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 What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate

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Ray Palmer


Ray Palmer

hero of earth

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Date d'inscription : 22/11/2019
Face Identity : Colin o'donoghue
Crédits : Alehandra
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Age du personnage : 35 ans
Ville : Ivy Town
Profession : Professeur de physique et de nanotechnologie
Affiliation : Justice League
Compétences/Capacités : What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate E24cfeb27dc2e184862a0e26607b5498

- Connaissance presque inégalé en nanotechnologie ainsi qu'en physique
- Capacité à se rétrécir et grandir à volonté
- Garde sa force lors d'un changement de taille
- Ultra mini badass
- Quelques connaissances en combat, mais assez rudimentaire

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- Commence à ne plus avoir besoin de sa ceinture (très récent, fluctuant)
- S'adonne à la pratique de la guitare ainsi que le chant
- à venir

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MessageSujet: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptyMar 17 Mar - 23:04

What feels like the end is often the beginning

Thanks you two for all, was a pleasure to live amongs you, my only regrets was to not live long enough to watch both of you grow, and to witness the people you're meant to be. @Felicity Smoak,@Nathaniel Heywood


Je revenais de chez Felicity, j’étais passé la voir en premier, mon cerveau n’avait pensé qu’à rejoindre la blonde. Elle qui était si intelligente, peut-être avec la combinaison de nos deux cerveaux, une idée extra-ordinaire en sortirait. Mais comme tous, comme moi. Chaque personne à des limites, bien que certaines soient plus loin que d’autres. J’essayais de cacher mon mal un maximum à la dame. Bien que ma présence et ma panique si inexistante habituellement ne me trahisse. J’essayais de cacher ma toux qui en sortait de plus en plus de sang. Je n’avais annonçait qu’un mal de crâne persistant, quelque chose de difficilement surmontable, ainsi qu’une douleur au niveau de la poitrine, qui ne faisait que de croître depuis le retour de l’autre monde. Si ma lucidité aurait été entière, je n’aurais pas mêlé Felicity à tout ça, j’aurais tenté des expériences, des choses rationnels, et non des actes sur l’impulsion. Cela ne me ressemblait pas, et j’en avais plus de peur qu’autre chose. J’avançais doucement vers l’appart de mon meilleur ami, doucement mais sûrement, avec des vertiges qui me semblaient si puissant que ce n’était plus moi qui tournais, mais la terre entière. Felicity avait insisté pour suivre, rester avec moi durant le trajet. Ce qui me réchauffait le cœur quelque part, je n’avais pas à traverser cette phase seul. Mais j’aurais préféré qu’elle n’ai pas à assister à la suite. Les marches du bâtiment défilaient, et j’avais de plus en plus de mal à les gravir, au point où j’en loupais une, et je venais m’écraser au sol. Et avec le peu de réflexe qui me restait, j’en arrivais pas à poser les mains avant de me fracasser. Je me cognais la tête, ce qui faisait l’effet d’un défibrillateur, mais pas assez fort pour me retrouver réellement. Difficilement, je me tournais pour sortir de ma poche mon téléphone, que je tendais à Felicity alors que ma tête titubait quelque peu, du mal à la garder droite sûrement.

Le téléphone un peu ensanglanté, je ne faisais plus assez attention pour ne pas lui donner le détail, je lui disais juste tout bas. « Hey…wood » en priant pour qu’elle comprenne d’appeler la personne au nom donné. Je recommençais à tousser, je tournais ma tête pour cacher les crachats, mais mes mains ainsi que mon t-shirt n’en pouvaient plus, c’était flagrant à ce point. J’attrapais avec beaucoup de mal la rambarde, mais je n’avais plus assez de force pour me tirer, j’essayais de donner tout ce que j’avais mais ce n’était pas assez, avant de miraculeusement me sentir plus léger, et me lever du sol. Je comprenais qu’après quelques marches que la blonde m’aidait à finir la distance. Je finissais la distance difficilement, remerciant d’une voix faible Felicity alors que je voyais quelques rayons dorées passé devant ma vision, certainement ses cheveux. Je levais le bras pour pousser la porte, mais je me heurtais à la résistance de la porte. C’était verrouillé. Il n’y avait qu’une façon de passer. Je me doutais que mon ami ne m’en veuille pas pour le coup, c’était une urgence. Dans le pire des cas, je ferrais tout pour m’excusais, mais je ne voulais pas attirer l’attention, et je savais qu’il n’était pas chez lui. Je lâchais difficilement l’épaule de la blonde avant de lui souffler. « Bouge pas, j’vais » je respirais un grand coup. « ...ouvrir. ». Puis, avec un petit sourire plus pour détendre l’atmosphère, je me réduisais avant de agrandir derrière la porte. Je me tournais péniblement avant de lui dire à travers la porte, tout en tournant la poignée. « Par-feu, ouvre toi ! » Une sorte de sésame ouvre toi plus moderne pour la dame. Mais je n’étais pas sûr des bons mots. Mais alors que le loquet se tournait et que la porte se déverrouillait, une immense douleur, comme peu dans ma vie venait me frapper droit au niveau du cœur. Si puissante, que je glissais et tombais à la renverse, rampant pour venir m’asseoir dos à une surface droite. Mes deux mains venaient tenir l’endroit où se trouvait le cœur, alors que j’hurlais pour faire évacuer la douleur. Je me recroquevillais, n’ayant plus qu’à l’esprit l’idée de vouloir chasser cette douleur. Semblable à une compresse qui venait appuyer sur l’endroit, pour écraser le tout. J’avais même l’impression que j’allais faire une crise cardiaque tant que la douleur était vive. Mes ongles m’arrachaient presque la peau quand j’essayais de caler. Toujours en hurlant. « CA EMPIRE ! ».


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Felicity Smoak


Felicity Smoak

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Age du personnage : 30 ans
Ville : Star City
Profession : Conseillère en informatique à Queen Consolidated
Affiliation : Queen Consolidated
Compétences/Capacités : J'ai un intellect du niveau génie mais je le dis pas car ça fait pompeux.
Je suis une bonne informaticienne
J'étais un bonne hackeuse mais cette vie est derrière moi.
J'ai des bonnes compétences en ingénierie, en mathématiques, en biochimie et les bases en dentisterie.
Je me débrouille plutôt bien pour enquêter. Même si je n'aime pas les mystères.
Je suis une bonne pâtissière ! Ça compte ?

Situation Maritale : Amoureuse d'un professeur de physique et prête à tout pour le retrouver.









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MessageSujet: Re: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptySam 21 Mar - 17:16

What feels like the end is often the beginning.

Je cherchais Ray depuis que j’étais revenue sur Terre-4 et au final, c’était lui qui m’avait trouvé et pas de la meilleure façon… Il était dans un état effroyable. Il m’avait décrit des douleurs insupportables à la tête et au coeur et ce que je ressentais… Je… Je n’avais jamais ressenti une telle angoisse, même sur New Themyscira. Jamais. J’avais toujours vu Ray en forme, toujours à blaguer, même quand il venait de manquer de se faire tuer. Aujourd’hui, je le savais, c’était différent.
Il était venu chercher mon aide. Pendant un combat, quelque chose s’était mal passé avec sa ceinture et… Et maintenant, il semblait à peine pouvoir tenir debout. Je m’étais trituré les méninges pendant ce qui m’avait semblant des heures, mais en réalité cela devait être environ une demi-heure… Ray essayait de m’aider, mais son mal de tête semblait l’empêcher de réfléchir correctement. Et moi… Je ne trouvais pas et ça me rendait complètement folle. L’angoisse semblait me compresser la poitrine et parfois je me demandais si mon cerveau avait oublié comment respirer. Sans solution, Ray décida d’aller voir un certain « Nate »… Et je peux vous le dire, il était absolument hors de question qu’il y aille seul. Pas dans l’état dans lequel il était.

