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 It was foolish of you to come... •• Zatanna & John

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MessageSujet: It was foolish of you to come... •• Zatanna & John   It was foolish of you to come... •• Zatanna & John EmptyDim 28 Juil - 17:27

it was foolish of you to come • zatanna & john
« Seigneur, faut-il donc toujours employer les grands moyens avec cet imbécile… » grondais-je dans ma barbe en me lavant les mains dans le lavabo de la salle de bains ouverte sur la chambre de mon penthouse, surplombant la skyline de Gotham. Des traînées d’un rouge vif se mélangeaient à l’eau claire éclaboussant le marbre, tandis que je fixais mon reflet dans le miroir doré avec un air à la fois blasé et agacé. C’était au moins la huitième fois que je tombais en quelque sorte sur une fausse adresse pour trouver la Maison des Secrets, signe évident que Constantine avait demandé du renfort pour me retarder et m’empêcher de mettre la main sur ce repaire que lui et Zatanna m’avaient pratiquement offert sur un plateau. Aurait-il voulu se rattraper de leurs bévues ? C’était astucieux, mais pas insurmontable, loin s’en faut. « Tu vois, nous aurions pu passer une excellente soirée chacun de notre côté… mais le hasard des rencontres fait que nous allons avoir le plaisir de la passer ensemble. » Je fronçais les sourcils un court instant, avant d’émettre un rire discret. « Du moins, une partie de la soirée. » ajoutais-je en me séchant les mains dans une serviette que je déposais ensuite soigneusement sur le rebord du lavabo. De nouveau dans la pièce principale de ce loft aux lignes contemporaines, je retroussais les manches de ma chemise noire tout en allant vers le bar pour me servir un martini, dévoilant un beau tatouage sur l’avant-bras. « L’ennui avec John, c’est qu’il veut m’empêcher de prendre quelque chose qui, sur le papier, m’appartient de droit… Tu conviendras que c’est du vol, et qu’il est très malvenu de voler à autrui, n’est-ce pas ? » demandais-je de façon purement rhétorique, avant de laisser une bonne gorgée d’alcool envahir ma bouche jusqu’à ce que mes lèvres ne bloquent l’olive verte qui avait un instant flotté dans le verre à cocktail. Je fis alors tourner cette olive le long du cristal, le regard absorbé par son mouvement circulaire. « Après tout… ce n’est que justice. Ils m’ont tout pris, après que je leur ai tout donné… Je mérite d’avoir au moins ce lot de consolation, en attendant qu’une vraie sentence ne soit prononcée. Tu n’es pas d’accord avec ça ? Tu n’agirais pas de la même manière, si ta tendre moitié venait te déposséder de toute ta vie ? » Je levais les yeux vers mon interlocuteur, avant de les rouler avec un air sensiblement consterné. « Ah oui, j’oubliais… »

Un claquement de doigt plus tard, et le sortilège de mutisme fut levé. Les hurlements d’un jeune homme terrifié s’élevèrent contre les murs du penthouse, incapables pourtant d’alerter qui que ce soit. Un jeune homme littéralement cloué sur le sol, du sang ruisselant de ses mains et sur son front, où un symbole ancien avait été visiblement dessiné avec la pointe d’une lame affûtée. Dans un soupir résigné, je dus subir les jérémiades de ce beau métis qui se tordait au sol sans pouvoir se défaire de sa position, au beau milieu d’un pentagramme luminescent tracé à la craie. « Pitié, pitié… j’dirai rien aux flics, à personne… j’sais même pas qui c’est, ce John et cette fille, là… j’ai rien fait, Monsieur, pourquoi moi… ? » sanglotait-il d’une voix tremblante. Alors, je consentis à venir près de lui, à m’accroupir et même à passer une main rassurante dans ses cheveux courts. Tandis qu’une expression d’effroi hantait ses traits luisants de sueur, j’affichais un air décontracté, presque mélancolique. D’une douceur incroyablement angoissante pour quiconque en faisait l’objet. « Pourquoi toi ? Parce que j’ai toujours eu un faible pour les métis… et que ton corps possède en lui assez d’énergie pour ce que je vais lui demander. Alors calme toi, pour commencer… » Mon index glissa sur sa tempe et le long de sa joue, l’apaisant presque immédiatement. Lui-même ne semblait pas comprendre ce qui le poussait à être aussi détendu, au vu de la situation. Un sourire releva le coin de ma bouche. « Le rituel que je m’apprête à effectuer demande énormément d’énergie, et le corps d’un homme en vie en recèle suffisamment pour que je puisse le mener en entier sans que je ne m’épuise. Je vais donc te drainer de toute ton énergie vitale, jusqu’à ce que tu sois aussi sec qu’une statue de sable… Ca va être long et douloureux, mais dis-toi une chose, sweet heart… » Je me penchais alors un peu plus sur lui, caressant presque ses lèvres tremblantes des miennes, alors qu’aucun son ne pouvait plus sortir de sa bouche, contrainte à la relaxation artificielle. « Ca va te faire plus mal qu’à moi. » chuchotais-je, avant de lui adresser un clin d’œil taquin, à glacer le sang, sans prendre ombrage de son regard implorant la pitié. Aux grands maux les grands remèdes.

Peut-on parler de kilomètres lorsqu’il s’agit de dimensions parallèles ? Qui sait. Au beau milieu d’un champ abandonné, sous un ciel d’une couleur pourpre étonnante, trônait une maison à l’allure de petit manoir victorien. Sans fioriture particulière. Abandonnée en apparence… mais plus pour très longtemps. A une vingtaine de mètres du portail de fer entrouvert, donnant sur une pelouse d’un vert glauque, une faille sembla se dessiner et illuminer les environs. Un bruit de verre qu’on brise petit à petit se faisait entendre, craquement sinistre d’une présence forte qui chercherait à ouvrir une brèche vers un lieu que l’univers semblait vouloir lui interdire. Et pourtant, dans un cri d’agonie porté par ce qui paraissait être la voix d’un jeune homme anonyme, la faille devint soudain béante : un flash de lumière baigna les environs pendant quelques secondes, puis ce petit manège mystique cessa immédiatement, ne laissant derrière lui qu’une silhouette qui sembla faire frémir le vieux bois qui courait sur la porte d’entrée de la maison.
« Enfin… » soupirais-je avec un sourire conquérant pendu aux lèvres, tandis que je m’émerveillais de la voir enfin. La Maison des Secrets. Après toutes ces âpres recherches et tentatives échouées, j’étais à présent sûr que c’était bien elle. Je fis quelques pas dans sa direction, presque un tant soit peu impressionné par les contours de la masure qui faisait office de légende dans le monde de la magie. Mais soudain, tandis que j’allais franchir le portail, je m’arrêtais soudainement, le regard porté vers la pelouse. Je plissais même les yeux en voyant d’étranges pousses ressortir, malgré le fouillis ambiant qui marquait la flore. « Bien évidemment. » commentais-je avec désinvolture. Je levais alors les mains vers chaque pan de pelouse : de multiples éclairs filèrent de mes doigts pour venir foudroyer des endroits précis sur l’herbe. A cet instant, des cris étranges s’élevèrent, comme les pleurs d’un nourrisson en proie à la souffrance, tandis qu’à l’origine de chacun de ces cris, de petits panaches de fumée noire se dégageaient… comme un corps qu’on aurait carbonisé. « C’est tout Constantine d’aller semer de la mauvaise herbe chez les autres. » soupirais-je, avec un regard satisfait sur les pousses calcinées qui maculaient maintenant la pelouse.
Mais j’étais convaincu que le mal était déjà fait, et que le mot était passé. Alors, je me retournais après avoir franchi le portail en fer, remarquant sans surprise les particules de magie d’un portail se créer à quelques mètres de moi. Ni l’un ni l’autre n’abandonneraient sans un combat… alors c’est ce qu’ils auraient.
code by exordium.



