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 you've got a friend in me (steve)

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MessageSujet: you've got a friend in me (steve)   you've got a friend in me (steve) EmptyVen 17 Avr - 0:31

Steve &
Susan

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Yeux grands ouverts, Susan contemplait le plafond blanc de sa chambre ou quelques rayons de soleil formaient un ballet de formes lumineuses. Une moue boudeuse se forma sur sa bouche et la mère de famille tenta d'ignorer la lumière du jour pour glaner quelques précieuses minutes de soleil en plus. Rien n'y fit et avec un soupir elle abandonna toute tentative. Susan ne put que grommeler un peu plus lorsqu'elle avisa l'heure que lui renvoyait son réveil. Sept heures du matin. Elle avait en tout et pour tout dormi quelques heures. Pas assez pour se sentir fraîche et prête à attaquer cette nouvelle journée. Dépitée par avance de devoir passer son samedi à courir derrière sa pré-adolescente de onze ans, Susan se traîna jusqu'à la salle de bain attenante à sa chambre à coucher. L'eau chaude faillit l’assommer un peu plus et la blondinette se surprit à fermer les yeux sous le jet d'eau. Son côté écolo la ramena cependant bien assez vite à l'ordre et après ça la douche fut une affaire vite réglée. Un peu de savon, un peu de shampooing. Bientôt, elle fut enroulée dans une sortie de bain, ses cheveux mouillés enroulés dans un chignon sur le haut de son crâne, prêts à être séché un peu plus tard. Sur le coup, la femme ne trouva pas le courage et reporta donc l'atelier coiffure à un autre moment. Et puis sinon, ils sécheraient  au pire dans cette position et formeraient des boucles déstructurées et emmêlées sur son crâne. Franchement, depuis qu'elle avait eu un enfant – ou plutôt deux -, Susan se fichait pas mal de son apparence. Elle avait appris qu'il y avait plus important qu'un trait de liner parfaitement appliqué ou que des lèvres rouges et pulpeuses. Il y avait les activités, les jeux, la nourriture, les devoirs … tout un tas de choses qui prenaient le pas sur son bien être personnel. Surtout un jour de week end. Et surtout après avoir passé une telle soirée.

Laissant les souvenirs de la vieille au passé, l'ancienne policière descendit les escaliers menant à sa grande pièce à vivre ouverte. «  Zoe ! Tu es déjà debout ? » s'enquit-elle surprise de voir sa fille en pyjama devant les dessins animés. D'habitude, l'enfant dormait encore à poings fermés et n'émergeait que vers huit heures et demi ou neuf heures, fatiguée d'une semaine de cours et de dramas en tout genre. Cette semaine, il lui semblait que c'était Joana qui n'avait pas été très gentille. La semaine prochaine, elle redeviendrait probablement sa meilleure amie et Tiana ou Luna seraient les ennemies publiques numéro un. Franchement, Susan ne se souvenait pas avoir eu une vie sociale si agitée au même âge. Et pourtant, elle venait de Gotham. Cela en disait assurément beaucoup sur la nouvelle génération et les liens sociaux entre les individus. Tout était superficiel, remplaçable. Une évolution qui, lorsqu'elle y pensait, faisait un peu de peine à la mère de famille. Cela lui paraissait triste. Triste et solitaire. Mais qu'y pouvait-elle ? C'était ainsi que les choses se déroulaient aujourd'hui.

En outre, elle n'était pas un modèle de stabilité relationnelle. Divorcée, un enfant déjà décédé. Des faits qui avaient profondément bouleversés l'enfance de Zoe. Comme beaucoup de fois auparavant, elle ne put s'empêcher de se demander si la difficulté qu'éprouvait son enfant à se lier aux autres ne venait tout simplement pas d'elle. Peut-être était-elle la seule responsable de ce malaise. L'idée était terrifiante. Zoe refusait cependant toute aide professionnelle et Susan n'avait pas le cœur à la forcer. Elle savait par expérience qu'il fallait vouloir être aidé pour gagner quelque chose d'une consultation avec un psychologue. Alors pour le moment, elle rongeait son frein et faisait du mieux qu'elle pouvait. Il serait mentir que de dire qu'elle n'avait pas l'impression d'échouer à chaque pas. Qu'il était difficile d'être mère. Si elle le savait dès le départ, elle regrettait que personne ne lui ait dit à quel point.

