hel † like an italian anastasia, i became the last living princess of a mafia dynasty

« When i grow up, i’m going to be pope. To make sure daddy goes to Hell. »
« Girls can’t be pope. »


La douleur sur ta nuque est subtile, brève. Un léger picotement, presque semblable à une brulure. Si tu en connaissais la douleur, tu pourrais presque imaginer ta peau laisser paraître ta chair. Quelques perles tombent sur toi avant de s’écraser sur le sol. Tes cordes vocales ne demandent qu’à se libérer, qu’à expier leur peur. C’est un hurlement aigu qui émane alors, toute terrifiée que tu es, tu ne parviens pas à le contenir. Quelle petite fille de huit ans pourrait enfermer indéfiniment ses craintes lorsque qu’un homme cagoulé la menace de son arme, cette même arme à feu venant de servir à éradiquer l’entièreté de sa famille. L’homme est imposant, et silencieux il amène son index à sa bouche, te sommant de partager ce silence divin ; pour respecter l’entité vénérée par la croix enfermée dans son poing puissant. Cette croix, ornant jusqu’alors ton cou, symbole de tes croyances développées depuis ta naissance. Tout s’effondre, ce chapelet représentait ce lien entretenu avec Dieu. Il est désormais clair que cela n’a rien à faire entre vous, non, mais bel et bien entre l’homme et toi. Tes croyances emportées à l’instant où la croix quitte ton cou, ton hurlement s’éteint. Il te réduit au silence, par ta propre peur. Il s’empare de ta Foi et sans un mot, s’éclipse au travers de cette même porte par laquelle il a fait son entrée ; s’évanouissant dans la lueur du coucher de soleil venant t’éblouir. Si cette radiance émane de Dieu, alors celui que tu considérais Tout-puissant s’en est allé. Il t’a tourné le dos, te laissant seule avec ta respiration, tandis que celle de ta famille s’est interrompue au rythme des balles qui glissaient silencieusement jusqu’à leurs têtes. Une à une. Souffle après souffle. Cœur après cœur. Vie après vie. Il ne restait que de l’air, celui de tes poumons atrophiés par la peur et l’horreur. Ta mère s’est noyée dans son propre sang, devant tes yeux. Ton frère et ton père ont suivi la même tragique et funeste fin. Tout autour de toi n’est que le sang du Christ, entachant les traits des visages de ta famille. Tout autour de toi n’est que désolation. Tu essaies d’expier ta colère en hurlant au divin, mais aucun son ne daignait résonner dans la pièce sans vie, seules tes larmes vinrent combler le silence. Tes poings se serrent, si bien que tes ongles transpercent ta peau pour venir mélanger ton sang à celui de ta famille, un ultime lien ; une dernière volonté que celle de saigner avec eux. Tu supplies Dieu pour disparaître avec eux. Rien.

Seule.