Dernière édition par Nicolas Nolan le Ven 16 Aoû - 11:35, édité 1 fois
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Zatanna Zatara


Zatanna Zatara

hero of earth

Messages : 8494
Date d'inscription : 11/09/2018
Face Identity : Alex Daddario
Crédits : jae.d-nguyen.ajay
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Age du personnage : 35 ans
Ville : Gotham et le monde
Profession : Mago, coleader flippée de la JLD
Affiliation : Justice League Dark
Compétences/Capacités : It was foolish of you to come... •• Zatanna & John Tumblr19
Homo Magi * Prestidigitation * Hypnose * Projection astrale * Illusions * Magie élémentale * Télékinésie * Télépathie * Téléportation * Manipulation de portails interdimensionnels * Manipulation du temps * Manipulation de la réalité * Bouclier psychique et magique * Manipulation de la météo dans une aire réduite * Attaques d’énergie mystique * Création de pièges magiques * Vol et lévitation * Don de guérison * Transformation d'objets en d’autres objets ou de gens en autre chose * Magie du sang * Combat au corps à corps dans la limite de sa constitution.

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phone + a summary + heaven is beautiful + magic piew piew fingers + magic trick + not magic + teamwork

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MEET THE SQUAD
+ Hellblblblbl
+ Ghost cookie point
+ One chimp to rule us all
+ Voice of Cassandra
+ Gone, gone, the brain of Jason
+ The mom we don't deserve
+ Angel without Buffy
+ I would marry her
+ Organic certified
+ Not Harry Potter
+ Trust her, she knows
+ He's just here to piss John off
+ Nobody likes him. Seriously
+ He left John alone with the box
+ Comic relief. Or not
+ You take him, you take his ex.
+ Cute box of terror
+ The only brain of the family
+ He will hug you to death
+ The one who's never invited

Rules of magic to Misty Kilgore
- nothing is what it seems
- learn to fool the experts
- if you can't keep it down, don't bring it up
- always keep at least one card up your sleeve

remember john
remember what
that I love you
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Situation Maritale : Elle aime le plus grand des escrocs et elle le vit bien. Best mollets ever, et sa Maison est adorbs.









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MessageSujet: Re: It was foolish of you to come... •• Zatanna & John   It was foolish of you to come... •• Zatanna & John EmptyMer 31 Juil - 21:28

It was foolish of you to come...

Sans même qu’elle s’en rende compte, cela faisait bien cinq minutes que ses doigts allaient et venaient contre la paroi du miroir devant lequel elle s’était arrêtée, sans raison. Des miroirs, il y en avait partout, dans cette maison. Parfois, c’étaient des portes, parfois des pièges, parfois des genres de fenêtres sur d’autres mondes ou simplement sur d’autres pièces de la masure, et parfois c’étaient de simples miroirs, mais qui ne renvoyaient pas toujours le reflet de celui ou celle qui se tenait devant lui… La Maison du mystère était aussi facétieuse que cela. Zee ne savait pas vraiment où elle allait quand elle s’était arrêtée dans un coin d’un des grands salons de la maison. Ces derniers jours, elle avait eu tendance à beaucoup errer, ressassant sa colère et son désespoir, tournant en rond à la recherche d’une solution qui n’existait pas, finissant par en conclure qu’elle ne voulait pas trouver de solution. En partie parce qu’elle savait que cette solution serait probablement pire que le mal, en partie parce qu’elle avait de plus en plus de difficulté à se convaincre que ce qui lui arrivait nécessitait une réelle solution. Il y avait de moins en moins de révolte en elle et de plus en plus d’acceptation. Elle avait même parfois hâte de disparaître ou de se transformer en elle ne savait quoi ou quel que soit le plan de Nebiros, pour ne plus être témoin de sa propre déchéance. Dans le miroir, elle avait du mal à se reconnaître, comme si c’était Zatanna Zatara qui la regardait, et qu’elle n’était que le reflet. Sur la paroi glaciale, ses doigts allaient et venaient, allaient et venaient… Puis, dans son dos, elle vit apparaître Orchid. La magicienne baissa les yeux et vit que sans y penser, elle avait tracé encore et encore le même symbole, celui-là même qui était tatoué à la base de sa gorge. Elle laissa retomber son bras contre son flanc et se tourna vers l’esprit de la maison. « Où est-il ? » Orchid se contenta de pencher la tête sur le côté. Zee haussa les épaules. « Je le trouverai toute seule. »

