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| Sujet: Holly Robinson - Sometimes sidekick, mostly drug addict Sam 18 Nov - 22:45 | |
| Holly Robinson What a shitty world we live in Ordinary souls why do we fall ? so we can learn to pick ourselves up. nom complet : Holly Robinson. alias : ... âge : 24 ans. date et lieu de naissance : 13 novembre 1992 à Gotham City. lieu d'habitation : Gotham City. métier : Voleuse. identité : Connue. affiliation : affilier à Selina Kyle, principalement. avatar : Imogen Poots. crédits : Angel Dust Drug addict ; Blessée ; Secrète ; Caractérielle Débrouillarde ; Amusante ; Sociable ; Séductrice Imogen Poots | scénar | |
Miracles by their definition are meaningless, only what can happen does happen. (001), Elle se dispute souvent avec Selina Kyle, contrairement à ce qu'on pourrait croire. (002), Selina Kyle a une limite : elle ne tue pas autant que faire se peut. Holly Robinson ne partage pas cet excès de morale. (003), Elle pense absurde qu'il faille laisser une chance de se repentir aux pires criminels : s'ils sont infiniment dangereux, elle juge qu'il est bon de les tuer. (004), Elle partage en partie des même idéaux que Selina, ainsi elle est sensible aux violences faites aux femmes, qu'elles soient physiques comme morales (005), Elle est athée. (006), Elle est homosexuelle. (007), Elle est infiniment séductrice : certains jours, elle pourrait passer ses journées à séduire. Son lit est rarement vide. (008), Elle est addict aux soirées mêlant alcools et drogues. Elle est donc rarement réveillée le matin, si ce n'est pour rentrer chez-elle à demi-éméchée. (009), Elle est souvent sous l'influence de drogues et 70% des messages qu'elle envoie sont incompréhensibles. Sinon elle en envoie peu lorsqu'elle est clean. (010), Elle est infiniment secrète, elle parle de son passé qu'avec des gens de confiance et même avec eux, ces conversations tournent généralement mal. Elle refuse d'être jugée là-dessus. (011), Elle pense souvent à sa mère, qu'elle a abandonné avec son père. (012), Elle sera naturellement plus encline à pardonner à une femme quelque chose qu'elle juge répréhensible qu'à un homme. Elle assume cet aspect Misandre de sa personne. Malgré tout, elle peut entretenir des relations amicales avec des hommes sans souci. (013), Elle est boudeuse et susceptible. (014), C'est une femme blessée qui se hait plus qu'elle ne s'aime. Mais elle ne le montre pas : elle se fait passer pour une femme forte à l'amour propre élevé. (015), N'aime que peu les chats. En quoi l'apparition des méta-humains a-t-elle changé le cours de votre existence ? En rien. Quand les premiers méta-humains sont apparus, j'avais le nez dans d'autres affaires, je n'avais pas le temps d'en faire ma priorité. J'en ai certes croisé quelques uns à Gotham mais en soit, ils n'ont jamais été la plus grosse menace à laquelle j'ai fait face.
Au final, je ne les méprise pas plus qu'un humain normal mais je ne les aime pas d'avantage : certains ont été des amis, d'autres des ennemis, mais ces différences ne sont pas le fruit de leurs mutations, c'est une question de personnalités. Et certains de nos compatriotes nous montrent sans mal qu'un humain sans capacité surnaturelle peut arriver à se défaire du méta-humain moyen. que pensez-vous des groupes tels que la ligue de justice, qui n'obéissent à aucune loi ? Quelle loi ? Celle de la société ? Cette même société qui crée la pauvreté, des logements insalubres pour laisser mourir les habitants qui n'ont pas assez pour être des privilégiés du système ? Ou celle que les policiers appliquent, trop occupés à tuer la population à grands coups de misogynie, de racisme et autres joyeusetés ? Ou celle de la justice, qui blanchit les criminels de la pire espèce, qui ne donnent qu'une peine risible aux violeurs et font pourrir en prison ceux qui ont volé pour nourrir leur famille ? Je préfère que des Justiciers défendent le peuple plutôt que de faire confiance aux lois d'un pays qui nous méprise. l'humanité est-elle en mesure d'affronter toutes les nouvelles menaces se présentant ? Probablement pas. Question de logique : à chaque invasion, on déplore des millions à pertes. Ça fait même pas dix ans qu'on en compte : dans un siècle on aura perdu des milliards d'âmes à cause de ça, si on en suit ce principe. Après, reste à voir si ce sont toutes les formes de menaces qui détruiront la Terre ou si ce sera le comportement anti-écologiste qui la détruira en premier. En attendant, elle saura faire face à nombres de menaces du moment que des personnes comme Supergirl, Catwoman ou Wonderwoman seront là pour y faire face, que ce soit à petite ou grande échelle. Butterfrit sur twitter pays : France. fréquence de connexion : Régulière, possiblement quotidienne. où avez vous connu que le forum ? Le partenaire d'un partenaire d'un partenaire, quelque chose comme ça. votre avis dessus : complet, apparemment bien conçu, jolie, globalement qualitatif, ça me plait ! un dernier mot ? Passez une agréable vie !
