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 Madness makes no prisoners {Jonathan Crane}

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MessageSujet: Madness makes no prisoners {Jonathan Crane}   Madness makes no prisoners {Jonathan Crane} EmptySam 12 Juin - 15:11

Madness makes no prisoners  × ft. Joker & Jonathan Crane
 

L'obscurité règne au-dessus de la mer légèrement éclairée par la lune tentant tant bien que mal de percer ce voile invisible et pourtant si pesante pour les âmes sensibles voulant s'aventurer sur des eaux dangereuses et qui plus est vers Gotham. Cette ville  lui a tant manqué, il avait l'impression d'avoir perdu une partie de son âme depuis des mois, de très longs mois loin de ses incapables qui arpente les rues de sa ville. Qui donc a réussit ce qu'il a fait jusque là ? Personne ne peut remplacer le seul et unique criminel à la folie aussi dantesque que fantasque, l'homme que tout une armée pourrait suivre par peur ou par bonne -mauvaise- conscience. Il suffit de regarder le nombre d'hommes présents sur le bateau volé que le garde-côte ne retrouvera jamais pour la simple et bonne raison qu'il faudrait rassembler les morceaux de son corps afin d'en faire un pantin désarticuler. Oui, monsieur pipe en bois est mort en essayant de stopper le Joker. Pauvre fou. Oser s'en prendre à celui qui aurait pu l'aider à se débarrasser de tout ce poids sur les épaules. Un petit coup par-là, un petit coup par-ci et le tour est joué. Dommage pour sa femme et ses enfants pour le coup. La mort a frappé et personne n'est venu le sauver. Une larme sera versée le jour ou le clown aura du temps à tuer et une âme sensible c'est-à-dire...jamais. Il en a que faire de tout le foutoir qu'il laisse derrière lui, tout n'est qu'un jeu et la balance entre le bien et le mal n'existe pas. A quoi bon s'en préoccuper ? Une preuve ? La voici....

Tu as voulu jouer au con ? Alors on va aller dire deux mots au patron pour voir ce qu'il en pense On ne change pas les habitudes. Qui ose défier les ordres doivent être punis dans les règles de l'art. Deux des hommes du Joker finissent par libérer le prisonnier qu'il trainèrent de force sur le devant du bateau où se trouve le fameux Clown, dos tourné et regard dirigé vers l'asile d'Arkham se dessinant au loin. L'enfer de tout âme sensible et victimisé pour diverses raisons et de façons différentes. Ils ne voient pas plus loin, ils ne se rendent pas compte à quel point c'est un endroit paisible, le bruit des détenus hurlant de souffrance lorsque les gardes corrompus viennent leur mettre une dérouillée; les criminels se menaçant dans l'espoir de prouver qui a la plus grosse. Cette simple optique donne le sourire au Joker qui finit par prendre la parole pour la première fois depuis de longues heures. Regardez-moi cette beauté ! C'est ici que j'ai découvert que même l'homme le plus saint d'esprit peut succomber à la folie. Oh Oh Oh !!! Vous n'imaginez pas à quel point c'est excitant de revenir à la maison. Oui, l'asile est un peu comme une maison pour le Joker et c'est tellement plaisant pour lui de se sentir bien dans un lien pourtant si glauque et tourmenté. Ecartant les bras tel le messie des enfers, Joker, avec son éternel sourire de sadique pervers se retourna pour faire face à ses deux hommes et le prisonnier à genoux, le visage ensanglanté. Pourquoi cet homme est BLESSE ?! Termina t'il tout en levant la voix, son ton froid résonna dans la nuit telle une menace, une promesse de sang. Qui avait abimé cette petite gueule de chien battu ? S'approchant des trois types, Joker reprit contenance comme si de rien était, les mains dans le dos. Je suis désolé pour ce qu'ils ont fait !!!! Dit-il tout en se penchant afin d'avoir son visage à quelques centimètres du prisonnier. Le Joker désolé ? Sérieux ? Esquissant un sourire moqueur, le clown sortit de l'arrière de son pantalon un couteau qu'il brandit pour le planter à exactement 10 reprises dans le corps du prisonniers avec hargne. AH AH AH AH AH AH AH AH !!! Aussi imprévisible que dangereux, le Joker reste une menace perpétuelle et incontrôlable comme en témoigne le regard effrayé d'un de ses hommes prenant soin de reculer de quelques pas comme pour éviter les éclaboussures de sang ou un coup de couteau pouvant partir à tout moment. En tout cas le Joker prenait un malin plaisir avant de s'arrêter, essuyer son couteau sur le mort et se relever. Découpez-moi ce visage et que l'un de vous le porte. On va aller à une fête costumée. Et elle aura lieu à Arkham. Si les fidèles du Joker portent généralement un masque de Clown, il va avoir besoin d'un appât et quoi de mieux que type portant un faux masque à la chair découpée. Et n'oubliez pas de jeter le corps à la mer, il parait que les requins en raffolent. AH AH AH AH AH AH AH !!!

