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 The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)

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MessageSujet: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptySam 25 Nov - 3:14

The intrepid Journalist & The Cold Thieve
Iris & Leonard
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Je tapais du poing la table pour attirer l'attention de tout le monde. « Mick tu écoutes ? Pas de dérapage cette fois-ci. » j'haussais le ton de ma voix. « On ne peux pas se permettre de faire foirer le plan juste parce que tu as perdu le contrôle de toi-même ? C'est bien reçu ? » Aucun réaction de la part du pyromane. J'hurlais à présent. « C'EST BIEN REÇU ? » Un grognement provenant de ce dernier m'affirmer qu'il avait compris. Lors du dernier coup, Mick avait perdu son sang-froid, faisant capoter toute l’opération. Flash avait eu le temps d'arriver sur place, et au lieu de suivre le plan, Mick avait entrepris de s'attaquer à Flash seul. Trickster le voyant partir seul, tentait de l'aider, mais se fit attraper. Et jeter à Iron Height. On ne pouvait pas se permettre d’échouer une nouvelle fois. « Bon, une dernière fois. » Je regardais à présent Mark. « 18h30 pile. Je me dirige vers le pont,  je commence à créer une tempête. De grosses vagues ainsi qu'un cyclone sur le pont. Ensuite, je m’évade en volant. » Bien, je hochais de la tête, puis mon regard se porta sur Hartley. « 18h30 et 40 secondes. Étant déjà sur place, habille avec des vêtements civils. J'utilise mes gants pour faire voler en éclats la façade avant de Mercury Labs. Projetant un amas de verre brise en direction des citoyens. Une fois fait, je me fonds dans la foule en panique et m’extraie de la zone. ». Tout est bon pour le moment, au tour de Sam. « 18h31 et 13 secondes, à l'aide des vitres présentes dans les épiceries du Sud de la ville, je rentre dans chaque épicerie pour déclencher l'alarme. Ensuite, je prends la fuite. » L’appât du sud. Sam connaissait son importance au plan, nul doute qu'il allait l'accomplir avec brio. « Mick ? »  « Je crame tout. » « Mick ! »  « Dès que les sirènes s'activent, je mets en feu la maison, le 17, ou 19 je sais plus. » « Le 19, te trompe pas, elle sera vide, mais ça ils ne le savent pas. Dès que Flash va entendre un départ de feu étrange, il va s'y précipité. ». Enfin, Roscoe. « Avec les chargées place au préalable, je fais sauter les charges dans les entrepôts à 18h32. » « Bien tout le monde connaît son rôle, et moi pendant toutes ces distractions, j'irais chercher l'or de la banque, un seul sac suffit, les prix flambent ces temps-ci. N'oubliez pas, une confirmation une fois l'action faite. » C’était primordial. Comme cela, si une personne loupait son coup, où que Flash avait réussi à nous devancer, nous étions au courant sur le moment. « Bon les gars, on ne foire pas, c'est pactole ce soir. » Chacun partait de son côte à présent.


18h24 à la montre. J’étais gare devant la banque, sur une place « Arrêt minute » plutôt pratique pour les braquages. C’était l'heure. Je sortais de la voiture. L'endroit était peu fréquenté à ce moment de la journée, la rue était presque déserte. Je rentrais donc dans la fameuse banque. Il y avait une dizaine de personnes située à la file indienne, et deux employer derrière le comptoir. Mon premier réflexe fut de gelé le entièrement le comptoir. Le bouton panique était à présent inaccessible. Suivi de quoi, je lançais une décharge sur l'entrée pour bloquer échappatoire. « Okay, tout le monde au sol, vous, avec les civils. » Tout le monde était à présent allongé au milieu de la pièce. Au-dessus d'eux se trouvait un lustre géant. Je le bombarda de glace. Juste assez pour qu'il soit proche de rompre ses gonds et de s’écrouler au sol. « On va la faire simple, vous voyez au-dessus de vous le lustre, un petit choc, et il tombe. Et oh, quel dommage, vous êtes en dessous. J'ai un appareil à mon poignet qui m'indiquera si l'un de vous utilise son téléphone. S'il sonne, le lustre s’écrase sur vous. Et pour les petits malins qui tentent de l'esquiver, oublier pas que derrière, je suis là, je vous ferrais regretter de pas avoir pris le lustre.. Kapich ? » Je n'avais pas de technologie telle, mais ils n'avaient pas besoin de le savoir. J'avais approximativement 1min 10. Je passais au-dessus du comptoir, gelais la porte blinder, puis avec la chaise d'un employé, je la jetais contre la porte congeler. La porte vola en éclat. j’étais donc dans la chambre forte. Les lingots étaient là. Je remplissais le sac, le mettait sur mon dos. Le sac était lourd. Mais ça en valait le coup. Un message d'alerte retentissait. Mick n'avait pas fait son check. Il avait sûrement dû encore vouloir s'attaquer à Flash. Il devait être à sa merci. « Sam et Mark, je vais depose le sac à l'emplacement, vous le récupérez, et rejoignez Roscoe et Hartley. Puis faîtes profil bas. » Mick était donc capturé. Il fallait que je contre-balance. Arrivé à côte des civils. Je décidais donc qu'il fallait que je prenne moi aussi un otage. Je faisais le tour des potentiels otages du regard. Une jeune femme m’attirait l’œil. Elle ferait l'affaire. Je m'approchais du mur de glace barrant la sortis. Avec un grand coup de pied, j'envoyais en éclat le mur. Puis, en me retournant. « Compter jusqu’à 60, puis retournez à vos misérables vies. Toi (tout en pointant le Cold Gun vers elle) debout, tu viens avec moi. » La femme semblait être réticente à cette idée « Tu penses que c’était une question ? » j'arrivais à son niveau, l'attrapa par le bras, et posa mon Cold Gun directement dans son dos. J’avançais jusqu’à la voiture. Côté conducteur. « Tu conduis ». une fois la jeune femme au volant, je fis le tour par l'avant tout en gardant bien l'arme pointer vers elle. Pour la dissuader quelconques résistance. Je m’installais sur la place passagère. A côté du conducteur. Mon arme était toujours en direction de la jeune femme. J'avais toujours mes lunettes et ma capuche sur moi. « La décharge, s'il vous plaît » disais-je avec un sourire au coin des lèvres. La femme avait bien compris que je ne plaisanter pas, et accéléra.  

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MessageSujet: Re: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptySam 25 Nov - 14:02

the intrepid journalist
and the cold thieve
(leonard & iris)

Un regard irréfléchi à sa montre, une gorgée de caféine portée à ses lèvres, et Iris poussa les portes de la banque de son épaule libre. Sa main droite portait une tasse encore chaude, tandis que l'autre tenait son téléphone portable. Scott, au bout du fil, priait une énième fois que la photojournaliste n'espérait pas fourrer son nez là où il ne devait pas être, une habitude qui agaçait presque la jeune femme. Elle subissait déjà assez les sermons de Barry pour devoir écouter ceux de son rédacteur en chef ; en vérité elle ne pouvait pas en vouloir à son petit ami d'être inquiet de son sort, et quant à Scott, il pardonnait généralement ces aventures lorsque ces dernières étaient fructueuses. « On ne parle pas de travail ce soir. Barry m'a invité au restaurant, et je compte volontiers laisser la tonne de paperasse qui attend sur mon bureau pour un autre jour. » Elle raccrocha quelques secondes après l'avoir salué, et rangea l'appareil dans une poche de son manteau. Cela faisait déjà plusieurs soirées que la journaliste passa à travailler sur des articles inabouties de rubriques qui n'avaient pas réellement beaucoup d'intérêt ; elle s'est rapidement habituée à être l'auteur des dernières grandes unes sur les évènements qui ont touché Central City et ailleurs. Néanmoins, rien d'assez pertinent, dans tous les cas, pour obtenir un Pulitzer, ou ne serait-ce que pour l'espérer. La West était sans doutes trop ambitieuse pour se contenter d'une nomination sans conclusion, mais assez patiente pour attendre la bonne histoire.

