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 (Barry) Dreaming about the things that we could be

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Iris West


Iris West

human being

Messages : 202
Date d'inscription : 31/03/2020
Face Identity : Emilia Clarke
Crédits : (lilousilver-av) - (astra-codes sign) - (tumblr)
(Barry) Dreaming about the things that we could be 8c2eadc168bf87e4a1d50d7ab24933215c21b29a
Age du personnage : Trente trois années que la fleur éclos et fleurie.
Ville : La ville qui grouille, qui illumine de ses flash, Central City demeure l'endroit où elle se sent en sécurité.
Profession : Cet emploi qui lui permet d'être qui elle est, qui la passionne et l'emmène vers ce dépassement de soi constant. Elle est fière d'être une journaliste à part entière.
Affiliation : Un lutin rouge aux antennes d'éclairs a eu raison de sa dévotion à jamais.
Compétences/Capacités : (Barry) Dreaming about the things that we could be GzhJETdl_o
- Vulnérable humaine avec ses qualités et ses défauts
- Esprit aiguisé pour mieux rédiger ses articles
- Curieuse invétérée pour fouiner les moindres détails
- Forte capacité à savoir pardonner qu'une seule personne d'être en retard et lui trouver des excuses
(Barry) Dreaming about the things that we could be Tq01isjt_o
Situation Maritale : En couple avec le plus grand héro de Central City, même si beaucoup ne le considèrent plus à sa juste valeur.









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MessageSujet: (Barry) Dreaming about the things that we could be   (Barry) Dreaming about the things that we could be EmptyMar 17 Nov - 11:49



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We'll be, we'll be counting stars.

Bartholomew Allen & Iris West

Un soupir s’échappait délicatement entre ses lèvres de poupées. A la fois surpris, inquiet, il dégageait tout de même de cette timide chaleur dont elle ne savait si elle pouvait se laisser bercer encore. Que faire ? Que dire ? La nouvelle était tombée quelques semaines après leur aventure en compagnie de sa meilleure amie et jamais la journaliste n’aurait cru entendre cela. Ou plutôt, pas maintenant, surtout pas maintenant. Le verdict l’avait laissé pantoise, bouche bée pendant plusieurs longues secondes durant lesquelles le scénario se déroulait encore et encore. Cette soirée aussi inoubliable était-t-elle désirait, d’une certaine manière, laisser une trace à jamais inscrite dans les âmes de ceux qui l’avaient partagé ensemble. Cet ensemble qui fondait un foyer à part entière et dont elle aurait apprécié pouvoir s’en réjouir pleinement pour fonder un avenir. Mais quel avenir pouvaient-ils envisager à ce stade ? Perdue dans ses pensées, la petite brune avait d’abord fixé le médecin devant elle avec cet air incrédule. Était-il certain de ce qu’il venait de lui avancer ? Bien sûr qu’il l’était. Toutefois, il lui conseillait de consulter un gynécologue afin de mettre en place toute cette série de consultations à tenir dans un état comme le sien. Il la sommait de réfléchir, de s’en réjouir car « un peu de joie ne pouvait qu’être un plus aujourd’hui ». Et ce, avant qu’elle n’émette même une quelconque idée quant à la décision qu’il fallait prendre. Autant l’avouer, Iris n’avait jamais envisagé tomber enceinte et surtout pas dans des conditions semblables à celles qu’ils vivaient actuellement. Mais visiblement, le sort ou ce que beaucoup plaçaient sous le signe du destin l’avait ou plutôt, les avait, rattrapés à tous les deux. Ils venaient tout juste de franchir quelques pas l’un vers l’autre que déjà Iris avait l’étrange impression que l’infime confiance que Barry venait de lui offrir serait mise à rude épreuve. Lui, qui, craignait tant pour sa santé mais surtout celle d’autrui, lui, qui, apprenait tout juste à survivre avec ce fléau qu’il combattait jour après jour. Quel avenir pouvait-elle lui offrir en lui annonçant une telle venue ? Elle le connaissait trop bien, pour savoir que cela augmenterait bien plus sa crainte et accroitrait son désespoir, sans qu’il n’ose envisager une seule seconde que cela éveillerait une nouvelle force pour survivre le plus longtemps possible. Et cela lui faisait d’autant plus mal que d’oser envisager un avenir sans cet être qui grandissait déjà. L’abandon lui était un sujet bien trop accru et impensable pour qu’elle ne puisse en émettre ne serait-ce qu’une légère entrevue. Cependant, elle ne pouvait choisir seule face à ce destin qu’elle ne voulait pas voir briser. Murée dans le silence, elle cherchait le bon moment pour le lui annoncer. Mais ce dernier ne semblait jamais se présenter au point qu’elle finissait par se demander s’il existait réellement un bon moment pour le faire ?

D’autant que les diverses missions tenues par les héros de la planète se succédaient les unes aux autres pour ramener une paix durable sur l’ensemble de la Terre. Ce n’était définitivement pas le meilleur moment pour l’annoncer à l’homme qu’elle aimait. Pas alors qu’il revêtait son costume pour les sauver tous. Mais elle ne pouvait garder cela secret indéfiniment, cela n’était pas juste pour Barry, ni même pour cet enfant qu’elle portait. Aussi, se persuadait-t-elle d’attendre le retour de Flash pour se lancer. Après tout, que risquait-elle ? Essuyer un nouvel abandon ? Son cœur n’était pas certain de pouvoir le supporter, mais si tel était le choix de son amour elle le supporterait. Parce qu’elle ne pouvait en aucun cas songer à un quelconque avortement, sa décision était prise et quiconque la connaissait pouvait avancer l’idée que si Iris West décidait quelque chose, il lui était difficile voire impossible de revenir en arrière. Déterminée quant à ce choix, la petite brune s’était empressée d’envoyer un sms au jeune homme afin de savoir s’ils pouvaient se retrouver. Même si, elle crever d’envie de se rendre directement chez lui, sans même le prévenir de cette visite, Iris retenait ses ardeurs tant elle connaissait le désir de Barry de rester en retrait. Il méritait du repos, tout comme il méritait une quiétude certaine dans sa vie. Hélas, les héros n’étaient pas de ceux à qui l’on accordait ce luxe, et ce sacrifice crevait petit à petit le cœur de la journaliste alors qu’elle constatait combien l’épuisement tirait de plus en plus les traits du jeune homme. Mais force était de constater que Bartholomew Allen était un véritable exemple à suivre. Tant son âme était bonne, son cœur pur et ses aspirations toujours envahies de cette bienveillance pour autrui qu’il s’en oubliait lui-même. Une part d’elle admirait énormément ce courage et ces innombrables qualités, mais une autre part, peut-être égoïste, aurait simplement apprécié que le monde puisse lui laisser un peu de temps pour se remettre. Du temps, durant lequel toutes les interrogations qu’ils se posaient auraient surement trouvées des réponses et les auraient confortés pour profiter un peu de ce que la vie aurait à leur offrir si ils osaient l’entrevoir à deux.