« On mange quoi ? » demanda la petite fille, en regardant sa mère tête en bas par dessus l'accoudoir. «  Qu'est ce que tu veux ? ». «  On a de quoi faire des pancakes ? ». « Probablement ». «  Avec des pépites de chocolat et du sirop d'érable ? ». «  ça fait beaucoup de sucre ça Zoe ». «  Roooh, c'est pour me remonter le moral ». Susan posa son regard bleuté dans celui de la même couleur de sa fille. Cette dernière lui faisait la moue. Manipulatrice mais adorable. Susan ne résista pas et céda à sa requête. Sa récompense fut le grand sourire sur le visage de sa petite poupée. « Je vais même t'aider » déclara d'ailleurs cette dernière en oubliant ses dessins animés et en sautillant jusqu'à la cuisine. «  Trop aimable ma très chère princesse » se moqua gentiment Susan. Un léger rire cristallin s'échappa d'entre ses lèvres lorsque la petite tête blonde de sa fille lui tira la langue.  

A peine Susan eut-elle fini de disposer les ingrédients dont elle avait besoin sur le plan de travail que le sonnette retentit. Les deux filles se regardèrent, surprises. Susan fronça cependant les sourcils, n'attendant personne à une heure aussi matinale. «  Je vais voir qui c'est ! » s'exclama Zoe en sautant de son tabouret. «  Zoe .. ». «  Oui je sais, je regarde par le judas avant d'ouvrir et je n'ouvre que si je connais » récita la petite fille avant de courir vers la porte d'entrée. Au moins, pour tout son toupet, elle avait retenu la leçon.

Pando
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MessageSujet: Re: you've got a friend in me (steve)   you've got a friend in me (steve) EmptySam 18 Avr - 16:41


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Steve & Susan



« Tu te traînes, Terry ! » J'entendis une envolée lyrique d'insultes de petit caïd de cité s'échapper entre deux soufflements de boeuf. Terrence était mon filleul, au sens spirituel et associatif du terme, et je lui menais la vie dure pour son bien. J'étais venu le tirer du lit de chez sa mère, dans leur studio de quartier défavorisé, pour le footing matinal de la semaine. Depuis une heure déjà on courrait à travers les quartiers à moitié en ruines de Washington, grimpant et redescendant les tas de gravats sur les trottoirs pour complexifier l'effort physique. « A droite ! » avertis-je pour bifurquer dans la ruelle. « En sur-place, va pas croire que t'as le droit à une pause, à l'armée t'en auras pas ! Si tu t'arrêtes tu perds le pari j'te rappelle, » le prévins-je en faisant de petits pas sportifs sur place devant le seuil de l'immeuble. Je sonnai à l'interphone, on nous ouvrit, et ce fut parti pour sept étages en courant. « C'est que c'est lourd et chiant à porter là ça m'gave ça m'déséquilibre put¤!# ! » Il avait joué l'équilibriste pour rattraper une pomme qui avait menacé de fuir. « C'est le but, tu vas quand même te laisser faire par des fruits et légumes ? Ou alors c'est que les voyous de banlieue sont plus ce qu'ils étaient. J'te préviens si tu fais tomber ceux de madame Gravson je reviens demain matin même heure et on recommence tout, » menaçai-je plus amusé qu'autre chose. Chacun de nous deux portait dans son sac à dos les courses faites en chemin pour différentes personnes du quartier. Depuis Brainiac et les six mois de Terre gelée c'était la cata pour beaucoup de monde dans leur quotidien. J'avais décidé de combiner mon bénévolat auprès des ados à problème avec une entraide de premières nécessités, autant mettre cette mauvaise graine pleine d'énergie à profit. Terrence voulait entrer dans l'armée, c'était la seule chose qui pouvait le sauver de son quotidien de voyou, alors je l'aidais. Du sport, du sport, du dépassement de soi, et la satisfaction d'aider son prochain entre deux insultes et deux envies d'abandonner et de me sauter dessus pour me tabasser. Porter des kilos de légumes et de fruits pour les vieux et vieilles du coin ça en faisait un sacré footing. Plus dur encore quand je lui demandais de me répéter ses leçons de mathématiques et que je le challengeais avec des équations de calcul mental. Il rêvait d'être commando et pas simple militaire du rang, il allait devoir avoir autant le corps que l'intellect s'il voulait réussir.