Iris a tout de même parfois quelques difficultés à faire preuve de patience ; la lenteur à laquelle la demoiselle avançait mit d'ailleurs ses nerfs à l'épreuve. Elle porte une nouvelle fois la tasse à ses lèvres, jetant quelques coups d'oeil frénétiques à droite et à gauche. Elle vérifia une nouvelle fois que sa robe n'est ni tâchée ni plissée, et que ses collants ne sont pas effilés ; elle mettait un point d'honneur à être parfaitement apprêtée. Il est rare qu'elle néglige sa tenue, et ce pour n'importe quel évènement. Iris fut rapidement distraite par l'arrivée d'un homme, un arme étrange à la main — à noter qu'il était habiller de manière tout aussi singulière — qu'il brandit vers le comptoir. Les yeux de la journalistes s'élargirent lorsqu'il gela le comptoir sous les visages ébahis des clients et des membres du personnel. Il ordonna à tous les otages de se mettre à terre, avant de geler le lustre au dessus de leurs têtes, menaçant de faire tomber ce dernier si quelqu'un avait la stupide idée d'appeler les forces de l'ordre. Iris s'exécuta, comme tous les autres, pendant que l'assaillant passa de l'autre côté du comptoir. Curieusement, les traits de la journaliste ne se déchiraient ni dans la peur, ni dans l'angoisse ; elle était davantage déconcertée. « Barry va me tuer... » murmura-t-elle, le visage dans ses mains. Apparemment, il ne suffisait pas que la photojournaliste cherche les ennuis pour les trouver ; sans doutes était-ce une malédiction, ou une malchance qui la suit depuis l'enfance. « Vous pensez qu'il va nous tuer ? » demanda une voix tremblotante à côté d'elle. Iris posa son regard sur son interlocuteur et remarqua une enfant à peine âgée de dix ans assise à ses côtés. Une larme coula le long de sa joue, tandis qu'elle serrait une peluche contre son cœur. « Maman m'a dit de l'attendre ici... Que rien ne peut m'arriver... » murmura-t-elle à nouveau, serrant davantage l'ours contre sa poitrine. Iris jeta un coup d'œil au comptoir, s'assurant que l'homme ait le dos tourner pour s'approcher de la jeune fille et de la prendre dans ses bras. Elle posa une main dans ses cheveux et caressa ces derniers avec douceur. « Tout ira bien. Tu es en sécurité ici, il ne t'arrivera rien. Je te le promet. » La journaliste décrocha un sourire rassurant, et bien qu'elle avait déjà vécu de pires évènements, elle n'échappait pas à la peur et l'inquiétude qui enserraient son cœur. Elle accentua davantage son emprise sur l'enfant lorsque l'assaillant revint, un sac rempli d'argent sur le dos. Iris réussi a lire dans ses traits que son plan ne fonctionnait pas comme il pouvait l'avoir prévu, et ceci se confirma lorsqu'il pointa son arme sur elle, ordonnant à la demoiselle de l'accompagner. La petite qu'elle tenait dans ses bras ne sembla pas de cette avis, mais si la journaliste tenta d'exprimer une plainte, elle fut rapidement avortée par l'homme, qui attrapa le bras d'Iris et l'emmena de force avec lui. Une chose la rassura néanmoins, qui vint rapidement modifier ses intentions : en le suivant sans faire réfléchir, tous les otages seront libérés, sains et saufs. Elle lança un regard déchiré entre la peur et consolation à la gamine, dans un sourire maladroit. Une fois dehors, il fit monter la jeune femme dans la voiture, derrière le volant, avant de monter côté passager. Elle commença à rouler, bien que la journaliste n'a jamais eu son permis de conduire, et appuya sur la pédale lorsqu'il la somma d'accélérer. Elle prit la route de la décharge, priant d'y arriver entière. Il regrettait sans doutes en ce moment même d'avoir choisi la demoiselle pour devenir son otage, mais également pour certaines raisons qu'il ne redoutait pas encore, et l'arme que l'homme pointait sur la jeune femme n'aidait clairement pas cette dernière à penser correctement. « Pouvez-vous, au moins, baisser votre arme ? Je peux difficilement me concentrer sur la route si vous me menacez avec un flingue ! » lança-t-elle, tout en jetant quelques coups d'œil aux rétroviseurs, et vérifier qu'aucune voiture police ne les suit ; la journaliste n'avait ni l'envie, ni les compétences, pour participer à une course poursuite. Elle prit la route vers la décharge, évitant les grandes routes et les zones souvent fréquentées — à défaut de ne pas souvent prendre la route, Iris connait Central City comme sa poche, de sa périphérie jusqu'aux ruelles les moins visitées. Ils arrivèrent néanmoins à la décharge, sans qu'aucune voiture de police ne soit à leur trousse. Maintenant, il pouvait bien la tuer et la jeter aux ordures ; où Flash était-il, bon sang ?

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MessageSujet: Re: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptySam 25 Nov - 16:53

The intrepid Journalist & The Cold Thieve
Iris & Leonard
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J'avais toujours mon petit sourire en coin de bouche. Une secousse. Probablement un cassis. La jeune femme répondait à ma question. « A condition que vous retiriez votre capuche et vos lunettes. » La jeune femme n'avait pas l'air sereine. Bon, c'est vrai qu'avoir une arme pointait sur soi n'aide pas vraiment. Mais il fallait qu'elle comprenne que la menace était toujours là. Qu'elle ne se sente pas d'un coup pousser des ailes à vouloir jouer les héros. Voilà à quoi servait le Cold Gun. Elle démarrait  la voiture. Puis, appuyais sur la pédale permettant d'avancer. Dû à la vitesse d’accélération saccadée, cela se sentait qu'elle stressait. Ce n’était pas bon non plus. Il y à une limite a ne pas dépasser, sinon, elle risque d'être prise de panique, et faire n'importe quoi. Au mieux piller et s'arrêter au milieu de la rue, au pire, nous encastrer dans une façade. « Pouvez-vous, au moins, baisser votre arme ? Je peux difficilement me concentrer sur la route si vous me menacez avec un flingue ! » Mouais, c'est pas une super idée, mais si ça lui permet d'arrêter. « Si ça peut éviter de nous faire fusionner avec la voiture en face. Par contre, oublie pas qu'il est toujours là. Une transformation en Miss. Freeze est si vite arrivé. » Je n'avais aucunement l'attention de la blesser. C’était vraiment que de la dissuasion. Elle était la monnaie d’échange pour Mick. Elle avait l'air de bien connaître la ville. Je n'avais pas besoin de la diriger. Il régnait une atmosphère glaciale dans la voiture. C'est pourquoi je commencais à toucher à tous les boutons du poste radio. « C'est pas ma voiture, c'est pour ça » Lancais-je avec un nouveau sourire. Ah voilà, la radio se mettait en marche. * . Je sifflotais sur le rythme de la musique. Je faisais cela pour déconcerter encore plus l'otage. Qu'elle ne puisse pas comprendre de paterne ni rien. Que je reste trop imprévisible pour elle. Après quelques détours, nous arrivions à la fameuse décharge. Je lui indiquais où se rendre.


