l’avait abandonné tel un lâche, le père d’Andrew la ramena abruptement en son service. Andrew avait disparu et son père blâmait sa disparition sur la jeune femme. Celui-ci se vengea non seulement en la traitant comme une moins que rien, mais il la prit de force à plusieurs reprises pendant des mois et des mois. Mary, prisonnière dans un véritable enfer qui brisa presque son désir de vivre, pria autant pour qu’Andrew vienne la chercher comme il l’avait promis que pour avoir la satisfaction de le voir maudit par la colère de Dieu.

(006), Ce ne fut qu’une longue et pénible année plus tard qu’Andrew passa le seuil de la porte de sa chambre. Elle était si soulagée, mais surtout furieuse de le revoir, qu’elle ne remarqua pas le fait qu’il était différent. Mary se retrouva dans ses bras, pleurant tout en frappant sa poitrine si fort qu'elle en eu mal au bras, en lui disant qu’elle avait souffert terriblement le prix de sa lâcheté. Mais Andrew arriva à chasser ses accusations en lui faisant des promesses qui ne semblaient ne pas faire de sens ; il lui dit qu'il était devenu quelque chose plus formidable que tout ce qu’elle pouvait imaginer, qu'il avait passé cette dernière année à apprendre à contrôler ce pouvoir, qu'il pouvait le partager avec elle et lui montrer comment dompter la Bête qui accompagna ce présent. Il l’embrassa pour la première fois, et, après que Mary eut acquiescé, plongea ses dents dans son épaule.

(007), Mary prit merveilleusement bien à sa transformation. Elle embrassa aussitôt sa nouvelle condition et s’émerveilla du monde qui s’offrait à elle. Et elle avait bien l’intention de commencer par se venger de tous ces horribles humains – non, de ce bétail qui l’avait fait souffrir toutes ces années. Elle demanda à son compagnon de l’accompagner, mais celui-ci s’efforça de tenter de la convaincre d’abandonner sa quête de vengeance et de ne pas se perdre à la Bête qui vivait à présent en elle. Mais il avait tort ; ce n’était pas la Bête qui la poussait à commettre ses actes. Oh non ; contrairement à l’homme qu’elle aimait, Mary n’avait nul besoin d’apprendre a dominé sa condition. Sa volonté indomptable avait déjà apprivoisé la Bête. Son désir de vengeance était justifié et proportionnée aux horreurs dont elle ne serait plus jamais - jamais - la victime. Et sa vengeance serait terrible. Elle força le père d’Andrew à mâcher ses propres intestins pendant le peu de temps qu’il lui restait à vivre, puis le découpa en morceaux comme le porc qu’il était. Mais Mary ne s’arrêta pas là : elle quitta Andrew et retourna à Bristol pour enfin rendre justice à ceux qui l’avait fait souffrir toute son enfance. Une fois là-bas, elle fut ravie d’apprendre que les deux enfants de son père biologique était mort à la guerre, le laissant sans le moindre héritier. C’est avec cette connaissance qu’elle exécuta sa terrible vengeance : dans une cérémonie des plus sanglantes, elle tua son beau-père, hypnotisa son père biologique pour qu’il étrangle sa femme, qui avait été encore plus immonde avec elle que lui, avant de le forcer à marier sa mère devant un prête. Aussitôt fait, elle lui arracha ce qu’il avait tellement eu de difficulté à garder dans ses pantalons et le regarda mourir lentement en se vidant de son sang, faisant de sa mère une veuve et l’héritière des biens de son défunt mari. C’est aussi à ce moment que, en un dernier geste profanateur, elle décida d’adopter le nom de famille de son père biologique, Seward. Elle laissa la vie sauve à ses deux beaux-frères et à sa belle-sœur, mais seulement après crevé les yeux au premier et arraché la langue au deuxième ; ils n’avaient jamais levé le petit doigt pour elle et avaient passé toutes les années qu’ils avaient partagés ensemble à l’ignorer, à éviter de lui parler et à poser les yeux partout sauf sur sa personne. Et contrairement à sa belle-sœur, ils n’avaient pas l’excuse de souffrir d’un handicap. Hear no Evil. See no Evil. Speak no Evil.