Et j’avais bien fait, j’en étais certaine, surtout en le voyant marcher à deux à l’heure et tanguer comme si on était à bord d’un bateau. Et toutes ces métaphores rigolotes n’étaient que mon cerveau essayait de faire baisser mon taux de cortisol. Ça ne marchait pas du tout. Surtout lorsque Ray trébuchait alors qu’on montait sur les marches. Ses réflexes avaient disparu, car il ne s’était pas rattrapé sur ses mains, c’était sa tête qui avait tout pris. Je poussais un cri, surprise, me précipitant à ses côtés. Il se tournait vers moi, me tendant un téléphone. Complètement dépassée par la situation et paniquée, je prenais le téléphone, le déverrouillais et cherchait le contact. Alors que j’appelais le numéro, je voyais du coin de l’oeil Ray essayait de se relever en s’agrippant à la rambarde. Tout d’un coup, je me souvenais ce que je voulais faire avant d’avoir ce téléphone dans mes mains.

« Ray, attends je vais t’aider… »

Ma voix tremblait, mais je m’en fichais actuellement, toute mon attention était portée sur mon ami que je soulevais non sans peine pour l’aider à monter les escaliers. C’est quand j’entendis faiblement une voix sortir du téléphone que je me rappelais avoir appelé. Difficilement, j’appuyais sur le haut parleur. C’est à ce moment que je remarquais le sang… Mon cerveau ne pouvait plus penser à autre chose, tandis que la voix d’un homme résonnait à l’autre bout du fil. Cette toux que Ray avait… Il… Il crachait du sang. Son état s’empira. Secouant la tête, je répondais enfin à l’inconnu.

« Monsieur… Monsieur Heywood? Je m’appelle Felicity, je suis une amie de Ray, nous sommes devant votre appartement, je vous en supplie venez, on a vraiment besoin de votre aide… S-s’il vous plaît. »


Allez, sois forte, Felicity, Ray a besoin de toi. On arrivait devant l’appartement et Ray se détacha de moi pour essayer d’ouvrir la porte… Verrouillée. Avant que je ne puisse réagir, il me disait qu’il allait ouvrir. Et l’instant d’après, il disparaissait. J’entendais sa voix de l’autre côté et tandis que la porte s’ouvrait, je m’appliquais à lui faire comprendre qu’il était un crétin inconscient.

« Ray, ça va pas la tête, utiliser ta ceinture pourrait aggraver ton- »

Un hurlement retentit dans l’appartement. Un hurlement qui me glaçait le sang. Ray s’effondra, souffrant apparemment bien plus qu’avait. Aussitôt, je lâchais mon téléphone, oubliant que l’appel n’était pas terminé et que mon interlocuteur pouvait parfaitement entendre les hurlements du jeune brun. Je prenais Ray dans mes bras, le serrant contre moi, complètement paniquée et horrifiée par les hurlements que poussaient mon ami. Les larmes me montaient au yeux, tandis que je le serrais plus fort.

« Je- Je suis là, Ray, je suis là, ça va aller… Doucement… Ça va aller… Nate va venir, tout ira bien… »

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MessageSujet: Re: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptyMer 25 Mar - 21:44


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Citizen Steel n’était pas un sprinteur. Trop lourd, trop fort, du genre à laisser des empreintes dans le béton dès qu’il faisait quelques pas un peu hâtifs sans y faire plus attention. Nathaniel ‘Buckeye’ Heywood, en revanche, avait un jour été l’un des quarterbacks les plus rapides de l’histoire de l’équipe d’Ohio State. Des pics de vitesse qui lui avaient en partie valu son titre de future star du sport ; et aujourd’hui, alors que l’urgence sonnait à sa porte, c’était bien à sa gloire passée de footballeur qu’il en appelait plutôt qu’à la prudence que lui imposait le corps difficile à gérer de Citizen Steel. A peine avait-il reçu ce coup de téléphone, qu’il avait ramassé ses clés à la va-vite et abandonné ses affaires sur son bureau, sans un seul regard pour ses collègues sidérés qui l’avaient vu s’enfuir, peu habitués à voir leur confrère habituellement si mesuré et tranquille partir au quart de tour. Dr Heywood ne se pressait jamais, aimait prendre son temps, une attitude faussement nonchalante qu’il avait adoptée il y a bien longtemps pour masquer les quelques problèmes occasionnés par sa constitution particulière. Aujourd’hui, il n’en avait strictement rien à faire. Quatre à quatre, essayant tant bien que mal de ne pas laisser d’empreintes dans le sol sur son passage, il dévala les escaliers de l’université de Star City et héla le premier taxi qu’il aperçut. Pas le temps pour le bus, et il vivait trop loin pour faire rapidement le trajet à pieds. Accroche-toi, Ray.

Dans le taxi, Nate rejouait en boucle l’étrange et très alarmant appel qu’il venait de recevoir. Une voix féminine, qu’il ne connaissait pas mais qu’il avait bien sentie totalement paniqué, l’informant qu’elle et Ray étaient devant son appartement, et qu’ils avaient besoin de son aide – qu’est-ce qu’il avait bien pu se passer ? Que faisait Ray à Star City ? Est-ce qu’il s’agissait des restes de New Themyscira ? Est-ce que sa ceinture avait continué de déconner ? « Prenez à droite, c’est un raccourci. » intima-t-il au chauffeur, qui dut bien comprendre à sa tête qu’il s’agissait d’une urgence. Nate baissa les yeux sur son téléphone – Felicity, ainsi que s’appelait la jeune femme au bout du fil, avait abandonné  le téléphone, et il ne lui parvenait plus que des éclats de voix étouffés et indéchiffrables. Seigneur, qu’était-il encore en train de se passer ? Quelques minutes plus tard, il régla sa course en quatrième vitesse, bondit du taxi, et s’engouffra dans son immeuble. Arrivé à son étage, il constata non sans inquiétude que la porte de son appartement était ouverte ; sans perdre un instant, il pénétra chez lui. Et sentit, aussitôt, son cœur sombrer très vite, et très bas, dans sa poitrine d’acier. « Ray ? » appela-t-il, un étranglement dans la voix. Il ne savait pas comment ils étaient entrés, tous les deux, et franchement, c’était bien le cadet de ses soucis, quand il voyait un ami, un frère, étendu là sur son plancher, dans les bras d’une inconnue au bord des larmes.

Il jeta ses clés sur une commode et se précipita aux côtés de Ray – c’était quoi ce sang, pourquoi il crachait du sang, il était pas censé cracher du sang comme ça, Ray, et Nate était pris complètement au dépourvu et ne savait pas quoi faire, mais quoi qu’ils fassent, le sol n’était sûrement pas l’endroit le plus indiqué. Avisant son canapé, Nate s’adressa à la mystérieuse inconnue : « Felicity – Felicity, c’est bien ça ? Lâchez-le un instant, on va le mettre sur le canapé… » Et il fut frappé par la pensée que peut-être, elle ne connaissait pas l’identité secrète de Ray – mais flûte, la vie de son ami avait l’air d’être en jeu, alors tant pis, il se trahirait lui-même, et peut-être Ray au passage, mais c’était pour la bonne cause. Doucement, il indiqua à Felicity de lui laisser un peu de place, et, avec la même aisance que s’il avait soulevé un fétu de paille, il souleva Ray du sort et le porta sur le sofa, avant de l’y déposer aussi délicatement qu’il le pouvait. « Qu’est-ce qu’il s’est passé, Ray ? Qu’est-ce qu’il t’arrive ? » demanda-t-il en s’agenouillant auprès de son ami, prenant sa main dans la sienne. Il avait bien une idée de ce qu’il pouvait se passer, mais Felicity… tant pis. Il avait besoin de réponses. « C’est la ceinture ? Elle débloque encore ? » poursuivit-il, avant de tourner la tête vers la blonde dévorée d’inquiétude. « Ca fait combien de temps qu’il est dans cet état ? Vous savez ce qui a pu déclencher… » Cet épisode ? Cette crise ? Il en perdait ses mots. Et surtout, il n’était absolument pas certain de la marche à suivre.


