Maintenant que l'envie est là, l'attente risque d'être longue. Ce bébé va concrétiser tous leurs espoirs, changer le cours de leur existence. Diana a hâte de voir sa vie changer aussi radicalement, d'emprunter un chemin qui l'éloignera de la violence et des combats. Guerrière née, elle n'en demeure pas moins une femme comme les autres, sujette aux mêmes envies. C'est la première fois qu'elle s'autorise à envisager l'avenir sous cet angle. Avec Steve, les choses étaient différentes. Pas mal, mais différentes. L'un comme l'autre menaient des vies bien trop compliquées, et Steve était beaucoup plus... raisonnable que Jason, moins enclin à prendre de risques. Et ce n'est pas quelque chose que Diana peut lui reprocher, elle-même ayant eu besoin d'être secouée pour forcer son point de vue à changer, et pour s'autoriser à faire preuve d'un égoïsme salvateur. Diana sourit en imaginant Hippolyte apprendre la nouvelle, elle qui comprendra mieux que quiconque le désir de sa fille. « Très franchement, je n'ai jamais compris cette histoire de rose et de bleu... En quoi le bleu est-il symbole de la masculinité, et le rose celui de la féminité ? Certaines de vos coutumes sont vraiment étranges... » Elle n'aurait même pas songé à décorer la chambre du bébé d'une couleur ou d'une autre. Probablement parce que chez elle, on ne s'embarrasse pas de ce genre d'idioties – qu'il y ait des garçons ou non, les Amazones ne baignent pas un univers de teintes rosées. « Mais j'approuve tout à fait l'idée de la peluche. Quelque chose me dit que ce bébé sera plus que gâté... » Comment pourrait-il en être autrement ? Elle sourit, à la fois amusée et émue. Elle sait que Jason donnera à leur enfant tout ce qu'il n'a pas eu, à commencer par de l'amour. Blottie contre lui, elle relève légèrement la tête pour écouter ce qu'il a à lui confier, et c'est avec beaucoup de difficulté qu'elle se retient d'éclater de rire, pour finalement céder à l'hilarité en même temps que lui. « Oh, quelle cruelle petite fleur... ! J'en toucherai deux mots à Perséphone, qu'elle donne une leçon à ses marguerites, qu'elles cessent de briser des cœurs adolescents. » Elle rit, encore, avant de se redresser en prenant appui sur le lit. « Elle était bien idiote, cette marguerite. Elle, et tous ceux qui ont osé douter de toi, de nous. » Ils sont nombreux, et ils ont tous eu tort. D'humeur joueuse, elle repousse les couvertures qui les recouvrent et s'installe à califourchon sur lui. Penchée en avant, ses longues mèches brunes effleurent son visage, elle caresse sa joue du bout des doigts. « Remettons les pendules à l'heure, tu veux bien ? » Question purement rhétorique. « Je t'aime... Un peu ? » Elle dépose plusieurs baisers sur sa mâchoire, qu'elle fait mine de croquer. « Beaucoup ? » Elle embrasse la peau de son cou, peut-être s'y attarde-t-elle un peu trop. « A la folie ? » Ses mains glissent sur son torse et elle se penche encore un peu plus pour embrasser son cœur. « A la folie, passionnément, à l'infini. » Plus qu'aucune petite fleur stupide n'aurait jamais pu lui dire. Tant pis pour ceux qui n'y croient pas, tant pis pour ceux qui n'approuvent pas, ils ne sont pas concernés. « Et je t'interdis d'en douter. Que ce soit demain, dans dix ans ou dans mille ans, je te l'interdis. Quoi qu'il advienne, souviens-toi que c'est avec toi, et avec personne d'autre, que j'ai décidé d'avoir un enfant. Nul besoin d'interroger une marguerite pour en avoir le cœur net. »
Made by Neon Demon
Jason Todd
independent soul
Messages : 5500 Date d'inscription : 29/01/2017 Face Identity : Matthew Daddario. Crédits : labonairs (avatar), Ventium ♥ (les bannières), signature (beylin), & renegade (montage) Age du personnage : trente années à écumer la ville du crime. Ville : Gotham City. Profession : Plus mercenaire que justicier, tu ne te considères pas comme un héros. Toi, tu n'hésites jamais à tuer. Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins. Compétences/Capacités :
Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.
Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi. Situation Maritale : Célibataire.
