Il rampait pendent que je m’approcher, il avait la gueule défoncé. J’avais passé mes nerfs, mon visage est recouvert de sang, j’ai ma dague dans la main mes phalanges se resserrent sur le manche. Ma langue venant recueillir le sang qui coule sur ma joue. Je fais tourner la lame, la personne continue de ramper en pleurant.
‘’ Si tu ne veux pas me donner des réponses rapidement.. Je vais te faire très très mal. Et je vais beaucoup, mais vraiment beaucoup apprécié la douleur que je vais t’infliger. Je le répète une dernière fois… Où est l’urne d’Hécate ?! ‘’
‘’ Pitié, ne me faite pas de mal.. Je vais parler ! Elle est envoyée a gotham, une vente aux enchères ! Dans un manoir ! Pourquoi la voulez-vous ? C’est une vieillerie sans nom, elle ne vaut rien ! ‘’
Je m’abaisse, la peur dans ses yeux.. Elle m’excite, je n’est pas de temps à lui accordé sinon son corps aurai était victime de mes coups de reins. Je viens lécher le sang sur la lame, avalant le précieux liquide rouge.. Amer. Amer comme ma vie, ma longue vie de débauche.
‘’ J’aime les objets magiques. Ta juste à savoir ça.. De toute façon, tu vas mourir. Je suis une créature magique aussi, tu passeras mes salutations à Hitler si tu le vois en enfer, tu lui diras que c’est moi qui lui est volé une botte et que j’en prends soin, je la cire tous les jours je la nettoyé avec une peau de chamois et je prie régulièrement devant elle. C’est le meilleur trophée que j’ai pus avoir dans ma putain de vie. ‘’
L’homme au sol se tend, il n’a pas le temps de dire autre chose que ma lame viens lui tranchée la gorge. Le sang coule à flot, je lui fais les poches lui piquant sont porte-feuille. J’observe un peu, une photo, deux enfants en bas âge, une fille plus grande qui doit avoir seize ans et sûrement sa femme.. Hm. Erwan Johnsbow ? Marié, hm. Je laisse sa carte d’identité sur son torse avec la photo de sa famille. Je rentre dans ma dimension allant prendre une bonne douche.
Sa c’était y a une semaine, j’avais mes renseignements , j’avais dérobé une banque. J’arrive devant la maison des Jonhsbows, je dépose un sac rempli d’argent. Avec une lettre où il y est écrit, ‘Désolé ‘’ avec un trèfle attaché part un bout de scotch, une fois que j’ai tout posé. La porte s’ouvre, la plus grande qui m’avait vu. Ce qui n’arrange pas mon affaire.
‘’ Bonjour, je peux vous aider ? ‘’ ‘’ Désolé, je me suis perdu. C’est part ou le café le plus proche ? J’suis en rade de clope ‘’ ‘’ Vous tournez sur la rue du menhir et vous y êtes. ‘’ ‘’ Merci’’
Je fait semblant de partir et j’entends biens qu’elle ouvre le sac et la lettre. Elle relève les yeux noyés de larmes. Un ‘’ attend ! ‘’ Me fait tourner la tête. Sont regard remplis de haine, ce n'est pas la première fois que j’en vois un comme ça. Je suis coupable de la mort de millier de personne, j’ai l’âme qui est une étendue de sang. Elle s’approche de moi avant de me taper le torse. M’insultant de tous les noms. Je la prend contre moi, elle pleure. Je ferme les yeux, passant dans ma dimension pour prendre ma lame.. Et. Vous connaissiez la suite. Je la laisse la sans vie. Avant de partir au Mexique, terre des exécets. J’ai besoin d’oublier, encore et encore.
Mon combo far pour oublier une journée de merde : bouteille de tequila, coke et une pute. Surtout le fait de se faire un rail sur l’cul d’une pute, les enfants n’oubliez pas que les drogues sont mauvaise pour la santé, et vu que je suis déjà pas mal fracassé dans tout les sens ça va passer crème. Je sais pas combien de temps.. Mais je me devais de trouver une tenu a peux prêt classe. Je fouille dans les magasins au Mexique, allant dans les plus chères. De toute façon, je vais pas payer.. Chemise blanche, jean noir et chaussure de ville très classe sans oublier mes chères bretelles. Sinon, je me sens à nu voyons ! Je reprends une douche, je m’habille. Je me pointe à la soirée d’enchère, je passe sans invitation grâce a la ‘’ magie’’, je sais.. Je suis dégeulasse tout le monde se fait recaler.
Je me retrouve avec deux réceptionnistes blonde aux forte poitrine au bras. Yes, bonne soirée.. Je me fais escorter. Souriant à tous ses autres trous du cul qui sont en galère. J’arrive enfin dans la somptueuse salle, je regarde les gens les blondasses me lâchant. Je regarde le comptoir.. Que du champagne ou du martini, putain je vais avoir mal a la tête demain. J’attrape une poignet de petit four que je mange comme quelqu’un de la plèbe sans aucune classe qui me fou les regards foudroyant des hautes classes.
J’endors trois bouteilles de champagne, faisant mine de prendre une coupe et la dégusté avec le petit doigt en l’air et bien en évidence pour me foutre des grosses gueules gavé de bouffe et d’argent. Les richards sa m’horripile, sa m’fait vomir. On leur coupé la tête fut un temps, m’enfin.. La sonne cloche, je m’avance mais la magie je la renifle à des kilomètres, l’urne est bien la. Mais une dame, que je ne saurai pas dire.. Elle pue la magie aussi. Je descends ma coupe de champagne avant de la jeté et venir m’asseoir, débouchant une bouteille de champagne. Attendant le tour de l’urne ou je vais renchérir juste pour faire chier. J’ai déjà mon plan en tête.. Une coupure de courant et pouf plus d’urne. Je m’allume une clope, attendant mon tour avec patience.
De ce que j’entends, je fait couler beaucoup d’encre part les personne environnement de ma sature. Une bonne femme vient me voir et me fait la morale, ils m’énervent c’est putain de richard qui se croient tout permis. Je l’écoute a moitier, soupirant la fumée de ma cigarette sans grande classe. J'attend avant de légèrement m’énerver et l’envoyer balader. Je continue mon expédition des petits fours.
Bordel enfin de la bouffe ! Je avale a peux prêt tout ce qui se passe, félicitant les cuisiniers qui sont obliger de ré-approvisionné en grande pompe parçeque monsieur bouffe-tous que je suis est passer part là. J’essaye de draguer, a droite à gauche. Maiiiiiiiis, si ta pas aux moins six zéros a ton compte en banque tu n’intéresse pas, et bordel y a des richards bien dégueulasse qui si ils ont le malheur de s’abaisser, ils font péter les boutons du futal et je parle de l’entre-jambe qui se déchire. Je m’accoude au bar du coup, vu que personne n’est intéressé, même pas les mecs.. Putain, soirée a la con. Vivement, qu’on puisse aller aux enchères et qu’après je me tire avec mon du. Oui, mon du vous avez bien entendu. J’enquille les coupes de champagne, je regrette qu’ils n’ont pas de vrai whisky. Sinon, sa aurai était avec plaisir que j’aurai littéralement violé leur stock, mais le Jack Daniel’s ne fait pas partit de mes préférences.
J’hésite à foutre le feu à l’endroit et prendre ce que j’ai a prendre, mais sa serrait moins drôle. Je sens de la magie bouger, sûrement l’urne. Après une éimiéme coupe de champagne, je me fais accoster part une rousse, assez riche. La cloche n’a pas encore sonné , well c’est le moment de foncé. Ni une ni deux, elle me prend part le bras avant qu’on parte dans les chiottes batifolé comme deux vulgaires animaux. Autant la souiller au plus profond de son être hein, et lui faire les poches pendent qu’elle est trop occupée à gémir comme une catin. Une fois mon affaire fait, je sors des toilette remontant ma braguette en sifflotant,la laissant chancelante. J’entends deux trois réflexions qui me plaisent vraiment pas. Je me sens des cornes poussé.
Je m’accoude au bar avant de réciter une légère incantation magique. Pour que l’homme est une soudaine tourista.. Sur place. Le mec se vidant littéralement de ses matières fécales ce qui provoque des réactions parmi les autres. Et l’autre pute, je vais m’en occuper aussi.. Elle va pas arrêter de vomir. De quoi leur laisser un amer souvenir de mon passage. On ne fait pas chier à Leprechaun, il est bien plus vicieux que tu l’es toi même.
La cloche sonne enfin, je viens m’asseoir avant de fumé tranquillement attendant que ça commence, mais un domestique du domaine viens me casser les burnes royalement. Je soupire la fumée, le regardant. Je m’apprête a parler qu’une jolie brune, viens poser sa main sur ma cuisse et me ‘’défendre’’, merci madame la bonasse, mais j’aurai pu le faire tous seul. M’enfin, avoir une belle nana à côté de sois et qui te défends.. Sa se prend, je vais peut-être pouvoir la ramené à l’hôtel celle la.
Pour la forme je viens faire un tour de magie. Je viens mettre la cigarette droite au niveau de mon nez et je viens la faire rentrer la faisant disparaître dans ma dimension en regardant l’homme de main.
‘’ Désolé, je viens d’arriver d’Irlande. On est beaucoup plus cool que les Américains. Pars contre je vais vous garder le cendrier, vous pouvez vous partir. Je vais en avoir besoin. ‘’
Je vois bien qu’il part avec un air de : Je vais te fumer le rouquin. Je rigole avant de me tourner vers la demoiselle brune. J’entre ouvrer la bouche et fait ressortir ma cigarette le reprenant avec ma main. Claquant les cendres dans se beau cendrier que je vais sûrement dérober d’ici là. Je regarde la brune, prenant un sourire charmeur avant de lui tendre un paquet de malboro rouge ouvert et avec une cigarette préalablement sortie. J’avance légèrement le cendrier.
‘’ Merci a vous jeune dame, vous m’avez sauvé la vie sur ce coup là. ‘’
On recommence le coup comme avec Mari : on l’embobine et on la fait chier. Du moins la faire chier pas trop, sinon je vais avoir du mal a la ramené dans mon pieu et a piquer l’urne sans me faire voir. Mon regard vert trèfle se pose dans le sien, lui lâchant mon meilleur sourire charmeur.
‘’ Excusez moi.. Je ne me suis pas présenté : Kharjot O’Konnor‘’
Ehéhééhéh ! On ne donne pas son vrai nom. Sinon, ce n'est pas drôle. Je peux pas balancer le prénom que j’ai pour le moment. Sinon, ça induirait trop si des recherches étaient faites sur ma belle gueule. Sinon, ça induirait trop si des recherches étaient faites sur ma belle gueule. Juste un peux de temps avant qu’elle me tombe dans les bras.
‘’ Que fait une jolie fleure comme vous dans cet endroit charger d’histoire ? Une amatrice d’art ou peut-être d’histoire ? Voir les deux ce qui pourrait être probable, vos yeux trahisse une certaine lueur d’intérêt dans votre regard… Et au passage, votre parfum sens très bon. ‘’
Aussi bon que la magie salope ! Tu empestes à des centaines d’années-lumière, qu’est ce que tu as sur toi pour puer autant ? Hein p’tite donzelle, t’est une riche, mais y’a quelque chose d’autre.. Je vais devoir te détrousser, tu le sais ça ? Va falloir que je creuse ma jolie, parçeque tu m’intéresse un peux plus.
