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 Sins of the mother [PV Jonathan Crane]

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Mei Ling Hex


Mei Ling Hex

super villain

Messages : 105
Date d'inscription : 27/08/2020
Face Identity : Doona Bae
Crédits : me, myself and I
Sins of the mother [PV Jonathan Crane] Tumblr_inline_mzpy47PpSm1qic7v0
Age du personnage : 175 ans
Ville : Gotham
Profession : Assassin de la cour des hiboux
Affiliation : Cour des hiboux
Compétences/Capacités : Sins of the mother [PV Jonathan Crane] Tumblr_nowy6zJk6N1r9h0d1o5_r3_250
-Formée à tous les arts martiaux asiatiques dans leurs versions anciennes
-Dotée de l'electrum, elle est virtuellement immortelle et se relève des plus graves blessures, elle est cependant sensible au froid
-Capable d'assumer un grand panel d'identité pour ses missions
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Situation Maritale : Veuve









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MessageSujet: Sins of the mother [PV Jonathan Crane]   Sins of the mother [PV Jonathan Crane] EmptyMar 15 Juin - 14:03

Sins of the mother
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Si le peuple n'avait en rien touché la cour des hiboux où bien sa vie personnelle, elle devait reconnaître que les choses avaient pris un tournant inattendus suite à ça. Bruce Wayne était Batman et les hiboux comprenaient désormais l'étendue des capacité de leur ennemi, assez surprenement, celà les avait jeté sur la défensive, l'armée de talon sensée marcher sur la Batcave servait principalement de garde d'élite pour les endroits les plus sensibles de l'organisation, qui savait ce qu'un Batman libéré de son anonymat ferait, les plans prévus pour s'en prendre à lui devaient être revisités, car si l'ennemi avait de nouveaux outils, il exposait de nouvelles faiblesses à exploiter. Notamment ses ennemis, Mei Ling était donc envoyée porter le message de la cours, une proposition d'alliance, une offre de paix et la promesse d'un soutient qui bien évidement n'était qu'une carotte pour faire avancer la mule. Prenant son départ de la terrasse de son penthouse du Diamond District, elle vit la ville lentement décrépir, les ruelles, puis les rues, s'assombrir, plus elle s'éloignait des lumières du quartier chic, plus cette ville révélait son vrai visage, chaque bloc passé était l'occasion de constater que définitivement, tout n'allait pas bien ici. Et si East End peut-être considéré comme un coupe-gorge, The Bowery n'allait pas redorer le blason de la zone, véritable cloaque infâme, la volonté des dieux elle-même semblait incapable de pouvoir transformer cet endroit en quartier respectable.

Elle ressent une profonde empathie pour ces gens, la plupart sont encore là par ce que la cours à besoin de cet endroit, par ce qu'avoir un endroit aussi dangereux est plus que pratique pour éliminer ou faire disparaître des gens, la foule de pauvres prêts à tuer leur propre mère pour quelques dollars où bien les éjectés d'Arkham incapables de retourner chez eux qu'on jetait ici, un terreau fertile, quelques talons en devenir étaient passés par ici. La griffe de la cours se voyait même ici, alors qu'elle empruntait un passage secret marqué du sceau de la société secrète, un passage sensée la rapprocher du QG de Crane, mieux valaît se faire discret car l'homme avait des yeux et des oreilles partout, ainsi qu'un nombre non négligeable de criminels  sa botte, non pas qu'elle craigne de tomber, elle avait affronté de plus grands dangers à une époque ou les fusils tiraient moins de balles à la seconde, mais l'épouvantail était connu pour sa toxine contre laquelle ils avaient été mis en garde, un composé capable de tordre les sens pour nous faire affronter nos plus grande peur, un composé qui pouvait être absorbé par le corps de bien des manières, heureusement les tenues des Talons étaient hermétiques au besoin, équipées de respirateurs individuels dont la capacité avait été augmenté pour cette mission, tant que la bombonne miniature n'était pas percée, elle aurait quelques heures.

Elle observa brièvement les lieux avant de passer à l'action la garde était resserrée, mais pas impossible à surmonter, il allait juste falloir user d'un peu d'huile de coude. Elle se dirieât donc vers l'entrée arrière et les deux malabars qui y résidaient, les scans satellites confirmaient qu'une fois ces deux gusses au sol, elle aurait une fenêtre serrée pour traverser les lieux jusqu'à l'endroit ou Crane avait été repéré. Elle sauta donc immédiatement sur ses cibles pour ne pas perdre de temps, un coup de manchette bloqua la respiration du premier et le second tenta immédiatement d'user de son arme, mais le canon fermement tenu par son adversaire n'arrosa que le mur derrière, son autre main agrippa le cou de son adversaire par le côté pendant que sa jambe le balayait, l'envoyant percuter le sol tête la première et perdre connaissance. L'autre cessa de s'étouffer rapidement quand elle frappa d'un puissant coup d'atemi son plexus solaire, restaurant sa voie respiratoire et lui faisant perdre connaissance. Elle se pencha pour prendre la radio à son torse avant de regarder la caméra extérieure, les ordres étaient les ordres.