Tu comprends son désarroi, face à de vos coutumes. Toi-même, tu ne les saisis pas toutes. Certaines sont uniquement destinés à vous faire rentrer dans un moule façonné par la société, chose que tu as toujours évité avec détermination. Tu as horreur qu'on te dicte ta conduite. Qu'on te dise quoi penser, quoi faire, quoi dire. Tu es le seul maitre de tes actions, et tu as coupé les fils au-dessus de toi depuis bien longtemps. Personne ne fera de toi un pantin, en t'obligeant à adopter un comportement dicté par les biens pensants de ce monde. Tu ne sais pas quoi lui répondre, parce qu'elle a raison, c'est stupide. Bleu pour les hommes, rose pour les femmes. Malheureusement, c'est tellement ancré dans les mœurs, que certains s'offusqueraient d'imaginer les choses différemment. Ce n'est pas ton cas, et votre enfant ne sera pas élevé dans ces valeurs douteuses, qui incitent à appuyer les différences entre chacun. Mais à quoi bon s'offusquer maintenant ? Vous ne changerez pas les choses. Tout ce que vous pouvez faire, c'est inculquer la tolérance et l'ouverture d'esprit à votre futur enfant. L'histoire de la marguerite est contée, plus qu'à attendre les moqueries. Toi-même, tu ris de cette candeur qui n'existe pratiquement plus chez toi aujourd'hui. La vie ne dépend pas des pétales d'une fleur, et bien heureusement, sinon ta relation avec Diana n'aurait pas dépassé le stade de l'amitié. Au mieux. Mais tu trouves assez incroyable, malgré tout, d'être tombé sous son charme dès votre première rencontre. Que ce soit elle qui soit à l'origine de ta première petite peine de cœur, et de tes émois d'adolescent. « Je ne lui en veux pas tant que ça, à l'époque, toi et moi c'était inenvisageable. » Différence d'âge, de vécu. Et elle était en couple. Tout bonnement impossible. Tu le savais au fond de toi, que tu n'obtiendrais jamais plus que de simples regards d'affection, ou des mots d'encouragement. Rien qui n'aurait pu te satisfaire. Aujourd'hui, les choses ont changé, le temps a filé et tu es devenu un homme. Un homme capable de la séduire. L'homme de sa vie. Et quand tu repenses à l'adolescent que tu étais, en admiration devant elle, tu ne peux t'empêcher de sourire. Cet autre toi aurait été tellement heureux. Tu avais peut-être la candeur et l'innocence, mais maintenant tu as l'espoir. Et l'amour de celle qui a, finalement, toujours su faire battre ton cœur. Quand elle ôte les draps et s'assied sur toi, tu manques subitement de souffle. « Wow. » Voilà qui devrait bien résumer tes pensées. Elle se penche, te frôle, et tu dois te concentrer pour ne pas perdre le fil de la conversation. L'effet qu'elle te fait est dévastateur. Elle joue, et elle s'y prend très bien. Tu mords ta lèvre inférieure quand tu sens sa bouche s'attarder sur ton cou, et ses mains glisser sur ton torse. T'aimerais pouvoir répondre quelque chose, mais t'es pas certain de pouvoir le faire, électrisé par son contact. Le lien que vous partagez se prolonge jusque dans votre façon de vous toucher. Il ne t'en faut pas beaucoup, pour perdre peu à peu le contrôle, animé par la boule de feu brûlante qu'elle fait naitre dans ton bas ventre. Tu te redresses, en maintenant son corps contre le tien, poitrine contre torse. « T'as toujours su trouver les mots. Depuis le début. C'est une des choses parmi tant d'autres, qui fait que je suis moi aussi complètement fou de toi aujourd'hui. » Tes mains caressent son dos, du bas jusqu'aux épaules. Et la douceur de sa peau te frappe. Elle n'a pas un seul défaut. « J'tai jamais raconté l'histoire de mes cicatrices, je crois. » Tu attrapes ses doigts, et les place sur ton visage, au niveau du sourcil. « Celle-là, bagarre dans un bar. Le mec m'a frappé avec son verre en plein visage, et ça m'a tailladé l'arcade. » Douloureux. En plus d’énormément saigner. Tu descends, jusqu'à ton omoplate, sur une cicatrice circulaire. « Ma première balle. J'ai été imprudent. Ça m'a servi de leçon. » Tu prends soin de laisser glisser sa main le long de ton corps, de plus en plus lentement. Non sans arrière-pensées. Désir éveillé par ses gestes entreprenants. Tu t'arrêtes sur le côté droit. « J'ai infiltré un gang russe, et ils ont découvert que j'étais un traitre. Je te laisse deviner la suite. » La lame a planté ta chair, et y a laissé sa marque pour toujours. Tu cherches son regard, et la conduis cette fois jusqu'à l'aine. Zone sensible. Dangereuse. « Et là ... » Tu laisses ses doigts chercher la blessure, là où elle ne trouvera rien. « Y a rien. J'avais juste envie de sentir ta main. » D'autres recouvrent ton dos, mais ce n'est plus vraiment ce qui t'intéresse. Elle sait qu'il ne faut jamais jouer avec toi, sans avoir l'intention d'aller jusqu'au bout.