« Tu m’ouvres s’il te plaît, j’ai les bras chargés. » Finalement, et ce malgré ses bonnes résolutions, Iris n’avait pu attendre la réponse de Barry. A moins qu’il ne l’ait fait dans le temps imparti qui l’avait fait quitter son appartement pour se rendre dans la boulangerie la plus proche afin d’acheter de quoi partager un bon moment avec le jeune homme avant de se rendre chez lui. Devant la porte de cet appartement qu’elle avait rêvé de revoir depuis leurs retrouvailles, la journaliste attendait patiemment que les cliquetis intérieurs lui indiquent l’éventuelle possibilité de pouvoir rentrer et le revoir. « Sauf si t’es pas là, donc je vais attendre cinq minutes avant de tout poser par terre et regarder mon téléphone. » Ce commentaire trahissait surement ses inquiétudes, mais il lui laissait également l’occasion de choisir. Et elle espérait qu’il la choisisse encore, ne serait-ce qu’une fois de plus. Qu’il lui offre l’occasion de le voir, de le toucher, de prendre connaissance de son état afin qu’elle puisse l’aider de son mieux. « Je sais… Je me suis précipitée, mais je me suis dis que ça pourrait te faire plaisir de… » Finalement, les sons mettant en évidence du mouvement à l’intérieur lui donnèrent du baume au cœur, l’investissant alors de ce sourire déjà présent sur le pourtour de ses lèvres. « … prendre un goûter comme on a eu l’habitude de le faire. » Le seuil était ouvert et elle tenait fermement les poignées de ses sachets en hauteur pour les lui présenter. D’ailleurs, elle ne lui laissa aucune occasion de quoi que ce soit puisque déjà elle lui sautait littéralement au cou, heureuse de le revoir, rassurée de le savoir en vie et juste là devant elle. A vrai dire, elle en oubliait cette gêne qu’ils avaient eu jusqu’ici juste pour ces quelques secondes, juste le temps de se rappeler combien elle l’aimait. Toutefois, elle se recula, retrouva les bassesses de sa petite taille face à lui et finit par fixer ses océans dans lesquels elle aimait se perdre. « Je suis contente de te voir. J’ai vu aux infos que vous étiez revenus et quand j’ai su pour Batman… » Sa voix se mourrait par tant de tristesse dont ils avaient tous eu à faire face. « … Je ne pouvais pas te laisser seul. » Tout comme elle se rassurait de le savoir juste là devant elle, en vie. Fatigué, certes, mais toujours en vie. « Je suis vraiment désolée pour toi. » Elle était sincère parce qu’elle se doutait bien que la Ligue de Justice était avant tout un groupe empreint d’une forte amitié. Ses iris accrochées aux siens désiraient simplement lui prouver qu’elle était là à présent, et surtout qu’il pouvait compter sur elle comme elle le lui avait promis, comme elle ne cesserait jamais de le lui répéter et de lui montrer. « Tu me laisses rentrer ? » finit-t-elle par lui demander en affichant un air à la fois attendri et inquiet.




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Bartholomew Allen


Bartholomew Allen

hero of earth

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Date d'inscription : 02/06/2017
Face Identity : Sam Heughan.
Crédits : Clarky ; starfire
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Age du personnage : 35 ans.
Ville : Central City.
Profession : Agent de la police scientifique de Central City; superhéros.
Affiliation : Justice League.
Compétences/Capacités : (Barry) Dreaming about the things that we could be Tumblr_pgvzt4jX8R1sja44to8_r1_500

Barry Allen:

x esprit scientifique en chimie et physique
x Combat au corps à corps avancé
x expert en criminologie
x représentant terrien de l'espoir pour les Blue Lanterns

The Flash:

x régénération accélérée
x vitesse surhumaine de course
x réflexes surhumain
x endurance surhumaine
x agilité physique et mentale surhumaines
x sens surhumains
x vieillissement ralenti
x électrokinésie
x création de vortex
x vol ( par utilisation de la force véloce)
x intangibilité
x accélération des molécules
x voyage dans le temps et altération du cours du temps
x voyage entre dimensions

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- FAMILY -
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Situation Maritale : Célibataire mais amoureux de la même femme depuis des années. Grand père de Bart.









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MessageSujet: Re: (Barry) Dreaming about the things that we could be   (Barry) Dreaming about the things that we could be EmptyDim 29 Nov - 17:52

Iris &
Barry

dreaming about the things that we could be

Un son le tira de sa torpeur. Celui de son téléphone portable qui recevait à peine un sms. L'appareil vibra sur le bois de sa table basse et posé trop près du bord, il tomba et rebondit pour se retrouver sous son lit. Avec un soupir, l'homme ne chercha même pas à aller le chercher et à la place pris entre ses mains l'oreiller inutilisé de son lit pour le placer sur son visage et empêcher aux rayons traites du soleil de caresser sa peau. L'expéditeur pouvait bien attendre quelques minutes que le héro émerge définitivement de son sommeil. Et si vraiment, il y avait urgence, il suffisait de rappeler dans la foulée. Une, deux fois, Barry comprendrait le message. Fort de cette pensée, il laissa ses muscles endoloris se détendre à nouveau et s'enfonça dans son matelas, un long souffle de bien être passant ses lèvres. Lui qui pensait n'avoir somnoler que cinq minutes de plus sursauta lorsque la sonnette retentit dans son domicile. S’empêtrant dans ses draps, il suivit le chemin qu'avait fait son téléphone plus tôt et tomba lourdement sur le sol, un juron quittant sa bouche pour exprimer sa soudaine mauvaise humeur. « Tu m’ouvres s’il te plaît, j’ai les bras chargés ». La voix fut aussi claire que l'eau de roche. Impossible pour lui de ne pas savoir qui se tenait derrière sa porte. Pris au dépourvu, Barry redressa son buste pour regarder par-dessus son lit défait dans la direction approximative de sa porte d'entrée, grands yeux bleus écarquillés et ses cheveux blonds en pétard.  

«  Merde » souffla t-il n peu paniqué. Plongeant à nouveau sous son lit, il tâtonna pour retrouver son mobile. D'une pression du pouce, il déverrouilla l'écran. Sans surprise, il trouva un message non lu de la part d'Iris.  « Oh flûte » souffla t-il avant d'essayer de se relever prestement. Il n'avança guère de deux pas avant que ses pieds, toujours prisonniers de leur prison de tissu, ne se dérobent sur lui et qu'il s'écrase à nouveau au sol. Décidément pensa t-il. Avec des mouvements vifs, il tapa des pieds pour se dégager.  « Sauf si t’es pas là, donc je vais attendre cinq minutes avant de tout poser par terre et regarder mon téléphone ». A ce rythme là, l'homme n’arrivait pas à ouvrir la porte avant qu'elle ne décide de s'en aller. Tout en bougonnant dans sa barbe mal rasée de plusieurs jours, il sautilla d'un pied à l'autre pour passer un pantalon de jogging sur son corps autrement nu.  Si Iris avait vu tout ce qu'il y avait à voir, Barry n'avait aucune envie de flasher ses parties intimes au reste de ses voisins.