Je viens sortir une pièce et m’amuser avec, la faisant disparaître et réapparaître à ma guise en attendant que les enchères commences et accessoirement pour impressionné la demoiselle a côté moi. Si sa peux faire passer le temps à deux branleurs, sa me va. Largement même, et si je peux lui en embouché un coin au passage sa m’arrange. Je me permet même de faire semblant que j’ai paumé ma pièce, une fois lancé.
‘’ Bah… Merde ? Elle est ou..’’
Je sais, je suis un acteur né. J’en profite pour lui replacer une mèche de cheveux et sortir ma pièces de derrière ces cheveux. Ouais le coup basique, pas très intelligent. Je lui fait un clin d’oeil, en mode ‘’ c’est pas fini’’, je referme ma main avant de lui demander de souffler dessus. Une fois fait, je viens la ré-ouvrir, dévoilant un trèfle a quatre feuilles relativement grosses. Je viens lui mettre au dessus de l’oreille avant de me re-caller sur mon fauteuil, le juge étant arrivé et sonnant enfin le début de séance pour les différentes affaires à vendre.
Fait pas genre.. Je sais que t’es spéciale, ta un truc magique sur toi. Je le sens, j’ai le piff comme pour la bouffe ma p’tite pupute, je sais… Je le sais. Si tu ne dévoiles pas tes petits secrets vite, je vais devoir te passer à tabac dans ma dimension, sa serrait dommage d’abîmer un si joli minois comme le tiens.. Je suis sur entre six mecs, tu serrais parfaitement mignonne. Elle est irlandaise aussi oh ? Un sujet d’accroche, on dirait bien, pure souche ? J’ai touché le gros lot. J’hausse un sourcille, lui adressant un grand sourire montrant mes dents blanches.
‘’ Enchanté Miss Mcdougal, c’est rare d’en voir de nos jours des pures souches. Je pensais être dans les derniers, mais ça me fait bien plaisir d’en voir une. ‘’
J’avais dit ça sur un ton tellement mielleux, ça ne me ressemble pas. Je viens faire un tour de main, pour faire disparaître mon paquet pour jouer dans le rôle du magicien riche que j’incarne ce soir, même si on ne se doute que je n’aie aucune manière et je m’en branle un peux. Je viens prendre un trésor, pas jouer la carte du riche bordel. Sa m’horripile ça, je joue quelqu’un que je ne suis pas… Juste pour ça, ils devraient tous mourir, au plus profond de mon être.. Je sens quel que chose bouillir, un rire malsain. J’étais un roi avant, et j’en suis réduit à être un vagabond maintenant ?!
Pendent un instant mes yeux s’injecte de fil de sang. Je dois taire la folie actuellement, je reviens à la raison assez rapidement, même si j’avais envie de foutre le feu. Non, pas maintenant.. Pas maintenant. Pas encore, je vais encore m’amuser encore un peut.. Juste un tout petit peux. J’écrase ma cigarette dans le bol d’argent le posant au sol. Avant de bien me remettre sur ma chaise, ce qui me fait penser a une chose.. Tu es trop polie ma chère, je ne te fais pas confiance.. La magie te trahit, je vais le découvrir. Ce qui n’arrange pas mes affaires, elle vient pour l’urne aussi.. Je sens que je vais devoir sortir les billets, j’ai une petite réserve dans ma planque.. Je dois avoir un bon million a dépensé.
‘’ L’urne ? Je crois qu’on est beaucoup ici pour la vouloir. J’ai entendu d’autre personne la vouloir pour voir se qui il y’a a l’intérieur, en y pensant.. Je la veux pour la mettre avec mes autres reliques. Agrandir ma collection, si vous voyez se que je veux dire. ''
C’est un objet chargé d’histoire et de valeurs.. Représentant les restes d’une déesse oublier part la plupart des Humains. Celles qui reliée les enfers, la terre et le ciel. Représentant également la Mort, on la dit fille De Thrace…
Je vais pas trop d’abandonnée en parlote, ma passion pour l’histoire est un peux trop sortie. ‘’
Et la faut m’imaginer en train de jouer du violon, même si j’ai une grande passion pour l’histoire, je joue encore une couverture, a force je commence à avoir chaud. Je dois encore la garder avant de pouvoir me dessaper, en attendant la coquine se rapproche très proche voir trop proche, je vais la bouffer tout cru si ça continue.
‘’ Oh.. Je vois, mais si.. Un parfum de magie. Non ? ‘’
Ma voix c’était durcie et j’avais fait claquer mes dents prêt de son oreille comme un prédateur qui est sur le point de bouffer ça proie.En attendant, je renifle ce doux parfum de magie pendant que je pose ma main sur le haut de son dos lui caressant vaguement avant de me décoller d’elle, je me ferrait pas avoir. Vraiment pas, je suis con et je pense avec ma bite au lieu de mon cerveau, mais toi tant que je ne suis pas sur de qui tu est, je me dévoilerait pas.
‘’ Moi ? Je viens pour la coupe d’Helga. Et voir se qu’il y’a d’autre chose qui m’intéresse. Je suis sur qu’il y’a plein de choses qui pourrait me plaire, a ajouté a la collection.’’
MYTHOOOOOOOO ! Je vais la jouer fine pour une fois. La sonne retenti et je me concentre sur la scène ou les articles défilent, je fais monter les enchères pour la coupe et une veille épée qui sont toutes les deux magique, un me permettra de donné plus de goût a mon alcool et l’autre me permet de brisé plusieurs sortilèges de protection. Je fais l’homme concentré et ‘’ sur de lui’’ pour impressionner la Siobhan.
Elle vient donc que pour la coupe.. Qui arrive. Pas à pas, c’est la plus grosse pièce de la collection tout dois s’écouler avant pour la voir en jeux. Je me bats avec une troisième vieillerie qui n’a peux de valeur magique, avec un vieillard fessant monté les prix. Après un bras de fer acharné j’arrive à avoir ma babiole, dommage pour eux.. Je ne vais pas les payer. Et bizarrement, personne ne saura qui je suis. Ah.. Je suis chanceux, putain de chanceux. Une pause est annoncé avant de passer au gros lot de la soirée, ce qui me fait doucement sourire certain partant d’autre reste sur place. J’attrape une serveuse avant de lui glisser plusieurs dollars pour ramener une bouteille et deux coupe.
Elle revient, je lui fais un clin d’œil, je la vois rougir et partir aussi vite. Je me retourne vers ma nouvelle compagne de la soirée, venant débouché la bouteille et remplir une coupe que je lui tends avant de servir la mienne. Je viens claquer les coupes.
‘’ A la personne qui arrivera à mettre la main sur l’urne. Et a une rencontre forte intéressante. ‘’
Je souris, avant de me replacer dans mon siège bien confortablement. Observant les alentours, les gens me critiquant encore de ce que j’entends, je soupire un peu. Je vais les retrouver et leur arraché les dents moi-même si ça continue. Je reporte mon regard vers la délicate demoiselle, me demandant si ça vaut vraiment la peine de jouer ma couverture ? Je suis dans la merde, autant continuer comme ça. Je viens me rallumer une cigarette pour faire couler le champagne.
Démasqué petite salopris très mignonne que j’ai envie de me faire. Maintenant, tu vas me révéler vite fait bien fait qui tu es, j’ai vu une réaction quand j’ai claqué des dents… Elle n’est pas si insensible qu’elle le pense, ou le fait dans ça façon d’agir. Comment je vais te faire cracher le morceau avant de simplement te crasher dessus pendent que tu serras entrain de sauté sur ma virilité hein ?
À cette idée je commence à m’exciter, je viens faire un sourire de prédateur avant de claquer des dents puis de me lécher les lèvres, j’ai qu’une envie c’est de lui sauter dessus.. Sont air d’innocente n’aide pas me calmer, la blonde bien gaulée.. Mais a la fois comment elle lâche ses phrases m’énerve, avec cet air hautin.. Toujours avec cette même innocence qui trahit des actes pas catho’ du tout.
‘’ Effectivement démasqué également, sauf que je ne l’ai jamais caché que j’avais ce parfum magique. T’es qui dans le monde magique, fait moi rire. Divertis moi.‘’
Aller, avoue le.. Crache le morceau salope où je t’étripe devant tout le monde avant de violer ton cadavre ! Excusez-moi, je me suis un peux emporter, mais c’est la réalité.. Elle me déclenche certaines choses… Excusez-moi, je me suis un peux emporter, mais c’est la réalité.. Cette excitation.. Ça me rappelle que j’ai fait avec la Norvégienne Solveig Fia Bjornstad qui s’est battu pour l’eau lourde une arme allemande en Norvège.. Ou encore quand j’ai rencontré le braqueur de banque et expert en explosif William Sidney ‘’ Billy ‘’ Bridger qui a combattu en Afrique du Nord, je pense aussi à toi malgré que tu sois oublier dans l’histoire Deme Cisse tirailleur sénégalais que ton âme sois en paix mon frère mort en 2014 pour une patrie dont tu n’avais jamais vu, et que personne n’a était reconnaissant pour ce que tu as fait. Tu mérites une statue à ton effigie mais les hommes supporte pas ce qui est basané ou trop foncé de peau, tant que je serrais vivant Deme.. J’honorait ta mémoire, j’ai gardé dans un coin de ma planque aux trésors les photos qu’on a fait, que se sois toi , Solveig ou Billy.
Je vous oublierais jamais, les gars vous me manquer vous avait était des amis proche. Mais je dois faire une dédicace à cet enculé de nazi Peter Müller qui ma capturé et torturé… Un monstre dans son tigre. Satané char de mort, je devais faire péter un grand nombre de ses chars qui faisait terreur sur les champs de bataille. (Spoiler : Le nazi est mort)
Excusez-moi, je me suis perdu dans mon récit, je devrais écrire un livre que j’appellerai carnet de guerre… Le nom est déjà pris qu’on me dit dans l’oreillette, un mec qui s’appelle Papacito l’aurait déjà pris.. Autant pour moi. M’enfin bref, ce n'est pas le moment de pensée a ça. Vraiment pas, j’ai une petite gâterie à chérir un peut… Mais bizarrement, je sens que tous ça va partir dans une guerre de sang. On va finir part ce fritté au bout d’un moment, elle veut l’urne, je la veux aussi.. Oui. Oui, maintenant que je sais que tu es spéciale.. Je vais te faire sortir de tes gons pour révéler ta véritable puissance, donne moi ça.. Donne-moi ta puissance, montre la moi. Je veux la voir, je veux la sentir.. Je veux avoir mal. Mes yeux s’injectent de fil de sang, mon sourire s’élargit encore et la folie prend le dessus, encore une fois. Toi ma magnifique biche.. Toi Siobhan McDougal, toi la biche noble… Je vais te baiser, d’une façon ou d’une autre. Mais je te baiserai et tu m’en redemanderas. Promesse de crevure d’Irlandais, je trouverais un moyen.. Que se sois doux ou gore, tu crieras mon nom.. Et tu m’appelleras Roi. Et tu sais quoi… ? Je ne te violenterais même pas. Jamais je ne lèverais la main sur toi, autre que pour te mettre une fessée… Quitte a se que tu acceptes quand tu serras sur ton lit de mort, mais je trouverais un moyen de te séduire.