C'est presque trop facile, de jouer avec lui. Elle l'effleure de ses lèvres et il s'embrase, c'est aussi simple que ça. Elle a parfaitement conscience du pouvoir qu'elle a sur lui, et si elle s'en amuse elle sait pourtant que l'inverse est tout aussi vrai. C'est cela, être aussi fusionnel avec quelqu'un, être simplement incapable de se résister. Son corps appelle le sien, c'est un besoin vital et impérieux, constant et complet, toujours aussi intense même après des mois à s'aimer. C'est à son tour de retenir son souffle lorsque Jason se redresse, un frisson la traverse et elle a vite fait d'aller se serrer contre lui. Elle lui sourit, ses bras passés autour de lui, ses doigts caressant tendrement ses cheveux. Diana secoue la tête, sourcils légèrement froncés, quand il lui demande s'il lui a déjà raconté d'où viennent les cicatrices qui marquent son corps. Bagarre de bar. Elle sourit, pas le moins du monde étonnée. Il lui a déjà raconté ses mésaventures au dinner de Joe à chaque fois que quelqu'un a le malheur de dire un mot de travers à son sujet. La suite l'amuse beaucoup moins, elle perd son sourire lorsque ses doigts tracent les contours d'un stigmate laissé par une balle. Une leçon, peut-être, mais une leçon qui aurait pu le tuer. Elle voit bien ce qu'il essaie de faire mais son esprit est ailleurs, embarqué sur une chemin de pensées qui l'empêche de réellement songer à autre chose. Elle imagine la balle traverser ses chairs, la lame d'un couteau déchirer sa peau, les coups pleuvoir sur son corps. Elle sait qu'il s'en moque, que ça lui est bien égal, mais ce n'est pas son cas. Diana, elle, ne supporte pas ces images qui défilent dans son esprit. « Et là ? » Elle cherche, bêtement, une autre cicatrice avant de réaliser qu'il s'est joué d'elle. Elle caresse sa peau doucement avant de retirer sa main, qu'elle vient poser sur sa joue. « J'ai besoin que tu me fasses une promesse, mon amour... » Elle l'enlace étroitement, son visage contre son cou. Elle sent d'autres marques sur la peau de son dos, elles lui rappellent son quotidien violent, ce qu'était sa vie avant qu'elle n'y refasse une entrée fracassante. « Quand je serai enceinte, quand le bébé sera là... Cesse cette folie... Je sais... Je sais que Gotham fait partie de toi, et que tu as besoin d'elle... Mais nous, nous aurons besoin de toi. S'il devait t'arriver quelque chose, je ne pourrais pas... » Elle est incapable de terminer sa phrase, d'exprimer ses pensées clairement, comme par crainte de leur donner trop de poids. Mais la réalité est là. Il risque sa vie chaque soir à Gotham, et il n'est pas aussi invulnérable qu'elle. Les balles ne ricochent pas sur sa peau, les lames ne s'y cassent pas. Il n'est pas fragile, mais il n'est pas invincible. Et Diana se souvient trop clairement de toutes ces nuits où elle a passé des heures à le recoudre, à désinfecter ses plaies, à couvrir de glace ses hématomes, à le forcer à avaler des antibiotiques contre les infections et autres anti-douleurs rapportés de Themyscira... « Promets-moi de rendre les armes, pour nous. Comme je le ferai. Je t'en prie, Jason... » Elle relève la tête et prend son visage entre ses mains, sérieuse et inquiète. « Je n'ai jamais rien dit, parce que ton combat est tout aussi noble que le mien... Mais chaque marque sur ton corps est pour moi comme un coup de poignard, je le supporte comme tu supportes de me voir me battre jour après jour... Mais si nous avons un bébé, tout cela doit devenir accessoire. » Elle prend une profonde inspiration. « Le Joker, Black Mask, Arès, Cheetah, et tous les autres... Tu as raison, ils ne peuvent pas gouverner nos vies. Alors je t'en prie, je t'en supplie, cesse de te jeter dans la gueule du loup. Si tu ne le fais pas pour toi, fais le pour moi. » Elle prend sa main et la fait glisser sur son ventre, peu importe que leur enfant ne s'y trouve pas encore. « Pour nous. »
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Messages : 5500 Date d'inscription : 29/01/2017 Face Identity : Matthew Daddario. Crédits : labonairs (avatar), Ventium ♥ (les bannières), signature (beylin), & renegade (montage) Age du personnage : trente années à écumer la ville du crime. Ville : Gotham City. Profession : Plus mercenaire que justicier, tu ne te considères pas comme un héros. Toi, tu n'hésites jamais à tuer. Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins. Compétences/Capacités :
Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.
Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi. Situation Maritale : Célibataire.
Les cicatrices, blessures refermées mais qui refusent de disparaître, et qui viennent de réveiller l'angoisse chez Diana. Chaque défaut sur ta peau se rapporte à un souvenir déplaisant, où la douleur s'est fatalement invitée. Du sang, des points de suture, des bandages. C'est presque devenu une routine. Quand tu rentres les soirs, des hématomes marquent tes flancs, et quand tu as moins de chance, ta chair est abimée. Elle a vu tout ça, quand tu la rejoignais certaines nuits, après tes chasses à Gotham. Même quand vous n'étiez que des amis – avez-vous seulement été que ça ? – elle était présente pour panser tes plaies. Elle sait. Tu ne peux rien lui cacher. Et tu ne devrais pas être surpris, de voir maintenant l'inquiétude voiler son humeur joueuse. Cette promesse, tu la devines. Tu la vois dans le reflet de ses iris, sombres, perturbée par ces imperfections qu'elle a senti sous ses doigts. Gotham, c'est toi. Tu as grandi dans ses rues. Tu as rencontré ceux qui la peuple. Tu l'as surplombé en haut des toits, pour pouvoir l'admirer dans son ensemble. Gotham, t'aimerais la sauver. La rendre plus belle. Lui rendre sa superbe. C'est pour cette raison que tu es rentrée, et que tu as cessé ton tour du monde pourtant enrichissant et libérateur. Tu as accepté les chaines, celles accrochées à tes chevilles par Bruce et les siens, pour essayer de débarrasser ta ville de la vermine. Tous les jours, tu te sacrifie pour Gotham. Rendre les armes. Voilà un concept qui t'est inconnu. Baisser les bras, abandonner, ce n'est pas dans ta nature. Ça te donnerait cette impression de laisser tomber ceux qui croient en toi. Tu ne leur dois rien, et tu n'es même pas certain qu'ils t'en soient reconnaissant, mais ils ont besoin de quelqu'un comme toi. Quelqu'un qui puisse prendre les décisions les plus radicales, pour une finalité qui en sauvera des milliers. Ce que te demande Diana, c'est aller contre tes principes. Aller contre ce pourquoi tu es revenu. Mais refuser, serait hypocrite. Tu trouves son regard, quand elle pose ses mains sur ton visage. Tu sais ce qu'elle ressent. Quand tu la vois risquer sa vie, t'as une peur qui te tenaille les entrailles, et qui ne te quitte pas tant qu'elle n'est pas rentrée à tes côtés. Elle est invincible, tu ne l'es pas. Tu es mort déjà une fois. Tu n'oses imaginer ce qu'elle éprouve quand tu la quittes les soirs, pour regagner une ville qui ne te fait que du mal. « Diana ... » Tu ne dis rien de plus, préférant la laisser terminer. Son nom vient forcément agrémenter la discussion. Ton ennemi. Ton bourreau. Ta vengeance. Celui qui est devenu une quête perpétuelle et harassante. Ta main caresse son ventre, et tu plonges tes prunelles ambrées dans les siennes. « Tu sais ce que Gotham représente pour moi. Elle est la raison de mon retour. Nettoyer ses rues, tuer le Joker, protéger ceux qui ne peuvent se défendre, c'est devenu mon moteur. » Tout ça, tu doutes qu'elle puisse le comprendre. Mourir sous des coups de barre de fer, et revenir, pour constater que personne ne t'a vengé. Que personne ne t'aimait assez pour exécuter ton assassin. C'est une douleur terrible, qui gangrène ton âme depuis des années. Mais une douleur nécessaire, qui t'a donné la force de te battre, et de devenir plus fort que tu ne l'as jamais été. Tuer le clown était devenue jusqu'à ta raison de vivre. Avant. Temps révolu. « Mais depuis que tu es entrée dans ma vie, depuis que tu m'as offert ton amour, je n'ai plus besoin de tout ça. Peu à peu, tu m'incites à me détacher de ce passé tortueux, et à uniquement me consacrer à ce qui importe vraiment. A ce qui me rend réellement heureux. Toi, notre amour, et maintenant notre enfant à venir. » Tu as avoué à Hippolyte, que tu étais prêt à tout abandonner pour Diana. A enterrer cette vengeance pour toujours. En voici la preuve. Tu attrapes sa nuque, pour rapprocher son visage du tien. Vos lèvres sont si proches, qu'elles se touchent presque. « Je te le promets. J'arrêterai tout, pour n'être qu'avec vous. Je me fiche du reste. Il n'y a que toi qui compte vraiment. » Il est peut-être temps d'abandonner le mirage d'une vengeance accomplie pour uniquement te consacrer à celle que tu aimes. Avoir ce bébé sera l'occasion de franchir le pas. Le dernier pas vers la rédemption. « Bientôt, je n'aurais plus d'histoires à te raconter sur mes cicatrices. » Tu l'embrasses. Attrapes ces lèvres qui te manquent déjà, et trop proches pour que tu puisses y résister. Tu refuses de les lâcher, jusqu'à être à deux doigts de suffoquer. « Je n'ai pas besoin de Gotham, je n'ai besoin que de toi. » Esprit libre qui vogue là où bon lui semble. Diana est ta seule stabilité. La seule qui puisse influencer ta vie. « Je n'appartiens qu'à toi. » Le reste ? Les autres ? Insignifiant.