(008), Malgré ses sentiments pour Andrew, Mary possède une telle détermination et indépendance que le lien surnaturel rendant un vampire nouveau-né asservi à son progéniteur ne l’a tout simplement jamais affecté, mais ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas une puissant lien surnaturel entre eux. Tel un étrange compas, ils arrivent toujours à déterminer dans quelle direction il ou elle se trouve peu importe où ils se situent et bien qu’ils ne puissent pas déterminer la distance que les sépare, ils savent aussitôt quand ils se trouve en proximité immédiate l’un de l’autre. Leur lien est si fort qu’il n’est pas rare qu’une connexion s’établissent entre leurs rêves dans leur sommeil. Pour ce qui est des capacités octroyées par leur nature, ils sont sans aucune doute des égaux. En fait, elle est probablement même un peu plus talentueuse que lui ; elle était capable de se transformer en un nuage de brume dès sa transformation, ce qui peut prendre jusqu’à un siècle pour que certains à apprendre. D’autant qu’elle le sache elle et Andrew sont les vampires les plus puissants sur Terre. Du moins, pour ce qui est de ceux de leur espèce, car elle en a rencontré une poignée qui sont légèrement différent et qui ne semble pas descendre d’elle ou d’Andrew, dont un des conseillers les plus fiables.

(009), Aux fils des siècles,  Mary c’est construit un Empire puissant. Nommé the Cult of the Blood Red Moon, celui-ci s’étend sur tous les continents. Sa raison d’être ? Bien, tout simplement, la domination du monde. Les humains sont des créatures immondes aux yeux de Mary qui ne mérite rien de plus que d’être élevé dans des abattoirs comme des porcs. Mais elle n’est pas stupide, elle sait qu’une telle entreprise est loin d’être facile, surtout dans ce monde qui semble tout d’un coup peuplé de toute sorte de héros sordides. Mais quand on a l’éternité, on peut se permettre de prendre son temps. Entre les interventions régulières d’Andrew, qui se fait un plaisir agaçant à tuer ses fidèles laquais, et les attaques de chasseurs de vampire, Mary a dû faire preuve d’ingéniosité pour rendre son organisation inébranlable. Tout est compartimenté dans une hiérarchie stricte et, mise à part son cercle proche, tous ses serviteurs ne savent seulement ce qu’ils ont besoin de savoir. Du coup, même si un de ses repères est attaqué, le restant des piliers tiennent bon et la structure ne s’effondra pas sur elle-même. Par conséquent, même les interventions de ex-fiancé ne l'ennuient que légèrement, alors qu'auparavant elles étaient de durs coups à ses projets. Elle s’assure aussi que ses serviteurs éliminent les groupes de vampires dissidents qui tuent ou transforment un trop grand nombre d'humains trop rapidement ou trop proches les uns des autres, ce qui aurait tôt fait d’attirer de l’attention très indésirable très rapidement.  

(010), Mary sait récompenser ceux qui sont loyaux et qui prouvent leur utilité, mais elle ne tolère aucune menace à son règne. Elle n’hésite pas à éliminer tous vampires qui se font trop âgés ou trop influents qu’elle sait ne pas pouvoir contrôler, Andrew étant la seule exception à cette règle. En général, elle évite tout simplement de partager le don (du moins à ses yeux) du vampirisme avec ceux qu’elle sait trop farouche ou récalcitrant pour être maintenu sous l’emprise du lien qui unit une progéniture à son progéniteur. Elle a beau être déterminée à voir les siens régner un jour sur Terre - et de se désigner comme le Martin Luther King, Malcolm X et Ben Franklin de son espèce - pour elle la fin justifie les moyens et elle n’a pas le moindre scrupule à sacrifier des pions pour arriver à son but. Après tout, cette vision du monde idéal qu’est la sienne ne se réalisera jamais sans elle. Et nul ne saura régner sur ce monde aussi bien que Mary, Queen of Blood.
Today I whispered in his ear, "I am the storm."
Andrew Bennett