Tout change quand l’urne est déclarée, elle change moi aussi, je change. Je veux cette maudite urne, juste pour la faire chier encore une fois. Toujours la faire chier, cette idée, je ne bougerais pas. Mais.. Elle n’est plus les enjeux. Je ne parle pas de Siobhan, mais de l’urne. Elle EST PUTAIN DE BORDEL DE MERDE PLUS EN JEU !!!! C’est quoi ce bordel. Beaucoup râle, dont moi même et surtout la créature magique à côté de moi. Elle prend congé la connasse, mais j’en est pas fini avec elle moi… Merde.
‘’ En vous souhaitant une bonne soirée Mademoiselle Mcdougal. ‘’
À mon tour je pars dans ma dimension, changer d’affaire pour passer plus tranquillement avec ce que j’ai l’habitude de porter. Je prends une cagoule et je prends un flingue, un glock chargeur normal que je glisse dans un holster et je ré apparaît fessant le tour du manoir avant de me planquer dans un coin obscur. Je tends le bras et un type d’hibou arrive, un grand-duc. Je lui fais quelques caresses avant de lui sourire.
‘’ Va, observe la zone. ‘’
Il ne veut pas, je soupire avant de lui tendre mon pétard et lui laisser tiré deux trois taff. Saleté d’hibou magique ! Il tire deux trois taff avant de s’envoler et… S’écraser dans une branche et resté au sol complétement stone après le ko et le pétard. Enfoiré d’habitude, tu tiens mieux la weed que ça ! Je viens le rentrer dans ma dimension dans mon pieu avant de marcher en accroupis, arrivant a distance, j’ai pu entendre le début d’une conversation.
‘’ L’urne doit retourner dans ma propriété, je suis désolé du temps perdu. ‘’
‘’ Pas de problème madame. ‘’
Ok, c’est la merde, c’est la merde, je dois intervenir ou je perds mon butin. Réfléchis vite, réfléchis bien et correctement… Je me la joue braqueur sûrement. Je mets ma cagoule pour passer en mode anonyme. Comment je vais agir.. Comment je vais agir. Je me frotte la cagoule avant de prendre mon arme avant de m’approcher doucement, de plus en plus doucement pour venir les surprendre et les visé.
‘’ Pose l'urne, les mains en l’air sinon je vous fais sauter le caisson ! ‘’
L’urne est posée au sol. Je souris, je vais l’avoir, je m’approche lentement.
‘’ Reculer, et mettez vous au sol tout de suite ! En boule où vous allez finir comme des legos ! ‘’
Si elle avait posé l’urne, elle avait levé la main et m’avait coltiné une décharge d’énergie, j’ai volé et je m’éclate contre un mur, le torse fumant… Mais c’est que ça brûle putain de bordel de merde ! Douce, douce douleur… Ma veille amie, je me tord de douleur sur le sol mon sang coulant un peux. Ni une ni deux.. La Banshee tue les gardiens de l’urne. La pute ! Salope, connasse va au diable ! Tu va crever ! J’ai pas peur de la banshee ! Je serre le poing pendent qu’elle fait sont petit tour et qu’elle me lance des regards à mon sens suggestif.. Oh mon dieu sale pute, je vais t’apprendre a chanté correctement.
Je continue de serrer le poing, je me relever en l’observant s’amuser sur le sort de la sorcière.. Si je comprends bien, elle a un passif avec. Rien à foutre.. Elle caresse MON urne, qui devrait être dans MES bras. Sous MA possession, dans MA salle des trophées. Je vire ma cagoule avant de sourire, les yeux injecté de fil de sang.
Tout un tas de chose me passe part la tête, est-ce que je vais m’amusé a l’écorché vif ? L’enfilé sur une pique et faire une vladdy l’empaleur ? Est-ce que je la foutrais pas dans un taureau d’érin ? Pas assez sadique non… Lui retiré toute dignité, je vais lui coupé les membres les cautérisé, lui couper la langue et je vais la violer. Je pourrais voir ça détresse dans ses yeux et elle ne pourra pas crier a l’aide… Avant de lui trancher une veine pour la laisser s’écouler de son sang et lui pisser dessus avant de la regarder lentement perdre la vie… Mon oreille proche de ça bouche pour entendre ça vie l'a quitté. Oui… Après, j’irai retrouver cette belle blonde, je vais lui faire du charme et je vais me la faire dans tous les sens possible et inimaginable sous cocaïne. Après, on fondra une famille, ou on aura deux enfants Kévin et Stacy.. On aurra une grosse berline familial et on aura un labrador couleur chocolat qu’on appellera Choupi, puis au bout de 30 ans de mariage, on se trompera mutuellement parçeque notre couple va plus, mais que ça nous fait chier de payer le divorce et on claquera comme des vieux cons… Du moins, elle. Moi ? J’ai encore une longue vie devant moi, tant que les gens croient au leprechaun, je suis là.
Mon esprit avait divagué très loin, mais les mots de latin me font revenir à la réalité. Je secoue la tête, les voix dans ma tête.. Mais vous inquiété pas, c’est moi le chef, non, c’est moi ! Ta gueule, c’est moi ! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! Ta gueule 2 b ! Et trois 6 Z ferme la aussi arrête de crier bordel ! Les gars bordel, faite pas chier, j’essaye de réfléchir tranquillement.
Elle était bien mon interprétation hein ? Non… Bon aller vous faire foutre.
Je disais… Les mots de Latin, ça pue du fion.. C’est une sorcière ? Elle va invoquer un démon ? Peut-être pas ? Je ne sais pas, mais… Çà pue le cochon cramé ?! Je regarde de la fumée autour de l’urne.. La main de la banshee chauffe… Oh la petite futée, elle a bien joué son coup. Elle a jeté une malédiction sur l’urne. Ni une ni deux, je me téléporte pour être à côté des deux. Me penchant sur la sorcière. Plusieurs secondes d’agonies. Je suis tellement dans mon truc que j’osef complètement de la banshee pour le coup, je vais défaire ma ceinture et baisser ma braguette avant d’entendre un raclement de gorge de la Banshee.. Je la regarde,elle me regarde, on se regarde….. Bon, en gros faut imaginer la scène comme la série bref.. Je me remets mon pantalon, la braguette et la ceinture en place avant de prendre une voix toute timide.
‘’ Désolé.. J’me suis un peux emporter. ‘’
Je me racle la gorge à mon tour avant de la regarder et de.. Pas savoir prendre mon sérieux et de rigoler comme une hyène. Avant de poser ma main sur l’urne et serrer un peut. Ça me brûle, mais je ne dis rien, juste de la fumée s’échappant. Je la regarde encore une fois également.
‘’ Donne. Je suis sûr que tu va pas savoir l'a chouchouté comme elle se dois. ‘’
Je la tire vers moi, mais elle résiste. Donne bordel, c’est simple comme bonjour. Donne, pire qu’une chienne qui ne veut pas lâcher son os. Part contre si elle veux lécher mon os.. Je dirais rien.
‘’ Meh. ‘’
Je commence à m’impatienter. Mais genre vraiment. Je viens tendre mon autre main pour lancé une décharge d’énergie pour la faire reculer. Je prend l’urne dans mon autre main, soufflant sur celle qui brûle.
‘’ Bon sur ceux… ‘’
J’ai pas le temps de me téléporté qu’elle me la reprend des mains. Je crache au sol avant de me retrousser les manches, je suis pas content. Je fait craquer mes doigts avant de la regarder d’un air mauvais. Je sais pas ce que je vais lui faire, mais je vais le faire.
‘’ Aller.. Donne a tonton l’urne et on serra quitte. J’en est marre de te croiser à chaque fois que je fais un coup. Ta pas d’autre chat a allé fouetté ? À moins que je sois ton préféré ? Dans se cas la , on pourrait partir aux pieux. Ça serrait bien plus profitable pour nous deux, je sais pas se que t’en penses.. ‘’
Je rallume mon invincible pétard. Soufflant la fumée avec mon sourire de hyéne gravé sur mon visage, celui qui rend fou les gens. Je vois bien qu’elle veux en découdre du coup… Je suis prêt a pas la jouer façon loyale mais déloyale. Hahaha… Comme a mon habitude, ruse et coups bas. Pourquoi avoir de l’honneur ? C’est comme ça qu’on se fais tuer, dans la majorité des cas.
Elle était sadique à souhait… Elle aurait pu faire une bonne reine. Une Reine Banshee, depuis le temps qu’on se tirait dans les pattes, on aurait pu trouver un terrain d’entente, j’en suis sûr. Mais le destin est le destin. Je regarde la Banshee toujours sur la sorcière, qui avais quitté la vie depuis longtemps maintenant, effectivement, je me suis emporté. C’est parçequ’elle est la, sinon j’lui aurai pisser dessus… Bon, maintenant, je m’arrête de penser.. Mais non. Mes pensées sont tourné vers la p’tite brune de toute a l’heure, je me demande ou elle a bien pu passer… J’aurais bien deux trois choses à lui dire. Mon regard de dé-xacé du système croise celui de la Banshee, et la seule chose que je fais, c’est de sourire. Pas un sourire sadique ou autre… Un sourire d’amusement, je m’amuse. Je ne peux pas le nié, elle me fait bien rigoler. J’ai commencé même à apprécier nos jeux de tirage de patte, je crois que c’est bien la seule qui sais me faire rigoler comme jamais et qu’elle comble se manque que j’ai dans le cœur, parçeque je ne m’amuse pas.. Je pourrais faire chier Batman, Lex Luthor ou bien le Général Zodd.. Mais ils n’arrivent pas à la cheville de la Banshee, et pour ça.. J’ai un grand respect pour elle, malgré nos nombreuses altercations.. Je crois bien que c’est la seule qui me convient sur le terme de folie.. Quoi, je répète la même chose ?
Oh..Ha..Ha...AHHAHAHAHAHAHAHAHAH ! Une honte pour le peuple irlandais.. Pas de ma faute si les premières personnes qui ont cru en l’existence des Leprechauns était des alcoolo malhonnête, ils ont façonné une partie de ma psyché.. Et je peux dire que je l’aime bien cette partie de Psyché, ça fait ce que je suis maintenant ou ça a fait ce que j’ai toujours étais : un sale gosse.
‘’ Hééhhhé…. Dans toutes les histoires, il faut une belle et un clodo ma Chère. J’suis pas né avec une cuillère d’argent dans la bouche. Si tu avais une maison quand t’étais gamine, si tu l'étais, moi j’dormais contre mes 8 cousins et cousines parçequ’on avait pas assez place dans la caravane ! Haaa….AHAHAHAH ! ‘’
Je tenais fermement l’urne, mais ça brûle. Sa pue le cochon griller, je commence à un peut saigner de la main, mais je me prends une belle droite dans la gueule et je vole un bon coup avant de rattérire a terre avant de cracher un peut de sang et je lance mon plus beau regard noir a la Banshee, je vais te tuer maintenant. Je me relève avant de m’approcher d’elle les poings serrés,mais elle s’approche. Se collant contre moi et m’attrappant la ceinture. Mon regard noir, ce ré-adoucis, passant mes bras autour d’elle, mais pas de façon pervers. À des endroits normaux.