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Ray Palmer


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MessageSujet: Re: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptyMer 25 Mar - 23:44

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Thanks you two for all, was a pleasure to live amongs you, my only regrets was to not live long enough to watch both of you grow, and to witness the people you're meant to be. @Felicity Smoak,@Nathaniel Heywood


La douleur qui venait me percer le cœur, j’avais l’impression qu’on essayait de me rentrer des aiguilles toutes fines, et qu’elles réussissaient à merveille. Mes mains essayaient tant bien que mal de contenir la douleur, mais elles ne réussissaient à rien d’autre que de presque m’arracher le vêtement, démontrant que ce n’était pas la force le souci. Je sentais mes genoux touchant le sol, je venais me coller presque à ce dernier, presque le front dessus alors que mes cordes vocales manquaient de partir en lambeaux avec les cris que je poussais. La douleur ne voulait pas partir, elle semblait avoir élu domicile dans ma poitrine, mais lorsque je sentais les bras d’une personne, me serrant contre sa personne, la douleur s’amoindrissait, toujours là, assez pour faire souffrir, mais c’était comme-ci qu’une partie du mal était aspiré par la présence. Avec la situation, il me fallait une ou deux secondes pour recoller l’histoire dans mon esprit, et comprendre que c’était Felicity qui me prenait dans ses bras. Je me laissais faire, je n’opposais aucune résistance, et j’essayais de continuer à utiliser sa chaleur, son étreinte pour combattre le mal. Toujours les mains sur mon cœur, j’arrivais à presque stopper les cris, réduisant les coups qu’à de quelques piques synchronisées avec des battements. Comme un coup de jus de temps en temps. Mais mon rythme cardiaque était toujours autant élevé, je passais un coup ma main au niveau de ma bouche, avant de souffler, à peine audible. « Merci ». J’avais quelque peu moins mal, alors que j’entendais la voix de Nate, qui manquait presque de me faire louper lui aussi un battement.

Je ne disais rien au début, je laissais Nate prendre en charge la suite, laissant communiquer avec Felicity. Puis il me déplaça sur le canapé, où il se mettait à genoux devant, alors que j’étais toujours recroquevillé, me permettant de tenir un peu plus. Lorsqu’il me prenait la main, il me fallu tout mon courage, mon envie et ma volonté pour ne pas fondre en larmes tout de suite. Felicity était présente aussi, je ne pouvais pas me mettre à pleurer comme ça, devant eux. C’était impossible, j’allais passer pourquoi après ça ? C’était pourquoi j’essayais de fuir son regard, lorsqu’il posait la question de la ceinture. Je regardais du côté où Felicity ne se trouvait pas, qu’elle ne pouvait pas voir elle non plus que j’étais à rien de craquer. J’essayais de trouver quelque chose où accrocher ma vue, trouver un point qui me permettrait de ne pas tomber. Mais je ne pouvais rien faire, rien n’allait, et il fallait que je parle. Je commençais à trembler, toujours le regard tourné. Alors qu’il posait la question à Felicity. j’écoutais d’une oreille distraite, toujours à essayer de me retenir. Contenir avant de tout lâcher. J’entendais la blonde raconter ce qu’elle savait, avant qu’après de longues secondes, peut-être même plus, le temps me semblait si long, qu’au final, du voix faible, je commençais. « Je sais pas, je crois. » Commençais-je, flou sur le sujet. Mon cerveau tournait à toute vitesse pour essayer de trouver la suite, trouver comment agencer le tout, je continuais. « Comment je pouvais te le dire ? » ajoutais-je, à mes premiers mots. Ma voix s’étranglait à la fin de la phrase. Cachant un premier début de sanglot. Je tournais encore plus ma tête, risquant presque le torticolis pour cacher tout ça. Je ne voulais pas que deux des trois êtres qui comptaient le plus pour moi me voient dans cet état. Où je me sentais faible, de par ma condition, ma forme physique, mais aussi moralement. Moi qui étais quelqu’un de si optimiste, si tourné vers le futur que je n’avais jamais le temps de regarder derrière moi, de laisser de place aux démons qui voulaient ma peau. Mais là, c’était plus fort que moi. Mes muscles pour faire pivoter ma tête commencée à me tirer, alors, je baissais la tête le plus possible, cachant mes yeux qui étaient devenus presque rouge à cause des larmes. Que je n’arrivais plus à retenir, et qui malgré mon inclinaison, on pouvait certainement voir les larmes couler. Je me sentais si pathétique, si nul à ce moment que je voulais presque me frapper. Mais à la place, je continuais. « Tu venais de perdre ton grand-père Nate. Je pouvais pas... » Je le répétais une nouvelle fois. « Je pouvais pas... » alors que je faisais un petit non de la tête, comme pour appuyer mon argumentation. La suite avait du mal à sortir, elle était comme bloqué dans ma gorge, elle avait plus de mal à réussir à passer mes lèvres. Mais finalement, Elles faisaient le pas. « T’avais plein d’autres problèmes. Je voulais pas t’en rajouter un autre. Je te connais, et t’as déjà tellement de chose à penser... » Je reniflais, alors qu’avec ma manche de ma main libre, je venais passer un coup sur mes yeux et mon visage. Sortir un peu tout ça du champ de bataille qu’était ma face. Sans trop y réfléchir, je venais ensuite attraper la main de Felicity, comme quand un aimant venait se coller. Je n’avait pas réellement pensé à l’action, mais j’avais l’impression que ça allait m’aider à avoir plus de courage pour continuer. Je soufflais un coup, avant de reprendre. « La ceinture est cassé depuis notre combat Nate. » Lui annonçais-je, alors qu’il pensait qu’elle était toujours active, et qu’elle c’était ça qui me permettait d’utiliser encore mes pouvoirs. « Elle a pas refonctionné une fois depuis. Je… Je pense qu’elle à fusionné avec moi, je sais pas comment te le dire, mais il y avait des choses dedans, et quand j’ai forcé dessus, j’ai l’impression qu’elle a explosé, mélangeant l’intérieur avec mon sang. » Une prise d’inspiration avant de reprendre. « Toute les fois après, j’avais la même sensation qu’avec la ceinture, mais sans elle… » Je relevais pour la première fois les yeux, mais je croisais aucun regard. Je reprenais le récit. « J’ai peur que ce soit des contres-coups de tout ça. Comme quand on force trop sur quelque chose, il y a un moment où le point de rupture se montre... » Je regardais Felicity, mais quand mes yeux se posaient sur elle, j’avais tellement peur de décevoir que je n’arrivais pas à trouver ses yeux. C’était beau, le super-héros aussi faillible. Je finissais, toujours en ayant croisé aucun regard, mais en fermant un peu plus fort ma main sur celle de la dame. « Je crois… Je pense que je suis à ma rupture... » Le dire à haute voix me glaçait le sang, et j’avais peur que cela soit réel, que le dire rendait la chose possible. Ma tête revenait se placer au plus bas, braquant mon regard au sol.


