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 Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]

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MessageSujet: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyJeu 3 Oct - 21:10



Le Diable s'habille en Prada
"Être dupe d'un pauvre diable n'importe guère, mais être dupe d'un diable riche : Voilà ce qu'il ne faut pas. " Citation de Edmond Thiaudière dans "La décevance du vrai"

Il y a quelques mois...

Seule devant le miroir à pied de sa luxueuse chambre d'hôtel, Siobhan McDougal s'observait. Elle ne portait qu'une fine lingerie, un ensemble corset en dentelle noir, élégant et raffiné, ainsi qu'une paire d'escarpins noirs aux talons aiguilles vertigineux. Siobhan, aussi intelligente et cultivée était-elle, avait besoin de tous ces artifices pour se sentir belle, forte et puissante. Mais malgré les apparences, ce n'était pas cela qui attirait son attention. Non, ce qu'elle voyait, elle, c'était toutes ces petites cicatrices, presque imperceptibles à l'oeil nu mais dont elle connaissait par coeur chaque emplacement. Certaines étaient camouflées par la fine lingerie, d'autres se devinaient à peine et pourtant, la milliardaire se souvenait de chacune d'entre elle. Elle se souvenait de chaque contexte, de chaque bourreau, de chaque douleur mais aussi et surtout de ce sentiment d'insécurité et d'impuissance qui accompagnait chacune d'entre elle. Son regard s'assombrissait alors et la haine s'emparait de tout son être. C'était dans ces moments là que la Banshee était la plus dangereuse car la colère était sa plus grande source d'énergie, elle se nourrissait littéralement d'elle pour être plus forte et redoutable. Siobhan fermait donc les yeux pour se contrôler et se contenir, sa double identité devait absolument rester secrète. Elle ne pouvait donc pas prendre le risque de déchainer sa colère ici et maintenant. Mais aujourd'hui n'était pas un jour comme les autres et elle avait plus de mal à se contrôler qu'à l'accoutumé. Mais heureusement pour elle, Jill, son assistante, arrivait à ce moment là pour lui proposer deux robes de soirée. Siobhan était en effet conviée à une vente aux enchères privée ce soir. Ce genre d'invitations, elle en recevait des centaines par mois, sa fortune attirait bien des rapaces. Et même si elle adorait se prêter au jeu des ventes aux enchères, il était bien rare qu'elle accepte de s'y rendre. Il fallait alors que se trouve dans le lot un objet coup de coeur, un objet indispensable qui déchainerait en elle passion et convoitise. Et ce soir là, c'était le cas...

Jill avait frappé à la porte de la chambre, attendant patiemment que Siobhan l'autorise à y pénétrer. Cela faisait cinq ans que la jeune femme travaillait au service de la Banshee et entre elles, un lien presque fusionnel s'était noué. En réalité, Jill était éperdument amoureuse de Siobhan et Siobhan le savait. Il lui arrivait même parfois d'en jouer. Mais malheureusement, pour la charmante assistante, la Banshee ne mangeait pas de ce pain là. Malgré ses, trop, nombreuses mauvaises expériences avec les hommes, elle ne pouvait s'empêcher d'être attirée par eux et uniquement par eux. Jill le savait, tout comme elle savait que ses sentiments à l'égard de son employeuse n'étaient pas, et ne seraient jamais, réciproques. Et pourtant, elle ne pouvait cesser de l'aimer et de se dévouer corps et âme à elle. Siobhan avait sorti Jill de la misère, elle lui avait tendu la main quand tous l'avaient abandonné. Elle lui en serait reconnaissante pour l'éternité et comptait bien passer le reste de sa vie à lui prouver. Siobhan n'avait aucun doute sur la loyauté et la fidélité de Jill, ainsi avait-elle décidé de partager avec elle son redoutable secret. L'assistante connaissait tout de la vie de Siobhan, elle savait tout de Silver Banshee et était donc, par conséquent, la seule à savoir l'apaiser. Par sa seule présence, elle parvenait à calmer et rassurer Siobhan, celle-ci se détendait alors et esquissait un sourire charmé face aux deux sublimes robes qui lui étaient proposés. Elle oubliait ses cicatrices et tous les douloureux souvenirs qui y étaient rattachés. Très respectueuse, Jill ne profitait pas de la situation pour admirer l'objet de tous ses désirs. Elle restait de marbre et ne montrait aucun signe de déstabilisation. Pourtant, croyez moi, elle avait beaucoup de mal à camoufler ses émotions mais elle était professionnelle et c'était ce que Siobhan appréciait chez elle, parmi tant d'autres choses. La Banshee s'approchait alors d'elle, sans gêne ni retenue.

« Celle-ci. »

S'était elle contentée de dire après une rapide, mais minutieuse, analyse des robes. Elle se retournait alors de nouveau face au miroir tandis que Jill se baissait pour l'aider à enfiler sa tenue de scène, car oui, Siobhan allait encore devoir jouer un rôle ce soir. Elle avait choisi une magnifique et somptueuse robe Prada noire. Une robe à la fois sensuelle et élégante, un décolleté plongeant mais loin d'être vulgaire, un style vintage et raffiné. Il s'agissait de la robe parfaite pour cette soirée. Délicatement, l'assistante remontait le tissu le long des courbes généreuses de la sulfureuse milliardaire. L'instant était intime, presque charnel, et pourtant, aucune des deux femmes n'avaient d'arrières pensées, quelles qu'elles soient. D'ailleurs, une fois la tenue ajustée sur le corps de Siobhan, cette dernière se retournait vers Jill.

« Quel dommage que tu ne sois pas un homme. »

Lui avait-elle fait remarquer en plongeant son regard dans le sien. Jill possédait en effet beaucoup de qualités qui auraient pu faire fondre le coeur de Siobhan. Tant de qualités que les hommes ne possédaient pas. Mais le coeur a ses raisons que la raison... vous connaissez la chanson. Jill ne pouvait qu'acquiescer par un sourire timide, elle qui aurait tant aimé pouvoir conquérir le coeur de l'héritière... La Banshee esquissait un sourire complice avant de se diriger vers la causeuse de style victorien. Elle y prenait sa pochette avant de se retourner vers Jill.

« Alors? Verdict? »

Avait-elle demandé à son assistante, prenant une pose de pin-up. L'apparence était quelque chose de très important pour Siobhan. Elle avait besoin de cela pour se sentir forte et garder confiance en elle. Peut être parce que toute sa vie on lui avait rabâché qu'elle n'était pas assez bien, pas assez belle, pas assez présentable... Et puis, dans sa famille, les apparences étaient essentielles, elle avait été élevée ainsi.

« Vous êtes sublime Madame, comme toujours. »


Avait répondu Jill. Oui, le vouvoiement était toujours de mise pour Jill, tout comme l'appellation "Madame". C'était en quelque sorte une manière de montrer son respect et de maintenir la barrière nécessaire pour qu'aucune ambiguïté malsaine ne s'insinue entre elles. Maquillée, coiffée, chaussée et habillée, Siobhan était fin prête. Jill l'aidait à enfiler son manteau et l'accompagnait jusqu'au rez de chaussée. Là, le majordome prenait la relève, conduisant l'héritière jusqu'à sa limousine, stationnée devant l'établissement. Un chauffeur était déjà installé et quelques minutes plus tard, elle arrivait enfin à bon port. Il s'agissait d'un somptueux manoir au coeur de Gotham. Il appartenait à l'une des plus riches familles de la ville mais il en fallait bien plus pour impressionner Siobhan qui s'y était rendue sans même sourciller. Il fallait dire que son manoir à Dublin était tellement plus authentique et pittoresque. Celui ci la laissait totalement indifférente. Et puis... ce n'était pas pour le visiter ou l'admirer qu'elle avait fait tout ce trajet depuis Dublin, sans téléportation bien sûr. Elle devait sans cesse faire attention à sa couverture, surtout lorsqu'elle devait apparaitre dans ce genre d'évènement. Non, si Siobhan était là ce soir, à Gotham City, c'était parce qu'elle avait entendu parler de l'urne d'Hécate. Une urne magique supposée contenir une partie des cendres de la déesse de la lune. Une relique extrêmement précieuse qui pourrait bien se révéler être très utile dans la recherche du livre pour Crone. Bien évidemment, le caractère magique de l'urne n'était pas connu de tous et celle-ci était mise aux enchères en tant que simple relique historique. Cela n'éveillerait donc pas les soupçons sur Siobhan lorsqu'elle en ferait l'acquisition car c'était certain, c'était elle qui remporterait l'enchère et personne d'autre...

Débarrassée de son manteau et de sa pochette, Siobhan pouvait enfin se mêlée à la petite assemblée qui avait été conviée à la fête. Petits fours, champagne, musique d'ambiance. C'était d'un ennui mortel et la Banshee n'avait qu'une hâte, passer aux choses sérieuses, remporter son enchère et foutre le camp d'ici. Elle trouvait ce genre de soirée absolument barbante, une vraie corvée. Mais elle était douée pour jouer le rôle de l'héritière mondaine et excellait dans l'art de manipuler. Avenante et souriante, Siobhan donnait le change à merveille en attendant que la sonne cloche et que les enchères commencent. Elle se mêlait à tous ces idiots fades et insipides comme un poisson dans l'eau. Personne ne s’apercevait qu'en réalité elle suffoquait, impatiente de tous les quitter pour retourner à la surface...

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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyDim 6 Oct - 11:23

Il rampait pendent que je m’approcher, il avait la gueule défoncé. J’avais passé mes nerfs, mon visage est recouvert de sang, j’ai ma dague dans la main mes phalanges se resserrent sur le manche. Ma langue venant recueillir le sang qui coule sur ma joue. Je fais tourner la lame, la personne continue de ramper en pleurant.

’ Si tu ne veux pas me donner des réponses rapidement.. Je vais te faire très très mal. Et je vais beaucoup, mais vraiment beaucoup apprécié la douleur que je vais t’infliger. Je le répète une dernière fois… Où est l’urne d’Hécate ?! ‘’


‘’ Pitié, ne me faite pas de mal.. Je vais parler ! Elle est envoyée a gotham, une vente aux enchères ! Dans un manoir ! Pourquoi la voulez-vous ? C’est une vieillerie sans nom, elle ne vaut rien ! ‘’


Je m’abaisse, la peur dans ses yeux.. Elle m’excite, je n’est pas de temps à lui accordé sinon son corps aurai était victime de mes coups de reins. Je viens lécher le sang sur la lame, avalant le précieux liquide rouge.. Amer. Amer comme ma vie, ma longue vie de débauche.

‘’ J’aime les objets magiques. Ta juste à savoir ça.. De toute façon, tu vas mourir. Je suis une créature magique aussi, tu passeras mes salutations à Hitler si tu le vois en enfer, tu lui diras que c’est moi qui lui est volé une botte et que j’en prends soin, je la cire tous les jours je la nettoyé avec une peau de chamois et je prie régulièrement devant elle. C’est le meilleur trophée que j’ai pus avoir dans ma putain de vie. ‘’

L’homme au sol se tend, il n’a pas le temps de dire autre chose que ma lame viens lui tranchée la gorge. Le sang coule à flot, je lui fais les poches lui piquant sont porte-feuille. J’observe un peu, une photo, deux enfants en bas âge, une fille plus grande qui doit avoir seize ans et sûrement sa femme.. Hm. Erwan Johnsbow ? Marié, hm. Je laisse sa carte d’identité sur son torse avec la photo de sa famille. Je rentre dans ma dimension allant prendre une bonne douche.


Sa c’était y a une semaine, j’avais mes renseignements , j’avais dérobé une banque. J’arrive devant la maison des Jonhsbows, je dépose un sac rempli d’argent. Avec une lettre où il y est écrit, ‘Désolé ‘’ avec un trèfle attaché part un bout de scotch, une fois que j’ai tout posé. La porte s’ouvre, la plus grande qui m’avait vu. Ce qui n’arrange pas mon affaire.

‘’ Bonjour, je peux vous aider ? ‘’
‘’ Désolé, je me suis perdu. C’est part ou le café le plus proche ? J’suis en rade de clope ‘’
‘’ Vous tournez sur la rue du menhir et vous y êtes. ‘’
‘’ Merci’’

Je fait semblant de partir et j’entends biens qu’elle ouvre le sac et la lettre. Elle relève les yeux noyés de larmes. Un ‘’ attend ! ‘’ Me fait tourner la tête. Sont regard remplis de haine, ce n'est pas la première fois que j’en vois un comme ça. Je suis coupable de la mort de millier de personne, j’ai l’âme qui est une étendue de sang. Elle s’approche de moi avant de me taper le torse. M’insultant de tous les noms. Je la prend contre moi, elle pleure. Je ferme les yeux, passant dans ma dimension pour prendre ma lame.. Et. Vous connaissiez la suite. Je la laisse la sans vie. Avant de partir au Mexique, terre des exécets. J’ai besoin d’oublier, encore et encore.

Mon combo far pour oublier une journée de merde : bouteille de tequila, coke et une pute.
Surtout le fait de se faire un rail sur l’cul d’une pute, les enfants n’oubliez pas que les drogues sont mauvaise pour la santé, et vu que je suis déjà pas mal fracassé dans tout les sens ça va passer crème.
Je sais pas combien de temps.. Mais je me devais de trouver une tenu a peux prêt classe. Je fouille dans les magasins au Mexique, allant dans les plus chères. De toute façon, je vais pas payer.. Chemise blanche, jean noir et chaussure de ville très classe sans oublier mes chères bretelles. Sinon, je me sens à nu voyons ! Je reprends une douche, je m’habille. Je me pointe à la soirée d’enchère, je passe sans invitation grâce a la ‘’ magie’’, je sais.. Je suis dégeulasse tout le monde se fait recaler.

Je me retrouve avec deux réceptionnistes blonde aux  forte poitrine au bras. Yes, bonne soirée.. Je me fais escorter. Souriant à tous ses autres trous du cul qui sont en galère. J’arrive enfin dans la somptueuse salle, je regarde les gens les blondasses me lâchant. Je regarde le comptoir.. Que du champagne ou du martini, putain je vais avoir mal a la tête demain. J’attrape une poignet de petit four que je mange comme quelqu’un de la plèbe sans aucune classe qui me fou les regards foudroyant des hautes classes.

J’endors trois bouteilles de champagne, faisant mine de prendre une coupe et la dégusté avec le petit doigt en l’air et bien en évidence pour me foutre des grosses gueules gavé de bouffe et d’argent. Les richards sa m’horripile, sa m’fait vomir. On leur coupé la tête fut un temps, m’enfin.. La sonne cloche, je m’avance mais la magie je la renifle à des kilomètres, l’urne est bien la. Mais une dame, que je ne saurai pas dire.. Elle pue la magie aussi. Je descends ma coupe de champagne avant de la jeté et venir m’asseoir, débouchant une bouteille de champagne. Attendant le tour de l’urne ou je vais renchérir juste pour faire chier. J’ai déjà mon plan en tête.. Une coupure de courant et pouf plus d’urne. Je m’allume une clope, attendant mon tour avec patience.
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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptySam 12 Oct - 10:02



Le Diable s'habille en Prada
"Être dupe d'un pauvre diable n'importe guère, mais être dupe d'un diable riche : Voilà ce qu'il ne faut pas. " Citation de Edmond Thiaudière dans "La décevance du vrai"

Il y a quelques mois...

Alors qu'elle souriait hypocritement à une blague qui était tout sauf drôle, Siobhan remarquait qu'autour d'elle les collets montés s'étaient offusqués. Un malaise s'était installé dans la pièce et elle se demandait bien pourquoi. Pourquoi ce changement aussi soudain de comportement et d'ambiance? Suivant les regards des autres convives, Siobhan comprenait rapidement pourquoi lorsqu'elle apercevait la grande baraque rousse qui venait de pénétrer en ces lieux. Il était très rare de parvenir à surprendre la jeune femme mais, malgré son total mépris pour le leprechaun, elle devait bien admettre que lui y parvenait un peu trop souvent. En effet, jamais ô grand jamais elle n'aurait pu imaginer le trouver ici. Et pourtant, il était bien là. Certes il avait fait un effort vestimentaire, des plus moindres, devenant presque, presque, attirant aux yeux de la banshee. Mais l'habit ne faisait jamais le moine et il était toujours aussi brute et débraillé qu'à l'accoutumé. Il faisait vraiment tâche dans le tableau mondain qu'était cette soirée privée. D'ailleurs, Siobhan se demandait bien comment il avait fait pour être invité lui aussi, ce n'était pas du tout le genre de sphère dans lesquelles il évoluait. Oh mais bien sûr... elle s'en voulait de ne pas y avoir songé immédiatement. Nul doute que ce bougre avait très certainement usé de sa magie pour entrer ici, quelle vermine! Un vrai rat! La banshee le méprisait tellement cet enfoiré...

En effet, ce n'était pas la première fois qu'elle voyait cette dégaine de clodo alcoolique. Keyvan, elle l'avait déjà croisé et jamais en de bons termes. C'était simple, entre eux, tout avait mal commencé. Il avait osé lui voler une relique, provoquant le courroux de la banshee. Siobhan avait alors tout fait pour récupérer son bien mais cela n'avait pas été suffisant, elle avait réclamé vengeance et s'était alors mise à interférer dans toutes les affaires du leprechaun dont elle avait echo. Entre eux était née une sorte de guerre, une guerre d'egos, une guerre de pouvoir, une guerre des sexes, une guerre d'honneur. C'était à celui ou celle qui ferait la plus belle crasse à l'autre. Voilà pourquoi la banshee avait toujours bien veillé à ce que Keyvan ne découvre jamais sa véritable identité. Car avec cette information des plus précieuses, il aurait pu détruire toute sa vie en un claquement de doigts. Et même si elle aimait jouer avec le feu, même si elle aimait prendre des risques, Siobhan n'était pas prête à prendre celui là. C'était qu'elle l'aimait sa petite double vie. Héritière le jour, banshee la nuit. Elle n'échangerait sa place pour rien au monde, bien qu'elle s'évertuait depuis des années à tout faire pour modifier quelques détails du contrat qui la tracassaient. Mais du coup... si elle avait reconnu le roux, lui ne pouvait pas se douter une seule seconde que sa pire ennemie se cachait sous les traits délicieux de la belle héritière. Siobhan en salivait d'avance.