‘’ Tu sais.. Banshee. J’aurais étais heureux de servir une messagère de l’autre monde. ‘’
Et ni une ni deux, je me retrouve avec elle dans un endroit chaud. Un joli lit, un feu de cheminer… Ça me fais bizzare, ça fait combien de temps que je ne suis pas entré dans une maison ? Je ne sais plus, le temps passe trop vite a mes yeux, ou est-ce moi qui est trop vieux pour ne plus faire attention au temps qui s’écoule ? Je reste fixé sur la cheminée un instant, avant de ressentir la chaleur dévorante de la Banshee. Ma tête se tourne vers elle, j’appréçie son corps.. Siobhan Mcdougal… Elles ne sont qu’une. La petite futée, je vais pouvoir me la faire ce soir… Du moins. Est-ce que c’est raisonnable maintenant ? Est-ce que la raison a toujours était mon point fort ?
Mes yeux avides de luxure parcourent les formes, la soie glissant lentement sur cette peau légèrement bronzé, j’ouvre plusieurs des boutons de ma chemise. La chaleur me gagne, une goutte de sueur perle le long de mon torse. On se colle, mes mains se baladent lentement sur son corps. Une douceur… On dirait de la soie, une soie que j’ai la chance de toucher. Mes mains venant ce posé sur les hanches de la Brune, mes yeux verts se mêlent au siens. Ces lèvres charnues, contre les miennes qui ont vécu. Je lui offre un bon baisé, a la fois tendre et langoureux. Je l’attire contre moi, basculant en arrière dans le lit. Deux douceurs pour le prix d’une… Je peux dire que je suis chanceux ce soir.
Je lui montre mes talents d’embrasseur, et je sens qu’elle est un minimum réceptive. Couplé à mes caresses lascives, je la fais fondre. Moi-même, je ne reste pas de marbre, ses mains sont chaude. Une chaleur appréciable, même si elles veulent me tuer. Autant profité du moment présent… J’ai la chance de mon côté, que peux t’il m’arriver de pire ? Dans le pire des cas, si je meurs en fessant une dernière fois l’amour.. J’ai tous gagner, la folie se stoppera enfin.
En attendant, je décide de prendre un peu le dessus.. J’ai envie de m’amuser. Je nous fais rouler, pour qu’elle se retrouve en dessous de moi. Je coupe le baiser un instant, mon sourire s’illuminant un peut. Je m’approche de son oreille, la léché, mordillant un peut… Faire monter la pression. Ma main vient entrecroiser nos doigts ensemble, pendent que mes baisers descendre au niveau de la jugulaire, je m’arrête encore une fois. M’amusant à la mordillé plus au moins fort.. J’adore mordre. Je descends un peux plus au niveau du cou, de nouveau.. Mes dents ne sont pas innocentes, je laisse quelques traces de dents, très légère. Mes dents ne sont pas innocentes, je laisse quelques traces de dents, très légère.
Mais la coquine décide de prendre le dessus sur moi, je me laisse faire. Je me retrouve ça main me bloquant, mais très vite les mots me font reprendre raison, je me suis fait avoir. J’ai encore pensé avec ma bite putain de merde ! Connasse, j’vais te faire la peau. Je secoue mes poignets, mon sourire restant aussi glacial que celui du Joker.
‘’ Oh que si j’comprends… T’inquiètes pas, je suis un dur à tuer. Tu verras..HAHAHAHAHAHHA ! ‘’
J’avais littéralement la bosse au pantalon… Ça va être long.
Plusieurs semaines après.
Je crève la dalle, j’ai soif.. Le manque d’alcool et de drogue me rend fou. Et je ne parle pas du manque de sexe.. J’suis resté sur la béquille. Je sais pas combien de temps ça fait que je suis piégé dans la noire… Bordel de merde. Je me vengerais. Je me vengerais… Je réfléchis déjà depuis que je suis enfermé la dedans.. Mais bizarrement. Mes pensé sont dirigées vers d’autres personnes….
Solveig Fia Bornjstad… Norvège dans le froid. On avancée grâce a des skis.. Pourquoi je me suis retrouvé là-bas ? Je ne sais pas, l’appelle de la bouffe sûrement. Elle y croit.. Au Leprechaun, il lui fallait ça pour supporter l’horreur de la guerre. Je l’ai protégé, je l’ai aidé a libéré sa mère qui était une ingénieur et une chimiste… Elle était forcé de crée une arme qui appelait ça.. L’eau Lourde. Un poison…
En pleine nuit et en pleine tempête, on a commencé à lutter dans le climat. Tuant chaque Nazi qu’on trouvé, on a pris des avants-poste avant d’aller dans l’usine pour tous faire sauté. Et on a tous fait sauté grâce à la centrale électrique. Ça mère fut emmené.. On les a suivis dans le village d’à côté avant de faire péter le convoi.
Les dernières images que j’ai d’elle.. C’est ça mère qui se fait exploser pour nous sauvés. Et la dernière image que j’ai de Solveig, qui prend ses grenades et qui cours pour faire sauter le dernier convois allemand.
C’était une bonne gamine, elle ne méritée pas se sort là.. Elle m'a dit : Merci Leprechaun, tu m'as réchauffé le cœur un peux.
Billy Bridger.. Un braqueur de banque qui ses faits enrôlé de force part une escouade suicide. Ils sont allés en Afrique si je me souviens bien a.. À 800 km des lignes ennemies. Vu que j’étais un fou furieux, je me suis fait recruter on m’envoyer à la mort. On a fait pété les bases aérienne de la Luftwaffe.
Le probléme, c’est qu’on ses fait griller et avec l’vieux Masons, un vétéran.. On a dû tenir une place-forte. Arme à gogo et mortier, canon de campagne.. On a tué a peux prêt 120 hommes, 12 tanks, et plusieurs véhicules des Schleue, trois heures de combat.. On avait envoyer un message a l’aide. On pensait mourir là, la dernière ligne ennemie…Les secours sont arrivé part coup de bombardement, on ses fait extraire de justesse ce jour là.
Le dernier, mais qui n’est pas des moindres.. Deme Cisse, un Sénégalais.. Un tirailleur, considéré comme du bétail ce jour la, je me suis fait engueuler parçeque je l'ai aidé a creusé des tranchées et je me suis porté volontaire quand ils les ont envoyé dans la mort. On a combattu dans les forêts, on a vu nos amis mourir.. On avait la rage contre les Nazi. Nous avons mené des batailles, détruit des tanks et autres matériel avec notre corps. Avec ce qu’on trouvé à terre.
Nous avons capturé un château, c’est à ce moment là qu’ils ont étaient considéré comme des hommes et non des esclaves. Mais le destin en a décidé autrement… Les Français, en bon raciste qu’ils sont, ont modifié et effacé certaines archives pour leur faire gagner tout le mérite.
En 2014, il a tenu une conférence qui fut mondiale. Ou il a expliqué le rôle des Tirailleurs, ils ont eux leurs honneurs, pour beaucoup après leur mort. Ce fut des frères du début à la fin pour moi.. Quand il est mort, j’en ai eux gros sur la patate comme on dit. Reposes en paix, Frère qui sait battu pour une terre qu’il n’avait jamais vu et qui n’était pas la sienne..
Tous ça ma remplis d’une tristesse infinie, je ne savais pas que la Banshee pouvait ressentir ce que je peux ressentir.. Mais quelque chose ma fait souffrir pendent mon emprisonnement.. Je sentais la vie de Siobhan se détériorer en même temps que la mienne…. La pute de sorcière. Si elle ne comprends pas que nous sommes liée, on va claquer comme des cons. Je vais devoir attendre d’être très maigre pour pouvoir m’échapper d’ici je maintiens la magie pour éviter de mourir, c’est déjà bien non ? Merci douce chance. Je ferme les yeux un instant, la folie.. Les voix dans ma tête, je me mets à rigoler comme un fou. Ce châtiment n’est pas assez sadique pour moi, moi le masochiste… Cette douleur est mienne… Et j’adore la douleur ! Donne-m'en plus Siobhan Mcdougal ! Fait moi mal, que je m’excite encore et encore ! HAHAHAHAAH !
Je sens leurs présences… Elle a compris. Je sais pas ses qui la deuxième nana, mais elle va dérouillier aussi. Bande de putes… On ne roule pas le Leprechaun, c’est le Leprechaun qui vous roule.Elles me lave, je me sens déjà un peux mieux.. Je suis a poile dans le lit, je suis complètement stone, j’ai pratiquement que la peau sur les os.. Le problème de mon espèce, c’est qu’on fond très vite quand on bouffe pas.
Je sens quel que chose… Snif.. Snif.. SNIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIF, BORDEL.DE.MERDE. DE.LA.PUTAIN.DE.BOUFFE. Il m’aura pas fallut longtemps avant de me lever difficilement et de dévorer en trente secondes chronos tous les succulent mets sur les tables…. Y’a encore une table….
‘’ Y’EN A ENCOOOOOOOOOOOOOOORE !! ‘’
Je déglingue les cruchons de flotte et de vin, j’avale a peux prêt tout ce qui se trouve. Si je pouvais avaler les plateaux, je l’aurais fait putain.. Mais la voix de Siobhan me fait revenir à la réalité. Je sens qu’elle est très agacé et qu’elle a la haine… Je rigole a se quel dis. Je me fais arriver un pétard déjà allumer part ma magie avant de soupiré un peux de fumé, me frottant la barbe.
‘’ Ouais, j’ai remarqué sans après je ne sais pas combien de temps enfermé. Elle nous a bien baisé la gueule s’te pute… Je suis déjà sur patte. Je te l’avais dit que je suis un dur à cuire. ‘’
Je sors des draps de soies, nue. Je croise le regard de la servante qui louche sur mon engin. Je soupire de la fumée, elle se met à rougir. Je mets mon boxer puis mon pantalon avant de mettre mes chaussures. Les nouant laisser le silences s’installer. Je ferme un peu les yeux, la weed me faisant du bien.
‘’ Elle a parlé du latin.. Faudrait cette tournée vers Rome. Sa m’étonnerait pas qu’il y est de quoi nous aidé. Faut qu’on trouve le moyen de se séparer sinon… On va mourir dans les deux sens du terme. Je te préviens, je baise,j’utilise des drogues et j’picolle. Attend toi a souvent plané. ‘’
Je mets ma chemise, la laissant ouvert sur mon torse. Je la regarde, surtout sont fessier avant de faire un sourire de coin.
‘’ En tous cas.. Ton corps et surtout ta bouche avait bon goût. ‘’
De nouveau… Un rire, encore un rire. Je ne sais faire que rire au bout du compte. Mais la folie se calme un peu, le sujet n’est pas forcement à la rigolade. Trouver un moyen… Je met mes mains dans mes poches. Observant le cadre dans le quel je suis. Sifflotant, elle est pétée de thune la demoiselle, si je peux me marier avec… J’ai gagné l’gros lot, j’aurai pu besoin de crécher dans la rue a longueur de temps.