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MessageSujet: Re: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptyLun 30 Mar - 19:14

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Mon étreinte semblait le calmer, le rassurer... Je ne le lâcherai pas, pour rien au monde. Ray avait besoin de moi et je serais forte, je serais là pour lui. On allait trouver une solution, tous les trois et ensuite on irait prendre un café en rigolant et en faisant connaissance. Concentrée sur Ray, je n'avais pas remarqué le meilleur ami de Ray qui était rentré. Entendre sa voix me fit sursauter. L'instant d'après, l'inconnu était à leurs côtés et s'adressait à moi. Mais je n'arrivais pas à répondre. Aucun son ne sortait de ma bouche... La panique ? L'inquiétude ? Probablement. Peu importe, je hochais la tête pour répondre, avant de confier Ray à son ami. La facilité avec laquelle il souleva Ray me surprit d'abord, et ensuite je me rappelais que Ray étant un super-héros, c'était probable que son meilleur ami aussi. Je le suivais du regard, me relevant un peu difficilement (pour cause, mes jambes tremblaient comme des feuilles). Je m'approchais du canapé, me mettant près de Ray, inquiète. Je tournais le regard vers Nate lorsqu'il m'adressa la parole et cette fois-ci, je ne pouvais me permettre de répondre simplement avec des signes de tête. Je respirais profondément avant de répondre.

« Il... Non. Pas vraiment. Il est arrivé chez moi dans cet état, on a essayé de trouver comment l'aider tous les deux, mais j-je... J-je ne trouvais pas de solution. » Je détournais le regard, honteuse. « Ray a proposé de venir vous voir. Son état s'empira de minutes en minutes et ça a été vraiment pire quand il a rapetissé pour entrer chez vous. »

J'avais dit tout ce que je savais, tout ce que je pouvais aussi dire dans mon état. C'est ensuite Ray qui prit la parole. Je le voyais très bien... Il tremblait, il cachait son visage. Son état me serrait le cœur. J'avais l'impression que quelqu'un s'asseyait sur ma poitrine et sur ma gorge. Il semblait au fond du gouffre, dans chaque de ses gestes, de ses paroles... Il avait voulu préserver Nate d'un soucis supplémentaire et je pouvais comprendre, même si je savais qu'il aurait du en parler avant. Et puis, il attrapa ma main... Je la serrais dans la mienne. C'était comme un baume au cœur, comme si on mettait un pansement sur une plaie un peu trop béante... C'était trop peu, mais c'était réconfortant. Je caressais de mes doigts le dos de sa main, l'écoutant sans intervenir... Jusqu'à sa dernière phrase. Sa dernière phrase avait simplement arraché le pansement et je sentais la panique me gagner.

« Non, non non non, ne dis pas ça Ray ! On va trouver une solution, d'accord ? D'accord ? Tiens bon ! O-on va y arriver ! Je vais y arriver ! »

Les larmes coulaient sur mes joues à présent, tandis que je me levais rapidement, attrapant mon téléphone pour essayer de faire des calculs, complètement désespérée.

« Il y a une solution, il y a forcément une solution... »


C'était la phrase que je répétais à travers mes larmes, qui brouillaient ma vision et m'empêchaient de voir ce que je faisais sur mon téléphone.

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MessageSujet: Re: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptyDim 5 Avr - 19:03


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Oh Ray, mais qu’est-ce que t’as fait ? Les paroles de Felicity lui plantèrent un pieu glacé dans le cœur, alors qu’un sentiment de culpabilité complètement irrationnel le submergea – si seulement il avait été là, Ray n’aurait pas eu à rapetisser et ouvrir la porte lui-même, et peut-être qu’il ne serait pas en si mauvais état. Mais la panique faisait faire des conneries à tout le monde, alors comment aurait-il pu le blâmer ? Et Ray, Ray qui affirmait n’avoir rien osé dire parce qu’il ne voulait pas en rajouter à sa peine ; Nate serra les dents et se mordit l’intérieur de la joue pour ne pas jurer de frustration. Voilà, ils en étaient là. Il n’avait pas su montrer qu’il avait les épaules assez larges pour tout encaisser et aider un ami dans le besoin, et maintenant, cet ami se retrouvait aux portes de la mort, peut-être parce qu’il n’avait pas pu l’aider à temps. A n’importe quel autre moment, Nate se serait complètement laissé abattre par ce constat. A quoi bon s’appeler Citizen Steel, à quoi bon porter cet héritage prétendument indestructible, à quoi bon pouvoir encaisser des décharges de missiles s’il n’était pas foutu d’être un mec sur qui on pouvait compter quand tout foutait le camp ? La gorge serrée, Nate contemplait le corps presque inanimé de son ami, impuissant, paniqué, à passer en revue toutes ses options – qui, hélas, dans son bête appartement de Star City, étaient quand même fort limitées. Réfléchis, Nate. Réfléchis, bon sang.

Assis à ses côtés, Nate écoutait avidement son débit de parole – Ray parlait difficilement, il avait la voix étranglée, il était de plus en plus pâle, et rien de tout ça n’annonçait quoi que ce soit de bon, et pendant un bref instant, Nate échangea un regard horrifié avec la jeune femme qui l’avait accompagné. Nate n’était pas physicien, il n’avait absolument pas l’esprit technologique, mais il n’en avait pas besoin pour comprendre que l’heure était particulièrement grave. « Ca veut dire qu’à l’hôpital, ils sauraient même pas te traiter ? » demanda-t-il, en sentant un nouveau poids s’abattre sur ses épaules. La technologie de Ray était une technologie de pointe, et tenue particulièrement secrète. Un hôpital lambda – qui serait en plus surchargé en ce moment, avec les retours de Terre-4 – n’aurait aucune idée de comment lui retirer tout ça de son système. Alors qu’est-ce qu’il leur restait, comme options ? Ivy Town était à l’autre bout du pays, impossible de s’y rendre rapidement pour chercher la solution dans son laboratoire – bon sang, si seulement Flash était là, et… « La Ligue. » lâcha-t-il, sans plus vraiment se soucier du moindre concept d’anonymat. La situation était bien trop urgente pour perdre son temps à tromper Felicity. Il n’aurait plus qu’à compter sur sa discrétion. « J’appelle la Ligue. Ils sauront forcément quoi faire, Batman aura la technologie pour te tirer de là. » s’exclama-t-il en bondissant sur ses deux pieds et en se hâtant de trouver le téléphone qu’il réservait exclusivement pour ses communications avec la Ligue de Justice.