Dernière édition par Holly Robinson le Mar 21 Nov - 10:22, édité 16 fois |
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| Sujet: Re: Holly Robinson - Sometimes sidekick, mostly drug addict Sam 18 Nov - 22:46 | |
| Holly Robinson La citation arrive Ma vie n'a toujours été que sueurs et larmes séchées par la lumière glaciale d'une lune inamicale.
Vous voulez que je vous parle de quoi ? De mon enfance ; de mes parents ? De ma vie de petite gamine turbulente et du peu de caprices que je pouvais m'accorder ? Ça intéresse quelqu'un, ici ? Je ne suis qu'Holly Robinson, une gamine-déchet jeté dans les rues de Gotham pour servir d'épouvantail aux oiseaux d'espoirs.
Mon père m'aimait, disait-il. Mais la façon de me le dire et d'ensuite me le montrer ne m'avait jamais donnée envie d'y croire. Quand j'avais dit ça à quelqu'un, une fois, il s'était empressé de m'offrir un sourire bienveillant et de poser une main amicale sur mon bras puis il m'avait dit « C'est ton père, peut-être qu'il le montre mal mais peut-être ne sait-il simplement pas comment te le montrer, tu penses pas ? Tu lui as déjà dit que tu l'aimais, de ton côté ? ». Si vous saviez ce que j'avais ressenti quand cet oiseau pur avait voulu me réconforter en me disant la plus glaçante et répugnante des injures ? Mon père ne m'aimait pas, ça non. Il ne savait guère aimer quiconque autrement que par le sang et les larmes, la sueur et le cracha. Mon père a brûlé la chaire d'une âme si pure d'un fer si laid, si immonde, si cauchemardesque ; mon père a tant cruellement taché la fragilité d'une enfant en commençant par ses draps que non, il ne pouvait pas m'aimer. Et je doute qu'une bête telle puisse aimer quiconque. Il n'aimait pas ma mère non plus : tant de fois l'ai-je entendu ne rien dire quand il gueulait, affamé et éméché, contre ma mère, vociférant des insanités alors que j'étais dans ma chambre, accolée au salon. Nous habitions dans les Narrows et la rue dans laquelle nous vivions n'était jamais calme : mais de tout les dangers qui s'y prêtait, je n'en eu jamais connu d'aussi pire que mon père.
J'ai finit par fuir celui qui restera, même des années plus tard, l'objet de mes cauchemars. Et vous savez quoi ? Malgré tout, la personne que je hais plus que mon père, parfois, c'est moi. J'y ai abandonné ma mère, sans un merci, sans un au revoir. Celle qui venait dans ma chambre, la nuit, pour me réconforter, et me dire que ça passera un jour, qu'il fallait attendre et montrer qu'on était forte. Celle-la même, je l'ai abandonné au fond de cette rue crasse, dans cet appartement miteux, sans un mot pour elle. Parfois, l'on me demande d'arrêter de me droguer. « Ca va te tuer, Holly ! », qu'on me dit. « Arrête ça, tu ruines ta vie, tu ruines tes chances ! T'es bien plus forte que ça ! », qu'on me rabâche, parfois. Mais vous savez quoi ? La drogue ne me tue pas, elle me laisse en vie. Elle me permet d'oublier, de passer le temps d'un instant à autre chose, d'avancer dans mes cauchemars et de passer aux rêves. Et on veut m'enlever ça ? Si j'arrête de me droguer, j'arrête de vivre. Le calcul est simple et le résultat m'effraie, alors qu'on me laisse vivre.
J'ai commencé à me droguer il y a onze ans. J'en ai actuellement vingt-quatre alors le calcul est vite fait : j'en avais à peine treize. Je venais de quitter mes parents, de fuir l'épouvantail qui effrayait l'oiseau d'espoir que je désirais être, alors il me fallait survivre dans ce quartier que je ne connaissais pas.