Diana sait à quel point Jason tient à sa croisade contre le crime. C'est la seule chose qui lui importait quand elle l'avait retrouvé, une obsession devenue moteur de son existence. Sans l'approuver, elle l'a compris, et a appris à vivre avec. Mais la décision qu'ils ont prise ce soir va bien au delà de Gotham, de l'Olympe et de toutes les choses qu'elles impliquent. Une fois enceinte, elle ne pourra pas continuer à mener les même combats que la Ligue. Mais lui... Il ne portera pas l'enfant, alors il n'y a rien qui l'obligera réellement à cesser sa lutte. Diana meurt d'inquiétude, tous ces soirs où il la quitte pour rejoindre sa ville natale, la ville du crime. Parce qu'elle sait pertinemment qu'il ne reviendra pas indemne – c'est rarement le cas. Il y a toujours des hématomes, des écorchures... Et parfois, c'est pire. Il y a ces plaies sanguinolentes qu'il faut recoudre, les quelques balles qu'il a parfois fallu extraire, les os fêlés ou brisés... Et elle déteste devoir revêtir l'habit de guérisseuse. Elle le fait, par amour et sans faire le moindre commentaire, mais elle a en horreur ces nuits où leurs retrouvailles sont gâchées par Gotham. Elle ne lui en veut pas, jamais, mais inutile de nier qu'elle supporte de moins en moins de le savoir en danger constamment. Et le moins deviendra un plus lorsqu'elle se retrouvera enceinte, à se ronger les sangs en songeant à lui. Elle s'était promise de ne pas lui demander d'abandonner sa croisade, de ne pas lui dicter sa conduite plus qu'il ne le fait avec elle... Mais c'est bien trop important. Eux, leur bébé, leur famille, c'est bien plus important que tout le reste. Il comprend tout cela, n'est-ce pas ? Choisir d'avoir un enfant, c'est choisir le futur. Et pour cela il faut savoir laisser le passé là où il est, aussi douloureux est injuste soit-il. Comme elle a dû laisser Arès de côté, Jason va devoir faire de même avec sa quête de vengeance, avec le Joker. Ce ne sera qu'un répit qui leur sera accordé, rien de plus. Diana ne pense pas que le clown mérite d'être épargné, non, il mérite de finir écorché vif aux pieds d'Hadès, mais la haine que Jason peut ressentir pour lui ne sera rien comparé à l'amour qu'il éprouvera pour leur bébé, leur famille. Depuis des semaines et des semaines, elle le baigne dans son amour qu'il oublie toute sa haine, laisse sa colère de côté et préfère s'adonner à la tendresse qu'à la violence. Elle soupire doucement lorsqu'il l'attire contre lui, leurs visages sont si proches qu'elle sent son souffle chaud sur sa peau. « Je n'oserai jamais réclamer l'exclusivité de tes attentions... Mais je veux que nous puissions être heureux, sans compromis. Rien qu'un peu... » Et sans avoir à se soucier de quiconque. Elle ne veut pas le changer, elle l'aime sans conditions, mais elle est soulagée de l'entendre lui dire qu'il abandonnera tout, pour eux. Pas uniquement parce que cela répond à ses désirs égoïstes, mais parce qu'en agissant ainsi, il va se libérer du mal qui l'entrave depuis des années et dont elle n'aurait jamais pu le libérer, même en faisant tous les efforts du monde. Il l'embrasse et Diana sent son cœur s'emballer, elle se serre contre lui, ses doigts glissent dans ses cheveux et s'y accrochent, et quand il s'écarte elle a vite fait de poser ses lèvres partout sur sa peau. La raison voudrait qu'elle lui dise que non, il n'appartenait qu'à lui-même et à personne d'autre mais elle ne le dit pas, parce que ce serait faire preuve d'hypocrisie. Évidemment, qu'elle veut qu'il n'appartienne qu'à elle. « Et je suis à toi, rien qu'à toi. » Elle est loin, l'époque où Diana se vantait de n'appartenir à personne sinon elle-même. Jason a révolutionné son monde et son et ses pensées. Et il n'y a aucune honte à avoir besoin de quelqu'un, à vouloir se donner entièrement à l'être aimée. C'est le sentiment le plus humain qui soit. Celui qu'elle a désespéré de ressentir. Doucement, elle le repousse sur le lit, et se blottit dans ses bras, sa tête dans le creux de son épaule. « Je t'aime, Jason. » Les mêmes mots, toujours, en themyscirien cette fois. Parce qu'ils n'ont jamais autant de poids que lorsqu'elle les prononce dans sa langue natale.