Ton vingt-et-unième anniversaire approche. La majorité est synonyme d’héritage, l’heure arrive pour réclamer ce qui t’est dû, tout ce qui appartient à ta famille éteinte. La dernière Bertinelli, la survivante de la famille des familles, celle qui il y a douze ans dominait Gotham avant d’être froidement abattue. Bientôt, cela fera treize ans. Ce nombre synonyme de malheur, malheur que tu escomptes bien abattre sur les responsables du sort des Bertinelli’s. Plus encore, ces mêmes individus se sont permis de t’ôter à ta dernière famille, les Asaro’s. Voilà cinq années que leur arrestation a été déclaré. Ceux t’ayant recueilli à tes huit ans, t’élevant au sein de cette ferme. Ces anciens mafieux, cherchant la rédemption pour les péchés commis ; non pas auprès du Seigneur mais bien en menant une vie loin des projecteurs, loin du crime. Eux qui t’ont transmis l’héritage de la famille, l’art du combat et du maniement des armes. Héritage te menant à celui des Bertinelli’s, lorsque ton cousin t’apporta la réponse à tes maux. Ces cauchemars interminables, hantant tes nuits ; le visage de ta génitrice sans vie, le corps happé par l’appel du Saint-Esprit, rejoignant les cieux la main liée à celle de ton frère. La vengeance est son ultime enseignement, celle qui te mènera au repos de ton esprit, celle qui t’ôtera à tes cauchemars, celle qui pansera les plaies de ton cœur. Il est coutume, dans les pratiques mafieuses, de mettre un terme au souffle de tous les hommes d’une famille pour empêcher la vengeance d’un nom. Jamais ils ne prennent la peine de ne serait-ce que se méfier des filles. Cette erreur leur coûtera la vie, c’est cette croisade que tu as initiée. Cette quête, que tu mèneras à son terme, quoi qu’il t’en coûte. Tu es seule, même Salvatore ton cousin t’a été enlevé. Il était devenu un grand-frère à tes yeux, dès le premier jour. Il t’apportait réconfort et soutien, t’accompagnant à l’Eglise quand bien même il ne croyait pas au Divin. Pas un jour ne s’écoulait sans que tu ne t’entraînes à ses côtés. Il venait apaiser tes peurs lorsqu’hurlante, tu quittais ton sommeil prise de panique. Tes démons te chassaient sans relâche, le son des balles arrachant la vie à ta famille résonnait en continu. Ces balles silencieuses, tu pouvais presque percevoir le bruit significatif des os se brisant sur leur sillage. Sal’ parvenait à éteindre ces sons, à les rendre muets en t’indiquant la voie à suivre ; la voie de la rédemption de ton cœur. Blood cries for blood, la vengeance se prépare depuis désormais cinq années, depuis que tu as été envoyée en Suisse pour éviter l’investigation des forces de police Siciliennes, les Asaro’s couvrant cette dynastie à laquelle tu appartiens, et dont tu es le dernier fil. L’honneur est un mot d’ordre qui t’est enseigné depuis toujours, et c’est bien avec honneur que tu affronteras le regard des hommes, en tant que femme, leur accordant une dernière volonté avant d’en appeler à leur dernier souffle.  

Don’t look back, kid, qu’on te conseillait. De tout ton être, tu n’escomptais pas suivre ce conseil. Bien au contraire, tu t’es longuement préparée pour faire sonner le courroux du passé.


Deux millions.

L’héritage des Bertinelli’s s’élevait à deux millions, selon les dires du notaire. Sans honte, l’italien t’annonçait ce montant tout bonnement surréaliste considérant l’activité de ta famille. Rien qu’une menace ne pouvait corriger, la menace de lui ôter langue et yeux ; pour qu’ainsi il ne se permette plus d’émettre le moindre mensonge, plantant son regard de vendu dans celui d’une femme capable de briser n’importe quel homme. Une femme dont la patience se faisait infime, et dont les talons tremblaient de se planter dans la gorge de ceux qu’elle traque depuis tant d’années. Non, tu es bel et bien ici en quête de vérité, voulant dans un premier temps attirer l’attention des Five Families. Récupérer l’intégralité de ce qui te revient par droit du sang en était le meilleur moyen. Un nom était tout ce que tu demandais, et tu l’obtins sans mal dès lors que la lame de ton couteau chatouillait délicatement la gorge du notaire. Du moins, un lieu, les catacombes se situant sous l’opéra, où une pièce dramatique devait se jouer. Le véritable drame allait se dérouler bien plus bas. Si la scène représente la terre, ce premier coup se jouera en enfer. Dans cet enfer, tu es le diable. Tes croyances ne se cantonnent pas au paradis, et ce dès lors que tu as subi les flammes des enfers treize ans plus tôt. Le bras gauche de Satan s’apprêtait à récupérer son dû, et il n’allait pas s’en faire prier.

