Le pays vient tout juste de se remettre de ces attaques. Parce que le Président Moore à décrété un recensement des métas-humains et héros. Ce n'est pas les métas les véritables responsables mais bien la politique du pays, le responsable c'est Moore. Et malgré tout, nous, la Ligue, sommes venus à son secours, pour mettre fin à ces attaques. Nous avons été épaulés par l'organisation de Waller, A.R.G.U.S, une aide précieuse et efficace. A peine dix morts à déplorer par ces attaques grâce à notre intervention corrélée, et cela aurait pu être pire, bien pire. Et malgré ça, bien que la côte de la Ligue ait remonté, les avis sont encore partagés mais j'ai espoir que la bonne foi des gens prendra le dessus et réaliserons que nous sommes là pour eux, bien que nous agissons au-dessus des lois. Cela fait maintenant quelques semaines que les attaques ont eues lieu, le retour à la normal reprend son cours. Et la politique s'ébranle avec la campagne présidentielle de Luthor et Carter bien plus actives qu'avant les attaques méta-humaines. Ce matin, aux derniers sondages, Carter est toujours donnée gagnante et j'espère qu'à la fin ce sera le cas mais avec Luthor, il faut s'attendre à tout, malheureusement je ne serai pas surpris de le voir à la fin gagner et siéger à la Maison Blanche. Et tout ça me laisse tout de même perplexe. Et Diana le voit clairement à ma tête alors que je fixais la Terre depuis la baie-vitrée de la salle de réunion. « Arrête Kal. Rien ne dit que Luthor va l'emporter, Amelia Carter est une femme de poigne avec des convictions. Puis elle est favorite pour remporter les élections. » me dit Diana s'approchant de moi et bras croisés contre la poitrine, je tournais la tête vers elle. « Tu as surement raison Diana. Mais j'ai appris a rester sur mes gardes avec Luthor, il est prêt à tout pour avoir le pouvoir. » « Je sais oui. » « Mais bon, changeons de sujet. » et juste à la regarder, elle savait déjà de quoi je voulais parler. « Tu sais que je suis pour. C'est un homme de confiance. » et je lui souriais avant de quitter la salle puis la Tour de Garde. Et je volais dans le silence glacial de l'Espace vers la Terre. Il était temps.
Je vole jusqu'à Washington, j'entends des voix raisonner jusqu'à mes tympans clamant mon nom et je souriais continuant ma traversée dans les cieux. L'Union Station, détruite par l'attaque méta-humaine commençait à retrouver sa splendeur d'avant bien que les travaux soit toujours conséquents. Et enfin je me stoppais dans les airs avant d'amorcer ma descente et d’atterrir devant l'imposant bâtiment d'A.R.G.U.S. Je fus presque immédiatement accosté par des hommes en costard avec oreillettes. « Superman, ce site est la propr... » « Propriété du Gouvernement je sais. Je tiens à m'entretenir avec le Colonel Steve Trevor. Rassurez-vous, je ne bouge pas d'ici. » et évidemment aussitôt les hommes en noir posèrent leur doigts sur l'oreillette, je souriais, entendant clairement les dires de Waller qu'elle leur transmettait depuis l'oreillette. « Bien Madame. Superman veuillez-nous.. » « Suivre ? Avec plaisir. » et je fus conduit à l'intérieur d'A.R.G.U.S. Ma présence surprenait à l'intérieur, j'entendais les messes-basses des employés mais je continuais ma route, escorté par les deux hommes jusqu'à l'ascenseur. « Elle vous attends. » « Je sais. Merci messieurs et bonne journée. » leur dis-je avant que les portes ne se referment. Quelques secondes à attendre avant qu'elles ne s'ouvrent de nouveau. Et Waller en premier plan. « S'il y a bien une chose à laquelle je ne m'attendais pas aujourd'hui, c'est bien vous. » sortait-elle d'un ton presque aussi désagréable que celui de Lex. « Merci de me recevoir. J'aimerai m'entretenir avec.. » « Trevor. Je sais. » et le Colonel en personne faisait son apparition. « Soyez bref. » « Très bien Madame. » répondis-je aussi brièvement qu'elle alors qu'elle tournait les talons, passant à côté du Colonel Trevor. « Steve, ravi te revoir. » lui dis-je, souriant, serrant sa main en guise de salutation. « Y a t-il un endroit ici ou nous pourrions parler seul à seul ? Loin des caméras de Waller. Ce que j'ai à te dire est important. » et c'est certain qu'il sera sur le cul en entendant ce que j'ai à lui dire.