Rapidement, il se mit en relation avec la ligne d’urgence, mais… l’écran l’informa que la connexion n’avait pas pu être établie. « Merde. » souffla-t-il, en essayant à nouveau. Même résultat. Bordel. Les communications étaient encore buguées au point de bloquer celles de la Tour de Garde ? Là, ils étaient vraiment dans la merde. Sentant son cœur chuter très bas dans sa poitrine, Nate tenta tant bien que mal de ne pas montrer son trouble ni son désarroi, alors qu’il se retournait vers ses deux compagnons. Rupture, rupture – non, certainement pas, hors de question qu’ils en arrivent là. Voyons, quelles autres options pouvaient-ils avoir ? « Et Cyborg ? Ce type est un ordinateur vivant, il doit forcément nous capter d’une façon ou d’une autre ! » suggéra-t-il, en continuant de pianoter sur son appareil de communication. Mais les secondes défilaient, et il ne recevait toujours aucune nouvelle de la Ligue, de Cyborg, ou de qui que ce soit d’autre qui aurait pu capter son message. En désespoir de cause, il tenta d’appeler Barry, au cas où celui-ci puisse au mourir rappliquer d’urgence à Star City, ou foncer à Gotham prévenir Batman, ou Diana… « Bon sang, y a rien qui passe. » s’agaça-t-il en reposant abruptement l’appareil sur une commode – y laissant une profonde fissure au passage. Respire, Nate. Il retourna s’agenouiller auprès de Ray et Felicity, et les dévisagea tour à tour. « Okay, Ray, personne ne connaît ta technologie mieux que toi. Dis-nous ce qu’on doit faire. Si t’as la moindre idée, même complètement dingue – on prend, pas vrai, Felicity ? Juste une piste, le reste on se démerde. Qu’est-ce que tu veux qu’on fasse ? »


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- Connaissance presque inégalé en nanotechnologie ainsi qu'en physique
- Capacité à se rétrécir et grandir à volonté
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- Ultra mini badass
- Quelques connaissances en combat, mais assez rudimentaire

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- Commence à ne plus avoir besoin de sa ceinture (très récent, fluctuant)
- S'adonne à la pratique de la guitare ainsi que le chant
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MessageSujet: Re: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptyMer 29 Avr - 13:20

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Thanks you two for all, was a pleasure to live amongs you, my only regrets was to not live long enough to watch both of you grow, and to witness the people you're meant to be. @Felicity Smoak,@Nathaniel Heywood


La poigne de Felicity, qui venait tenir un peu plus fort ma main me permettait d’avoir un élan de courage, d’essayer de vaincre la peur et l’angoisse qui montait, et qui me faisait presque perdre les pédales. J’avais du mal à rester lucide, j’essayais un maximum de garder mon sang-froid, mais c’était bien plus difficile de le faire que prévu. Je répondais presque instantanément à Nate. « Non. Le temps qu’ils comprennent, trop de temps se serait écoulé. » Annonçais-je, difficilement avec une pointe qui m’empêchait à nouveau de m’exprimer correctement. Je commençais à être au bout du rouleau, les idées n’arrivaient plus, comme un fleuve coupé à sa source. Rien ne venait, plus rien de frais, que du ressassé. J’entrevoyais peu à peu l’idée de ne peut-être pas en sortir. Bien que cette pensée venait me frapper le cœur aussi fort que le mal. Nate passait des coups de fils, essayant de joindre la ligue, mais il n’y arrivait pas. Rien ne sortait de son téléphone, à notre plus grand désespoir. Je profitais de ce moment pour caresser doucement la main de Felicity, essayant d’être rassurant même dans cette phase bien trop effrayante. Je lui en étais éternellement reconnaissante pour être là, pour m’avoir accompagné, elle était géniale. Beaucoup plus que je ne voulais l’admettre, et bien plus importante aussi. L’idée de la lâcher ainsi que Nate et Lux, c’était impossible. Je ne voulais pas. Pas maintenant.

Nate me proposait de donner des pistes, des idées. Il avait raison sur le fait que personne ne connaissait mieux cette technologie que moi. J’essayais de faire aller mes neurones, trouver rapidement un plan, quelque chose. Lorsque soudain, une idée germait dans mon esprit. J’essayais, la difficulté encore un peu plus présente dans ma façon de parler. « Il y a peut-être quelque chose. » Je regardais tour à tour Felicity, puis Nate. Avant de leur annoncer le revers. « Mais c’est l’ultime baroud d’honneur. Après ça, j’ai plus rien. » Leur annonçais-je, avec une petite lueur dans les yeux. Puis, essayant de me tenir un peu plus droit, j’expliquais ce que j’avais en tête. «  Depuis le coup de la ceinture, la douleur vient très souvent du cœur. Peut-être que le problème est un problème groupé, mais que tout se rejoint à ce moment. Quand la ceinture m’a explosé sur le ventre, en plus de se mélanger à mon sang, je n’étais pas à ma taille conforme. J’étais bien plus petit. » Je me frottais la tête, essayant de calmer la transpiration qui venait s’ajouter à ça. Mon autre main était toujours dans celle de la blonde. « Ce que je veux dire, c’est que peut-être le mélange s’est fait par défaut à cette taille, et que du coup, revenant à ma taille normale, tout se met à mal fonctionner. Un peu comme si je passais maintenant en géant. » Mon esprit scientifique reprenait le dessus, et c’était un plutôt bon signe, je continuais de regarder leur visage pour m’assurer qu’ils suivaient toujours. « Et que le problème viendrait que le produit n’avait pas le temps de se répandre assez, que j’ai forcé tout de suite derrière, et que je n’ai jamais retourné à cette taille depuis, laissant la suite se produire. C’est peut-être fou, mais j’ai une hypothèse qui pourrait confirmer ça. » Sans attendre, je venais soulever mon t-shirt, pour que seule ma peau ne reste, je gardais la main de Felicity que je venais apposer à l’endroit où se trouvait mon cœur. Avant de la regarder dans les yeux et ajouter. « Je suis pas dans un super état pour le faire moi-même, mais est-ce que tu pourrais voir si tu sens mon pouls ? » Je laissais quelques longues secondes passer, avant de reprendre pour informer aussi bien elle que Nate. « Si tu ne sens rien, c’est que mon cœur à probablement déjà rétrécis, d’où mes douleurs... » Je venais apposer mon autre main sur la sienne, garder le contact quelques secondes avant de sortir du petit moment, et de me tourner cette fois face à mon meilleur ami. « On peut essayer de me rétrécir, à la même taille, attendre quelques minutes, avant de revenir à cette taille. » Je regardais Nate, plus convaincu que jamais. « Ça peut fonctionner ». J’essayais de bouger quelque peu, avant de lui demander ultimement. « Est-ce que tu peux m’aider à me déplacer jusqu’au milieu de la pièce ? S’il te plaît ? » Je profitais que les douleurs étaient à un point où je pouvais tolérer sans hurler, pour tenter le tout pour le tout.


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J'ai des bonnes compétences en ingénierie, en mathématiques, en biochimie et les bases en dentisterie.
Je me débrouille plutôt bien pour enquêter. Même si je n'aime pas les mystères.
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MessageSujet: Re: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptyMar 12 Mai - 22:28

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Je crois que lâcher la main de Ray m’était impossible, à cet instant. Je crois que ça m’aurait arraché le coeur… En miettes, le coeur. Il était déjà fragilisé, alors que je le regardais, si faible, souffrant, peinant à parler. J’avais peur. Je n’avais jamais eu aussi peur de ma vie. J’étais terrorisée, horrifiée et je n’étais pas la seule… Nate, le meilleur ami de Ray, était aussi désespéré que moi. Tous les deux, on se creusait la tête, cherchant une solution, s’il vous plaît une solution…

« Non… Ils n’ont ni le matériel, ni les connaissances nécessaires… Ca les dépasserait totalement, à l’hôpital. »

Nate parla de la Ligue. Bien sûr, ce n’était pas nouveau… Je me doutais que Nate en faisait partie aussi. Je ne réagis que par ces mots, tandis que le meilleur ami de Ray essayait désespérément de contacter la Ligue, n’importe qui de la Ligue, pitié que quelqu’un réponde… Je vous en supplie… On a besoin d’eux ! Pourquoi ils ne répondent pas ? Pourquoi ils ne sont pas là quand nous, on en a besoin ? C’est égoïste et idiot ce que je pense, bien sûr, mais… Mais je souffrais et j’avais besoin de blâmer, même en pensée, quelqu’un. Je n’écoutais même pas les sages paroles que Ray venaient de dire sur l’impossibilité pour eux de nous aider. Non, c’était des justiciers, ils doivent sauver les gens et Ray a besoin d’être sauvé. Je serrais plus fort sa main, posant mon autre main sur son bras, essayant de me calmer tandis que Nate demandait à notre ami en danger s’il avait une quelconque idée… Rien qu’une petite… Et il en avait une ! Il en avait une… L’espoir m’envahissait alors que j’écoutais ses explications. Mes yeux brillaient de ce nouvel espoir alors que je répondais :