Vous savez, j'aurais pu m'en sortir. Ça m'aurait prit des années mais j'avais l'occasion de mettre le moindre cents que je gagnais de côté pour pouvoir, un jour, m'envoler. Mais ce n'était pas facile. Je traînais au pied un boulet forgé par les affres d'une jeune vie usée et malmené. Alors, quand je rencontra Stan au cours de ma quatorzième année et qu'il me parla, qu'il me fit comprendre qu'il était l'espoir que je désirais tant rencontrer, je l'écouta avec à cœur l'envie de m'en sortir. Mais si ses mots, au début, caressaient mon âme avec une infinie grandeur, ils finirent par devenir aigre et âpre.
Mon père disait m'aimer et Stan me détester. Au fil du temps, il abîma la moindre parcelle de mon corps qui n'avait pas encore été touchée par des mains sales, répugnantes. Il me parlait avec la volonté de me détruire, de me faire comprendre que je n'étais rien, qu'un rat parmi la grande métropole qu'était Gotham. Et il réussit. Quand j'avançais vers mes quinze ans, je n'étais déjà plus rien. Je me haïssais, je me répugnais : je pensais mériter ce qui m'arrivait. Vous savez, je me rappelle encore les pensées que j'ai pu avoir où je me disais comprendre pourquoi mon père m'avait fait ça ; pourquoi la rue me traitait d'une telle façon. Que je n'étais pas assez bien, que je ne faisais pas assez d'effort pour m'en sortir, que si ça m'arrivait, c'était parce que j'en étais responsable.
Alors, je commença à me droguer dès lors que Stan me fit comprendre que je n'étais qu'un troue et que la prostitution était la clé. Tout l'argent qui ne servait pas à me nourrir ou à payer ce que je devais à Stan passait par la drogue. De l'héroïne à la cocaïne, de la sueur aux crachats, des larmes au sang, je surmontais mes peurs et mes tourments en fuyant là où je le pouvais. De sorte à ce que je ne mette jamais le moindre cents de côté. Et vous savez ce qui était le pire ? C'était que plus je le faisais, plus je me persuadais que ce que Stan me disait était vrai : je ne faisais rien pour m'en sortir, donc je méritais ce qui m'arrivait.
Vous savez qu'un jour Batman m'a sauvé ? J'étais dans la rue, tant droguée que je m'en étais endormi, entre la devanture d'une boutique de fringues et le trottoir. Des policiers sont venus pour me mettre dans leur voiture. Mais ce sont des flics : ils n'aident pas les gens comme moi. Pendant que je dormais sur la banquette arrière, l'un des a essayé de me violer – j'ai parfois l'impression qu'il s'agit d'un gimmick dans ma vie –, profitant de mon état de faiblesse.
Je me réveilla le lendemain et j'appris par Selina Kyle que la Chauve-souri était venue me sauver des mains de mes agresseurs. Et dire que certains pensent encore qu'on a pas besoin de Justiciers alors qu'on ne peut pas compter sur les forces de l'ordre...
Je mis des années à m'en sortir et bien que je conserve depuis cette époque mon addiction à la drogue, je dois vous avouer que ma vie s'est depuis suffisamment adoucit pour me permettre souvent de me plaire à sourire. Je dois en partie ça à Selina Kyle, elle est apparue pendant les années les plus sombres de ma vie, à un moment où mes pensées n'étaient que terreurs et idées noires. Et elle m'en a fait sortir : en me parlant, en me faisant rire puis sourire, ça a prit son temps mais j'ai finit par trouver une raison de vivre. C'est sûrement pour ça que j'ai accepté de la suivre dans son évolution : quand elle devint Catwoman pour la première fois, lors de ses premiers coups en villes et jusqu'au derniers. C'est pour cette raison qu'en dépit des années et des blessures que j'ai pu l'aider à panser ou celle qui m'ont misent en danger parce que je connaissais de trop près la voleuse, je suis resté à ses côtés. Outre le fait qu'on partage les même idéaux et que nos cicatrices sont, à certains endroits, les même, elle m'a sauvée des affres de Gotham comme personne n'avait su le faire.
Au début elle travaillait en tant que prostituée dans le même coin que moi. Puis elle s'y est extirpée et elle m'a prise entre ses pattes. Depuis je la suis. J'ai finit, avec les années, à prendre une certaine indépendance : elle m'a apprit à voler, au sens littéral, alors métaphoriquement j'ai commencé à voler, à tire d'ailes, aux quatre coins de Gotham. Aujourd'hui, je commence à comprendre qu'un jour peut-être, je devrais conjuguer moi aussi avec une identité de justicière, alors je commence depuis peu à m'entraîner. Mais je sais également que la drogue y est un frein et que j'ai peur de la laisser tomber.