Une fois sur place, je lui ordonnais de stopper le moteur. Puis je faisais l'inverse de tout à l'heure. Arrivé  devant sa porte, je l'ouvrais, et avec un petit mouvement de Cold Gun, je lui montrais de sortir du véhicule. Puis, je lui indiquais la roue de tracteur. « Tu t'assoies, tu t'assoies pas, comme tu veux, mais tu bouges pas de là. » j’étais assis sur le capot de l'Insignia. A présent, j'attendais l’arrivée  des autres. Un camion blanc arrivait en face. C’était Roscoe et Hartley. Le bruit d'une moto rugissait de derrière nous. Mark. Les deux véhicules s'approchaient et couper leurs moteurs. « C'est quoi le plan Cold ? » « Heatwave à encore fait de la merde, c'est ça ? » « il commence à m'insupporter, c'est quand qu'on le vire ? » « Silence. » J'allais derrière la jeune femme, et je commençais à remuer les décombres. Puis, je sortais un grand miroir. Que je déposais sur ses pieds, à côte de la femme. Je reculais, pour retourner m’asseoir sur la voiture. « C'est bon Mirror Master, tu peux sortir. » Sam se matérialisait depuis le miroir. Il était énervé. « Je te jure Cold, si tu nous demandes de risque une nouvelle fois tout pour aller chercher Heatwave... » « Tu vas faire quoi ? » « ... » « Voilà. Heatwave est l'un des nôtres, même s'il fait n'importe quoi, il reste un Rogue. On se doit de le tirer de là. Une fois fait, là on pourra régler nos comptes. » j'haussais une nouvelle fois la voix, comme lors du briefing. « C'est clair ? ». Tout le monde avait l'air de comprendre le message. Même s'ils n’étaient pas d'accord, c’était comme cela qu'il fallait agir. Si ce serait l'un d'eux à la place de Mick, le traitement aurait été le même. « Pipper, surveille l'otage. ». Je me levais à présent du capot, je déployais une carte. Sam, Roscoe et Mark s'approchait. « Top, j'ai besoin que tu ailles chercher sur le toit du journal télévise, que tu pirates leurs antennes pour diffuser un message. Tu penses que c'est dans tes cordes ? » « C'est comme-ci c’était fait. » « Weather Wizard, de ton côte, il faudrait que tu restes en Stand-bye, proche d'un point surpeuplé, si le plan foire, on aura besoin d'un plan W. » Mark acquissait. « Mirror Master, occupe-toi de localiser Heatwave. » C’était à son tour d'aquiessait. « Enfin, Pied Pipper. Toi, tu te chargeras de brouiller les chaîne et d'envoyer le flux à Top. » « Enfin quelque chose de fun à faire » « Que les chaînes de Central, pas celle du coin. » « Bon, c'est moins fun d'un coup, mais ça l'est toujours. » « De mon côte, je vais m'occuper de l'otage. Des que tout est en place, Pipper, tu envoies un signal , Chacun sait ce qu'il a à faire, donc au boulot. »  Avant de faire quoi que ce soit. Je m'approchais de la femme. « Ton téléphone. » La jeune femme mit quelques secondes avant de s’exécuter. « Merci, tant de gentillesse. » Je me tournais à présent vers Hartley. « elle n'a rien d'autre ? » il sondait avec son gant. « Ras » « bien, maintenant, monte dans le camion. » Roscoe repartait vers la moto, l'enfourchait et partait. Sam quant à lui retraversait le miroir. Mark prenait l'Insigna et enfin, Hartley monter en conducteur de la fourgonnette. Je montais à l’Arriéré avec l'otage. Une fois la porte ferme, il faisait noir. J'allumais donc la petite lampe. Puis une secousse nous fessait comprendre que le camion avait démarré . Même si la lueur de la lampe était faible, on parvenait à discerner quelque chose. Je posais mon coude sur le haut de la banquette, j'avais toujours l'arme en main. On pouvait voir la lueur bleu ciel briller, où cas ou. La jeune femme était sur la banquette en face. « La route risque d'être longue. Et si tu me disais comment tu t'appelles et ce que tu faisais à la banque ? Ça fera passer le temps plus vite. » Suivi de quoi, mon sourire habituel se montrait.

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Dernière édition par Leonard Snart le Dim 26 Nov - 2:22, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptySam 25 Nov - 19:53

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La voiture se gara dans la décharge, au milieu de piles de déchets et d'un désert sec. Iris sortit de la voiture lorsque l'homme lui ouvra la porte et observa les environs. Ce n'était pas tout à fait le genre d'endroit que la journaliste côtoyait, moins encore apprêtée telle qu'elle était. Elle jeta un coup d'oeil à sa montre ; elle devait être au point de rendez-vous depuis déjà dix minutes. Pour une fois, c'est elle qui sera en retard, et non Barry, à défaut d'avoir une excuse bien réelle pour lui pardonner cet écart — d'autant plus que cette fois-ci, elle n'a pas chercher à se faire kidnapper par un groupe de criminel. A croire qu'elle ne pourra jamais profiter pleinement d'un quotidien sans aventures. La demoiselle s'assit sur la roue, les talons de ses chaussures ne lui permettant pas de rester debout trop longtemps ; une bien médiocre douleur pour compenser sa petite taille qui a tendance à la ridiculiser, autant auprès de Barry qu'auprès de ses ravisseurs. Elle le regarda s'asseoir sur le capot de la voiture, sans un mot. Il était encore différent de tous les criminels auxquels la photojournaliste avait eu affaire jusqu'à ce jour, mais il ne lui était pas inconnu, bien qu'elle n'ait jamais eu l'occasion de le rencontrer en chair et en os. Captain Cold. Difficile de le rater, avec un tel accoutrement et de tels équipements. Au contraire de nombreux criminels et superhéros, il ne se dérobait pas sous son alias et son costume. Captain Cold est Leonard Snart. Ce n'est un secret pour personne, et cela sembla sans doutes mieux ainsi pour la jeune femme, qui mène une vie embuée de mensonges, et certains même, dont elle n'est pas encore au courant.

Un camion arriva, suivi des vrombissements d'une moto. D'autres hommes en costume rejoignirent Snart, et préparèrent un plan. L'un d'eux avait fait capoter la mission, et d'une quelconque manière, s'était retrouvé dans les filés de la police. Inutile d'avoir un QI très élevé pour deviner que la West allait servir de marchandise d'échange. Ce n'est malheureusement pas la première fois que cela lui arrive ; certains ont vite compris que la journaliste comptait aux yeux du bolide écarlate, et qu'elle faisait une merveilleuse otage. Néanmoins ceux la ne semblait pas la connaître ; ce serait simplement un présent de la fortune. Quelqu'un d'autre aurait pu jouer le rôle, mais tout de même, une fois le message passé et parvenu aux oreilles de Flash, cela pourrait sérieusement envenimer les choses. Iris écouta attentivement le plan de Cold, retenant chaque nom qu'il prononce, chaque traits qu'elle parvient à esquisser sous les masques. Heatwave. Mirror Master — qui eut la gloire de faire sursauter la demoiselle lorsqu'il se matérialisa grâce au miroir. Weather Wizard. Top. Et Pied Pipper. Elle se répéta de nombreuses fois ces noms et ainsi se les remémorer ; cela pouvait toujours être utile, ne serait-ce que pour fournir quelques informations à Flash, ou s'en servir dans un article. Une fois les rôles accordés à chacun, il s'approcha d'elle et lui demanda son téléphone. Elle mit quelques secondes avant de daigner lui donner et lui accorda un sourire faussement satisfait. Iris haussa les sourcils quand un autre s'approcha d'elle armé d'un gant, mais garda la silence, et monta dans la camion que Cold le lui ordonna. La photojournaliste n'était pas encore assez inconsciente ni assez idiote pour faire quoi que ce soit d'héroïque, alors qu'elle est encerclée de six criminels, contre lesquels la force de ses poings et son talent au corps-à-corps ne sera malgré tout guère suffisant pour espérer en sortir indemne. Le chef des Rogues rejoignit la jeune femme à l'arrière de la camionnette avant de fermer les portes et éclairer le petit espace, profitant de l'intimité pour lui demander son nom et la raison de sa présence à la banque ; information qu'elle préféra ignorer, il n'y avait rien de réellement intéressant à faire dans une banque hormis la braquer, et elle ne jugea pas utile qu'il sache cela. « A condition que vous retiriez votre capuche et vos lunettes. » lança-t-elle, un très léger sourire étirant ses lèvres, et la confiance égayant ses traits. Curieusement, il s'exécuta, et la demoiselle fut quelque peu déconcertée, mais elle ne manqua pas à sa promesse, et se présenta. « Iris West. » Son nom est connu de quelques personnes prêtant attention à l'auteur des précédentes unes du Central City Picture News ou la rubrique crime qu'elle tient depuis un moment, mais jamais elle n'a assumé être célèbre pour cela, contrairement à Lois Lane, qui a su se faire un nom dans toute la ville de Metropolis, notamment grâce à son Pulitzer. « Comment je dois vous appeler ? Captain Cold ? ou Leonard Snart ? » demanda-t-elle, son air démesurément impassible. Sa confiance se portait bien mieux maintenant qu'elle ne tenait pas un volant entre ses mains, rongée par la peur de s'écraser contre un mur ou de renverser un civil. « Vous n'êtes pas aussi froid que ce que j'avais imaginé. » On décelait presque un trait d'amusement dans son air ; Iris a tendance à utiliser son éternel côté rafraichissant et son sarcasme pour sortir de situation difficile ou encore pour se rassurer. Néanmoins, elle ne ressentit aucun réel besoin d'amoindrir la situation dans laquelle elle se trouvait, et ce sans doutes parce que leurs attentions étaient claires.