« Oui… Oui ! Oui, c’est possible ! Ca expliquerait pourquoi ça s’est aggravé quand tu es devenu petit pour rentrer ici... »

Ce n’était pas fou, c’était plausible, c’était un moyen qu’il reste en vie… Je me laissais faire, tandis qu’il guidait ma main vers l’emplacement de son coeur. Je me concentrais… Son pouls… Son pouls… Je le sens. Mais il est si faible. La panique m’envahit cette fois, surtout lorsque Ray me donna son explication. Les larmes me montaient aux yeux et je crois que je tremblais un peu… Mais il apposa son autre main sur la mienne et soudain, la panique disparut. Je pus parler, même si ma réaction parlait sûrement pour moi.

« Je ne sens presque pas ton pouls… Mais je le sens quand même. J-je le sens... »


Ray se tourna vers Nate et parla enfin de la possible solution. Et je voyais que Ray y croyait… Alors j’y croyais. J’y croyais et j’y mettais tout mon coeur. Ray allait s’en sortir, oui… Oui ! Il allait s’en sortir. Alors, à ce moment, lâcher sa main était un peu moins dur. Je lâchais donc, pour permettre à Nate de l’aider.
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MessageSujet: Re: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptySam 16 Mai - 20:01


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Nathaniel estimait être quelqu’un de pas mal dégourdi, quand le besoin s’en faisait sentir – et parfois, quand il avait de la chance, il lui arrivait même de faire preuve d’intelligence. Mais là, tout de suite, devant son frère d’armes et de laboratoire à l’agonie, il se sentait si parfaitement stupide et impuissant qu’il aurait pu hurler, s’il n’avait pas su qu’il ne ferait qu’aggraver la situation. Il s’accrochait désespérément aux paroles de Ray, cherchait à suivre son raisonnement, qui avait le mérite d’avoir du sens malgré son état, mais Nate ne s’y connaissait clairement pas assez en sciences pour être sûr de la validité de l’hypothèse de Ray. Mais Felicity avait l’air de piger, elle avait l’air enthousiaste, elle avait l’air d’y croire, et Nate la dévisagea sans oser y croire. Est-ce qu’elle pensait vraiment que ça pouvait marcher, ou est-ce que ce n’était que le désespoir qui la poussait à s’agripper à la plus petite lueur d’espoir, aussi insensée soit-elle ? Mais de toute façon, quel autre choix avaient-ils ? La gorge nouée, le cœur serré, et un poids lourd dans l’estomac, Nate hésita, observa attentivement alors que Felicity prenait le pouls de Ray et confirmait ses terribles soupçons. Ca ne pouvait pas finir comme ça. Pas si brutalement. Pas si bêtement.

La voix de Ray le tira à nouveau de ses pensées, et Nate darda sur lui un regard anxieux alors qu’il écoutait ses consignes. « C’est de la folie, Ray. » ne put-il s’empêcher de murmurer. Utiliser la ceinture dans cet état, alors que c’était la ceinture la source du problème – c’était la seule solution qu’ils avaient, mais c’était une solution tellement risquée, que ça en devenait un de ces moments où il se demandait s’il ne valait pas mieux ne rien faire du tout. Puis il attrapa le regard implorant de Felicity, et il reporta le sien sur Ray, chargé d’attente, fiévreux, et il sentit sa volonté flancher. C’était Ray, le spécialiste. Et lui, à part assister à cette débâcle et faire ce qu’on lui demandait de faire, il n’y avait rien qu’il puisse changer. Alors, lentement, il hocha la tête. « Accroche-toi à moi. » intima-t-il à son ami, avant de lui faire passer son bras autour de ses épaules. Et doucement, sans effort, il se redressa, aidant Ray à se relever à son tour. Si le cœur de Ray était presque impossible à sentir, le sien à lui tambourinait à tout rompre dans sa poitrine.

A pas mesurés, Nate aida son ami à s’avancer jusqu’au milieu de la pièce, ignorant le sang qui gouttait derrière eux, et lorsqu’ils y furent, il relâcha son emprise, très prudemment, pour finalement ne plus le soutenir qu’en laissant ses mains sur ses épaules. Il chancelait, Ray, pâle et faible, déjà seulement le fantôme de lui-même. « T’y es, Ray. » lâcha-t-il, mécaniquement. En revanche, il ne pouvait pas se résoudre à relâcher ses épaules. Il avait un pressentiment, un mauvais, un horrible pressentiment. Et il ne voulait pas le perdre. Pas lui, en plus du reste. « T’es sûr de toi, Raymond ? » demanda encore Nate, le suppliant presque du regard de le détromper. De lui dire soit que tout irait bien, soit de tout arrêter. Qu’ils trouveraient une autre solution. Que la Ligue allait les rappeler. Mais dans la pièce, c’était comme si un compte à rebours s’était mis en retard. « Dis-nous juste quoi faire si ça marche pas. » l’implora-t-il. « Une piste, quelque part où aller, quelqu’un à qui parler, quelque chose à tenter. On fait quoi, s’il t’arrive quelque chose ? » Parce que même s’il arrivait quelque chose, même si tout se passait mal, il refuserait de le perdre. Et il se raccrocherait à quelque chose, et à cet espoir démesuré de réparer cet affreux désastre.



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MessageSujet: Re: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptyLun 31 Aoû - 20:08

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Thanks you two for all, was a pleasure to live amongs you, my only regrets was to not live long enough to watch both of you grow, and to witness the people you're meant to be. @Felicity Smoak,@Nathaniel Heywood


Un petit sursaut de panique m’envahissait. Et si j’avais faux ? Qu’allait-il se produire ? Allais-je mourir ? Être paralysé ? Rester petit à jamais ? Des questions qui venaient embrumer mon esprit et qui me faisait presque douter intérieurement de cette action. Mais c’était la seule qui était jouable, la seule que je pouvais tenter. Comme un coup de poker, dans tous les cas j’étais perdant. Pourquoi ne pas tout miser sur le seul chemin qui me permettrait de revoir le jour ? La logique primait avant tout. Avoir quelques pourcentages de chance en plus était non négligeable, c’était des chances qui me rattachaient un peu plus à la vie. Et j’allais les tirer, les garder de mon côté et prier pour que tout se passe comme prévu. Une grande aspiration venait tenter de me calmer, en façade, j’essayais de garder un peu plus cet air qui pourrait montrer que je savais ce que je faisais. Felicity confirmait qu’elle sentait quelque chose de faible, ma théorie était juste. Le moment était venu, j’en tremblais presque. Même essayant de le cacher, je n’aurais pas été surpris de savoir que quelques frissons passaient. Avec l’aide de Nate, il venait me déposer à l’endroit indiqué.