En salle de gestion de crise, ça foisonnait toujours autant, plus encore au vue des récentes attaques qui avaient frappé un peu partout. Les agents à leurs écrans de contrôles, les autres qui allaient et venaient avec des notes ou de nouveaux renseignements en temps réel, d'autres encore qui venaient faire des rapports, ça n'arrêtait pas, et malgré la gravité de chaque situation, j'aimais ça. J'étais dans mon élément, à voir tous ces individus, hommes et femmes, dévoués à leurs métiers, à ne plus compter leurs heures tant que les crises du moment ne trouvaient pas une issue favorable à défaut de parfaite. Car dans ce métier de l'espionnage et du maintien de la paix, il y avait peu de victoires à 100%. Il y avait toujours des demi-teintes, malheureusement. Mais sans ARGUS, les dommages n'en seraient que bien pires encore.
Waller aboyait ses ordres d'un côté, j'aboyais les miens de l'autre, avec bien moins de mauvaise humeur mais tout autant d'autorité. Nous dirigions et orientions les actions de chaque service sous nos ordres, comme les chefs d'orchestre d'une fourmilière qui, coordonnée, abattait un travail tentaculaire gigantesque. Renseignement, observation, extraction, capture, sabotage, sauvetage, protection, les missions d'ARGUS étaient variées. Il y avait tellement de missions d'unités sur le terrain en simultanée aux quatre coins du monde, c'était électrisant de voir en direct via leurs micro-caméras embarquées l'évolution des opérations commandos, et ça me donnait envie d'aller moi-même sur le terrain. Je ne faisais que ça, auparavant, mais désormais Colonel et second de Waller, je devais partager mon temps entre la supervision, la stratégie, la gestion et coordination des troupes, et les missions opérationnelles où je dirigeais moi-même mon équipe sur le terrain. Ca m'allait, même si l'adrénaline du terrain serait toujours la pire des drogues pour quelqu'un comme moi, qui y reviendrait quoi qu'il arrive.
« Il ne manquait plus que l'un d'eux. » Je me tournai vers Waller car vu le ton blasé et agacé de sa voix ce n'était pas super rassurant en général, et suivis son regard. Sur l'un des écrans de surveillance du QG, la silhouette reconnaissable entre mille de l'homme d'acier venait d'apparaître en train d'atterrir, après avoir été suivi sur les radars satellites d'ARGUS depuis plusieurs kilomètres déjà. Je fus soulagé, pendant un instant j'avais cru qu'une nouvelle menace atroce allait nous tomber sur la tronche. Mais non, bien au contraire, c'était le protecteur le plus célèbre de la planète qui était là. Et surtout, l'un de mes amis, même si je me gardais bien d'utiliser ce terme en présence de Waller, pour qui les émotions n'étaient clairement pas un point positif, et cela même si elle m'avait embauché comme agent de liaison exprès dans cet objectif.
« Effacez-moi ce sourire, Trevor, » m'ordonna Waller qui se mettait en chemin d'un pas sévère, entourée de quelques agents de protection. Je ne savais pas comment elle faisait pour voir dans son dos, c'était un de ces nombreux talents bien flippants qu'elle possédait. Je lui emboîtai le pas en ravalant ma réplique et mon sourire amusé par l'arrivée de Superman, et nous rejoignîmes le hall intermédiaire où il avait été introduit pour nous attendre. Oui je devais avouer que voir Waller râler à cause des super-héros était un plaisir personnel qui restait intact malgré les années.