Bienvenue en Enfer. Porte enfoncée, et c’est dans le noir que tu allais mener l’affrontement face à ces cinq hommes, se préparant à commettre un péché impardonnable sur une jeune femme ligotée. D’un geste fluide, tu tranches le câble alimentant l’ampoule éclairant les lieux. Sans mal, tu rends inopérant les hommes, libérant alors la jeune femme. D’une lampe torche tu éclaires les visages des individus, tentant de reconnaître leurs traits. Tu y vois le chef de la banque d’Italie ; le premier ministre ; et plus intéressant encore : Stefano Mandragora, le boss des bosses au travers du monde, agissant dans l’ombre depuis pas moins de trente-cinq ans. Tu portes ton attention sur la jeune femme, observant le collier particulier ornant son cou : cinq clés. Les clés des coffres renfermant l’argent de ton héritage, cinq clés pour les cinq hommes présents ; les deux derniers étant un prêtre corrompu et un individu qui t’est inconnu. Cinq. Mano Iddio. Les cinq doigts d’une main. Les Five Families. Ils sont ainsi, les représentants des familles faisant tourner le monde sous-terrain, le monde qui dans l’ombre brise des familles, éteint des rêves. Stefano en est le plus juteux, mais son heure n’a pas sonné. Tu vises bien plus grand, ton ambition dépassant l’entendement de toute raison, se faisant à la hauteur de la patience éprouvée pour fouler les premiers plans de l’exécution. Tu te contentes ainsi de récupérer l’argent de ta famille.

Trois milliards.



I know who ordered the hit, avait soufflé Sal après l’avoir retrouvé, ou plutôt après qu’il t’ait retrouvé. Lui, ce cousin, ce grand-frère, ce meilleur ami, ce mentor. Lui, déclaré mort. Lui, devenu catholique par amour. Ses mots réveillent en toi la vengeance, ou plutôt l’alimentent comme un brasier éternel. Les flammes consument ton estomac, la chaleur frappe ton esprit ; alors que la porte de la vengeance s’ouvre à toi. Un nom, tu peux désormais avoir un nom. Mandragora, avoue-t-il enfin. Il ne te reste plus qu’à détrôner l’homme le plus influent du monde, ce que tu escomptes faire ; à son propre domicile. Un prédateur saute à la gorge de sa proie lorsque celle-ci se trouve en terre connue, en un lien où elle se sent en sécurité. Endroit idéal. Sal t’a communiqué les coordonnées d’un couturier de renom, présentant ses créations à Milan, l’idée étant de te confectionner une robe digne de ce nom pour habiller ta carrure de princesse, et ainsi participer à la fête donnée par Mandragora. Le problème étant, tu méprises autant le terme princesse que tu détestes les robes. Ton souhait n’est ni d’attirer les hommes, ni de faire des envieuses. Ton souhait est d’être respectée. La dernière survivante de la lignée Bertinelli fera trembler la pègre rien qu’à l’énonciation de son nom ; chaque syllabe prononcée coupera le souffle de son émetteur. Ils trembleront, tout comme tu as tremblé du haut de tes huit ans. Mandragora tremblera, avant qu’un carreau ne lui transperce le cœur. Ta croisade touche à sa fin, et sa fin n’est que le commencement. Pourquoi abattre la hiérarchie en commençant par la base, lorsque l’on peut arracher la tête trônant au sommet. Le couturier n’est pas choisi au hasard, sa réputation le précédent en matière de création pour l’armée ainsi que les uniformes des forces de police ; et c’est bien pour cela que tu t’es tournée vers l’homme. Tu n’es pas là pour revêtir de quoi faire tourner toutes les têtes. Tu es là pour revêtir de quoi faire tomber toutes les têtes. Tu es là pour revêtir de quoi tuer.