Mon meilleur ami me demandait si j’étais sûr de moi. Je ne l’étais pour le moins du monde, mais je ne pouvais me résoudre à lui dire, c’était impossible. Je n’aimais pas mentir, mais j’étais certain que si je disais la vérité à ce moment précis, ils ne m’auraient pas laissé tenter le coup, justifiant qu’il y avait forcément un autre moyen. Je le regardais droit dans les yeux, cherchant les mots justes, les mots qui pourraient l’aider. Mais aucun ne venait rapidement, je brodais donc. « Tu… T’espères pas te débarrasser de moi aussi facilement ? » ajoutais-je avec un sourire très forcé, beaucoup trop. Mais je retombais directement après la prochaine phrase de Nate. Regardant le sol, trifouillant dans mon esprit, j’essayais de trouver quelque chose. Mais rien. « J’ai pas mal de bordel chez moi, il doit sûrement y avoir la réponse. » Avant d’ajouter aussi. « Les fiches techniques de ma ceinture y sont en tout cas, en étudiant et en essayant de produire une ceinture inverse, c’est peut-être possible. » disais-je, cherchant réellement à trouver quelque chose à leur donner. Mais mon cerveau commençait réellement à ne plus en pouvoir. La fatigue, la panique, le surmenage. Il était tiré dans tous les sens, il commençait à avoir du mal à suivre. Je m’apprêtais à tenter l’expérience. Mais une partie de moi voulait ajouter une dernière chose. Je me tenais debout, avec un peu de mal, mais seul. Il n’était pas possible de rétrécir alors que quelqu’un me tenait, je ne voulais pas emmener un bras avec moi. Je regardais tour à tour la blonde, puis le brun. « Si jamais… ». Ma voix cassait, mais je redoublais d’effort pour la relancer. « S’il se passe quelque chose. S’il vous plaît, ne vous en voulez pas. On a fait du mieux qu’on pouvait. Pas de regret. » La logique. Si mon destin était de disparaître maintenant, je ne voulais pas être un poids qui allait les ralentir dans le futur. La vie était bien trop courte pour en perdre ne serait-ce qu’une infime partie de ce précieux moment. Ce n’était probablement pas une chose qu’ils voulaient entendre, mais il le fallait, je le voulais.

Je soufflais une dernière fois, avant de faire un petit signe de tête. Puis, dans un moment éclair, le monde autour de moi rapetissait, jusqu’à reprendre la taille que j’avais quand j’étais sur l’autre monde. D’une taille d’un cure-dent, je voyais Felicity en grand. Je sentais mon cœur se remettre à battre à tout vas. La situation l’aidait beaucoup, mais la blonde n’en était pas innocente non plus. Je portais mes bras devant moi, comme pour les inspecter. Je les tournais, cherchant une erreur ou quelque chose qui me montrait que ça n’allait pas. Mais tous les feux étaient au vert. Je n’avais plus mal, j’arrivais même à calmer ma respiration, à reprendre un rythme convenable. Je commençais à sourire, rire même. J’étais sorti d’affaire ? Victoire ? Je souriais à la blonde au lunette, avant de regarder le géant qu’était mon frère d’une autre mère. Je prenais la parole, assez fort pour être entendu. « J’ai… J’ai plus mal, je sens mon pouls, c’est encore trop tôt, mais ça m’a l’air de fonctionner ! » Avec beaucoup d’optimisme dans ma voix. Mais comme un flash, quelque chose venait frapper ma cervelle. Comme si la lucidité me revenait, et que pour la première fois depuis quelques heures, je voyais le grand tableau. Avec cette lucidité retrouvée, les paramètres ajoutés et le tout mixé pour en sortir la résultante, mon cerveau en venait à une conclusion qui manquait de me tuer directement. C’était certain, je le savais depuis le début mais je m’en caché, j’essayais de fuir cette chose alors que je le savais au fond de moi. J’allais disparaître.

Il ne me restait plus longtemps, c’était une certitude. Je baissais la tête, visage grave. Je n’avais plus rien à faire, juste disparaître. C’était ainsi que j’allais finir. Je n’aurais jamais le temps de dire au revoir aux personnes que j’aimais. J’aurais tellement voulu aller chez mes parents une dernière fois. Prendre un thé avec eux. Discuter du temps où je n’étais qu’inconscience et que mes seuls problèmes étaient liés à des legos. Passer plus de temps avec Nate. Cet homme qui était un frère pour moi. Aller voir des matchs, boire un bon coup, se chamailler dans le salon sur des débats stériles dont le seul but est d’emmerder l’autre pour le plaisir. Proposer un verre à Felicity. L’entendre me raconter ses journées sur un ton bien trop excité et un débit de parole trop rapide pour bien suivre. Lui faire découvrir mon monde. Et Lux… Luxanna ! Je m’apprêtais à grandir, pour leur hurler de s’occuper d’elle. Elle avait déjà vécu l’enfer, pas une deuxième fois. Cependant, vu le stade avancé, je n’avais que l’espace de quelques battements avant de partir. Mon cœur ne résistera pas à plus. Je redevenais grand, une main tendue vers eux, mon visage n’était pas tendu, je le savais que c’était la fin, à quoi bon perdre le peu de temps qu’il me rester. D’une voix calme, je commençais. Sans pleurs, sans craquements de voix. « Ça n’a pas marché. » Pas besoin de mentir. Je m’approchais de Nate, que j’attrapais dans mes bras, l’espace de cet instant, ma force était présente, je n’avais aucun souci à me déplacer ou tenir sur mes jambes. Une fois dans mes bras, je lui disais. « J’aurais voulu faire encore un bout à tes côtés. » Je lui donnais un grosse tape dans le dos, avant de sortir de l’étreinte, coller mon front au sien. « Prends soin de toi, mon frère. » Tape sur l’épaule, je me tournais vers la blonde. J’approchais tout en attrapant ses deux mains. « Mon plus gros regret sera de ne pas t’avoir connu plus tôt. » Je lâchais sa main pour venir caresser une de ses mèches. « J’aurais voulu avoir le temps d’une vie pour te connaître. » Je regardais sa mèche tourner autour de ma main. Lorsqu’une explosion dans mon cœur me faisait comprendre que c’était l’heure. Cette douleur sans précédent me faisait reculer, avant de me faire tomber en arrière sur un meuble, dos à ce dernier. Mon souffle se coupait, je commençais à voir flou. C’était la fin. Felicity et Nate perdaient leurs formes pour ne devenir que des ombres, des mouvements que j’avais du mal à suivre. « Lux ! » disais-je, souffle court. « Pour moi » avec tant de peines. Avant de sentir une nouvelle fois une explosion. Puis, le noir. Je ne sentais plus rien, je ne voyais plus rien. Plus aucun son ne parvenaient à mes oreilles. C’était fini.


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MessageSujet: Re: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptyLun 28 Sep - 22:54

What feels like the end is often the beginning.