On pourrait se demander comment un voyou criminel de banlieue en était arrivé à obéir à des ordres d'un parrain d'association. Disons que j'avais dû jouer de la testostérone lors de mon emménagement à Washington y a quelques années. Nettoyer progressivement le quartier des mauvaises influences et des gang, à grand renfort de persévérance avec des voisins courageux prêts à me suivre. Mais c'est une longue et toute autre histoire.

Sur le palier de madame Gravson, je parlai avec la veille dame si reconnaissante de ce service de livraison bénévole, et d'un geste du menton j'ordonnai au gamin (qui avait quand même dix-sept ans et déjà un long casier judiciaire) de prendre le relais, de saluer la dame, et de lui donner ses courses. Tout ça sans cesser de sautiller sur place pour pas perdre le rythme cardio. On transpirait comme des boeufs mais c'était pas grave. Politesses terminées c'était reparti dans les rues. J'augmentai la cadence jusqu'à la prochaine supérette. Rebelotte pour les courses remplissant nos sacs, et nos épaules avec des filets de pommes en travers. Etait-il besoin de dire qu'un tel programme physique épuisait le gamin pour le reste de la journée et qu'il n'avait plus la force d'être méchant avec sa mère veuve voire qu'il était sympa avec elle, et qu'en plus il avait ensuite la flemme d'aller traîner couteau dans la poche du côté du parc à dealers ? De toute façon il savait que si je le trouvais dans ce parc, je lui démolissais le portrait, à lui comme à toutes les bandes qui y seraient, super-soldat mode. Vu qu'ils comprenaient le respect que comme ça, malheureusement, et que dommage pour eux, après avoir combattu Arès, Cheetah et autres menaces galactiques ils risquaient pas de me faire très peur. J'étais un dresseur de dragon moi, je cotoyais Waller tous les jours.

Encore trois personnes à livrer, puis ce furent les courses à faire pour lui et sa famille. C'était le deal. Je leurs payais leur bouffe, il pouvait prendre tout ce qu'il voulait... du moment qu'il pouvait le porter sur le chemin retour, toujours en courant. Bien sûr je l'aidais, et portais le maximum aussi. « Les para c'es soixante kilos qu'ils portent. Et tu te plains pour même pas vingt kilos, » l'emmerdai-je, un pack de bouteilles d'eau sur mon épaule gauche, le sac rempli à ras bord, et un gros paquet de patates sous l'autre bras, toujours devant. Il avait même plus la force de m'insulter. Je rendis le caïd à sa mère, je crois bien qu'il alla s'endormir sous la douche, et j'eus droit à des biscuits africains faits maison en remerciements, comme à chaque fois. Trop bon.

Direction chez moi, douche aussi, enfourchage de bécane, passage à l'épicerie de nouveau et direction chez Susan. La journée ne faisait que commencer après tout, le soleil était à peine levé, et c'était l'heure du deuxième petit-déjeuner, celui d'après l'effort. Le vent dans les cheveux, rien de plus agréable après le sport. Je sonnai à la porte après avoir vérifié que ma veste cachait mon pistolet correctement à l'arrière de mon dos, calé dans mon jeans (c'était le mauvais côté de mon métier, impossible de sortir non-armé quand on était numéro deux d'une agence d'espionnage et donc une cible à abattre ou à kidnapper). Par sécurité, le chargeur plein était dans la poche intérieure de ma veste. Un sourire me vint en entendant la petite voix de Zoé derrière. Du coup je fis une grimace devant le judas pour la faire rire et peu après la porte s'ouvrit.