Lorsque le métahumain arriva finalement dans son salon, il ne put retenir la grimace qui étira ses traits. Sans être sale, la pièce n'était pas rangée. Sans sa vitesse, garder l'endroit dans un état impeccable s'était révélée être une tâche bien plus ardue qu'il n'y apparaissait. Barry s'était vu investit d'une nouvelle admiration pour tous les humains de cette planète. Sur le chemin le menant jusqu'à sa porte, il ramassa ce qui pouvait l'être, attrapa un tee-shirt propre qu'il enfila à l'envers sans s'en rendre compte et jeta les deux boites de nourriture à emporter qui traînaient sur son bar. « Je sais… Je me suis précipitée, mais je me suis dis que ça pourrait te faire plaisir de… », Barry ouvrit finalement la porte à la volée pour dévoiler le visage de la femme pour qui son cœur battait joyeusement dans sa poitrine, « prendre un goûter comme on a eu l’habitude de le faire ». Frappé par sa beauté et par le sourire  qui ornait ses lèvres rubis, il n'eut guère le temps de marmonner un bonjour avant qu'elle ne referme ses bras autour de sa nuque. La réceptionnant contre lui, il cercla sa taille de ses bras et la serra contre son cœur, s’imprégnant en secret du parfum si délicat de ses cheveux. Lorsqu'elle se détacha de lui, il la contempla. Les couleurs de ses joues, cette façon qu'elle avait d'illuminer sa journée. Iris était radieuse. Et a côté, il faisait pâle figure. Tant par la présence de valises noires sous ses yeux bleus que par la couleur de cendre de son teint. Sa dernière mission n'avait pas été tendre. Physiquement comme psychologiquement. Un point qu'Iris lui rappela. Il ne trouva même pas en lui l'énergie d'être surpris qu'elle en sache plus qu'elle ne devrait. C'était Iris. Il s'était habitué au fait qu'elle avait toujours une longueur d'avance sur tout et tout le monde – même si il était curieux de savoir qui avait cafté.  «  Je suis content que tu sois là » la rassura t-il avec un petit sourire de son cru. « Tu me laisses rentrer ? ». «  Ah oui oui ! Pardon »  se confondit-il en excuses avant de s'écarter pour lui permettre de passer le seuil de sa porte.  «  Tiens donne moi ça » souffla t-il en attrapant les sacs lorsqu'elle le frôla pour rentrer dans son petit chez lui.  «  Désolé pour le ... » commença t-il, faisant un vague geste des bras pur signifier l'état de son chez-lui. «  Tu veux un verre de lait ? » demanda t-il, après avoir posé les victuailles sur le bar de sa cuisine américaine. Barry avait sans honte avoir gardé un petit côté enfantin pour le goûter du quatre heures.


Pando
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Iris West


Iris West

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Ville : La ville qui grouille, qui illumine de ses flash, Central City demeure l'endroit où elle se sent en sécurité.
Profession : Cet emploi qui lui permet d'être qui elle est, qui la passionne et l'emmène vers ce dépassement de soi constant. Elle est fière d'être une journaliste à part entière.
Affiliation : Un lutin rouge aux antennes d'éclairs a eu raison de sa dévotion à jamais.
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- Vulnérable humaine avec ses qualités et ses défauts
- Esprit aiguisé pour mieux rédiger ses articles
- Curieuse invétérée pour fouiner les moindres détails
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MessageSujet: Re: (Barry) Dreaming about the things that we could be   (Barry) Dreaming about the things that we could be EmptyDim 10 Jan - 9:36



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Bartholomew Allen & Iris West

Elle attendait patiemment, murée derrière des pensées qui l’orientaient vers l’une ou l’autre destination. L’abandon la guettait une fois de plus, elle en avait parfaitement conscience, mais, la journaliste essayait de l’éloigner pour croire en quelque chose de meilleur. Après tout, le jeune homme le lui avait déjà montré par le passé, en l’invitant dans ses secrets, en lui révélant l’identité qu’il dissimulait aux yeux de tous et ce à juste titre. Barry désirait la protéger de l’extérieur, de maux qu’elle n’aurait ni pu appréhender et encore moins arrêter, même si Iris se sentait capable de le faire pour elle-même. D’accord, elle voulait bien admettre que face à un métahumain doté de pouvoirs extraordinaires, ses remarques ne feraient rien, cependant, elle demeurait une véritable combattante à l’intérieur. Et cet héritage, elle le devait aussi bien à son père, qui a toujours cru en elle, mais également à Barry. Parce qu’il représentait depuis toujours un véritable exemple à part entière. Lui, ce scientifique acharné de travail, à-même de s’oublier complètement dans le but de trouver la vérité. Cet ami fidèle et toujours présent à-même de sacrifier ce qui lui était le plus cher pour rendre ceux qu’il aimait heureux. Pour Iris, le jeune homme était bien plus que ce dont il le croyait lui-même. Et risquer de le perdre une fois encore, veillait à lui planter des lames dans le cœur. Toutefois, elle ne pouvait prétendre à autre chose, elle ne pouvait lui cacher la vérité. Pas après ce qu’ils avaient vécu et surtout pas en risquant de le perdre. Il avait ce même droit de regard qu’elle sur la situation et se devait d’obtenir toute cette vérité pour laquelle il se battait au quotidien afin de vaincre le mal qui le rongeait de l’intérieur. Ainsi, devant cette porte, la journaliste espérait tout simplement que le seuil finirait par lui être dévoilé. Sentant son cœur battre à tout rompre contre sa poitrine, elle lui laissait le choix de lui ouvrir ou non, de se montrer ou non, de lui permettre de partager un autre pan de sa vie ou non.

Une véritable bouffée d’oxygène s’empara d’elle au moment où la porte s’ouvrir enfin et lui dévoilait son visage. Malgré la fatigue qui tirait ses traits et formait des poches sous ses yeux, Iris sentit soudainement son cœur s’envoler. Véritablement heureuse de le savoir en vie, d’avoir l’occasion de passer du temps avec lui, ses intentions ne purent se retenir plus longuement que déjà ses bras l’encerclaient dans cette tendresse qui leur était propre et qui lui avait manqué. La réciprocité la toucha avec délicatesse et l’invita à sourire de plus belle au moment où leurs regards se croisaient. Elle avait eu l’envie de l’embrasser, néanmoins, la gravité de ce qu’il venait de vivre l’en empêcha pour l’instant. Au lieu de cela, elle se rassurait de le savoir en vie, de le voir juste devant elle et le lui témoignait dans cette sincérité qui la caractérisait. Bien sûr, Barry ne tarda pas à lui rendre la pareille, chose, qui fit rosir ses joues sans aucune retenue, et l’invita à baisser doucement ses yeux en direction du sol. D’ailleurs, elle profitait de cette invitation pour se faufiler à l’intérieur et fut bien vite rattrapée par les intentions gentleman du jeune homme. Leurs océans se croisaient à nouveau, désireux simplement de pouvoir profiter de la présence de l’un comme de l’autre. « Si tu voyais l’état de mon appartement… » s’empressait-t-elle de le couper afin qu’il ne se confonde pas en excuses. Elle n’était pas là pour cela, et elle désirait simplement qu’il pense à lui avant de penser aux autres. Habituée à l’espace, la jeune femme ne tarda pas à trouver le chemin de la cuisine afin d’y déposer le sachet que Barry lui avait laissé. « T’as du chocolat en poudre ? » Sa voix s’amusait comme elle en avait l’habitude avec lui dès lors qu’ils partageaient un moment de complicité. Et elle connaissait la gourmandise légendaire de Barry. Voilà pourquoi, sans attendre une réponse de sa part, elle se mit en quête de cette trouvaille. « Pendant ce temps, tu peux aller prendre une douche, tu n’as qu’à te laisser faire et servir. » Un bref regard dans sa direction l’incitait à lui faire admettre qu’il n’avait pas le choix quant à cette décision. Il méritait que quelqu’un s’occupe de lui.