J'ai vu beaucoup des miens tomber lors des différentes et massives attaques qui ont touché la Terre. Gotham a été l'une des villes qui en a le plus souffert alors cette peur et cette colère qui revient sans cesse, j'y suis habituée. Le fait de n'être qu'une humaine m'empêche de prendre concrètement cœur aux différentes batailles et j'en ai alors développée un certain pessimisme quant à l'avenir de la Terre mais aussi de moi-même. Et si, parce qu'ayant développé une habitude à l'auto-destruction, je me fiche relativement bien de mon sort, je ne peux que regarder la fin du monde avec une certaine appréhension et une angoisse vive.
Concernant le Syndicat du crime, pour être franche je ne sais pas comment prendre la nouvelle de leur arrivée : ceux qui sur notre Terre ont juré de nous protéger font face à leurs clones. S'ils échouent, on passe notre planète sur un plan dictatorial internationale, c'est ça ? Je déteste être soumise aux délires de pouvoirs d'une flipotée de vilains en costume : on a déjà les hommes et les politiques en général pour ça. Owlman veut diriger Gotham, si j'ai bien comprit, et il a déjà commencé : il va falloir que je fasse quelque chose avec ça, à mon échelle du moins. Je vais devoir en parler avec Selina, j'espère qu'elle a un plan.
Même si on se demandera pourquoi je reste dans cette ville qui est en ruine depuis le jour de sa création... Je dois vraiment l'aimer, cette chapardeuse. Je suis certaine que Central City serait une ville pour moi.
Dernière édition par Holly Robinson le Jeu 23 Nov - 21:54, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: Holly Robinson - Sometimes sidekick, mostly drug addict Sam 18 Nov - 23:22 | |
| Hello ! Merci à tout les trois pour vos bienvenus et oui, je valide aussi l'avatar ! Bien que je préfère attendre Selina pour qu'on en discute, étant donné que ce n'est pas l'avatar qu'elle avait proposé (bien qu'il était négociable, je préfère en parler avec elle)
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| Sujet: Re: Holly Robinson - Sometimes sidekick, mostly drug addict Dim 19 Nov - 16:21 | |
| Oh, il y a du monde ! Hope > Oui t'as vu, ce titre est recherché ! ahah Merci à toi, sinon ! Alfred > Les britaniques vieillissent si bien, ç'en est presque irréel. Merci aussi pour ton bienvenu ! Si un jour on se croise en rp, j'espère que vous serez aussi charmant dans vos mots que dans votre regard Je ne sais être insensible aux charmes de certains hommes même si je n'en fais rien ! Diana > Voilà quelqu'un avec un charme, par contre, dont je saurais quoi faire. Merci à toi, l'exotique princesse, appelle-moi si tu te défaits de Jason ! Promis, je sais réconforter comme il se doit ! Harleen > :heart2: Merci ! Je viendrais sûrement quémander un lien si je suis validée, après tout si tu fais parti des Gotham Syrens, on a déjà du se croiser quand tu côtoyais Selina ! Du moins, sauf si j'étais sous drogue, j'aurais su te remarquer. |
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| Sujet: Re: Holly Robinson - Sometimes sidekick, mostly drug addict Lun 20 Nov - 17:29 | |
| Steve Trenor > Merci mais à vrai dire j'ai déjà terminé l'écriture de ma fiche ! Maintenant je n'attends plus que la venue de la douce Selina Kyle pour voir si j'ai des choses à modifier. Mais là j'ai prit mes RTT du rp sinon, je suis en repos (Et Imo ) |
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| Sujet: Re: Holly Robinson - Sometimes sidekick, mostly drug addict Mar 21 Nov - 10:33 | |
| Harley > Très bien, cool ! Je vais donc réfléchir à une idée de liens et je reviendrais probablement vers toi dès que je serais validée !
Batou > Merci bien ! Savais-tu que tu avais déjà aidé Miss Robinson par le passé ? Je t'en remercie bien chaleureusement pour ça, appelle-moi si tu as besoin d'un coup de pouce : je serai ravie de te rendre la pareille ! |
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| Sujet: Re: Holly Robinson - Sometimes sidekick, mostly drug addict Mar 21 Nov - 17:40 | |
| Jason Todd > Pourrais avoir la possibilité, même après validation, de faire quelques menus changements dans ma fiche si Selina Kyle n'en sera pas convaincue ? (Je pense par exemple au lien qui unit Selina et Holly mais il pourrait y en avoir d'autres bien que je n'y penses pas là maintenant)
(Merci, sinon, c'est cool comme attention !) |
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