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Messages : 5500 Date d'inscription : 29/01/2017 Face Identity : Matthew Daddario. Crédits : labonairs (avatar), Ventium ♥ (les bannières), signature (beylin), & renegade (montage) Age du personnage : trente années à écumer la ville du crime. Ville : Gotham City. Profession : Plus mercenaire que justicier, tu ne te considères pas comme un héros. Toi, tu n'hésites jamais à tuer. Affiliation : Solitaire, tu es malgré tout rattaché à la batfamily. Plus ou moins. Compétences/Capacités :
Tu n'as aucun superpouvoir. Ton talent repose sur une maitrise parfaite des armes, l'apprentissage des meilleurs techniques de combat, l'usage de la stratégie militaire et une aisance innée pour l'acrobatie.
Tu possèdes également un don presque mystique enseigné par l'All Caste, qui consiste à ôter tout pouvoir et immortalité à ton adversaire. Par la force de ta volonté, tu peux matérialiser des épées d'énergie mystique, les All-Blades. Indestructibles, elles sont directement connectées à toi. Situation Maritale : Célibataire.
Tu devines les regards qu'elle te lancerait si tu venais à quitter l'appartement pour rejoindre Gotham. Inquiète. Presque terrifiée. Animée par la peur de te voir rentré blessé, ou pire encore. Et tu refuses de lui faire subir ça. Quel homme serais-tu, si tu abandonnais ta petite-amie enceinte pour aller frapper quelques brutes ? Quel père serais-tu ? Voilà quelques mois que tu songes de plus en plus à celui que tu as envie de devenir. Te rapprocher de ce qu'il y a mieux pour elle. Diana est passée largement en tête de tes préoccupations, et le reste importe de moins en moins. Tu veux être présent, pour la soutenir dans la grossesse. Lui apporter tout ce dont elle aura besoin. Et partager avec elle les premiers instants de votre enfant à naitre. Tu veux aussi être un bon père. Etre tout ce qu'ils n'ont pas été. Donner tout ce que tu n'as pas eu. Diana ne semble pas demander tant, mais tu ne te vois pas faire autrement. Tu es de ceux qui s'offrent complètement. De ceux avec qui c'est tout ou rien. Si vous devez fonder votre propre famille, ton combat contre le crime ne cessera pas, mais il deviendra occasionnel. Quand les situations seront trop critiques pour que tu restes à observer les autres risquer leurs vies sans rien faire. Parce que tu n'es pas un lâche. Tu fermes doucement les yeux, quand tu sens ses lèvres se poser sur ta peau. L'affection entre vous est débordante. Une journée avec Diana c'est plus de tendresse que tu n'en as jamais eu au cours de ta vie. Et si l'appartenance est un concept qui peut être considéré comme néfaste, quand il s'agit de vous et de votre amour, c'est complètement différent. C'est une façon de lui faire comprendre qu'elle sera toujours ta priorité. Que son bonheur est de loin la chose la plus importante. Elle n'aurait pas eu besoin de te demander de tout arrêter pour que tu le fasse. C'était une évidence pour toi, de passer tes nuits auprès d'elle, plutôt que dans les rues de Gotham. Tu n'aurais pas eu la force de partir. C'est déjà un supplice quotidien. Et parfois, tu cèdes complètement, préférant te glisser sous les draps avec elle. Là où est réellement ta place. Là où tu es en sécurité. Là où se trouve tout ce dont tu as réellement besoin. « Je t'aime aussi. » Deux mondes. Deux cultures différentes. Un avenir en commun. N'a t-elle pas énormément sacrifié en venant sauver l'humanité ? Elle a quitté son île, rassurante, pour se plonger dans un univers froid et hostile. Elle a abandonné tellement de choses pour vous. Elle a dit au revoir aux siens, sans savoir quand elle allait les revoir. Après ça, comment pourrais-tu lui refuser de laisser tomber ta quête ? Toi aussi, tu es prêt à tout sacrifier. Abandonner ton monde pour le votre. Celui que vous vous êtes façonnés. Tu te laisses retomber sur le lit, un bras autour d'elle, et dépose plusieurs baisers sur son front. T'aimerais tellement pouvoir la protéger de tout. Que plus aucun mal ne lui soit fait.