Elle fronçait les sourcils en voyant l'ogre irlandais dévorer ses petits fours comme un crève la dalle. Il n'était vraiment pas sortable... Mais elle devait tout de même avouer qu'il avait le don d'animer la soirée, jusque là mortellement ennuyeuse. Il la sortait un peu de sa torpeur et rendait l'affaire un peu plus juteuse. Cependant, Siobhan se doutait bien qu'il n'était pas là pour les parures de bijoux, les manteaux de fourrures ou les vieilles reliques sans intérêt. Non, cela ne faisait aucun doute, Keyvan était assurément ici pour la même chose qu'elle, l'urne d'Hécate. Et ça, ça c'était beaucoup moins amusant. Siobhan était là incognito, elle avait choisi de jouer le jeu justement pour préserver sa double identité. Discrétion et finesse étaient de mise ce soir. Se transformer en banshee pour sauter au cou de Keyvan n'était absolument pas une option... Alors certes la soirée allait être un peu plus fun, mais elle allait être aussi un peu plus compliquée que prévu. Car en plus des autres acheteurs, Siobhan allait devoir affronter un putain de leprechaun sans limite et sans vergogne. S'il voulait vraiment l'urne, il ne reculerait devant aucune bassesse pour y parvenir, la lutte s'annonçait donc plus difficile, surtout que Siobhan était dépourvue de ses armes principales.

« C'est scandaleux... »


Soufflait un invité.

« Ils laissent vraiment entrer n'importe qui... »

Soufflait une autre. Siobhan esquissait un sourire amusé. Elle avait tellement envie de leur trancher la gorge à tous ces pédants arrogants. Même si elle n'éprouvait aucune sorte d'amitié ou d'affection pour Keyvan, bien au contraire, elle ne supportait pas d'entendre ces bourgeois péter plus haut que leurs culs. Ils se croyaient toujours supérieurs aux autres parce qu'ils étaient nés avec une cuillère en argent dans la bouche. Ils se croyaient meilleurs que les autres alors qu'ils n'étaient rien que des sous-merdes incompétentes et sans saveur. Siobhan les méprisait peut être même plus que le leprechaun tiens! Mais ce soir, elle devait garder ses pulsions au vestiaire. Tuer tous ces richards embourgeoisés n'était pas envisageable. Frustration Siobhan, frustration. La banshee fut alors sortie de ses pensées par la fameuse cloche qu'elle attendait avec impatience depuis le début de cette mascarade. Les choses sérieuses allaient enfin commencer. Restant en retrait, elle laissait Keyvan entrer dans la salle des enchères avant elle. Le comportement du leprechaun était absolument détestable et outrancier... S'il avait été un autre, Siobhan ne l'aurait même pas calculé de la soirée mais voilà... il n'était pas un autre et elle ne pouvait pas rester dans son coin avec une telle carotte brandie sous son nez. Sans mauvais jeu de mots bien sûr. Non, elle se devait d'attraper cette perche qu'il lui tendait inconsciemment. Elle ne pouvait pas laisser passer une telle occasion de s'amuser à ses dépends.

« Monsieur il est interdit de fumer à l'intérieur. »


Avait dit un agent de la sécurité en s'approchant de Keyvan. Le grand gaillard irlandais aurait très bien pu s'en sortir tout seul, avec ou sans magie, mais Siobhan avait tout de même décidé d'intervenir avant même que Keyvan ait le temps de répondre ou de faire quoi que ce soit.

« Je crois que monsieur ne connait pas encore les us et coutumes de ce genre de soirée Gary. »

Avait-elle dit en s'asseyant à côté de Keyvan. Siobhan était une vraie mondaine, ce n'était pas la première fois qu'elle venait ici et elle connaissait tout le personnel de maison, dont Gary.

« N'est-ce pas? »


Avait-elle demandé à Keyvan en glissant sensuellement sa main sur la cuisse du rouquin. Une riche excentrique qui veut se taper un marginale pour mettre un peu de piment dans sa vie trop fade et insignifiante... C'était crédible non?

« Ne soyez pas trop sévère envers notre nouvel ami. »

Avait-elle ajouté à l'attention de Gary. Le garde se contentait alors de tendre un cendrier en argent à l'irlandais.

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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyMer 16 Oct - 17:40

De ce que j’entends, je fait couler beaucoup d’encre part les personne environnement de ma sature. Une bonne femme vient me voir et me fait la morale, ils m’énervent c’est putain de richard qui se croient tout permis. Je l’écoute a moitier, soupirant la fumée de ma cigarette sans grande classe. J'attend avant de légèrement m’énerver et l’envoyer balader. Je continue mon expédition des petits fours.


Bordel enfin de la bouffe ! Je avale a peux prêt tout ce qui se passe, félicitant les cuisiniers qui sont obliger de ré-approvisionné en grande pompe parçeque monsieur bouffe-tous que je suis est passer part là. J’essaye de draguer, a droite à gauche. Maiiiiiiiis, si ta pas aux moins six zéros a ton compte en banque tu n’intéresse pas, et bordel y a des richards bien dégueulasse qui si ils ont le malheur de s’abaisser, ils font péter les boutons du futal et je parle de l’entre-jambe qui se déchire. Je m’accoude au bar du coup, vu que personne n’est intéressé, même pas les mecs.. Putain, soirée a la con. Vivement, qu’on puisse aller aux enchères et qu’après je me tire avec mon du. Oui, mon du vous avez bien entendu. J’enquille les coupes de champagne, je regrette qu’ils n’ont pas de vrai whisky. Sinon, sa aurai était avec plaisir que j’aurai littéralement violé leur stock, mais le Jack Daniel’s ne fait pas partit de mes préférences.


J’hésite à foutre le feu à l’endroit et prendre ce que j’ai a prendre, mais sa serrait moins drôle. Je sens de la magie bouger, sûrement l’urne. Après une éimiéme coupe de champagne, je me fais accoster part une rousse, assez riche. La cloche n’a pas encore sonné , well c’est le moment de foncé. Ni une ni deux, elle me prend part le bras avant qu’on parte dans les chiottes batifolé comme deux vulgaires animaux. Autant la souiller au plus profond de son être hein, et lui faire les poches pendent qu’elle est trop occupée à gémir comme une catin. Une fois mon affaire fait, je sors des toilette remontant ma braguette en sifflotant,la laissant chancelante. J’entends deux trois réflexions qui me plaisent vraiment pas. Je me sens des cornes poussé.


Je m’accoude au bar avant de réciter une légère incantation magique. Pour que l’homme est une soudaine tourista.. Sur place. Le mec se vidant littéralement de ses matières fécales ce qui provoque des réactions parmi les autres. Et l’autre pute, je vais m’en occuper aussi.. Elle va pas arrêter de vomir. De quoi leur laisser un amer souvenir de mon passage. On ne fait pas chier à Leprechaun, il est bien plus vicieux que tu l’es toi même.

La cloche sonne enfin, je viens m’asseoir avant de fumé tranquillement attendant que ça commence, mais un domestique du domaine viens me casser les burnes royalement. Je soupire la fumée, le regardant. Je m’apprête a parler qu’une jolie brune, viens poser sa main sur ma cuisse et me ‘’défendre’’, merci madame la bonasse, mais j’aurai pu le faire tous seul. M’enfin, avoir une belle nana à côté de sois et qui te défends.. Sa se prend, je vais peut-être pouvoir la ramené à l’hôtel celle la.


Pour la forme je viens faire un tour de magie. Je viens mettre la cigarette droite au niveau de mon nez et je viens la faire rentrer la faisant disparaître dans ma dimension en regardant l’homme de main.

‘’ Désolé, je viens d’arriver d’Irlande. On est beaucoup plus cool que les Américains. Pars contre je vais vous garder le cendrier, vous pouvez vous partir. Je vais en avoir besoin. ‘’

Je vois bien qu’il part avec un air de : Je vais te fumer le rouquin.
Je rigole avant de me tourner vers la demoiselle brune. J’entre ouvrer la bouche et fait ressortir ma cigarette le reprenant avec ma main. Claquant les cendres dans se beau cendrier que je vais sûrement dérober d’ici là. Je regarde la brune, prenant un sourire charmeur avant de lui tendre un paquet de malboro rouge ouvert et avec une cigarette préalablement sortie. J’avance légèrement le cendrier.

‘’ Merci a vous jeune dame, vous m’avez sauvé la vie sur ce coup là. ‘’

On recommence le coup comme avec Mari : on l’embobine et on la fait chier. Du moins la faire chier pas trop, sinon je vais avoir du mal a la ramené dans mon pieu et a piquer l’urne sans me faire voir. Mon regard vert trèfle se pose dans le sien, lui lâchant mon meilleur sourire charmeur.

‘’ Excusez moi.. Je ne me suis pas présenté : Kharjot O’Konnor‘’

Ehéhééhéh ! On ne donne pas son vrai nom. Sinon, ce n'est pas drôle. Je peux pas balancer le prénom que j’ai pour le moment. Sinon, ça induirait trop si des recherches étaient faites sur ma belle gueule. Sinon, ça induirait trop si des recherches étaient faites sur ma belle gueule. Juste un peux de temps avant qu’elle me tombe dans les bras.

‘’ Que fait une jolie fleure comme vous dans cet endroit charger d’histoire ? Une amatrice d’art ou peut-être d’histoire ? Voir les deux ce qui pourrait être probable, vos yeux trahisse une certaine lueur d’intérêt dans votre regard… Et au passage, votre parfum sens très bon. ‘’


Aussi bon que la magie salope ! Tu empestes à des centaines d’années-lumière, qu’est ce que tu as sur toi pour puer autant ? Hein p’tite donzelle, t’est une riche, mais y’a quelque chose d’autre.. Je vais devoir te détrousser, tu le sais ça ? Va falloir que je creuse ma jolie, parçeque tu m’intéresse un peux plus.


Je viens sortir une pièce et m’amuser avec, la faisant disparaître et réapparaître à ma guise en attendant que les enchères commences et accessoirement pour impressionné la demoiselle a côté moi. Si sa peux faire passer le temps à deux branleurs, sa me va. Largement même, et si je peux lui en embouché un coin au passage sa m’arrange. Je me permet même de faire semblant que j’ai paumé ma pièce, une fois lancé.

‘’ Bah… Merde ? Elle est ou..’’

Je sais, je suis un acteur né. J’en profite pour lui replacer une mèche de cheveux et sortir ma pièces de derrière ces cheveux. Ouais le coup basique, pas très intelligent. Je lui fait un clin d’oeil, en mode ‘’ c’est pas fini’’, je referme ma main avant de lui demander de souffler dessus. Une fois fait, je viens la ré-ouvrir, dévoilant un trèfle a quatre feuilles relativement grosses. Je viens lui mettre au dessus de l’oreille avant de me re-caller sur mon fauteuil, le juge étant arrivé et sonnant enfin le début de séance pour les différentes affaires à vendre.
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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyVen 18 Oct - 20:46



Le Diable s'habille en Prada
"Être dupe d'un pauvre diable n'importe guère, mais être dupe d'un diable riche : Voilà ce qu'il ne faut pas. " Citation de Edmond Thiaudière dans "La décevance du vrai"

Il y a quelques mois...

Se jouer ainsi du leprechaun était vraiment jubilatoire et Siobhan en savourait chaque seconde. Il ne se doutait pas un seul instant de qui elle était et elle avait bien l'intention que cela reste ainsi. Keyvan ne devait en aucun cas connaître sa double identité. Ce serait bien trop dangereux pour la banshee. Il en profiterait, sans nul doute, pour la détruire sur tous les plans et l'héritière n'avait pas envie de vivre comme une recluse ou une fugitive. Très peu pour elle. Elle aimait pouvoir commettre des crimes sous Silver et vivre sa vie impunément au grand jour sous Siobhan. Elle prenait donc tout de même un risque en jouant avec le feu avec le rouquin. Mais c'était un risque trop tentant pour qu'elle ne veuille pas le prendre. D'ailleurs, le leprechaun ne semblait pas hostile au rapprochement de la jeune femme, au contraire, il semblait apprécié cela et elle voyait dans son regard qu'il s'imaginait déjà la mettre dans son lit. En même temps, elle lui avait tellement envoyé de signaux dans ce sens mais si seulement il savait... Il n'avait aucune chance avec elle, pas la moindre. Jamais elle ne coucherait avec lui, au mieux elle le chaufferait à mort avant de laisser seul comme une merde avec sa crampe. Oui, cette idée était vraiment séduisante, Siobhan ferait tout pour la mettre en place d'ailleurs. Mais ce n'était pas sa priorité ce soir, l'urne était sa priorité. Elle passerait avant tout, même avant le plaisir diabolique de blouser le rouquin.

Dans l'inélégance la plus totale, Keyvan planquait sa foutue clope, une vilaine manie que détestait Siobhan, dans l'une de ses narines... Il se prenait pour un clown de cirque sur le déclin ou quoi? Il était ridicule. Mais Siobhan faisait semblant d'être impressionnée. Elle jouait son jeu bien que ça ne l'amusait guère. Le leprechaun était si rustre et bourrin, elle le détestait au plus haut point. Et si elle n'aimait pas tant le faire tourner en bourrique, elle l'aurait déjà tué depuis bien longtemps. Mais pour le moment, il était un bon jouet avec lequel elle ne se lassait pas encore de s'amuser. La preuve encore ce soir.

« Oh... un irlandais... »

Comme si ça se voyait pas abruti, avait-elle pensé.

« C'est drôle comme le hasard fait bien les choses, je suis moi aussi irlandaise, pure souche. Siobhan McDougal, enchantée. »


Avait-elle ajouté d'une voix suave et légère. Elle jouait parfaitement le rôle de la riche héritière en manque de sensations fortes. Mais en réalité cette discussion l'ennuyait royalement. Qu'est-ce qu'elle en avait à foutre sérieusement qu'il soit d'Irlande, d'Egypte ou d'ailleurs? Elle lui demandait pas sa biographie ou son curriculum vitae! En revanche, Gary, lui, il attisait bien plus la curiosité de Siobhan. Elle avait aimé le regard qu'il avait lancé à Keyvan et son sang froid à toute épreuve. Voilà un homme qui l'intéressait réellement mais elle n'aurait pas le temps de s'y attarder plus longtemps. Elle avait un rouquin à faire tourner en bourrique. D'ailleurs, ce dernier faisait ressortir sa satanée clope de sa bouche, dégueulasse. Pire encore, v'la qu'il lui tendait un vieux paquet de clopes sous le nez... il était sérieux? Jamais de la vie elle n'abimerait ses lèvres délicates et ses poumons avec cette merde.

« Non merci je n'aime pas ça. »

Avait-elle poliment répondu. Elle gardait en elle tout son ressentiment et son dégout. Elle excellait dans cet art. Hypocrisie était son deuxième prénom. Kharjot O’Konnor... Sérieusement? Il aurait pas pu trouver un prénom encore plus moche? Il lui débitait ensuite tout un baratin de dragueur du Dimanche. C'était affligeant même pour le leprechaun. En réalité, elle ne s'était pas attendue à autre chose de sa part. Les femmes, il ne devait rien y connaître. Elles étaient trop subtiles et complexes pour lui. Pas étonnant avec le pois chiche qui lui servait de cerveau. Elle se demandait même encore comment il faisait pour réussir à aligner un pied devant l'autre sans trébucher. Pourtant, elle était certaine que lui était certain d'être un tombeur, un as de la séduction, un bourreau des coeurs. Les hommes... Prétentieux, arrogants, et bien souvent rien d'autre. Oh nan... il a pas osé tout de même! Si! Le coup de la pièce! On était vraiment tombé bien bas. Siobhan gloussait tout de même, feignant d'être émerveillée et amusée par le tour. Elle se prêtait même au jeu en soufflant sur cette putain de pièce dont elle n'avait strictement rien à foutre. Mon Dieu qu'il était barbant finalement. Elle avait presque envie de le titiller un peu histoire qu'il y est un peu plus d'action. Mais elle arborait le visage de Siobhan et elle ne pouvait pas cramer sa couverture.

« Je ne vais pas vous mentir, je suis là pour l'urne d'Hécate. Voyez vous, ma famille a un lien affectif avec cette relique et il me plairait énormément de la posséder. »

Elle se penchait légèrement vers Keyvan, caressant délicatement la nuque du leprechaun.

« Je suis prête à tout pour cela... et je ne porte pas de parfum. »

Lui avait-elle murmuré à l'oreille. Deux sous-entendus pour le prix d'un, il comprendra ce qu'il comprendra l'alcoolique notoire. Siobhan avait bien entendu fait exprès de dire la vérité en évoquant l'urne d'Hécate. Elle était persuadée que c'était exactement ce qu'était venu chercher le leprechaun. Son plan était simple... Soit elle remportait l'urne aux enchères, à la loyale, sans effort ni grain de folie. Soit il remportait l'enchère et elle ferait tout pour l'endormir et ainsi lui dérober l'urne sous le nez. Mais ce qu'elle craignait, c'était qu'il ne s'en empare avec bruit et fracas. En tant que Siobhan, elle ne pourrait que le regarder faire sans intervenir. Voilà pourquoi elle essayait de se rendre aussi irrésistible que l'urne à ses yeux. Ainsi, il ne pourrait fuir les lieux sans vouloir l'emmener sur son épaule comme un homme de Cro-Magnon et c'est là qu'elle lui déroberait l'objet après... vous savez, l'idée évoquée plus haut. La cloche venait de sonner, l'urne ne tarderait pas à faire son entrée, Siobhan allait donc bientôt savoir sur quel pied danser.