‘’ M’enfin bref… Il doit bien y avoir une contre-phrase ou un rituel pour annuler les effets du sort, ou dans le pire des cas faut bidouiller nos âmes pour casser le sort a la racine même. Et le sort dois être fait pour être lancé après la mort de l’invocateur… Ou… ‘’
J’ai des sueurs froides d’un coup. Et si elle était vivante… Elle aurait juste trompé la mort. Et dans ce cas la, pour la trouver… Oh mon dieu que ça va être un long et chiant bordel. Je penche quand même pour le fait qu’elle est encore vivante, j’ai mon instinct qui me dis quelque chose de positif a se sujet là..
Je viens faire un test, plier ma magie de la chance pour casser le lien magique. Ça devrait marcher normalement. Mais, la je flippe. Non , non et encore non !
‘’ Elle doit être vivante, et ma magie de la chance ne peux pas casser le lien bordel de merde ! ‘’
Je suis pas content du tout, je vais la torturer cette pute. Aprés, je m’occuperais du petit fion de la banshee, je prendrait même ça servante avec. Plan a trois entre des bouteilles de vin de luxe, de la soies… Oh mon dieu, ça c’est l’genre de journée que je veux passer jusqu’à la fin de la ma vie.
Le Diable s'habille en PradaTandis qu'elle posait son regard sur les arbres déchainés par la tempête, Siobhan ressentait une émotion qu'elle n'avait pas ressenti depuis des années... Ou du moins une émotion qu'elle avait décidé d'ignorer et de faire taire. Elle ressentait une profonde tristesse sans comprendre pourquoi. Rien ne l'affectait à cet instant précis pour qu'elle soit envahi par la mélancolie ou le chagrin. Au contraire, elle était plutôt envahie par la rage et la colère. Elle avait envie de tout briser, de tout massacrer sur son passage. Elle ne s'était pas sentie aussi impuissante et soumise depuis de très nombreuses années et elle détestait ça, encore plus que le rouquin. Une seule explication s'imposait alors, elle n'en voyait pas d'autre. Mais non... pas lui. Le Leprechaun était incapable de ressentir quoi que ce soit non? Pourtant, il n'y avait vraiment aucune autre explication. Non seulement ils étaient liés physiquement, mais ils semblaient aussi l'être psychiquement. Le cauchemar, pensait-elle. Elle se retournait alors vers Keyvan, elle commençait à se dire que cet homme recelait encore bien des mystères. Des mystères qu'elle crevait littéralement d'envie de percer. C'était assez rare pour être souligné. Peu d'hommes étaient capable de se vanter d'un tel exploit, celui de susciter l’intérêt de la Banshee. Keyvan n'était peut être finalement pas l'ivrogne stupide et bourrin qu'elle avait toujours pensé. Certes il avait tout de même ça dans ses gênes, même un aveugle l'aurait remarqué, mais il n'était visiblement pas que ça. Et c'était cet autre Keyvan que Siobhan mourrait d'envie de voir, d'explorer et même de chevaucher.
Mais lorsqu'elle se retournait, elle revoyait le même sempiternel idiot. Drogué, alcoolisé, rustre, aucun savoir vivre, aucune finesse... Ce Keyvan là... Elle sentait qu'il avait du potentiel mais il était encore trop brut et elle avait juste envie de lui en retourner une pour lui remettre les idées en place et lui apprendre à se comporter comme un être humain. Oh oui à cet instant précis elle avait envie de lui en retourner une magistrale pour faire cesser son rire absolument détestable et agaçant. Et puis, cette espèce de brute sauvage s'était levé du lit, dévoilant une nudité absolument parfaite... Merde alors, il était bâti comme un putain d'Apollon! Des muscles saillants et aguicheurs, une carrure divine et un attribut royale gargantuesque. Keyvan Doyle était beaucoup de choses mais celle-là, Siobhan McDougal ne l'avait pas vu venir et elle venait d'être prise à son propre jeu. Telle une louve attirée par le mâle alpha de la meute, elle venait d'entrer en chasse. Jill avait également profité de la vue mais pas pour les mêmes raisons que sa maîtresse. En effet, la servante n'aimait pas les hommes et ce n'était pas la même aversion que celle de Siobhan. Là où la Banshee n'aimait pas les hommes pour leur domination et leur mépris envers les femmes, Jill ne les aimait pas tout court. Attirée par les femmes, elle n'avait d'yeux que pour Siobhan dont elle était tombée amoureuse dès la première seconde où elle avait posé son regard sur elle. Jill observait Keyvan non pas pour se rincer l'oeil mais par pure jalousie car elle savait très bien qu'il était bâti pour Siobhan. Il était exactement le genre d'hommes que l'héritière aimait mettre dans son lit et entre ses cuisses. Jill était profondément jalouse, pire encore lorsqu'elle avait vu dans le regard de sa maitresse la petite étincelle.
L'échine de la Banshee était parcourue de frissons, ses sens s'affolaient et le désir montait d'un cran. Elle ne contrôlait plus rien à vrai dire. Elle se demandait alors si ce n'était pas l'effet qu'ils se désirent mutuellement qui augmentait justement leur désir réciproque. Car ils partageaient désormais les mêmes émotions. Colère, tristesse, souffrances, plaisir, désir... Et ce désir, oh ce désir, il la dévorait de l'intérieur. Il montait crescendo comme un orgasme, elle le voulait maintenant, tout de suite. Et quand Siobhan voulait quelque chose... Vous la connaissez maintenant non? Bien sûr, elle n'avait jamais forcé un homme à quoi que ce soit et elle ne le ferait jamais, mais elle savait que ce bougre de Leprechaun en avait tout autant, voir plus, envie qu'elle et rien que cela, rien que cela l'excitait d'avantage. Ça et surtout le fait qu'ils se détestaient viscéralement. Elle voulait sa tête sur une pique et nul doute que lui aussi partagé ce doux rêve. Et il n'y avait rien de plus excitant aux yeux de Siobhan que la frontière entre la haine et le désir, la souffrance et le plaisir. Keyvan avait repris des forces, elle aussi, et le lien qui les unissait n'en était que plus fort, d'où cette instabilité et cette perte de maitrise démesurés. Deux esprits, deux âmes liées soudainement l'une à l'autre... il y avait de quoi perdre le contrôle non? Et puis devant ce corps d'Apollon, Siobhan n'avait tout simplement pas envie de lutter, elle avait envie de s'abandonner, de reprendre les choses là où ils les avaient abandonné quelques semaines plus tôt. Elle repensait alors aux baisers de Keyvan, à ses caresses, à ses morsures... elle était prête à défaillir. La frustration était trop forte. Siobhan n'écoutait alors plus que d'une oreille, le temps n'était plus à la conversation... Elle ne voulait plus parler, plus écouter, elle voulait seulement agir et réagir.
« Laisse nous. »
Ordonnait-elle alors à Jill tandis que son regard avide de plaisir ne quitter plus Keyvan. La servante s'exécutait immédiatement, le cœur serré. Elle quittait la pièce laissant la Banshee et le Leprechaun... seuls...
« Tu rêves si tu crois une seule seconde que je vais te laisser vagabonder librement comme l'imbécile que tu es alors que ma vie est littéralement entre tes mains Leprechaun. »
Elle se rapprochait alors lentement du rouquin.
« Jusqu'à ce que l'on trouve une solution, je veux que tu me colles comme mon ombre. Je veux savoir exactement où tu es, avec qui tu es, ce que tu fais et ce à chaque instant. Et tu peux me croire, si tu oses faire une seule chose, une seule, qui me déplaise et qui impacte sur moi, je te le ferai payer, quitte à en souffrir d'avantage. »
Siobhan savait que Keyvan aimait la souffrance, à un degrés encore bien supérieur à elle. Elle en jouait... Elle voulait le pousser lui aussi à perdre le contrôle, à s'abandonner à ses désirs les plus primitifs. Car elle savait très bien qu'il voudrait forcément se venger de leur dernière étreinte avortée. C'était comme ça entre eux, œil pour œil, dent pour dent. Et elle n'avait pas du tout envie qu'il se venge maintenant. Alors elle allait tout faire pour que le désir et l'excitation atteignent leur paroxysme, au point qu'il ne puisse même plus lutter contre.
« Mais tu aimes ça non? Souffrir... Mais jusqu'à quel point? »
Déployant ses griffes de Banshee, tout en gardant son apparence humaine, Siobhan lacérait d'un coup vif le torse de Keyvan. La parade nuptiale était lancée, les premières gouttes de sang étaient versées. Les deux forces de la nature qu'ils étaient commencaient alors à s'affronter. Les coups pleuvaient et tous étaient permis. Mais très vite Siobhan voulait changer de décor, elle ne voulait pas esquinter son manoir et surtout, elle ne voulait pas museler la bête. Ils avaient besoin d'espace pour exprimer leurs talents et laisser danser leurs corps au rythme de leur fureur et de leur désir. Elle fonçait alors sur Keyvan pour le plaquer au sol et se téléportait à l'instant T pour atterrir au sommet des falaises de Moher. La tempête faisait toujours rage, il tombait des trombes de pluie, et le sang ruisselait désormais sur leurs peaux, ils étaient trempés jusqu'aux os. Et pourtant, la chaleur était omniprésente et le combat reprenait de plus belle. Ils prenaient chacun leur tour l'ascendant, imposant leur domination avant de le perdre l'instant suivant. Ils se valaient l'un l'autre, des égaux, des alphas. Le fait que Keyvan résiste, qu'il se montre de taille à l'affronter, ne faisait qu'amplifier la convoitise de Siobhan. Alors quand le Leprechaun reprenait pour une énième fois le dessus sur elle en la maintenant fermement au sol, elle enroulait ses cuisses autour de sa taille et enfonçait ses ongles dans son dos.
« Je veux te sentir en moi Leprechaun... »
Murmurait-elle à son oreille avant de lui flanquer une gifle magistrale, fendant la joue de Keyvan sous l'impacte.
Bloqué, j’ai horreur d’être bloqué. Je déteste ça, surtout avec elle qui veux ma peau.. Ça me laisse du répit au moins. On est lié, est.. Si un souffre l’autre souffre également. Un jeu mortel, excitant et passionnant… J’ai envie de la faire souffrir, de prendre mon pied à ressentir ce que je sens tous les jours, mais… Au vu de lien qui nous a, était imposé… Tous semblent, comme amplifier. Mais a ce moment-là.. Cet instant présent, j’ai fini de réfléchir. J’ai senti mon cœur se serrer de tristesses, j’ai mal.. À cet endroit. Je viens poser ma main sur mon cœur. Je serre les dents, satané lien. Je sue légèrement, je suis triste. Et ce n'est pas ma propre tristesse.. C’est celle de la Banshee. Mais ça colère. Elle est bien mienne, je ressens.. On n'est pas dans la merde, j’ai arrêté de sourire. Les prochains mois vont être difficiles, je dois trouver un moyen de briser ce lien sinon je vais commencer à dépérir ! D’être lié a quelqu’un, quelle idée elle a bien jouer sont coup cette sorcière de mort.