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Maintenant que l'envie est là, l'attente risque d'être longue. Ce bébé va concrétiser tous leurs espoirs, changer le cours de leur existence. Diana a hâte de voir sa vie changer aussi radicalement, d'emprunter un chemin qui l'éloignera de la violence et des combats. Guerrière née, elle n'en demeure pas moins une femme comme les autres, sujette aux mêmes envies. C'est la première fois qu'elle s'autorise à envisager l'avenir sous cet angle. Avec Steve, les choses étaient différentes. Pas mal, mais différentes. L'un comme l'autre menaient des vies bien trop compliquées, et Steve était beaucoup plus... raisonnable que Jason, moins enclin à prendre de risques. Et ce n'est pas quelque chose que Diana peut lui reprocher, elle-même ayant eu besoin d'être secouée pour forcer son point de vue à changer, et pour s'autoriser à faire preuve d'un égoïsme salvateur. Diana sourit en imaginant Hippolyte apprendre la nouvelle, elle qui comprendra mieux que quiconque le désir de sa fille. « Très franchement, je n'ai jamais compris cette histoire de rose et de bleu... En quoi le bleu est-il symbole de la masculinité, et le rose celui de la féminité ? Certaines de vos coutumes sont vraiment étranges... » Elle n'aurait même pas songé à décorer la chambre du bébé d'une couleur ou d'une autre. Probablement parce que chez elle, on ne s'embarrasse pas de ce genre d'idioties – qu'il y ait des garçons ou non, les Amazones ne baignent pas un univers de teintes rosées. « Mais j'approuve tout à fait l'idée de la peluche. Quelque chose me dit que ce bébé sera plus que gâté... » Comment pourrait-il en être autrement ? Elle sourit, à la fois amusée et émue. Elle sait que Jason donnera à leur enfant tout ce qu'il n'a pas eu, à commencer par de l'amour. Blottie contre lui, elle relève légèrement la tête pour écouter ce qu'il a à lui confier, et c'est avec beaucoup de difficulté qu'elle se retient d'éclater de rire, pour finalement céder à l'hilarité en même temps que lui. « Oh, quelle cruelle petite fleur... ! J'en toucherai deux mots à Perséphone, qu'elle donne une leçon à ses marguerites, qu'elles cessent de briser des cœurs adolescents. » Elle rit, encore, avant de se redresser en prenant appui sur le lit. « Elle était bien idiote, cette marguerite. Elle, et tous ceux qui ont osé douter de toi, de nous. » Ils sont nombreux, et ils ont tous eu tort. D'humeur joueuse, elle repousse les couvertures qui les recouvrent et s'installe à califourchon sur lui. Penchée en avant, ses longues mèches brunes effleurent son visage, elle caresse sa joue du bout des doigts. « Remettons les pendules à l'heure, tu veux bien ? » Question purement rhétorique. « Je t'aime... Un peu ? » Elle dépose plusieurs baisers sur sa mâchoire, qu'elle fait mine de croquer. « Beaucoup ? » Elle embrasse la peau de son cou, peut-être s'y attarde-t-elle un peu trop. « A la folie ? » Ses mains glissent sur son torse et elle se penche encore un peu plus pour embrasser son cœur. « A la folie, passionnément, à l'infini. » Plus qu'aucune petite fleur stupide n'aurait jamais pu lui dire. Tant pis pour ceux qui n'y croient pas, tant pis pour ceux qui n'approuvent pas, ils ne sont pas concernés. « Et je t'interdis d'en douter. Que ce soit demain, dans dix ans ou dans mille ans, je te l'interdis. Quoi qu'il advienne, souviens-toi que c'est avec toi, et avec personne d'autre, que j'ai décidé d'avoir un enfant. Nul besoin d'interroger une marguerite pour en avoir le cœur net. »