Et vous? Vous êtes là pourquoi?

Demandait-elle en se réinstallant correctement sur sa chaise.


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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyJeu 24 Oct - 20:47

Fait pas genre.. Je sais que t’es spéciale, ta un truc magique sur toi. Je le sens, j’ai le piff comme pour la bouffe ma p’tite pupute, je sais… Je le sais. Si tu ne dévoiles pas tes petits secrets vite, je vais devoir te passer à tabac dans ma dimension, sa serrait dommage d’abîmer un si joli minois comme le tiens.. Je suis sur entre six mecs, tu serrais parfaitement mignonne. Elle est irlandaise aussi oh ? Un sujet d’accroche, on dirait bien, pure souche ? J’ai touché le gros lot. J’hausse un sourcille, lui adressant un grand sourire montrant mes dents blanches.

’ Enchanté Miss Mcdougal, c’est rare d’en voir de nos jours des pures souches. Je pensais être dans les derniers, mais ça me fait bien plaisir d’en voir une. ‘’

J’avais dit ça sur un ton tellement mielleux, ça ne me ressemble pas. Je viens faire un tour de main, pour faire disparaître mon paquet pour jouer dans le rôle du magicien riche que j’incarne ce soir, même si on ne se doute que je n’aie aucune manière et je m’en branle un peux. Je viens prendre un trésor, pas jouer la carte du riche bordel. Sa m’horripile ça, je joue quelqu’un que je ne suis pas… Juste pour ça, ils devraient tous mourir, au plus profond de mon être.. Je sens quel que chose bouillir, un rire malsain. J’étais un roi avant, et j’en suis réduit à être un vagabond maintenant ?!

Pendent un instant mes yeux s’injecte de fil de sang. Je dois taire la folie actuellement, je reviens à la raison assez rapidement, même si j’avais envie de foutre le feu. Non, pas maintenant.. Pas maintenant. Pas encore, je vais encore m’amuser encore un peut.. Juste un tout petit peux.
J’écrase ma cigarette dans le bol d’argent le posant au sol. Avant de bien me remettre sur ma chaise, ce qui me fait penser a une chose.. Tu es trop polie ma chère, je ne te fais pas confiance.. La magie te trahit, je vais le découvrir. Ce qui n’arrange pas mes affaires, elle vient pour l’urne aussi.. Je sens que je vais devoir sortir les billets, j’ai une petite réserve dans ma planque.. Je dois avoir un bon million a dépensé.

’ L’urne ? Je crois qu’on est beaucoup ici pour la vouloir. J’ai entendu d’autre personne la vouloir pour voir se qui il y’a a l’intérieur, en y pensant.. Je la veux pour la mettre avec mes autres reliques. Agrandir ma collection, si vous voyez se que je veux dire. ''

C’est un objet chargé d’histoire et de valeurs.. Représentant les restes d’une déesse oublier part la plupart des Humains. Celles qui reliée les enfers, la terre et le ciel. Représentant également la Mort, on la dit fille De Thrace…

Je vais pas trop d’abandonnée en parlote, ma passion pour l’histoire est un peux trop sortie.
‘’

Et la faut m’imaginer en train de jouer du violon, même si j’ai une grande passion pour l’histoire, je joue encore une couverture, a force je commence à avoir chaud. Je dois encore la garder avant de pouvoir me dessaper, en attendant la coquine se rapproche très proche voir trop proche, je vais la bouffer tout cru si ça continue.

‘’ Oh.. Je vois, mais si.. Un parfum de magie. Non ? ‘’

Ma voix c’était durcie et j’avais fait claquer mes dents prêt de son oreille comme un prédateur qui est sur le point de bouffer ça proie.En attendant, je renifle ce doux parfum de magie pendant que je pose ma main sur le haut de son dos lui caressant vaguement avant de me décoller d’elle, je me ferrait pas avoir. Vraiment pas, je suis con et je pense avec ma bite au lieu de mon cerveau, mais toi tant que je ne suis pas sur de qui tu est, je me dévoilerait pas.

‘’ Moi ? Je viens pour la coupe d’Helga. Et voir se qu’il y’a d’autre chose qui m’intéresse. Je suis sur qu’il y’a plein de choses qui pourrait me plaire, a ajouté a la collection.’’

MYTHOOOOOOOO ! Je vais la jouer fine pour une fois. La sonne retenti et je me concentre sur la scène ou les articles défilent, je fais monter les enchères pour la coupe et une veille épée qui sont toutes les deux magique, un me permettra de donné plus de goût a mon alcool et l’autre me permet de brisé plusieurs sortilèges de protection. Je fais l’homme concentré et ‘’ sur de lui’’ pour impressionner la Siobhan.


Elle vient donc que pour la coupe.. Qui arrive. Pas à pas, c’est la plus grosse pièce de la collection tout dois s’écouler avant pour la voir en jeux. Je me bats avec une troisième vieillerie qui n’a peux de valeur magique, avec un vieillard fessant monté les prix. Après un bras de fer acharné j’arrive à avoir ma babiole, dommage pour eux.. Je ne vais pas les payer. Et bizarrement, personne ne saura qui je suis. Ah.. Je suis chanceux, putain de chanceux. Une pause est annoncé avant de passer au gros lot de la soirée, ce qui me fait doucement sourire certain partant d’autre reste sur place. J’attrape une serveuse avant de lui glisser plusieurs dollars pour ramener une bouteille et deux coupe.

Elle revient, je lui fais un clin d’œil, je la vois rougir et partir aussi vite. Je me retourne vers ma nouvelle compagne de la soirée, venant débouché la bouteille et remplir une coupe que je lui tends avant de servir la mienne. Je viens claquer les coupes.

‘’ A la personne qui arrivera à mettre la main sur l’urne. Et a une rencontre forte intéressante. ‘’

Je souris, avant de me replacer dans mon siège bien confortablement. Observant les alentours, les gens me critiquant encore de ce que j’entends, je soupire un peu. Je vais les retrouver et leur arraché les dents moi-même si ça continue. Je reporte mon regard vers la délicate demoiselle, me demandant si ça vaut vraiment la peine de jouer ma couverture ? Je suis dans la merde, autant continuer comme ça. Je viens me rallumer une cigarette pour faire couler le champagne.
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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyVen 1 Nov - 11:08



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"Être dupe d'un pauvre diable n'importe guère, mais être dupe d'un diable riche : Voilà ce qu'il ne faut pas. " Citation de Edmond Thiaudière dans "La décevance du vrai"

Il y a quelques mois...

Un parfum de magie, c'était que le cloporte avait toujours l'odorat fin. Elle n'aurait pourtant pas cru la banshee, vu la quantité gargantuesque d'alcool et de drogues qu'il s'administrait chaque jour. Il était pas si rouillé que ça le leprechaun. Il avait encore les yeux en face des trous finalement. Siobhan esquissait un sourire. En revanche, ce qui la faisait beaucoup moins sourire, c'était cette main souillée sur son dos. De quel droit se permettait-il de la toucher sans son autorisation? Vous remarquerez la mauvaise foi de celle qui s'autorisait exactement ce qu'elle refusait aux autres. Mais aux yeux de la banshee, une femme pouvait se le permettre car les hommes n'attendaient que cela. Tandis que les femmes, plus délicates et subtiles, méritaient plus d'égards et d'élégance. C'était sa vision des choses, les femmes méritaient plus de respect et d'attention que les hommes. Alors pourquoi les aimait-elle autant? Pourquoi ne pouvait-elle pas s'en passer? Pourquoi, au fond, avait-elle ressenti une certaine excitation au bref contact du rouquin? Elle niait tout en bloc dans son inconscient. Lui? Jamais de la vie!

« Démasquée. »

Avait-elle répondu sur un ton insouciant et naïf. Comme si elle venait d'être prise sur le fait entrain de commettre une bêtise.

« Mais je crois que vous et moi on porte le même parfum n'est-ce pas? »

Avait-elle rajouté en plongeant son regard de biche égarée dans celui de Keyvan. Puis elle avait enchainé. "Et vous, vous êtes là pourquoi?" d'une voix mielleuse... Mais qu'est-ce qu'elle en avait à foutre sérieusement? Et puis elle savait pertinemment pourquoi le leprechaun était là. Lui aussi voulait forcément l'urne d'Hécate. Cette fouille merde était toujours attirée par les objets rares, précieux et bien sûr magiques. Mais contrairement à Siobhan, il était un pauvre petit insecte attirée par la lumière sans savoir quoi en faire, courant droit à sa perte aussi minable et pathétique que sa triste existence. Les objets qu'il convoitait ou possédait le dépassaient totalement, il ne les comprenait pas et gâchait tout simplement leur potentiel. L'urne était beaucoup trop précieuse pour lui, beaucoup trop subtile et complexe. Mais cette loque irlandaise croyait toujours en être digne juste parce qu'il avait hérité des pouvoirs de ses farfadets d'ancêtres. Il répugnait Siobhan, il était une insulte à l'ensemble du monde occulte et ne méritait même pas l'attention qu'elle lui portait en cet instant. Mais que voulez vous? La banshee aimait le confronter, le rabaisser et se jouer de lui. C'était sa petite faiblesse, son guilty pleasure. Il n'y aurait que lorsqu'elle se serait lassée de lui qu'elle le tuerait sans pitié ni regret, débarrassant enfin la Terre de sa présence inutile et nocive. Mais pour le moment, il l'amusait encore et la situation dans laquelle ils se trouvaient tous les deux lui plaisait beaucoup. Devoir jouer les beautés écervelées et naïves, beaucoup moins, mais c'était indispensable pour pouvoir le duper et l’appâter.

Apparemment, le rouquin avait la même idée en tête avec son vieux bobard de la coupe de machin chose. Siobhan n'y croyait pas une seule seconde et elle avait l'avantage. Il pensait très certainement manipuler une pauvre petite apprentie sorcière sans expérience ni bagout mais il se trompait lourdement. Et puis, elle, elle le connaissait. Elle savait à quel roublard elle avait à faire. Un avantage de taille. La sonnette retentissait alors de nouveau, les enchères commençaient enfin. Siobhan le regrettait presque, elle s'amusait autant en coulisses que sur le devant de la scène. Pour donner le change, Keyvan s'offrait des babioles sans intérêt tandis que la banshee, elle, ne perdait pas son temps et attendait le seul et véritable objet de tous ses désirs ce soir. Et quand le leprechaun s'emparait d'une serveuse au passage pour obtenir une bouteille et deux coupes, Siobhan se retenait de le sanctionner dans la seconde. Elle n'avait pas du tout apprécié ses manières avec la jeune femme. Mais elle se retenait, tout vient à point à qui sait attendre après tout. L'héritière se forçait même à trinquer avec lui alors qu'elle avait horreur du champagne. Mais ça, Keyvan ne le savait pas encore. Bientôt, il l'apprendrait. Et puis soudain, l'urne était enfin annoncée. Le regard de Siobhan devenait plus dur et sérieux. C'est alors qu'une hôtesse se précipitait vers le commissaire priseur pour lui murmurer quelques mots à l'oreille. Confus et gêné, l'homme toussotait dans le creux de sa main avant de reprendre la parole.

« Excusez moi mesdames et messieurs, mais l'on vient de me confier à l'oreille que l'urne vient d'être retirée du marché. Nous passons donc au prochain article... »

Une légère vague de frustration et d'étonnement avait parcouru la salle tandis que de son côté, Siobhan bouillait de l’intérieur. C'était quoi cette mauvaise blague? Pourtant l'urne était bel et bien là, elle avait été exposée dans la grande salle avant que tous les participants ne prennent place. La banshee pouvait encore sentir sa présence et le maitre des cérémonies venait seulement d'être mis au courant. C'était réellement étrange. La banshee avait envie de tout envoyer valser, de tuer tous ces snobinards et de s'emparer de l'urne avant de disparaitre. Mais elle était venue en Siobhan ce soir, et cela, elle ne pouvait donc pas le faire. Elle s'était alors contentée de se lever sagement.

« Si vous voulez bien m'excuser. Ce fut un plaisir de vous rencontrer monsieur  O’Konnor. »

Keyvan avait perdu tout son attrait, Siobhan n'était plus obsédée que par une seule chose, l'urne. Le jeu était terminé. Dans l'élégance la plus totale, elle quittait donc la salle des enchères, bien déterminée à découvrir le fin mot de toute cette histoire. Deux autres participants lui emboitaient le pas, visiblement tout aussi déçus que l'héritière à l'idée de ne pouvoir se battre pour l'urne. Cela l'arrangeait bien car elle allait pouvoir se servir d'eux afin de se renseigner sans attirer l'attention sur elle. En effet, alors qu'ils attendaient tous les trois de récupérer leurs effets personnels dans le grand hall, Siobhan en profitait pour engager la conversation et les pousser à poser quelques questions au maitre des lieux, venu en personne pour s'excuser de la gêne occasionnée et leur souhaiter tout de même une agréable fin de soirée. L'héritière découvrait alors que le vendeur avait décidé de faire marche arrière et de retirer l'urne de la vente. Mais pourquoi? Cela la rongeait de l'intérieur, elle voulait savoir pourquoi. Mais l'homme n'en dévoilait pas plus.

Dans un soucis de discrétion, Siobhan quittait les lieux sans faire d'histoire ou demander plus amples informations. Elle montait dans sa limousine et laissait le chauffeur la ramener à l’hôtel. Ainsi, elle aurait une multitude de témoins qui pourraient confirmer sa présence dans l'établissement au cas où les choses tourneraient mal. Car vu le revirement de situation avec l'urne, les choses ne pourraient que tourner mal. La banshee allait devoir employer la force pour la récupérer. Pour une fois qu'elle avait voulu faire les choses biens, sans morts ni chaos. Vous noterez tout de même l'ironie de la chose. C'était qu'on la poussait à faire le mal la pauvre, elle n'y pouvait rien... Une fois dans sa chambre, elle se téléportait donc au manoir. Retour à la case départ. Et cette fois-ci, elle ne repartirait pas sans l'urne. Dissimulée derrière un bosquet, dans la pénombre, à l'arrière du manoir, elle observait les allers et venus des transporteurs. L'artefact était toujours là, elle le sentait. Elle patientait donc un bon moment avant de finalement apercevoir un début de piste, un visage familier, désagréable mais familier. Le maître des lieux discutait en effet avec une femme que l'héritière avait déjà croisé. Une femme qu'elle n'avait pas pu oublier. Cette pouffiasse était là la nuit où la banshee avait tenté pour la toute première fois de s'emparer du livre que Crone lui réclamait. Cette salope était une putain de sorcière, une de celles qui se croient investie d'une mission divine, une de celles qui se croient meilleures que les autres parce qu'elles ont choisi la voie du bien. Bande de connasses mal baisées et frustrées. C'était donc à cause d'elle que l'urne avait été retiré du marché. Elle était venue la récupérer, très certainement pour empêcher des personnes mal intentionnées, comme Siobhan, de mettre la main dessus. L'heure de l'affrontement avait donc sonné. La dernière fois, cette pouffiasse avait pris la fuite face à la banshee, embarquant le livre avec elle. Mais cette fois-ci, Siobhan savait à qui elle avait à faire et comme elle avait deux comptes à régler avec elle désormais, elle ne la laisserait pas quitter les lieux en vie. Banco ce soir! L'urne d'Hécate, le livre de Crone et cette pouffiasse de sorcière bien aimée.

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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyMar 12 Nov - 11:47

Démasqué petite salopris très mignonne que j’ai envie de me faire. Maintenant, tu vas me révéler vite fait bien fait qui tu es, j’ai vu une réaction quand j’ai claqué des dents… Elle n’est pas si insensible qu’elle le pense, ou le fait dans ça façon d’agir. Comment je vais te faire cracher le morceau avant de simplement te crasher dessus pendent que tu serras entrain de sauté sur ma virilité hein ?


À cette idée je commence à m’exciter, je viens faire un sourire de prédateur avant de claquer des dents puis de me lécher les lèvres, j’ai qu’une envie c’est de lui sauter dessus.. Sont air d’innocente n’aide pas me calmer, la blonde bien gaulée.. Mais a la fois comment elle lâche ses phrases m’énerve, avec cet air hautin.. Toujours avec cette même innocence qui trahit des actes pas catho’ du tout.

‘’ Effectivement démasqué également, sauf que je ne l’ai jamais caché que j’avais ce parfum magique. T’es qui dans le monde magique, fait moi rire. Divertis moi.‘’


Aller, avoue le.. Crache le morceau salope où je t’étripe devant tout le monde avant de violer ton cadavre ! Excusez-moi, je me suis un peux emporter, mais c’est la réalité.. Elle me déclenche certaines choses… Excusez-moi, je me suis un peux emporter, mais c’est la réalité.. Cette excitation.. Ça me rappelle que j’ai fait avec la Norvégienne Solveig Fia Bjornstad qui s’est battu pour l’eau lourde une arme allemande en Norvège.. Ou encore quand j’ai rencontré le braqueur de banque et expert en explosif William Sidney ‘’ Billy ‘’ Bridger qui a combattu en Afrique du Nord, je pense aussi à toi malgré que tu sois oublier dans l’histoire Deme Cisse tirailleur sénégalais que ton âme sois en paix mon frère mort en 2014 pour une patrie dont tu n’avais jamais vu, et que personne n’a était reconnaissant pour ce que tu as fait. Tu mérites une statue à ton effigie mais les hommes supporte pas ce qui est basané ou trop foncé de peau, tant que je serrais vivant Deme.. J’honorait ta mémoire, j’ai gardé dans un coin de ma planque aux trésors les photos qu’on a fait, que se sois toi , Solveig ou Billy.