Waller fut bien sûr la première à parler avec l'invité impromptu du jour tandis que j'arrivais derrière elle, une fois qu'elle eut fini de donner ses brèves consignes, à savoir de ne pas s'éterniser avec moi. Elle repartit aussi vite qu'elle était venue, me laissant enfin le champs libre. « Superman, toujours un plaisir, » souris-je en retour, serrant sa main amicalement. C'était toujours impressionnant de côtoyer les géants de la Justice League, d'autant plus l'une des figures de proue comme l'était Superman. Même après des années d'alliance, qui étaient devenues des années d'amitié et de confiance, je restais toujours admiratif rien que de le voir. Il fallait dire qu'il avait un costume du tonnerre aussi, ça aidait pas mal. Je fus surpris de sa demande et réfléchis rapidement.
« Clairement pas dans l'enceinte de ces lieux, tu t'en doutes, » souris-je. Il était peu aisé de trouver un endroit où ARGUS n'avait pas des yeux et des oreilles, qu'ils soient électroniques, méta-humains ou humains. « A part te dire dans la campagne au milieu d'un champs ou au milieu de la jungle, en ne parlant qu'entre deux passages satellitaires orbitaux au-dessus, je ne suis pas sûr de pouvoir te garantir que Waller ne nous entendra pas si elle a envie de le faire, » grimaçai-je en marchant vers la sortie à ses côtés, sans pourtant mentir, car pour être espion moi-même, et avoir accès à l'arsenal technologique d'ARGUS, je savais jusqu'où pouvait pousser la surveillance, si la sécurité mondiale était en jeu. Détourner tout appareil électromagnétique environnant pour en faire des micros, caméras, capteurs sensoriels, et autres choses du genre, était le dada de l'organisation. Ce ne serait pas une agence d'espionnage internationale sinon. « Mais je suis sûr qu'avec tes pouvoirs, tu es en mesure de nous trouver un petit coin sympathique ? Car ma curiosité est clairement piquée à vif. »
Pour faire autant de mystères, de la part de Superman en personne, il y avait effectivement de quoi avoir déclenché ma curiosité la plus grande. Je me retins néanmoins de lui poser des questions, tant que nous n'étions pas dans un coin propice au partage de secrets.
J'avais longuement réfléchis et la décision était prise. Steve était un homme de confiance, un allié de la Ligue et un ami depuis toutes ces années. Il était en droit de savoir à présent et je sais qu'il gardera le secret, après tout il garde le secret pour Diana depuis toutes ces années et je n'ai aucun doute qu'il en sera de même pour moi. C'est avec le sourire que je le saluais alors que Waller nous laissait tous les deux, serrant sa main alors qu'il acquiesçait le même gage de sympathie que j'avais à son égard. Et je ne perdais pas de temps, je voulais aller droit au but. Je lui demandais alors s'il y avait un endroit ici où nous pourrions parler en privé, loin des yeux et des oreilles de Waller. Je connaissais déjà la réponse en vérité mais je voulais être sûr et Steve ne manqua pas de me le rappeler. Impossible ici de discuter. « Ne t'en fais pas, je m'en doutais mais je voulais vraiment être sur. » lui avouais-je alors que je marchais à ses côtés dans le hall, vers la sortie. Puis Steve était persuadé que j'avais un endroit où parler sans craindre la présence de Waller. Je tournais alors ma tête vers lui et lui souriait. « En effet. » et je m'arrêtais pour lui faire face. « Je suis certain que tu ne mettras pas de temps à venir. A.R.G.U.S. doit avoir des jets particulièrement rapides. Rejoins -moi aux cordonnées 76° 15' 2.081" Nord 100° 6' 50.227" Ouest. Tu trouveras sans problème j'en suis certain. » lui dis-je toujours souriant posant ma main sur son épaule. « Et couvre-toi c'est un conseil. » et sur ces mots je retournais dans l'ascenseur, pour rejoindre la sortie du bâtiment et m'envoler.