C’est le récit d'une femme féroce, puissante et sans la moindre prétention et de l'homme qui ne peut s'empêcher de la comprendre et de l'aimer malgré toutes leurs différences insurmontables. Ils ne peuvent vivre ensemble, mais n’arrivent pas vraiment à vivre sans l’un et l’autre non plus. Deux étoiles filantes qui sont entrées en collision et tombées follement amoureuses. Cet amour les déchire car leurs chemins ne s'alignent pas. Après qu’Andrew eut transformé Mary en vampire, ils arrivèrent à avoir un semblant de relation stable pendant un certain moment, et ils se fiancèrent. Mais après quelques décennies à endurer Andrew qui passait la majorité de son temps à pousser Mary à combattre ses instincts et sa nouvelle nature, Mary perdit patience. Oui, elle l'aimait profondément, car il était non seulement le seul homme qu’elle avait rencontré de toute sa vie qui l’avait toujours traité avec respect, admiration et amour, mais il lui avait aussi donné les outils pour se libérer du joug de ceux qui lui avait fait du tords. Il avait beau être horrifié de ce qu’elle avait fait à son père, il ne lui avait jamais reproché non plus, sachant pertinemment les actes immondes qu’il avait infligé à sa fiancée. Mais Mary n’avait plus la moindre intention de laisser quiconque lui dire comment vivre sa vie ; elle était maintenant une louve parmi les moutons et elle n'était pas intéressée à jouer prétendre être un de ces derniers après avoir été forcée dans son ancienne vie à jouer ce rôle. Plus jamais. Elle ne pouvait se permettre de faire une exception pour Andrew à ce niveau. Durant leur longue vie, malgré leur différence, ils ne purent s’empêcher de ranimer les flammes de leur amour occasionnellement. Mais cela reste toujours temporaire, quelques années tout au plus, car le même conflit irréconciliable entre eux fini toujours pas les éloigner un de l’autre. Ils ont bien sûr tous les deux essayés à plusieurs reprises, et continuerons probablement aux fils des années, de chercher l’amour ailleurs, de trouver une personne qui pourrait leur faire oublier l’un ou l’autre. Mais, dans le meilleur des cas, ce ne sont que des distractions temporaires et, dans le pire, des mensonges éhontés qui finissent toujours par s’écrouler sur eux-mêmes. Mary, possessive et jalouse, a d’ailleurs a tué la majorité des partenaires que son ex-fiancé a pris aux fils des siècles et dont elle connaissait l’existence. Mais, pour ce qui était de la plus récente, Deborah Dancer, Mary a plutôt décidé de la transformer sous les yeux horrifiés d’Andrew. Qui plus est, elle lui avait donner l’outil nécessaire pour la détruire, tournant le couteau dans la plaie et complètement confiante du fait qu’il allait être incapable de la tuer, tout autant qu’elle était incapable de le supprimer malgré tous les maux de tête qu’il pouvait lui causer. Il ne put se résoudre à choisir la nouvelle femme qui partageait sa vie au-delà de son seul véritable amour et regarda la jeune femme devenir une créature sanguinaire qui, légitimement, lui voua une haine vicieuse. Depuis ce funeste évènement, et le fait qu’il se sait encore profondément amoureux de Mary, il refuse de se rapprocher émotionnellement de qui que soit ; ce qui était précisément ce qu’elle désirait.