C’était notre dernière chance de sauver Ray. La toute dernière, car si ça ne marchait pas, cela pouvait simplement… Simplement… L’achever. C’était si dur à penser, mais tu savais que si utiliser la ceinture n’arrangeait pas son état… Cela ferait l’effet inverse. Et vu la gravité de la situation, cela était égal à…

Non. Non. C’était impossible que ça ne marche pas. Son raisonnement était parfaitement logique. Cela ne pouvait que fonctionner. Le contraire était juste inconcevable. En voyant Nate hésiter… Cela me rappelait mes propres doutes. Des doutes que je refoulais, que j’enfouissais sous un espoir bien trop maigre. Je ne supportais pas de le voir hésiter, car j’allais douter à mon tour et en cet instant, il était absolument impératif que je crois. Que je crois au plan de Ray… Et que Nate y croit aussi. Je le regardais donc, le suppliant d’un regard beaucoup trop désespéré pour que Nate n’y voit que du feu. Malgré tout, il accepta. Je le regardais accompagné Ray au centre de la pièce. Il demandait à Ray s’il était sûr de lui. Ce dernier éluda la question, avant de finalement répondre à la deuxième question : ce qu’on devait faire si ça se passait mal. J’enregistrais automatiquement les informations mais je n’y prêtais guère attention. Toute mon attention était portée sur Ray, sur chacun de ses faits et gestes… Comme si rien d’autre n’existait à ce moment. Il n’y avait plus que Raymond, plus que cette dernière tentative, ce dernier espoir… Sa voix parla, une phrase évoquant la possibilité d’un échec, mais mon cerveau le rejetta en bloc. Des regrets, j’en aurais si ça arrivait. Il ne pouvait pas nous demander d’être satisfait de nos tentatives dans le cas où-

Non. Pas le temps de penser aux alternatives. Il allait y arriver. Alors que je le fixais, il hocha la tête, avant de disparaître. Non, il n’avait pas disparu, en fait… Il avait simplement rapetissé. Je le voyais, là, par terre… Si minuscule que je ne pouvais discerner ce qu’il faisait. Je m’approchais assez pour entendre une phrase qui gonfla mon coeur d’un espoir… Un espoir qui serait douloureux dans quelques instants. Soudain, Ray reprit sa taille normale. Par réflexe, je reculais de quelques pas. Et quand je vis l’expression de son visage, mon coeur se serra. Il était trop calme. Il n’y avait pas de soulagement dans son visage. C’était le visage de quelqu’un qui avait accepté son sort. Et d’une voix tout aussi calme, il frappa mon coeur d’une seule phrase : ça n’a pas marché. Ca n’a pas marché. Pendant quelques instants, je passe en mode automatique. Je suis Ray du regard tandis qu’il va prendre Nathaniel dans ses bras. Je n’entends pas ce qu’ils se disent. Tout ce que j’entends, c’est

« Ça n’a pas marché. »

Ce qui me ramena sur Terre, c’est lorsque Ray se dirigea vers moi. C’est la sensation de ses mains autour des miennes. Et sa voix… Me disant des mots qui faisaient si mal. Alors qu’il lâcha ma main pour caresser une mèche de mes cheveux, je levais la mienne vers sa joue, la posant doucement.

“Ray… Je t’aime-”

Son visage se secoua de douleur et il reculait sous celle-ci, tomba en arrière. Je hurlais son nom en me précipitant à ses côtés. Ma vue troublée par des larmes, j’attrapais sa main et l’appelais. Il ne semblait pas m’entendre. Ses derniers mots résonnèrent, formant son dernier voeu, son ultime requête. S’occuper de Lux… Il l’avait dit avec tout ce qui lui restait de force. L’instant d’après, ma main se referma sur le vide.

“R-Ray ?”

Je regardais autour de moi, perdue, incapable de comprendre… Non. J’en étais capable. Mais je ne voulais pas. Je touchais le sol où il était, le fixant un instant. Et puis le premier sanglot traversa mes lèvres, alors que je posais mon front contre la surface, comme pour le sentir encore une fois contre ma peau. Des mots inintelligibles sortaient de ma bouche. J’appelais Ray, j’appelais à l’aide, je le suppliais de revenir, mais…

Rien ne se passa.
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MessageSujet: Re: What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate   What feels like the end is often the beginning Ft Fel & Nate EmptyMar 29 Sep - 20:56


what feels like the end is often the beginning


Ray se montrait optimiste, mais honnêtement, Nate, lui, n’arrivait pas à se débarrasser e cet abominable pressentiment qui lui retournait l’estomac depuis qu’il avait reçu le message de Felicity. Quelque chose n’allait pas. Quelque chose n’allait vraiment pas, même dans l’exclamation triomphante de Ray, aussitôt suivie de son expression qui se décomposa d’un seul coup, comme si, enfin, il en était arrivé à la conclusion qui lui pendait sous le nez depuis le début. Quoi qu’il soit en train de se passer en termes techniques, la réalité la plus crue de la chose, c’était qu’ils étaient en train de le perdre. Dans sa poitrine, son cœur se décrocha pour chuter de dix étages. Tétanisé, Nate resta planté là, à fixer ce Ray miniature qui ne disait plus rien. Non. Non, mais non, ça ne pouvait pas finir comme ça, pas aussi stupidement, pas à cause d’une ceinture qui ne fonctionnait plus ! C’était de Ray Palmer, qu’on parlait, là, d’Atom, l’un des scientifiques les plus brillants de sa génération, un superhéros de la Ligue de Justice ! Mais non. C’était trop tard, cette fois. A retardement, New Themyscira et Brainiac étaient en train de faire une ultime victime – et lui et Felicity n’avaient d’autre choix que d’assister impuissants au désastre.

Ray retrouva sa taille normale, et cette fois, Nate sut qu’ils en étaient définitivement arrivés à la même conclusion. Et Ray avait l’air de plutôt bien l’accepter. Mieux que lui, mieux que Felicity, les deux grands abandonnés de l’histoire qui se retrouvaient un peu orphelins. La gorge serrée, Nate accueillit son ami dans ses bras, serrant peut-être un peu plus fort que nécessaire, comme si ça pouvait d’une façon ou d’une autre le retenir. « Moi aussi, mon vieux. Moi aussi. » souffla Nate dans une bribe de voix qui lui ressemblait à peine. Il parlait mais c’était comme si sa voix était déconnectée de son cerveau ; comme si sa bouche répondait mécaniquement aux adieux de Ray, lui disait ce qu’il voulait sans doute entendre, pendant que son cerveau hurlait que non, qu’il y avait sûrement une solution, et avait envie d’insulter le monde entier. C’était injuste. C’était profondément, terriblement injuste. Véritable statue d’acier immobile, Nate ne broncha pas, pendant que Ray faisait ses adieux à Felicity, pouvant à peine imaginer ce qu’elle pouvait ressentir. Enfin. Si, il imaginait. Surtout que leur relation avait l’air de dépasser le stade de la simple amitié – bon sang, c’était vraiment injuste.

Et soudain, l’explosion de lumière, un dernier nom articuler précipitamment, et bam. Comme ça, dans un souffle, Ray Palmer avait disparu. Et pendant quelques secondes, Nate et Felicity restèrent parfaitement immobiles, horrifiés face au vide insoutenable devant eux. Ray était parti. Et ce fut Felicity qui craqua la première, tombant à genoux là où Ray s’était tenu debout à peine quelques secondes auparavant, le corps secoué de sanglots. Ray était parti. D’abord Hank, maintenant Ray… Un profond sentiment de révolte, viscéral, lui tordit l’estomac, l’encourageant presque à coller son poing dans un mur pour extérioriser une peine trop lourde pour ses seules épaules, mais son regard tomba à nouveau sur Felicity, et ses envies de colère s’envolèrent aussitôt, pour laisser place à une profonde tristesse – et un furieux besoin d’agir. Alors, Nate s’accroupit aux côtés de la jeune femme, une inconnue encore quelques heures plus tôt à peine, et, doucement, passa son bras autour de ses épaules. « Je suis désolé. » lâcha-t-il dans un souffle. Et puis, aussitôt, une résolution naquit dans son esprit qui se refusait à l’évidence, qui refusait l’inévitable. « On le retrouvera. » ajouta-t-il. Pas pour la consoler, pas pour lui donner de faux espoirs – juste parce que de l’espoir, ils en avaient besoin. Et s’il y avait la moindre chance de ramener Ray Palmer parmi eux, alors ils la trouveraient. « Je ne sais pas encore comment, mais on le ramènera. » Et tant pis s’il fallait défier la marche du monde pour y parvenir.

FIN.

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