Quelque chose me frappe, mentalement. Je me concentre un peux plus, pour pouvoir lire la psyché de la Banshee, je pense que ça va fonctionner. Effectivement, le lien est tellement fort qu’en se concentrant, on peut déchiffrer des informations caché profondément… Héhéhé. Elle me déteste, elle me haie même. Mais dans le fond, je l’aime bien. Elle sait me distraire, même si j’ai failli y passer pendent plusieurs semaines… Ça reste compliquer avec ce putain de lien, je vais le supporter longtemps. Je ressens tous se qu’elle sens ! Vous n'imaginez pas !
Je dois rester une crevure, je ne dois pas me laisser baiser part la sorcière qui parle le latin. C’est un coup monté, c’est sûr ! Elle cherche à nous marabouter le cerveau ! C’est un piège, c’est sûr. Je m’énerve un peu, je ne dois pas me prendre au jeu. J’ai jamais étais un good guy , je dois rester le bad guy. Mais.. C’est dur. P’être, en face de moi… J’ai trouvé quelqu’un d’aussi fou que moi… D’un coup mon cœur se pince, hurgh ! Sa fais mal bordel ! J’réservé ça a Layla bordel de fion ! Je secoue la tête. De nouveau, je vois le regard de Siobhan, elle.. Elle regarde ce qui semble être.. Si je me concentre assez, je peux sûrement… Hm. Oui, y a quelque chose qui se passe. Elle se rince pas l’œil, je comprends, mais passons. Je tire une nouvelle latte sur mon pétard pour anesthésier, mais je sens qu’elle va me faire la peau vu qu’on est relié… Bordel ! Elle n'est pas prête.
Mais la, ce n'est pas mon cœur qui se serre. C’est une chaleur dévorante qui me prend, elle, c’était retourné, sont regard en disant long. Les mains qu’elle considérée sale l’auraient excité… Mon sourire s’élargit encore une fois. Un peux de sueur perle sur mon front. Elle est bien formée, ça, je le reconnais.. Un visage angélique cachant une beauté démoniaque, deux arguments-là où il faut.. Et je ne vous parle pas de l’arrière-train qui suis. Ce qu’on appelle une femme fatal, froide mais parfaite. Celle qui fait chavirer le cœur des plus faible, et ce soir.. Mon cœur est faible, ou est-ce ma raison qui merde ?
J’ai le malheur de la regarder dans les yeux, si elle trahit quelque chose.. Moi c’est un immeuble qui prend feu. Un feu de désir, la louve. Elle en fait une belle de louve, je ne vais pas l’amocher.. Je vais lui réduire le fion en choux fleur et lui faire crier mon prénom en thaïlandais !…
….. ….
Désolé, j’ai craqué. Je me suis un peux emporter, je dois rester concentré. Mes émotions, mes ressenties se décuplent, je sens ça colère, sa tristesse, sont dégoût mais aussi sont excitation. Je ressens tous. Et la, sont excitation la trahis.. Je la sens, et ce qui me sert d’attribut masculin en prend un sacré coup dans ça gueule. Je sue un peux plus, mon corps se mettant a la place du sien. Je me frotte le visage, mes pupilles commencent à ce dilaté. Je commence à me mordre la lèvre, mon regard virant un peux plus vers le prédateur sexuel, je dois lutter un minimum… Grrrrrr…. Non. J’ai envie d’elle, je veux son orgasme. Je l’aurai, elle criera mon nom. Je me le jure, comme toute celle qui sont passer dans le même pieu que moi. Qu’elle sois en tête-à-tête ou cinq, elle l’aura, elle criera. Je regarde la servante, un sourire aux lèvres.
‘’ Reste pas la, ça va pas être beau à voir.. Héhéhé ‘’
Je me rapproche également d’elle, les hostile vont pouvoir commencer. Oh que oui, je vais la jouer bon coup aux pieux, mais mauvais en amoureux… Merde ?! qu’est se que je viens de penser ?! Je secoue la tête, concentre toi sans te faire berner part sont chant. Je viens serrer le poing et sortir un petit canif dissimulé a l’intérieur de mon poing, je viens me l’enfoncé pour que la douleur me reste un peux. Je le range aussi tôt, pour pas attiré l’attention.
‘’ Généralement, ça me réussis bien de vagabonder la Reine Banshee, dans le pire des cas, c’est plutôt pour toi que je devrais m’inquiète ! Je suis immortel, tu auras mal. Mais tu ne mourra pas, même ce qui me fais le plus peur, c’est que ma chance se transmette a toi ! Et cette chance, elle est mienne ! ‘’
Je la regarde, la folie se transmet dans mes yeux mélangés a mes yeux de prédateur. Rapproche-toi, encore plus de moi. Je viens me mordre la lèvre inférieure, lâchant presque un grognement animal. Ce que c’est mignon ce qu’elle dis. J’en est strictement rien à foutre, mais bon dieu que c’est excitant comment elle le dit, je dérive.. Au diable la raison, je vais encore laisser parler mon membre. J’en ai marre de réfléchir bon dieu ! Je vais me vider les couilles après plusieurs sommeils dans le noir.
‘’ Oh, mais.. Tu n’a pas à l inquiéter, je suis sur que ta déjà un sort pour me traquer ou me passer le collier. T’aimerais que j’reste dans ta petite dimension hein ? Bien attaché comme la dernière fois ? Ou peut-être bien, tu voudrais que je reste dans ta bâtisse toute la journée, et quand tu aura fini ta journée, t’attendre à genoux ? Et p'être t’embrasser le pied en signe de soumission vu que je suis un gueux a tes yeux ?
Des choses qui vont t’impacter, je vais en faire plein. L’alcool les drogue la bouffe, le sexe, l’énervement ou encore la somnolence.. Tu vas ressentir tout ce que je vis depuis au moins un siècle, tu vas comprendre la froideur de mes débris gelée chaque soir. Vu que je n’ai pas le confort de dormir dans une belle chambre..
Tu va comprendre la folie du Leprechaun. Celle que tu aimes tant, je l’ai bien remarqué. Les moments où je me contrôle pas, c’est ce que t’aime. T’es jolis yeux prenait une teinte ravie a chaque fois. Est-ce ça qui t’exciterait le plus ?
Ouais, j’aime souffrir, ce qui est ironique.. C’est que tu va souffrir avec moi. ‘’
Tous avaient changé, prononciation claire des mots, ton sérieux cachant un large désir palpable. J’ai décidé de lui montrer ma face sérieuse, elle le mérite. Elle a fait ce qu’elle avait à faire pour la voir, et je vais lui donner le mieux se soir, quel sois en manque et qu’elle me rappelle. La, j’aurai gagné, j’aurai tout gagner. Une reine et un royaume.
‘’ Au point que je pourrai y laisser mon âme. ‘’
Les griffes de la Banshee, des objets de plaisir intense… La plaie, ça saigne.. Je viens goûter mon propre sang. Dé-li-ci-eux. Je craque ma nuque avant de virer ma chemise pour me retrouver torse-nu, et juste avec mon pantalon. On se retrouve télé porté.. Il pleut. Les coups.. Ils volent, morsure, griffure, coup de poing, étranglement, coup de tête. Je me laisse abandonné à la violence, part moment je viens l’embrasser. Mes mains baladeuses s’occupant d’entretenir excitation mutuelle. Le combat fut rude, le sang volant de toutes parts, nos vêtements sont déchiré. Nos grognements se mêlent pendent que les rayons de la pleine lune éclaire nos peaux rougis part le sang qui coule depuis trop longtemps.
Je viens la plaquer au sol, ses ongles meurtrissant encore une fois ma chair.. Pendent que ses cuisses s’enroule autour de moi. Elle me veut… Je viens lui infliger une marque avec mes dents en plein sur la jugulaire, la même marque se dessinant sur mon corps aux mêmes endroits, comme les autres d’ailleurs. Maintenant, viens mon étape favorite.. Je viens l’embrasser, avant de lui attraper la lèvre inférieure, et mordre. Je veux goûter son sang, je tire sur sa lèvre pour accentuer la douleur.. Partageons ça.
Douleur pour elle douleur pour moi. Sa m’excite encore plus, et quand son sang coule.. Je viens lui offrir un baiser langoureux, m’assurant de goûter dans un premier temps son sang.. Sucrée. Tous se que j’aime, avant de mélanger le mien au sien.
Mes mains glissent et arrachent le peux de tissu qu’elle avais encore sur le bas du corps. Avant d’ôter mon pantalon, et de faire ce que j’ai à faire. J’attrape ça main, la forçant a entrecroisé nos doigts en serrant. Toujours plus de douleur, bien sûre sinon.. Mon côté masochiste ne serrait pas ravis. De mon autre main, avec mon index et mon ongle.. Je viens lentement au-dessus d’un de ces tétons, je viens lentement lui ouvrir la chaire. Mon sourire étant devenu plus proche du pervers psychopathe qu’autre chose.
Je ne sais pas combien de temps, ou combien de voir, j’ai pu cracher ce que j’ai entre les jambes. Et elle, je n'ai pas compté le nombre de jouissances qu’elle a eu. Tous se que je me souviens, c’est les hurlent de plaisir qu’on crier à la pleine lune.
‘’ Alors, tu ma assez sentit Banshee-Queen ? ‘’
Mes yeux vert étaient encore les seules choses de naturel chez moi. Mon corps et mon visage étaient de rouge repeint. Ma respiration était lourde, mes grognements également. La pluie n’avait fait qu'alourdir le sang, on dirait qu’il s’était étalé.. On pourrait limiter dire que nos sangs ont formé un immense cœur rouge. Avec nous en plein milieux, encore un coup de la sorcière ? Je pense bien que oui. Je m’approche de son oreille, mordant son lobe avant de sourire, lui murmurant quelques mots doux.
‘’ T’es bien la première qui ma filé une grande émotion en un putain de siècle. ‘’
Je tend la main en l’air, faisant apparaître un pétard allumé. L’autre, je ne sais pas où je l’ai mis.. J’ai du surment l’éteindre sur le corps de la Banshee. Je m’allonge à côté d’elle, il fessait petit matin… Je ne sais pas quelles heures, il était quand nous avons commencé nos ébats. Je viens tirer une bouffe bouffée, soufflant la fumée vers le ciel.
Pour une fois, j’ai eux chaud au corps. D’habitude, les ébats sont froids, je me vide juste. Mais là.. J’ai ressentit un plaisir que je n'ai pas pu toucher depuis longtemps, j’ai pu me libérer. Ça fais du bien, sauf.. Les oiseaux qui gazouillent dans la nature ça fait trop idyllique a mon goût…
‘’ Dégagé les piafs putain… ‘’
Je viens rigoler, avant de faire sortir une grenade de ma dimension et la balancé très loin de nous, pour la faire exploser et faire partir tous les piafs du secteur. Je soupire de la fumée, c’est mieux. Je tourne ma tête vers elle, avant de lui faire un clin d’œil. Je n'ai même pas envie de parler, tellement que c’était sanglant et beau. Le sang, ça peux se mêler au sexe.. Ce qui est tous a fait normal, on est fait pour baiser comme des animaux pour moment, pourquoi pas le faire le plus souvent possible.. On se sent libre, une liberté que tout le monde pourrait toucher.