Malgré toutes ses années d’existence, Andrew est le seul homme pour qui Mary n’ai jamais fait preuve de romantisme, surtout pendant les périodes de temps où ils se réunissent.  Chaque fois qu'elle en a pris un amant, elle les a traités comme une propriété ; elle ne séduit pas, elle prend ce qu’elle désire. Elle est une reine, elle n'a pas la patience ou l’envie de se donner au jeu de la séduction et elle a toujours eu un certain mépris envers le sexe masculin, ce qui compte tenu de sa jeunesse, est plutôt normal. Quand il s’agit d’Andrew cependant, elle lui laisse souvent des fleurs, des lettres et aime parfois passer la nuit avec lui comme si elle n’était rien de plus qu’une jeune fille qui explore le monde avec son amoureux. Cependant, cela ne signifie pas qu'elle ne peut pas être cruelle et froide avec lui. Les années n'ont pas été tendre pour leur relation et ils sont plus souvent des ennemis que des amants. De son point de vue, tous les problèmes qui rend leur relation impossible sont sa faute ; il montre encore une fois sa lâcheté et refuse de l'aider à atteindre son objectif. Il n’arrive pas à voir la vraie nature de l'être humain comme elle le peut et il ne comprend tout simplement pas que sa vision d’un monde meilleur vient de nobles intentions et qu’elle est justifiée. Et cela la met en colère. Très souvent, elle souhaite sa mort, et pourtant elle ne peut se résoudre à tuer quand l'occasion se présente. Elle lui voit comme à la fois sa plus grande faiblesse et son plus grand échec. Une partie d’elle s’est résignée à le voir s’obstiner à ne pas la rejoindre, mais une autre reste convaincue que, lorsque le moment opportun se présentera, il verra la raison et embrassera finalement la place qui est la sienne. Après tout elle a l’éternité pour lui faire voir raison.

Encore en ce jour, Andrew se sent responsable de toute la mort que Mary a semé - et continue de propager - dans ce monde. Il n’arrive pas à se pardonner d'avoir transformé la douce femme innocente qu’il connaissait à l’époque en un monstre sanguinaire. Il se sent encore plus affreux de ne pas pouvoir débarrasser le monde de sa folie, car cela signifierait qu'il ne pourrait plus jamais l'admirer. Car oui, c’est plus fort que lui, il ne peut s’empêcher de l’admirer quand il pose ses yeux sur elle-même à ce jour. Une réalité qui le dégoute de sa propre personne. Et c’est ainsi que le vampire passa des siècles à déchaîner ses démons contre la progéniture de son ex-fiancée, avec une passion malsaine mais pas moins cathartique. Mais la vérité est bien plus terrible ; une partie de son être refuse d’assumer qu’il sait pertinemment que Mary n’était jamais devenue un monstre; que des hommes terribles lui avait volé toute prétention à l’innocence, son propre père haïssable étant sans aucun doute le pire d’entre eux ; que la malédiction qu’il lui avait affligée n’a jamais changé la personne dont il est tombé amoureux il y a si longtemps de cela et que la Reine du Sang n’était rien de plus que celle qu’elle serait toujours devenue si elle avait eu son mon dire sur l’ordre du monde dans lequel elle avait tant souffert. Mais il ne se laissera pas jamais le dire – ni le reconnaître - à voix haute. Parce que s'il le fait - s'il s’admet qu'il l'aime telle qu’elle est, que, si tout était à refaire, il ferait le même choix, et qu’une sombre partie de lui souhaite pouvoir faire fi de ses réticences pour finalement prendre sa place aux côtés de sa remarquable Reine – n’est-il pas le véritable monstre de cette histoire ?


Dernière édition par Andrew Bennett le Mar 19 Nov - 5:58, édité 4 fois
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(F - LIBRE) EIZA GONZÁLEZ ✸ I'm Mary Seward. Queen of Blood. The baddest bitch who ever lived. Empty
MessageSujet: Re: (F - LIBRE) EIZA GONZÁLEZ ✸ I'm Mary Seward. Queen of Blood. The baddest bitch who ever lived.   (F - LIBRE) EIZA GONZÁLEZ ✸ I'm Mary Seward. Queen of Blood. The baddest bitch who ever lived. EmptyLun 18 Nov - 22:28

mon scénario
mes exigences
Bonjour, bonsoir, bienvenue et merci de votre intérêt pour ce scénario. Petite mise en garde, je vous recommande de ne pas lire le tout car Mary est actuellement réservée à une personne en particulier!

Elle est présentement retenue pour être jouée par la sublime Vicki (connu aussi sous les traits de Siobhan et de Mari)

Mais si elle devait devenir disponible d'une façon ou d'une autre, voici ce que vous devez savoir.