« ça ne t’empêchera pas d’avoir ton interrogatoire quand tu reviendras. » Ses épaules se relevaient avec évidence quant à ce sujet et un sourire en coin l’invitait à s’amuser de cette situation. Oh Iris n’en n’oubliait pas la révélation qu’elle devait lui faire, mais elle espérait simplement pouvoir profiter un peu de Barry avant que la gravité ne les rattrape et les plonge dans des moments de doute. Ses bras tiraient quelques portes de placard afin de trouver l’objet de sa convoitise et elle s’attelait à nettoyer la table afin qu’ils puissent avoir la place nécessaire pour prendre ce goûter qui les titillait depuis un petit moment déjà. « Allez-file, où je te pousse moi-même jusque dans la douche. » Elle ne lui laissait aucun choix, elle en avait conscience, mais une fois de plus, Iris désirait simplement qu’il profite d’avoir un peu d’aide pour se détendre et prendre du temps pour lui autrement qu’en dormant.




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MessageSujet: Re: (Barry) Dreaming about the things that we could be   (Barry) Dreaming about the things that we could be EmptyMar 19 Jan - 22:56

Iris &
Barry

dreaming about the things that we could be

En toute honnêteté, Barry ne savait même plus ce qu'il avait ou non dans les placards de sa cuisine. A force de passer si peu de temps chez lui, il en oubliait les fondamentaux. Alors, il se contenta d'hausser les épaules. De toute façon, Iris n'attendit aucune réponse de sa part et commença à farfouiller. « Pendant ce temps, tu peux aller prendre une douche, tu n’as qu’à te laisser faire et servir ». «  Ah.. » ne trouva t-il qu'à répondre. Sentait-il mauvais ? Discrètement, l'homme s'assura que non. Bon il n'était pas au plus frais non plus mais à part son air hagard, il n'y avait rien de bien repoussant chez lui. « ça ne t’empêchera pas d’avoir ton interrogatoire quand tu reviendras ». Évidemment, Barry s'en serait douté. Plus encore, il aurait été très étonné de n'être la cible d'aucune interrogation. Iris était Iris. Sa curiosité journalistique était sans pareille. Il en avait déjà fait les frais. En Barry Allen, comme en Flash d'ailleurs.  Et maintenant qu'elle connaissait son secret, elle allait certainement continuer de le mijoter aux petits oignons. « Allez-file, où je te pousse moi-même jusque dans la douche ». Un léger rire secoua ses épaules. En signe de reddition, Barry leva ses mains. «  J'y vais, j'y vais » souffla t-il dans un léger rire rauque. « Fais comme chez toi » déclara t-il, tout en sachant très bien, que de ce côté là, elle n'avait besoin d'aucune invitation. Non pas que cela le dérangeait. Au contraire, dans sa poitrine, son cœur battait joyeusement. Oui, il était heureux de la voir occuper l'espace qui jusqu'à présent était le sien. Cet espace qu'il aurait aimé partager tous les jours avec elle. Il ne s'en cachait pas. La vie avait simplement eu d'autres idées. Et elle était une amante bien plus jalouse que n'importe qui d'autre.

Avec un dernier sourire, il s’éclipsa finalement. Grattant l'arrière de son crâne, le héro traîna des pieds jusqu'à sa salle de bain.  Porte fermée derrière lui, il se délesta de ses vêtements et entra dans sa cabine de douche. L'eau chaude ne tarda pas à ruisseler sur son corps nu et à détendre ses muscles endoloris. Avec un soupir, il posa son front contre la faïence. Pendant quelques minutes, il profita égoïstement de ce petit temps de répit qui lui avait été offert – bien que le mot ordonné était probablement plus juste. Lorsque la peau de ses doigts commença à pruner, il éteignit l'eau et dépêcha de se sécher.

Habillé de vêtements propres, ses cheveux blonds mouillés aplatis sur son crâne, il retrouva sa cuisine et son invitée surprise. «  Tu as pu trouver ton bonheur ? » demanda t-il en ébouriffant ses mèches blondes. L'odeur de cacao qui remonta à ses narines suffit à répondre à sa précédente question. « Merci » lui souffla t-il lorsqu'elle plaça un mug fumant entre ses mains. Curieux, Barry déballa les gourmandises que la jeune femme avait ramené. Un festin de roi selon lui. Clairement, elle avait bien retenu que son organisme était plus... rapide que la normale. «  Bon app' » déclara t-il, une viennoiserie déjà à mi-chemin jusqu'à sa bouche. La petite gourmandise fut vite avalée et Barry ne résista pas à l'envie de se lécher les babines pour attraper les derniers morceaux de sucre qui perlaient sur ses lèvres. «  Alors que veux tu demander ? »  questionna t-il finalement après avoir englouti deux autres brioches au sucre.


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MessageSujet: Re: (Barry) Dreaming about the things that we could be   (Barry) Dreaming about the things that we could be EmptyDim 7 Fév - 10:46



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Le regard hagard du jeune homme suscitait une tendresse de la part de la jeune femme. Elle aurait tant aimé pouvoir le soulager, lui permettre de se reposer sur son épaule afin qu’il puisse recouvrir un peu de force pour se retrouver. Iris sentait son cœur se happer d’un plomb conséquent à mesure qu’elle se confrontait aux cernes et aux traits tirés de Barry. Pourquoi ? Était cette question qui lui revenait sans cesse alors qu’elle se confrontait un peu plus encore aux devants de cette impuissance sans nom. Pourquoi lui ? Pourquoi lui qui disposait de ce caractère si altruiste et qui n’aspirait qu’aux bien de tous ? Pourquoi ne pas recevoir ne serait-ce que des remerciements et un peu de quiétude afin de pouvoir le rassurer quant à tout ce qu’il mettait en évidence pour eux ? Il les sauvait tous, il se sacrifiait pour eux au détriment de sa santé et de sa vie, et ne gagnait rien en retour. Alors oui, elle lui tenait tête en le sommant d’aller prendre une douche, en désirant s’occuper de lui ne serait-ce qu’une fin d’après-midi voire moins s’il la mettait à la porte une fois les révélations faites. Mais elle lui tiendrait tête coûte que coûte pour qu’il pense à lui et pour qu’il trouve du réconfort auprès d’elle. Souriant devant sa capitulation, la jeune femme arquait l’un de ses sourcils pour lui prouver qu’elle ne bougerait pas et que même si elle ne faisait pas le poids devant lui, elle lui aurait tenu tête jusqu’à ce qu’il cède. Parce qu’il méritait que quelqu’un s’occupe de lui et qu’il méritait un peu de répit aussi. « T’inquiète pas pour ça. » commentait-t-elle avec son air amusé alors qu’elle surveillait du coin de l’œil qu’il s’exécute réellement et prenne le chemin de la salle de bains.

Porte close, Iris cherchait le chocolat en poudre afin de réaliser au mieux ce chocolat chaud qui saurait les revigorer tous les deux. Bien entendu, ne sachant pas exactement où se situaient les choses, la jeune fille se permit de fouiner un peu par-ci par-là tout en s’essayant des débuts de phrases pour la nouvelle qu’elle avait à lui annoncer. Devait-t-elle attendre qu’ils s’entretiennent un peu avant de lui révéler la vérité ? Ou au contraire fallait-t-il qu’elle lâche la chose au rythme d’un « hey au fait… je suis enceinte ! Mais le chocolat chaud est prêt, viens t’asseoir. » dès que le blond réapparaîtrait dans la pièce ? Autant l’avouer, Iris était totalement perdue et ne savait pas exactement quelle était la meilleure façon de le lui dire. Elle soufflait une première fois, une seconde puis une troisième fois alors que ses tentatives lui paraissaient totalement vaines et vouées à l’effrayer plus qu’autre chose. Et dire qu’elle désirait le rassurer et lui permettre de se reposer sur elle. Elle était bien le contre-exemple de ce à quoi elle aspirait et cela avait tendance à l’agacer. Pourtant, elle ne pouvait pas taire plus longtemps cette grossesse, elle ne pouvait pas lui faire une chose pareille.