Le Diable s'habille en PradaSiobhan poussait un hurlement mêlant douleur et jouissance lorsque Keyvan plantait ses dents dans son cou. C'était un pur délice de violence et d'animosité. Elle enfonçait alors ses ongles plus profondément dans sa chair, resserrant l'étreinte de ses cuisses autour du Leprechaun. Le désir la dévorait de l'intérieur, elle le voulait sans plus attendre, plus qu'elle n'avait jamais voulu aucun autre homme auparavant et pourtant... elle en avait connu des autres hommes. Etait-ce dû au sortilège de la sorcière ou à celui du charme bestial de Keyvan...? La Banshee était totalement incapable de répondre à cette question, elle ne pensait plus à rien d'autre qu'à lui, qu'à eux. Sa peau, ses lèvres, ses mains, son corps, elle le voulait tout entier. Un moment de flottement s'en suivit, un bref moment où leurs regards se croisaient. Et là, sans dire un mot, ils consentaient tous deux à franchir la barrière, la limite de leurs haines respectives. Ils allaient franchir le point de non retour, celui où ils acceptaient de se mettre à nu et de se montrer plus vulnérables que jamais. Elle s'offrait à lui comme il s'abandonnait à elle. Ils allaient partagé ensemble la plus grande des intimités, la plus puissante des expériences et rien ne serait alors plus jamais pareil entre eux. C'était ce que Siobhan préférait lorsqu'elle couchait avec l'ennemi, ce sentiment intense de braver l'interdit, de se jeter à corps perdu dans le danger, sans défense ni filet. Keyvan l'embrassait à nouveau, leur second baiser. Il était aussi divin que le premier et la Banshee sentait chaque parcelle de son corps s'embraser. Elle n'y tenait plus. Elle aurait presque pu le supplier de la satisfaire si ce dernier ne s'était pas montré prêt à le faire. Mais le désir de Keyvan était tout aussi palpable que le sien et elle se laissait alors happer par la fureur du moment. Elle caressait sensuellement le dos du Leprechaun en remontant ses mains jusqu'à sa nuque avant de les glisser dans sa chevelure de feu. Il lui mordait la lèvre, elle gémissait. Il lui arrachait ses derniers vêtements, son souffle s’accélérait. Il remontait vers elle, glissant ses doigts entre ceux de Siobhan, son coeur s'affolait. Jamais elle n'avait ressenti cela auparavant. Elle le laissait faire, savourant le plaisir que ce simple geste lui procurait. A cet instant précis, elle ne voulait plus prendre le dessus ou le dominer, non, elle voulait être à lui, elle voulait qu'il la possède comme jamais il n'avait posséder une autre femme auparavant. Elle s'abandonnait entièrement, complètement à lui.
Le premier coup de reins était d'une puissance, d'une sensualité, d'une satisfaction... incomparables. Siobhan crut bien défaillir. L'étreinte de ces deux divinités, qui ne faisaient désormais plus qu'une, était absolument parfaite. Cela paraissait si naturel à la Banshee, cette osmose, cette unité... Comme si leurs corps avaient toujours été faits l'un pour l'autre et les deux ennemis vérifiaient cette théorie encore et encore, toute la nuit. Ils ne semblaient jamais s'épuiser, jamais se rassasier l'un de l'autre. Alternant plaisir et souffrance, dominant et dominé, Keyvan et Siobhan avaient fait preuve de créativité et de diversité pour se satisfaire l'un l'autre. Ils se rendaient alors compte qu'ils avaient clairement plus à gagner à se faire du bien qu'à se faire réellement du mal. Ils étaient tellement plus doués pour cela l'un avec l'autre. Ensemble, ils étaient plus forts, plus redoutables. La Banshee en prenait conscience après les festivités et cela lui faisait peur... Jamais elle n'avait envisagé qu'un homme puisse prendre une telle place dans sa vie. Jamais elle n'avait envisagé qu'un homme puisse siéger à ses côté... Et pourtant, c'était ce qu'elle ressentait pour Keyvan. Elle le voulait pour elle, en elle, à elle, pour l'éternité. Maintenant qu'elle avait goûté à tout ce qu'il pouvait offrir, elle savait pertinemment qu'elle ne pourrait plus jamais s'en passer et cela était difficile à admettre pour elle. Elle qui avait tant renié les hommes, elle qui avait tant souffert de leurs mains et de leurs jugements. Elle qui ne voulait plus jamais avoir à dépendre d'eux. Mais ce n'était pas vraiment cela qu'elle ressentait pour le Leprechaun. Non... Elle n'aurait pas à dépendre de lui, elle se voyait plus marchant et gravissant les échelons avec lui, main dans la main, côte à côte. D'égal à égale. Un roi et sa reine. Mais était-ce réellement possible? Ne s'engouffrait-elle pas vers un songe inaccessible ? Siobhan ne voulait pas prendre le risque, elle ne pouvait pas prendre le risque. Elle devait couper court immédiatement à tout cela si elle ne voulait pas s'exposer à un plus grand danger et tout perdre. Tout ce qu'elle s'était donnée tellement de mal à construire.
Le soleil exhibait ses premiers rayons lorsque Keyvan lui demandait si elle l'avait assez senti. Entièrement nue, allongée à ses côtés, Siobhan ne pouvait s'empêcher d'afficher un sourire plus que satisfait avant de plonger son regard dans celui du Leprechaun. Ses yeux... Mon Dieu... Ses yeux... Elle aurait pu se noyer dans ce vert émeraude et c'était exactement cela la menace qu'elle voulait éviter. Ce sentiment de faiblesse et d'abandon qu'elle avait accepté de partager l'espace d'une nuit mais qu'elle se refuser à accepter pour toute la vie. Ce qu'elle ressentait pour Keyvan, elle voulait le combattre, l'étouffer, car elle savait que cela ne serait rien d'autre qu'une faiblesse à exploiter. Et être faible ne faisait pas parti de ses plans. Keyvan ne faisait pas parti de ses plans. Il s'approchait alors de la Banshee et par elle ne savait quel prodige il parvenait à la pousser à se laisser faire. Il lui murmurait alors à l'oreille les plus belles paroles qu'un homme lui ait jamais dite. Elle frissonnait de la tête aux pieds, son cœur s'emballait à nouveau face à l'idée qu'elle puisse être la seule et l'unique qui puisse compter. Il était lui aussi le seul à lui avoir procurer une telle émotion, le seul à lui avoir fait ressentir qu'elle était exceptionnelle, qu'elle était en vie. Elle n'avait peut être pas vécu autant que lui mais cela n'enlevait rien à la prouesse de l'homme. Elle avait envie de lui dire, de lui susurrer à son tour à l'oreille, mais elle se retenait. Elle ne pouvait pas, elle ne voulait pas. Alors, une fois qu'il eut terminé son petit numéro, elle roulait sur lui, se positionnant à califourchon sur son abdomen viril, plaquant sa main contre la bouche du Leprechaun.
« Arrête ton cinéma. Ce qui s'est passé cette nuit ne signifie rien. Oublie les clins d’œil et les mots doux. C'était juste un coup de la sorcière et ça ne se reproduira jamais, tu entends? »
Bien sûr, elle n'en pensait pas un traitre mot et ça lui enserrait même le cœur de dire cela alors qu'elle ressentait tout l'inverse, alors qu'elle avait envie de remettre le couvert là, maintenant, tout de suite. Alors qu'elle avait envie de se blottir dans ses bras et de ne plus jamais en sortir.
« Jamais! »
Elle plongeait son regard dans celui de Keyvan, se forçant à paraitre froide et détachée. Une des choses les plus difficiles qu'elle ait jamais eu à faire, tandis que son corps était encore plaqué contre celui du Leprechaun. Une tentation dangereuse qu'elle décidait de fuir en se relevant. Un simple geste de la main et son corps se recouvrait de l'une de ses somptueuses robes de grands couturiers.
« Relève toi et habille toi, on a un sort à briser maintenant. Fini les conneries. »
Les jouissances… Ma peau, encore, en frémissais encore, les coups.. Le sang. J’étais encore en transe, je serrai bien repartit pour un nouveau round.. Mais j’avais à faire, notamment prendre des rails de coke et piquer des trucs au gens. Mais le hic dans le tas, j’étais bien. Pas bien dans le sens, j’me suis juste vidé les couilles, j’ai picolé et je me casse non… Je suis bien. Je me sens reposé, j’ai une chaleur apaisante qu’est Siobhan. Ce sentiment m’est très étrange, je n'ai pas de souvenirs.. Pas de souvenir que ça m’est déjà arrivé, je me colle un peut avec elle. Me tournant pour observer sont visage, ses yeux pétillants d’une lueur éclatante, sont sourire dévoilant ses dents blanches puissance Colgate. Elle est une beauté fatale et froide, l’idée même de la femme qui vient de Russie. Mais… Cette expression, celle d’une femme heureuse… Pour moi, le temps, c’était arrêté. Cette chaleur, ce bien-être… Ça devenais addictif. De se sentir bien, je m’étais permis de pousser doucement une de ces mèches de cheveux bruns pour lui mettre derrière l’oreille avant de lui sourire.
Peut-être, est-ce que je vis les derniers moments de ma vie de vagabond ? Peut-être le moment de ce posé, de devenir quelque chose de normal.. Mais avec un bon de bon sens, je n’ai aucune manière. Je ne suis pas fait pour être un civilisé, ça me brise le cœur. Mes émotions, elles sont mal aussi.. Je suis à deux doigts de toucher le but de n’importe quelle personne, avoir un foyer et aimé. Construire quelque chose de saint et durable..
Argh ! Je regarde attentivement Siobhan, je sens que quelque chose ne va pas. Et avant que je ne puisse dire quelque chose, elle se met sur moi, et me bloque la bouche avec ça délicate main digne d’une créature la plus pur. À mon tour, mon regard tombe dans le sien. Que se soit de nos deux point de vue, le bonheur étais partagé.. Mais derrière, nos ressentons tous. Et nous sentons mutuellement notre tristesse, notre envie de continuer qui est barrer part des barrières. Ce quel dis, ça fais mal. On a pris notre pied, on veut aller…..
Ressaisis toi Keyvan. Si c’est pas aujourd’hui ça serra plus tard, y a quelque chose a exploité, je dois être moins con. Mais pour le moment tait à toi, ne dis rien. Je viens à disparaître et réapparaître dans une tenu un neuf, chemise, bretelle pendante et pantalon chaussure défoncée. Et entièrement lavé, plus une trace de sang. Elle nous ramener chez elle, dans cette même chambre. Je regarde le lit, il a l’air confortable.. M’enfin. Je la regarde, elle s'est retourné vers la fenêtre… Comme si elle fuyait quelque chose, je serre mon poing. J’ai envie de crier mon envie de rester ici, mais…. Je ne peux pas. J’aurai aimé la gardé un peux dans mes bras. Profité de cette même chaleur qui a réchauffé mes débris gelé. Je serre ma mâchoire… Je prends le risque, je m’approche doucement d’elle avant de déposer un simple baisé sur le haut de ça tête, la dominant en taille avant de me changer dans une lumière éclatante en chat roux aux yeux vert et de quitter la chambre. Passant dans les nombreuses piéces du château, esquivant le monde possible avant d’aller taper deux trois trucs dans la cuisine, parce que niquer.. Ça creuse.