Une heure plus tard, le bateau s'approcha du quai de l'asile, les lumières provenant des fenêtres du bâtiment et des quelques lampadaires surplombant la cour donnant une atmosphère pesante. Vide. A l'abri dans le bateau, le Joker avait envoyé quatre de ses hommes descendre et vérifier les lieux. Mais ne pouvant s'empêcher de revoir ce paradis, Joker suivit le mouvement d'une démarche désarticuler, sautillant dans tout les sens jusqu'à rejoindre la terre ferme derrière ses hommes. La dernière fois que c'était aussi calme c'est quand il avait prit possession de l'asile...ah non, il se rappelle encore du garde que ses hommes avaient pendu afin de pouvoir lui taper dessus comme une Piñata. Quelque chose est différent et ça ne plait pas beaucoup au clown qui soupir de désespoir. Ne bougez pas. Le patron voudrait vous voir. Trois types armés s'engagèrent dans le champ de vision et pointèrent leurs armes sur le Joker et sa bande. C'est pas comme si il n'y avait pas d'autres de ses sbires dans le bateau, planqué et prêt à intervenir en cas de besoin. Calmez-vous les gars. Ce n'est pas comme ça que je vous ai habitués. Le Joker, ne se souciant aucunement du danger qui pourrait le guetter si il peut appeler ça ainsi, s'avança pour se placer devant ses hommes afin de faire face aux trois inconnus habillés en garde. Le patron ? Joker sortit une arme à feu caché à sa ceinture sous sa veste rouge et tira une balle à la tête d'un de ses hommes celui qui portait le masque arraché au prisonnier un peu plus tôt. Le coup de feu retentit dans toute la cour alors que les hostilités étaient lancés. Hola ! Doucement. Il comptait vous tirer dessus et vous osez me menacer ? Moi ? Je viens en ami voyons. Dit-il tout en levant la main, mais tout ça n'était en réalité qu'un signal visant à alerter ses hommes de faire feu sur les assaillants. Des coups de feu furent tirés, Joker se mit à rire à gorge déployée au milieu de tout ce brouahaha. AH AH AH AH AH AH AH !!! VOILA ! TUEZ LES TOUS !!! Sadique à souhait, le Joker attendit que les assaillants soient à terre pour se diriger vers celui encore en vie, une balle avait perforé sa main l'obligeant ainsi à lâcher son arme. Il vint lui asséner un coup dans les parties avant d'effectuer une danse de la joie tout en tournant autour de lui. Quelques secondes suffirent avant qu'il ne vienne se pencher au-dessus. Où est ton patron ? Mais au même moment, les haut-parleurs postés à différents emplacement au sein de la cour délivrèrent un message provenant surement d'un des postes de contrôle. Qui est-ce ? Le jeu du chat et de la souris ? Son passe-temps favori. Combien de temps a t'il fait ça avec Batou ici-même ? La nostalgie l'envahit, sourire aux lèvres.


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MessageSujet: Re: Madness makes no prisoners {Jonathan Crane}   Madness makes no prisoners {Jonathan Crane} EmptyLun 14 Juin - 13:28

" Il était un petit navire, qui n'avais ja-ja-jamais naviguéééé"

Bizarrement, depuis que j'avais pris contrôle de l'asile lors de cette nuit où j'avais reçu l'anneau jaune, la sécurité était à la fois plus renforcée et plus .... Inefficace. En prenant le contrôle de l'esprit des gardes avec la technologie du Chapelier, j'avais pu leur donner toute les indications nécessaire à la protection de la maison de fous. Plus de contrôles, plus de vigilance à l'entrée, plus de surveillance aux alentours de l'asile. Mais en contre partie, Crane se montrait magnanime envers les prisonniers, qui se voyaient attribués des sorties spéciales, ou même des libérations, mais attention, l'asile n'y était pour rien. Le bienheureux avait simplement trouvé une faille dans le système qui l'avait permis de s'en tirer, officiellement. De toute façon, les fuites, ça ne changeait pas de d'habitude.

Donc rien n'a changé en apparence à Arkham, tout va bien dans le meilleur des mondes.