Je vous oublierais jamais, les gars vous me manquer vous avait était des amis proche. Mais je dois faire une dédicace à cet enculé de nazi Peter Müller qui ma capturé et torturé… Un monstre dans son tigre. Satané char de mort, je devais faire péter un grand nombre de ses chars qui faisait terreur sur les champs de bataille. (Spoiler : Le nazi est mort)


Excusez-moi, je me suis perdu dans mon récit, je devrais écrire un livre que j’appellerai carnet de guerre… Le nom est déjà pris qu’on me dit dans l’oreillette, un mec qui s’appelle Papacito l’aurait déjà pris.. Autant pour moi. M’enfin bref, ce n'est pas le moment de pensée a ça. Vraiment pas, j’ai une petite gâterie à chérir un peut…
Mais bizarrement, je sens que tous ça va partir dans une guerre de sang. On va finir part ce fritté au bout d’un moment, elle veut l’urne, je la veux aussi.. Oui. Oui, maintenant que je sais que tu es spéciale.. Je vais te faire sortir de tes gons pour révéler ta véritable puissance, donne moi ça.. Donne-moi ta puissance, montre la moi. Je veux la voir, je veux la sentir.. Je veux avoir mal.
Mes yeux s’injectent de fil de sang, mon sourire s’élargit encore et la folie prend le dessus, encore une fois. Toi ma magnifique biche.. Toi Siobhan McDougal, toi la biche noble… Je vais te baiser, d’une façon ou d’une autre. Mais je te baiserai et tu m’en redemanderas. Promesse de crevure d’Irlandais, je trouverais un moyen.. Que se sois doux ou gore, tu crieras mon nom.. Et tu m’appelleras Roi.
Et tu sais quoi… ? Je ne te violenterais même pas. Jamais je ne lèverais la main sur toi, autre que pour te mettre une fessée… Quitte a se que tu acceptes quand tu serras sur ton lit de mort, mais je trouverais un moyen de te séduire.

Tout change quand l’urne est déclarée, elle change moi aussi, je change. Je veux cette maudite urne, juste pour la faire chier encore une fois. Toujours la faire chier, cette idée, je ne bougerais pas. Mais.. Elle n’est plus les enjeux. Je ne parle pas de Siobhan, mais de l’urne. Elle EST PUTAIN DE BORDEL DE MERDE PLUS EN JEU !!!! C’est quoi ce bordel. Beaucoup râle, dont moi même et surtout la créature magique à côté de moi. Elle prend congé la connasse, mais j’en est pas fini avec elle moi… Merde.

‘’ En vous souhaitant une bonne soirée Mademoiselle Mcdougal. ‘’


À mon tour je pars dans ma dimension, changer d’affaire pour passer plus tranquillement avec ce que j’ai l’habitude de porter. Je prends une cagoule et je prends un flingue, un glock chargeur normal que je glisse dans un holster et je ré apparaît fessant le tour du manoir avant de me planquer dans un coin obscur. Je tends le bras et un type d’hibou arrive, un grand-duc. Je lui fais quelques caresses avant de lui sourire.

‘’ Va, observe la zone. ‘’

Il ne veut pas, je soupire avant de lui tendre mon pétard et lui laisser tiré deux trois taff. Saleté d’hibou magique ! Il tire deux trois taff avant de s’envoler et… S’écraser dans une branche et resté au sol complétement stone après le ko et le pétard. Enfoiré d’habitude, tu tiens mieux la weed que ça ! Je viens le rentrer dans ma dimension dans mon pieu avant de marcher en accroupis, arrivant a distance, j’ai pu entendre le début d’une conversation.



‘’ L’urne doit retourner dans ma propriété, je suis désolé du temps perdu. ‘’

‘’ Pas de problème madame. ‘’


Ok, c’est la merde, c’est la merde, je dois intervenir ou je perds mon butin. Réfléchis vite, réfléchis bien et correctement… Je me la joue braqueur sûrement. Je mets ma cagoule pour passer en mode anonyme. Comment je vais agir.. Comment je vais agir. Je me frotte la cagoule avant de prendre mon arme avant de m’approcher doucement, de plus en plus doucement pour venir les surprendre et les visé.


‘’ Pose l'urne, les mains en l’air sinon je vous fais sauter le caisson ! ‘’


L’urne est posée au sol. Je souris, je vais l’avoir, je m’approche lentement.

‘’ Reculer, et mettez vous au sol tout de suite ! En boule où vous allez finir comme des legos ! ‘’
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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptySam 16 Nov - 10:15



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"Être dupe d'un pauvre diable n'importe guère, mais être dupe d'un diable riche : Voilà ce qu'il ne faut pas. " Citation de Edmond Thiaudière dans "La décevance du vrai"

Il y a quelques mois...

Dissimulée dans l'obscurité, Siobhan observait. Elle ne bougeait pas, elle attendait le bon moment pour récupérer SON bien. Prudente et avertie, elle voulait d'abord s'assurer que tout cela n'était pas un traquenard. C'était qu'elle en avait des ennemis et elle était bien trop rusée pour se laisser avoir. Hors de question de foncer tête baissée. Elle observait donc le tableau dans son intégralité en restant à distance. Apparemment, cette garce était venue seule, elle se sentait très certainement assez puissante pour protéger l'urne sans le soutien de personne. Grave erreur. Siobhan s'impatientait un peu, elle avait déjà bien assez perdu de temps ce soir avec cette vente avortée. Si elle avait su, elle ne se serait pas donné autant de mal pour essayer d'acheter l'artefact. Comme quoi, la méthode douce n'était vraiment pas la meilleure. Elle aurait dû faire à l'ancienne, un bon carnage, du sang et des tripes partout. Hmph, ça aurait été tellement plus efficace, tellement plus rapide. Mais bon... elle avait pu se divertir un peu aux côtés de Keyvan, ça rattrapait largement la déception de la vente aux enchères râtée. D'ailleurs en parlant du loup... Siobhan n'était pas vraiment étonnée lorsqu'elle le voyait lui aussi se carabiner dans un coin. Elle était là avant lui et avait donc eu tout le loisir de le voir se faufiler dans un coin sombre comme le balourd qu'il était. Il la voulait vraiment l'urne, quel parasite celui là, il fallait toujours qu'il s'incruste dans les plans de Siobhan. Il fallait toujours qu'il convoite ce qu'elle voulait. A croire qu'il le faisait exprès et parfois, c'était vraiment le cas. Tout comme la Banshee s'amusait régulièrement à court-circuiter les plans du leprechaun. Mais là, l'urne était trop importante, elle n'avait plus envie de s'amuser. La présence du rouquin l'agaçait et rien d'autre. Elle le regardait avec colère et mépris. Elle était persuadée qu'il allait tout gâcher, comme toujours. Avec ses méthodes rustres et impulsives. Il se jetait toujours dans la gueule du loup sans réfléchir. Quel idiot... Et complètement fou pour couronner le tout. Voilà maintenant qu'il causait avec un satané hibou.

Mais très vite, l'attention de Siobhan se reportait sur la sorcière, elle ne devait pas laisser le leprechaun la distraire ou l'éloigner de son objectif. "Pas de problème madame" lui répondait le larbin lèche botte du maître de maison. Il se trompait lourdement car il y allait en avoir des problèmes. La Banshee s'apprêtait à entrer en scène, prenant alors l'apparence de son alter ego fantomatique quand Keyvan la doublait. Mais c'était pas possible! A quoi il jouait encore le rouquin? Comme l'avait prévu Siobhan, il allait tout faire foirer! Il était ridicule avec sa cagoule et son flingue de bouseux, aucune classe, aucune prestance! Il allait vraiment falloir un jour qu'elle lui apprenne les bonnes manières et l'art de faire son entrée. La sorcière lui obéissait cependant, elle posait l'urne sur le sol mais la Banshee n'était pas dupe. Cette salope avait bien plus de ressources que cela, elle allait attaquer et Siobhan décidait de la laisser faire. Après tout, elle n'était pas là pour Keyvan, et elle était encore moins là pour être sa babysitteur. Il allait se prendre une raclée le leprechaun, une bonne petite leçon qu'il n'aurait pas volé. Lorsqu'il ordonnait à la sorcière de se mettre au sol, cette dernière esquissait un sourire, Siobhan aussi. Elle devait avouer qu'elle avait hâte de voir le rouquin prendre cher. Elle était ravie d'être aux premières loges. Ni une ni deux, la magicienne envoyait une salve d'énergie sur l'irlandais qui était propulsé en arrière. Pensait-il réellement que son petit numéro du braqueur du Dimanche allait suffire? Il ne savait visiblement pas à qui il avait à faire. Trop bourré ou défoncé encore. Quel dommage, quel gâchis. Siobhan le détestait, il la répugnait mais elle devait avouer qu'il avait un potentiel monstre. Un potentiel qu'il gâchait dans la bibine et la drogue. Il pourrait être tellement plus que cela le rouquin, il pourrait être un roi. Mais il avait choisi d'être un bouffon et c'était comme ça qu'il finirait, comme un bouffon, divertissant sa reine avant que celle-ci ne se lasse et ne le jette dans la fosse aux lions. Siobhan en salivait d'avance.

Mais ce n'était ni l'endroit, ni le moment de planifier tout ça. Chaque chose en son temps. La Banshee profitait alors de cette brèche pour intervenir. La sorcière était concentrée sur Keyvan, une opportunité en or. Finalement, il n'était pas si inutile que ça le leprechaun, il faisait un bon appât. Siobhan se téléportait derrière le larbin et lui brisait la nuque en une fraction de seconde. Elle était si rapide, si agile, que la sorcière ne l'avait même pas remarqué. Mort sur le coup, le domestique s'écroulait au sol comme une loque, dans l'indifférence la plus totale. Il était mort comme il avait vécu et personne n'était là pour s'apitoyer sur son sort ou verser la moindre larme, bouh... La Banshee n'avait même pas ressenti un seul frisson. Ce cul-terreux était d'une insignifiance absolue, un insecte collé sous sa chaussure. Le tuer ne lui avait pas plus fait d'effet que d'accrocher sa veste à un porte manteau en arrivant dans une pièce. Oui voilà, c'était quelque chose de naturel, d'automatique. La suite s'annonçait beaucoup plus divertissante. En une autre fraction de secondes, Siobhan se téléportait derrière la garce, ramassait l'urne et plantait littéralement sa main dans le dos de la sorcière. Objectif, la paralyser pour l'empêcher d'utiliser ses petits tours de magie sans la tuer pour obtenir quelques informations. La Banshee brisait donc consciencieusement la colonne vertébrale de cette salope au niveau de la moelle épinière. Comment elle savait où frapper? Parce qu'elle l'avait déjà fait pas le passé, elle était donc très bien renseignée.

« Ouch... ça ça doit faire mal. »

S'amusait la Banshee avant de retirer sa main et de laisser la sorcière s'écrouler au sol. Bientôt, celle-ci baignerait dans son propre sang et la mort viendrait l'encercler de ses bras gelés. Siobhan s'en délectait d'avance. Elle lançait alors un regard à Keyvan, un regard qui voulait dire "t'es dans la cours des grands là mon vieux, va voir ailleurs si j'y suis". Puis, elle se mettait à califourchon sur la sorcière, jouant délicatement avec ses cheveux avant d'essuyer sa main ensanglantée sur son corsage d'un blanc immaculée.

« On dirait que ça ne va trop fort chérie? Tu sais, je pourrais abréger tes souffrances ou, peut être même bien te sauver. Mais d'abord... tu dois me dire où est le livre. C'est aussi simple que ça. »

Siobhan avait l'urne et la vie de la sorcière entre ses mains, il ne lui manquait donc plus que le livre et bordel de merde, elle le voulait ce livre, elle le voulait plus que tout.

« Jamais... »


Murmurait la sorcière.

« Pétasse. Je me doutais que tu répondrais ça. Tant pis. Tu vas crever ici en sachant que tu as échoué. »

Siobhan brandissait alors l'urne sous son nez, la caressant délicatement comme s'il s'agissait d'un précieux trésor. Il ne s'agissait en fait que d'un artefact dont elle avait besoin pour invoquer la déesse qui y était partiellement enfermée. Déesse qui devait lui ouvrir la voie pour la suite de son plan contre le Crone. C'était donc important mais pas indispensable. L'avoir lui évitait simplement d'avoir à se casser le cul pour en trouver une autre. Car des urnes comme celle-ci, la légende prétendait qu'il en existait d'autres disséminées à travers le monde. Celle-ci était la seule à avoir été retrouvée, en tout cas, la seule connue. Et comme le temps était compté pour Siobhan, l'obtenir ce soir n'était pas négociable. Cette prodigieuse vente aux enchères était réellement tombée à pic. Inattendue et tellement pratique. Mais ce qui était encore plus inattendu, c'était ce large sourire sur le visage de la sorcière. La Banshee fronçait les sourcils. La pétasse se mettait alors à murmurer quelques mots en latin. L'urne devenait brûlante entre les mains de Siobhan mais il en fallait plus pour qu'elle la lâche...


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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptySam 14 Déc - 13:55

Si elle avait posé l’urne, elle avait levé la main et m’avait coltiné une décharge d’énergie, j’ai volé et je m’éclate contre un mur, le torse fumant… Mais c’est que ça brûle putain de bordel de merde ! Douce, douce douleur… Ma veille amie, je me tord de douleur sur le sol mon sang coulant un peux. Ni une ni deux.. La Banshee tue les gardiens de l’urne. La pute ! Salope, connasse va au diable ! Tu va crever ! J’ai pas peur de la banshee ! Je serre le poing pendent qu’elle fait sont petit tour et qu’elle me lance des regards à mon sens suggestif.. Oh mon dieu sale pute, je vais t’apprendre a chanté correctement.

Je continue de serrer le poing, je me relever en l’observant s’amuser sur le sort de la sorcière.. Si je comprends bien, elle a un passif avec. Rien à foutre.. Elle caresse MON urne, qui devrait être dans MES bras. Sous MA possession, dans MA salle des trophées. Je vire ma cagoule avant de sourire, les yeux injecté de fil de sang.


Tout un tas de chose me passe part la tête, est-ce que je vais m’amusé a l’écorché vif ? L’enfilé sur une pique et faire une vladdy l’empaleur ? Est-ce que je la foutrais pas dans un taureau d’érin ? Pas assez sadique non… Lui retiré toute dignité, je vais lui coupé les membres les cautérisé, lui couper la langue et je vais la violer. Je pourrais voir ça détresse dans ses yeux et elle ne pourra pas crier a l’aide… Avant de lui trancher une veine pour la laisser s’écouler de son sang et lui pisser dessus avant de la regarder lentement perdre la vie… Mon oreille proche de ça bouche pour entendre ça vie l'a quitté. Oui… Après, j’irai retrouver cette belle blonde, je vais lui faire du charme et je vais me la faire dans tous les sens possible et inimaginable sous cocaïne. Après, on fondra une famille, ou on aura deux enfants Kévin et Stacy.. On aurra une grosse berline familial et on aura un labrador couleur chocolat qu’on appellera Choupi, puis au bout de 30 ans de mariage, on se trompera mutuellement parçeque notre couple va plus, mais que ça nous fait chier de payer le divorce et on claquera comme des vieux cons… Du moins, elle. Moi ? J’ai encore une longue vie devant moi, tant que les gens croient au leprechaun, je suis là.


Mon esprit avait divagué très loin, mais les mots de latin me font revenir à la réalité. Je secoue la tête, les voix dans ma tête.. Mais vous inquiété pas, c’est moi le chef, non, c’est moi ! Ta gueule, c’est moi ! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
Ta gueule 2 b ! Et trois 6 Z ferme la aussi arrête de crier bordel ! Les gars bordel, faite pas chier, j’essaye de réfléchir tranquillement.


Elle était bien mon interprétation hein ? Non… Bon aller vous faire foutre.

Je disais… Les mots de Latin, ça pue du fion.. C’est une sorcière ? Elle va invoquer un démon ? Peut-être pas ? Je ne sais pas, mais… Çà pue le cochon cramé ?! Je regarde de la fumée autour de l’urne.. La main de la banshee chauffe… Oh la petite futée, elle a bien joué son coup. Elle a jeté une malédiction sur l’urne. Ni une ni deux, je me téléporte pour être à côté des deux. Me penchant sur la sorcière. Plusieurs secondes d’agonies. Je suis tellement dans mon truc que j’osef complètement de la banshee pour le coup, je vais défaire ma ceinture et baisser ma braguette avant d’entendre un raclement de gorge de la Banshee.. Je la regarde,elle me regarde, on se regarde….. Bon, en gros faut imaginer la scène comme la série bref.. Je me remets mon pantalon, la braguette et la ceinture en place avant de prendre une voix toute timide.

‘’ Désolé.. J’me suis un peux emporter. ‘’


Je me racle la gorge à mon tour avant de la regarder et de.. Pas savoir prendre mon sérieux et de rigoler comme une hyène. Avant de poser ma main sur l’urne et serrer un peut. Ça me brûle, mais je ne dis rien, juste de la fumée s’échappant. Je la regarde encore une fois également.

‘’ Donne. Je suis sûr que tu va pas savoir l'a chouchouté comme elle se dois. ‘’


Je la tire vers moi, mais elle résiste. Donne bordel, c’est simple comme bonjour. Donne, pire qu’une chienne qui ne veut pas lâcher son os. Part contre si elle veux lécher mon os.. Je dirais rien.