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MessageSujet: Re: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptyDim 26 Nov - 2:11

The intrepid Journalist & The Cold Thieve
Iris & Leonard
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J'avais toujours mon petit sourire en coin de bouche. Une secousse. Probablement un cassis. La jeune femme répondait à ma question. « A condition que vous retiriez votre capuche et vos lunettes. »   Mais qui se croit-elle à me faire du chantage. A moi ? Captain Cold ? Elle n'avait franchement pas froid aux yeux. Et a vrai dire, j'aimais cela. Mon identité était publique. Je n'avais donc rien à cacher. Qu'elle voyait mon visage avec ma capuche et mes lunettes ou qu'elle le voyait sans, cela importait peu. C'est pourquoi, je montais ma main droite jusque derrière ma capuche, et je l'enlevais tout doucement, puis, je prenais mes lunettes. Puis les je les retirais lentement. Pour ensuite les poser sur ma droite. Voilà ma part du deal effectué , à son tour. J'avais toujours mon petit sourire au coin des lèvres. « Iris West. »  Hum. Cela me semblait familier, mais j'avais beau fouiller dans toute ma tête, rien de revenais. Soudain, comme un flash lumineux apparaissait dans ma tête. Iris West, la journaliste ? Ou quelque chose du genre. J'avais déjà vu son nom quelque part sur une brochure ou un journal. J'avais bien fait de lui prendre son portable. Vu son boulot. Elle aurait pu essayer d’enregistrer le plan, ou alors prendre des photos de nous. Je l'avais toujours dans ma poche. Elle se remettait à parler.« Comment je dois vous appeler ? Captain Cold ? ou Leonard Snart ? » Là, c’était une question tricky. « Tout dépend. Comment veux-tu que je t'appelle ? West ? Iris ? Miss West ? Ma duchesse West ? » Bon j'allais un peu trop loin. Mais il y avait du vrai dans ce que je disais. Si elle décidait de m’appeler Snart. Je l'appellerais donc West. Et cela est valable avec tous les autres. Une bosse, une seconde, rien pendant 15 secondes, puis encore deux bosses. Nous étions bien sur le chemin vers la planque. A présent, nous n'etions plus à Central City, mais aux alentours. La jeune femme reprit la parole.« Vous n'êtes pas aussi froid que ce que j'avais imaginé »  Ah bon?Ma cocotte, il ne fallait pas dire ça à Tonton Snart. Il n'y a rien de mieux pour me provoquer. Sachant pertinemment qu'elle ne pourrait rien faire. Je décidais donc de m'amuser un peu.


Je sortais à présent son téléphone. Je le secouais devant elle. « Et si je m'amusais un peu avec ton joujou, tu m'en veux pas hein ? Ah merci ! » avec mon doigt, je faisais glisser l’écran. Un fond d’écran apparaissait, avec une demande de code. « Je suppose que si je te demande le code, tu me le donneras pas, et que je vais devoir faire le méchant à te dire que je vais te retirer chaque ongle,puis chaque doigt ? » son regard me faisait comprendre qu'elle n’était pas enclin à me donner son mot de passe. « Heureusement pour toi, ça me ferait tellement de mal de retirer de si beau ongles, ça change d'Heatwave. » Suite à quoi, je toquais deux fois à la trappe menant au conducteur. Hartley l'ouvrit. « Cold ? » « Hartley, j'aurais un petit service à te demander, puisque ma très charmante compagnie ne veut pas me donner son code, il faudrait que tu puisses le craquer. » Hartley prit le téléphone, puis, avec l'aide de son gant, le déverrouillait. Super. Je reprenais le téléphone. « Merci Pipper, c'est toi le meilleur » disais-je en refermant la trappe. Puis je revenais m’asseoir en face de la jolie dame. « Bon il est temps de s'amuser un peu. A quoi je touche en premier ? Les messages ? Bonne idée. Ah, tu viens de recevoir deux messages. Le premier à l'air d'être ton patron. Il te demande qui est le beau gosse devant toi. Je l'aime bien, tu penses qu'il pourrait m'engager ? J'ai un CV pas trop mal non ?. Et le second. C'est une certain, Barry Allen. Il … Oh… Mais serait-ce futur miss Allen devant moi ? » Disais-je en rigolant. « Dommage, pas ce soir, j’espère que tu m'en voudras pas. » Je me mettais à écrire tout en lisant. J'avais aussi toujours le Cold Gun au cas ou. « Désolé Barry du retard. Mais je ne pouvais pas faire autrement. Mon patron m'a envoyer faire une enquête spéciale. Quelque chose ir-refusable. Ça risque de me prendre toute la nuit, alors m'attend pas. -Tu mets quoi à la fin ? Un xoxo comme les jeunes ou un bisou ? Va pour le bisou – bisou, Iris. » J'envoyais le message. Comme ça, il ne lancerait pas d'avis de disparition. « Au tour des photos. Ah c'est lui Barry ? Ouai, ça va, mais faut avouer, j'ai un meilleur sourire ? On est d'accord. Allez, tiens c'est cadeau. » Je mettais le téléphone en mode photo, puis, je pris une photo en souriant. Suivi de quoi, j’entrais mon numéro. Encore une fois, mon numéro était public, donc pas de soucis avec ça. Le téléphone vibrait dans ma poche. « Ah, j'ai un appel on dirait, ah, bha c'est toi ! Qui l'aurait cru ? » Hop, je recuperais le numéro. Une autre secousse m'indiquait que nous étions plus qu'à une centaine de lettres du repaire. Je me m’asseyais à côte d'elle. Je retirais la batterie du téléphone. Puis je lui redonnais le téléphone. « Ah et au fait, pas aussi froid ? Imagine que la lampe est l'une de tes mains. » Je tirais un coup sur la lampe, qui gelait instantanément et se brisa. C’était le noir complet à présent. Et le fourgon s'arrêter. Je connaissais véhicule.  Malgré l’obscurité, j'ouvrais la porte, nous étions dans un hangar, mon hangar. « Tu peux descendre. » Elle s’exécutait. « Pipper, tu peux aller à ton point maintenant. » il faisait demi-tour, sortait du hangar, et refermait la porte. La nuit était tomber entre-temps. Seules les quelques lampes éclairaient le fond du hangar. Iris était dos à moi. Par surprise, je lui attrapais le poignet, et lui mit dans son dos. « Juste de simple précaution. » avec une petite pression, je lui ordonnais d'avancer. Au fond du hangar se trouvait une sorte de clôture, englobant pas mal de matériel. Arriver à la porte, Iris l'ouvrait avec sa main libre. Une fois dans la pièce, je l'a lâchais, puis refermais la porte, avec un cadenas. « Comme pour le fourgon, on risque d'y rester un petit moment, alors occupes-toi. » Je désactivais mon Cold Gun, et le posais à l'entrer. Iris ne savait pas comment l'utiliser. Donc je ne craignais rien. Et temps que je gardais un œil sur elle, tout se passerait bien. Je m'approchais du canapé, et je m'y enfonçais. Soudain, une chienne arrivait à toute allure, puis me sautait dessus, pour ensuite rester sur moi. C’était Maya. Ma chienne. Depuis le départ de ma sœur. Maya était la seule chose qui comptait dans ma vie. C'est pourquoi je faisais tout pour la satisfaire et la rendre heureuse. Je la caressais et la papoyais. « Mais oui que t'es une bonne chienne, mais oui que t'es la chienne à ton Leo'. » Je tournais la tête, Iris n'avait pas bougé  d'un poil. « Tu sais, tu peux t'approcher, elle ne mord pas. »

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MessageSujet: Re: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptyDim 26 Nov - 11:08

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Plusieurs bosses et cavités sur la route suffirent pour que la demoiselle comprenne qu'ils quittaient la ville et s'aventuraient en dehors de ses frontières. Sans doutes l'emmenaient-ils dans une planque, un entrepôt abandonné ou une grange hantée. Il y avait certainement un endroit plus sympathique dans lequel passé la nuit, et Iris regrettait dores et déjà son rendez-vous amoureux avec son petit-ami, qui se serait certainement terminé d'une manière plus chaleureuse que celui-ci. Au moins, son kidnappeur ne manquait pas d'humour, mais l'appeler Iris suffisait amplement. « Je me contenterais de Leonard. » lança-t-elle, haussant légèrement les sourcils. La journaliste espérait parfois appeler le super-héros Flash par son prénom plutôt que par son pseudonyme, mais il refuse toujours de lui faire confiance, et ne serait-ce que de lui accorder un rendez-vous. Cependant, c'est peut-être mieux ainsi ; elle commence à éprouver des sentiments qu'elle ne devrait pas éprouver pour le bolide écarlate. En écoutant son cœur, elle a parfois l'impression de trahir Barry, même si ce dernier reste et restera l'homme avec qui la jeune femme imagine son futur.