Bizarrement dissociée, elle comprenait la méfiance non-dissimulée d’Orchid, et en même temps, cela lui était égal. Depuis leur retour de Sumatra, elle était peu sortie, ou en tout cas de moins en moins à mesure que son humeur devenait de plus en plus changeante. Elle avait été à une soirée à Metropolis et avait failli tuer de nombreuses personnes, et causé la mort de Layla. Elle avait vu Rosie, et puis Rosie était morte, et à la colère s’était ajoutée une infinie tristesse. Elle avait tenté, pendant tout ce temps, de se raisonner, de se maîtriser et de lutter contre le froid brûlant et anesthésiant qui envahissait peu à peu son âme. De s’occuper en enquêtant sur l’étrange phénomène qui les avait tous touchés. Elle déboucha dans un bureau gigantesque où s’entassaient des centaines de livres, des papiers, des objets et beaucoup de poussière. Elle repéra Sting enroulé devant la cheminée où ronflait un feu entretenu par la Maison elle-même. John était assis à une table, ou plutôt affalé, entre une dizaine de vieux grimoires et des tas de notes. Elle s’approcha de lui en silence et le regarda dormir. Leva une main qu’elle promena à quelques millimètres de son visage. Si vulnérable. Cette seule pensée la fit grimacer et elle se détourna de lui. Il avait passé des mois en enfer. Il avait perdu sa cousine. Il devait gérer le retour de Nick. Et maintenant, elle était devenue un problème à son tour. Même si quelque chose s’était fêlé à Sumatra, elle ressentait une infinie tendresse pour lui et les efforts qu’il faisait. Plus que d’habitude, comme si c’était la dernière fois, ils avaient passé du temps ensemble. Mais elle espérait qu’il reviendrait bientôt à un comportement plus habituel de sa part : qu’il l’abandonne. Qu’il laisse tomber. Elle avait cessé d'essayer de l'aider autrement qu'en lui offrant du réconfort quand le deuil et la fatigue et la dépression étaient trop forts. Et quand même ça ne suffisait plus, il restait l'alcool à John Constantine. Elle alla s’allonger sur un divan poussiéreux devant la cheminée et ferma les yeux. Elle sentit un petit corps à la douce fourrure se glisser sous son bras et sourit dans son demi-sommeil.

Il lui sembla qu’une fraction de seconde avait passé quand elle se redressa, agitée d’un frisson. John la regardait, et elle lui sourit machinalement. Elle ne sut pas vraiment ce qu’elle allait lui dire, quand elle ouvrit la bouche, car soudain, elle se leva d’un bond. Orchid se tenait derrière lui, l’urgence sur son visage d’ordinaire si serein. « John ? » Puis elle vit, incrédule, de longues herbes s’infiltrer soudain entre les lattes du parquet à leurs pieds, de plus en plus vite, de plus en plus hautes. Elle ne connaissait qu’une seule créature dans ce monde capable d’un exploit pareil, et soudain, il était là. Beaucoup plus petit qu’il ne l’était réellement, mais déjà gigantesque, penché au-dessus d’eux, l’air soucieux – mais ne l’était-il pas toujours ? « John… Bonjour, Zatanna. John… » « Alec ! » Il y avait de l’urgence dans l’air, électrique, mais Alec était Alec et nul n’aurait pu le forcer à adopter un tempo qui n’était pas le sien. « Il est là... John. Il a franchi la barrière. » « Il ». Pas besoin de savoir où il était en ce moment même. John devait le savoir, lui. Mais le tatouage qui unissait leurs âmes étaient aussi un bon moyen de toujours lui mettre la main dessus. D’un geste, Zee ouvrit un portail, tirant brutalement sur le fil invisible qui les reliait comme sur un fil d’Ariane. De l’autre côté, un jardin et une maison jumeaux de la Maison du mystère. Et lui, qui était là, qui les attendait, évidemment. À ses pieds, l’herbe était carbonisée, et on pouvait encore entendre dans l’air l’écho des gémissements d’agonie de la nature vivante et à présent morte. Elle avait à peine posé un pied de l’autre côté du portail dimensionnel qu’elle laissa éclater sa rage contre Nick Necro. « eN ehcorpa’t sap ed ettec nosiam ! » Et une salve d’énergie invisible explosa autour d’elle, faisant se soulever les cendres des végétaux brûlés, les faisant s’agréger en des milliers de petites pointes noires et acérées qui foncèrent sur Nick sans autre but que de lui passer à travers le corps et le déchiqueter.

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John Constantine


John Constantine

independent soul

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Age du personnage : 38 ans, on ne sait toujours pas par quel miracle.
Ville : Vagabond, propriétaire de la Maison du Mystère, pilier de l'Oblivion Bar. Londres adoptive gravée dans l'ADN et dans l'âme, malgré la distance.
Profession : Détective de l'occulte, magicien, exorciste, spécialiste des démons et autres saletés surnaturelles, escroc patenté, anti-héros du dimanche qu'on n'appelle qu'en dernier recours quand ça ne pourrait de toute façon pas être pire...
Affiliation : Co-leader occasionnel, officieux, et peu motivé de la Justice League Dark ; quatrième larron de l'affectueusement surnommée Trenchcoat Brigade.
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Maître-manipulateur ; connaissance encyclopédique de divers types de magie ; ondes synchrones (toujours au bon endroit au bon moment) ; manipulation de sa propre chance et des probabilités ; magie noire et occultisme ; exorcisme ; invocation de démons ; 'Worldwalker', une des rares personnes à connaître tous les chemins entre paradis, enfer, et au-delà ; voyage inter-dimensionnel ; contrôle des esprits et persuasion ; illusion ; pyromancie ; divination ; nécromancie ; cercles magiques ; magie rituelle ; magie du sang ; extrêmement résistant à la télépathie, au contrôle mental, et à la possession ; prestidigitateur confirmé. L'ange déchu Vestibulan vit dans son téléphone portable.

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This so-called team... we don't actually have to like each other, do we?

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"Just what the world's been waiting for. The charge of the Trenchcoat Brigade."
"I heard that, Constantine."

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"I'm not having you turning into my trusty sidekick or something." "Quick, Chas! To the piss-upmobile!"

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"I still don't know what kind of fate it is that makes us into bastards. I thought I came close once, but... I know it tries to get to us all. Us Constantines."

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"Be well, John."
"Say it backwards."

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"A trickster and an illusionist."

Situation Maritale : Accro à sa princesse qui parle à l'envers, et qu'il choisira toujours, en dépit de ce qu'ils sont, en dépit de toute raison. Père réfractaire et un peu trop largué de la fille de Swamp Thing.