‘’ Meh. ‘’

Je commence à m’impatienter. Mais genre vraiment. Je viens tendre mon autre main pour lancé une décharge d’énergie pour la faire reculer. Je prend l’urne dans mon autre main, soufflant sur celle qui brûle.

‘’ Bon sur ceux… ‘’

J’ai pas le temps de me téléporté qu’elle me la reprend des mains. Je crache au sol avant de me retrousser les manches, je suis pas content. Je fait craquer mes doigts avant de la regarder d’un air mauvais. Je sais pas ce que je vais lui faire, mais je vais le faire.

‘’ Aller.. Donne a tonton l’urne et on serra quitte. J’en est marre de te croiser à chaque fois que je fais un coup. Ta pas d’autre chat a allé fouetté ? À moins que je sois ton préféré ? Dans se cas la , on pourrait partir aux pieux. Ça serrait bien plus profitable pour nous deux, je sais pas se que t’en penses.. ‘’

Je rallume mon invincible pétard. Soufflant la fumée avec mon sourire de hyéne gravé sur mon visage, celui qui rend fou les gens. Je vois bien qu’elle veux en découdre du coup… Je suis prêt a pas la jouer façon loyale mais déloyale. Hahaha… Comme a mon habitude, ruse et coups bas. Pourquoi avoir de l’honneur ? C’est comme ça qu’on se fais tuer, dans la majorité des cas.
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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyMar 17 Déc - 17:43



Le Diable s'habille en Prada
"Être dupe d'un pauvre diable n'importe guère, mais être dupe d'un diable riche : Voilà ce qu'il ne faut pas. " Citation de Edmond Thiaudière dans "La décevance du vrai"

Il y a quelques mois...

Toujours à califourchon sur cette pétasse de sorcière... décidément c'était une de ses positions préférées à la Banshee, n'est-ce pas Constantine?... Siobhan ne s'attendait pas à voir l'autre saleté de rouquin débarquer dans le tableau. Il avait vraiment pas froid aux yeux pour oser se ramener aussi près, en mode provocation. Et en plus de ça, monsieur commençait à se désaper comme si de rien était... La Banshee l'avait foudroyé du regard avec un petit raclement de gorge pour attirer son attention. Mais il était sérieux là? Et qu'est-ce qu'il comptait faire en virant son futal? Siobhan préférait ne pas savoir en fait, il la dégoutait tellement ce bon à rien de leprechaun! Ça lui faisait clairement mal au cul de savoir qu'ils venaient tous deux de la même nation. Elle, le raffinement, la subtilité, la classe. Et lui... le bourrin alcoolo et clodo de service... feignant, lâche, débile et misogyne. Merde alors! Elle se demandait comment elle avait pu ressentir une quelconque attirance sexuelle pour lui plus tôt dans la soirée... Heureusement ça n'avait duré que quelques misérables secondes. A croire qu'il avait dû lui jeter un sort et comme elle jouait les pauvres biches effarouchées, elle s'était laissée entourloupée. Mais on ne l'y reprendrait plus. Elle, vivante, il ne la toucherait jamais. Ni de près, ni de loin. Yuck, elle en frissonnait d'effroi rien qu'à l'idée. Il s'excusait alors de s'être un peu emporté, sérieusement? Un peu?

« Il me semble oui... Tu es vraiment une honte pour notre peuple Doyle, tu le sais ça? »

Keyvan s'emparait alors de l'urne lui aussi, réveillant, en plus du profond dégout qu'elle éprouvait déjà, la colère de la Banshee. Mécréant, pourriture, moins que rien... il était vraiment un putain de parasite, un morback que Siobhan rêvait d'écraser entre ses doigts. L'héritière serrait alors l'urne de toute ses forces malgré la chaleur bouillante qui en émanait, la tirant vers elle, refusant de la céder à ce cloporte insignifiant.

« Dans tes rêves l'alcoolo... »

Soufflait Siobhan. Keyvan lui lançait alors une de ses putains de boules d'énergie dans la gueule et la Banshee était projetée en arrière. L'enfoiré de lâche! Même pas capable de se battre comme un homme! Une honte jusqu'au bout le leprechaun. Siobhan se ruait alors sur lui avant qu'il ne se téléporte, elle le connaissait bien le bougre. Elle lui flanquait une belle droite en plein dans le pif avant de reprendre SON urne! Il avait pas osé croire qu'elle allait se laissé faire en douceur sans répliquer quand même? Le rouquin crachait alors au sol avant de lancer son regard le plus noir à la Banshee. Oh oui... ça, ça excitait Siobhan... Elle devait bien l'avouer, il était diaboliquement sexy quand il était en rogne. L'héritière esquissait un sourire. Elle avait vraiment un soucis avec les hommes violents... Dans sa tête raisonnait alors une chanson qu'elle aimait tout particulièrement... I Walk on Guilded Splinters de Dr. John. Elle aurait alors très bien pu se téléporter elle aussi. Elle avait son urne, elle avait buté cette sorcière mais... ça la titillait trop de faire payer ce putain de leprechaun. Surtout avec ce qu'il lui sortait après. Il voulait être quitte avec elle mais il oubliait que la Banshee ne devait rien à personne et surtout pas à lui. Et en plus il insinuait qu'il pouvait prétendre à se glisser entre ses cuisses. Outrage ultime que Siobhan ne pouvait laisser passer. La Banshee s'avançait alors telle une panthère vers Keyvan, le dévisageant de la tête aux pieds, feignant un désir ardent qu'elle ne pouvait plus contrôler. Monsieur était guidé par autre chose que son cerveau, alors elle allait en jouer.

« Voilà enfin une parole censée, tu aurais dû commencer par là Leprechaun. »

Disait-elle avant de se glisser jusqu'à lui. Elle l'attrapait alors par la ceinture de son pantalon et se téléportait, avec lui, dans la chambre de son manoir. Pourquoi prendre un tel risque de griller sa couverture? Parce qu'elle savait qu'il n'en ressortirait jamais vivant. Elle avait été trop tolérante et clémente avec lui jusque là. Il en était devenu trop confiant, trop insolent. Il était temps pour le leprechaun de tirer sa révérence et qui mieux que Siobhan pouvait l'y aider? Une fois dans la chambre, elle lâchait la ceinture de Keyvan pour, d'un coup de main, allumer le feu dans la cheminée et laissait alors apparaitre son immense lit nappé de véritable soie.

« Faisons cela Keyvan, laissons nos corps parler avant de s'entretuer, une toute dernière fois. »

Puis, elle posait délicatement l'urne sur son guéridon avant de revenir lentement vers Keyvan. Elle reprenait alors sa véritable apparence, laissant le rouquin découvrir qu'elle était Siobhan McDougal, sa délicieuse rencontre en salle d'enchères. Elle se tournait ensuite dos à lui, lui laissant tout le loisir de faire glisser la fermeture de sa robe jusqu'aux creux de ses reins. Le tissu glissait alors le long de sa peau avant de tomber au sol. En sous-vêtements, elle venait se coller à Keyvan, telle une vipère qui s'enroulait sournoisement autour de sa proie. Elle était alors partagée entre son véritable désir pour lui et son aversion profonde pour tout ce qu'il représentait. Posant ses mains sur le torse du leprechaun, elle s'appuyait sur lui pour amener sa bouche à la sienne et l'embrasser passionnément. Elle devait admettre qu'il embrassait divinement bien le bougre. Un délice. Keyvan la soulevait alors du sol pour la plaquer sur son lit, le piège avait marché, il était entièrement à sa merci. Siobhan le retournait alors pour se retrouver à califourchon sur lui, plaquant les mains de Keyvan au dessus de sa tête. Elle voulait le soumettre à sa volonté. Elle approchait alors ses lèvres de son oreille.

« Tu as vraiment cru que tu pourrais me posséder misérable insecte? »

Murmurait-elle. Et lorsqu'elle se redressait sur Keyvan, ils n'étaient plus dans la chambre de Siobhan mais dans un endroit sombre à l'ambiance bleutée et froide. Pourtant, le corps de Siobhan était chaud, elle était chez elle, dans SA dimension infernale et elle venait d'y piéger le leprechaun. Plaqué contre le mur, il était désormais debout, enchainé par ses deux poignets au dessus de sa tête. Des chaines scellées par un sort extrêmement puissant et indestructible bien évidemment. Siobhan reculait et faisait apparaitre une nouvelle robe sur sa peau. Bienvenue dans le royaume caché de la Banshee Keyvan! Ton tombeau.

« Échec et mat... Même si tu n'es pas assez malin pour comprendre la subtilité d'un tel jeu, je suis sûre que tu as saisi l'allusion. Amuse toi bien avec ça, connard. »

Siobhan disparaissait alors dans une sorte de portail, laissant Keyvan seul, complètement seul. Sans boisson, ni lumière, ni pétard, ni sex, ni nourriture, littéralement la queue entre les jambes...

Plusieurs semaines plus tard...

Un hurlement terrible faisait vibrer les murs du manoir tandis que l'urne d'Hécate venait s'exploser contre un mur. Cette dernière était bien évidemment vide, la Banshee ayant déjà récupéré les précieuses cendres qui s'y trouvaient pour son sortilège.

« Putain de salope de merde!!!! »

Hurlait Siobhan, folle de rage. Son teint était blafard et elle s'écroulait au sol, foutrement affaiblie. Jill accourait vers elle pour la relever.

« Vous êtes trop faible madame, calmez vous. »

Jill était terriblement inquiète pour sa maitresse. Depuis plusieurs semaines, elle n'avait de cesse de décrépir, de s'affaiblir et ce sans aucune raison apparente. Pour la première fois, la servante craignait pour la vie de celle qu'elle aimait plus que tout.

« Tu ne comprends rien Jill? Cette salope de sorcière nous a jeté un putain de sort cette nuit là, elle a lié nos vies! »

Siobhan montrait alors à Jill ses poignets, des hématomes en forme de chaines s'y dessinaient. Les mêmes chaines qui trônaient autour des poignets de Keyvan depuis des semaines. L'héritière était déshydratée et affamée alors qu'elle ne manquait de rien. Elle se sentait faible et mourante alors qu'elle ne souffrait de rien. Elle avait mis du temps à comprendre jusqu'à ce qu'elle voit ces putains de marques. Les mots que cette salope avait murmuré en latin, ce sort qu'elle avait lancé à l'urne... Ce n'était pas pour empêcher Siobhan de s'en servir, mais bel et bien pour la punir en reliant sa vie à ce crétin de leprechaun. Elle ne pouvait donc pas le tuer, elle ne pouvait pas le garder en léthargie pour l'éternité et elle devait même le protéger de toutes les menaces qui s'approcheraient de près ou de loin de lui si elle ne voulait pas mourir à cause de sa crétinerie. Bien joué la sorcière! Bien joué... Siobhan débarquait alors en trombe dans le tombeau du leprechaun. Ça puait la mort et il était vraiment, mais vraiment, dans un piteux état. La Banshee en avait eu la nausée mais elle n'avait pas d'autre choix, elle devait le libérer. D'un geste de la main, elle faisait disparaitre ses chaines et avec l'aide de Jill, elle le ramenait dans le manoir. Elles le déshabillaient entièrement et lui faisaient prendre un bon bain chaud, histoire de le réveiller et de lui redonner un peu de force. Immédiatement, Siobhan ressentit une légère amélioration de son état. Elles étaient sur la bonne voie. Keyvan, lui, était complètement sonné, abattu comme un vieux débris en maison de retraite blindé de médocs à longueur de journée. Une fois sec, Jill et Siobhan l'installaient dans le lit de la chambre d'amis avant de faire monter plusieurs plateaux des cuisines. Il devait absolument boire et se nourrir, la vie de Siobhan en dépendait désormais.

« Il faut que tu manges abruti. Il faut que tu reprennes des forces parce qu'on a un putain de merdier à réparer. Cette conasse de sorcière a lié nos âmes, t'entends? Si l'un d'entre nous meurt, l'autre mourra avec. Et je sais pas toi mais moi ça me fait drôlement chier. Alors fini de rigoler, t'as bien morflé et moi avec. Et bordel, ça c'était pas prévu. Il faut qu'on trouve une solution au plus vite alors tu vas te manier de te remettre sur pieds et te bouger le cul ok?! C'est pu le moment de jouer les larves! »

Siobhan était debout devant la fenêtre de la chambre. Elle regardait la tempête qui se déchainait à l'extérieur. Elle ne regardait même pas Keyvan...

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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyLun 30 Déc - 11:26

Elle était sadique à souhait… Elle aurait pu faire une bonne reine. Une Reine Banshee, depuis le temps qu’on se tirait dans les pattes, on aurait pu trouver un terrain d’entente, j’en suis sûr. Mais le destin est le destin. Je regarde la Banshee toujours sur la sorcière, qui avais quitté la vie depuis longtemps maintenant, effectivement, je me suis emporté. C’est parçequ’elle est la, sinon j’lui aurai pisser dessus… Bon, maintenant, je m’arrête de penser.. Mais non. Mes pensées sont tourné vers la p’tite brune de toute a l’heure, je me demande ou elle a bien pu passer… J’aurais bien deux trois choses à lui dire. Mon regard de dé-xacé du système croise celui de la Banshee, et la seule chose que je fais, c’est de sourire. Pas un sourire sadique ou autre… Un sourire d’amusement, je m’amuse. Je ne peux pas le nié, elle me fait bien rigoler. J’ai commencé même à apprécier nos jeux de tirage de patte, je crois que c’est bien la seule qui sais me faire rigoler comme jamais et qu’elle comble se manque que j’ai dans le cœur, parçeque je ne m’amuse pas.. Je pourrais faire chier Batman, Lex Luthor ou bien le Général Zodd.. Mais ils n’arrivent pas à la cheville de la Banshee, et pour ça.. J’ai un grand respect pour elle, malgré nos nombreuses altercations.. Je crois bien que c’est la seule qui me convient sur le terme de folie.. Quoi, je répète la même chose ?

Oh..Ha..Ha...AHHAHAHAHAHAHAHAHAH ! Une honte pour le peuple irlandais.. Pas de ma faute si les premières personnes qui ont cru en l’existence des Leprechauns était des alcoolo malhonnête, ils ont façonné une partie de ma psyché.. Et je peux dire que je l’aime bien cette partie de Psyché, ça fait ce que je suis maintenant ou ça a fait ce que j’ai toujours étais : un sale gosse.


‘’ Hééhhhé…. Dans toutes les histoires, il faut une belle et un clodo ma Chère. J’suis pas né avec une cuillère d’argent dans la bouche. Si tu avais une maison quand t’étais gamine, si tu l'étais, moi j’dormais contre mes 8 cousins et cousines parçequ’on avait pas assez place dans la caravane ! Haaa….AHAHAHAH ! ‘’

Je tenais fermement l’urne, mais ça brûle. Sa pue le cochon griller, je commence à un peut saigner de la main, mais je me prends une belle droite dans la gueule et je vole un bon coup avant de rattérire a terre avant de cracher un peut de sang et je lance mon plus beau regard noir a la Banshee, je vais te tuer maintenant. Je me relève avant de m’approcher d’elle les poings serrés,mais elle s’approche. Se collant contre moi et m’attrappant la ceinture. Mon regard noir, ce ré-adoucis, passant mes bras autour d’elle, mais pas de façon pervers. À des endroits normaux.

‘’ Tu sais.. Banshee. J’aurais étais heureux de servir une messagère de l’autre monde. ‘’

Et ni une ni deux, je me retrouve avec elle dans un endroit chaud. Un joli lit, un feu de cheminer… Ça me fais bizzare, ça fait combien de temps que je ne suis pas entré dans une maison ? Je ne sais plus, le temps passe trop vite a mes yeux, ou est-ce moi qui est trop vieux pour ne plus faire attention au temps qui s’écoule ? Je reste fixé sur la cheminée un instant, avant de ressentir la chaleur dévorante de la Banshee. Ma tête se tourne vers elle, j’appréçie son corps.. Siobhan Mcdougal… Elles ne sont qu’une. La petite futée, je vais pouvoir me la faire ce soir… Du moins. Est-ce que c’est raisonnable maintenant ? Est-ce que la raison a toujours était mon point fort ?

Mes yeux avides de luxure parcourent les formes, la soie glissant lentement sur cette peau légèrement bronzé, j’ouvre plusieurs des boutons de ma chemise. La chaleur me gagne, une goutte de sueur perle le long de mon torse. On se colle, mes mains se baladent lentement sur son corps. Une douceur… On dirait de la soie, une soie que j’ai la chance de toucher. Mes mains venant ce posé sur les hanches de la Brune, mes yeux verts se mêlent au siens. Ces lèvres charnues, contre les miennes qui ont vécu. Je lui offre un bon baisé, a la fois tendre et langoureux. Je l’attire contre moi, basculant en arrière dans le lit. Deux douceurs pour le prix d’une… Je peux dire que je suis chanceux ce soir.  

Je lui montre mes talents d’embrasseur, et je sens qu’elle est un minimum réceptive. Couplé à mes caresses lascives, je la fais fondre. Moi-même, je ne reste pas de marbre, ses mains sont chaude. Une chaleur appréciable, même si elles veulent me tuer. Autant profité du moment présent… J’ai la chance de mon côté, que peux t’il m’arriver de pire ? Dans le pire des cas, si je meurs en fessant une dernière fois l’amour.. J’ai tous gagner, la folie se stoppera enfin.