Elle devait surement paraître comme totalement perdue dans ses pensées au moment où le jeune homme réapparut dans la pièce. Si bien, qu’elle se mit à sursauter, manquant de lâcher la cuillère en bois dans sa main alors qu’il lui demandait simplement si elle avait trouvé son bonheur. « Au sens propre ou figuré ? » voulait-t-elle plaisanter avant de lui monter la casserole fumante de chocolat chaud. Elle s’empressa d’éteindre la plaque et revint en direction de la table pour servir de liquide bouillant dans les mugs prévus à cet effet. Ses océans se mirent à croiser l’étendue aussi bleuté de ceux du jeune homme au moment où il la remerciait et elle lui sourit avec sincérité avant de prendre place face à lui. Admirative, elle se laissait aller à le regarder le plus simplement possible au moment où il commençait à dévorer les quelques viennoiseries qu’elle avait rapporté, encore perdue face à ce qu’elle devait dire. Maintenant ? Non… Ce n’était certainement pas une bonne idée… Elle secoua légèrement la tête au moment où Barry la ramena à la réalité pour lui rappeler qu’il devait passer un interrogatoire. « Je pensais que tu aurais voulu un moment de répit… » débutait-t-elle tout en esquissant un sourire en coin. Mais bien rapidement, ce dernier s’estompait au profit d’un air beaucoup plus sérieux et empli d’une tendresse déroutante. « Qu’est ce qu’il s’est passé là-bas ? » Elle avait envie de lui prendre la main, de le rassurer sur le fait précis qu’il était avec elle maintenant et que tout le mal auquel il avait dû être confronté était terminé, mais elle ne savait si elle pouvait réaliser un tel geste. « Je veux dire… est-ce qu’on existait ? Est-ce que tu as pu trouver ton double pour t’aider ? » Parce que malgré tout, ce qu’il venait de vivre était traumatisant. Elle-même ne savait pas comment elle réagirait si elle était confrontée à une autre réalité, une autre elle ayant fait des choix différents des siens. Les repères de Barry avaient très probablement été ébranlé et elle ne savait pas comment il parvenait à se retrouver dans la bonne réalité. « Qu’est ce que ça t’a fait ? » Une question banale mais qui ne l’était pas complètement, puisqu’elle mettait en évidence plusieurs possibilités de réponse.




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Barry Allen:

x esprit scientifique en chimie et physique
x Combat au corps à corps avancé
x expert en criminologie
x représentant terrien de l'espoir pour les Blue Lanterns

The Flash:

x régénération accélérée
x vitesse surhumaine de course
x réflexes surhumain
x endurance surhumaine
x agilité physique et mentale surhumaines
x sens surhumains
x vieillissement ralenti
x électrokinésie
x création de vortex
x vol ( par utilisation de la force véloce)
x intangibilité
x accélération des molécules
x voyage dans le temps et altération du cours du temps
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MessageSujet: Re: (Barry) Dreaming about the things that we could be   (Barry) Dreaming about the things that we could be EmptyMer 10 Mar - 22:07

Iris &
Barry

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« Je pensais que tu aurais voulu un moment de répit… ». Amusé, l'homme le contempla un instant, un sourire fermement accroché à sa bouche. A présent, Barry pouvait se vanter de la connaître assez pour savoir qu'elle devait littéralement bouillonner de l'intérieur, frémissante à l'idée d'assouvir sa curiosité. Et puis retarder l'échéance ne le libérerait pas de cet interrogatoire qu'elle comptait lui faire passer, pour reprendre ses mots. Alors d'un geste de main, il l'invita à commencer. Son sérieux, il le reprit bien vite cependant lorsque le sourire d'Iris tomba et s'effaça. La discussion allait donc être sérieuse. Et le sujet, il pouvait le deviner. « Qu’est ce qu’il s’est passé là-bas ? » questionna t-elle, sans que le thème de sa question ne parvienne à le surprendre. Avec un soupir l'homme se redressa contre le dossier de son siège. « Je veux dire… est-ce qu’on existait ? Est-ce que tu as pu trouver ton double pour t’aider ? » reprit-elle, en sentant peut être son existence, mû par une volonté de combler ce nouveau silence qui s'éternisait entre eux. «  Qu’est ce que ça t’a fait ? » demanda t-elle finalement.

Pendant un instant, le policier se perdit à contempler l'extérieur à travers la vitre de sa fenêtre. Malgré l'agréable compagnie, la douceur de ses habits et la chaleur du mug entre ses doigts, Barry pouvait sentir le froid insidieux s'emparer de ses entrailles. Et que dire de cette sensation de famine qui semblait vouloir lui coller à la peau ? Même aujourd'hui, avec un accès illimité à de la nourriture, le héros n'avait toujours pas retrouvé son poids d'antan ; quelques kilos manquants encore à l'appel. Un état de fait certainement aidé par son problème de santé … envahissant.  «  ça m'a fait mal » déclara t-il finalement dans un souffle, incapable de croiser le regard d'Iris dans lequel il ne savait il ne verrait pourtant que de la compassion. «  Comme je suis si content que tu n'y étais pas » ne put-il s'empêcher de rajouter, son regard océan toujours fermement accroché sur l'extérieur. Peut être que cela faisait de lui un égoïste, mais il s'en fichait. Dans cette autre réalité, il n'y avait eu que mort et désolation. Que peine et souffrance. Colère et violence.

Pour faire passer le goût de bile qui voulait s'emparer de son œsophage, l'homme enfourna une nouvelle petite viennoiserie. Joues gonflées, il mâcha péniblement, sa bouche transformée en carton. «  Je ne sais pas si il existait une version de toi là-bas. Si oui, je ne l'ai pas croisé. »commença t-il, en laissant en suspend le fait que peut être il ne l'avait pas trouvé parce qu'elle ne faisait déjà plus partie du monde des vivants, « mais j'ai effectivement trouvé mon double. A part notre visage, nous n'avions pas grand chose en commun. Au moins, il était du bon côté ». Il n'aurait pas su comment réagir face à une personne qui portait ses traits mais qui avait des valeurs opposées aux siennes. «  Au début, j'étais séparé de tout le monde. J'ai passé des jours à errer au milieu des décombres et des cadavres. Finalement, j'ai réussi à trouver un camp de réfugiés et là-bas j'ai retrouvé Wally. Il avait été aidé par le Barry de ce monde là » conta t-il. «  Ton neveu a passé plus de temps avec lui, il pourra certainement t'en dire plus que moi ». Lui au final ne l'avait pas côtoyé, et c'était bien mieux ainsi. De toute façon, cet homme était mort à présent. Aucune raison pour lui de s'y attarder.