-Gare à la cour des hiboux qui d’en haut scrute Gotham, au tribunal des chouettes qui sait tout de nos âmes, car par-delà les murs, il entend chaque mot, gare à son bras armé, gare à son émissaire dont le nom est l’ergot.

Le jeu commençait désormais, elle avait intérêt à être convaincante si elle voulait que ça passe, elle se prépara à entrer dans le bâtiment.

Codage par Libella sur Graphiorum réarrangé pour usage personnel
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MessageSujet: Re: Sins of the mother [PV Jonathan Crane]   Sins of the mother [PV Jonathan Crane] EmptyJeu 17 Juin - 19:50

The Bowery était le quartier que j'aimais le plus profondément. Avez vous vu endroit plus pourri que ce petit coin d'enfer ? Il serait faux de dire qu'il grouille de flics corrompus : mêmes les poulets les plus grillés ne mettaient pas un pied dans cette zone de peur de finir comme les nombreux cobayes des divers trafiquants qui pullulaient dans cette partie du quartier. Le Professeur Pyg était l'un de ceux qui traînaient et occupaient une place de choix ici, c'est vous dire un peu le genre de délire qui s'y tramait. Dans la petite église déchue qui me servait de planque (bon, il faut avouer qu'elle ressemble aujourd'hui à tout sauf à un bâtiment en l'honneur de dieu), on y avait pour tout les goûts : drogues douces, drogues dures, trafic d'organes, et même l'administration de la prostitution modeste de Gotham. Quand je dis prostitution modeste, c'est bien évidemment les femmes qui faisaient les trottoirs, le minimum syndical du métier. Je dis ça, parce que quelqu'un a osé me demander une chambre privé pour lui et sa poule, demandant un remboursement parce qu'il n'avait pas eu d'endroit adéquat. On est où, à l'Iceberg Lounge ?

Enfin bref, tout ce petit résumé pour vous avouer qu'ici, c'est ma deuxième maison, la première étant Arkham. Et force est d'avouer que j'adore lorsque des individus se pointent chez moi à l'improviste. Vraiment, sans rire, cela me fait toujours tirer un sourire. Ce genre de surprise est très souvent l'occasion de se faire un nom dans le milieu, ou de s'enrichir d'expériences encore plus captivantes que lorsqu'on à passé deux ans à faire un plan. C'est souvent sur ce genre de rencontre du destin que notre vie opère un changement inattendu mais drastique.

Que dire lorsque notre invité aime les comptines ?

J'adore les comptines, inutile de le redire je suppose. J'adore les comptines autant que j'aime les passages de bibles. Elles sont révélatrices de l'âme humaine, de messages que l'on veux faire passer, ou tout simplement de choses que l'ont cache dans les tréfonds de notre esprit, d'images qui nous passe sans réfléchir, d'un coup d'un seul, dans notre tête, et que l'on a besoin d'écrire, de chanter, de mettre à plat, d'un air entraînant. Tout sentiment peut passer à travers les comptines. Quelle ne fut pas mon plaisir mêlé de stupeur, lorsque sur ma radio passa le refrain de la cour des hiboux. Un compte crée pour effrayer les gosses, pour démontrer que partout dans Gotham, les murs avaient des oreilles : quiconque se dressait devant les desseins de la cour serait puni de mort et exterminé par ses assassins.

"Gare à son émissaire, gare à son suppôt, dont le nom est l'Ergot."

Marmonnais-je au milieu de mes hommes. J'avais toujours trouvé la fin de la comptine bizarre, alors qu'elle pouvait tellement rimer avec le mot précédent, pour plus de punch. C'est ce que moi, j'aurais fait. Mais je ne prétend pas avoir le monopole du bon goût sur les comptines.

En fait si, je le prétend.

Je me précipitais hors de la planque de drogue. N'ayant pas accès aux caméra, et surtout préférant voir mon interlocuteur de face, garder la surprise de la face qui va avec la voix jusqu'au dernier instant, je saisi ma faux et d'un coup de la manche de mon arme, ouvrait le plancher de l'ancienne église. D'un bond, je fus en dehors, avec quelques gardes armés pointant l'arrière de la bâtisse, mais de fait, j'étais devant eux. Faisant tournoyer ma faux le long de mon bras, je finis par caler le manche sur ma nuque grâce à mes deux avants bras aux extrémités, mes mains pendant ainsi dans le vide.