Pratiquement tout est négociable. J'ai vraiment pris le temps de décrire la vie de notre chère Mary. Cependant faut savoir que dans les comics, on la voit seulement à travers les yeux d'Andrew, donc même si certains des trucs dans son histoire ici sont tout droit sorti de ce qui passe les comics, j'ai vraiment beaucoup étoffé sa vie et inventé des détails pour rendre le tout un peu plus complet quoi. Cela étant dit, je ne veux en aucun cas empêcher qui que ce soit de faire preuve de créativité. Vous êtes donc libre de prendre, d’ignorer ou de modifier pas mal tout ce qui ce trouve sur la fiche. Voici les points qu'il faut vraiment garder car ils sont vraiment une partie intégrale de son personnage dans sa plus récente incarnation :

-Une enfance vraiment pas facile. On a jamais vraiment la chance de voir l'enfance de Mary dans les comics, mais c'est vraiment très sous-entendu qu'elle était pas joyeuse. Vous pouvez ignorer, adopter ou remodeler tout ce que j’ai écrit à ce niveau ça ne me dérange pas du tout, mais garder le tout relativement sombre.
-Le début de la romance doit être vieux jeu entre Andrew et Mary. Bon je sais qu’avec nos standards modernes, le fait qu’il ne l’aille embrasser, après tout ce temps passé à la courtiser, qu’après être devenu un vampire ça peut paraître idiot, mais à l’époque c’était l’étiquette appropriée, et aussi la façon dont un gentleman démontrait son respect et son admiration à une dame qu’il appréciait. Et je pense que c’est un important contraste qui le démarque des autres hommes qui ont fait parti de la vie de Mary à l’époque aussi.
-Le fait que le père d’Andrew a cherché à se débarrasser de Mary lorsqu’il a réalisé ce qui se passait entre son fils et la servante en l’envoyant s’occuper d’une autre personne.
-Ce qui se passe dans l’année suivant la disparation d’Andrew. Je pense quand même que c’est important pour ce qui est de comprendre le point de vue de Mary. Je sais que c'est pas tout le monde qui peut ou veut ressentir de la profonde empathie pour un personnage qui peut être aussi, disons, immondes, par moment mais je pense que c'est nécessaire pour établir ce sentiment avec elle et sa quête impossible de domination. Comme je l'ai déjà fait avec plusieurs de personnes sur le forum quand je parlais de Mary, penser à une Magneto qui a eu une vie probablement encore plus difficile et pour qui tous ce qu'elle est justifié par la côté sombre de l'humanité qui la fait souffrir.
-Comment elle tue le père d’Andrew. Pour ce qui est du reste de sa vengeance, vous avez carte blanche pour faire tout ce qui vous passe à l'esprit.

Pour ce qui est du lien entre Mary et Andrew, on peut en discuter bien sûr, aller plus en détails et l'approfondir si vous avez d'autre idée. L'avatar est négociable, je l'ai choisie parce que Eiza possède vraiment l'aura qui va main dans la main avec Mary selon moi et aussi parce qu'elle plaisait bien à Vicki (j'ai d'ailleurs pris en compte les origines d'Eiza pour peaufiner l'histoire de Mary). Je tiens vraiment beaucoup aux grandes lignes de sa personnalité que j'ai établi sur sa fiche  cependant, donc si vous voulez changer ça je risque de mettre un pied à terre un peu.

Sinon j'aimerais bien une personne qui soit active bien sûr. Je sais que ça peut-être beaucoup demander parfois, mais un minimum d'une réponse par semaine serait vraiment l'idéal pour moi. Ça veut pas dire que je vais vous faire une scène si vous avez trop d'occupations et que ce n'est pas possible de temps en temps bien sûr, mais si vous savez ne pas pouvoir remplir ce quota en général, il serait peut-être mieux de ne pas tenter ce personnage. Je suis vraiment très passionné par ces deux personnages et j'aimerais avoir la chance de jouer avec une personne qui partage un peu ma motivation !

Bref, si jamais le personnage n'est plus catégorisée comme RÉSERVÉ et que Mary vous intéresse, vous pouvez toujours m'envoyer un MP si vous avez des questions.

Merci ! (F - LIBRE) EIZA GONZÁLEZ ✸ I'm Mary Seward. Queen of Blood. The baddest bitch who ever lived. 2661135477
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