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MessageSujet: Re: It was foolish of you to come... •• Zatanna & John   It was foolish of you to come... •• Zatanna & John EmptyMar 6 Aoû - 22:17


how foolish of you to come


Pour une fois, il aurait aimé dormir indéfiniment, John. Parce que pour une fois, la perspective de passer un peu de temps en tête à tête avec ses fantômes et ses cauchemars lui paraissait plus sympathique, ou au moins plus supportable, que celle d’affronter la réalité et la multitude de problèmes qu’elle apportait dans son sillon. Dans la Maison, au moins, il était intouchable, protégé par tous ces murs qui craquaient et bougeaient parfois quand la fantaisie leur prenait, par l’esprit d’Orchid dont il ne savait toujours pas d’où elle était sortie exactement, celle-là, par la Maison elle-même qui, pour une raison qu’il avait renoncé à découvrir, avait décidé de prendre l’épave vivante qu’il était sous son aile. Et hors de la Maison, et hors des méandres de son sommeil pour une fois trop lourd pour être secoué par ses cauchemars, il n’y avait rien d’autre que des problèmes, des catastrophes en cascade, et des deuils à n’en plus finir. Alors tant pis, il s’écroulait là, au milieu de ses grimoires et de ses parchemins en pagaille, à fuir la noirceur de l’extérieur qui avait enfin réussi, à nouveau, à entamer la muraille derrière laquelle il savait si bien se retrancher d’habitude. Son séjour en Enfer continuait de porter ses marques sur son psyché déjà bien brinquebalant. Nick Necro était de retour. Zatanna avait un foutu démon chevillé au corps. Rosalie était morte, et ce maudit grimoire refusait de s’ouvrir à lui pour lui permettre d’y remédier. Tout faisait mal. Et lui, il faisait tout mal. Zatanna avait beau être encore dans la Maison, peut-être parce que la baraque avait le bon goût de tenir son démon en respect pour le moment, peut-être pour autre chose encore, il voyait bien qu’ils évitaient certains sujets de conversation, ou que la Maison par moments faisait de son mieux pour les séparer, et que quand ils étaient ensemble flottait dans l’air ce sens d’urgence et de dernière fois qu’ils n’avaient ressenti que dans les pires moments et dont ils portaient encore les cicatrices indélébiles et invisibles. Aucun des grimoires qu’il avait parcouru de long en large et en travers, aucun de ses contacts mystiques ou démoniques, aucun rituel, n’avaient encore été en mesure de fournir la moindre solution à son problème, et plus le temps passait, plus le découragement gagnait du terrain, Silk Cut après Silk Cut, verre après verre après bouteille, et hop la spirale infernale qui reprenait ses droits et rien qui ne se résolvait. Il avait même renvoyé Chas chez Renée, pour lui éviter de tomber entre les salves. Au cas où.

Et si encore il n’y avait eu que la damnation de Zatanna à gérer. Mais Nick Necro, avec son impayable sens du timing, avait forcément d’autres idées derrière la tête, n’est-ce pas ?

C’est la Maison qui le tira de son sommeil – ou l’esprit de la Maison, ou allez savoir quoi encore, des années qu’il ne pigeait toujours pas ce qu’elle lui faisait, cette Maison, exactement – et il se redressa sur sa chaise, puis se leva tout à fait, tous sens en alerte et un bizarre sentiment d’angoisse lui comprimant la poitrine comme un étau. « Zee ? » l’appela-t-il en s’approchant du canapé sur lequel sa princesse s’était endormie. Et à peine eut-elle ouvert les yeux, que la créature des marais elle-même faisait son entrée fracassante : arraché à son bayou par une urgence qui dépassait tout ce qu’ils avaient pu voir ces dernier temps, Swamp Thing s’extirpa du parquet, se reconstruisant brindille par brindille, jusqu’à les dominer de toute sa hauteur, qui en plus n’était même pas sa vraie hauteur. En n’importe quelles autres circonstances, John l’aurait gratifié d’une plaisanterie et d’un surnom désobligeant. Mais pour une fois, John n’avait pas envie de rire. Pas quand Alec et son élocution digne d’une de ces créatures arbresque du Seigneur des Anneaux avait été l’un des seuls à réellement répondre présent à l’appel, et que cette fois, il se faisait messager de la nouvelle qu’ils attendaient tous depuis des semaines en retenant leur souffle. « Merci Alec. Rentre en Louisiane, va. Je voudrais pas qu’il te fasse griller la pelouse plus que nécessaire. » Lentement, Swamp Thing hocha la tête, et disparu comme il était venu, désagrégé entre les lattes du parquet pendant que Zatanna, avec une résolution que John ne lui connaissait que dans les situations de fin du monde, ouvrait un portail sur la Maison des Secrets. De concert avec son sortilège, John senti le fil reliant leurs trois tatouages tirer sur son avant-bras. C’était reparti, alors. Le dernier acte, le sequel tant attendu, dix ans plus tard. Alors que Zatanna traversait le portail, John resta quelques secondes de plus en arrière, à enfiler son célèbre trenchcoat (appropriation is a bitch) et glisser une Silk Cut entre ses lèvres. Si la fin du monde arrivait aujourd’hui, au moins, il n’aurait pas dérogé à ses bonnes habitudes. Ce serait toujours ça de pris quand il devrait à nouveau s’expliquer face au triumvirat.

De l’autre côté du portail, il fut aussitôt assailli par l’intensité de l’énergie magique qui faisait déjà rage sur leur futur champ de bataille – entre l’énergie de la Maison des Secrets elle-même, qui ressemblait tant à celle de la Maison du Mystère, celle de Nick apparemment en pleine forme, et celle de Zatanna qui venait de la gratifier d’une attaque sauvage en bonne et due forme, même Fate en aurait eu le hoquet. Nice one, Zee. L’air autour d’eux vibrait des échos de cette dimension déchirée par leur barbarie – et malheureusement pour elle, ils n’en avaient pas encore fini. « ‘ello Nick. » lâcha John, avec une fausse nonchalance qui l’aurait presque convaincu lui-même, si au fond de lui, il n’était pas proprement terrifié par tous les possibles qu’offraient l’issue de cette terrible confrontation. Zatanna déchaînée à ses côtés semblait partie dans un autre monde, fait de rage et de ressentiment – et malheureusement, pour le coup, ça l’arrangeait assez pour qu’il fasse taire l’inquiétude sourde qu’il sentait poindre en lui alors que la marque de Nebiros palpitait à la base de son cou. Et en face de lui, en face d’eux, se tenait le responsable de tout ce merdier. « Désolé, le voyage s’arrête ici, mon vieux. » Et de la poche intérieure de son imperméable, il tira une amulette chargée d’une nouvelle énergie mystique, sertie d’un fil rouge, qu’il dénoua aussitôt – et à peine le fil détaché, ce fut comme si un vortex s’ouvrit derrière Nick, siphonnant toute la magie des lieux, juste avant de la recracher avec la brutalité assourdissante d’une explosion sonore, en tentacules invisibles à quiconque n’était pas magicien, pour s’enrouler autour des jambes, des bras, et du cou de leur cible. Merci Doctor Occult pour le coup de main et ce piège sacrément élaboré. Encore un à qui il devrait une fière chandelle, s’ils survivaient. Abandonnant son détonateur désormais inutile, John enfouit les mains dans les poches du trenchcoat et fit quelques pas en direction de Nick. Sa vue seule suffisait à faire bouillonner son sang ; qui aurait cru qu’ils réussiraient à passer aussi radicalement de la passion à la haine la plus brûlante, toutes ces années auparavant ? Quand ils étaient encore unis, parlaient encore d’une même voix, que le monde était encore le leur, et qu’ils n’avaient qu’à souhaiter une chose pour se donner les moyens de l’arracher aux griffes de l’univers ? Toutes ces années gâchées, rayées d’un trait au charbon le jour où Nick avait décidé de les trahir – qu’auraient-ils pu en faire, de ces dix années passées à tenter de faire comme si ils avaient réussi à vivre normalement après cette séparation forcée ? S’arrêtant sur sa route, John toisa Nick, avec dans les yeux dix ans de rancœur accumulée. Ouais, il lui en voulait. De s’en être pris à eux. D’avoir gâché tout ce qu’ils avaient, et qu’ils auraient pu avoir. De ne pas avoir été là, quand ils avaient le plus eu besoin de lui. D’avoir choisi le pouvoir pour lui seul, au lieu de choisir leur indéfectible triumvirat.