J'étais épié, je le sentais. Que le hiboux soit déjà au plafond ou que son regard passe à travers les murs usés, le hiboux flairait sa proie. La tension était palpable.

"Il un style de volatile. Nos hommes touchés ne sont pas morts."

" Ooooh ? Un enième nouveau rouge gorge ?"

Je me montrait soudain intrigué, mais d'un coup, une opportunité se dévoila. J'espérait m'y prendre de la bonne manière pour appâter l'oiseau près de l'inoffensif épouvantail.

"Je suis certain que nous pouvons discuter sans qu'aucun mal ne soit fait à personne. Sans doute y a t-il une raison pour que la cour envoie son bras armé. Quel mal ai-je pu commettre pour m'attirer ses foudres, ou quel bien puis-je apporter pour m'en attirer ses faveurs ? Je requiert une explication."
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MessageSujet: Re: Sins of the mother [PV Jonathan Crane]   Sins of the mother [PV Jonathan Crane] EmptyLun 5 Juil - 16:30

Sins of the mother
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Crane décide finalement de se joindre à ses hommes, camouflées dans les ténèbres, ses optiques détourant les hostiles, Mei Ling les observe se déployer autour de l'épouvantail. Jonathan Crane, un esprit génial rongé par l'obsession et la folie comme beaucoup d'autres avant lui, le talent venait avec son lot de défauts et ceux du bon docteur étaient nombreux. Elle aurait préféré un tête à tête, l'attraper seul dans son bureau, mais il bravait le danger. A croire que même Batman n'avait pas put lui inculquer la peur primale poussant à se terrer là où l'on pouvait quand quelqu'un voulait notre peau. Elle se demandait bien quel genre de désaxés travaillaient pour lui, elle ne devait pas sous-estimer sa petite garde rapprochée, traces de piqûres multiples, yeux injectés de sang, certains étaient camés jusqu'à l'os, ce qui répondait en partie à sa question. Elle progressa dans leur angle mort, approchant peu à peu de l'objectif, elle devait faire vite, surtout pendant qu'ils se demandaient tous encore ce qui leur tombait dessus, ses mains saisirent un petit explosif qu'elle projeta au milieu du groupe, provoquant un son qui attira l'attention et quelques tirs réflexes. Son autre main avait déjà activé une poignée de projectiles flash qui volèrent au milieu de groupe de Crane avant d'aveugler le petit groupe, baignant un bref instant l'espace d'un vif éclat, les optiques de Mei Ling ainsi que l'audio de son casque refonctionnèrent dans l'instant qui suivit, lui redonnant l'usage de ses sens alors qu'elle était sur le premier ennemi.

Son pied faucha ses jambes et sa main cueillait l'arrière de son crâne pour accompagner la chute de sa tête sur le bitume, trois couteaux se plantèrent dans le bras d'un autre alors qu'elle se relevait, le forçant à lâcher son arme. Malgré l'aveuglement, des tirs commencèrent à partir, trop peu précis, mais posant un danger général. Elle bondit pour frapper le responsable au visage de son pied, l'envoyant au sol désarmé. Un mouvement qui l'avait rapproché de la cible, mais il lui restait quelques mètres et les hommes de Crane reprenaient leurs esprits en recouvrant leurs sens. Elle continua son avancée esquivant un coup de crosse maladroit tout en frappant de six coups les côtes du responsable pour l'envoyer au sol. Elle tournoya pour éviter un dernier coup et sortit une lame qu'elle posa sous la gorge du docteur alors que trois canons se pointaient sur sa tête la seconde d'après. La panique passée, leurs esprits avaient vite repris le cours de l'action, mais elle avait forcé une forme étrange de status quo, les hommes qui ne la braquaient pas se remettaient en place, ils pouvaient la larder de plomb, elle reviendrait, mais Crane lui ne reviendrait jamais si elle lui tranchait la gorge, c'était la pensée qu'elle voulait gravée dans l'esprit de tous, car elle ne voulait surtout pas en arriver là.

-Faites reculer vos hommes Docteur Crane, où je pourrais réviser ma clémence. La cours n'à que faire des dommages collatéraux.

Sa lame se pressa légèrement contre le cou de Crane.

-Mais si vous faites preuve d'intelligence, vous pourriez ressortir gagnant de cet échange. Ne me forcez pas à faire quelque chose que je serait la seule à pouvoir regretter.

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