En attendant, je décide de prendre un peu le dessus.. J’ai envie de m’amuser. Je nous fais rouler, pour qu’elle se retrouve en dessous de moi. Je coupe le baiser un instant, mon sourire s’illuminant un peut. Je m’approche de son oreille, la léché, mordillant un peut… Faire monter la pression. Ma main vient entrecroiser nos doigts ensemble, pendent que mes baisers descendre au niveau de la jugulaire, je m’arrête encore une fois. M’amusant à la mordillé plus au moins fort.. J’adore mordre. Je descends un peux plus au niveau du cou, de nouveau.. Mes dents ne sont pas innocentes, je laisse quelques traces de dents, très légère. Mes dents ne sont pas innocentes, je laisse quelques traces de dents, très légère.

Mais la coquine décide de prendre le dessus sur moi, je me laisse faire. Je me retrouve ça main me bloquant, mais très vite les mots me font reprendre raison, je me suis fait avoir. J’ai encore pensé avec ma bite putain de merde ! Connasse, j’vais te faire la peau. Je secoue mes poignets, mon sourire restant aussi glacial que celui du Joker.

‘’ Oh que si j’comprends… T’inquiètes pas, je suis un dur à tuer. Tu verras..HAHAHAHAHAHHA ! ‘’


J’avais littéralement la bosse au pantalon… Ça va être long.



Plusieurs semaines après.


Je crève la dalle, j’ai soif.. Le manque d’alcool et de drogue me rend fou. Et je ne parle pas du manque de sexe.. J’suis resté sur la béquille. Je sais pas combien de temps ça fait que je suis piégé dans la noire… Bordel de merde. Je me vengerais. Je me vengerais… Je réfléchis déjà depuis que je suis enfermé la dedans.. Mais bizarrement. Mes pensé sont dirigées vers d’autres personnes….


Solveig Fia Bornjstad… Norvège dans le froid. On avancée grâce a des skis.. Pourquoi je me suis retrouvé là-bas ? Je ne sais pas, l’appelle de la bouffe sûrement. Elle y croit.. Au Leprechaun, il lui fallait ça pour supporter l’horreur de la guerre. Je l’ai protégé, je l’ai aidé a libéré sa mère qui était une ingénieur et une chimiste… Elle était forcé de crée une arme qui appelait ça.. L’eau Lourde. Un poison…

En pleine nuit et en pleine tempête, on a commencé à lutter dans le climat. Tuant chaque Nazi qu’on trouvé, on a pris des avants-poste avant d’aller dans l’usine pour tous faire sauté. Et on a tous fait sauté grâce à la centrale électrique. Ça mère fut emmené.. On les a suivis dans le village d’à côté avant de faire péter le convoi.

Les dernières images que j’ai d’elle.. C’est ça mère qui se fait exploser pour nous sauvés. Et la dernière image que j’ai de Solveig, qui prend ses grenades et qui cours pour faire sauter le dernier convois allemand.

C’était une bonne gamine, elle ne méritée pas se sort là.. Elle m'a dit : Merci Leprechaun, tu m'as réchauffé le cœur un peux.

Billy Bridger.. Un braqueur de banque qui ses faits enrôlé de force part une escouade suicide. Ils sont allés en Afrique si je me souviens bien a.. À 800 km des lignes ennemies. Vu que j’étais un fou furieux, je me suis fait recruter on m’envoyer à la mort. On a fait pété les bases aérienne de la Luftwaffe.

Le probléme, c’est qu’on ses fait griller et avec l’vieux Masons, un vétéran.. On a dû tenir une place-forte. Arme à gogo et mortier, canon de campagne.. On a tué a peux prêt 120 hommes, 12 tanks, et plusieurs véhicules des Schleue, trois heures de combat.. On avait envoyer un message a l’aide. On pensait mourir là, la dernière ligne ennemie…Les secours sont arrivé part coup de bombardement, on ses fait extraire de justesse ce jour là.


Le dernier, mais qui n’est pas des moindres.. Deme Cisse, un Sénégalais.. Un tirailleur, considéré comme du bétail ce jour la, je me suis fait engueuler parçeque je l'ai aidé a creusé des tranchées et je me suis porté volontaire quand ils les ont envoyé dans la mort. On a combattu dans les forêts, on a vu nos amis mourir.. On avait la rage contre les Nazi. Nous avons mené des batailles, détruit des tanks et autres matériel avec notre corps. Avec ce qu’on trouvé à terre.

Nous avons capturé un château, c’est à ce moment là qu’ils ont étaient considéré comme des hommes et non des esclaves. Mais le destin en a décidé autrement… Les Français, en bon raciste qu’ils sont, ont modifié et effacé certaines archives pour leur faire gagner tout le mérite.

En 2014, il a tenu une conférence qui fut mondiale. Ou il a expliqué le rôle des Tirailleurs, ils ont eux leurs honneurs, pour beaucoup après leur mort. Ce fut des frères du début à la fin pour moi.. Quand il est mort, j’en ai eux gros sur la patate comme on dit. Reposes en paix, Frère qui sait battu pour une terre qu’il n’avait jamais vu et qui n’était pas la sienne..


Tous ça ma remplis d’une tristesse infinie, je ne savais pas que la Banshee pouvait ressentir ce que je peux ressentir.. Mais quelque chose ma fait souffrir pendent mon emprisonnement.. Je sentais la vie de Siobhan se détériorer en même temps que la mienne…. La pute de sorcière. Si elle ne comprends pas que nous sommes liée, on va claquer comme des cons. Je vais devoir attendre d’être très maigre pour pouvoir m’échapper d’ici je maintiens la magie pour éviter de mourir, c’est déjà bien non ? Merci douce chance. Je ferme les yeux un instant, la folie.. Les voix dans ma tête, je me mets à rigoler comme un fou. Ce châtiment n’est pas assez sadique pour moi, moi le masochiste… Cette douleur est mienne… Et j’adore la douleur ! Donne-m'en plus Siobhan Mcdougal ! Fait moi mal, que je m’excite encore et encore ! HAHAHAHAAH !


Je sens leurs présences… Elle a compris. Je sais pas ses qui la deuxième nana, mais elle va dérouillier aussi. Bande de putes… On ne roule pas le Leprechaun, c’est le Leprechaun qui vous roule.Elles me lave, je me sens déjà un peux mieux.. Je suis a poile dans le lit, je suis complètement stone, j’ai pratiquement que la peau sur les os.. Le problème de mon espèce, c’est qu’on fond très vite quand on bouffe pas.

Je sens quel que chose… Snif.. Snif.. SNIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIF, BORDEL.DE.MERDE. DE.LA.PUTAIN.DE.BOUFFE. Il m’aura pas fallut longtemps avant de me lever difficilement et de dévorer en trente secondes chronos tous les succulent mets sur les tables…. Y’a encore une table….

‘’ Y’EN A ENCOOOOOOOOOOOOOOORE !! ‘’

Je déglingue les cruchons de flotte et de vin, j’avale a peux prêt tout ce qui se trouve. Si je pouvais avaler les plateaux, je l’aurais fait putain.. Mais la voix de Siobhan me fait revenir à la réalité. Je sens qu’elle est très agacé et qu’elle a la haine… Je rigole a se quel dis. Je me fais arriver un pétard déjà allumer part ma magie avant de soupiré un peux de fumé, me frottant la barbe.

‘’ Ouais, j’ai remarqué sans après je ne sais pas combien de temps enfermé. Elle nous a bien baisé la gueule s’te pute… Je suis déjà sur patte. Je te l’avais dit que je suis un dur à cuire. ‘’


Je sors des draps de soies, nue. Je croise le regard de la servante qui louche sur mon engin. Je soupire de la fumée, elle se met à rougir. Je mets mon boxer puis mon pantalon avant de mettre mes chaussures. Les nouant laisser le silences s’installer. Je ferme un peu les yeux, la weed me faisant du bien.

‘’ Elle a parlé du latin.. Faudrait cette tournée vers Rome. Sa m’étonnerait pas qu’il y est de quoi nous aidé. Faut qu’on trouve le moyen de se séparer sinon… On va mourir dans les deux sens du terme. Je te préviens, je baise,j’utilise des drogues et j’picolle. Attend toi a souvent plané. ‘’

Je mets ma chemise, la laissant ouvert sur mon torse. Je la regarde, surtout sont fessier avant de faire un sourire de coin.

‘’ En tous cas.. Ton corps et surtout ta bouche avait bon goût. ‘’


De nouveau… Un rire, encore un rire. Je ne sais faire que rire au bout du compte. Mais la folie se calme un peu, le sujet n’est pas forcement à la rigolade. Trouver un moyen… Je met mes mains dans mes poches. Observant le cadre dans le quel je suis. Sifflotant, elle est pétée de thune la demoiselle, si je peux me marier avec… J’ai gagné l’gros lot, j’aurai pu besoin de crécher dans la rue a longueur de temps.

‘’ M’enfin bref… Il doit bien y avoir une contre-phrase ou un rituel pour annuler les effets du sort, ou dans le pire des cas faut bidouiller nos âmes pour casser le sort a la racine même. Et le sort dois être fait pour être lancé après la mort de l’invocateur… Ou… ‘’


J’ai des sueurs froides d’un coup. Et si elle était vivante… Elle aurait juste trompé la mort. Et dans ce cas la, pour la trouver… Oh mon dieu que ça va être un long et chiant bordel. Je penche quand même pour le fait qu’elle est encore vivante, j’ai mon instinct qui me dis quelque chose de positif a se sujet là..

Je viens faire un test, plier ma magie de la chance pour casser le lien magique. Ça devrait marcher normalement. Mais, la je flippe. Non , non et encore non !

‘’ Elle doit être vivante, et ma magie de la chance ne peux pas casser le lien bordel de merde ! ‘’

Je suis pas content du tout, je vais la torturer cette pute. Aprés, je m’occuperais du petit fion de la banshee, je prendrait même ça servante avec. Plan a trois entre des bouteilles de vin de luxe, de la soies… Oh mon dieu, ça c’est l’genre de journée que je veux passer jusqu’à la fin de la ma vie.
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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyLun 30 Déc - 23:05

Le Diable s'habille en PradaTandis qu'elle posait son regard sur les arbres déchainés par la tempête, Siobhan ressentait une émotion qu'elle n'avait pas ressenti depuis des années... Ou du moins une émotion qu'elle avait décidé d'ignorer et de faire taire. Elle ressentait une profonde tristesse sans comprendre pourquoi. Rien ne l'affectait à cet instant précis pour qu'elle soit envahi par la mélancolie ou le chagrin. Au contraire, elle était plutôt envahie par la rage et la colère. Elle avait envie de tout briser, de tout massacrer sur son passage. Elle ne s'était pas sentie aussi impuissante et soumise depuis de très nombreuses années et elle détestait ça, encore plus que le rouquin. Une seule explication s'imposait alors, elle n'en voyait pas d'autre. Mais non... pas lui. Le Leprechaun était incapable de ressentir quoi que ce soit non? Pourtant, il n'y avait vraiment aucune autre explication. Non seulement ils étaient liés physiquement, mais ils semblaient aussi l'être psychiquement. Le cauchemar, pensait-elle. Elle se retournait alors vers Keyvan, elle commençait à se dire que cet homme recelait encore bien des mystères. Des mystères qu'elle crevait littéralement d'envie de percer. C'était assez rare pour être souligné. Peu d'hommes étaient capable de se vanter d'un tel exploit, celui de susciter l’intérêt de la Banshee. Keyvan n'était peut être finalement pas l'ivrogne stupide et bourrin qu'elle avait toujours pensé. Certes il avait tout de même ça dans ses gênes, même un aveugle l'aurait remarqué, mais il n'était visiblement pas que ça. Et c'était cet autre Keyvan que Siobhan mourrait d'envie de voir, d'explorer et même de chevaucher.

Mais lorsqu'elle se retournait, elle revoyait le même sempiternel idiot. Drogué, alcoolisé, rustre, aucun savoir vivre, aucune finesse... Ce Keyvan là... Elle sentait qu'il avait du potentiel mais il était encore trop brut et elle avait juste envie de lui en retourner une pour lui remettre les idées en place et lui apprendre à se comporter comme un être humain. Oh oui à cet instant précis elle avait envie de lui en retourner une magistrale pour faire cesser son rire absolument détestable et agaçant. Et puis, cette espèce de brute sauvage s'était levé du lit, dévoilant une nudité absolument parfaite... Merde alors, il était bâti comme un putain d'Apollon! Des muscles saillants et aguicheurs, une carrure divine et un attribut royale gargantuesque. Keyvan Doyle était beaucoup de choses mais celle-là, Siobhan McDougal ne l'avait pas vu venir et elle venait d'être prise à son propre jeu. Telle une louve attirée par le mâle alpha de la meute, elle venait d'entrer en chasse. Jill avait également profité de la vue mais pas pour les mêmes raisons que sa maîtresse. En effet, la servante n'aimait pas les hommes et ce n'était pas la même aversion que celle de Siobhan. Là où la Banshee n'aimait pas les hommes pour leur domination et leur mépris envers les femmes, Jill ne les aimait pas tout court. Attirée par les femmes, elle n'avait d'yeux que pour Siobhan dont elle était tombée amoureuse dès la première seconde où elle avait posé son regard sur elle. Jill observait Keyvan non pas pour se rincer l'oeil mais par pure jalousie car elle savait très bien qu'il était bâti pour Siobhan. Il était exactement le genre d'hommes que l'héritière aimait mettre dans son lit et entre ses cuisses. Jill était profondément jalouse, pire encore lorsqu'elle avait vu dans le regard de sa maitresse la petite étincelle.

L'échine de la Banshee était parcourue de frissons, ses sens s'affolaient et le désir montait d'un cran. Elle ne contrôlait plus rien à vrai dire. Elle se demandait alors si ce n'était pas l'effet qu'ils se désirent mutuellement qui augmentait justement leur désir réciproque. Car ils partageaient désormais les mêmes émotions. Colère, tristesse, souffrances, plaisir, désir... Et ce désir, oh ce désir, il la dévorait de l'intérieur. Il montait crescendo comme un orgasme, elle le voulait maintenant, tout de suite. Et quand Siobhan voulait quelque chose... Vous la connaissez maintenant non? Bien sûr, elle n'avait jamais forcé un homme à quoi que ce soit et elle ne le ferait jamais, mais elle savait que ce bougre de Leprechaun en avait tout autant, voir plus, envie qu'elle et rien que cela, rien que cela l'excitait d'avantage. Ça et surtout le fait qu'ils se détestaient viscéralement. Elle voulait sa tête sur une pique et nul doute que lui aussi partagé ce doux rêve. Et il n'y avait rien de plus excitant aux yeux de Siobhan que la frontière entre la haine et le désir, la souffrance et le plaisir. Keyvan avait repris des forces, elle aussi, et le lien qui les unissait n'en était que plus fort, d'où cette instabilité et cette perte de maitrise démesurés. Deux esprits, deux âmes liées soudainement l'une à l'autre... il y avait de quoi perdre le contrôle non? Et puis devant ce corps d'Apollon, Siobhan n'avait tout simplement pas envie de lutter, elle avait envie de s'abandonner, de reprendre les choses là où ils les avaient abandonné quelques semaines plus tôt. Elle repensait alors aux baisers de Keyvan, à ses caresses, à ses morsures... elle était prête à défaillir. La frustration était trop forte. Siobhan n'écoutait alors plus que d'une oreille, le temps n'était plus à la conversation... Elle ne voulait plus parler, plus écouter, elle voulait seulement agir et réagir.

« Laisse nous. »

Ordonnait-elle alors à Jill tandis que son regard avide de plaisir ne quitter plus Keyvan. La servante s'exécutait immédiatement, le cœur serré. Elle quittait la pièce laissant la Banshee et le Leprechaun... seuls...

« Tu rêves si tu crois une seule seconde que je vais te laisser vagabonder librement comme l'imbécile que tu es alors que ma vie est littéralement entre tes mains Leprechaun. »

Elle se rapprochait alors lentement du rouquin.

« Jusqu'à ce que l'on trouve une solution, je veux que tu me colles comme mon ombre. Je veux savoir exactement où tu es, avec qui tu es, ce que tu fais et ce à chaque instant. Et tu peux me croire, si tu oses faire une seule chose, une seule, qui me déplaise et qui impacte sur moi, je te le ferai payer, quitte à en souffrir d'avantage. »

Siobhan savait que Keyvan aimait la souffrance, à un degrés encore bien supérieur à elle. Elle en jouait... Elle voulait le pousser lui aussi à perdre le contrôle, à s'abandonner à ses désirs les plus primitifs. Car elle savait très bien qu'il voudrait forcément se venger de leur dernière étreinte avortée. C'était comme ça entre eux, œil pour œil, dent pour dent. Et elle n'avait pas du tout envie qu'il se venge maintenant. Alors elle allait tout faire pour que le désir et l'excitation atteignent leur paroxysme, au point qu'il ne puisse même plus lutter contre.

« Mais tu aimes ça non? Souffrir... Mais jusqu'à quel point? »

Déployant ses griffes de Banshee, tout en gardant son apparence humaine, Siobhan lacérait d'un coup vif le torse de Keyvan. La parade nuptiale était lancée, les premières gouttes de sang étaient versées. Les deux forces de la nature qu'ils étaient commencaient alors à s'affronter. Les coups pleuvaient et tous étaient permis. Mais très vite Siobhan voulait changer de décor, elle ne voulait pas esquinter  son manoir et surtout, elle ne voulait pas museler la bête. Ils avaient besoin d'espace pour exprimer leurs talents et laisser danser leurs corps au rythme de leur fureur et de leur désir. Elle fonçait alors sur Keyvan pour le plaquer au sol et se téléportait à l'instant T pour atterrir au sommet des falaises de Moher. La tempête faisait toujours rage, il tombait des trombes de pluie, et le sang ruisselait désormais sur leurs peaux, ils étaient trempés jusqu'aux os. Et pourtant, la chaleur était omniprésente et le combat reprenait de plus belle. Ils prenaient chacun leur tour l'ascendant, imposant leur domination avant de le perdre l'instant suivant. Ils se valaient l'un l'autre, des égaux, des alphas. Le fait que Keyvan résiste, qu'il se montre de taille à l'affronter, ne faisait qu'amplifier la convoitise de Siobhan. Alors quand le Leprechaun reprenait pour une énième fois le dessus sur elle en la maintenant fermement au sol, elle enroulait ses cuisses autour de sa taille et enfonçait ses ongles dans son dos.