La villa Mandragora se situe dans la campagne sicilienne, visible à bien des kilomètres tant la demeure est vaste et éclairée comme un sapin de Noël. Les voitures défilent, libérant les passagers à tour de rôle, tous habillés avec prestance. Stefano est un homme bien mystérieux, mais il y a bien une chose qui ne laisse place à aucun mystère : son amour pour les cigares. Vêtue de ta tenue de prédatrice, tu patiences tapie dans l’ombre à sa fenêtre, patientant calmement que la proie fasse son entrée ; arbalète en main. Son histoire s’apprête à s’achever et marquer le commencement de la tienne. Tu fais interruption dans son bureau, te retrouvant face à face avec la vengeance, la main de Dieu prolongeant la tienne ; s’apprêtant à se changer en main du Diable. Un premier carreau vient se planter dans la paume de sa main, l’accrochant au mur. Le Jésus Christ moderne ne peut t’échapper. Tu observes avec affirmation et colère la première vie que tu t’apprêtes à arracher à cette terre de ton propre fait. Une cible que bien des nations ont essayé d’interrompre le souffle, et ce depuis plusieurs décennies. Tu n’es pas une nation, you’re the fucking United Nations. Sa provocation ne fait que lui coûter un second carreau dans sa deuxième main, le rapprochant un peu plus de sa mort. Tu pourrais presque percevoir son palpitant s’emballer et ralentir avec alternance. Tu peux enfin te rapprocher de lui. Plantée à ses lèvres, tu prends un malin plaisir à lui révéler toute la vérité ; t’arrachant ainsi la satisfaction de voir ses traits retomber lourdement à mesure que le Jugement final sonne les cloches des enfers, annonçant sa venue tant attendue. Son instinct de survie se réveille, dans cette chasse l’animal réagit pour sa propre préservation. Il s’arrache à sa prison d’une main. Le diable en personne te donne la force de lever ce bras qui est tien. Ton doigt s’anime de lui-même ; par la force de treize années passées, à attendre cet instant précis. Le sang appelle le sang. It is worth going to hell for this, penses-tu alors que ton doigt presse la détente de ton arbalète, la carreau se plantant dans le cœur de l’homme, si tant est qu’il en détient un. Tu lui fais l’honneur du Stigmata plus pour envoyer un message que pour réellement honorer son nom, quand bien même Mandragora représente l’âme de la mafia mondiale. La dernière cloche retentit, annonçant par la même occasion ton retrait, le moteur de ta moto vombrissant. Forgive me Father, for i have sinned.





La mafia est une hydre. Coupez une tête, deux prendront sa place. Tu n’y vois aucun inconvénient, chasseuse d’hydre est ton loisir favori. Dix ans que tu traques tes proies sans relâche, que tu prends un malin plaisir à arpenter le monde à la poursuite des fuyards, mettant un terme aux divers trafics écœurants qui font leur fortune. Fortune que tu collectionnes pour l’ajouter à la tienne ; frappant ainsi un peu plus fort à chaque Famille que tu brises. Cette croisade est sans fin, et tant que tu es en mesure de respirer, tu n’as pas l’intention d’en terminer avec cette quête. Chaque individu prenant part à cette vie sera traqué, chassé et arrêté. Beaucoup te somment de cesser cette folie meurtrière, comme Batman qui t’a autrefois servi de modèle. Tu as bien tenté de lui donner raison, mais ton attrait au sang se veut plus fort, et finit inlassablement par te rattraper tôt ou tard, ce qui ne manque pas de déranger tes plus fidèles amies. Tu as baigné dans le sang de ta famille, fusionnant avec celui-ci pour désormais le faire couler de ta propre poigne, de tes propres armes. Les genoux se brisent sous tes talons, les cœurs s’interrompent sous tes carreaux, les mains tombent sous le tranchant de tes lames, les mâchoires se brisent sous le coup de ton bâton. Chaque général laisse place à un autre n’attendant que le jugement dernier ; ce cycle perpétuel rendant la moindre kill list désuète. Chaque vie ôtée est une confession prononcée de plus. Chaque enfant laissé orphelin est une prière supplémentaire, prononcée dès le coucher du soleil. O my God, i am heartily sorry for having offended Thee, and I detest all my sins because i dread the loss of Heaven and the pains of hell, but most of all because they have offended Thee, my God, Who art all good and deserving of all my love. Rien n’arrête la divine main du diable, pas même les balles dont ton corps porte encore les stigmates. Tu n’en as que faire, aucune robe légère ne vient habiller tes courbes, seule ta tenue de justicière laisse le luxe aux Hommes que tu traques d’apercevoir un instant les cicatrices que tu revêtes avec violence, avant que leurs paupières ne s’éteignent éternellement. Le chapelet récupéré au prix d’une mare de sang orne ton cou délicat, parsemé de tes boucles ébènes annonciatrices des ténèbres que tu traines dans ton sillage.