« Salut Zoé ! Tu as encore grandi ou je rêve ? » Je posai le plat de ma main sur le haut de son crâne pour faire semblant de vérifier, avant d'en rire et de faire le check de salutations avec elle. Un check seulement à nous élaboré au fil de mes visites, qui avaient permis de passer de simple collègue à ami auprès d'elle et de sa mère. Je refermai la porte derrière moi et avançai vers celle-ci près de la cuisine. « Salut Susan, comment tu vas ? Je sais qu'il est un peu tôt, j'espère que je ne te dérange pas, je peux repasser un autre jour si tu préfères, » dis-je en venant vers elle pour la saluer. Je savais néanmoins qu'elle se levait rarement tard, en jeune mère célibataire. « Ah, mais je vois qu'on a les mêmes valeurs... » commentai-je en voyant les ingrédients à pancakes sur le plan de cuisine. Une fois sûr que je ne dérangeais pas et que je pouvais rester (loin de moi l'idée de m'incruster non plus, j'étais poli), je posai mon sac de courses à côté. « Je voulais vous proposer un brunch avec pancakes... ça fera double-dose je suppose ? » souris-je en sortant les ingrédients.

« Enfin si Zoé a été sage. Sinon pas de pancakes, et pas de cadeau secret, » annonçai-je en arquant un sourcil suspicieux, regardant la gamine de biais pour attiser sa curiosité. Est-ce que j'avais un cadeau pour elle dans ma poche ? Oui totalement. J'aimais bien cette gamine, et j'aimais encore plus voir le sourire que sa mère posait sur elle quand je parvenais à le capter. Voir les gens heureux, un plaisir simple de la vie. Ma croyance majeure, c'était bien que le bonheur était plus contagieux qu'un coronavirus. Susan méritait bien un peu d'insouciance vu la vie qu'elle menait de front. Ce n'était pas comme si j'ignorais les grandes lignes de sa mission de la veille au soir en plus, car sans être responsable du Suicide Squad et ses ses membres, je voyais passer les rapports et ordres de missions malgré tout, sans m'y attarder. C'était une des raisons pour lesquelles j'avais aussi décidé de venir. Lui faire penser à autre chose que son crétin d'ex-mari criminel.

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MessageSujet: Re: you've got a friend in me (steve)   you've got a friend in me (steve) EmptySam 18 Avr - 23:10