Steve n'allait pas tarder, malgré le système de surveillance de la forteresse, mon ouïe entendait déjà les réacteurs de son appareil se rapprocher. Je souriais pianotant sur les claviers flottants et l'IA de la forteresse s'exprimait « -- Objet volant en approche, selon les données terrestres il s'agit d'un Jet RC RAFALE 1/7. Sa vitesse est de 328 km/h. Temps d'arrivée estimé à 30 secondes --. » je quittais donc les ordinateurs flottants qui remontaient puis je me dirigeais vers l'entrée de la Forteresse. Les portes s'ouvrirent et au loin je voyais l'avion de Steve. J'attendais immobile les bras croisés alors que son avion se posait enfin. « Bienvenue en Arctique Colonel Trevor. » lui dis-je alors qu'il quittait le cockpit. Je me rapprochais de lui « J'espère que Waller n'a pas trop fulminé. Quoiqu'il en soit merci d'être là. » et je commençais à marcher aux côtés de Trevor qui se tenait chaudement la doudoune et je souriais « Ne t'en fais pas tu pourras la quitter une fois à l'intérieur. » et notre marche s'arrêtait devant d'immenses portes. « Je crois qu'après toutes ces années, il est temps de te montrer ma Forteresse. » et je posais ma main sur la parois glacée. « -- Bienvenue Kal-El. Bienvenue Colonel Steve Trevor. --. » s'exclamait l'IA, surprenant sans doute Steve. Les portes s'ouvraient et j'invitais Steve à rentrer. « Tu peux enlever ta veste, la chaleur ici avoisine les 23 degrés. » lui dis-je alors que les portes se refermaient.
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Le pays vient tout juste de se remettre de ces attaques. Parce que le Président Moore à décrété un recensement des métas-humains et héros. Ce n'est pas les métas les véritables responsables mais bien la politique du pays, le responsable c'est Moore. Et malgré tout, nous, la Ligue, sommes venus à son secours, pour mettre fin à ces attaques. Nous avons été épaulés par l'organisation de Waller, A.R.G.U.S, une aide précieuse et efficace. A peine dix morts à déplorer par ces attaques grâce à notre intervention corrélée, et cela aurait pu être pire, bien pire. Et malgré ça, bien que la côte de la Ligue ait remonté, les avis sont encore partagés mais j'ai espoir que la bonne foi des gens prendra le dessus et réaliserons que nous sommes là pour eux, bien que nous agissons au-dessus des lois. Cela fait maintenant quelques semaines que les attaques ont eues lieu, le retour à la normal reprend son cours. Et la politique s'ébranle avec la campagne présidentielle de Luthor et Carter bien plus actives qu'avant les attaques méta-humaines. Ce matin, aux derniers sondages, Carter est toujours donnée gagnante et j'espère qu'à la fin ce sera le cas mais avec Luthor, il faut s'attendre à tout, malheureusement je ne serai pas surpris de le voir à la fin gagner et siéger à la Maison Blanche. Et tout ça me laisse tout de même perplexe. Et Diana le voit clairement à ma tête alors que je fixais la Terre depuis la baie-vitrée de la salle de réunion. « Arrête Kal. Rien ne dit que Luthor va l'emporter, Amelia Carter est une femme de poigne avec des convictions. Puis elle est favorite pour remporter les élections. » me dit Diana s'approchant de moi et bras croisés contre la poitrine, je tournais la tête vers elle. « Tu as surement raison Diana. Mais j'ai appris a rester sur mes gardes avec Luthor, il est prêt à tout pour avoir le pouvoir. » « Je sais oui. » « Mais bon, changeons de sujet. » et juste à la regarder, elle savait déjà de quoi je voulais parler. « Tu sais que je suis pour. C'est un homme de confiance. » et je lui souriais avant de quitter la salle puis la Tour de Garde. Et je volais dans le silence glacial de l'Espace vers la Terre. Il était temps.