Tu comprends son désarroi, face à de vos coutumes. Toi-même, tu ne les saisis pas toutes. Certaines sont uniquement destinés à vous faire rentrer dans un moule façonné par la société, chose que tu as toujours évité avec détermination. Tu as horreur qu'on te dicte ta conduite. Qu'on te dise quoi penser, quoi faire, quoi dire. Tu es le seul maitre de tes actions, et tu as coupé les fils au-dessus de toi depuis bien longtemps. Personne ne fera de toi un pantin, en t'obligeant à adopter un comportement dicté par les biens pensants de ce monde. Tu ne sais pas quoi lui répondre, parce qu'elle a raison, c'est stupide. Bleu pour les hommes, rose pour les femmes. Malheureusement, c'est tellement ancré dans les mœurs, que certains s'offusqueraient d'imaginer les choses différemment. Ce n'est pas ton cas, et votre enfant ne sera pas élevé dans ces valeurs douteuses, qui incitent à appuyer les différences entre chacun. Mais à quoi bon s'offusquer maintenant ? Vous ne changerez pas les choses. Tout ce que vous pouvez faire, c'est inculquer la tolérance et l'ouverture d'esprit à votre futur enfant. L'histoire de la marguerite est contée, plus qu'à attendre les moqueries. Toi-même, tu ris de cette candeur qui n'existe pratiquement plus chez toi aujourd'hui. La vie ne dépend pas des pétales d'une fleur, et bien heureusement, sinon ta relation avec Diana n'aurait pas dépassé le stade de l'amitié. Au mieux. Mais tu trouves assez incroyable, malgré tout, d'être tombé sous son charme dès votre première rencontre. Que ce soit elle qui soit à l'origine de ta première petite peine de cœur, et de tes émois d'adolescent. « Je ne lui en veux pas tant que ça, à l'époque, toi et moi c'était inenvisageable. » Différence d'âge, de vécu. Et elle était en couple. Tout bonnement impossible. Tu le savais au fond de toi, que tu n'obtiendrais jamais plus que de simples regards d'affection, ou des mots d'encouragement. Rien qui n'aurait pu te satisfaire. Aujourd'hui, les choses ont changé, le temps a filé et tu es devenu un homme. Un homme capable de la séduire. L'homme de sa vie. Et quand tu repenses à l'adolescent que tu étais, en admiration devant elle, tu ne peux t'empêcher de sourire. Cet autre toi aurait été tellement heureux. Tu avais peut-être la candeur et l'innocence, mais maintenant tu as l'espoir. Et l'amour de celle qui a, finalement, toujours su faire battre ton cœur. Quand elle ôte les draps et s'assied sur toi, tu manques subitement de souffle. « Wow. » Voilà qui devrait bien résumer tes pensées. Elle se penche, te frôle, et tu dois te concentrer pour ne pas perdre le fil de la conversation. L'effet qu'elle te fait est dévastateur. Elle joue, et elle s'y prend très bien. Tu mords ta lèvre inférieure quand tu sens sa bouche s'attarder sur ton cou, et ses mains glisser sur ton torse. T'aimerais pouvoir répondre quelque chose, mais t'es pas certain de pouvoir le faire, électrisé par son contact. Le lien que vous partagez se prolonge jusque dans votre façon de vous toucher. Il ne t'en faut pas beaucoup, pour perdre peu à peu le contrôle, animé par la boule de feu brûlante qu'elle fait naitre dans ton bas ventre. Tu te redresses, en maintenant son corps contre le tien, poitrine contre torse. « T'as toujours su trouver les mots. Depuis le début. C'est une des choses parmi tant d'autres, qui fait que je suis moi aussi complètement fou de toi aujourd'hui. » Tes mains caressent son dos, du bas jusqu'aux épaules. Et la douceur de sa peau te frappe. Elle n'a pas un seul défaut. « J'tai jamais raconté l'histoire de mes cicatrices, je crois. » Tu attrapes ses doigts, et les place sur ton visage, au niveau du sourcil. « Celle-là, bagarre dans un bar. Le mec m'a frappé avec son verre en plein visage, et ça m'a tailladé l'arcade. » Douloureux. En plus d’énormément saigner. Tu descends, jusqu'à ton omoplate, sur une cicatrice circulaire. « Ma première balle. J'ai été imprudent. Ça m'a servi de leçon. » Tu prends soin de laisser glisser sa main le long de ton corps, de plus en plus lentement. Non sans arrière-pensées. Désir éveillé par ses gestes entreprenants. Tu t'arrêtes sur le côté droit. « J'ai infiltré un gang russe, et ils ont découvert que j'étais un traitre. Je te laisse deviner la suite. » La lame a planté ta chair, et y a laissé sa marque pour toujours. Tu cherches son regard, et la conduis cette fois jusqu'à l'aine. Zone sensible. Dangereuse. « Et là ... » Tu laisses ses doigts chercher la blessure, là où elle ne trouvera rien. « Y a rien. J'avais juste envie de sentir ta main. » D'autres recouvrent ton dos, mais ce n'est plus vraiment ce qui t'intéresse. Elle sait qu'il ne faut jamais jouer avec toi, sans avoir l'intention d'aller jusqu'au bout.