Les évènements se succèdent, tragiques menaces venues d’ailleurs, et ton arbalète ne peut rien changer. Tu remets en question le sens du costume à la teinte violette que tu revêtes, tu cherches ton rôle dans des enjeux qui te dépassent. Tu comprends, tu comprends que tu n’es rien face à des êtres comme Darkseid, mais tu comprends également que sans toi, bien des individus succombent à des êtres qui sont aussi menaçants que le tyran, à leur échelle. Si tu peux jouer un rôle dans la survie des plus faibles, tu ne peux faire autrement que perdre tout contrôle, lorsque l’humanité entière se retrouve plongée dans une autre réalité, dans un cours du temps altéré par des êtres capables de prouesses.

Huntress n’est plus. Ta famille est en vie. Tu oscilles entre Gotham et la Sicile, voire le reste du monde, de villa en villa. Tu es une main de plus pour la Famille, mais une main létale envoyée lorsque la criminalité traditionnelle et les réclamations de la mafia ne trouvent guère de réponses. Vous profitez du chaos instauré par Savage pour faire prévaloir vos lois douteuses, dont tu es la messagère. Exit les carreaux, tu te contentes de lames aiguisées, laissant une gorge tranchée dans ton sillage pour laisser un message sanglant. L’erreur est rarement commise deux fois. Sur ton visage, rares sont les sourires, laissés à la discrétion du Divin dont tu attends le Jugement. Ta famille est en vie, ton âme s’est envolée.

Si tout est revenu à la normale, ton esprit garde les séquelles des horreurs commises, alourdissant d’autant plus tes actes dans leur violence. Des mois durant, tu te retrouves submergée par les souvenirs, laissant place à un courroux que tu avais pourtant appris à contrôler. Cette violence accrue s’est intensifiée, au profit d’une colère presque continue dès lors que les péchés capitaux se retrouvent libérés par Black Adam. Tes actes font écho à ceux réalisés dans la réalité modifiée, et les souvenirs restent. Si la situation est de nouveau sous contrôle, tu n’en es pas moins marquée par la succession d’événements, et ta solitude habituelle devient un isolement formel, tant tu n’oses plus croiser le regard des rares qui t’étaient proches. Le temps fait son office, et les réprimandes de tes proches face à tes actes font leur travail, te permettant de retrouver peu à peu le contrôle de ton esprit, mais également de ta vie.

Nombreux sont les héros, les justiciers, dont l’identité secrète est primordiale pour concilier les vies avec et sans masque. Toi-même, tu es attachée à ce secret, scindant parfaitement ta vie de justicière de ta vie civile, demeurant profondément secrète quant à cette dernière. Lorsque la nouvelle tombe, et fait la Une de tous les médias, tu retiens ton souffle. Toutes ces identités, révélées au grand jour, lâchées dans la nature, font l’effet d’une bombe. Tu es autant soulagée que défaite, lorsque tu constates que ton nom est épargné. Mais tu ne peux pas en dire autant quant à grand nombre de membres de la Bat family. Si tant de noms sont sortis, il n’est pas impossible que le tien finisse par suivre tôt ou tard. La seule certitude que tu as aujourd’hui, c’est que tu ne resteras pas bras croisés à attendre que ce jour arrive. Ton identité demeurant secrète, Huntress peut se mettre à chasser de nouveau.

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