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Profession : Cet emploi qui lui permet d'être qui elle est, qui la passionne et l'emmène vers ce dépassement de soi constant. Elle est fière d'être une journaliste à part entière.
Affiliation : Un lutin rouge aux antennes d'éclairs a eu raison de sa dévotion à jamais.
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- Vulnérable humaine avec ses qualités et ses défauts
- Esprit aiguisé pour mieux rédiger ses articles
- Curieuse invétérée pour fouiner les moindres détails
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MessageSujet: Re: (Barry) Dreaming about the things that we could be   (Barry) Dreaming about the things that we could be EmptyDim 14 Mar - 11:25



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Il y avait de ce coton dans lequel ils s’immergeaient ensemble afin de recouvrer de cette quiétude et tendresse qu’ils avaient construite ensemble. Il y avait de ces sourires derrière lesquels, Barry paraissait se soulager par l’acceptation de la réalité telle qu’elle se présentait aujourd’hui. Il y avait de ce bonheur auquel ils essayaient de se raccrocher sans réellement se l’avouer, sans réellement s’y laisser surprendre, mais qui les menait à se sentir simplement à leur place l’un avec l’autre. Il s’agissait de cette douceur omniprésente en cet instant, que la journaliste avait l’impression de retrouver dans le sourire sincère et calme du jeune homme. La bulle reprenait de ses droits, les confortait tous les deux vers l’assurance de la bonne santé de l’un comme de l’autre. Leurs habitudes revenaient naturellement, lui, en osant lui sourire de cette même manière, elle, en laissant son naturel reprendre le dessus. Si seulement. Ils auraient pu en oublier tout le reste, se confondre dans des états de tendresse jusqu’à ce que l’oubli prenne le dessus sur le reste. Mais la gravité en était bien trop importante, bien trop oppressante pour la repousser. La peine perdurait, se dessinait à travers les regards fuyants et autres agissements qui ne laissaient aucun doute quant au traumatisme vécu. Iris sentait à quel point Barry se situait dans cet état de solitude, et ce même si elle ne pouvait en comprendre réellement les dédales. Il n’en restait pas moins, que son cœur se gonflait de désespoir à mesure que les gestes de l’homme qu’elle aimait lui dévoilaient combien sa douleur était pesante. Malgré ses tentatives d’humour, malgré les sourires auxquels ils se raccrochaient, la jeune femme sentait combien le vécu était bien trop pesant pour lui. Serait-t-elle en mesure de lui en soulager ne serait-ce qu’une infime particule ? Ses espoirs quant à ce chemin l’accompagnaient tout du long alors qu’elle tenait à son tour son propre mug entre ses mains. Le regard fuyant de Barry lui indiquait rapidement combien les épreuves avaient dû être difficiles et combien il devait se sentir seul en ce moment même. Elle crevait d’envie de se saisir de sa main, de lui rappeler qu’il n’était plus seul, qu’elle était juste là devant lui. Elle désirait plus que tout le prendre dans ses bras afin de le rassurer et lui répéter continuellement que tout était terminé, qu’il était rentré à la maison. Mais elle savait pertinemment que le geste n’en aurait été que mal perçu parce que trop rapide en raison des confessions dont il devait se libérer pour aller vers un mieux. Alors, elle se retenait de toutes ses forces. Admirait avec fierté le courage qu’il lui dévoilait et qui lui rappelait pour une fois de plus combien elle l’estimait. «  ça m'a fait mal » L’aveu lui donna l’impression de percer le silence dans lequel il se murait, mais aussi enfonçait plus profondément la lame dans son cœur. Démunie, Iris ne comprenait pas pourquoi le prix à payer pour les sauver eux en tant qu’humains se devait d’être aussi lourd. Pourquoi sacrifier Barry alors qu’il n’aspirait qu’à une chose : le bonheur ? Ses convictions lui rappelaient combien son courage n’avait aucun égal et combien elle lui était reconnaissante de l’ensemble des sacrifices qu’il faisait pour les sauver.

La suite des confidences lui rappelait ce même message. Lui signifiait beaucoup alors qu’il venait tout juste de lui avouer à quel point il était heureux de ne pas l’avoir vu elle. La gravité était bien importante pour qu’il le lui dise aussi aisément. Et elle n’osait imaginer ce dont il avait eu à faire face. Ses océans continuaient d’admirer son profil, encourageants, prêts à lui rappeler cette réalité de laquelle il s’échappait. Le silence s’abattait une fois encore, pesant, mais dans le même temps apaisant parce qu’il existait. Le jeune homme n’avait surement pas du l’entendre bien souvent dans ces autres réalités, dans cette torpeur qui se révélait comme un fantôme duquel il ne pouvait se défaire complètement. La journaliste lui laissa le temps nécessaire pour trouver ses mots, pour simplement laisser le cheminement se faire et se libérer comme il le désirait. C’est alors que le récit débutait et qu’il lui rapportait des esquisses de ce dont il craignait probablement de parler. Un chaos, une solitude, une noirceur qui l’avait envahi et qui le hantait encore aujourd’hui. A l’évocation de son neveu, Wally, Iris sentit une sorte de soulagement tant cela lui rappelait qu’au moins Barry n’était pas complètement seul. « Je suis désolée Barry. » balbutiait-t-elle avec sincérité devant cette impuissance à laquelle elle se confrontait. Bien sûr qu’elle aurait voulu le soulager complètement de cette douleur, bien sûr qu’elle aurait voulu le revoir sourire et profiter de sa présence comme avant, mais cet avant là n’était plus d’actualité et ne le serait probablement plus. Pas après toutes ces épreuves, pas après tout ce dont il avait eu à faire face. Mais le moins qu’elle puisse faire était de lui rappeler qu’elle l’attendrait toujours et qu’elle le soutiendrait, peu importe le temps, le lieu, la dimension. « Hey, regarde-moi. » Elle désirait l’interpeller pour qu’il puisse au moins se détacher du fantôme ne serait-ce que quelques secondes, pour qu’elle puisse agir comme elle le désirait depuis qu’ils s’étaient retrouvés.

Sa main droite relâchait le mug qu’elle retenait et s’avançait directement vers les doigts du jeune homme. De son index, la brune se mit à lui caresser les quelques phalanges auxquelles elle avait accès. « Je ne peux qu’imaginer le poids qui pèse sur tes épaules, mais je peux voir l’ampleur des sacrifices que ça te demande, et même si je n’ai pas de super-vitesse, une super-agilité ou que sais-je encore, tu peux compter sur moi. » Son regard se raccrochait au sien, bien déterminé à vouloir lui prouver de la véracité de ses dires parce qu’il n’en serait jamais autrement. « Tu as fais ce que tu as pu sur le moment et même si c’est difficile, n’oublie jamais que grâce à des gens comme toi, les gens comme moi peuvent vivre. » Elle espérait que le message ferait écho et qu’il saurait lui rappeler son caractère humain et cette joie de vivre qu’elle lui avait presque toujours connu. « Que tu sois dans cette réalité ou dans une autre, je peux t’assurer que je chercherai toujours à te retrouver, parce qu’Iris West n’abandonne personne et surtout pas Bartholomew Allen. » Un sourire venait tout juste de percer le recoin de ses lèvres de poupées. Ses yeux se perdirent encore un peu dans les siens avant qu’elle ne décline son horizon pour les apposer sur leurs mains. Un soupir s’échappait cette fois-ci d’entre ses lèvres et elle ne savait si le moment était bien choisi pour que les choses soient dites. Mais il fallait se lancer. « Même si… je ne sais pas trop où on en est nous deux, si on est en couple ou pas… J’ai quelque chose à t’avouer et je ne sais pas comment le dire clairement… » Telle une petite fille, Iris déglutit avec difficulté. « … enfin si je sais parler clairement avec un sujet un verbe et un complément, mais… enfin tu m’as comprise… » Si elle avait pu s’enfuir dans le trou d’une souris, elle n’aurait surement pas hésité mais elle était devant le fait accompli et elle ne pouvait plus se dérober maintenant. « Bon voilà, tu te souviens de la nuit qu’on a passé tous les deux… » Elle avait terriblement chaud et le ressentait aussi bien sur ses joues que sur l’ensemble de son corps. « Je ne pensais pas que ce soit possible parce que j’ai été endormie pendant six mois, mais… je suis enceinte et avant que tu dises quoi que ce soit oui c’est bien toi le père parce que je ne fréquente personne à part toi. » Mission délicatesse erronée, échec total, Barry allait prendre ses jambes à son cou et partir pour ne plus jamais revenir, bravo Iris. Elle s’empressait de ramener ses mains jusqu’à son mug et toujours incapable de le regarder dans les yeux, préférait fixer le chocolat chaud. « Je ne l’ai à personne et je n’ai rien fais non plus, parce que j’estime qu’on doit parler ensemble avant de prendre des décisions. Ça vient un peu comme un cheveu sur la soupe, je suis vraiment désolée, mais je peux ni te le cacher ni te mentir… » Elle se mit à souffler une fois de plus et attendait patiemment que le verdict tombe. Tout en sachant très bien que tout ce dont elle désirait pour lui venait de tomber dans les limbes de sa maladresse. Elle ne le méritait pas, lui qui, méritait tout.