J’arrive dehors alors qu’il pleut et que c’est la tempête. J’ai le pelage trempé, mais cette même fenêtre… Je m’arrête, je discerne encore ces formes qui n’a pas bouger d’un cran. Je la regarde une dernière fois, j’agite ma queue (pas celle que vous pensez bande de gros dégueulasse pervers) en signe d’au-revoir, j’avance dans ce qui me semble l’Irlande… Breuuuuuh, je ne reste pas là. Je reprends forme humaine avant de passé part une porte pour rattérire dans un rad dégueulasse, ou la drogue circule, les putes ne font qu’une. Sa danse, sa baise dans d’autres coins.. Je viens me mettre à ma place qui n’est pas habituel, prêt d’une fenêtre. Je commande une pinte de Guinness, un carton d’LSD, de la lean, qui est un mélange de Sprite et de sirop pour la toux a base de codéine qui provoque un effet anti stressant, décontractant. Un pochon de weed, et un pochon de coke.
J’enquille ma pinte d’un coup, avant de regarder la lune dehors.. Il fait nuit part ou je suis. Je suis dans un bar que je connais, j’ai tellement baisé de pute ici que je pourrai faire testeur. Mais, mes pensées ne sont pas là.. La lune est si belle. Et je repense au visage de Siobhan, je loupe quelque chose d’énorme… J’ai senti le plaisir, mais… Et ça, la sorcière nous a lié et je pense pas que c’est un coup monté comme elle la dis. Y’a quelque chose, est-ce le fait qu’on se soit appris à se connaître a force de ce rentré dans le lard a chaque fois qu’on prépare et applique un coup ? Elle ma fais ressentir quelque chose… Je ne sais pas c’est quoi. Je ne sais pas ce qui ma fait sentir aussi bien.. Mais je trouverais ce que c’est, je lui dirait les mots qu’il faut. Et j’en ferrai une Reine qui n’aurra pas a se pré-occupé de sont Roi.
Mais en attendant… J’entends des voix qui me sont bien trop familière, trois nana en tenu vachement légère. Kamille, Léonna et Sarah respectivement rousse, blonde et brune. Irlandaise, Américaine et Algérienne. Trois putes que j’entretiens régulièrement, je me tourne vers elle. Le visage pas enjoué du tous.
‘’ Pas ce soir, Daddy ne mettra pas de sucre magique dans vos nez. ‘’
Elles partent en râlant, je prends le carton de LSD, j’absorbe, je prends la lean je bois. Les effets commencent, une longue agonie… Sa me lassera tout le temps nécessaire pour penser à cette belle Brune qui va hanter pas mal de mes nuits.
Le Diable s'habille en PradaKeyvan ne semblait pas apprécier le retour à la réalité, Siobhan non plus... Elle aurait tant aimé pouvoir rester dans ses bras, profiter de l'instant présent et ne plus penser à rien d'autre. Mais c'était un luxe qui ne lui appartenait pas, un luxe qui ne lui avait jamais appartenu. Peut être qu'une fois son plan achevé, elle pourrait enfin se l'offrir et faire de Keyvan son Roi pour toujours... Oui, cela elle commençait déjà à l'envisager mais avant, elle avait besoin de savoir si cela était motivé par de réels sentiments ou simplement par cette foutue malédiction. Le doute n'était pas permis lorsqu'il s'agissait de choisir un Roi. Elle devait en être sûre. Keyvan réapparaissait vêtu comme à son habitude. Siobhan ne lui dirait probablement jamais mais qu'est-ce qu'elle le trouvait sexy avec ses guenilles et surtout ses bretelles... Les bretelles avaient un effet fou sur elle. Bon le corps parfait d'Apollon qui était en dessous encore plus... Mais elle chassait rapidement cette idée de son esprit. Il était temps pour eux de quitter le lieu des leurs premiers ébats, Siobhan les téléportait alors de nouveau au manoir. Retour à la case départ, dans cette chambre où tout avait consciencieusement été nettoyé par Jill. Le lit était impeccablement fait, le plateau dévoré par Keyvan avait disparu et les gouttes de sang qui avaient coulé sur le sol avaient été essuyé. Plus aucune trace, comme si rien n'avait jamais réellement eu lieu. Etait-il possible d'effacer ainsi, aussi facilement, cette nuit de débauche? La plus belle que Siobhan ait jamais vécu? L'idée que tout cela n'était dû qu'à la magie d'une sorcière complètement barrée lui fendait le cœur. Ces prochains jours seraient donc entièrement dédiés à démêler le vrai du faux, elle voulait savoir la vérité, coute que coute.
Ce lit, impeccablement fait, recouvert de soie et incroyablement confortable. Siobhan avait envie de s'y glisser avec Keyvan. Elle voulait un deuxième round plus doux, plus tendre. Elle voulait retrouver ce qu'elle avait ressenti lorsque leurs doigts s'étaient emmêlés dans une tendresse infinie. Elle avait envie de lui faire l'amour cette fois. Il fallait savoir varier les plaisirs n'est-ce pas? Mais elle ne pouvait pas, elle ne devait pas. Alors elle se retournait vers la fenêtre, esquivant Keyvan et ce regard vert émeraude qui l'aurait assurément fait craquer dans la seconde. Elle n'espérait alors qu'une chose, qu'il comprenne et qu'il s'en aille. Le Leprechaun s'approchait d'elle, Dieu que c'était dur... Dur de ne pas se retourner pour lui arracher un baiser, dur de ne pas se retourner pour sentir une nouvelle fois son corps viril et musclé serré contre le sien. Siobhan était parcourue de frissons de la tête aux pieds, elle avait envie de céder, oui elle en avait tellement envie. Plus encore lorsqu'elle sentait cette masse imposante et chaleureuse derrière elle. Il était là, tout près. Elle était envahie de flashs de leurs ébats, sa peau, ses lèvres, ses murmures, ses blessures, le plaisir et l'extase... Elle se mordillait la lèvre inférieure. Keyvan se contentait d'un délicat baiser. Siobhan se retournait alors, elle n'y tenait plus, elle avait envie de lui. Au diable la raison, elle voulait une nouvelle fois s'abandonner aux bras de l'irlandais. Mais lorsqu'elle se retournait, il n'était déjà plus là. Un miaulement, elle baissait le regard, il s'était métamorphosé. Elle découvrait pour la première fois ce pouvoir, décidément, il la surprendrait toujours. Le chat quittait la pièce et Siobhan restait là, envahie par la frustration et le désir inassouvie. Finalement, c'était mieux ainsi, elle en était persuadée. Ou plutôt, elle essayait de s'en persuader.
Seule dans cette chambre, Siobhan restait encore quelques instants devant la fenêtre. Elle avait soudainement froid, elle se sentait désormais plus seule que jamais. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas ressenti cela. Jusque là, sa seule présence et tous ses amants de passage lui suffisaient amplement mais depuis cette nuit, depuis qu'elle avait gouté aux délices de Keyvan... Elle se sentait incroyablement seule sans lui, abandonnée, comme s'il lui manquait littéralement une partie d'elle, sa moitié. Cette moitié qu'elle avait secrètement espéré trouver toute sa vie sans aucun espoir d'y parvenir un jour. Le Leprechaun n'était plus là depuis seulement quelques instants et pourtant il lui manquait déjà cruellement. Il lui prenait alors l'envie irrésistible de l'espionner, de le suivre. Il avait pris l'initiative de partager leurs sangs lors d'un baiser empli de passion. Elle avait pris l'initiative de s'en servir pour lui jeter un sort qui lui permettrait de le localiser. Certes elle avait cédé à la tentation mais elle était toujours Silver Banshee et même si elle avait désormais des sentiments évidents pour Keyvan... Elle restait méfiante. Leurs vies étaient liées et elle ne voulait pas prendre le risque de perdre la sienne à cause de lui. Siobhan avait tourné en rond pendant un long moment avant de se décider enfin à la rejoindre. Elle n'arrivait pas à l'oublier, à le chasser de ses pensées, c'était plus fort qu'elle. Elle voulait juste le voir, l'apercevoir, ne serait-ce que quelques secondes. Elle craquait. Elle se téléportait auprès de Keyvan. La Banshee était alors prise d'une angoisse, celle de le retrouver dans les bras d'une autre femme. Cette simple idée réveillait en elle un véritable volcan de fureur. Il valait mieux pour le bien être de tous que ce ne soit pas le cas. Bien sûr elle ne se téléportait pas littéralement à ses côtés, elle voulait rester discrète. C'était le principe de l'espionnage non? D'ailleurs, elle utilisait même un sortilège d'invisibilité pour que le Leprechaun ne puisse pas ressentir sa présence et encore moins la voir. C'était l'occasion de tester la puissance du sort que leur avait jeté cette salope de sorcière. Si Keyvan parvenait à la sentir malgré les protections déployées par Siobhan alors ils auraient vraiment du fil à retordre pour briser la malédiction. Si non... il y aurait encore de l'espoir.
Une fois téléportée, Siobhan avait la mauvaise surprise de se retrouver dans un véritable cloaque puant où alcool, drogues et luxure étaient légions. Cet endroit la dégoutait vraiment... Cette facette de Keyvan, elle ne l'aimait pas. L'héritière grimaçait. Personne ne pouvait la voir et c'était mieux ainsi. Malgré le sort d'invisibilité, elle se glissait dans un coin reculé et obscur, juste au cas où ça ne marcherait pas aux yeux de l'Irlandais. Elle le cherchait alors du regard, elle ne resterait pas bien longtemps, elle était vraiment mal à l'aise dans cet endroit. Elle commençait aussi à ressentir les effets de l'alcool et de a drogue ingurgités par le Leprechaun et elle ne se sentait pas très bien. Puis là, soudain, elle le vit. Elle oubliait alors tout. Le côté sordide et glauque de l'endroit, les maux de crâne qui commençaient à la submerger... Keyvan lui faisait tout oublier. Mais la Banshee commençait à voir rouge lorsque trois pouffes se ramenaient près de lui. Elle serrait les poings. Elle avait envie de les trucider sur place. Elles étaient absolument dégueulasses ces putes. Mais Siobhan eut l'agréable surprise de voir que Keyvan les renvoyait d'où elles venaient. Elle esquissait un sourire. Elle caressait le doux espoir qu'il avait fait ça à cause d'elle, pour elle. Elle ne le saurait probablement jamais. Mais c'était soulagée et sereine qu'elle rentrait chez elle, dans son manoir. Elle se concoctait alors une petite potion bien corsée pour dormir, histoire de ne pas avoir à subir les affres de la drogue et de l'alcool du Leprechaun. Elle le laisserait tranquille cette nuit mais il ne fallait pas qu'il en abuse par la suite où elle serait forcée et contrainte de le ramener chez elle par la peau des fesses pour qu'il arrête ses putains de conneries de camé. En attendant... elle rêvait de lui toute la nuit, encore, encore et encore...