« Je veux te sentir en moi Leprechaun... »

Murmurait-elle à son oreille avant de lui flanquer une gifle magistrale, fendant la joue de Keyvan sous l'impacte.

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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyMar 14 Jan - 1:28

Bloqué, j’ai horreur d’être bloqué. Je déteste ça, surtout avec elle qui veux ma peau.. Ça me laisse du répit au moins. On est lié, est.. Si un souffre l’autre souffre également. Un jeu mortel, excitant et passionnant… J’ai envie de la faire souffrir, de prendre mon pied à ressentir ce que je sens tous les jours, mais… Au vu de lien qui nous a, était imposé… Tous semblent, comme amplifier. Mais a ce moment-là.. Cet instant présent, j’ai fini de réfléchir. J’ai senti mon cœur se serrer de tristesses, j’ai mal.. À cet endroit. Je viens poser ma main sur mon cœur. Je serre les dents, satané lien. Je sue légèrement, je suis triste. Et ce n'est pas ma propre tristesse.. C’est celle de la Banshee. Mais ça colère. Elle est bien mienne, je ressens.. On n'est pas dans la merde, j’ai arrêté de sourire. Les prochains mois vont être difficiles, je dois trouver un moyen de briser ce lien sinon je vais commencer à dépérir ! D’être lié a quelqu’un, quelle idée elle a bien jouer sont coup cette sorcière de mort.


Quelque chose me frappe, mentalement. Je me concentre un peux plus, pour pouvoir lire la psyché de la Banshee, je pense que ça va fonctionner. Effectivement, le lien est tellement fort qu’en se concentrant, on peut déchiffrer des informations caché profondément… Héhéhé. Elle me déteste, elle me haie même. Mais dans le fond, je l’aime bien. Elle sait me distraire, même si j’ai failli y passer pendent plusieurs semaines… Ça reste compliquer avec ce putain de lien, je vais le supporter longtemps. Je ressens tous se qu’elle sens ! Vous n'imaginez pas !

Je dois rester une crevure, je ne dois pas me laisser baiser part la sorcière qui parle le latin. C’est un coup monté, c’est sûr ! Elle cherche à nous marabouter le cerveau ! C’est un piège, c’est sûr. Je m’énerve un peu, je ne dois pas me prendre au jeu. J’ai jamais étais un good guy , je dois rester le bad guy. Mais.. C’est dur. P’être, en face de moi… J’ai trouvé quelqu’un d’aussi fou que moi… D’un coup mon cœur se pince, hurgh ! Sa fais mal bordel ! J’réservé ça a Layla bordel de fion ! Je secoue la tête. De nouveau, je vois le regard de Siobhan, elle.. Elle regarde ce qui semble être.. Si je me concentre assez, je peux sûrement… Hm. Oui, y a quelque chose qui se passe. Elle se rince pas l’œil, je comprends, mais passons. Je tire une nouvelle latte sur mon pétard pour anesthésier, mais je sens qu’elle va me faire la peau vu qu’on est relié… Bordel ! Elle n'est pas prête.


Mais la, ce n'est pas mon cœur qui se serre. C’est une chaleur dévorante qui me prend, elle, c’était retourné, sont regard en disant long. Les mains qu’elle considérée sale l’auraient excité… Mon sourire s’élargit encore une fois. Un peux de sueur perle sur mon front. Elle est bien formée, ça, je le reconnais.. Un visage angélique cachant une beauté démoniaque, deux arguments-là où il faut.. Et je ne vous parle pas de l’arrière-train qui suis. Ce qu’on appelle une femme fatal, froide mais parfaite. Celle qui fait chavirer le cœur des plus faible, et ce soir.. Mon cœur est faible, ou est-ce ma raison qui merde ?


J’ai le malheur de la regarder dans les yeux, si elle trahit quelque chose.. Moi c’est un immeuble qui prend feu. Un feu de désir, la louve. Elle en fait une belle de louve, je ne vais pas l’amocher.. Je vais lui réduire le fion en choux fleur et lui faire crier mon prénom en thaïlandais !…

…..
….

Désolé, j’ai craqué. Je me suis un peux emporter, je dois rester concentré. Mes émotions, mes ressenties se décuplent, je sens ça colère, sa tristesse, sont dégoût mais aussi sont excitation. Je ressens tous. Et la, sont excitation la trahis.. Je la sens, et ce qui me sert d’attribut masculin en prend un sacré coup dans ça gueule. Je sue un peux plus, mon corps se mettant a la place du sien. Je me frotte le visage, mes pupilles commencent à ce dilaté. Je commence à me mordre la lèvre, mon regard virant un peux plus vers le prédateur sexuel, je dois lutter un minimum… Grrrrrr…. Non. J’ai envie d’elle, je veux son orgasme. Je l’aurai, elle criera mon nom. Je me le jure, comme toute celle qui sont passer dans le même pieu que moi. Qu’elle sois en tête-à-tête ou cinq, elle l’aura, elle criera. Je regarde la servante, un sourire aux lèvres.

‘’ Reste pas la, ça va pas être beau à voir.. Héhéhé ‘’

Je me rapproche également d’elle, les hostile vont pouvoir commencer. Oh que oui, je vais la jouer bon coup aux pieux, mais mauvais en amoureux… Merde ?! qu’est se que je viens de penser ?! Je secoue la tête, concentre toi sans te faire berner part sont chant. Je viens serrer le poing et sortir un petit canif dissimulé a l’intérieur de mon poing, je viens me l’enfoncé pour que la douleur me reste un peux. Je le range aussi tôt, pour pas attiré l’attention.

‘’ Généralement, ça me réussis bien de vagabonder la Reine Banshee, dans le pire des cas, c’est plutôt pour toi que je devrais m’inquiète ! Je suis immortel, tu auras mal. Mais tu ne mourra pas, même ce qui me fais le plus peur, c’est que ma chance se transmette a toi ! Et cette chance, elle est mienne ! ‘’

Je la regarde, la folie se transmet dans mes yeux mélangés a mes yeux de prédateur. Rapproche-toi, encore plus de moi. Je viens me mordre la lèvre inférieure, lâchant presque un grognement animal. Ce que c’est mignon ce qu’elle dis. J’en est strictement rien à foutre, mais bon dieu que c’est excitant comment elle le dit, je dérive.. Au diable la raison, je vais encore laisser parler mon membre. J’en ai marre de réfléchir bon dieu ! Je vais me vider les couilles après plusieurs sommeils dans le noir.

‘’ Oh, mais.. Tu n’a pas à l inquiéter, je suis sur que ta déjà un sort pour me traquer ou me passer le collier. T’aimerais que j’reste dans ta petite dimension hein ? Bien attaché comme la dernière fois ? Ou peut-être bien, tu voudrais que je reste dans ta bâtisse toute la journée, et quand tu aura fini ta journée, t’attendre à genoux ? Et p'être t’embrasser le pied en signe de soumission vu que je suis un gueux a tes yeux ?

Des choses qui vont t’impacter, je vais en faire plein. L’alcool les drogue la bouffe, le sexe, l’énervement ou encore la somnolence.. Tu vas ressentir tout ce que je vis depuis au moins un siècle, tu vas comprendre la froideur de mes débris gelée chaque soir. Vu que je n’ai pas le confort de dormir dans une belle chambre..

Tu va comprendre la folie du Leprechaun. Celle que tu aimes tant, je l’ai bien remarqué. Les moments où je me contrôle pas, c’est ce que t’aime. T’es jolis yeux prenait une teinte ravie a chaque fois. Est-ce ça qui t’exciterait le plus ?

Ouais, j’aime souffrir, ce qui est ironique.. C’est que tu va souffrir avec moi.
‘’


Tous avaient changé, prononciation claire des mots, ton sérieux cachant un large désir palpable. J’ai décidé de lui montrer ma face sérieuse, elle le mérite. Elle a fait ce qu’elle avait à faire pour la voir, et je vais lui donner le mieux se soir, quel sois en manque et qu’elle me rappelle. La, j’aurai gagné, j’aurai tout gagner. Une reine et un royaume.


‘’ Au point que je pourrai y laisser mon âme. ‘’

Les griffes de la Banshee, des objets de plaisir intense… La plaie, ça saigne.. Je viens goûter mon propre sang. Dé-li-ci-eux. Je craque ma nuque avant de virer ma chemise pour me retrouver torse-nu, et juste avec mon pantalon. On se retrouve télé porté.. Il pleut. Les coups.. Ils volent, morsure, griffure, coup de poing, étranglement, coup de tête. Je me laisse abandonné à la violence, part moment je viens l’embrasser. Mes mains baladeuses s’occupant d’entretenir excitation mutuelle. Le combat fut rude, le sang volant de toutes parts, nos vêtements sont déchiré. Nos grognements se mêlent pendent que les rayons de la pleine lune éclaire nos peaux rougis part le sang qui coule depuis trop longtemps.

Je viens la plaquer au sol, ses ongles meurtrissant encore une fois ma chair.. Pendent que ses cuisses s’enroule autour de moi. Elle me veut… Je viens lui infliger une marque avec mes dents en plein sur la jugulaire, la même marque se dessinant sur mon corps aux mêmes endroits, comme les autres d’ailleurs. Maintenant, viens mon étape favorite.. Je viens l’embrasser, avant de lui attraper la lèvre inférieure, et mordre. Je veux goûter son sang, je tire sur sa lèvre pour accentuer la douleur.. Partageons ça.


Douleur pour elle douleur pour moi. Sa m’excite encore plus, et quand son sang coule.. Je viens lui offrir un baiser langoureux, m’assurant de goûter dans un premier temps son sang.. Sucrée. Tous se que j’aime, avant de mélanger le mien au sien.

Mes mains glissent et arrachent le peux de tissu qu’elle avais encore sur le bas du corps. Avant d’ôter mon pantalon, et de faire ce que j’ai à faire. J’attrape ça main, la forçant a entrecroisé nos doigts en serrant. Toujours plus de douleur, bien sûre sinon.. Mon côté masochiste ne serrait pas ravis. De mon autre main, avec mon index et mon ongle.. Je viens lentement au-dessus d’un de ces tétons, je viens lentement lui ouvrir la chaire. Mon sourire étant devenu plus proche du pervers psychopathe qu’autre chose.

Je ne sais pas combien de temps, ou combien de voir, j’ai pu cracher ce que j’ai entre les jambes. Et elle, je n'ai pas compté le nombre de jouissances qu’elle a eu. Tous se que je me souviens, c’est les hurlent de plaisir qu’on crier à la pleine lune.

‘’ Alors, tu ma assez sentit Banshee-Queen ? ‘’

Mes yeux vert étaient encore les seules choses de naturel chez moi. Mon corps et mon visage étaient de rouge repeint. Ma respiration était lourde, mes grognements également. La pluie n’avait fait qu'alourdir le sang, on dirait qu’il s’était étalé.. On pourrait limiter dire que nos sangs ont formé un immense cœur rouge. Avec nous en plein milieux, encore un coup de la sorcière ? Je pense bien que oui. Je m’approche de son oreille, mordant son lobe avant de sourire, lui murmurant quelques mots doux.

‘’ T’es bien la première qui ma filé une grande émotion en un putain de siècle. ‘’


Je tend la main en l’air, faisant apparaître un pétard allumé. L’autre, je ne sais pas où je l’ai mis.. J’ai du surment l’éteindre sur le corps de la Banshee. Je m’allonge à côté d’elle, il fessait petit matin… Je ne sais pas quelles heures, il était quand nous avons commencé nos ébats. Je viens tirer une bouffe bouffée, soufflant la fumée vers le ciel.

Pour une fois, j’ai eux chaud au corps. D’habitude, les ébats sont froids, je me vide juste. Mais là.. J’ai ressentit un plaisir que je n'ai pas pu toucher depuis longtemps, j’ai pu me libérer. Ça fais du bien, sauf.. Les oiseaux qui gazouillent dans la nature ça fait trop idyllique a mon goût…

‘’ Dégagé les piafs putain… ‘’

Je viens rigoler, avant de faire sortir une grenade de ma dimension et la balancé très loin de nous, pour la faire exploser et faire partir tous les piafs du secteur. Je soupire de la fumée, c’est mieux. Je tourne ma tête vers elle, avant de lui faire un clin d’œil. Je n'ai même pas envie de parler, tellement que c’était sanglant et beau. Le sang, ça peux se mêler au sexe.. Ce qui est tous a fait normal, on est fait pour baiser comme des animaux pour moment, pourquoi pas le faire le plus souvent possible.. On se sent libre, une liberté que tout le monde pourrait toucher.
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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptySam 18 Jan - 14:44

Le Diable s'habille en PradaSiobhan poussait un hurlement mêlant douleur et jouissance lorsque Keyvan plantait ses dents dans son cou. C'était un pur délice de violence et d'animosité. Elle enfonçait alors ses ongles plus profondément dans sa chair, resserrant l'étreinte de ses cuisses autour du Leprechaun. Le désir la dévorait de l'intérieur, elle le voulait sans plus attendre, plus qu'elle n'avait jamais voulu aucun autre homme auparavant et pourtant... elle en avait connu des autres hommes. Etait-ce dû au sortilège de la sorcière ou à celui du charme bestial de Keyvan...? La Banshee était totalement incapable de répondre à cette question, elle ne pensait plus à rien d'autre qu'à lui, qu'à eux. Sa peau, ses lèvres, ses mains, son corps, elle le voulait tout entier. Un moment de flottement s'en suivit, un bref moment où leurs regards se croisaient. Et là, sans dire un mot, ils consentaient tous deux à franchir la barrière, la limite de leurs haines respectives. Ils allaient franchir le point de non retour, celui où ils acceptaient de se mettre à nu et de se montrer plus vulnérables que jamais. Elle s'offrait à lui comme il s'abandonnait à elle. Ils allaient partagé ensemble la plus grande des intimités, la plus puissante des expériences et rien ne serait alors plus jamais pareil entre eux. C'était ce que Siobhan préférait lorsqu'elle couchait avec l'ennemi, ce sentiment intense de braver l'interdit, de se jeter à corps perdu dans le danger, sans défense ni filet. Keyvan l'embrassait à nouveau, leur second baiser. Il était aussi divin que le premier et la Banshee sentait chaque parcelle de son corps s'embraser. Elle n'y tenait plus. Elle aurait presque pu le supplier de la satisfaire si ce dernier ne s'était pas montré prêt à le faire. Mais le désir de Keyvan était tout aussi palpable que le sien et elle se laissait alors happer par la fureur du moment. Elle caressait sensuellement le dos du Leprechaun en remontant ses mains jusqu'à sa nuque avant de les glisser dans sa chevelure de feu. Il lui mordait la lèvre, elle gémissait. Il lui arrachait ses derniers vêtements, son souffle s’accélérait. Il remontait vers elle, glissant ses doigts entre ceux de Siobhan, son coeur s'affolait. Jamais elle n'avait ressenti cela auparavant. Elle le laissait faire, savourant le plaisir que ce simple geste lui procurait. A cet instant précis, elle ne voulait plus prendre le dessus ou le dominer, non, elle voulait être à lui, elle voulait qu'il la possède comme jamais il n'avait posséder une autre femme auparavant. Elle s'abandonnait entièrement, complètement à lui.

Le premier coup de reins était d'une puissance, d'une sensualité, d'une satisfaction... incomparables. Siobhan crut bien défaillir. L'étreinte de ces deux divinités, qui ne faisaient désormais plus qu'une, était absolument parfaite. Cela paraissait si naturel à la Banshee, cette osmose, cette unité... Comme si leurs corps avaient toujours été faits l'un pour l'autre et les deux ennemis vérifiaient cette théorie encore et encore, toute la nuit. Ils ne semblaient jamais s'épuiser, jamais se rassasier l'un de l'autre. Alternant plaisir et souffrance, dominant et dominé, Keyvan et Siobhan avaient fait preuve de créativité et de diversité pour se satisfaire l'un l'autre. Ils se rendaient alors compte qu'ils avaient clairement plus à gagner à se faire du bien qu'à se faire réellement du mal. Ils étaient tellement plus doués pour cela l'un avec l'autre. Ensemble, ils étaient plus forts, plus redoutables. La Banshee en prenait conscience après les festivités et cela lui faisait peur... Jamais elle n'avait envisagé qu'un homme puisse prendre une telle place dans sa vie. Jamais elle n'avait envisagé qu'un homme puisse siéger à ses côté... Et pourtant, c'était ce qu'elle ressentait pour Keyvan. Elle le voulait pour elle, en elle, à elle, pour l'éternité. Maintenant qu'elle avait goûté à tout ce qu'il pouvait offrir, elle savait pertinemment qu'elle ne pourrait plus jamais s'en passer et cela était difficile à admettre pour elle. Elle qui avait tant renié les hommes, elle qui avait tant souffert de leurs mains et de leurs jugements. Elle qui ne voulait plus jamais avoir à dépendre d'eux. Mais ce n'était pas vraiment cela qu'elle ressentait pour le Leprechaun. Non... Elle n'aurait pas à dépendre de lui, elle se voyait plus marchant et gravissant les échelons avec lui, main dans la main, côte à côte. D'égal à égale. Un roi et sa reine. Mais était-ce réellement possible? Ne s'engouffrait-elle pas vers un songe inaccessible ? Siobhan ne voulait pas prendre le risque, elle ne pouvait pas prendre le risque. Elle devait couper court immédiatement à tout cela si elle ne voulait pas s'exposer à un plus grand danger et tout perdre. Tout ce qu'elle s'était donnée tellement de mal à construire.