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x régénération accélérée
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x réflexes surhumain
x endurance surhumaine
x agilité physique et mentale surhumaines
x sens surhumains
x vieillissement ralenti
x électrokinésie
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x vol ( par utilisation de la force véloce)
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MessageSujet: Re: (Barry) Dreaming about the things that we could be   (Barry) Dreaming about the things that we could be EmptyLun 22 Mar - 22:25

Iris &
Barry

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Avouer un peu cette peine qui lui tiraillait les entrailles, le soulagea légèrement. Malheureusement, il le savait, les choses qu'il avait vu et faite resteraient avec lui. Probablement pour toute la vie. Comme toutes les autres expériences et catastrophes qu'il avait pu accumuler dans sa vie de protecteur de Central City et membre de la Justice League. Sur l'instant, il se demanda – non pas pour la première fois – quand est ce qu'il ne pourrait plus rien accumuler de plus. Barry avait les épaules solides, tous le savait. Mais même lui avait ses limites. L'homme avait peur de bientôt arriver au point de non retour. Décrochant son visage de la vitre, il posa ses yeux bleus sur les mains d'Iris, venus recouvrir les siennes. Sa chaleur, sa douceur... qu'avait-il fait pour la mériter ? Et ses paroles … autant de mots qui le réchauffaient de l'intérieur et faisaient battre son cœur un peu plus rapidement dans sa poitrine. Non vraiment, il ne la méritait pas. Ni elle, ni sa loyauté. Ni sa dévotion ni à son bonté à son égard. Un peu touché, un peu ému, il répondit à son dernier sourire et tournant sa main, serra un peu ses doigts délicats dans sa paume. Un geste simple pour la remercier d'être là, de ne pas avoir pris les jambes à son cou face au poids de ses secrets.

Toutefois, son sourire tomba et son cœur se serra lorsqu'elle baissa le regard et soupira. Instantanément, l'homme se sentit anxieux. Par réflexe, il se tendit et attendit ce que la foudre s'abatte sur lui. Un tel soupir ne pouvait rien signifier de bon à son sens. Avant de sauter aux pires conclusions, il se força à écouter. Iris balbutia, se perdit dans ce qu'elle voulait assurément lui dire. Il ne chercha pas à l'interrompre. Il la laissa faire le vide et le point sur ce qu'elle voulait lui annoncer. Ses mains à nouveau lire, il les retourna à son mug. Il enferma la porcelaine entre ses longs doigts et apporta le récipient à ses lèvres. La boisson avait refroidit depuis le temps mais l’arôme de cacao émerveilla ses papilles comme à la toute première gorgée. « Bon voilà, tu te souviens de la nuit qu’on a passé tous les deux… ». Les lèvres au dessus du rebord, il fixa son océan au sien. Comment aurait il pu oublier ? Cette soirée avait été parfaite. Le résultat de leurs sentiments l'un pour l'autre ; sentiments au départ inavoués qui ne l'étaient plus vraiment, et ce même si ce qu'ils étaient l'un pour l'autre était encore un mystère. Ce qu'elle n'avait pas manqué de pointer du doigt un peu plus tôt.   «  Je me souviens » souffla t-il de sa voix rauque et chaude, soudainement replongé dans ses souvenirs. Sans se concentrer, il pouvait encore sentir la douceur de sa peau laiteuse sous ses doigts, le goût de ses baisers et le carillonnement de son plaisir.

Bartholomew tenta de masquer le feu de ses joues en avalant une nouvelle gorgée de la boisson chocolatée ; ce qui se révéla être la pire des idées. « Je ne pensais pas que ce soit possible parce que j’ai été endormie pendant six mois, mais… je suis enceinte et avant que tu dises quoi que ce soit oui c’est bien toi le père parce que je ne fréquente personne à part toi ». Sans aucune élégance, l'homme s’étouffa et le liquide fit fausse route.  Cognant contre sa poitrine pour espérer respirer, il n'entendit que très vaguement la suite de ses explications.   «  Quoi ? » arriva t-il cependant à croasser. Il y avait peut être une chance qu'il avait mal entendu. Peut être qu'elle était réellement enceinte, juste pas de lui. Franchement, il ne savait pas quel était pour lui LE scénario catastrophe sur le moment. Comme un animal pris dans les phares puissants d'une voiture, il resta immobile à la fixer, prêt pour la collision. Mais non, de toute évidence, il l'avait bien entendu.

Barry n'allait pas mentir et prétendre qu'il n'avait jamais voulu avoir d'enfants.... mais ce n'était pas ainsi qu'il s'était imaginé devenir père.  «  Je... ». incapable de savoir quoi dire de plus, il referma la bouche. Etait il ravi ? Ou désolé ? Cette annonce avait des implications et des conséquences qui lui donnaient le tournis. Il allait être père. Lui être père ! Quand il dirait ça à Hal …. Même Green Lantern avait réussi à faire les choses dans le bon ordre.   «  Hum... est ce que... ça va ? » se trouva t-il à lui demander un peu bêtement.  «  Tu veux … hum... le garder ? » trouva t-il ensuite le courage de formuler. La question lui semblait être plus que pertinente au regard de leurs situations à eux et de ce mal qui continuait de le ronger. Il ne lui en voudrait pas de décider que le moment était mal choisi. Barry pouvait la quitter à tout moment et jamais il ne voudrait lui imposer d'élever seule leur enfant. Leur enfant... que cela lui faisait étrange.  «  Bien sur quoi que tu choisisses, je serai là. Autant que je le pourrais » continua t-il, retrouvant peu à peu sa langue, sa locution et ses manières.    Rattrapé par l'excitation de la nouvelle – et le poids de ses nouvelles responsabilités -, l'homme se leva pour venir s'accroupir aux côtés de sa chaise. Ce fut finalement à son tour de prendre ses mains dans les siennes.  «  Je serai toujours là pour toi Iris » déclara t-il. Il l'aimait oui. Il ne s'en cachait plus. «  Est ce que je peux … t'embrasser ? » questionna t-il. Face à de telles révélation – et qu'importe la fin de l'histoire – il n'y avait plus lieu pour Barry de s'accrocher à ses dernières réserves.