On ne pouvait pas tout avoir, pas vrai ?

John tendit les mains au-dessus du sol, et sous leurs pieds, la terre, les roches commencèrent à chauffer alors qu’il faisait sauter, un par un, les verrous entre ici et l’enfer. « Tu passeras le bonjour à Lucifer quand tu retomberas entre ses charmantes pattes, tu veux ? » demanda-t-il en crachant ses mots, sans plus chercher à retenir sa colère, lui non plus. Fuck you Nick. And go to hell.

Spoiler:


 
AVENGEDINCHAINS
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MessageSujet: Re: It was foolish of you to come... •• Zatanna & John   It was foolish of you to come... •• Zatanna & John EmptyVen 16 Aoû - 13:42

it was foolish of you to come • zatanna & john
J’étais certain qu’à l’instant précis où je mettrais enfin la main sur la Maison des Secrets, j’allais voir arriver le collectif des Largués Anonymes au grand complet. Cela ne rata pas. La faille qui s’étirait devant moi portait la marque d’une magie que je connaissais sur le bout des doigts, celle-là même qui faisait notamment vibrer le tatouage que je portais sur l’intérieur de mon avant-bras. Alors, bras croisés, j’assistais à l’arrivée en fanfare d’une Zatanna Zatara qui semblait avoir mangé du lion pour le petit-déjeuner. Une colère violente animait ses paroles, une colère étrange qui semblait encore plus acharnée que lors du come-back que j’avais mené face à elle, il y a quelques temps. Préparé à une attaque en grandes pompes, je me parais alors d’un bouclier translucide que j’attachais à ma volonté de parer ces épines mortelles qu’elle fit voltiger vers moi. Les pointes s’écrasèrent dans des grésillements sonores contre le champ de force magique qui m’entourait comme une bulle, avant de finalement s’évanouir au gré du large sourire que je lui adressais. « Bonjour, Zee chérie. Utiliser des cadavres pour t’attaquer à moi… même s’il ne s’agit que de vulgaires brins d’herbe, tu m’impressionnes : tu as grandi. » raillais-je avec cet air insupportable au visage qui ne vous donne qu’une envie : frapper fort et à répétition.
Toutefois, pas le temps de fanfaronner davantage, ni même de répliquer, je sentis une autre présence familière se matérialiser dans cette dimension astucieusement cachée. Et cette fois, mon sourire sembla perdre en ironie pour gagner en folie. Constantine. Je considérais Zatanna et John comme mes Némésis, des traîtres, des enfants gâtés qui auraient préféré continuer à deux plutôt que de me suivre comme ils l’avaient fait si promptement par le passé… mais je considérais que la traîtrise de John était un bien pire affront que celle de sa complice. J’en étais venu à penser que son égoïsme patenté l’avait poussé à détourner Zee de moi, qu’il l’avait rallié à sa cause, pour ensuite chercher à m’évincer. Si bien des sorciers pouvaient reconnaître les talents de Constantine, j’estimais être le seul à voir la réelle noirceur et l’égocentrisme qui pouvaient animer cet homme. Sans lui répondre, je le regardais de bas en haut avec une arrogance toute particulière. Si je m’étais plus amusé qu’autre chose lors de notre dernière entrevue, cette fois-ci, je comptais lui faire mordre la poussière s’il s’avisait de joindre ses forces à celle de Zatanna pour m’empêcher de rentrer dans cette maison.

Je n’eus guère le temps de réagir que déjà, une sorte de siphon paralysa mes pouvoirs assez longtemps pour faire naître des liens qui me tinrent ancré dans le sol comme une bête qu’on cherche à soumettre sans détour. Dans un grognement de douleur, j’eus le réflexe de me débattre, mais en vain : à chaque tentative de me dégager, les tentacules semblaient m’infliger une décharge violente pour me tenir en respect. Le regard noir de haine, je plongeais dans les yeux de John. Si j’avais pu lui cracher à la figure, je l’aurais fait. Pourquoi ? Pourquoi n’arrivais-je donc pas à lui hurler ses quatre vérités ? A laisser exploser toute ma fureur, au point qu’aucune magie ne soit assez forte pour endiguer ce raz-de-marée de violence ? Agenouillé, je le dédaignais malgré tout avec la superbe d’un lion blessé mais toujours combattif, avant de faire vriller un instant mon regard vers Zatanna. Qu’avait-elle au niveau de son cou ? Quelque chose qui m’avait déjà effleuré la dernière fois se reproduisit alors à cet instant : la sensation d’une présence extérieure, d’une présence extrêmement sombre, d’une magie ténébreuse avec laquelle je ressentais une affinité particulière… Cela ne dura qu’un très court instant, mais une étincelle victorieuse scintilla au fond de mes pupilles aussi sombres que la nuit, avant que je ne réalise que John était en train d’ouvrir progressivement un passage vers les Enfers. Ma tête se baissa vers le sol pour constater que la chaleur venait des profondeurs infernales, et lorsqu’elle se redressa, elle adressa un sourire profondément amusé à l’exorciste. « Too easy, Johnny boy. » soufflais-je presque tendrement, en penchant un peu la tête sur le côté.
Les yeux clos, je pris une très grande inspiration, avant de me lancer dans une incantation bercée de haine et de rancœur. Mon ton était guttural, des mots appris des démons qui m’avaient longtemps torturé dans les bas-fonds vers lesquels ces deux traîtres essayaient de m’envoyer à nouveau. Le piège qui me tenait prisonnier se mit à vaciller, englué dans une sorte d’énergie sombre qui venait des profondeurs que John cherchait à ouvrir de son propre chef. A nouveau, je n’avais qu’à utiliser les sortilèges et les tactiques de mes anciens élèves et amants pour pouvoir les retourner contre eux, sans avoir à dévoiler mon jeu dès le départ. Sentant ma formule fonctionner, je levais alors la tête brusquement vers le ciel pourpre de cette dimension lointaine, les yeux révulsés. Je profitais de ce mince passage vers le monde souterrain pour convoquer une vague d’énergie démoniaque qui souffla sur le parvis de la Maison : mes liens se brisèrent, et le force de la décharge percuta nos trois corps, mais sans jamais les faire bouger. Si j’y étais pratiquement rendu insensible après ma captivité, le but était avant tout d’offrir à la force démoniaque qui résidait en Zatanna suffisamment de puissance pour qu’elle régisse encore davantage ses émotions. Lui délivrer le carburant mystique nécessaire et un lien plus fort avec l’Enfer afin que la bête puisse gouverner la magicienne, au moins temporairement.