Sans surprise, l'aisance à laquelle la journaliste répondait et son extravagante confiance avait provoqué l'homme, qui sortit le portable qu'il avait précédemment réquisitionné et le déverrouilla à l'aide de son acolyte, Pied Pipper. Iris détourna la regard, l'air un peu agacé, mais en vérité il n'y avait rien de totalement compromettant dans son portable, hormis ses conversations avec Barry qui pourrait sembler ridicule pour certains, et qui nuiraient à l'image qu'elle essaye de construire depuis une ou deux heures. De plus, Iris tentait bien que mal de garder son sérieux face à l'homme, mais elle laissa échapper un rire entre ses lèvres lorsqu'il prit une photo de lui-même pour inscrire son propre numéro dans le téléphone de la journaliste. Cette dernière garda le silence, laissant Cold jouer avec l'appareil à sa guise. Son petit ami connait assez bien la West pour se douter que ce message ne vient pas d'elle ; rater un rendez-vous avec lui pour un scoop dans les bas fonds de Central City ? Hors de question. Il était déjà bien assez lent pour lui demander d'emménager ensemble, elle n'allait pas manquait une occasion de faire avancer les choses. Dans tous les cas, elle éclaircira cette histoire aussitôt qu'elle sera libéré des Rogues, ce qui prit bien plus de temps que ce qu'elle avait prévu, étant donné que le camion s'arrêta, et qu'ils étaient bien loin du centre de la ville. Son petit tour avec la lampe, malheureusement, manqua son effet. Il en fallait plus pour effrayée la photojournaliste, et davantage pour changer sa vision bornée des choses. Elle descendit et observa les alentours, imprimant le paysage pour mieux se rendre compte de l'emplacement, malgré le peu d'éclairage. Iris sursauta et laissa échapper une plainte d'entre ses lèvres lorsqu'elle sentit le criminel attraper son bras et fit pression pour la faire avancer jusqu'à la porte, qu'elle ouvrit de sa main libre, avant d'être libérée de l'emprise de son kidnappeur. La photojournaliste observa chaque recoin de l'endroit, chaque issue possible, chaque objet qui pourront être utile à son évasion, si elle arrivait à échapper de la vision de Leonard — ce qui reste tout de même peu probable. Un aboiement attira néanmoins son attention, et les traits de la demoiselle se déchirèrent bientôt entre la surprise et l'incompréhension ; un chien se précipita sur l'homme aussitôt qu'il fut installé. Les criminels étaient souvent connus pour posséder un félin, aussi machiavélique que leur maître ; mais l'animal semblait au contraire doux et attendrissant. Aimé. « Tu sais, tu peux t'approcher, elle ne mord pas. » La jeune femme mit quelques secondes avant de daigner s'approcher, en douceur. Elle a toujours eu un lien particulier avec les animaux ; dans son enfance, ils étaient parfois la seule compagnie que la gamine appréciait, et elle a toujours été plus douée avec les bêtes qu'avec les humains, lorsqu'il s'agissait de montrer son affection. Son frère, lui aussi, partageait cette passion, mais davantage avec les insectes, quand sa grande soeur trouvait réconfort chez les animaux de plus grande stature. A portée de la chienne, Iris se mit accroupit et tendit la main, patienta que le chien vienne de lui même s'y intéresser — Cold a eu beau faire remarquer qu'elle ne mordait pas, il est arrivé plus d'une fois à la journaliste d'avoir de mauvaises expériences avec des animaux inconnus. Une fois ceci fait, elle posa doucement sa main sur le crâne de l'animal et commença à le caresser, un sourire étirant les lèvres de la jeune femme et égayant peu à peu ses traits, sa main parcourant le dos de l'animal. « Elle est magnifique. » murmura-t-elle presque, revenant poser sa main sur le crâne de la chienne pour le caresser. Il était difficile à croire qu'un criminel possède un chien aussi doux, mais Cold semblait être plein de surprises, contrairement aux autres. « Comment elle s'appelle ? » demanda-t-elle, d'un air faussement innocent. Elle avait bien une idée derrière la tête, abordant ainsi l'homme avec ces traits attendrissant et son aisance avec les animaux, et n'oubliait son but principal : s'échapper d'ici. « Alors, c'est comme ça que vous espérez séduire quelqu'un, lança-t-elle, sans cesser de caresser la tête de l'animal. Vous kidnappez une femme qui vous plait, vous lui faites le coup du numéro de téléphone et vous l'emmenez ici pour l'attendrir avec votre chien, quand tous vos hommes sont parti. » Elle laissa échapper un rire d'entre ses lèvres, avant de reprendre : « je dois avouer que l'idée n'est pas mauvaise dans le fond. » Elle s'amusait, Iris. Sans doute un peu trop, d'ailleurs, mais elle a toujours été comme ça. Avec ses grands yeux, et son rire rafraichissant. Même dans des moments comme celui-ci.

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MessageSujet: Re: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptyDim 26 Nov - 13:40

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Je continuais à faire des papouilles à Maya. Elle aimait ça. Et ne le cachais pas. Iris, quand à elle, n'avait toujours pas décidé de bouger. Elle était toujours planté à l’entré. Je me levais, et me dirigeais jusqu’à l’établis au fond de la pièce. Je m’asseyais dessus. Faisant face à toute la pièce. Je prenais dans ma main droite un prototype similaire à ce qui se trouvait dans mon Cold Gun, puis dans mon autre, j'avais une grenade désamorce. Mon but était de parvenir à créer une grenade qui à l'explosion générerait une vague de glace instantané. Pratique contre Flash ou dans une situation qui avait besoin de stopper le temps. Pendant que je cherchais à comprendre le fonctionnement, je voyais la demoiselle s'avance tout doucement vers Maya. Je n'avais pas mon Cold Gun à proximité, mais ce n’était pas pour autant une mauvaise chose, j'avais tout un arsenal sous la planche sur laquelle je me trouvais. Si elle tentait quoi que ce soit envers Maya ou moi même, fini le joli kidnapping, et on repartirait sur les bonnes vielles base à coup de chaîne et de bandeau. Elle s’accroupissait et tendait la main à ma chienne. J'observais la scène du coin de l’œil. Faisant semblant de ne pas être intéresser. Alors que c'est bien tout le contraire. Ma chienne ne connaissait personne à par moi. Sa réaction m'intriguer. Comment allait-elle réagir ? Pour le moment, elle était amicale. Je savait qu'elle n’était pas méchante, mais la venue d'une étrangère pouvait compliquer la tâche. Elle commençait à la caresser. « Elle est magnifique. » bien-sûr qu'elle l’était. C’était Maya après tout. A quoi s'attendait-elle ? Elle continuait de faire des vas et viens sur sa tête. Ce qui ne déplaisait en aucun cas la chienne. « Comment elle s'appelle ? » « A la base Coldy, mais je trouvais ce nom pitoyable, alors je l'ai nommé Maya. » Je reposais le prototype, n'ayant plus que la grenade dans mes mains. Je m'amusais à la jeter d'une main à l'autre. « Alors, c'est comme ça que vous espérez séduire quelqu'un. Vous kidnappez une femme qui vous plait, vous lui faites le coup du numéro de téléphone et vous l'emmenez ici pour l'attendrir avec votre chien, quand tous vos hommes sont parti. »  Il y avait du vrai la dedans. Comme le coup du téléphone. Mais la demoiselle avait l'air de se méprendre. Je ne faisais pas ça pour la draguer ou quoi que ce soit. Je le faisais pour Mick. De plus, elle est photojournaliste, elle pourrait faire un article du tonnerre sur les Rogues. Mais passons sur cela.  « je dois avouer que l'idée n'est pas mauvaise dans le fond. » Vu d'un autre angle, cela ressemblait plus à tout sauf à un kidnapping. Même si la situation prenais une tournure que j’appréciais, il fallait que je rappelle à la jeune dame la situation.