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MessageSujet: Re: (Barry) Dreaming about the things that we could be   (Barry) Dreaming about the things that we could be EmptyDim 23 Mai - 9:23



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Bartholomew Allen & Iris West

Témoigner de son soutien lui était venu naturellement. L’impact n’en était que plus réel alors qu’elle constatait sans aucun mal combien le poids des responsabilités pesait sur les épaules de son compagnon. Car oui, à ses yeux, aussi vulnérables soient-ils, Bartholomew Allen était son compagnon et même plus, si elle s’accordait un peu de liberté dans les messages envoyés par son cœur. Son désir le plus tenace demeurait dans sa volonté de porter avec lui ce fardeau afin de le soulager un peu, ne serait-ce qu’une minute déjà, afin qu’elle puisse entrevoir à nouveau son sourire. Ce sourire si enivrant, si innocent, qu’elle adorait lui voir depuis des années mais qu’elle perdait de plus en plus. La journaliste aurait remué ciel et terre afin de lui permettre de le retrouver. Egoïstement, la petite brune aurait repoussé la moindre menace insidieuse rien que pour préserver un peu plus encore le bonheur auquel le jeune homme devant elle avait droit. Juste pour l’admirer quelques secondes. Leurs mains ainsi jointes, les doigts ainsi entrelacés lui permettaient de se raccrocher à ce désir. A vouloir tout simplement préserver l’instant juste encore un peu. Cependant, le mensonge – même par omission – ne faisait par partie de son caractère. Et même si, elle savait que cet intermède de bien être allait se perdre, elle ne pouvait lui cacher plus longtemps encore, ce secret qu’elle avait découvert. Surement maladroite, quelque peu gauche, Iris se concentra comme elle le put sur la nouvelle. Et déjà, elle s’en voulait énormément du tracas que cela causerait à l’homme qu’elle aimait. Il ne méritait pas cela d’elle. Il avait assez à gérer de la part du monde tout entier et des menaces qui l’entouraient. Ainsi, alors qu’elle lui avouait le plus simplement du monde, en passant par quelques chemins détournés, l’état de sa condition, Iris se sentait comme une traîtresse. Comme une personne qu’elle-même aurait détestée tant elle le prenait à revers. Son souffle n’en devenait que plus haletant, surtout à l’instant où, le jeune homme reconnaissait se souvenir de cette soirée si particulière et unique. Si seulement elle pouvait revenir en arrière. Non pas pour l’effacer, mais pour se réveiller et avoir une fin différente que celle qu’ils avaient connu. Afin de se réveiller à ses côtés, afin de profiter de cette innocence qu’on leur avait volé. Mais ni lui, ni elle, n’étaient en mesure d’acquérir cette faculté et ils devaient simplement vivre l’instant présent. « Barry ! » s’inquiétait-t-elle au moment où la confidence manquait de l’étouffer. Forcément. Elle n’aurait jamais du le lui avouer de cette manière. La journaliste s’en voulait déjà et réagissait aussi rapidement qu’elle le pouvait en laissant crier les pieds de sa chaise, prête à aller lui donner une tape dans le dos.

Cependant, aussi rapidement que la surprise tombait, le jeune homme lui donnait l’impression de reprendre petit à petit des couleurs au même moment où leurs regards se croisaient. Le silence s’abattait irrémédiablement, profiteur quant au cheminement qui s’effectuait entre l’idée et la réalité. Le cœur d’Iris lui donnait l’impression de s’arrêter quelques secondes pour repartir à toute vitesse alors qu’elle constatait sans aucune difficulté à quel point celui qu’elle désirait protéger de tout était ébranler. Dire qu’elle ne s’y attendait pas serait un mensonge, toutefois, elle ne pouvait s’empêcher à son tour de culpabiliser. Pour lui, pour l’enfant à venir, pour cette situation de manière générale. «  Hum... est ce que... ça va ? » Un sursaut de surprise la ramena à son tour à la réalité alors que la question la prenait de court. « Hum… euh… oui… » Ses sourcils se fronçaient légèrement à la fois surprise mais également inquiète quant à l’état de Barry. «  … tu te sens bien ? Tu veux que j’aille chercher un gant d’eau froide ? Un verre ? » Elle fut aussi rapidement rassurée de son état, puisque déjà LA question fatidique tombait et l’obligeait à détourner le regard. «  Je ne suis pas seule à décider. C’est une question qu’on doit se poser à deux. » Parce qu’elle ne voulait en rien lui donner l’impression de le coincer dans cette situation, ni même de l’obliger à quoi que ce soit. Bien sûr, elle s’était elle-même posée la question un nombre incalculable de fois et avait imaginé les deux scénarios possibles. Mais pour l’un d’entre eux, elle se trouvait anéantie de l’intérieur, chose qu’elle n’oserait lui dire dans l’éventualité où il le choisirait. «  Je serai toujours là pour toi Iris » Perdue dans ses pensées, cette phrase eut l’opportunité de lui donner assez de courage pour redresser ses yeux une fois de plus afin de se perdre dans l’océan qui la fixait. Son cœur battait à la chamade contre sa poitrine, la révélation faisait écho à tout ce qu’elle avait pu lui avouer un peu plus tôt à peine.  

«  Je sais. » se contentait-t-elle de répondre sur ce ton doux et serein. Car oui, elle connaissait assez Barry pour savoir qu’il ne la laisserait pas tomber et que dans l’éventualité où cela arriverait, il agirait de la sorte sous la contrainte et la menace. Il lui avait déjà fait une fois mais elle ne comptait pas le perdre et le laisser s’isoler une deuxième fois. Leurs mains ainsi jointes lui rappelaient combien elle avait besoin de lui. Combien il lui manquait, même si elle n’osait le révéler de manière audible. Ses doigts s’enlaçaient naturellement autour des siens et ses yeux se mirent à répondre simplement à l’appel qu’il lui lançait en osant se fixer dans cette constellation qu’elle retrouvait. «  T’as jamais eu besoin de demander. » Sa réponse l’invitait à la fois par ce ton chaleureux et par son sourire en coin à capturer ses lèvres sans retenue, sans once de doute. Pas alors qu’ils en avaient besoin tous les deux. Iris en était certaine, elle ne désirait plus le perdre. Et pour se faire, elle n’hésitait pas à tirer un peu ses mains pour que la route jusqu’à ses lèvres n’en soit que plus évidente. Le baiser qu’ils partageaient en cet instant se révélait tendre, délicat, empreint de ce message qu’elle semblait reconnaître et qu’elle n’hésitait pas à lui renvoyer. Oui, il lui avait manqué, oui, elle se sentait bien dans ses bras et oui, elle désirait que ce qu’ils avaient commencé à construire ensemble puisse se développer de plus belle et créer un monde dans lequel ils s’épanouiraient ensemble. Et même si le goût chocolaté de ses lèvres était un appel à continuer, c’étaient bien les sentiments réels et amoureux qui l’incitaient à profiter encore et encore de ce contact. «  ça veut dire que tu es heureux ? » soufflait-t-elle entre deux baisers tout en laissant iris bleutés couvrir les siens dans ce bonheur qu’elle touchait à peine du doigt. « … que tu veux qu’on tente le coup ? » s’aventurait-t-elle-même à rajouter alors qu’elle émettait pertinemment cette interrogation à double sens. Pour eux ? Pour la famille qu’ils allaient fonder ? De son côté, la journaliste était prête à se lancer. «  Je ne veux perdre personne ni toi, ni… » Sa main rapprochait naturellement celle du jeune homme jusqu’à son bas ventre, source de cette vie qui s’éveillait doucement mais surement en elle. « Mais je ne veux pas décider pour toi. » Et elle ne le ferait jamais.


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