« Il y en a d’autres qui voudraient vous passer le bonjour… » D’un mouvement ample du bras du bas vers le haut, j’utilisais à nouveau le passage vers le monde souterrain ouvert par l’exorciste afin de faire ‘monter’ quelques alliés. Dans une vague de fumée sombre, je libérais ma magie nécromancienne pour invoquer trois démons que je dotais alors d’un petit fragment de mon propre pouvoir, dans le corps de trois de mes dernières victimes : les parents de l’écolière que j’avais pu posséder devant John, et le type du pont de San Francisco, abattu par Zatanna. Trois corps qui n’étaient pas choisis au hasard. Un sourire sinistre aux lèvres, je vis les trois cadavres possédés se tenir les mains et faire déferler une puissante vague de magie souillée de haine et de noirceur, dans des rires hystériques et caverneux qui portaient la marque des pires créatures de l’Enfer.
Pendant ce temps, j’en vins à me démultiplier en pas moins de cinq clones parfaitement identiques, jusque dans la présence magique, combinant illusions et projection astrale. Ces cinq corps se mirent à tourner autour des deux puissants mages qui devaient alors essuyer un déluge de magie démoniaque incessant, depuis l’invocation de ces trois cadavres possédés. « Combien devront encore faire les frais de vos tentatives, les enfants ? Vous n’avez pas la moindre idée de ce que je suis devenu depuis ces dix dernières années… Tu vas le suivre aveuglément encore longtemps, Zee ? » lancèrent les cinq clones d’une seule et même voix à Zatanna. Une voix qui semblait danser à l’oreille de la magicienne, comme une mélopée envoûtante, une mélodie empoisonnée qui cherchait à brouiller ses sens, à faire vriller ce qui lui restait de volonté, afin de permettre à ce qui sommeillait en elle de se réveiller. « Regarde-le ! Il t’envoie en premier pour faire son sale boulot, il te garde à ses côtés parce qu’il sait que seul, il ne vaut pas mieux qu’un cabot abandonné… mais est-ce vraiment l’existence que tu veux mener ? Une vie entière passée à vouloir m’abattre, alors que tu pourrais faire tellement mieux… » susurraient les clones, non sans darder un regard de dégoût sur John, soumis au torrent d’énergie sombre que les cadavres faisaient inlassablement pleuvoir sur eux. Mes clones, eux, se contentaient de tourner lentement autour du champ de bataille, décrivant des écarts de temps à autres, mais continuant leur étrange ballet hypnotique autour de John et Zatanna.
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Zatanna Zatara


Zatanna Zatara

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Homo Magi * Prestidigitation * Hypnose * Projection astrale * Illusions * Magie élémentale * Télékinésie * Télépathie * Téléportation * Manipulation de portails interdimensionnels * Manipulation du temps * Manipulation de la réalité * Bouclier psychique et magique * Manipulation de la météo dans une aire réduite * Attaques d’énergie mystique * Création de pièges magiques * Vol et lévitation * Don de guérison * Transformation d'objets en d’autres objets ou de gens en autre chose * Magie du sang * Combat au corps à corps dans la limite de sa constitution.

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MessageSujet: Re: It was foolish of you to come... •• Zatanna & John   It was foolish of you to come... •• Zatanna & John EmptyLun 19 Aoû - 16:12

It was foolish of you to come...

Un frisson la parcourut lorsque John établit une brèche avec le monde d’en dessous. Cela faisait plus de dix ans qu’ils ne s’étaient pas ainsi trouvés ensemble tous les trois et elle avait oublié l’effet que cela faisait. Même si la dynamique n’était plus la même que par le passé, même si leur triumvirat était désormais déséquilibré, deux et un, deux contre un et non plus un, plus un, plus un, le lien qui les unissait tous les trois était toujours bien réel et n’avait plus vibré ainsi depuis la mort de Nick. La sensation était désagréable, mais grisante, également. Même le sort de John ne la dégoûta pas comme il aurait dû. Et pourquoi pas ? Elle avait eu tort de se voiler ainsi la face, pendant tout ce temps. Elle n’avait qu’à les regarder, tous les deux. Pourquoi vouloir toujours être une force positive et tirer ainsi sa propre magie, et la leur, vers le bas ? Elle s’aperçut aussi que les mots de Nick ne la touchaient plus comme avant. Curieuse, elle pencha la tête sur le côté, comme attendant son heure alors que John tentait purement et simplement de renvoyer Nick d’où il venait. Mais bientôt, la magie sombre et primordiale invoquée sembla refluer vers eux, comme si l’enfer lui-même leur renvoyait toute son horreur à la figure. Elle pouvait sentir les efforts des deux hommes pour s’emparer de la puissance qui se déchaînait sous leurs pieds mais une autre présence dévia son attention. Si proche, et si loin à la fois. C’était encore trop tôt. Elle reporta son regard sur Nick, le grain de sable dans la machine, qui s’était saisi de la magie de John pour la retourner à son avantage. Avait-il donc toujours été si ennuyeux ? Et pourtant elle vacilla sous la chaleur pestilentielle de son invocation : trois pourritures debout les bras ballants, trois démons au cœur brillants de la magie de l’adversaire, et elle reconnut un visage, à défaut des deux autres. Comment s’appelait-il, déjà ? Elle aurait dû s’en souvenir : c’était elle qui l’avait transpercé de part en part avec sa magie. Ce souvenir la fit vaciller.