Mais tout ça pour dire que bien évidemment, les quais de Gotham étaient surveillés. C'était même l'endroit le plus surveillé d'Arkham avec la porte principale et les égouts : il faut dire qu'on apprend pas au vieux singe à faire la grimace et surtout des farces. Combien de fois est-ce que j'avais pris la poudre d'escampette par cette voie ? Des dizaines et des dizaines de fois. Les gardes ne retenaient pas la leçon et s'ils la retenaient, ils finissaient la gorge tranchée la tête dans l'eau.

Où en étais-je déjà ? Ah oui, les quais

" On tira à la courte paille pour savoir qui qui qui serait mangéééé"

Le bateau fut découvert bien rapidement, le fou à l'intérieur ? Pas très tardivement. Il est aisé de reconnaître un clown, surtout près du rivage. Je fus prévenu promptement pour le bateau et marchais quatre à quatre pour ne pas être en retard à son accostage. Est-ce que le boss de l'asile se précipitait à chaque intrusion ? En fait oui : il n'y en avais jamais. Et quand il y en avait une de ce type qui n'était pas Batman qui n'en faisait qu'à sa tête pour aller et venir, il ne pouvait s'agir que d'un gros calibre. Et de gros calibre, Crane n'en attendait qu'un : le clown, qui avait disparut depuis un moment. Des coups de feu retentirent, car des gardes déjà présent sur les lieux avaient accueillis l'imposteur, tout en prévenant d'autres de m'avertir. Souriant, chantonnant, croyant de plus en plus à la théorie du retour du clown prince du crime, je me mis en tête de continuer ma musique.

" Le sort tomba sur le mousse, le petit mouuuusse qui se mit à pleurer !"

Bien évidemment, je m'étais costumé pour l'occasion. Pas de lunettes, pas de petit regard hésitant ou de corps maigrelet et frêle, le grand épouvantail était de sortie, ma faux creusant le sol le long de ma course.

Les hauts parleurs se mirent en marche. Le dispositif du Chapelier dysfonctionnait ou quoi ? Comment ces abrutis pouvaient prendre des initiatives sans que je leur en donne l'ordre ? Ou peut-être l'avais-je fais ? Ou peut être que l'un de ces abrutis avaient mal interprétés mes ordres ? Oh et puis merde.

Je m'arrêtais trois secondes et utilisait le talkie walkie au poste de contrôle.

"Qui parle au putain de haut parleurs ?"

" C'est moi chef. Je viens justement de donner l'ordre à l'intrus de vous attendre, chef"

"Oh, merci bien Jenkins. Tu peux te suicider maintenant. Je ne t'ai jamais demandé de lui dire ça, c'était la procédure uniquement si quelqu'un ..."

Le bruit d'une balle raisonna dans le talkie walkie. Le bougre s'était tiré une balle dans la tête.

"C'était UNE IMAGE JENKINS. UNE IMAGE. Je ne voulais pas que tu te ... Oh enfin bon ... Le mousse doit être mangé. A quel sauce le pauvre enfant va être mangé ?"

Quelques pas le séparait de son invité surprise. Quand enfin il tourna à l'angle, il découvrit le clown, accompagné de quelques uns de ses hommes. Bien évidemment, hormis l'autre crétin qui avait peut être raison sur le protocole mais qui n'avais pas jugé bon de m'en avertir, les autres gardes savaient pertinemment ce qu'ils avaient à faire. Chaque individu devant moi avaient sans doute 2 sniper sur lui. Un seul mouvement menaçant avec leurs armes leurs vaudraient des trous dans le crâne. Mais personne n'allait en arriver là. Avec le Joker, il fallait la jouer finement. Passer pour une couille molle le placerait dans un état d'ennui, sûrement irritant, et le prendre trop de haut le contrarierait assez pour qu'il se mettent à montrer qui est le patron ici. Alors il fallait la jouer finement. J'élargissait mes bras le plus loin possible dans une révérence sarcastique.

" Bienvenue à la maison, cher Joker. J'ai préparé le tapis mais il semblerait que tu te soit occupé de le peindre en rouge."

Maintenant que l'hôte était présent pour son invité, j'étais curieux de connaître les plans du clown. Il était évident que le Joker n'était revenu à Arkham que pour y foutre le bordel, et que j'avais contrarié ses plans, ou plutôt qu'il ne s'attendait pas à un tel retournement de situation. J'étais curieux de voir où cette conversation allait mener, et surtout ce qu'il comptait faire dans Gotham. Il aurait mon aide, bien sûr, si cela me permettait d'atteindre Wayne, Grayson et tout les petits oiseaux, toute les petites proies qui faisaient leurs vies dans Gotham.

" Comme tu peux le voir, je me suis occupé d'Arkham. Notre maison à un trou béant à sa porte et j'ai élargis le trou, en plus d'aider nos compères à passer des journées exécrables pour en avoir de bien plus vivables par la suite."


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