Elle était toujours en train de faire des caresses à Maya. Il me restait quelques bracelet de Trickster dans le coin. Je remuais tout le coin pour enfin les dénicher. J'avais deux bracelets dans les mains. Je commencer à engager la discutions, tout en m’approchant d'Iris. Les deux bracelet n’était pas dans son champ de vision. « Tu sais, t'es peut-être pas si bête que je le pensais... » Je m'accroupissais à son niveau. « Mais tu oublies un facteur essentiel. » pendant une seconde d’inattention,  j'accrochais un bracelet au poignet de la jeune femme, un tic métallique puis, une couleur orange clignotante m'informer que le bracelet était en ligne. Aussitôt, je me relevais, puis retourner vers le coin ou je me situer au préalable. Je prenais une planche, je plaçais le seconde bracelet dessus, puis j'allais poser la planche à l'entrer. Pour ensuite revenir m’asseoir sur l’établie. « C'est que je n'ai t'aie pas fait venir pour te draguer ou autre. C'est vrai que je n'ai pas choisi la plus repoussante, mais je ne t'ai pas pris pour ton vissage, mais pour tes caractéristiques physique. Petite, plutôt mince, le top pour un kidnapping. Ah et le bracelet ? C'est un avertissement. Puisque t'as l'air d'oublier que c'est un kidnapping. » Avec un petit sifflement, j’appelais Maya. Qui répondait aussitôt à l'appel. D'un bon, elle montait sur l’établie, et se plaça à ma droite. La planche était assez loin de nous deux. « Tu vois, si tu fais ne serait-ce qu'une petite bêtise, regarde ce qu'il se passe. » A la fin de ma phrase, je prenais le déclencheur, et j'activais le bracelet deux. Une petite explosion concentrer se produit. Le premier bout de la planche s’écrasait dans le grillage, l'autre traversait la pièce. « Ça serait dommage de retrouver ta main de l'autre coter de la pièce non ? » Suivit de quoi, un petit rire. « Pas mal la technologie de Trickster. J'sais pas toi, mais je la trouve explosive. » j'avais encore la grenade factice sur le cote. Je la lançais à la fin de ma phrase. « Tu penses que c'est quoi le pire, la grenade ou le bracelet ? » Je caraisser Maya de ma main droite, elle me regardais à présent. « Elle t'as pas trop fait peur la méchante madame ? » Je disais cela sur le ton de l'humour. Je tournais à présent la tête vers Iris. « C’était quoi déjà la phrase que tu venais de dire ? Pas aussi froid que tu l’imaginais ? » J'affichais un sourire narquois. Voilà qui devait changer la situation.

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MessageSujet: Re: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptyDim 26 Nov - 14:53

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La chienne n'avait pas l'air de broncher, au contraire. Mais c'était sans doutes trop beau pour être vrai ; un kidnapping qui se passe de la sorte, c'est utopique, pas tout à fait le genre d'Iris, ni celui de Cold, visiblement. Il se leva, mais la journaliste ne fit pas réellement attention, trop occupée à caresser le chien. Elle ne le vit pas s'approcher d'elle, et se fit prendre par surprise, lorsqu'il attacha un bracelet à son poignet. Elle se redressa presque aussitôt, le regard posé sur Snart, les sourcils froncés. Une lumière orange clignota, ne signifiant rien de bon pour la demoiselle.  « C'est que je n'ai t'aie pas fait venir pour te draguer ou autre. C'est vrai que je n'ai pas choisi la plus repoussante, mais je ne t'ai pas pris pour ton vissage, mais pour tes caractéristiques physique. Petite, plutôt mince, le top pour un kidnapping. Ah et le bracelet ? C'est un avertissement. Puisque t'as l'air d'oublier que c'est un kidnapping. » Elle regarda le chien rejoindre son maître sur l'établie, les yeux plissés. Rien ne se passait tout à fait comme elle espérait, mais si elle oublié une chose, lui aussi, en avait oublié une autre. Elle observa en silence le tour de magie, tout de même peu rassurée. Elle tenait à son honneur presque autant qu'à sa main ; exercer son métier de journaliste risque d'être plus compliqué que prévu, néanmoins ce serait une terrible idée que d'échanger une marchandise en deux morceaux pour une autre, disons... entière. « C’était quoi déjà la phrase que tu venais de dire ? Pas aussi froid que tu l’imaginais ? » demanda-t-il, ce même sourire accroché aux lèvres. Curieusement, elle lui rendit un sourire quasi à l'identique, jetant un coup d'oeil au bracelet avant de s'approcher de Cold. « Je crois que vous avez oublié quelque chose de tout aussi important. » Sa tendresse — certes fausse — n'avait manifestement pas abouti à ce que la photojournaliste espérait, néanmoins elle avait d'autres cartes dans sa poche, et une hardiesse que l'on ne connait que chez elle. « Si vous voulez m'échanger contre Heatwave, il serait préférable que je reste en un seul morceau, commença-t-elle, s'approchant peu à peu de l'homme de son air désinvolte. Retenez ceci... » Un sourire étira un coin de ses lèvres, tandis que ses sourcils se lèvent. Son regard est faussement innocent, presque amusée, et pourtant menaçant. « Je vous déconseille de me blesser, d'une quelconque manière, si vous voulez récupérer votre ami... vivant. J'ai entendu dire que Flash n'appréciait pas trop que l'on touche à ses protégés, et je peux vous assurer que vous le regretterez. » lança-t-elle, son sourire s'effaçant peu à peu vers un air davantage sérieux, la tête légèrement penchée sur le coté. Elle était certes petite, et plutôt mince, victime parfaite pour une prise d'otage, mais avec sans doutes un peu trop de tripes, un cerveau constamment en ébullition, et surtout, une femme particulière pour le bolide écarlate. Iris tendit son bras, mettent le bracelet autour de son poignet en avant. « Je suis pas assez idiote pour tenter quoi que ce soit contre vous. Nous voulons tous les deux la même chose : que l'échange se passe comme il est prévu. Alors soit vous activez le bracelet tout de suite, et vous avortez le plan, soit vous me le retirez sans que je sois blessée, et l'échange est concluant. Qu'est-ce que vous décidez ? » Ca passe, ou ça casse. En tout cas, elle espérait qu'il ne choisisse pas la première option ; en vérité elle tenait à sa main. Mais cela ne sera sans doutes pas non plus sans conséquences pour lui et pour ses acolytes. Peut-être choisiront-ils de couper une main à Heatwave en compensation, ou autre chose. Voir même annuler l'échange. Même si Iris ne le sait pas encore, il y a d'autres speedsters que Flash qui chercheront à la sauver. La demoiselle s'approcha davantage, mais son air sérieux s'adoucit étrangement. « Pourquoi essayez-vous autant de me prouver que vous êtes quelqu'un de froid ? » demanda-t-elle, secouant légèrement la tête de droite à gauche. Elle aurait certainement poursuivi sa phrase, si elle n'était pas quelque peu apeurée à l'idée d'insinuer que quelque chose effrayait l'homme, qu'il ne voulait pas montrer une part de lui-même qui changerait définitivement la donne.

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MessageSujet: Re: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptyDim 26 Nov - 15:52

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La jeune femme se mettait à sourire elle aussi. Ce qui était étrange pour cette situation. Toute personne sensée ne faisait pas ça.  Elle avait du cran, il fallait l'admettre. Puis, elle s’avançait vers lui.« Je crois que vous avez oublié quelque chose de tout aussi important. » Ah bon ? Moi ? Captain Cold, Expert en cambriolage, et Leader des Rogues aurait oublié quelque chose ? Iris West, photojournaliste allait donc faire une leçon à l'expert du vol.« Si vous voulez m'échanger contre Heatwave, il serait préférable que je reste en un seul morceau, ceci...   Je vous déconseille de me blesser, d'une quelconque manière, si vous voulez récupérer votre ami... vivant. J'ai entendu dire que Flash n'appréciait pas trop que l'on touche à ses protégés, et je peux vous assurer que vous le regretterez ». Pendant qu'elle blablater, elle en profitait pour avancer. Et esquissait de nouveau un sourire. « Oh, dear. J'aime ton innocence. Penses-tu que tu es le seul otage de cette planète ? Si je te tue ici et maintenant. Qu'est-ce qui m’empêcherait d'allais chercher un autre otage ? Contrairement à Heatwave, tu es la personne sur la chaise éjectable. La seule chose qui fait que tu nous es encore utile, est ton nom d'otage. Continue à agir de la sorte, et ce nom va changer de personne. Et pour Flash, ça tombe bien, cela fait un moment que j'ai pas discuter avec lui. » Mon rictus était toujours présent. Elle faisait ses manières. Comme une petite fille devant son père pour la laisser aller au bal. Malheureusement, ça ne fonctionnait pas sur moi. Je restais impassible. Soudain, elle apportait son bras avec le bracelet devant moi. Et reprenais de plus belle. « Je suis pas assez idiote pour tenter quoi que ce soit contre vous. Nous voulons tous les deux la même chose : que l'échange se passe comme il est prévu. Alors soit vous activez le bracelet tout de suite, et vous avortez le plan, soit vous me le retirez sans que je sois blessée, et l'échange est concluant. Qu'est-ce que vous décidez ? » Elle voulait que je l'active ? Très bien.