Le soleil exhibait ses premiers rayons lorsque Keyvan lui demandait si elle l'avait assez senti. Entièrement nue, allongée à ses côtés, Siobhan ne pouvait s'empêcher d'afficher un sourire plus que satisfait avant de plonger son regard dans celui du Leprechaun. Ses yeux... Mon Dieu... Ses yeux... Elle aurait pu se noyer dans ce vert émeraude et c'était exactement cela la menace qu'elle voulait éviter. Ce sentiment de faiblesse et d'abandon qu'elle avait accepté de partager l'espace d'une nuit mais qu'elle se refuser à accepter pour toute la vie. Ce qu'elle ressentait pour Keyvan, elle voulait le combattre, l'étouffer, car elle savait que cela ne serait rien d'autre qu'une faiblesse à exploiter. Et être faible ne faisait pas parti de ses plans. Keyvan ne faisait pas parti de ses plans. Il s'approchait alors de la Banshee et par elle ne savait quel prodige il parvenait à la pousser à se laisser faire. Il lui murmurait alors à l'oreille les plus belles paroles qu'un homme lui ait jamais dite. Elle frissonnait de la tête aux pieds, son cœur s'emballait à nouveau face à l'idée qu'elle puisse être la seule et l'unique qui puisse compter. Il était lui aussi le seul à lui avoir procurer une telle émotion, le seul à lui avoir fait ressentir qu'elle était exceptionnelle, qu'elle était en vie. Elle n'avait peut être pas vécu autant que lui mais cela n'enlevait rien à la prouesse de l'homme. Elle avait envie de lui dire, de lui susurrer à son tour à l'oreille, mais elle se retenait. Elle ne pouvait pas, elle ne voulait pas. Alors, une fois qu'il eut terminé son petit numéro, elle roulait sur lui, se positionnant à califourchon sur son abdomen viril, plaquant sa main contre la bouche du Leprechaun.

« Arrête ton cinéma. Ce qui s'est passé cette nuit ne signifie rien. Oublie les clins d’œil et les mots doux. C'était juste un coup de la sorcière et ça ne se reproduira jamais, tu entends? »

Bien sûr, elle n'en pensait pas un traitre mot et ça lui enserrait même le cœur de dire cela alors qu'elle ressentait tout l'inverse, alors qu'elle avait envie de remettre le couvert là, maintenant, tout de suite. Alors qu'elle avait envie de se blottir dans ses bras et de ne plus jamais en sortir.

« Jamais! »

Elle plongeait son regard dans celui de Keyvan, se forçant à paraitre froide et détachée. Une des choses les plus difficiles qu'elle ait jamais eu à faire, tandis que son corps était encore plaqué contre celui du Leprechaun. Une tentation dangereuse qu'elle décidait de fuir en se relevant. Un simple geste de la main et son corps se recouvrait de l'une de ses somptueuses robes de grands couturiers.

« Relève toi et habille toi, on a un sort à briser maintenant. Fini les conneries. »

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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyLun 27 Jan - 17:31

Les jouissances… Ma peau, encore, en frémissais encore, les coups.. Le sang. J’étais encore en transe, je serrai bien repartit pour un nouveau round.. Mais j’avais à faire, notamment prendre des rails de coke et piquer des trucs au gens. Mais le hic dans le tas, j’étais bien. Pas bien dans le sens, j’me suis juste vidé les couilles, j’ai picolé et je me casse non… Je suis bien. Je me sens reposé, j’ai une chaleur apaisante qu’est Siobhan. Ce sentiment m’est très étrange, je n'ai pas de souvenirs.. Pas de souvenir que ça m’est déjà arrivé, je me colle un peut avec elle. Me tournant pour observer sont visage, ses yeux pétillants d’une lueur éclatante, sont sourire dévoilant ses dents blanches puissance Colgate. Elle est une beauté fatale et froide, l’idée même de la femme qui vient de Russie. Mais… Cette expression, celle d’une femme heureuse… Pour moi, le temps, c’était arrêté. Cette chaleur, ce bien-être… Ça devenais addictif. De se sentir bien, je m’étais permis de pousser doucement une de ces mèches de cheveux bruns pour lui mettre derrière l’oreille avant de lui sourire.

Peut-être, est-ce que je vis les derniers moments de ma vie de vagabond ? Peut-être le moment de ce posé, de devenir quelque chose de normal.. Mais avec un bon de bon sens, je n’ai aucune manière. Je ne suis pas fait pour être un civilisé, ça me brise le cœur. Mes émotions, elles sont mal aussi.. Je suis à deux doigts de toucher le but de n’importe quelle personne, avoir un foyer et aimé. Construire quelque chose de saint et durable..

Argh ! Je regarde attentivement Siobhan, je sens que quelque chose ne va pas. Et avant que je ne puisse dire quelque chose, elle se met sur moi, et me bloque la bouche avec ça délicate main digne d’une créature la plus pur. À mon tour, mon regard tombe dans le sien. Que se soit de nos deux point de vue, le bonheur étais partagé.. Mais derrière, nos ressentons tous. Et nous sentons mutuellement notre tristesse, notre envie de continuer qui est barrer part des barrières. Ce quel dis, ça fais mal. On a pris notre pied, on veut aller…..

Ressaisis toi Keyvan. Si c’est pas aujourd’hui ça serra plus tard, y a quelque chose a exploité, je dois être moins con. Mais pour le moment tait à toi, ne dis rien. Je viens à disparaître et réapparaître dans une tenu un neuf, chemise, bretelle pendante et pantalon chaussure défoncée. Et entièrement lavé, plus une trace de sang. Elle nous ramener chez elle, dans cette même chambre. Je regarde le lit, il a l’air confortable.. M’enfin. Je la regarde, elle s'est retourné vers la fenêtre… Comme si elle fuyait quelque chose, je serre mon poing. J’ai envie de crier mon envie de rester ici, mais…. Je ne peux pas. J’aurai aimé la gardé un peux dans mes bras. Profité de cette même chaleur qui a réchauffé mes débris gelé. Je serre ma mâchoire… Je prends le risque, je m’approche doucement d’elle avant de déposer un simple baisé sur le haut de ça tête, la dominant en taille avant de me changer dans une lumière éclatante en chat roux aux yeux vert et de quitter la chambre. Passant dans les nombreuses piéces du château, esquivant le monde possible avant d’aller taper deux trois trucs dans la cuisine, parce que niquer.. Ça creuse.

J’arrive dehors alors qu’il pleut et que c’est la tempête. J’ai le pelage trempé, mais cette même fenêtre… Je m’arrête, je discerne encore ces formes qui n’a pas bouger d’un cran. Je la regarde une dernière fois, j’agite ma queue (pas celle que vous pensez bande de gros dégueulasse pervers) en signe d’au-revoir, j’avance dans ce qui me semble l’Irlande… Breuuuuuh, je ne reste pas là. Je reprends forme humaine avant de passé part une porte pour rattérire dans un rad dégueulasse, ou la drogue circule, les putes ne font qu’une. Sa danse, sa baise dans d’autres coins.. Je viens me mettre à ma place qui n’est pas habituel, prêt d’une fenêtre. Je commande une pinte de Guinness, un carton d’LSD, de la lean, qui est un mélange de Sprite et de sirop pour la toux a base de codéine qui provoque un effet anti stressant, décontractant. Un pochon de weed, et un pochon de coke.

J’enquille ma pinte d’un coup, avant de regarder la lune dehors.. Il fait nuit part ou je suis. Je suis dans un bar que je connais, j’ai tellement baisé de pute ici que je pourrai faire testeur. Mais, mes pensées ne sont pas là.. La lune est si belle. Et je repense au visage de Siobhan, je loupe quelque chose d’énorme… J’ai senti le plaisir, mais… Et ça, la sorcière nous a lié et je pense pas que c’est un coup monté comme elle la dis. Y’a quelque chose, est-ce le fait qu’on se soit appris à se connaître a force de ce rentré dans le lard a chaque fois qu’on prépare et applique un coup ? Elle ma fais ressentir quelque chose… Je ne sais pas c’est quoi. Je ne sais pas ce qui ma fait sentir aussi bien.. Mais je trouverais ce que c’est, je lui dirait les mots qu’il faut. Et j’en ferrai une Reine qui n’aurra pas a se pré-occupé de sont Roi.


Mais en attendant… J’entends des voix qui me sont bien trop familière, trois nana en tenu vachement légère. Kamille, Léonna et Sarah respectivement rousse, blonde et brune. Irlandaise, Américaine et Algérienne. Trois putes que j’entretiens régulièrement, je me tourne vers elle. Le visage pas enjoué du tous.

‘’ Pas ce soir, Daddy ne mettra pas de sucre magique dans vos nez. ‘’

Elles partent en râlant, je prends le carton de LSD, j’absorbe, je prends la lean je bois. Les effets commencent, une longue agonie… Sa me lassera tout le temps nécessaire pour penser à cette belle Brune qui va hanter pas mal de mes nuits.
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MessageSujet: Re: Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan]   Le Diable s'habille en Prada [Feat. Keyvan] EmptyDim 2 Fév - 9:00

Le Diable s'habille en PradaKeyvan ne semblait pas apprécier le retour à la réalité, Siobhan non plus... Elle aurait tant aimé pouvoir rester dans ses bras, profiter de l'instant présent et ne plus penser à rien d'autre. Mais c'était un luxe qui ne lui appartenait pas, un luxe qui ne lui avait jamais appartenu. Peut être qu'une fois son plan achevé, elle pourrait enfin se l'offrir et faire de Keyvan son Roi pour toujours... Oui, cela elle commençait déjà à l'envisager mais avant, elle avait besoin de savoir si cela était motivé par de réels sentiments ou simplement par cette foutue malédiction. Le doute n'était pas permis lorsqu'il s'agissait de choisir un Roi. Elle devait en être sûre. Keyvan réapparaissait vêtu comme à son habitude. Siobhan ne lui dirait probablement jamais mais qu'est-ce qu'elle le trouvait sexy avec ses guenilles et surtout ses bretelles... Les bretelles avaient un effet fou sur elle. Bon le corps parfait d'Apollon qui était en dessous encore plus... Mais elle chassait rapidement cette idée de son esprit. Il était temps pour eux de quitter le lieu des leurs premiers ébats, Siobhan les téléportait alors de nouveau au manoir. Retour à la case départ, dans cette chambre où tout avait consciencieusement été nettoyé par Jill. Le lit était impeccablement fait, le plateau dévoré par Keyvan avait disparu et les gouttes de sang qui avaient coulé sur le sol avaient été essuyé. Plus aucune trace, comme si rien n'avait jamais réellement eu lieu. Etait-il possible d'effacer ainsi, aussi facilement, cette nuit de débauche? La plus belle que Siobhan ait jamais vécu? L'idée que tout cela n'était dû qu'à la magie d'une sorcière complètement barrée lui fendait le cœur. Ces prochains jours seraient donc entièrement dédiés à démêler le vrai du faux, elle voulait savoir la vérité, coute que coute.

Ce lit, impeccablement fait, recouvert de soie et incroyablement confortable. Siobhan avait envie de s'y glisser avec Keyvan. Elle voulait un deuxième round plus doux, plus tendre. Elle voulait retrouver ce qu'elle avait ressenti lorsque leurs doigts s'étaient emmêlés dans une tendresse infinie. Elle avait envie de lui faire l'amour cette fois. Il fallait savoir varier les plaisirs n'est-ce pas? Mais elle ne pouvait pas, elle ne devait pas. Alors elle se retournait vers la fenêtre, esquivant Keyvan et ce regard vert émeraude qui l'aurait assurément fait craquer dans la seconde. Elle n'espérait alors qu'une chose, qu'il comprenne et qu'il s'en aille. Le Leprechaun s'approchait d'elle, Dieu que c'était dur... Dur de ne pas se retourner pour lui arracher un baiser, dur de ne pas se retourner pour sentir une nouvelle fois son corps viril et musclé serré contre le sien. Siobhan était parcourue de frissons de la tête aux pieds, elle avait envie de céder, oui elle en avait tellement envie. Plus encore lorsqu'elle sentait cette masse imposante et chaleureuse derrière elle. Il était là, tout près. Elle était envahie de flashs de leurs ébats, sa peau, ses lèvres, ses murmures, ses blessures, le plaisir et l'extase... Elle se mordillait la lèvre inférieure. Keyvan se contentait d'un délicat baiser. Siobhan se retournait alors, elle n'y tenait plus, elle avait envie de lui. Au diable la raison, elle voulait une nouvelle fois s'abandonner aux bras de l'irlandais. Mais lorsqu'elle se retournait, il n'était déjà plus là. Un miaulement, elle baissait le regard, il s'était métamorphosé. Elle découvrait pour la première fois ce pouvoir, décidément, il la surprendrait toujours. Le chat quittait la pièce et Siobhan restait là, envahie par la frustration et le désir inassouvie. Finalement, c'était mieux ainsi, elle en était persuadée. Ou plutôt, elle essayait de s'en persuader.

Seule dans cette chambre, Siobhan restait encore quelques instants devant la fenêtre. Elle avait soudainement froid, elle se sentait désormais plus seule que jamais. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas ressenti cela. Jusque là, sa seule présence et tous ses amants de passage lui suffisaient amplement mais depuis cette nuit, depuis qu'elle avait gouté aux délices de Keyvan... Elle se sentait incroyablement seule sans lui, abandonnée, comme s'il lui manquait littéralement une partie d'elle, sa moitié. Cette moitié qu'elle avait secrètement espéré trouver toute sa vie sans aucun espoir d'y parvenir un jour. Le Leprechaun n'était plus là depuis seulement quelques instants et pourtant il lui manquait déjà cruellement. Il lui prenait alors l'envie irrésistible de l'espionner, de le suivre. Il avait pris l'initiative de partager leurs sangs lors d'un baiser empli de passion. Elle avait pris l'initiative de s'en servir pour lui jeter un sort qui lui permettrait de le localiser. Certes elle avait cédé à la tentation mais elle était toujours Silver Banshee et même si elle avait désormais des sentiments évidents pour Keyvan... Elle restait méfiante. Leurs vies étaient liées et elle ne voulait pas prendre le risque de perdre la sienne à cause de lui. Siobhan avait tourné en rond pendant un long moment avant de se décider enfin à la rejoindre. Elle n'arrivait pas à l'oublier, à le chasser de ses pensées, c'était plus fort qu'elle. Elle voulait juste le voir, l'apercevoir, ne serait-ce que quelques secondes. Elle craquait. Elle se téléportait auprès de Keyvan. La Banshee était alors prise d'une angoisse, celle de le retrouver dans les bras d'une autre femme. Cette simple idée réveillait en elle un véritable volcan de fureur. Il valait mieux pour le bien être de tous que ce ne soit pas le cas. Bien sûr elle ne se téléportait pas littéralement à ses côtés, elle voulait rester discrète. C'était le principe de l'espionnage non? D'ailleurs, elle utilisait même un sortilège d'invisibilité pour que le Leprechaun ne puisse pas ressentir sa présence et encore moins la voir. C'était l'occasion de tester la puissance du sort que leur avait jeté cette salope de sorcière. Si Keyvan parvenait à la sentir malgré les protections déployées par Siobhan alors ils auraient vraiment du fil à retordre pour briser la malédiction. Si non... il y aurait encore de l'espoir.

Une fois téléportée, Siobhan avait la mauvaise surprise de se retrouver dans un véritable cloaque puant où alcool, drogues et luxure étaient légions. Cet endroit la dégoutait vraiment... Cette facette de Keyvan, elle ne l'aimait pas. L'héritière grimaçait. Personne ne pouvait la voir et c'était mieux ainsi. Malgré le sort d'invisibilité, elle se glissait dans un coin reculé et obscur, juste au cas où ça ne marcherait pas aux yeux de l'Irlandais. Elle le cherchait alors du regard, elle ne resterait pas bien longtemps, elle était vraiment mal à l'aise dans cet endroit. Elle commençait aussi à ressentir les effets de l'alcool et de a drogue ingurgités par le Leprechaun et elle ne se sentait pas très bien. Puis là, soudain, elle le vit. Elle oubliait alors tout. Le côté sordide et glauque de l'endroit, les maux de crâne qui commençaient à la submerger... Keyvan lui faisait tout oublier. Mais la Banshee commençait à voir rouge lorsque trois pouffes se ramenaient près de lui. Elle serrait les poings. Elle avait envie de les trucider sur place. Elles étaient absolument dégueulasses ces putes. Mais Siobhan eut l'agréable surprise de voir que Keyvan les renvoyait d'où elles venaient. Elle esquissait un sourire. Elle caressait le doux espoir qu'il avait fait ça à cause d'elle, pour elle. Elle ne le saurait probablement jamais. Mais c'était soulagée et sereine qu'elle rentrait chez elle, dans son manoir. Elle se concoctait alors une petite potion bien corsée pour dormir, histoire de ne pas avoir à subir les affres de la drogue et de l'alcool du Leprechaun. Elle le laisserait tranquille cette nuit mais il ne fallait pas qu'il en abuse par la suite où elle serait forcée et contrainte de le ramener chez elle par la peau des fesses pour qu'il arrête ses putains de conneries de camé. En attendant... elle rêvait de lui toute la nuit, encore, encore et encore...

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