Je vole jusqu'à Washington, j'entends des voix raisonner jusqu'à mes tympans clamant mon nom et je souriais continuant ma traversée dans les cieux. L'Union Station, détruite par l'attaque méta-humaine commençait à retrouver sa splendeur d'avant bien que les travaux soit toujours conséquents. Et enfin je me stoppais dans les airs avant d'amorcer ma descente et d’atterrir devant l'imposant bâtiment d'A.R.G.U.S. Je fus presque immédiatement accosté par des hommes en costard avec oreillettes. « Superman, ce site est la propr... » « Propriété du Gouvernement je sais. Je tiens à m'entretenir avec le Colonel Steve Trevor. Rassurez-vous, je ne bouge pas d'ici. » et évidemment aussitôt les hommes en noir posèrent leur doigts sur l'oreillette, je souriais, entendant clairement les dires de Waller qu'elle leur transmettait depuis l'oreillette. « Bien Madame. Superman veuillez-nous.. » « Suivre ? Avec plaisir. » et je fus conduit à l'intérieur d'A.R.G.U.S. Ma présence surprenait à l'intérieur, j'entendais les messes-basses des employés mais je continuais ma route, escorté par les deux hommes jusqu'à l'ascenseur. « Elle vous attends. » « Je sais. Merci messieurs et bonne journée. » leur dis-je avant que les portes ne se referment. Quelques secondes à attendre avant qu'elles ne s'ouvrent de nouveau. Et Waller en premier plan. « S'il y a bien une chose à laquelle je ne m'attendais pas aujourd'hui, c'est bien vous. » sortait-elle d'un ton presque aussi désagréable que celui de Lex. « Merci de me recevoir. J'aimerai m'entretenir avec.. » « Trevor. Je sais. » et le Colonel en personne faisait son apparition. « Soyez bref. » « Très bien Madame. » répondis-je aussi brièvement qu'elle alors qu'elle tournait les talons, passant à côté du Colonel Trevor. 
« Steve, ravi te revoir. » lui dis-je, souriant, serrant sa main en guise de salutation. « Y a t-il un endroit ici ou nous pourrions parler seul à seul ? Loin des caméras de Waller. Ce que j'ai à te dire est important. » et c'est certain qu'il sera sur le cul en entendant ce que j'ai à lui dire.
En salle de gestion de crise, ça foisonnait toujours autant, plus encore au vue des récentes attaques qui avaient frappé un peu partout. Les agents à leurs écrans de contrôles, les autres qui allaient et venaient avec des notes ou de nouveaux renseignements en temps réel, d'autres encore qui venaient faire des rapports, ça n'arrêtait pas, et malgré la gravité de chaque situation, j'aimais ça. J'étais dans mon élément, à voir tous ces individus, hommes et femmes, dévoués à leurs métiers, à ne plus compter leurs heures tant que les crises du moment ne trouvaient pas une issue favorable à défaut de parfaite. Car dans ce métier de l'espionnage et du maintien de la paix, il y avait peu de victoires à 100%. Il y avait toujours des demi-teintes, malheureusement. Mais sans ARGUS, les dommages n'en seraient que bien pires encore.
Steve n'allait pas tarder, malgré le système de surveillance de la forteresse, mon ouïe entendait déjà les réacteurs de son appareil se rapprocher. Je souriais pianotant sur les claviers flottants et l'IA de la forteresse s'exprimait « -- Objet volant en approche, selon les données terrestres il s'agit d'un Jet RC RAFALE 1/7. Sa vitesse est de 328 km/h. Temps d'arrivée estimé à 30 secondes --. » je quittais donc les ordinateurs flottants qui remontaient puis je me dirigeais vers l'entrée de la Forteresse. Les portes s'ouvrirent et au loin je voyais l'avion de Steve. J'attendais immobile les bras croisés alors que son avion se posait enfin. « Bienvenue en Arctique Colonel Trevor. » lui dis-je alors qu'il quittait le cockpit. Je me rapprochais de lui « J'espère que Waller n'a pas trop fulminé. Quoiqu'il en soit merci d'être là. » et je commençais à marcher aux côtés de Trevor qui se tenait chaudement la doudoune et je souriais « Ne t'en fais pas tu pourras la quitter une fois à l'intérieur. » et notre marche s'arrêtait devant d'immenses portes. « Je crois qu'après toutes ces années, il est temps de te montrer ma Forteresse. » et je posais ma main sur la parois glacée. « -- Bienvenue Kal-El. Bienvenue Colonel Steve Trevor. --. » s'exclamait l'IA, surprenant sans doute Steve. Les portes s'ouvraient et j'invitais Steve à rentrer. « Tu peux enlever ta veste, la chaleur ici avoisine les 23 degrés. » lui dis-je alors que les portes se refermaient.