Steve &
Susan

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Après un rire, la fillette fit tourner la clé dans la serrure et ouvrit la porte en grand pour accueillir leur visiteur. La voix masculine qui s’éleva de la porte d'entrée ne put qu'amener un sourire sur ses lèvres. Steve. Un peu tôt pour une visite mais Susan n'allait certainement pas cracher sur un peu d'aide et sur la présence d'un autre adulte dans sa maison. « Salut Susan, comment tu vas ? Je sais qu'il est un peu tôt, j'espère que je ne te dérange pas, je peux repasser un autre jour si tu préfères ». D'un geste de la main, elle balaya ses doutes et l'invita à rester. Toujours un bon invité – même lorsqu'il ne l'était pas -, il était encore venu les bras chargé de victuailles. Prête à prendre le commandement de sa cuisine, assurément. Quelque chose qu'il ne fit que lui confirmer en lui exposant son plan. Zoe leva les bras, absolument ravie par la perspective qui se présentait à elle. De la nourriture à foison... un excellent moyen de se mettre un enfant dans la poche. Surtout lorsque l'enfant en question était d'une gourmandise inégalée. Sucré, salé, chez elle tout était bon à prendre du moment que c'était comestible. Par chance, Zoe avait une maman qui faisait attention à sa ligne. « Enfin si Zoé a été sage. Sinon pas de pancakes, et pas de cadeau secret ». Les yeux pétillants d'une joie mal contenue, Zoe se tourna complètement vers Steve et lui donna sa plus grande attention. « J'ai été très sage. Tu peux demander à maman. J'allais même l'aider à faire les pancakes » récita t-elle comme le petit ange qu'elle pouvait être. Lorsqu'elle le voulait. Un léger rire passa les lèvres du Susan qui haussa les épaules. «  Maman ! » s’offusqua l'enfant en apercevant mon geste du coin de l'oeil. « Très très sage. Comme une image » se reprit elle alors, une lueur malicieuse aux fonds de ses yeux mi bleus-mi verts. «  J'ai même eu un A+ ! » ajouta Zoe, pas peu fière de sa performance. « C'est vrai. Je suis très fière de toi ma chérie » déclara la mère de famille avant de passer une main dans ses cheveux blonds en pagaille. Un geste qui amena le petit bout de chou à grogner un peu. A onze ans, les câlins de papa et maman – ici seulement de maman – ce n'était déjà plus assez cool. Surtout devant une audience. Et que cette audience soit juste Steve n'y changeait rien. « Je te laisse les rênes de ma cuisine Steve. Je vais... euh.. me changer » souffla t-elle, tout un coup un peu gênée. Après tout, elle était toujours dans sa sortie de bain. Sortie de bain sous laquelle, elle était complètement nue.

Les joues un peu rouge de gêne, elle se glissa hors de la cuisine et dans les escaliers. Lorsqu'elle redescendit, habillée convenablement, Steve et Zoe était en pleine conversation chuchotée. «  Qu'est ce que vous complotez vous d'eux ? ». Suspicieuse, elle les regarda à tour de rôles. Pour toute réponse, ils lui offrirent leurs plus belles gueules d'anges. Susan secoua la tête, amusée. Voyant que la préparation des pancakes avait déjà été entamée, elle entreprit de mettre la table. Trois assiettes, des couverts, des verres. Machinalement, la femme blonde remplit un pichet d'eau et fit un détour jusqu’à son frigo pour attraper la bouteille de jus de fruits entamée. Une fois qu'elle eut posée le tout sur la table, elle n'eut qu'à rajouter le Sopalin pour en finir. « Vous avez besoin d'aide ? » questionna t-elle, tout en connaissant déjà la réponse. Non évidemment. Ils avaient ça bien en main. Faisant une confiance aveugle à Steve, bien meilleur cuisinier qu'elle ne le serait jamais, elle entreprit de les laisser à leurs petites affaires culinaires et passa dans son salon pour le ranger. Après une semaine à  jongler entre le travail, l'école et le sport de Zoé, la maison avait bien besoin d'un petit rafraîchissement. Alors Susan plia les plaids, rangea les livres jetés négligemment sur les accoudoirs, et débarrassa la table basse. Elle en profita également pour éteindre la télévision.

Lorsqu'elle n'eut plus rien à ranger dans l'immédiat, elle retourna vers sa cuisine et s'appuya sur l’îlot central de sa cuisine. «  Alors ce cadeau c'était quoi ? ». «  Steve a dit après le petit déjeuner ». Vu la moue boudeuse de Zoe, elle n'avait pas été ravie de devoir se plier à cette condition. Vraiment, Steve la gâtait trop. Susan n'avait cependant pas le cœur à les arrêter vu que cela rendait sa fille si heureuse. Peut être plus tard lui en toucherait elle deux mots. Elle était cependant assez mal pour parler. Après tout enfant, elle avait grandi dans un manoir et n'avait eu qu'à claquer des doigts pour avoir ce qu'elle voulait. Des caprices, elle en avait du en faire. Même si à son âge, elle ne s'en souvenait évidemment plus. Au final, en y regardant bien, au vu de la vie privilégiée et dorée qu'elle avait eu pendant un temps. Elle n'avait pas mal tournée. Un fait qu'elle s'était faite confirmer la vieille en croisant ses parents. Non, elle était parfaite comme elle était.

Pando
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