Si c’était ce qu'elle voulait, alors j'allais accomplir son désir. Après tout, c’était elle qui trépignait d'impatience de perdre sa main. « Tu veux tant que ça devenir Captain toi aussi ? Par contre, ça sera Captain Crochet ... » Pour le coup, cette blague était appropriée. Elle s'approchait de plus en plus. Puis, son sérieux de son vissage commençait à s’évaporer. « Pourquoi essayez-vous autant de me prouver que vous êtes quelqu'un de froid ? » Parce que je le suis peut-être ? Je n'essayais en aucun cas de prouver quelque chose. Je savais qui j’étais, et je m'en foutais totalement de ce qu'elle pensait. Ça me passait au dessus la tête. « C'est ce que les criminels font non ? Après tout. » Je savais que cette réponse allait créer une confusion. Mais bon, elle n'avait pas l'air de me croire sur parole quand je lui disais que j'allais faire sauter son poignet. Tampis. « Et t'as pas l'air de comprendre la situation. Vu que tu meurs d'envie de perdre ton poignet, autant le faire maintenant. » A la fin de cette phrase, je portais mon doigt au déclencheur. Le 'Tic métallique' informait que le bouton était presse. « Oups, maintenant si je relâche, Boum. Et puis, ça ne sert à rien de venir me faire un câlin pour tenter de me blesser avec l'explosion, les charges sont orientées vers ta chair, donc je n'aurais rien. » Je laissais à la femme quelques secondes avant de tout doucement lâcher le bouton. La couleur du bracelet passait au rouge, puis se mit à clignoter de plus en plus fort. A la fin du compte à rebours. Le bruit d'un pneu crevé se fit entendre. Le bracelet se rompait, et tombait au sol. Avec un rire programme du Trickter. Iris avait les larmes aux yeux, elle était proche de trembler. Peut-être que cette scène ci allait la calmer un peu. « C'est la version 'trick', celle qui est faite pour le bluff. Tu marquais un point en disant que c’était mieux que tu gardes ta main. Mais tu faisais un peu trop la maligne à mon goût. Maintenant, tu n'as plus le bracelet, contente ? » Je rigolais de la situation. Maya n’avait pas bougé d'un poil, au contraire, elle était toujours à côte de moi. « Par contre, te voilà une dernière fois mise en garde, le prochain, ça ne sera pas la version 'trick' » D’après Central City, Les Rogues étaient des criminels. Pourtant, nous n'avions jamais tué quiconque. Et nous étions traiter pour autant comme tels. Autant jouer les 'Bad Guys' jusqu'au bout. J'avais une canette de soda à porter. Je l'attrapais, puis je lui lançais. « Tu sais, les Rogues auraient bien besoin d'une personne avec autant de cran que toi. Assoiffé  ? »

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MessageSujet: Re: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptyDim 26 Nov - 17:56

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On a souvent reprocher à la jeune femme d'avoir trop d'espoir. Comme si le monde pouvait changer, seulement grâce à ses grands yeux et son sourire rafraichissant. Qu'il n'est pas seulement tout noir. Ou tout blanc. Qu'il y a toujours des variations, quelque chose qui nous fait pencher vers le mal, ou vers le bien. Quelque chose que Daniel n'a jamais su attraper, mais dont sa grande sœur a toujours été imprégnée. Parce qu'Iris, elle est bourrée de bonnes intentions, à vouloir rendre cette vie meilleure avec son courage et sa témérité, comme s'il y avait rien à perdre. Il serait peu surprenant que la demoiselle se décide à vouloir changer Snart, si d'ailleurs, elle n'avait pas dores et déjà pris cette résolution, au moment même où leurs regards se sont croisés. Elle a failli manquer d'espoir ce jour-là, dès qu'il a posé son regard prédateur sur elle, et qu'il tenait le futur de la jeune femme entre ses mains, dans un seul détonateur qu'il pouvait à n'importe quel moment actionner. Sans qu'elle ne puisse le contrôler, les larmes montaient jusqu'à ses yeux, gonflant ses paupières, rougissant les veines. Un état qu'elle ne laisse que rarement transparaitre, auquel seul un petit nombre de personne ont assisté. Aussitôt que le bracelet fut tombé, elle lança quelques jurons indistincts, avant de se retourner et d'essuyer ses yeux humides, et toucher instinctivement son poignet comme pour vérifier qu'il n'y avait plus aucun danger. Elle murmura un « pitoyable » presque inaudible, destiné à elle-même. Pitoyable, il n'y eut rien d'autre qui lui vint en tête. Elle ne s'était certainement jamais senti aussi faible face à quelqu'un, et malheureusement, cela risque de ne pas être la dernière fois. Iris plaça deux mèches derrière ses oreilles, les lèvres pincées, et resta un instant dos à lui, refusant pour le moment de laisser voir ses faiblesses. Lorsqu'elle se retourna enfin, il lança une canette de soda qu'elle rattrapa sans difficulté. « Tu sais, les Rogues auraient bien besoin d'une personne avec autant de cran que toi. Assoiffé  ? » demanda-t-il. La photojournaliste haussa les sourcils ; il ne pouvait pas être sérieux, ni était-il assez idiot pour croire à une réponse positive. Elle plissa les yeux, un air déchiré entre surprise et incompréhension accroché à son visage. « Vous plaisantez ? demanda-t-elle, tout en ouvrant la canette de soda. Je suis journaliste, pas voleuse. » qu'elle précisa, avant de boire une gorgée de soda. La journaliste a toujours été passionnée par le journalisme, et obsédée par la vérité ; difficile à croire, lorsque l'on pense à tous ces mensonges qui l'entourent. Pourtant, depuis les doutes qu'elle éprouve quant à sa véritable identité, ce métier lui est apparu comme une évidence. Le plus important à ses yeux n'est pas de relater des faits, mais d'écrire la vérité. « Pourquoi faire tout ça pour m'effrayer ? demanda-t-elle en posant la canette sur un meuble à côté d'elle. Je vous aurais suivi sans essayer quoi que ce soit, et vous le savez. » Elle connaissait les risques, pourtant la demoiselle ne put s'empêcher de poser ces questions, et de croire qu'elle pouvait aider, même si elle devait perdre quelque chose en retour. Elle avala sa salive et croisa les bras, les sourcils froncés. « Qu'est-ce que vous voulez prouver ? Que vous êtes un homme froid et sans cœur ? l'interrogea-t-elle, penchant légèrement la tête sur le côté et prenant un air faussement menaçant. Votre mère n'aimait pas vos dessins ? Ou votre père n'a jamais assisté à l'une de vos remises de diplôme ? Et me faire peur, pour vous faire sentir supérieur, était mille fois plus satisfaisant que d'être humain ? » lança-t-elle, s'approchant d'un pas, consciente du risque qu'elle prenait, pourtant elle savait, elle ne sait comment, qu'il n'allait pas la tuer. Inconscience ou idiotie, difficile de trancher. Néanmoins, elle n'avait pas réellement pu s'en empêcher, et son instinct ne la trahissait que rarement.

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MessageSujet: Re: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptyDim 26 Nov - 19:47

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La femme semblait sur le point de craquer. Elle se tournait et restait quelques secondes comme cela. Puis, elle me refaisait face. La jeune femme attrapait la canette. « Vous plaisantez ? » Puis, elle but un coup. J’étais surpris. Je m'attendais à recevoir la canette dans la face, ou alors qu'elle me jette son contenue. « Je suis journaliste, pas voleuse. » Exactement ce  quoi je m'attendais. «Le jour où tu as besoin d'argent, tu sais qui appeler pour un contrat. ». « Je suis journaliste, pas voleuse. » Il y avait déjà du progrès. On passe de criminel à juste voleur. C’était pas mal. Je descendais de mon établi, je voulais astiquer un peu mon Cold Gun. Je me trouvais à présent à l'entrée. « Pourquoi faire tout ça pour m'effrayer ? . Je vous aurais suivi sans essayer quoi que ce soit, et vous le savez. » Elle avait raison. Je n'avais pas besoin de faire tout ça. C’était plus par habitude qu'autre chose. « Parce que la peur est le meilleur moyen pour soumettre quelqu'un. Pourquoi crois-tu que les autres Rogues me suivent ? » Faire peur. C’était l'une des seules choses que je savais faire en matière de social. J'avais mon Cold Gun dans les mains, je faisais quelques pas. Puis, la jeune femme commettait de nouveau une erreur. « Qu'est-ce que vous voulez prouver ? Que vous êtes un homme froid et sans cœur ?. Votre mère n'aimait pas vos dessins ? Ou votre père n'a jamais assisté à l'une de vos remises de diplôme ? Et me faire peur, pour vous faire sentir supérieur, était mille fois plus satisfaisant que d'être humain ? » Je m'arrêtais, je ne bougeais plus. J’étais à présent dos à elle. Comment osait-elle ? Personne, aux grand personnes n'avait eu l’idée de faire autant l'idiot devant moi. Personne n'avait eu l’idée d’évoquer ces mots devant moi. Cela faisait quelques secondes que je ne bougeais plus. Puis, avec un souffle calme. Je rétorquais avec une voix bien plus grave que d'habitude.