Un Nick était déjà bien suffisant, alors cinq… Elle plaqua ses mains sur ses oreilles avant de le foudroyer du regard, ulcérée. « Quinze ans ont passé et tu n’as toujours pas changé de discours depuis le tout premier jour. C’est toi, que j’ai abandonné. C’est toi, le cabot qui ne supporte pas d’être seul ! » Elle s’écoutait parler et avait parfaitement conscience de sa cruauté, mais ça ne lui faisait rien. Un rire léger tinta dans sa tête, comme une bénédiction. D’un bond léger, elle se planta devant les deux cadavres inconnus. « seT steuoj, ej sel emalc ne nos mon ! » Elle plongea chaque main dans le torse des démons et s’empara du petit éclat de pouvoir de Nick, aussi scintillant que son âme était souillée. Le choc de ce contact ébranla son esprit et elle sentit un froid glacial s’emparer d’elle, mais qui fut peu à peu repoussé, avec l’aide de cette force qui n’était pas la sienne mais dont elle comptait faire bon usage. Peu importait si ça ne faisait qu’accélérer l’échéance, si au passage elle pouvait entraîner Nick dans sa chute. Sous ses doigts, elle sentit les deux éclats de magie se dissoudre, remplacé par le sceau d’une autre ordure, à peine différente de Nicolas Nolan. Elle recula d’un bon, arrachant ses mains des corps animés par tout sauf une âme, sa peau souillée d’une matière noire et poisseuse jusqu’aux avant-bras. Elle adressa un sourire de défi à Nick. Est-ce que c’était assez bien pour lui ? Mais est-ce que ça importait, en fait ? Elle n’osait même pas regarder John. D’un geste, elle fit pivoter les deux cadavres, dont elle ne connaissait même pas l’identité, l’histoire, la vie ou les circonstances qui les avaient menés à un destin aussi horrible, vers le troisième larron. Charles. C’est ça, il s’appelait Charles. Et à cause d’elle, visiblement, même mort, il ne connaîtrait pas la paix. Elle laissa les deux cadavres-inconnus s’en prendre au cadavre-Charles.

«  Tu n’es pas meilleur que nous parce que tu te fiches du mal que tu causes. C’est cette attitude qui a causé ta perte à l’époque, et tu crois vraiment que les choses vont être différentes cette fois ? » Il l’avait dit lui-même, non ? Ils avaient changé, tous les trois. Il avait pourri dix ans en enfer, mais John et elle avaient traversé leur lot d’épreuves également – parfois, littéralement en enfer. Les mains tournées vers le sol, elle entreprit d’amasser la magie élémentaire autour d’elle, la terre, l’herbe, les arbres, le ciel étrange de cette petite dimension secouée par les coups de boutoir magiques qu’ils lui assénaient sans aucune pitié. Démesurée, la magie l’habitait pourtant pleinement, et elle ne savait même pas encore ce qu’elle allait en faire. Elle n’était finalement pas aussi raffinée que John ou Nick. Mais elle pouvait tout à fait se ficher du mal qu’elle causait, elle aussi, surtout quand les seules personnes à blesser ici étaient trois cadavres, une ordure et cinq clones insupportables.

Et John. Cela tinta dans son esprit. Il est meilleur que toi. C’est ce que tu as toujours pensé. Il s’en sortira toujours.

Mais elle ne savait pas quoi faire d’autre avec la rage et la satisfaction mêlées qui l’habitaient. Un vent puissant secouait l’herbe haute, soulevait ses cheveux, bouchait ses oreilles, tel un vortex avide de magie. Il n’y avait qu’une seule issue possible à cette situation, c’était que Nick Nolan soit mis hors d’état de nuire.

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John Constantine


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Affiliation : Co-leader occasionnel, officieux, et peu motivé de la Justice League Dark ; quatrième larron de l'affectueusement surnommée Trenchcoat Brigade.
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Maître-manipulateur ; connaissance encyclopédique de divers types de magie ; ondes synchrones (toujours au bon endroit au bon moment) ; manipulation de sa propre chance et des probabilités ; magie noire et occultisme ; exorcisme ; invocation de démons ; 'Worldwalker', une des rares personnes à connaître tous les chemins entre paradis, enfer, et au-delà ; voyage inter-dimensionnel ; contrôle des esprits et persuasion ; illusion ; pyromancie ; divination ; nécromancie ; cercles magiques ; magie rituelle ; magie du sang ; extrêmement résistant à la télépathie, au contrôle mental, et à la possession ; prestidigitateur confirmé. L'ange déchu Vestibulan vit dans son téléphone portable.

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This so-called team... we don't actually have to like each other, do we?

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"Just what the world's been waiting for. The charge of the Trenchcoat Brigade."
"I heard that, Constantine."

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"I'm not having you turning into my trusty sidekick or something." "Quick, Chas! To the piss-upmobile!"

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"I still don't know what kind of fate it is that makes us into bastards. I thought I came close once, but... I know it tries to get to us all. Us Constantines."

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"Be well, John."
"Say it backwards."

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"A trickster and an illusionist."

Situation Maritale : Accro à sa princesse qui parle à l'envers, et qu'il choisira toujours, en dépit de ce qu'ils sont, en dépit de toute raison. Père réfractaire et un peu trop largué de la fille de Swamp Thing.









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MessageSujet: Re: It was foolish of you to come... •• Zatanna & John   It was foolish of you to come... •• Zatanna & John EmptyMar 27 Aoû - 13:57


how foolish of you to come


Vlam, le souffle coupé, le coup en plein dans les entrailles alors que la déflagration dévastatrice de Nick balayait tout sur son passage – s’ils avaient été moins résistants, ou moins habitués, peut-être, à la noirceur putride de cette magie-là, ils y auraient sans doute laissé un peu plus que quelques plumes. John se sentit vaciller sur ses jambes, une note aigue vibrant dans ses oreilles comme la distorsion mal accordée d’une guitare, le vertige du pouvoir de Nick s’attardant encore sur son psyché - il pouvait en sentir les fils barbelés tenter de s’accrocher à son esprit, se faufiler jusqu’à son âme, et la sensation était douloureuse et nauséeuse et ce ne fut que d’un formidable effort de volonté qu’il se redressa pour lui faire face. A son avant-bras, la rune de son ancien mentor et désormais ennemi mortel pulsait au rythme de trois cœurs, nécrosés par la haine et les regrets, excités par l’explosion de puissance qui venait d’avoir lieu, et l’air putréfié qui bouillonnait autour eux. Et Nick, évidemment, Nick s’était libéré du sortilège de Dr Occult – shit. Richard Occult était l’un des meilleurs enchanteurs de leur génération ; personne ne pouvait échapper à ses sorts, en théorie. Personne, sauf quelqu’un disposant d’un pouvoir tellement grand, qu’il n’avait même pas besoin de chercher de contre-attaque, et pouvait se contenter de briser les chaînes de magie qui l’avaient tenu enfermé. Quoiqu’il soit arrivé à Nick en enfer – le résultat était bien pire que tout ce que John avait pu imaginer. Bien pire pour eux. John se raidit, prêt à parer à toute éventualité, alors que trois corps décharnés sortirent du sol, accompagné d’une terrible odeur de soufre et de putréfaction : un inconnu au bataillon, mais les deux autres, leurs visages lui revinrent instantanément en mémoire, et John sentit sa respiration accélérer malgré lui. « Enflure. » souffla-t-il, les yeux rivés sur les silhouettes des malheureux parents qu’il n’avait pas pu sauver.