« Que viens-tu de dire ? » toujours dos à elle. « Que viens-tu de dire ? » plus fort e en me retournant doucement vers elle. J’avançais pas à pas vers elle. « de quels droits oses-tu ? » je commençais à hurler. Elle reculait à mesure que j’avançais. « tu ne sais PAS de quoi tu parles ». Au moment de prononcer le mot pas, je m’avançais d'un coup vers elle. Elle était dos à mur. Avec ma main gauche, je l'attrapais, et la tenais un peu en dessous du cou. Mon autre main venait coller le Cold Gun sur son front. A mesure que je parlais, je pressais de plus en plus l'arme. « Ne dis plus jamais ces mots, plus jamais en ma présence, tu m'entends ? Et ouai, on as pas tous eu la chance de vivre dans une belle maison, avec ses parents. Il y en a qui on eu une vie bien merdique. » J'hurlais à me rompre la voix. « Tout le monde n'a pas eu cette chance là. » Je ne savais rien d'Iris, si cela se trouvait, elle avait elle aussi vécu tout ça. Mais qu'importait. Elle avait décidé de parler de choses qui ne la regardaient pas. « Tien, puisque tu en parles, maintenant. Et si on allait lui rendre visite ? Comme ça tu lui demande toi même pourquoi c’était autant un connard ? » Je ne pensais plus clairement. Mais trop tard. Avec ma main gauche, je la faisait basculer en avant. « Allez ! Avance ! » Elle se figeait devant la porte. Je passais devant elle et tirais dans le cadenas, puis je défonçais avec mon pied. Je l’emmenait en dehors du hangar. Puis lui ordonna de monter de la pick-up. Une fois à côte d'elle. Je continuais à hurler. « Au moins, on sera tout les deux clairs. » A présent, je n'arrivais plus à discernais si Iris avait peur ou pas. Et à vrai dire, je n'en accordais pas l'importance. Au moins, avec ceci, quand elle posera sa question, j'aurais aussi ma réponse. Une ambiance glaciale régner dans le pick-up. Je ne la braquais plus avec l'arme. Il n'y en avait plus l'importance. Au bout de quelques minutes, je commençais à parler tout bas. « On va se revoir une dernière fois... » puis, mot par mot, haussais le ton. « ...Tu vas souffrir autant que tu nous as fait souffrir. ». « Juste... » je marquais une pause entre chaques mots. « ...une… dernière … fois. » J'avais pris mes lunettes. Je les remettais. Puis je remettais ma capuche. « Mourir par ce que tu as créer, ironique n'est-ce pas ?. » A la fin de cette phrase, je détournais la tête vers Iris, puis, le pick-up se mit à tourner, mais de manière inhabituelle. Puis, ma tête venait heurter le carreau à ma droite. Puis le vide.

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by Wiise
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MessageSujet: Re: The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard)   The intrepid Journalist & The Cold Thieve (Iris&Leonard) EmptyDim 26 Nov - 22:33

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Les battements de son palpitant accélérait. Ses doigts tremblaient, frigorifiés, par la tension, par la peur. Difficile de distinguer quoi que ce soit, en réalité. Iris avait enclencher quelque chose que personne auparavant n'avait osé approcher. Il avançait, au fur et à mesure que la demoiselle reculait, les pupilles remplies de rage, et le cœur lourd. Il empoigna Iris à la hauteur de son cou avant de pointer son arme sur son front. Elle tenta d'articuler quelque chose, une phrase presque inaudible, une plainte qui s'échoua dans l'air et qui se déroba sous les hurlements aliénés de l'homme. « Ne dis plus jamais ces mots, plus jamais en ma présence, tu m'entends ? Et ouai, on as pas tous eu la chance de vivre dans une belle maison, avec ses parents. Il y en a qui on eu une vie bien merdique. » lança-t-il, enserrant sans le savoir le cœur de la jeune femme, qui partagea un instant la douleur de son agresseur. Elle non plus n'a jamais eu droit à ce bonheur, ni à ces souvenirs qu'on lui a volé ; mais de cela, il n'en connaissait rien, de même qu'elle ne savait rien de son père et de son enfance. « Tien, puisque tu en parles, maintenant. Et si on allait lui rendre visite ? Comme ça tu lui demande toi même pourquoi c’était autant un connard ? » Les yeux de la jeune femme s'écarquillèrent sous ces mots, mais elle n'eut qu'à peine le temps de se rendre compte de la situation. Il l'emmena de force à l'extérieur du hangar, éclairé par quelques lampes et les astres nocturnes. La journaliste resta muette ; que pouvait-elle répondre ? Elle s'était mise seule dans cette situation, et quelqu'un mourra par sa faute si elle prend rien en main. En réalité, elle était bien trop effrayée et déboussolée pour penser à quoi que ce soit. Naturellement, les larmes montèrent jusqu'à caresser lentement sa joue et s'échouer dans le sable. Il invita brutalement la jeune femme à conduire le pick-up avant de monter à côté d'elle. La West s'exécuta, commençant à quitter le repère pour s'aventurer davantage dans les terres. L'esprit embrumer, se concentrer sur la route devenait tout bonnement impossible, néanmoins la pression animée par la peur força la demoiselle à rester attentive. Elle serra le volant entre ses mains, les lèvres rongées jusqu'au sang, son cœur battant lui semblait tel une bombe que l'on venait d'amorcer, cherchant désespérément à s'évader de sa cage. Elle entendit les murmures de Cold, ses échos assourdissants. Sa main parcourra ses propres joues, essuyant les perles salées qui ne cessaient de couler depuis ces dernières minutes. « Je suis désolée. Je ne peux pas vous laisser faire ça. » lâcha-t-elle, avant de violemment braquer sur la droite. La voiture dérapa, avant de pivoter et de s'écraser lourdement sur le sol.


Une dernière lumière éclairait l'endroit ; une grange, à quelques pas, s'était éveillée dans la nuit, attirée par le vacarme de l'accident. Une femme et un homme en sortirent, tous les deux vêtus d'une chemise de chambre et d'un manteau enfilé à la dernière minute. Ils trouvèrent la demoiselle pencher au dessus de l'homme ; Iris retirait minutieusement les lunettes de Leonard, les yeux encore gonflés et les joues rougies, indiscernables dans la pénombre. « Je suis désolée.. » murmura-t-elle une dernière fois, avant d'être interrompu par le couple venu porter leur aide. Ils emmenèrent le voleur à l'intérieur et l'allongèrent dans une des chambres, tandis que la femme s'occupa de nettoyer et panser les blessures de la journaliste. « Pouvez-vous m'emmener à Central City ? Je dois rentrer, ils vont s'inquiéter... » Iris confia à la femme une histoire inventée de toute pièce, mais qui fut assez convaincante pour que son hôte ne cherche pas à poser de questions. Un accident comme il en arrive tous les jours. On l'emmena a Central City comme prévu, où elle pu s'identifier à l'otage dont on en avait tant entendu parler. Une pauvre victime dans l'histoire, qui fut emmenée de force dans leur repère, mais qui a réussi à leur échapper, empruntant la voiture et rencontrant un malheureux accident. Elle retrouva Barry, et l'évènement fut vite oublier par tous, à l'exception de la journaliste.


La femme posa un verre rempli d'eau et une assiette de biscuit salé sur la petite table de chevet. Elle s'apprêtait à partir lorsqu'elle remarqua que l'invité était réveillé. Il était quatre heure passé, et curieusement, il n'a pas été dérangé. Son manteau était méticuleusement plié sur une chaise, mais il manquait ses lunettes. Elle laissa l'homme se réveiller avant de s'asseoir à ses côtés et lui tendre un verre d'eau. « Vous êtes dans notre vieille ferme, à quelques kilomètres de Central City. Souvenez-vous de ce qui s'est passé ? Votre petite-amie nous a raconté que vous vous disputiez dans la voiture, et qu'un paon a du passer sur la route. Vous avez eu un accident, mais rien de grave, visiblement. Elle est rentrée à Central City. Vous devriez en faire de même, mon mari va vous accompagner. Et vous feriez mieux de faire un tour à l'hôpital, histoire d'être certain que vous n'avez rien, dit-elle d'une voix douce qui se faisait rassurante, en lui tendant un petit pendentif en argent dans lequel se trouvait la photo de deux enfants. Elle l'a oublié en partant, vous aurez sans doutes l'occasion de lui rendre. Je sais que c'est d'être jeune, même si c'est il y a bien longtemps. Vous finirez par vous réconcilier. »
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