Fuck it. Il ne pouvait pas sauver tout le monde. De nouveaux dégâts collatéraux dans la série des batailles de John Constantine. La brûlure de la culpabilité fit jaillir dans ses yeux une flamme de haine froide qu’il dédia aux clones de Nick – parce qu’un emmerdeur, ça n’était pas encore assez ? « Tu ne sais pas de quoi tu parles, Nick. » siffla-t-il avant de grimacer sous le flux de magie des clones ; vite, réagir. John ferma les yeux, ferma son psyché, et concentra toute son intention sur les vagues de magie dirigées à leur encontre, comme le remous impitoyable d’un océan en ébullition, et petit à petit, se concentra sur le sang bouillonnant dans ses veines, les résidus de taches démoniques palpitant de concert avec cette énergie qu’elles reconnaissaient si bien. Comme des anticorps prêtes à contre-attaquer – et John laissa pénétrer le poison, jusqu’à ce que sa magie et celle de Nick se confondent tout à fait. « Cempanahuia. » marmonna-t-il. Il avait toujours eu une drôle d’affinité avec la magie aztèque - une réalité qui ne se démentit pas. Clac, le pouvoir de Nick se verrouilla dans la sienne, convertie à une autre église, et avec cette énergie supplémentaire, il parvint à repousser les décharges brûlantes qui cherchaient encore à les atteindre, lui et Zatanna. S’il voulait jouer à ce petit jeu, ils pouvaient aussi bien être deux, non ? Ou trois, même – mais Zatanna, elle, semblait déterminée à jouer dans une toute autre ligue. Quelque chose n’allait pas avec elle. Il essayait de se convaincre du contraire, mais ses rires, déplacés face au dramatique de la situation, sa brutalité, et cette lueur vide et dévorante dans ses yeux ; stupéfait, John la regarda faire, rassembler toute l’énergie élémentaire de l’endroit, drainer la terre telle une sangsue infernale, et il se demanda si les scientifiques qui avaient testé la première bombe atomique avaient eux aussi ressenti ce sentiment de fascination, mêlé d’un très, très mauvais pressentiment.

Et en même temps, est-ce que ça ne règlerait pas tous leurs problèmes, qu’elle le pulvérise sur place ? Ses yeux quittèrent Zatanna, et se reportèrent sur Nick, dont les paroles résonnaient encore dans son esprit – le culot de ce type. Que n’aurait-il pas donné pour lui coller son poing dans la figure – Liverpool style. « Ca t’arrangeait bien à l’époque, d’avoir un cabot abandonné prêt à te suivre partout dans tes délires, non ? Un cabot abandonné, et une magicienne avec plus de pouvoir et de talent que tu n’en aurais jamais – t’as jamais rien fait d’autre que nous utiliser, Nick, comme les fidèles membres de ton petit culte personnel. Mais la vérité ? C’est que t’étais mort de trouille à l’idée qu’on puisse un jour te dépasser. » Combien de fois Nick les avait-il tirés d’un mauvais pas ? Combien de fois s’était érigé en sauveur des causes perdues, combien de fois avait-il prouvé qu’il était plus malin, plus astucieux, et maintenant, John se demandait, combien de fois tout ça n’avait-il été que du bluff pour s’assurer qu’il aurait toujours la mainmise sur eux ? Pour les convaincre que sans lui, ils ne seraient jamais vraiment complets, au point qu’ils en avaient tatoué la preuve à même leur corps et leur âme ? « Sérieusement, mon vieux. Dix ans, et on est passés à autre chose, nous. Mais toi ? Ecoute-toi parler. Encore la même rengaine. » Puisqu’ils en étaient rendus là. Tant pis pour la rancune : John tendit les mains au-dessus du sol, et, dans une drôle de répétition des événements qui les avaient tourmentés en Islande, prononça la formule : « Avra kadavra. » Sous leurs pieds, le sol gronda, puis se fissura d’une brèche, laissant le passage à l’imposante et lente silhouette d’un unique golem – lourd, sans âme, sans esprit, mais, il l’espérait, assez déterminé pour tenir ces cinq clones en respect. « C’était attachant, ton petit côté obsessionnel, à l’époque. Mais franchement, ça devient lassant. » Bavasser, pour gagner du temps. Faire confiance à Zatanna. Mais plus il la laissait siphonner l’énergie élémentaire présente dans cette dimension, plus il pouvait sentir la fabrique même de l’endroit se tendre, se distendre, et la Maison des Secrets derrière Nick semblait elle-même craquer de protestation. Shit. Est-ce qu’elle était en train de perdre le contrôle ? Est-ce que le parasite qui s’était attaché à elle avait repris le dessus ? Il pouvait faire le malin tant qu’il voulait face à Nick – et être à moitié convaincant, sans doute, Nick le connaissait trop bien. Mais quand il reposa les yeux sur Zatanna, il n’en menait vraiment pas large. Something’s wrong. Something’s very, very wrong. « Zee, love, si tu vas faire quelque chose, tu peux le faire avant de tous nous désintégrer, et cette dimension avec ? » lui glissa-t-il, en profitant de la distraction offerte par l’agitation du golem. Elle dérivait. Elle se laissait consumer. Et lui, il se tenait là, incapable de savoir s’il devait l’arrêter ou non. Parce que sans elle, et sans sa rage, ils n’avaient peut-être aucune chance contre Nick. « Fais gaffe, ma belle. Ne fais rien que tu pourrais regretter, ok ? » C’était de l’inquiétude, dans sa voix ? Une imploration ? Une prière muette ? Une menace envers le parasite ? Peu importe. Ils n’avaient, cette fois encore, pas droit à l’erreur. Pas aujourd’hui. Pas maintenant.


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